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Gestern — 30. Juli 2025Haupt-Feeds

Brahim Ammar, nouveau DG de BH Leasing

30. Juli 2025 um 18:22

Le conseil d’administration de BH Leasing, réuni le 22 juillet, annonce la nomination de Brahim Ammar comme nouveau DG de la compagnie, et ce à partir du 28 courant.

Brahim Ammar est diplômé en gestion bancaire de la Faculté des sciences économiques de Sousse, d’un master en technique bancaire, d’un MBA en Risk Management et d’un MBA en services financiers de l’Université de Montréal au Canada.

Le conseil a également décidé de nommer Mohamed Mabrouk au poste de président du conseil d’administration, alors que Thouraya Mzoughi El Ayed occupera le poste de DGA.

Bon vent à tous.

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« Automotive Smart City » : Fatma Thabet appelle à une synergie nationale

30. Juli 2025 um 18:23

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a souligné, mercredi 30 juillet, l’impératif de conjuguer les efforts et de renforcer la coordination entre toutes les parties prenantes afin de concrétiser le projet stratégique « Automotive Smart City », porté par une demande croissante d’investissements dans la filière des composants automobiles.

La ministre s’exprimait ainsi lors de la troisième réunion du groupe de travail chargé du suivi du projet. A cette occasion, a rappelé que cette initiative s’inscrit pleinement dans les grandes orientations de la Stratégie Industrielle et de l’Innovation – SII -, ainsi que dans le cadre du Pacte pour la Compétitivité de l’Industrie Automobile, à l’horizon 2027.

Elle a précisé que ce projet vise à positionner durablement la Tunisie comme une plateforme régionale de référence dans la fabrication de composants automobiles, ouvrant ainsi la voie à une augmentation significative des exportations nationales.

Actuellement, la filière regroupe près de 300 entreprises, génère plus de 120 000 emplois, avec une production évaluée à 8 milliards de dinars et des exportations dépassant les 7,5 milliards de dinars.

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Le Maroc investit 6 milliards de dollars dans de nouveaux projets pétroliers et gaziers

30. Juli 2025 um 16:46

Le Maroc se prépare à mettre en œuvre un plan d’expansion pétrolière et gazière de 6 milliards de dollars. C’est ce qu’indique un rapport d’OG Analysis publié le 30 juillet. Il s’intitule : « Une analyse stratégique du marché marocain du pétrole et du gaz jusqu’en 2032 ».

Il est précisé que ce plan vise à développer les infrastructures de gaz naturel liquéfié, les réseaux de pipelines et les réservoirs de stockage. Soutenant ainsi la croissance industrielle et réduisant la dépendance du Maroc aux importations de combustibles fossiles.

Le rapport montre que le Maroc se concentre sur le renforcement de ses capacités d’exploration et de production dans des zones telles que Guercif et les zones offshore. Et ce, avec la participation d’entreprises internationales telles que Sound Energy et Chariot Oil & Gas, selon le site marocain Al Oumk.

OG Analysis a également souligné les efforts visant à moderniser la raffinerie de Mohammedia pour lui permettre de traiter une variété de pétroles bruts. Et ce, en réponse à la demande locale croissante de produits pétroliers.

Outre l’intégration des sources d’énergie renouvelables dans les politiques environnementales nationales pour atteindre les objectifs de neutralité carbone, de nouvelles réserves d’hélium ont été découvertes dans la région de Guercif, élargissant la base de ressources naturelles du pays.

La même source relève que les réformes structurelles et les incitations juridiques ont contribué de manière significative à améliorer le climat d’investissement. Tandis que les projets d’infrastructures dans les ports de Jorf Lasfar et de Mohammedia renforcent la position du Maroc en tant que plaque tournante régionale pour le commerce de l’énergie.

Par ailleurs, la ministre marocaine de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, a déclaré que les projets d’interconnexion énergétique entre le Maroc, les pays d’Afrique de l’Ouest et l’Europe nécessitent des investissements dépassant 25 milliards de dollars, nécessitant une coopération stratégique pour atténuer les risques et assurer un financement adéquat des secteurs public et privé.

Le ministre a expliqué que le Maroc est tenu de tripler ses investissements dans les énergies renouvelables. Il doit les quintupler dans les réseaux électriques et dans les énergies conventionnelles sur une base annuelle. Et ce, pour répondre aux besoins croissants et atteindre les objectifs climatiques et de développement.

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Tunisie : leader africain des exportations à forte valeur ajoutée

30. Juli 2025 um 12:53

L’Afrique regorge de ressources naturelles : elle est très riche en gaz, pétrole, minerais comme le phosphate, l’or, le cobalt, etc. Cependant, cette richesse n’est pas suffisante en l’absence de décisions judicieuses pour être exploitée et servir le développement des pays du continent.

Selon le dernier rapport de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED), intitulé « La dépendance à l’égard des produits de base est profonde. Les pays en développement doivent ajouter de la valeur pour inverser la tendance », près de neuf pays africains sur dix sont dépendants des matières premières.

En ce qui concerne les critères dudit classement, un pays est considéré comme “dépendant“ si 60 % de ses exportations sont constituées de produits de base.

Et ces derniers se répartissent en trois catégories :

  • les produits énergétiques (pétrole, gaz et charbon);
  • les produits miniers (or, cobalt, lithium, fer, cuivre, bauxite et manganèse);
  • les produits agricoles, tels que le cacao, la noix de cajou, le maïs, le thé, le café, les produits halieutiques et les animaux.

Au vu de ce qui précède, la Tunisie se classe comme la championne d’Afrique des pays dont les exportations ne dépendent pas des matières premières.

En effet, le pourcentage des exportations des matières premières des exportations totales est à 21,5 %. Ceci est un bon indicateur de l’activité économique en Tunisie, comme le souligne le rapport de la CNUCED. D’après l’Institut national de la statistique (INS), en 2024, le top 10 des produits tunisiens exportés comptait machines et appareils électriques, vêtements et accessoires, chaussures, chaudières réacteurs et autres engins, optique et appareils scientifiques, matières plastiques et ouvrages. Tous ces produits révèlent la prospérité de l’industrie en Tunisie par rapport à d’autres pays africains.

Dans ce classement, la Tunisie est suivie par le Maroc, Eswatini, le Lesotho et l’Egypte. Ce nombre, assez faible en le comparant au nombre total des pays africains (54), témoigne des mesures collectives que doit adopter le continent afin de créer des industries manufacturières qui assurent la transformation des matières premières. C’est dans cette optique qu’est créée la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf).

Espérons qu’un jour l’Afrique utilisera ses ressources convenablement pour se développer et ainsi être plus indépendante économiquement.

Eya Kharrat

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Unimed vise 165 millions de dinars de CA en 2025

30. Juli 2025 um 13:57


Le laboratoire pharmaceutique tunisien Unimed prévoit un chiffre d’affaires de 165 millions de dinars en 2025, en hausse de 12% par rapport à 2024. Présentant les résultats et perspectives du groupe, le directeur général adjoint Mohamed Ali Akkari a souligné une dynamique de croissance soutenue à tous les niveaux, portée par une stratégie axée sur l’export, l’innovation et les investissements industriels.

Croissance sur tous les indicateurs

Après avoir atteint 147 millions de dinars de chiffre d’affaires en 2024, Unimed vise 27,2 millions de dinars de résultat net en 2025, contre 18,5 millions l’an dernier, soit une progression de 16%. Sur les six premiers mois de l’année, les revenus ont déjà bondi de 15%, avec un deuxième trimestre en forte hausse de 29%, dépassant de 12% les prévisions budgétaires.

Sur le marché hospitalier tunisien, Unimed se positionne deuxième derrière Roche, devançant des poids lourds comme Novartis ou Pfizer. Elle est également le premier fournisseur de l’État en médicaments. Sa croissance dans ce segment atteint 25,79% au premier semestre, contre une moyenne de 12,14% sur le marché.

Dans le circuit officinal privé, Unimed occupe la 10e place, mais sa croissance de 17,28% dépasse là aussi la moyenne du marché (12,76%). En volume, elle est troisième sur le marché combiné (hospitalier et officinal), affichant une performance industrielle nettement au-dessus de la moyenne.

Stratégie export et innovation

Spécialisée dans les médicaments stériles et injectables, Unimed bénéficie de nombreuses certifications internationales (EMA, ANSM, GMP, CE…). Elle s’appuie sur des partenariats avec de grands laboratoires et développe ses propres produits pour renforcer sa présence à l’étranger.

Unimed veut réduire la part de la sous-traitance à l’export (65% actuellement) au profit de ses produits propres. Des autorisations de mise sur le marché (AMM) ont été obtenues ou déposées en Mauritanie (11), à Oman (16), au Burkina Faso et au Togo (66), avec 23 autres récemment ajoutées. L’objectif est de générer 110 millions de dinars de chiffre d’affaires export sur trois ans, avec des négociations en cours dans plusieurs pays africains.

Investissements massifs et projets structurants

Entre 2025 et 2026, Unimed prévoit 39 millions de dinars d’investissement, répartis notamment entre:

  • une chaîne de conditionnement (2,2 Mtnd),
  • une station solaire couvrant 40% des besoins électriques,
  • des travaux de maintenance et de modernisation (4 Mtnd),
  • des équipements pour le développement de nouvelles molécules (400 Mtnd annoncés),
  • et l’extension du site Unimed 2, dotée de 25 000 m² de salles blanches, pour un coût de 62 Mtnd.

Par ailleurs, des discussions avancées sont en cours avec un partenaire international pour un contrat de 10 ans, qui inclurait un investissement de 18 millions de dinars dans des machines destinées à l’export vers l’Europe et l’Amérique.

Avec cette feuille de route ambitieuse, Unimed consolide sa position de leader national tout en affirmant ses ambitions de devenir un acteur pharmaceutique régional incontournable.

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Emna Harriga, lauréate 2025 pour sa contribution scientifique en intelligence artificielle

30. Juli 2025 um 12:05

Le ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes âgées a attribué le « prix de la meilleure recherche scientifique féminine » de l’année 2025 à la chercheuse Emna Harriga, comme annoncé dans le Journal Officiel de la République Tunisienne (JORT).

Emna Harriga a été récompensée pour le développement d’une plateforme d’intelligence artificielle destinée à la recherche de traitements contre les agents pathogènes.

Dans le cadre de cette distinction, elle bénéficiera d’un financement de 15 000 dinars provenant du budget du ministère.

Ce prix, décerné annuellement à une chercheuse tunisienne, coïncide avec la célébration de la Journée nationale de la femme, observée chaque 13 août.

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L’Asie absorbe 80 % des exportations pétrolières irakiennes

30. Juli 2025 um 11:39

Les exportations moyennes de pétrole de l’Irak se situent entre 3,25 et 3,5 millions de barils par jour.

La direction générale de l’Organisation nationale de commercialisation du pétrole (SOMO – pour State Oil Marketing Organization) indique a que les marchés asiatiques absorbent 80 % des exportations totales de pétrole irakien. « Les exportations moyennes de pétrole de l’Irak se situent entre 3,25 et 3,5 millions de barils par jour. Et ce, conformément aux engagements du pays envers l’OPEP et aux décisions de ses alliés », ajoute l’organisation. Le pays prévoit d’augmenter sa capacité d’exportation de pétrole brut à 5,25 millions de barils par jour d’ici 2028.

A noter que les exportations pétrolières irakiennes sont destinées à trois marchés principaux. Tout d’abord, celui du Proche et de l’Extrême-Orient, représentant 78 à 80 % du total. Ensuite, le reste va aux marchés européen et américain, révèle l’agence de presse allemande DPA.

L’Irak exporte également des cargaisons de pétrole noir, de naphta, de carburéacteur, de condensats et de gaz naturel liquéfié. De même qu’il prévoit d’exporter du gazole selon un calendrier spécifique pour le trafic de pétroliers via les ports de Khor al-Zubair et d’Umm Qasr dans le sud de l’Irak, pour un total de 68 millions de barils en 2024.

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De la pyramide à la sphère : repenser les besoins humains à l’ère de l’IA

30. Juli 2025 um 11:26

** D’un modèle linéaire à une vision fluide de l’humain

Pendant des décennies, la pyramide de Maslow a structuré notre compréhension des besoins humains : une ascension progressive, des besoins vitaux à l’accomplissement de soi. Or, ce modèle, hérité d’un monde industriel, ne rend plus compte de la complexité de l’humain connecté.

** Les limites du paradigme pyramidal

Le modèle de la pyramide Maslow repose sur des postulats devenus caducs à l’ère numérique :

  • Hiérarchie rigide : les besoins ne s’ordonnent plus du bas vers le haut, mais coexistent, s’entrelacent, parfois s’inversent.
  • Progression linéaire : l’expérience humaine actuelle est simultanée, fragmentée, non séquentielle.
  • Centration biologique : l’émergence du « soi numérique » ou « moi augmenté » redéfinit la nature des besoins et des identités.
  • Temporalité stable : dans un monde connecté, les besoins évoluent au rythme des flux, des plateformes et des disruptions technologiques.

** Vers une écologie circulaire des besoins

Le paradigme sphérique remplace l’ascension en pyramide par une dynamique circulaire, fluide et contextuelle. Les besoins forment désormais un écosystème mouvant, où chaque pôle peut s’activer, interagir ou se réorganiser selon les circonstances.

Ce modèle sphérique se caractérise par :

  • Une coexistence des besoins en temps réel;
  • Un cheminement non linéaire, parfois régressif, toujours adaptatif;
  • Une priorisation variable selon l’environnement (numérique, émotionnel, social). 

** Les pôles de la sphère des besoins : Modèle – Belhedi vs Maslow –

·         Centre de gravité : Le Moi augmenté

Identité hybride, à la fois physique et numérique, le Moi augmenté incarne l’humain contemporain interagissant en permanence avec des intelligences artificielles – copilotes cognitifs, miroirs de soi, et traceurs invisibles -. Il est à la fois acteur, observateur et donnée.

·         1er cercle – Besoins physiologiques (assistés)

Les besoins fondamentaux de l’organisme humain demeurent, mais ils sont désormais surveillés, optimisés et augmentés par la technologie.

  • Surveillance biométrique continue (capteurs portables, montres connectées, apps de santé);
  • Optimisation du bien-être par des dispositifs intelligents (sommeil, nutrition, activité physique);
  • Accès assisté aux ressources vitales (soins à distance, diagnostics IA, alimentation personnalisée).

·         2ème cercle – Besoins de sécurité (numérique)

La sécurité dépasse le cadre physique pour devenir cybernétique, informationnelle et professionnelle, dans un monde où les menaces sont aussi algorithmiques, entre autres :

  • Protection des données personnelles et de l’identité numérique;
  • Cybersécurité active (authentification, cryptage, surveillance prédictive);
  • Stabilité économique face à l’automatisation (adaptation des compétences, emploi augmenté).

·         3ème  cercle – Besoins d’appartenance (connectée)

Le besoin de lien social s’étend aux espaces virtuels, où se tissent de nouvelles formes d’interactions, d’affiliation et de communauté.

  • Communautés numériques affinitaires (forums, groupes, plateformes sociales);
  • Relations hybrides (humains et IA sociales, compagnons conversationnels);
  • Appartenance émotionnelle facilitée par des environnements connectés.

·         4ème  cercle – Estime & réalisation de soi amplifiée

Estime de soi et accomplissement personnel s’entrelacent dans un environnement où créativité, expression et reconnaissance sont continuellement augmentées par l’intelligence artificielle.

  • Reconnaissance sociale via feedback algorithmique (likes, scores, influence, réputation);
  • Création assistée (art, écriture, design, code augmentés);
  • Accès élargi au savoir et à l’auto-formation (IA tutrices, mentorat virtuel, plateformes intelligentes);
  • Réalisation personnelle dans l’interaction avec la machine (co-création, auto-amélioration guidée, quête de sens technologique).

*** Visualisation schématique du modèle :

 

** L’humain en transition : augmenté, fragmenté, connecté

Dans ce nouveau cadre, l’accomplissement n’est plus un sommet, mais un état d’équilibre instable au sein d’un environnement saturé d’interactions, d’algorithmes et de stimuli. Le moi numérique devient un acteur mouvant, en tension constante entre :

  • signaler sa présence;
  • protéger son intégrité;
  • se recentrer dans le silence.

** De la verticalité à la circularité

La pyramide, figée et hiérarchique, appartient à une époque révolue.
À l’ère des identités hybrides et de l’intelligence artificielle omniprésente, il nous faut un modèle fluide, organique, inclusif.

Un modèle sphérique, qui ne hiérarchise plus les besoins, mais les fait dialoguer.
Un système en boucle, où l’humain connecté navigue continuellement entre ses besoins fondamentaux, ses désirs numériques et son aspiration à rester maître de lui-même.

Note : Cet article est extrait de mon ouvrage à paraître, « Métadonnées : les rouages d’une nouvelle économie ». Il en propose un éclairage partiel, en illustrant la portée transdisciplinaire de « l’Économie des métadonnées ».

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OPEP+ met la pression : respect strict des quotas exigé

29. Juli 2025 um 13:30

Le Comité ministériel conjoint de suivi de l’OPEP+ (JMMC) s’est réuni par vidéoconférence, lundi 28 juillet. Et ce, pour discuter des conditions du marché et de l’engagement des États membres à ajuster leur production.

Selon un communiqué de presse obtenu par la Plateforme ‘Energy’ basée à Washington, le Comité  de l’OPEP+

a réitéré l’importance de parvenir au plein respect des quotas de production et des compensations.

Le Comité ministériel a appelé les pays qui n’ont pas atteint la pleine conformité à soumettre des plans de compensation mis à jour au secrétariat de l’OPEP d’ici le 18 août 2025.

Comité ministériel conjoint de suivi de l’OPEP+

Selon les détails fournis par le communiqué, le Comité a examiné les données de production de pétrole brut pour mai et juin 2025 et a noté la conformité globale des pays de la coalition.

Le Comité assure vouloir continuer de surveiller le respect des ajustements de production décidés lors de la 38e réunion ministérielle, tenue le 5 décembre 2024, et des ajustements de production volontaires supplémentaires annoncés par certains pays de l’OPEP+, comme convenu lors de la 52e réunion ministérielle tenue par le Comité ministériel le 1er février 2024.

Le secrétariat de l’OPEP a publié une déclaration précisant que la réunion du Comité ministériel conjoint de suivi de l’OPEP+ n’a pas le pouvoir de prendre des décisions sur les niveaux de production.

Il a précisé que les affirmations liant la réunion du Comité ministériel conjoint à des changements de production ou à des ajustements volontaires effectués par le G8 sont inexactes et ne relèvent pas de sa compétence.

Plan visant à éliminer progressivement les réductions volontaires de production

Le groupe, qui comprend l’Arabie saoudite, la Russie, les Émirats arabes unis, le Koweït, l’Irak, l’Algérie, Oman et le Kazakhstan, a décidé d’accélérer encore le plan en augmentant la production d’environ 548 000 barils par jour en août 2025, par rapport aux augmentations précédentes de 411 000 barils par jour convenues pour mai, juin et juillet.

Ce rythme est quatre fois plus rapide que le plan initial de l’alliance, qui prévoyait d’éliminer 2,2 millions de barils par jour de réductions volontaires de la production pétrolière à un rythme de 137 000 barils par jour par mois entre avril 2025 et septembre 2026.

L’approbation par les huit pays de cette augmentation plus importante signifie qu’ils récupéreront près de 80 % de l’augmentation prévue, qui comprend un ajustement de 300 000 barils par jour lié au niveau de référence des Émirats arabes unis, en seulement cinq mois.

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L’Inde devient le 1er exportateur de smartphones vers les États-Unis, devant la Chine

29. Juli 2025 um 12:07

L’Inde a dépassé la Chine pour devenir le premier exportateur de smartphones vers les États-Unis. Et ce, dans un contexte d’incertitude concernant les tarifs douaniers. C’est ce qu’il ressort des données du leader mondial de la technologie « Canalys » publiées mardi 29 juillet. 

Plus précisément, les smartphones assemblés en Inde ont représenté 44 % des importations de smartphones aux États-Unis au deuxième trimestre; contre seulement 13 % à la même période en 2024. En fait, le volume total de smartphones fabriqués en Inde a augmenté de 240 % par rapport à l’année précédente, révèle Canalys.

En revanche, la part de la Chine dans les exportations de smartphones vers les États-Unis a chuté à 25 % au cours du trimestre clos en juin, indique la même source.

La part du Vietnam dans les exportations de smartphones vers les États-Unis était également supérieure à celle de la Chine, à 30 %.

Une implantation accélérée d’Apple

A cet égard, l’augmentation des expéditions en provenance d’Inde est en grande partie due à l’accélération de l’implantation d’Apple dans ce pays, dans un contexte d’incertitude commerciale accrue entre les États-Unis et la Chine. C’est ce qu’a déclaré Sanyam Chaurasia, analyste principal chez Canalys. Une première pour l’Inde qui exporte davantage de smartphones vers les États-Unis que vers la Chine.

D’ailleurs, certaines informations montrent qu’Apple accélérerait ses projets de fabrication de la plupart des iPhones vendus aux États-Unis dans des usines en Inde.

A noter que le président américain Donald Trump a menacé Apple de droits de douane supplémentaires et a exhorté le PDG de la société, Tim Cook, à fabriquer ses iPhones aux États-Unis. Ce qui, selon les experts, serait presque impossible, car cela ferait grimper les prix des iPhones.

Alors que de nombreux produits clés d’Apple, notamment les iPhones et les ordinateurs portables Mac, ont bénéficié d’exemptions des « tarifs réciproques » de Trump, les responsables ont averti qu’il pourrait s’agir d’un répit temporaire.

Ses concurrents mondiaux, Samsung Electronics et Motorola, tentent également de déplacer l’assemblage des smartphones destinés aux États-Unis vers l’Inde. Bien que leur démarche ait été nettement plus lente et limitée en termes d’échelle par rapport à celle d’Apple, relève Canalys.

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Turquie : visitez Didim, vous serez émerveillés!  

29. Juli 2025 um 11:55

Didim, la charmante ville côtière d’Aydın, est un véritable joyau caché sur la côte égéenne de la Turquie. Elle évoque un sentiment de paradis avec ses plages de sable doré, ses paysages naturels à couper le souffle et sa riche histoire.

Didim est facilement accessible depuis les aéroports de Bodrum, Muğla et İzmir. Elle offre des expériences captivantes grâce à une sélection variée d’hébergements, allant des luxueux hôtels cinq étoiles aux agréables boutiques. En savourant les délices de la mer Égée dans ces établissements attrayants, vous savourerez chaque instant passé à Didim.

Voici cinq raisons de découvrir cette pittoresque escapade égéenne pendant les chaudes journées d’été.

 Eaux douces, plages de rêve

Bénéficiant d’une nature magnifique, Didim se distingue par son littoral, parsemé de plages idylliques. Que vous vous prélassiez au soleil ou que vous nagiez toute la journée dans mille nuances de bleu, ces plages vous offrent l’expérience ultime du bord de mer.

Altınkum, qui signifie littéralement « sable doré », est la plage la plus emblématique de Didim, avec son sable propre et sa mer cristalline. Cependant, d’autres endroits tranquilles comme les plages de Sarıkum, Huzur et Akbük promettent également une journée paisible au bord de la mer. Pour ceux qui recherchent l’aventure, des excursions quotidiennes en bateau au départ des côtes de Didim permettent de découvrir de nombreuses criques et baies cachées, telles que Cennet Akvaryum et Saplı Ada.

De plus, le monde sous-marin de la mer Égée autour de Didim offre de formidables possibilités d’explorer la vie marine. Vous pouvez plonger à partir de bateaux et explorer une grande variété de poissons, de nombreux récifs peu profonds et d’anciennes amphores, ainsi qu’un ancien navire de la garde côtière délibérément coulé ici.

 

 

Une passerelle vers les merveilles de l’Antiquité

Didim se distingue également par la richesse de son patrimoine antique et de ses trésors sur la magnifique côte égéenne. L’ancienne Didim, ou Didyma, était un ancien sanctuaire de Miletus, l’une des villes ioniennes les plus importantes. Didyma était célèbre pour son temple d’Apollon, relié à Miletus par une voie sacrée. Ce sanctuaire, l’un des plus grands temples du monde antique, servait de centre essentiel de prophétie dans l’Antiquité.

Heredotus mentionne également le temple d’Apollon de Didyma, ce qui ajoute à son importance historique. Aujourd’hui, le temple est relativement bien préservé, avec des ruines de colonnes ioniques et le célèbre relief de Méduse sculpté dans la pierre.

Depuis le temple, les amoureux de la nature peuvent faire une randonnée sur l’ancienne voie sacrée ou opter pour une demi-heure de route pour visiter Miletus, la ville des philosophes.

 Beauté intacte au-delà de la côte

Outre ses trésors et merveilles historiques cachés, Didim abrite également des paysages naturels à couper le souffle qui offrent une évasion parfaite aux amateurs de nature. L’une des merveilles naturelles les plus remarquables est le lac Bafa, le plus grand lac de la région égéenne et l’un des principaux sites de tourisme écologique de Turquie. Le parc naturel du lac Bafa propose de nombreux sentiers de randonnée et est très prisé pour l’observation des oiseaux, car de nombreuses espèces migratrices vivent et se reproduisent dans le lac et ses environs.

Le lac compte également trios îles. Louer un bateau pour explorer les îles, les paysages rocheux, les oliveraies et les monastères et églises historiques du lac doit figurer sur votre liste de choses à faire.

L’âme locale de Didim : marchés, bazars bio

Didim abrite plusieurs marchés locaux authentiques et bazars bio où vous pourrez trouver des cadeaux originaux pour vous ou vos proches. Les bazars biologiques présentent un large éventail de fruits et légumes de saison de la mer Égée. Tandis que les marches locaux proposent des produits artisanaux, des textiles aux céramiques.

Faire ses achats dans ces marches communautaires est un excellent moyen de soutenir les producteurs traditionnels, de découvrir la culture locale de première main et de savourer les délices régionaux comme un véritable habitant de la mer Égée. Vous devriez surtout acheter de l’huile d’olive et du miel biologiques. N’oubliez pas d’explorer les stands de nourriture des marchés où vous pourrez déguster les délicieux plats de rue.

Un gout égéen aux tables Didim

En ce qui concerne la nourriture, Didim est l’endroit idéal pour découvrir les saveurs exquises de la cuisine égéenne. Les matinées commencent par des petits déjeuners traditionnels où les légumes frais, les légumes verts, les olives, le pain local croustillant trempé dans de l’huile d’olive extra vierge et les confitures maison à base de fruits locaux, tells que les figues et les raisins, sont à l’honneur.

Le déjeuner et le diner proposent des plats à base d’huile d’olive préparés avec des légumes de saison et des herbes locales comme le denizbörülcesi (salicorne) et le şevketibostan (chardonbéni). Ces plats sont souvent servis en tant que plats principaux ou entrées légères, aux côtés de salades colorées et de fruits de mer fraîchement pêchés.

Grâce à la générosité de la mer Égée, les tables sont remplies de bars, de daurades, de poulpes, de calamars et de crevettes. Tout cela fera de vos vacances à Didim une expérience inoubliable.

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Tunis abritera la conférence mondiale du CRF 2025 sur la gouvernance numérique et la conformité

29. Juli 2025 um 12:46

La Tunisie abritera, du 7 au 10 octobre 2025, la conférence annuelle du Corporate Registers Forum (CRF),  sous le thème « Nouveaux défis pour les registres d’entreprises : plus de transparence et d’efficacité ».

Porté par le Registre National des Entreprises (RNE), Cet événement se veut une plateforme dynamique pour les leaders internationaux de la gestion des registres d’entreprises, de la gouvernance numérique, de la réforme réglementaire et de l’administration publique.

L’objectif est de favoriser des échanges stratégiques, le partage des meilleures pratiques et la création de partenariats, permettant ainsi d’élargir le réseau professionnel et de rencontrer des personnalités clés dans différents  domaines.

Y prendront part des dirigeants de registres d’entreprises, des décideurs politiques, des experts juridiques et des organisations internationales, a-t-on lu sur le portail électronique du forum.

Parmi les thèmes qui seront débattus, figurent notamment la transformation numérique et automatisation, la transparence et l’intégration,  la cybersécurité, la protection des données et les préoccupations en matière de confidentialité, la Conformité, IA et analyse des données, les mises à jour en temps réel et surveillance des registres en plus de l’initiative mondiale sur les identifiants uniques pour les entreprises.

Un espace d’exposition sera également aménagé pour favoriser la rencontre des participants et la promotion des services et produits.

Il s’agit également de l’organisation des ateliers pour permettre aux participants d’engager des discussions approfondies et partager leurs expériences.

Le Corporate Registers Forum (CRF) est une association internationale, composée de plus de 60 registres d’entreprises, répartis dans le monde entier, qui partagent leurs meilleures pratiques par des moyens formels et informels afin d’améliorer les normes.

Sa conférence en 2024 organisée au Qatar s’est axée sur les thèmes liés à la coopération mondiale, à l’application et  la conformité, à la propriété effective et à l’avenir des registres d’entreprises.

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La SAM rebondit au deuxième trimestre 2025 malgré un recul de l’export en Libye

29. Juli 2025 um 08:42

La société SAM a enregistré une progression de 8% de son chiffre d’affaires au deuxième trimestre 2025, selon ses indicateurs d’activité publiés sur le site du Conseil du marché financier (CMF). Ce rebond a permis de compenser le recul de 6% enregistré au premier trimestre, portant la croissance globale des revenus à 2% pour le premier semestre par rapport à la même période en 2024.

Ce redressement s’explique principalement par la performance du marché local, alors que les ventes à l’export ont fortement baissé. La chute s’explique par un effet de base défavorable: en 2024, la SAM avait réalisé une opération exceptionnelle en Libye qui représentait à elle seule 66% du chiffre d’affaires semestriel.

Malgré cette baisse à l’international, le chiffre d’affaires consolidé du groupe a crû de 4% au premier semestre 2025, porté par une dynamique soutenue sur le marché domestique. Autre indicateur encourageant: le carnet de commandes confirmées à la fin juin s’élève à 3,5 millions de dinars, assurant une bonne visibilité sur le second semestre.

En revanche, les investissements ont fléchi. À fin juin 2025, leur montant cumulé est en recul de 14% comparé à la même période l’année précédente.

Côté finances, l’endettement de la société s’est alourdi de 49%, atteignant 1.072 mille dinars. Cette augmentation est due à un recours au financement de stock (400 mille dinars) destiné à préserver la trésorerie et à honorer les engagements de livraison pour le second semestre.

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Coopération entre la Banque de gènes et l’OSS pour la biodiversité

28. Juli 2025 um 20:57

La coopération pour la protection de la biodiversité et des ressources génétiques a été, au centre d’une réunion, tenue, lundi 28 juillet, à Tunis, entre la Banque nationale de gènes (BNG) et l’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS).

D’après la BNG, l’objectif de cette rencontre est d’échanger des points de vue sur les opportunités et les possibilités de coopération entre les deux parties. L’objectif est d’établir un partenariat solide qui renforcera les efforts de protection de la biodiversité et de conservation des ressources génétiques considérées comme un pilier essentiel pour assurer la sécurité alimentaire et relever les défis environnementaux, notamment, ceux liés au changement climatique et à la rareté de l’eau.

Les deux parties ont discuté de plusieurs axes qui pourraient constituer la base d’un programme de travail commun. Parmi les thèmes abordés figurent l’adaptation aux changements climatiques, la lutte contre la désertification, et la valorisation des ressources génétiques locales.

La BNG est chargée de l’évaluation et la conservation des ressources génétiques locales, acclimatées et exotiques, et notamment, celles qui sont rares, menacées et celles qui présentent un intérêt économique, écologique, et/ou médicinale. Elle fonctionne sous forme d’un réseau national regroupant tous les organismes publics et les établissements de recherche scientifique ainsi que tous les intervenants concernés par ce domaine.

L’OSS, fondé en 1992 et basé à Tunis depuis 2000, est une Organisation internationale à vocation africaine, qui a pour rôle principal de créer et de soutenir des partenariats pour relever les défis liés à la gestion des ressources en eau et à la mise en œuvre des accords internationaux sur la dégradation des terres, la biodiversité et le changement climatique en Afrique. Il regroupe actuellement 35 pays membres, dont 28 africains et 7 non-africains. En plus de ces Etats, l’Organisation collabore avec 12 entités représentatives d’Afrique de l’Ouest, de l’Est et du Nord, ainsi que plusieurs agences des Nations Unies et des Organisations non gouvernementales.

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Industrie : Vers une révision accélérée du Code minier

28. Juli 2025 um 20:04

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a appelé, lundi 28 juillet, à renforcer la coordination entre les différentes parties prenantes afin de finaliser, dans les plus brefs délais, le projet de révision du Code minier, ce qui permettrait de relancer le secteur.

S’exprimant lors d’une réunion consacrée à la révision du Code minier, en présence des membres du comité en charge de ce chantier ainsi que de représentants d’entreprises opérant dans le secteur, la ministre de l’Industrie a souligné la nécessité d’actualiser ce texte, en vigueur depuis 2003, afin de l’aligner sur la Constitution de juillet 2022. Celle-ci stipule, dans son article 16, que « les conventions et les contrats d’investissement relatifs aux richesses nationales sont soumis à l’Assemblée des représentants du peuple et au Conseil national des régions et des districts pour approbation », dans le respect du principe de la suprématie de la Constitution et de la souveraineté de l’État sur ses ressources naturelles.

Mme Chiboub a également affirmé que cette révision vise à répondre aux exigences de l’investissement dans le secteur minier, à unifier le cadre juridique, à revoir le régime fiscal et douanier, tout en intégrant davantage les dimensions foncières, environnementales et sociales, conformément aux principes du développement durable.

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du suivi des travaux du comité de révision, et visait à recueillir les propositions des parties concernées ainsi qu’à examiner les amendements envisagés, en vue d’améliorer la gouvernance du secteur et de garantir une gestion optimale des ressources naturelles.

Il est à noter que le secteur minier compte 60 sociétés de recherche et 47 entreprises d’exploitation, dont 10 étrangères. Il contribue à hauteur de 3 % au produit intérieur brut (PIB) et génère plus de 25 000 emplois.

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Cession de biens immobiliers domaniaux à des structures publiques

28. Juli 2025 um 18:37

Des biens immobiliers domaniaux seront cédés à plusieurs structures publiques, telles que l’Agence Foncière d’Habitation (AFH), la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG), ainsi que les municipalités de Gafsa et de Kébili, conformément à la réglementation en vigueur.

Cette décision a été prise lors de la réunion, lundi 28 juillet, de la commission consultative nationale des opérations immobilières, présidée par le ministre des Domaines de l’État et des Affaires foncières, Wajdi Hedhili.

Par ailleurs, selon un communiqué du ministère des Domaines de l’État, l’acquisition de biens immobiliers pour la réalisation de projets publics a également été approuvée, à l’initiative des ministères de l’Intérieur, de la Santé et de l’Education.

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Tunisie : Loukil Group passe à l’assemblage du camion Eicher Pro 2049 Diesel 

28. Juli 2025 um 15:06

Le Groupe Loukil poursuit son développement stratégique dans le secteur des véhicules industriels avec une nouvelle étape majeure : le lancement de l’assemblage du camion Eicher Pro 2049 Diesel au sein de l’usine UNITED AFRICAN AUTO INDUSTRIES (UAAI), située à Ben Arous.

Ce modèle, reconnu pour sa robustesse, sa fiabilité et sa polyvalence, est initialement proposé en version électrique sur d’autres marchés. Pour répondre aux spécificités du marché tunisien et maghrébin, le Pro 2049 sera introduit dans une version Diesel, mieux adaptée aux besoins locaux actuels en matière d’infrastructure et d’exploitation avec une PTAC de 2.5 T.

L’assemblage en SKD (Semi Knocked Down) sera assuré par UAAI, l’unité industrielle du Groupe Loukil spécialisée dans le montage de véhicules utilitaires et industriels, nous apprend une source bien informée. La distribution commerciale sera prise en charge par Loukil Véhicules Industriels (LVI), représentant officiel de la marque EICHER en Tunisie depuis 2021.

Le camion Eicher Pro 2049 Diesel se positionne comme un utilitaire léger idéal pour les usages urbains et interurbains. Doté d’un moteur performant, d’une cabine moderne et d’une charge utile optimisée, il cible les besoins des professionnels du transport, de la logistique et des services, explique la même source.

Avec cette nouvelle étape, le Groupe Loukil affirme sa vision industrielle ambitieuse, en valorisant le montage local, la création d’emplois qualifiés et le transfert de savoir-faire dans le secteur automobile.

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Ahmed Ben Moulehom : « La diaspora tunisienne est un levier stratégique pour bâtir une économie résiliente »

28. Juli 2025 um 13:08

Dans un contexte où la Tunisie mise plus que jamais sur sa diaspora pour renforcer son développement économique, la BNA BANK a pris les devants. En effet, elle a organisé, en partenariat avec l’Office des Tunisiens à l’Etranger ( OTE), la première conférence régionale dédiée au rôle des expatriés dans l’investissement direct. Placée sur le thème « Modernisation des visions pour un avenir prometteur », cette rencontre s’est tenue lundi 28 juillet 2025 à Tunis. Et ce, en présence des représentants des gouvernorats du Grand Tunis, à savoir Tunis, Ariana, Ben Arous et La Manouba; ainsi que de plusieurs institutions financières et administratives.

Ahmed Ben Moulehom, directeur général de la BNA, est revenu sur les mesures concrètes mises en œuvre pour faciliter et encourager l’implication économique des Tunisiens résidant hors des frontières nationales. Il a rappelé les grandes lignes de l’accord de partenariat stratégique signé le 15 juillet 2025 entre son institution et l’OTE.

Fondé sur une approche pragmatique, cet accord vise à offrir des solutions bancaires sur mesure, alliant simplicité, avantages financiers et digitalisation des procédures. Parmi les mesures phares figurent la facilitation de l’accès à distance aux comptes bancaires, l’accompagnement personnalisé des projets d’investissement – notamment dans les secteurs de l’agriculture, de l’immobilier et des initiatives entrepreneuriales –, ainsi que la mise en place de mécanismes de financement adaptés aux besoins spécifiques de la diaspora.

Au-delà de l’apport financier…

Dans son allocution, M. Ben Moulehom a insisté sur la nécessité de considérer les Tunisiens de l’étranger non pas uniquement comme une source de transferts de fonds, mais comme des acteurs à part entière du développement économique national. « Notre vision est claire : la diaspora tunisienne n’est pas une périphérie, mais un levier stratégique pour bâtir une économie résiliente et inclusive », a-t-il déclaré. Il a également souligné que la Tunisie avait besoin, au-delà des capitaux, des compétences, des idées innovantes et des réseaux dont disposent ses citoyens établis à l’international.

Pour traduire cette ambition en actions tangibles, la BNA a déployé une série d’initiatives structurantes. Parmi celles-ci, le développement d’une offre bancaire exclusive réservée aux expatriés, l’optimisation des canaux de communication pour un meilleur accompagnement, et la création de produits financiers hybrides combinant services bancaires, assurances et opportunités immobilières. Ces dispositifs s’inscrivent dans une logique de proximité, afin que chaque Tunisien, où qu’il réside, puisse maintenir un lien économique fort avec son pays d’origine.

Le responsable a réaffirmé l’engagement inébranlable de son institution envers la diaspora, qualifiant celle-ci de « partenaire incontournable dans la construction d’une Tunisie prospère ». « La nation ne se construit pas seulement avec ceux qui y vivent, mais aussi avec ceux qui, bien qu’éloignés géographiquement, portent la Tunisie dans leur cœur et contribuent à son rayonnement », a-t-il martelé. Il a enfin rendu hommage aux participants pour leur confiance en la BNA, promettant que celle-ci resterait un « partenaire fidèle et un relai essentiel de leurs ambitions économiques ».

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Kaspersky plaide pour plus de transparence dans l’utilisation de l’IA

28. Juli 2025 um 12:53

L’IA (Intelligence artificielle) est une arme à double tranchant : si elle permet des gains d’efficacité significatifs et offre de nouvelles opportunités pour les entreprises comme pour les particuliers, elle peut aussi être utilisée à mauvais escient par les cybercriminels pour, entre autres, faciliter la création de logiciels malveillants. Selon une récente étude Kaspersky, 52 % des entreprises dans le monde craignent une perte de confiance de leurs clients si elles n’améliorent pas leur protection contre les cyberattaques utilisant l’IA. Parallèlement, 41 % déclarent ne pas disposer de l’expertise nécessaire en matière de menaces externes pour se protéger efficacement contre de tels scénarios. Avec ses « Recommandations pour le développement et le déploiement sécurisés des systèmes d’IA », Kaspersky propose des conseils spécifiques que les entreprises peuvent utiliser pour déployer l’IA de manière sécurisée et responsable. En complément, le livret « Principes d’utilisation éthique des systèmes d’IA en cybersécurité » complète ces lignes directrices avec des principes éthiques pour le développement et l’utilisation de l’IA dans la cybersécurité.

L’intelligence artificielle se développe rapidement et, bien que son potentiel soit bénéfique pour les entreprises et les particuliers, des cybercriminels mal intentionnés l’utilisent déjà pour étendre leurs capacités de nuisance.

Une récente enquête Kaspersky révèle que la plupart des entreprises sont conscientes de ces dangers : 58 % des entreprises mondiales craignent une perte de données confidentielles et 52 % une perte de confiance, ainsi que des dommages financiers (52 %), si elles n’améliorent pas leur protection contre les attaques basées sur l’IA. Cependant, les connaissances nécessaires font souvent défaut : 41 % des personnes interrogées déclarent ne pas disposer d’informations pertinentes de la part d’experts externes sur les attaques basées sur l’IA.

Kaspersky prône donc des recommandations claires pour le développement et l’utilisation éthiques de l’IA afin de prévenir efficacement toute manipulation et tout abus. En 2024, Kaspersky a signé le Pacte sur l’IA de la Commission européenne, une initiative visant à préparer les organisations à la mise en œuvre de la loi sur l’IA – le premier cadre juridique global sur l’IA au monde, adopté par l’Union européenne (UE). En décembre de la même année, Kaspersky a également présenté ses lignes directrices pour le développement et le déploiement sécurisés des systèmes d’IA lors d’un atelier organisé au Forum sur la gouvernance de l’Internet (FGI) 2024 à Riyad. La transparence, la sécurité, le contrôle humain et la protection des données constituent les principes fondamentaux de cette démarche.

« L’IA éthique est la base de la confiance, de la conformité et de la réussite durable des entreprises. Elle permet aux entreprises de minimiser efficacement les risques de violations de données et de menaces liées à l’IA, tout en respectant scrupuleusement les exigences réglementaires telles que la loi européenne sur l’IA. Dans un monde de plus en plus numérisé, l’utilisation responsable de l’IA n’est pas seulement une question technologique, mais aussi une question d’intégrité et de pérennité pour les entreprises… », commente Jochen Michels, Directeur des Affaires Publiques Europe chez Kaspersky.

« L’intelligence artificielle est de plus en plus utilisée pour renforcer la cybersécurité, de la détection des menaces à la prédiction des attaques. Mais qui décide du périmètre d’utilisation de ces outils ? En cas de faille de sécurité, les dommages sont souvent plus importants pour les individus et les groupes vulnérables que pour les grandes organisations. Nous avons besoin de systèmes non seulement efficaces, mais aussi sécurisés et éthiques, garantissant un partage équitable du pouvoir, des responsabilités et des préjudices dans notre monde numérique », déclare Liliana Acosta, fondatrice et PDG de Thinker Soul, un cabinet de conseil basé sur l’éthique, la pensée critique et la philosophie pour accompagner les entreprises dans leur transformation numérique.

La transparence, la sécurité, le contrôle et la protection des données comme pierres angulaires d’une utilisation éthique de l’IA

Pour soutenir l’adoption d’une IA éthique, Kaspersky a développé des recommandations et des principes pour son utilisation responsable.

Les recommandations pour le développement et le déploiement sécurisés des systèmes d’IA abordent les aspects clés du développement, du déploiement et de l’exploitation des systèmes d’IA, notamment la conception, les bonnes pratiques de sécurité et l’intégration, sans se concentrer sur le développement de modèles fondamentaux.

Parmi ces aspects figurent :

  • Sensibilisation et formation à la cybersécurité : Kaspersky met l’accent sur l’accompagnement de la direction et la formation spécialisée des employés. Ils doivent comprendre les menaces liées à l’IA grâce à des formations régulièrement mises à jour et adaptées aux nouveaux risques.
  • Modélisation des menaces et évaluation des risques : la modélisation proactive des menaces (par exemple, STRIDE, OWASP) permet d’identifier les vulnérabilités en amont. Kaspersky souligne l’importance d’évaluer les risques tels que l’empoisonnement des données et l’utilisation abusive des modèles.
  • Sécurité de l’infrastructure (cloud) : une sécurité cloud renforcée est essentielle. Kaspersky recommande le chiffrement, la segmentation du réseau, le principe de Zero trust et l’application régulière de correctifs pour prévenir les failles.
  • Sécurité de la supply chain et des données : les outils d’IA tiers présentent des risques pour les données et la confidentialité. Kaspersky recommande des audits stricts, l’utilisation de capteurs de sécurité et des politiques de confidentialité strictes pour prévenir les abus.
  • Tests et validation : la validation continue des modèles détecte les problèmes tels que la dérive des données et les attaques adverses. Kaspersky recommande la surveillance, le partitionnement des jeux de données et la révision de la logique de décision.
  • Défense contre les attaques spécifiques au Machine Learning : pour se prémunir contre les attaques telles que l’injection de prompt ou les entrées adversariales, Kaspersky suggère un entraînement avec des exemples adversariaux, la détection des anomalies et la distillation des modèles.
  • Mises à jour de sécurité et maintenance régulières : la mise à jour fréquente des outils d’IA et la participation à des programmes de bug bounty (chasse aux failles) permettent de corriger les vulnérabilités et de renforcer la résilience des systèmes.
  • Conformité aux normes internationales : Kaspersky insiste sur le respect des standards mondiaux (par exemple le RGPD, l’AI Act européen) ainsi que sur la réalisation d’audits réguliers afin de garantir la conformité légale, éthique et en matière de protection de la vie privée.

Les « Principes d’utilisation éthique des systèmes d’IA en cybersécurité » préconisent une meilleure éducation et des normes claires axées sur la transparence, la sécurité, le contrôle humain et la protection des données, afin de prévenir efficacement la manipulation et l’utilisation abusive des applications d’IA.

Ces principes incluent :

  • Transparence : informer les clients de l’utilisation de l’IA et du Machine Learning; expliquer leur fonctionnement; développer des systèmes aussi interprétables que possible; et mettre en place des mécanismes de contrôle pour garantir des résultats valides.
  • Sécurité : prioriser la sécurité tout au long du développement et du déploiement; effectuer des contrôles de cybersécurité spécifiques; minimiser la dépendance aux données d’apprentissage externes; mettre en œuvre des stratégies de protection multicouches; et privilégier les solutions cloud dotées de garanties appropriées.
  • Contrôle humain : assurer la supervision humaine de tous les systèmes d’IA/ML; assurer une surveillance continue par des spécialistes; et combiner algorithmes et expertise humaine.
  • Protection des données : respecter la confidentialité des données personnelles; limiter et réduire le traitement des données; pseudonymisation ou anonymisation; garantir l’intégrité des données; et appliquer des mesures techniques et organisationnelles pour protéger la confidentialité.

L’article Kaspersky plaide pour plus de transparence dans l’utilisation de l’IA est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

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