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Heute — 12. Juli 2025Haupt-Feeds

Retour sur l’Affaire TSI : Le choix d’un homme, la chute d’une institution, chronique d’un naufrage

12. Juli 2025 um 09:35

Scandales FinanciersCréé pour l’exercice des activités d’intermédiation sur le marché financier, notamment l’exécution des ordres portant sur des valeurs mobilières et la gestion de portefeuille pour le compte de tiers, l’intermédiaire en Bourse TSI s’est transformé en maillon faible d’un système de prédation financière. Au cœur du scandale : une gestion irresponsable, des manquements éthiques graves, et des complicités silencieuses à plusieurs niveaux. Retour sur une affaire où la moralité aurait dû être la première exigence.

 Une origine bancaire, un potentiel trahi

La Tuniso-Séoudienne d’Investissement (TSI) est un intermédiaire en Bourse né dans le giron de l’ancienne STUSID Bank — devenue aujourd’hui TS Bank — avec la participation du groupe industriel HBA. À l’instar d’autres banques qui disposent de leur propre structure d’intermédiation, la TSI avait vocation à devenir un acteur crédible du marché financier. Mais l’histoire a pris une autre tournure.

Une nomination fatale : quand la morale est négligée

Le déclin de TSI commence avec une décision pour le moins irresponsable, première faute : la nomination d’un directeur général dont la moralité était déjà entachée et qui aurait dû être écarté d’emblée de toute fonction de responsabilité dans une institution financière. Or, cette nomination, validée par le Conseil d’Administration, a ouvert la voie à une série de pratiques frauduleuses — notamment l’usage massif d’un montage de type pyramide de Ponzi.

« Là où la finance oublie l’éthique, c’est toute l’économie qui vacille. »

 

Une chaîne de responsabilités brisée

La TSI a progressivement cessé d’être un acteur au service du financement de l’économie pour devenir un fonds vautour, tirant profit de la détresse financière de nombreuses entreprises.

Ce dérèglement éthique n’aurait jamais dû échapper à la vigilance de ses partenaires, actionnaires et superviseurs.

Les souscripteurs : aveuglés par le gain facile

Deuxième faute majeure : celle des souscripteurs. Alléchés par des rendements défiant toute logique économique — souvent supérieurs à 10 % — ils n’ont pas vu ou n’ont pas voulu voir les signes avant-coureurs d’une arnaque. La cupidité a pris le pas sur le bon sens, dans une dynamique où la responsabilité morale des investisseurs n’est pas moindre.

Où était le conseil d’administration ?

Troisième erreur et pas des moindres : celle du Conseil d’Administration censé savoir ce qu’il en est. Le rôle des membres d’un Conseil d’Administration n’est-il pas de superviser le bon fonctionnement de la société et de mettre en place ses stratégies ? N’est-il pas responsable de la gouvernance de l’entreprise, définissant les politiques, supervisant la gestion, et veillant à la protection des intérêts des actionnaires et des autres parties prenantes ?

Ne doit-il pas être le gardien de la conformité, de la performance financière et de la création de valeur à moyen et long termes ?

« Le gain facile a aveuglé les souscripteurs, au détriment du bon sens. »

 

D’après nos informations, il comprenait notamment un représentant du groupe HBA, un représentant de la TS Bank et le DG lui-même – celui-là même à l’origine de la fraude. En l’absence d’un véritable expert financier indépendant, le Conseil a laissé l’entreprise dériver, compromettant gravement l’éthique de la profession.

Commissaires aux comptes et CMF : inattention ou carence ?

La responsabilité des commissaires aux comptes reste, elle aussi, en suspens. S’ils n’ont théoriquement qu’une obligation de moyens et non de résultat, force est de constater que les moyens mis en œuvre n’ont pas permis de découvrir une fraude d’une telle ampleur.  Il parait qu’il est même question de double comptabilité. Le commissaire aux comptes, conformément aux dispositions de l’article 270 du code de Sociétés Commerciales, a révélé toutes les infractions relevées, au procureur de la république.

« Toutes les lignes rouges ont été franchies : moralité, contrôle, gouvernance. »

 

La lumière sur ce volet devrait être faite par l’expertise judiciaire en cours. Le juge d’instruction a préféré attendre les résultats de cette expertise avant de déterminer les responsabilités des uns et des autres, sachant que le Conseil du Marché Financier (CMF) a ouvert une enquête sur la TSI au mois d’avril 2025, un peu tard, estiment les observateurs.

 L’éthique au cœur du métier

Pouvons-nous espérer une éthique dans le milieu financier où le gain revêt une dimension presque divine ? Le scandale de la TSI met en lumière un principe fondamental trop souvent négligé : un intermédiaire en Bourse n’est pas un simple vecteur de transaction, mais un acteur éthique de la transparence et de la stabilité des marchés.

« Un intermédiaire en Bourse n’est pas un simple vecteur de transaction, c’est un pilier de la confiance. »

 

Quand la morale est absente, les dégâts deviennent systémiques.  Dans cette affaire, toutes les lignes rouges ont été franchies : la moralité du dirigeant, l’intégrité des contrôles, la vigilance du conseil, et la responsabilité des souscripteurs. Il ne s’agit pas seulement d’une défaillance technique, mais d’un effondrement éthique, dont les conséquences sont aujourd’hui évaluées à plus de 250 millions de dinars envolés.

Cette affaire pose une question brûlante : Comment garantir que les intermédiaires en Bourse en Tunisie soient éthiques, compétents et rigoureusement contrôlés ? Là où la finance oublie l’éthique, c’est toute l’économie qui finit par vaciller, en sommes-nous conscients ?

Amel Belhadj Ali

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Gestern — 11. Juli 2025Haupt-Feeds

Allemagne : hausse de 2,4 % des faillites d’entreprises en juin

11. Juli 2025 um 15:19

Le nombre de faillites d’entreprises allemandes enregistrées en juin a augmenté de 2,4 % par rapport à la même période de 2024. C’est ce que révèlent les chiffres préliminaires publiés vendredi 11 juillet par l’Office fédéral de la statistique (Destatis).

Parallèlement, les chiffres définitifs d’avril ont montré que le nombre de faillites enregistrées ce mois-là a augmenté de 11,5 % par rapport à avril 2023.

Malgré cette augmentation du nombre de cas, l’impact financier a été moins sévère que lors des mois précédents.

Cette tendance à la hausse des insolvabilités accentue la pression sur le gouvernement nouvellement formé en Allemagne pour qu’il mette en œuvre des mesures visant à revitaliser la croissance économique dans la plus grande économie d’Europe.

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ZOOM – Tempêtes géopolitiques – Les entreprises tunisiennes à l’épreuve d’un monde fracturé

11. Juli 2025 um 06:00

Guerre économique, cyberattaques, criminalité organisée, intelligence artificielle incontrôlée, changement climatique : la géopolitique s’invite brutalement dans les stratégies d’entreprise. Pour les entreprises tunisiennes, souvent tournées vers les marchés extérieurs et déjà fragilisées par une conjoncture interne incertaine, il ne s’agit plus seulement de survivre, mais de se réinventer face à une mutation globale des risques.

 

Longtemps perçus comme lointains, les risques géopolitiques sont désormais omniprésents dans le quotidien des entreprises. La guerre en Ukraine, au Moyen Orient, les tensions commerciales sino-américaines, la militarisation croissante des économies, les pénuries de matières premières, les attaques contre les infrastructures numériques ou encore les dérèglements climatiques bouleversent la stabilité des marchés.

Pour la Tunisie, fortement insérée dans les chaînes de valeur mondiales, ces secousses globales ont des répercussions immédiates : hausses de coûts, incertitudes sur les approvisionnements, blocages logistiques, ralentissement des exportations. Le contexte mondial, plus imprévisible que jamais, rend caduques les anciennes certitudes économiques. Les entreprises tunisiennes ne peuvent plus piloter à vue : elles doivent intégrer cette instabilité comme une composante durable de leur environnement.

 

« Pour la Tunisie, fortement insérée dans les chaînes de valeur mondiales, ces secousses globales ont des répercussions immédiates : hausses de coûts, incertitudes sur les approvisionnements, blocages logistiques, ralentissement des exportations ».

 

Criminalité transnationale et cybermenaces : un péril invisible mais ravageur

La montée en puissance de la criminalité organisée et des cyberattaques reconfigure les rapports de force économiques. Le blanchiment d’argent, estimé à des milliers de milliards d’euros circulant hors radar, contamine les circuits économiques traditionnels. En Tunisie, où les mécanismes de contrôle restent limités, les entreprises, notamment les PME, sont particulièrement vulnérables à ces phénomènes.

Les vols de données, les rançongiciels et les intrusions numériques ciblent les entreprises les plus exposées, souvent peu protégées faute de moyens techniques ou de culture du risque. Ces agressions numériques ne sont pas seulement des incidents techniques ; elles peuvent paralyser l’activité, ternir la réputation et affaiblir la compétitivité à long terme. Dans ce contexte, la cybersécurité n’est plus un luxe mais un impératif stratégique.

 

Intelligence artificielle : arme à double tranchant

L’irruption de l’intelligence artificielle bouleverse les modèles économiques et les rapports de production. Si elle ouvre des perspectives en matière d’automatisation, de productivité et de relocalisation industrielle, elle génère aussi de nouveaux risques, notamment dans le domaine cyber et informationnel.

En Tunisie, le débat est encore balbutiant. Le tissu entrepreneurial n’est pas préparé aux enjeux éthiques, techniques et réglementaires que pose l’IA. Le manque de formation, l’absence d’une stratégie nationale de souveraineté numérique et la forte dépendance aux technologies étrangères empêchent d’exploiter ce levier de transformation dans des conditions maîtrisées. Sans un cadre de régulation proactif et un effort massif de montée en compétence, l’IA risque de devenir un facteur de déséquilibre plutôt qu’un levier de résilience.

 

« En Tunisie, le débat est encore balbutiant. Le tissu entrepreneurial n’est pas préparé aux enjeux éthiques, techniques et réglementaires que pose l’IA. Le manque de formation, l’absence d’une stratégie nationale de souveraineté numérique et la forte dépendance aux technologies étrangères empêchent d’exploiter ce levier de transformation dans des conditions maîtrisées ».

 

Le changement climatique, un facteur déstabilisant global

Le climat s’impose désormais comme un facteur de risque systémique pour l’entreprise. La montée des températures, la raréfaction de l’eau, la dégradation des sols et la multiplication des événements extrêmes désorganisent les chaînes de production, en particulier dans des secteurs vitaux comme l’agriculture, le textile ou le tourisme, piliers de l’économie tunisienne.

Plus qu’un enjeu environnemental, il s’agit d’un enjeu économique majeur. Le coût de l’inaction climatique pourrait se révéler supérieur à celui de l’adaptation. Pourtant, nombre d’entreprises tunisiennes continuent d’opérer sans plan de transition écologique ni gestion anticipée des risques liés au climat. L’intégration des critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) reste marginale alors qu’elle devient incontournable pour accéder aux financements internationaux ou aux marchés européens.

Vers une souveraineté économique à reconstruire ?

L’un des messages forts des colloques à venir est la nécessité pour les entreprises de se repositionner dans un monde fragmenté. La dépendance excessive aux fournisseurs chinois, notamment en matière de technologies ou d’équipements industriels, expose les économies à des vulnérabilités critiques. Pour la Tunisie, c’est un signal d’alerte.

Le moment n’est-il pas venu de réfléchir à une stratégie de relocalisation industrielle ciblée, capable de renforcer les maillons faibles des chaînes de valeur, de créer des emplois qualifiés et de réduire la dépendance stratégique ?

Une telle ambition ne nécessite-t-elle pas une coordination étroite entre les acteurs publics et privés, un investissement massif dans l’innovation locale et une volonté politique claire pour bâtir un tissu productif véritablement souverain ?

Décentraliser, anticiper, s’armer intellectuellement

Face à la complexité croissante du monde, un changement de paradigme s’impose dans la gouvernance des entreprises. Partout ailleurs, les groupes qui recentrent leurs activités sur des marchés dominants tout en décentralisant leur gouvernance démontrent que l’agilité stratégique constitue désormais un levier essentiel de résilience.

Pour les entreprises tunisiennes, cela implique de sortir d’une culture décisionnelle rigide et centralisée, d’investir dans l’intelligence économique, de doter les comités de direction d’une lecture géopolitique de leur environnement et d’internaliser les capacités d’analyse du risque. L’entreprise de demain sera celle qui saura penser à long terme, anticiper les ruptures et agir avec discernement dans un univers instable.

 

« Face à la complexité croissante du monde, un changement de paradigme s’impose dans la gouvernance des entreprises. Partout ailleurs, les groupes qui recentrent leurs activités sur des marchés dominants tout en décentralisant leur gouvernance démontrent que l’agilité stratégique constitue désormais un levier essentiel de résilience ».

 

L’entreprise, acteur géopolitique

La mutation actuelle du capitalisme social responsable mondial fait émerger une nouvelle figure de l’entreprise : non plus simple opérateur économique, mais acteur stratégique de la souveraineté et de la sécurité. En Tunisie, ce tournant reste à opérer. Les entreprises ne peuvent plus attendre que l’État les protège seules. Elles doivent intégrer la géopolitique à leurs réflexions stratégiques, investir dans leur propre résilience, et construire les alliances nécessaires pour affronter ce siècle incertain.

Dans cette nouvelle ère de conflits diffus et d’instabilités systémiques, il ne suffit plus d’innover. Il faut désormais anticiper, protéger et décider en toute conscience d’un monde devenu, pour longtemps, imprévisible.

 

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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Ooredoo Tunisie donne le rythme et annonce son partenariat officiel avec le Festival International de Carthage pour la quatrième année consécutive

10. Juli 2025 um 14:20

Ooredoo Tunisie, leader des télécommunications et fervent défenseur de la culture tunisienne, a annoncé aujourd’hui le renouvellement de son partenariat en tant que sponsor officiel du prestigieux Festival International de Carthage. Pour la quatrième année d’affilée, Ooredoo s’associe à l’événement culturel le plus attendu du pays, consolidant ainsi son rôle de promoteur clé des arts et du patrimoine.

Cette année, le partenariat s’inscrit parfaitement dans la dynamique de la campagne estivale de l’opérateur. L’invitation est ainsi lancée à tous les Tunisiens pour activi sifek en musique, s’imprégner de la magie des soirées de Carthage et partager les émotions inoubliables des concerts live. La 59ème édition du festival, qui se tiendra du 19 juillet au 21 août 2025, promet une programmation riche et diversifiée qui fait écho à l’engagement de Ooredoo de connecter les gens à leurs passions.

« Notre partenariat avec le Festival International de Carthage est plus qu’un simple sponsoring; il fait partie de notre identité et de notre engagement indéfectible envers la richesse de la culture tunisienne », a déclaré M. Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie. « Chez Ooredoo, nous aspirons à être au cœur des moments qui rassemblent les Tunisiens, et le festival de Carthage en est l’occasion par excellence. Nous invitons tout le monde à profiter de la programmation exceptionnelle de cette année.»

L’affiche de 2025 présente une pléiade de stars locales, régionales et internationales, promettant de satisfaire tous les goûts musicaux. Ooredoo est particulièrement enthousiaste à l’idée de contribuer à la tenue des spectacles les plus attendus sur la scène légendaire de l’amphithéâtre romain, qui accueillera notamment la star syrienne sensationnelle Nassif Zaitoun, l’icône de la chanson libanaise Najwa Karam, la star tant aimée Nancy Ajram, ainsi que l’artiste de renommée mondiale Saint Levant parmi bien d’autres grands noms qui enchanteront la scène de Carthage.

Le soutien de Ooredoo au Festival International de Carthage témoigne de sa conviction profonde dans le pouvoir de la culture pour inspirer et unir les communautés. Tout au long du festival, Ooredoo sera présent avec diverses animations et initiatives pour enrichir l’expérience des festivaliers, leur permettant ainsi d’activer pleinement leur été et de créer des souvenirs mémorables.

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Tunisie : La SIAME sous contrôle judiciaire, mais autorisée à poursuivre ses activités

09. Juli 2025 um 15:09

La Société Industrielle d’Appareillage et de Matériels Electriques SIAME, informe ses actionnaires et le public, qu’en date du 16 Juin, 2025 Monsieur le Juge d’Instruction a ordonné le placement d’un certain nombre de sociétés dont la SIAME sous contrôle judiciaire et que par ordonnance émanant du Tribunal de première de Tunis en date du 16 Juin 2025, il a été décidé la désignation de 3 mandataires de justice à savoir :

– Madame Nour El Houda ABBASSI
– Monsieur Mondher HAMDI
– Monsieur Bilel ERRAHMOUNI

Les mandataires de justice seront chargés de :

– La tenue d’un registre numéroté et signé par le juge contrôleur, dans lequel sont consignées toutes les opérations et actes relatifs à la procédure de contrôle judiciaire, depuis la date de sa prise en charge jusqu’à la fin de leur mission, ou à défaut, via tout autre support électronique.

– Présentation de ce registre au juge contrôleur mensuellement, ou à chaque fois que ce dernier le demande.

– Mise à la disposition des associés ou de toute partie justifiant d’un intérêt, ou de leur en remettre une copie des données qu’il contient, à condition qu’ils aient obtenu une autorisation préalable du juge contrôleur.

– Adresser au juge contrôleur des rapports trimestriels sur l’évolution de la procédure.

– Rédiger un rapport final à la fin de la mission, dans lequel ils dressent l’état de la situation au terme du contrôle judiciaire. Ce rapport doit obligatoirement comporter toutes les opérations de dépôts et de retraits effectuées par les mandataires durant l’exécution de leur mandat.

– Les mandataires de justice sont seuls habilités, à l’exclusion de toute autre personne, à convoquer, présider et superviser les réunions du conseil d’administration, les assemblées générales ordinaires, et, le cas échéant, les assemblées générales extraordinaires, conformément à la législation en vigueur. Ils doivent également transmettre au tribunal l’ordre du jour avant la tenue de ces réunions, en s’assurant qu’il ne comporte aucun point intitulé “questions diverses”, et en y joignant toutes les pièces justificatives afférentes aux points soumis à délibération.

– Transmettre au tribunal une copie des procès-verbaux de ces réunions, lesquels doivent être dûment motivés quant à l’ensemble des décisions prises, et accompagnés de rapports spécifiques.

Toutes ces démarches doivent être effectuées après obtention des autorisations judiciaires préalables. Les décisions prises par ces conseils ou assemblées ne produisent aucun effet tant qu’elles n’ont pas été approuvées par le tribunal.

– Tenir compte des actions cotées en bourse et les traiter conformément à la législation en vigueur, tout en respectant les impératifs de confidentialité.

– Vérification des pièces justificatives relatives aux opérations financières préparées par les services financiers, comptables ou des ressources humaines, telles que les ordres de virement, les bons de paiement ou tout autre document de règlement, quels qu’en soient la nature ou le montant, y compris ceux nécessitant une autorisation bancaire. Tous ces paiements ne peuvent être effectués que sur la base d’un ordre signé par les mandataires de justice.

– Tous les actes de gestion, les opérations juridiques, financières, commerciales ou autres documents nécessitant une signature ne seront valables que s’ils sont signés conjointement par les trois mandataires de justice. À défaut, ces actes sont réputés nuls et inopposables, y compris à l’égard des tiers nonobstant la bonne foi.

Soucieuse de préserver la continuité de ses activités et d’honorer ses engagements envers ses clients, fournisseurs, collaborateurs ainsi que l’ensemble de ses partenaires, la SIAME a introduit une requête auprès de Monsieur le Juge d’Instruction pour lever le gel sur les comptes de la SIAME.

En date du 27 Juin 2025, Monsieur le Juge d’Instruction a ordonné la levée du gel sur les comptes de la SIAME pour lui permettre de continuer son activité dans les conditions habituelles.

La société s’engage à tenir les actionnaires et le public régulièrement informés de toute évolution significative concernant ce dossier et susceptible d’avoir un impact sur l’activité de la société et sa gouvernance.

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L’ATB relance son offre « 100 Jours SAKAN » pour faciliter l’accès à la propriété

09. Juli 2025 um 12:45

Dans le cadre de son engagement à accompagner les Tunisiens dans leurs projets immobiliers, l’Arab Tunisian Bank (ATB) lance la 2ᵉ édition de son offre promotionnelle « 100 Jours SAKAN » qui se poursuit jusqu’au 26 septembre 2025. Cette campagne de financement immobilier propose des conditions avantageuses aux Tunisiens, qu’ils soient résidents en Tunisie ou à l’étranger.

L’offre « 100 Jours SAKAN » permet de financer différents types de projets, notamment :

  • L’achat d’un logement neuf ou ancien,
  • La construction ou l’achèvement d’un bien,
  • La rénovation ou l’agrandissement d’un logement.

Avec cette offre, l’ATB facilite l’accès au crédit immobilier grâce à une panoplie d’avantages exclusifs :

 Traitement accéléré des dossiers Étude de projet gratuite
Frais de dossier réduits voire offerts
Réduction sur la prime d’assurance vie
Taux d’intérêt bonifié
Durée de remboursement flexible

Afin d’accompagner les personnes souhaitant planifier leur projet, l’ATB met à leur disposition un simulateur de crédit en ligne, permettant d’obtenir une estimation rapide.

Elle les invite également à se rendre dans ses agences ATB pour bénéficier de conseils personnalisés et d’un accompagnement sur mesure.

Un engagement concret et durable

À travers cette opération, l’ATB réaffirme son engagement à soutenir les ménages tunisiens dans leurs projets immobiliers, en leur proposant des solutions concrètes, accessibles et sur mesure.

Pour plus d’informations, visitez notre site web www.atb.tn ou notre centre de relations client au 70 026 267.

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La BTE lance « NEO BTE », la 1ère plateforme bancaire en Tunisie 100% digitale au service d’une expérience client repensée

09. Juli 2025 um 10:31

Fidèle à sa stratégie de transformation digitale et d’innovation, la Banque de Tunisie et des Émirats (BTE) annonce le lancement de NEO BTE, sa nouvelle plateforme bancaire digitale, accessible sur web et sur application mobile (iOS et Android).

Cette solution vise à offrir à nos clients actuels et futurs, y compris les Tunisiens résidents à l’étranger, une expérience bancaire moderne, fluide et totalement sécurisée.

NEO BTE propose :

  • Une ouverture de compte bancaire 100% en ligne
  • La gestion complète des comptes à distance
  • La réalisation de virements et paiements simplifiés via BTEPay
  • L’accès aux informations sur crédits et placements, avec des outils interactifs
  • La gestion des cartes bancaires, chéquiers et opérations Wallet
  • La consultation en temps réel des taux de change
  • La géolocalisation des agences BTE avec possibilité de prise de rendez-vous

Avec une authentification renforcée et un système de notifications intelligentes, NEO BTE place la sécurité et la transparence au cœur de l’expérience bancaire, tout en répondant aux nouveaux usages digitaux des clients.

Mme Feriel Chabrak, Directrice Générale de la BTE, déclare :

« Avec NEO BTE, la BTE confirme son ambition d’être un acteur bancaire innovant, moderne et proche de ses clients, où qu’ils se trouvent. »

À travers cette nouvelle solution, la BTE affirme son engagement à démocratiser l’accès aux services financiers, en offrant une expérience client intuitive, performante et respectueuse des standards de conformité les plus stricts.

Téléchargez dès maintenant NEO BTE et vivez une nouvelle expérience bancaire !

https://www.ebanking.bte.tn/neobte/user/login

 

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Activi Sifek avec Shahry, la nouvelle offre postpayée 5G d’Ooredoo, pleine d’avantages exclusifs

08. Juli 2025 um 10:07

Cet été, Ooredoo fait monter la température avec Shahry, sa nouvelle offre post payée puissante conçue pour les Tunisiens en quête de plus de valeur, de flexibilité et de liberté et un large éventail de Forfait allant de 20DT a 265DT. Activi Sifek avec une expérience mobile qui répond à toutes les attentes.

Avec Shahry 55DT, les abonnés profitent chaque mois de 42 Go d’internet, 240 minutes d’appels et 200 SMS — une combinaison parfaite pour rester connecté.

Les amateurs de divertissement seront ravis de bénéficier de Shahid inclus gratuitement, leur donnant accès à une large sélection de films et séries à tout moment.

Reposant sur le réseau ultra-rapide 5G d’Ooredoo, cette offre garantit performance, rapidité et tranquillité d’esprit. Le hors forfait est plafonné à 55DT, et même après avoir consommé le volume mensuel, la navigation reste possible à un débit réduit de 1 Mbps.

Shahry 55DT permet également d’accéder aux dernières innovations en matière de smartphone. Les clients peuvent bénéficier de jusqu’à 495DT de remise sur un nouveau smartphone 5G, avec la possibilité de payer sur 36 mois sans aucun paiement initial à l’avance, quelle que soit leur banque.

Cet été, Ooredoo donne à ses clients les moyens de vivre chaque instant avec plus de rapidité, plus de maîtrise, et plus de valeur.

Avec Ooredoo, la liberté est entre vos mains. Activi Sifek avec Shahry.

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L’UBCI renouvelle son engagement aux côtés du Festival International de Hammamet

07. Juli 2025 um 11:30

Pour la deuxième année consécutive, l’UBCI réaffirme son engagement en faveur de la scène culturelle tunisienne en renouvelant son statut de Partenaire Officiel de la 59e édition du Festival International de Hammamet. Ce rendez-vous emblématique se tiendra du 11 juillet au 13 août 2025, dans le cadre unique du théâtre de plein air de Hammamet.

Ce partenariat stratégique ancre l’UBCI dans son rôle de partenaire privilégié de la scène culturelle tunisienne. En soutenant ce festival de référence, la banque réaffirme sa volonté de promouvoir les arts et de favoriser l’accès à une culture riche, inclusive et plurielle.

L’engagement de l’UBCI repose sur des valeurs fondamentales de partage, de diversité et de rayonnement. Le Festival International de Hammamet incarne pleinement cette ambition, en offrant une scène ouverte sur le monde, en résonance avec les expressions artistiques contemporaines.

La programmation 2025 promet d’être remarquable, réunissant des artistes de renom sur la scène tunisienne et internationale. Au programme de cette édition exceptionnelle figurent entre autres : le spectacle RAGOUJ, Yuri Buenaventura, Wael Jassar, Lotfi Bouchnak, Al Shami ou encore Saber Rebai, qui promettent des soirées inoubliables.

Ce partenariat scelle l’engagement de l’UBCI et du Festival International de Hammamet à célébrer ensemble un été d’exception, vibrant d’émotion, de découverte et d’excellence artistique.

 A propos de l’UBCI :

Née en 1961 l’UBCI dispose aujourd’hui d’un réseau d’une centaine d’Agences opérant au cœur même des principaux centres économiques de la Tunisie. L’UBCI offre une large gamme de produits et de services à l’attention de sa Clientèle de Particuliers et de Professionnels couvrant leurs différents univers de besoins en matière de banque au quotidien, de financement de projets, de bancassurance et de gestion patrimoniale. Au service également de ses clients Entreprises et Institutionnels, l’UBCI se démarque notamment par le biais de ses équipes spécialisées dans le domaine du cash management, des activités de marchés, de la banque d’affaires, du commerce international, de l’ingénierie financière et du leasing. L’UBCI est certifiée ISO 9001 pour ses activités à l’International depuis 2002 et pour ses activités monétiques depuis 2012. Une attention particulière est consacrée aux questions de Responsabilité Sociale et Environnementale et a été labélisée en 2022 « Engagée RSE » par FINOR Certification.

Pour plus d’information : www.ubci.tn

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PGH : Comment Poulina Group Holding prépare-t-il sa révolution industrielle verte ?

Von: hechmi
07. Juli 2025 um 10:42
Poulina PGH
iamge IA

Poulina Group Holding (PGH), pilier de l’économie tunisienne et troisième capitalisation boursière du pays, confirme en 2024 sa capacité d’adaptation dans un environnement encore incertain. Avec 3,4 milliards de dinars de revenus consolidés et une amélioration de sa rentabilité opérationnelle, le groupe prouve que sa stratégie de diversification sectorielle et de discipline financière reste gagnante.

PGH agit désormais comme un véritable fonds d’investissement structurant l’économie réelle. Son modèle hybride, entre holding défensif et moteur de croissance, se renforce avec des projets de grande envergure et une vision régionale affirmée.

Des résultats solides dans un contexte apaisé

Malgré un chiffre d’affaires en légère baisse (-0,9 %) sur l’année 2024, PGH a su tirer profit de la détente des prix des matières premières et de l’optimisation de ses charges pour améliorer significativement sa marge brute (+6,4 % à 1,3 milliard de dinars) et son EBITDA (+11,6 % à 612,4 MDt). La marge d’EBITDA atteint 17,8 %, au plus haut depuis la pandémie.

Le bénéfice net part du groupe progresse de 25 %, franchissant pour la première fois les 160 MDt. Cette performance repose aussi bien sur une activité d’exploitation mieux maîtrisée que sur des revenus financiers dynamiques et une baisse des charges d’endettement.

Une gestion financière rigoureuse

PGH poursuit son désendettement, ramenant son gearing à 128,6 % en 2024 (contre 147,4 % en 2023) tout en maintenant un volume élevé d’investissements (234 MDt en 2024). Le besoin en fonds de roulement s’est allégé à 918 MDt grâce à une gestion proactive des stocks et créances.

La valorisation boursière du groupe grimpe à 2,8 milliards de dinars, avec un P/E estimé à 15,7x en 2025 et un EV/EBITDA de 6,8x, jugé attractif par les analystes.

Cap sur la chimie et l’énergie verte

Le groupe a annoncé le lancement d’un nouveau pôle stratégique dans l’industrie chimique avec la création de POLYPHOS SA à Gabès, dédiée à la production de phosphate dicalcique. Ce projet de 240 MDt sur trois ans vise le marché de la nutrition humaine et animale ainsi que les usages pharmaceutiques.

Parallèlement, PGH accélère sur la transition énergétique : installations photovoltaïques, cogénération, audits carbone, adaptation à la future taxe carbone européenne… L’objectif est de produire 66,5 MWc d’ici 2030, contre 13 MWc en 2024.

SAH Lilas : une alliance stratégique en Afrique

Le fait majeur de l’année reste l’offre non engageante de PGH pour entrer à hauteur de 30 % dans le capital de SAH Lilas, à travers la société JM Holding. Si cette opération se concrétise, elle constituerait l’une des plus grandes fusions-acquisitions jamais réalisées sur la place de Tunis, pour un montant estimé à 300 MDt.

Cette alliance permettrait à PGH d’accéder à une plateforme de croissance rentable dans l’industrie des produits d’hygiène et cosmétiques, avec une forte présence en Afrique. PGH y gagnerait une extension de gamme complémentaire, tandis que SAH Lilas bénéficierait de la solidité financière et des méthodes éprouvées de gestion du holding.

Des perspectives prudentes mais favorables

Porté par la baisse annoncée des prix des matières premières et une demande locale soutenue, PGH prévoit une croissance modérée de son chiffre d’affaires (+3,5 % par an en moyenne jusqu’en 2027). Les marges devraient rester stables, tandis que les investissements annuels dépasseront les 300 MDt.

Le groupe s’impose ainsi comme un acteur central de la transformation industrielle tunisienne, tout en poursuivant une internationalisation maîtrisée. Pour les analystes, la recommandation reste inchangée : “Conserver avec perspective positive”.

(Source: Etude Tunisie-Valeurs)

En Bref

  • Résilience confirmée : EBITDA en hausse de 11,6 % malgré un chiffre d’affaires en léger recul.
  • Rentabilité record : bénéfice net à 162 MDt, une première historique pour le groupe.
  • Nouvelle industrie : lancement de POLYPHOS SA dans la chimie alimentaire à Gabès.
  • Rapprochement stratégique avec SAH Lilas pour un accès renforcé au marché africain.
  • Transition énergétique accélérée avec 66,5 MWc d’énergie solaire visés d’ici 2030.
  • Endettement en baisse : gearing réduit à 128,6 %, avec un BFR mieux maîtrisé.

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SAH Lilas : Une nouvelle ère s’ouvre pour le champion de l’hygiène

Von: hechmi
07. Juli 2025 um 07:38

Analyse FinancièreAprès un cycle d’investissements de 470 millions de dinars, le groupe SAH Lilas entame une phase de consolidation et de croissance, porté par ses nouvelles activités cosmétiques, une rentabilité en forte hausse et un potentiel adossement à Poulina Group Holding.

Fin des grands travaux, place aux résultats

Fondé en 1994, le groupe SAH Lilas s’est imposé comme un acteur incontournable dans les produits d’hygiène en Tunisie et en Afrique. L’année 2024 marque un tournant : après plusieurs années de lourds investissements, le groupe récolte les fruits de sa stratégie de diversification (cosmétiques, détergents, ouate de cellulose) et d’expansion régionale.

Le chiffre d’affaires consolidé atteint 977,3 MDt en 2024, en hausse de 9,2 %. Le lancement des cosmétiques a dépassé les attentes : 84,4 MDt de revenus en six mois, contre 50 MDt prévus. L’EBITDA grimpe de 32 % à 187,3 MDt, avec une marge de 19,2 %. Quant au résultat net part du groupe, il bondit de 73 % à 61,6 MDt, un record.

La cosmétique, nouveau moteur de croissance

La nouvelle filiale AZUR COSMÉTIQUE, entrée en production à l’été 2024, constitue le cheval de bataille stratégique du groupe. Dotée de 25 000 tonnes de capacité, elle propose déjà plus de 375 références, ciblant tous les segments : grand public, professionnel et export. Cette activité à forte marge renforce la rentabilité du groupe.

Le management table sur au moins 85 MDt de chiffre d’affaires en 2025 pour la cosmétique, avec un accent mis sur les marchés extérieurs.

Un groupe de plus en plus international

SAH Lilas réalise 36 % de son chiffre d’affaires à l’international (Libye, Algérie, Sénégal, Côte d’Ivoire…), avec une dynamique croissante. Une nouvelle filiale industrielle verra le jour en Mauritanie en 2025. Le groupe est également en discussion avancée avec Carrefour et Aldi pour référencer ses produits en France, sous marque propre et MDD.

L’Afrique subsaharienne, la région MENA et l’Europe deviennent des piliers de croissance dans un contexte où les matières premières se stabilisent.

Désendettement en vue, rentabilité confirmée

Le ratio d’endettement (gearing) s’établit à 121,7 %, soit 551 MDt de dette nette ajustée. Bien que conséquent, ce niveau est jugé maîtrisable grâce à l’amélioration des flux de trésorerie et à l’optimisation du besoin en fonds de roulement.

L’objectif pour 2025 ? Continuer à désendetter le bilan, tout en portant l’EBITDA à 210 MDt (+12 %) et le résultat net à 83,4 MDt (+35 %). La marge nette visée avoisine 9 %.

Vers un mariage stratégique avec PGH ?

L’annonce d’une prise de participation de 30 % par Poulina Group Holding dans le capital de SAH Lilas agite la Bourse de Tunis. Un adossement stratégique permettrait à SAH de bénéficier du modèle de gestion structuré de PGH, tout en générant des synergies sur les achats, l’emballage ou encore la distribution.

Ce rapprochement est vu comme un catalyseur majeur pour l’avenir du groupe, tant sur le plan boursier que stratégique.

Un titre encore sous-valorisé ?

Malgré sa performance, SAH Lilas se traite à 12,8 fois ses bénéfices et à 8 fois son EBITDA estimé 2025, des niveaux jugés attractifs face à ses comparables internationaux (P&G, Unilever…). Tunisie Valeurs recommande à nouveau l’achat du titre.

Avec une capitalisation de 1,1 milliard de dinars et une stratégie de croissance maîtrisée, le groupe coche toutes les cases d’un leader régional à fort potentiel international.

(Source : Etude Tunisie-Valeurs)

EN BREF : CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Croissance rentable : +73 % de résultat net en 2024, un record historique pour SAH Lilas.
  • Cosmétiques : pari gagnant : 84,4 MDt en 6 mois, bien au-delà des prévisions.
  • Expansion africaine : ouverture d’une nouvelle filiale en Mauritanie et percée en France.
  • Vers un adossement stratégique ? Poulina Group Holding pourrait entrer au capital à hauteur de 30 %.
  • Un titre encore sous-valorisé : SAH se traite à 8 x l’EBITDA et 12,8 x les bénéfices estimés 2025.
  • Vision durable : énergie, recyclage, réduction de l’eau : la stratégie RSE se renforce.

 

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Perturbations sur les vols de Tunisair : Limogeage du PDG et nouvelles nominations

Von: hechmi
05. Juli 2025 um 22:27

TunisairLe ministère tunisien des Transports a annoncé des changements majeurs au sein de la direction de la compagnie aérienne nationale Tunisair. Ces décisions interviennent face à une situation jugée “préoccupante” et des perturbations de vols qui ont engendré un mécontentement croissant chez les passagers. L’objectif est de mettre fin aux dysfonctionnements et d’assurer la bonne marche de l’entreprise.

Limogeage et nouvelles nominations

Habib Mekki, représentant de l’État au conseil d’administration et président de Tunisair, a été limogé. Pour le remplacer, Tarek Bouazizi, conseiller des services publics, a été nommé administrateur représentant le ministère du Transport. En parallèle, Issam Hammam, ingénieur en aéronautique, se voit confier la supervision de la direction générale de Tunisair Technics, en plus de ses fonctions actuelles. Un conseil d’administration sera convoqué très prochainement pour élire un nouveau président, dans l’optique d’assurer la continuité et la stabilité de la gestion.

Mesures pour la satisfaction des passagers et la lutte contre la corruption

Le ministère a également réagi aux perturbations de vols en adressant une mise en garde ferme aux chefs d’escale et représentants de Tunisair à l’étranger. Ces derniers sont sommés d’assurer leur devoir d’assistance auprès des passagers dans tous les aéroports affectés.

Des sanctions sont prévues contre les responsables ayant failli à leurs obligations, avec la promesse de les remplacer par des personnes compétentes dédiées au service des citoyens et à la pérennité de la compagnie. Enfin, le ministère a réaffirmé son engagement à suivre de près les dossiers de corruption financière et administrative qui ont contribué à la dégradation de la situation actuelle de Tunisair. Ces actions visent à restaurer la confiance et à garantir l’efficacité opérationnelle de la compagnie aérienne nationale.

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Pourquoi la prise de contrôle de SAH Lilas par PGH pourrait transformer le secteur de l’hygiène en Tunisie ?

Von: hechmi
05. Juli 2025 um 19:27

SAH LILASLe paysage de l’industrie des articles hygiéniques en Tunisie connaît une profonde mutation avec la montée en puissance de la Société d’Articles Hygiéniques (SAH Lilas) et, plus récemment, son intégration partielle au sein de Poulina Group Holding (PGH). Après une année 2024 marquée par une forte reprise de son chiffre d’affaires consolidé (+ 9,5 %) et une amélioration significative de ses marges, SAH avait déjà fait la preuve de sa capacité à générer des flux de trésorerie opérationnels robustes et à financer une partie de ses investissements.

Sur le plan local, la filiale SAH Tunisie a toutefois vu son chiffre d’affaires reculer de près de 5 % en 2024, victime d’un contexte économique tendu et de blocages à l’export. En contrepartie, la diversification géographique (Libye, Algérie) et la montée en puissance de sa nouvelle ligne cosmétique ont permis de soutenir la croissance consolidée du groupe. Parallèlement, l’endettement net, bien que encore présent, a vu son ratio Net Debt/Fonds Propres se redresser à environ 0,62, offrant une marge de manœuvre financière plus confortable.

L’annonce du 4 juillet 2025 a jeté un nouvel éclairage sur l’avenir de SAH Lilas : PGH a finalisé la prise de participation de 45,48 % dans JM Holding, principal actionnaire de SAH, à un prix indexé sur un cours de 12 DT l’action. Cette opération, qui prendra effet officiellement le 7 juillet, porte la participation indirecte de PGH à près de 30 % du capital de SAH. Au-delà de la dimension financière, c’est tout un potentiel de synergies qui s’ouvre : mutualisation des achats de matières premières, intégration logistique dans les réseaux de distribution POULINA, renforcement des équipes marketing et R&D, et accès à des financements à des conditions privilégiées.

Pour PGH, dont le cœur de métier reste la volaille et les activités agro-alimentaires, l’acquisition de SAH renforce son positionnement de conglomérat diversifié. Elle permet de compléter son portefeuille par une ligne « hygiène » à forte croissance, tout en profitant de son expertise en ingénierie financière pour optimiser la structure de capital et la gouvernance de SAH. Les investisseurs, jusqu’alors prudents face à la volatilité du titre et au levier financier, disposent désormais d’un plancher de valorisation à 12 DT et d’une feuille de route plus lisible.

À court terme, l’attention se portera sur la première communication post-acquisition : publication des résultats semestriels, impact des synergies sur les marges, évolution du BFR et politique de dividende. À moyen terme, c’est la capacité de SAH sous l’égide de PGH à conquérir de nouveaux marchés africains et à développer des gammes à valeur ajoutée qui dessine les perspectives d’un titre autrement plus attractif.

En somme, SAH Lilas entame une nouvelle phase de son histoire, portée par la puissance industrielle et financière de Poulina Group Holding. Pour les observateurs et les actionnaires, le défi désormais est de transformer ce potentiel en croissance pérenne et en création de valeur tangible.

Les Chiffres

  • PGH Capitalisation boursière au 30.06.2025 : 2,8 milliards de dinars
  • PGH cours de l’action – Clôture 30.06.2025 : 15,480 DT
  • Participation indirecte dont SAH : 30% (L’un des deux principaux actionnaires)
  • SAH Capitalisation boursière au 30.06.2025 : 1,08 milliard de dinars
  • Cours de l’action au 30.06.2025 : 12,650 DT

 

 

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Poulina Group Holding prend le contrôle de SAH Lilas : une opération stratégique pour le secteur de l’hygiène en Tunisie

Von: hechmi
04. Juli 2025 um 20:14

Tunis, le 4 juillet 2025 – Poulina Group Holding (PGH) vient de concrétiser une acquisition stratégique qui reconfigure le paysage de l’industrie des articles hygiéniques en Tunisie. Le géant tunisien a annoncé avoir finalisé la prise de participation de 45,48 % du capital de JM Holding, actionnaire principal de la Société d’Articles Hygiéniques (SAH), détenant 65,73 % de cette dernière. Cette opération, auparavant détenue par Olea Holding, marque un jalon significatif dans l’expansion de PGH.

La transaction a été orchestrée entre Partner Investment, une filiale de PGH, et Olea Holding Limited. Elle fait suite à la pleine conformité de toutes les conditions préalables, incluant les validations institutionnelles indispensables, la finalisation rigoureuse des audits financiers, la signature de l’ensemble des documents contractuels requis et l’obtention de toutes les autorisations réglementaires nécessaires.

Le prix d’acquisition par action de JM Holding a été indexé sur un cours de l’action SAH fixé à 12 dinars tunisiens (DT). La finalisation officielle de cette transaction d’envergure est prévue pour le 7 juillet 2025, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère pour SAH sous l’égide de Poulina Group Holding.

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BIAT : Une garantie de 50 millions de dollars afin de soutenir le commerce extérieur

Von: hechmi
03. Juli 2025 um 19:03

BIATLa Banque Internationale Arabe de Tunisie (BIAT) a obtenu une garantie de transaction de 50 millions de dollars de la part de la Banque Africaine de Développement (BAD), dans le cadre d’un partenariat visant à appuyer les entreprises tunisiennes opérant à l’international.

Cette ligne de garantie permettra à la BIAT de renforcer ses relations avec les banques correspondantes étrangères et d’élargir ses capacités en matière de financement du commerce extérieur (Trade Finance). Les secteurs ciblés comprennent l’agro-industrie, l’industrie légère, les télécommunications ou encore les énergies renouvelables, avec un accent mis sur les importations de biens d’équipement et de technologies.

Selon le communiqué de la BIAT, cette opération vise à améliorer l’accès des entreprises tunisiennes, notamment les PME et celles dirigées par des femmes, à des solutions de financement international jugées plus sécurisées et mieux adaptées aux exigences de leurs activités à l’étranger.

La banque présente cette initiative comme une composante de sa stratégie de développement du commerce extérieur. Elle affirme vouloir se positionner comme un intermédiaire de confiance auprès des opérateurs tunisiens engagés dans des démarches d’internationalisation.

Avec un réseau de 206 agences en Tunisie et plus de 2 400 employés, la BIAT se place parmi les principales institutions bancaires du pays. Elle dispose également de filiales dans les domaines de l’assurance, de la gestion d’actifs et du capital-investissement.

Ce partenariat avec la BAD s’inscrit dans une dynamique plus large d’appui aux entreprises tunisiennes dans un contexte de relance économique et d’ouverture vers les marchés africains et internationaux.

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Exportation des PME en Tunisie : 60% pointent la saturation des marchés et la concurrence comme principaux obstacles

03. Juli 2025 um 16:02

En Tunisie, 60% des PME sondées ont affirmé qu’une concurrence accrue et la saturation des marchés représentent une de leurs principales préoccupations au moment de l’exportation, c’est ce qui ressort des résultats d’une enquête réalisée par la Banque européenne d’investissement (BEI) sur les défis des PME en Tunisie en 2025 publiée, jeudi.

Selon cette enquête réalisée dans le cadre du “Trade and Competitivenes Programme”(TCP) cofinancé par l’Union Européenne(UE), montre que près de la moitié des PME déplore un manque de financement limitant leur capacité à investir à l’international et que plus d’1 PME sur 10 n’arrive pas à franchir le cap de l’exportation.

En fait, l’étude, menée auprès de 150 dirigeants de PME tunisiennes opérant dans les chaînes de valeur exportatrices du pays, notamment l’agro-industrie, le textile et l’automobile, dresse le portrait d’un tissu entrepreneurial à la fois combatif et contraint, qui cherche à se projeter à l’international malgré un environnement particulièrement compétitif.

Les PME, essentielles pour l’économie tunisienne et représentant près de 97% du tissu productif national, incarnent une volonté d’ouverture mais butent encore sur des réalités structurelles et conjoncturelles qui freinent leur essor.

« Si l’accès au financement et le manque de capital propre restent des préoccupations centrales pour les chefs d’entreprise interrogés, c’est la concurrence accrue et la saturation de certains marchés qui apparaissent comme les obstacles les plus difficiles à surmonter »a indiqué l’enquête.

Sur des marchés saturés, la compétitivité devient un facteur différentiel

Dans un contexte mondial où les marchés sont de plus en plus saturés par l’affluence de divers produits et services, un quart des dirigeants de PME identifient la concurrence accrue comme leur principale difficulté à croître, devant le manque de capital (17 %).

« Mais c’est à l’international que leur compétitivité est encore plus mise à l’épreuve : 6 PME sur 10 estiment que la saturation des marchés étrangers et l’intensité concurrentielle limitent fortement leur développement » a souligné l’enquête BEI.

Face à ce constat, le TCP mise sur le renforcement de la compétitivité en proposant des formations techniques ciblées, autour de sujets stratégiques comme les règles d’origine, ou encore la décarbonation, afin de positionner les PME tunisiennes comme des entreprises compétitives sur les marchés européens.

« Ce dont nous avons besoin, ce sont des idées audacieuses, des formations ciblées et un accompagnement structuré pour franchir les barrières à l’export. C’est ainsi que nos PME pourront renforcer leur compétitivité et s’imposer durablement sur les marchés internationaux», témoigne un chef d’entreprise tunisien interrogé lors de l’enquête.

Selon les résultats de l’enquête, 48 % des dirigeants interrogés évoquent que le manque de financement est un frein principal à toute velléité d’internationalisation.

Malgré le fait que 88% des PME exportent déjà, seulement la moitié le fait de manière régulière, tandis que 1 PME sur 10 reste entièrement absente des circuits d’exportation, faute de moyens pour investir dans l’innovation, la mise aux normes, ou la prospection commerciale.

Des freins structurels à l’exportation

Des freins structurels à l’exportation même pour les PME qui ont déjà engagé une stratégie exportatrice, les freins logistiques et commerciaux restent redoutables. 62 % des dirigeants sondés ont dénoncé des coûts logistiques, douaniers et de conformité prohibitifs, tandis que 44% ont évoqué la difficulté à identifier des partenaires commerciaux à l’étranger.

« Ces contraintes techniques et relationnelles entravent l’intégration dans les chaînes de valeur internationales, pourtant essentielle pour assurer une croissance pérenne à l’export »a dévoilé l’enquête.

Baptisé le «Trade and Competitivenes programme», ce dispositif met en œuvre des solutions concrètes en partenariat avec les banques tunisiennes. Il facilite l’accès au crédit via des lignes de financement dédiées aux PME, allégées en garanties, et orientées vers des projets structurants. Ces instruments visent à libérer la capacité d’investissement des entreprises et à leur permettre de franchir le cap de l’international avec des bases solides.

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Bayer, Corteva, Syngenta et BASF : Un monopole croissant sur l’agriculture mondiale, selon une étude

03. Juli 2025 um 12:03

Quatre entreprises internationales dominent les secteurs clés de l’agroalimentaire, des semences et des pesticides.

Il s’agit de Bayer, Corteva, Syngenta et BASF qui contrôlent 56 % du marché mondial des semences commerciales et 61 % du marché des pesticides, révèle une recherche actualisée, co-publiée par le collectif international de recherche ETCGROUP avec GRAIN, ONG internationale qui soutient les petits agriculteurs et les mouvements sociaux dans leurs luttes pour des systèmes alimentaires communautaires et fondés sur la biodiversité.

Selon cette recherche menée par le groupe d’action en faveur de la justice sociale et environnementale, des droits humains et de la défense de systèmes agroalimentaires justes et écologiques, les géants de l’agroalimentaire ont exploité des crises comme la guerre en Ukraine et la pandémie de COVID-19 pour gonfler les prix.

Les fabricants d’engrais, par exemple, ont vu leurs revenus bondir de 57 % entre 2020 et 2023, certains étant accusés de pratiques abusives, a encore fait valoir l’étude de 26 pages, consultable sur le lien suivant : https://www.etcgroup.org/sites/www.etcgroup.org/files/files/top_10_agribusiness_giants.pdf

D’après ce document, les entreprises intègrent rapidement l’Intelligence Artificielle (IA), l’édition génétique et les plateformes numériques à l’agriculture grâce à des partenariats avec les géants de la technologie. « Ces technologies permettent d’extraire des données auprès des agriculteurs, de faciliter les systèmes de crédits carbone et de renforcer le contrôle des systèmes alimentaires, tout en suscitant des inquiétudes quant à la biosécurité, à la confidentialité et aux monopoles d’entreprise », préviennent les chercheurs.

« Aujourd’hui, une poignée d’entreprises agroalimentaires ont consolidé un contrôle sans précédent sur l’approvisionnement alimentaire mondial, avec des conséquences dévastatrices pour les agriculteurs, les consommateurs et la planète », lit-on sur le site du groupe ETC.

La recherche rendue publique le 13 juin 2025, révèle l’ampleur de ce contrôle et montre l’état de concentration des entreprises dans six secteurs essentiels à l’agriculture : les semences commerciales, les pesticides, les engrais de synthèse, les machines agricoles, les produits pharmaceutiques vétérinaires et la génétique animale.

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City Cars – Kia accompagne la Protection Civile de Tunis et de Sfax dans la formation aux véhicules électriques

03. Juli 2025 um 11:33

Dans le cadre de son engagement continu en faveur de la mobilité durable et de la transition énergétique, City Cars – Kia Tunisie a apporté son soutien à la protection civile lors de deux formations dédiées aux véhicules électriques : les 23 et 24 juin à Tunis, puis le 1er juillet à Sfax.

Ces initiatives visent à accompagner les institutions publiques dans leur adaptation aux nouvelles technologies de mobilité. Grâce à l’appui de City Cars – Kia, les équipes de la
Protection Civile ont pu se familiariser avec le fonctionnement d’un véhicule 100 % électrique, découvrir les bonnes pratiques d’utilisation et maîtriser les mesures de sécurité essentielles en cas d’intervention.

Cette action s’inscrit dans la continuité des initiatives entreprises par City Cars – Kia pour promouvoir l’électromobilité. En 2024, un workshop exclusif EV a également été organisé au sein de l’atelier dédié aux véhicules électriques, situé au siège de City Cars, réunissant des experts du secteur automobile autour des enjeux liés à la mobilité électrique.

Au-delà de la sensibilisation, City Cars – Kia agit concrètement pour soutenir l’écosystème de l’électromobilité. L’entreprise a déjà installé des bornes de recharge rapide de 60 kW au siège d’El Kram, ainsi que dans ses agences certifiées EV de Sfax, Sousse et Monastir. De nouvelles installations sont également prévues très prochainement dans les agences de Gabès, Gafsa et Djerba, renforçant ainsi l’accessibilité à l’électrique sur l’ensemble du territoire.

Par ces actions, City Cars – Kia confirme sa position d’acteur clé dans le développement de la mobilité électrique en Tunisie, en conjuguant accompagnement, formation et infrastructures, pour un avenir plus durable et plus responsable.

www.kia.tn

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