Les IDE vers la Tunisie s’envolent de 61%, durant la quinquennie 2020- 2024
Le tout nouveau Nissan Navara BVA, pick-up tout-terrain alliant robustesse, performance et technologies avancées, a été lancé officiellement en Tunisie le 14 juin 2025, lors d’un événement organisé par ADEV, concessionnaire officiel de la marque, sur le prestigieux Circuit Tunisia First Club à Cebalat Ben Ammar.
Avec son moteur diesel 2.5 dCi de 190 chevaux et sa boîte automatique à 7 rapports, le Navara BVA s’impose comme une référence du segment, offrant à la fois puissance, confort et polyvalence pour un usage aussi bien professionnel que quotidien.
La journée de lancement a réuni journalistes, partenaires et passionnés autour d’essais sur piste, d’une exposition de véhicules et d’animations festives, notamment un concert live. À cette occasion, le Groupe ARTES a réaffirmé son engagement envers le marché tunisien avec une offre complète et un service après-vente de qualité.
Le Nissan Navara BVA marque une nouvelle étape dans l’évolution du pick-up en Tunisie, avec une version encore plus aboutie, prête à répondre aux besoins des conducteurs les plus exigeants.
L’article Le nouveau Nissan Navara BVA officiellement lancé en Tunisie est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Cette rencontre, organisée en marge de la conférence régionale « Une seule santé » pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord (MENA), a permis aux deux ministres de convenir d’un renforcement de leur coopération bilatérale, notamment dans les domaines de la production animale, de la santé du bétail et du transfert de technologies.
Pour concrétiser ces ambitions, des sessions de travail à distance seront prochainement organisées afin de définir les axes prioritaires de collaboration et d’établir un plan d’action détaillé. La conférence « Une seule santé », qui a ouvert ses portes samedi à Tunis, réunit des ministres et hauts responsables de 14 pays, ainsi que plusieurs organisations internationales. Cette initiative vise à promouvoir une approche intégrée des enjeux sanitaires, liant santé humaine, animale et environnementale.
Avec TAP
L’article Tunisie-Mauritanie : vers un renforcement de la coopération agricole est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Bien que ce chiffre reste alarmant, la FAO note une évolution positive : la pression exercée par la pêche a diminué de 30 % dans cette zone. Autre signe encourageant : le nombre de bateaux de pêche y a été réduit d’un tiers en dix ans, preuve que les efforts de gestion durable commencent à porter leurs fruits.
À l’échelle mondiale, plus d’un tiers des stocks halieutiques sont surexploités, mais 77 % des poissons consommés proviennent de pêcheries bien gérées, souligne l’agence onusienne.
Cependant, des lacunes importantes subsistent, notamment en ce qui concerne les données disponibles, en particulier dans le secteur de la pêche artisanale. Le manque d’informations sur les sites de débarquement complique l’évaluation précise des stocks.
Face à ces enjeux, la FAO exhorte les pays à renforcer leurs systèmes de collecte de données, à investir dans la recherche scientifique, et à développer leurs capacités nationales, afin de respecter les objectifs de durabilité et d’assurer la pérennité du secteur halieutique.
Selon les estimations de l’agence, environ 600 millions de personnes dépendent aujourd’hui de la pêche et de l’aquaculture pour leur subsistance.
La 3e Conférence des Nations Unies sur l’océan, co-organisée par la France et le Costa Rica, a réuni 15 000 participants, dont plus de 60 chefs d’État et de gouvernement. Elle s’est achevée par un appel fort à renforcer la protection des océans, à lutter contre la pollution, à réguler l’exploitation des hautes mers, et à mobiliser davantage de financements pour les pays côtiers et insulaires.
L’article Méditerranée/Mer Noire : 65 % des ressources halieutiques restent surexploitées, selon la FAO est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Le ministère indique, dans communiqué publié vendredi 13 juin, que le plan d’urgence prévoit l’interruption de l’approvisionnement en gaz naturel de certaines activités industrielles, l’augmentation de la consommation de diesel au maximum disponible pour les centrales électriques et la coordination de l’exploitation de certaines centrales au diesel.
Il s’agit d’une mesure de précaution visant à maintenir la stabilité du réseau de gaz naturel et à éviter la nécessité de réduire la charge du réseau électrique, en attendant la reprise de l’approvisionnement en gaz naturel depuis l’est.
Il convient de noter dans ce contexte que trois navires de regazéification sont arrivés en Égypte. L’un d’eux regazéifie actuellement le gaz et l’injecte dans le réseau national de gaz naturel. Les deux autres navires sont en cours d’équipement et de raccordement aux ports pour commencer à y pomper du gaz naturel.
Le ministère a ajouté que la salle d’exploitation du réseau de gaz naturel continue de surveiller la situation 24 heures sur 24, notant que le réseau de gaz et les réserves de diesel sont sûrs.
L’article L’Égypte active un plan d’urgence pour le gaz naturel est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Les pays de l’UE ont élaboré des plans visant à étendre la capacité de l’énergie nucléaire à 109 gigawatts d’ici 2050, contre 98 gigawatts aujourd’hui, souligne la Commission dans un projet d’analyse des besoins d’investissement pour le secteur.
Ces plans nécessiteraient des investissements de 205 milliards d’euros dans de nouvelles centrales nucléaires, plus 36 milliards d’euros pour prolonger la durée de vie des réacteurs existants, y compris des fonds publics et privés, indique le projet, rapporte Reuters.
À noter que l’énergie nucléaire a produit environ 24% de l’électricité de l’UE en 2024.
Alors que les récents projets nucléaires en Europe dépassent les budgets prévus et sont confrontés à de longs retards, la Commission estime que davantage d’instruments financiers étaient nécessaires pour attirer les investisseurs privés, découragés par ces risques et les coûts initiaux énormes.
Un retard de cinq ans dans la mise en œuvre des nouveaux projets prévus ajouterait 45 milliards d’euros supplémentaires à leur coût estimé d’ici 2050, a-t-elle déclaré. « Une combinaison de diverses sources de financement complétées par des instruments de réduction des risques pourrait être la réponse », ajoute-t-elle.
Les pays de l’UE sont depuis longtemps en désaccord sur la promotion de l’énergie nucléaire pour atteindre les objectifs d’émissions de CO2. Au cœur du débat se trouvent la France, qui dépend du nucléaire comme principale source d’électricité, et l’Allemagne, qui y était opposée sous les gouvernements précédents.
En conséquence, les politiques énergétiques de l’UE n’ont généralement pas ciblé l’énergie nucléaire avec des incitations ou des objectifs, et le budget de l’UE ne soutient pas la construction de nouvelles centrales nucléaires.
Le projet de document prévoit que la Commission et la Banque européenne d’investissement (BEI) lanceront un programme pilote d’accords d’achat d’électricité d’une valeur de 500 millions d’euros, auquel les projets nucléaires seront éligibles.
Douze des 27 États membres de l’UE disposent actuellement de réacteurs nucléaires, la France possédant de loin le plus grand parc. La Slovaquie et la Hongrie ont de nouveaux réacteurs en construction, tandis que des pays comme la Pologne espèrent construire leurs premières centrales.
L’article 241 milliards pour l’atome : l’ambition nucléaire de l’UE prend forme est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
À l’occasion de son Assemblée générale ordinaire, Magasin Général a présenté des résultats 2024 marqués par une amélioration significative de ses performances financières et opérationnelles. Avec un chiffre d’affaires en hausse de 5,8% à 1 041 millions de dinars et un résultat d’exploitation redressé à 10,1 millions de dinars (+23,7 millions par rapport à 2023), l’entreprise confirme l’efficacité de son plan de transformation lancé en 2023.
La stratégie de relance s’est articulée autour de trois axes majeurs : modernisation de l’offre, désendettement et digitalisation. La Marque de Distributeur (MDD) a franchi le cap des 1 100 références, avec 70 produits primés deux années consécutives, consolidant ainsi son positionnement qualité-prix. Sur le front digital, le lancement de Batam.com.tn a généré 750 000 visites en six mois, tandis que le partenariat avec Yassir a étendu le quick commerce à 32 points de vente.
L’application My MG, téléchargée par plus de 600 000 clients, complète cet écosystème numérique.
Neuf magasins ont été rénovés en 2024, améliorant l’expérience client et la rentabilité. Un dispositif de mesure de la satisfaction a été instauré en octobre, renforçant la proximité avec les consommateurs. Parallèlement, six campagnes télévisées ont cumulé 37 millions de vues, boostant la notoriété de la marque.
Si le résultat net reste négatif (-3,7 millions de dinars), il s’est amélioré de 89% grâce à une réduction des charges financières nettes (-49%) et des dotations aux provisions (-53,5%). La dette bancaire a été réduite de 126 millions de dinars depuis 2021. Certains actionnaires minoritaires ont exprimé leur frustration face à l’absence de dividendes, mais la direction a réaffirmé son engagement à atteindre la profitabilité dès 2025.
Magasin Général a accentué ses engagements RSE en 2024 : réduction de 35 000 tonnes de CO₂, recyclage de 118 tonnes de carton et 13 tonnes de plastique, et plantation de 1 328 arbres. L’enseigne a également recentré ses actions sociétales sur l’éducation en zones défavorisées, avec des projets appelés à s’étendre en 2025.
Fahd Chaouch, directeur général, a résumé l’année comme étant celle de la « consolidation des fondations », avec un objectif clair pour 2025 : « retourner dans le vert ».
Forte d’une base assainie et d’équipes mobilisées, l’entreprise aborde cette nouvelle phase avec une ambition renouvelée.
L’article Magasin Général franchit le cap du milliard de dinars grâce à une stratégie payante est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Dans le cadre du projet “Soutien à la relance des TPE/PME tunisiennes dans un contexte post-crises”, des sessions d’information sont organisées pour présenter le lancement du premier appel à projets Fund4Growth.
Ce projet est financé par l’Union européenne et l’Agence Française de Développement (AFD), et mis en œuvre par Expertise France, en partenariat avec le Ministère de l’Économie et de la Planification, la Banque Centrale de Tunisie et la Banque Européenne d’Investissement.
Cette initiative vise à contribuer à une croissance économique durable et inclusive, en renforçant les capacités des TPE/PME tunisiennes et en facilitant leur accès au financement.
Dans ce cadre, la troisième composante du projet se concentre spécifiquement sur l’amélioration de l’accès des TPE au financement grâce à un accompagnement renforcé. À cet effet, des structures locales d’appui seront mobilisées afin d’aider les très petites entreprises à constituer des dossiers de financement solides, répondant aux exigences des différents financeurs, notamment dans les régions prioritaires.
Calendrier des sessions d’information:
Médenine–18 juin 2025 à 09h30, au Complexe de la jeunesse de Médenine
Gafsa–19 juin 2025 à 09h30, au Chambre de commerce de Gafsa
Kairouan–20 juin 2025 à 09h30, au Centre d’affaires Kairouan
Béja–24 juin 2025 à 09h30, au Centre Elife de Béja
En ligne, 25 juin à 10h, sur zoom
Nous vous encourageons vivement à participer à la session la plus proche de votre zone d’intervention ou à relayer cette invitation auprès de vos représentations régionales.
La participation doit être confirmée en remplissant le formulaire d’inscription à travers ce lien:
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLScCctQEZzWz1x0XJfyt3fDTIG5OMDeM8ZGnDPrVYFauWfetyw/viewform
L’appel à projets est disponible sur la plateforme POPS.
L’article Lancement prochain des sessions d’information sur le premier appel à projets Fund4Growth est apparu en premier sur Managers.
Une convention de partenariat stratégique a été signée cette semaine entre la Fédération tunisienne du textile et de l’habillement (FTTH), l’Association tunisienne des chercheurs en textile (ATCTex) et le Laboratoire de génie textile (LGTex) relevant de l’Institut supérieur des études technologiques (ISET) de Ksar Hellal.
Cette initiative a pour ambition de stimuler l’innovation, d’accompagner la transition écologique et numérique du secteur textile et d’encourager les entreprises à s’engager dans des projets de recherche appliquée, selon un communiqué publié vendredi par la FTTH.
La convention vient renforcer la collaboration entre les acteurs industriels, les chercheurs et les institutions académiques, avec pour but de faire évoluer le secteur vers des pratiques plus durables, innovantes et compétitives à l’échelle nationale et internationale.
L’ATCTex, fondée en 2007 par un groupe de professeurs et chercheurs de l’ISET de Ksar Hellal, s’investit depuis sa création dans la valorisation de la recherche scientifique textile en Tunisie. Elle œuvre à rapprocher les milieux académique et industriel pour accélérer l’adoption de solutions technologiques innovantes.
En s’appuyant sur cette synergie entre la recherche et le tissu économique, les signataires entendent positionner la Tunisie comme acteur clé d’un textile plus intelligent, plus propre et plus digitalisé, en phase avec les enjeux mondiaux liés à l’environnement, à la compétitivité et à l’innovation.
L’article Textile : signature d’une convention pour booster l’innovation, la durabilité et la digitalisation en Tunisie est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
La campagne de moisson s’accélère cette semaine dans le gouvernorat du Kef, avec un volume d’orge collecté atteignant près de 150 000 quintaux à la date du vendredi 13 juin.
Alors que la campagne de moisson bat son plein dans le gouvernorat du Kef, le rythme des récoltes devrait s’accélérer la semaine prochaine avec l’achèvement de la maturation des épis, notamment pour les variétés tardives ou celles ayant subi les effets des pluies du mois de mai. C’est ce qu’a indiqué Mounir Laâbidi, président de l’Union régionale de l’agriculture et de la pêche (URAP), dans une déclaration à l’agence TAP.
Dans une déclaration à l’agence TAP, Laâbidi a estimé que le rendement reste « globalement moyen » dans les exploitations privées, mais « nettement plus satisfaisant dans les zones irriguées publiques ».
Il a par ailleurs lancé un appel à l’ensemble des citoyens, et particulièrement aux automobilistes, les invitant à faire preuve de vigilance et à contribuer à la prévention des incendies, insistant sur le fait que la protection de la récolte constitue une responsabilité nationale partagée.
De son côté, le chef de la cellule de gestion des terres domaniales, Abdelkhalek Bouakka a souligné la qualité du cru de cette année en orge, précisant que ce dernier peut être utilisé aussi bien comme semence pour la prochaine campagne agricole, que comme fourrage ou même pour des usages alimentaires, en fonction des besoins.
Dans le même sillage, les services de la protection civile, les forces de sécurité ainsi que les équipes de la délégation régionale au développement agricole du Kef sont pleinement mobilisés pour prévenir les risques d’incendie.
Des pare-feux ont été ouverts, les accotements des routes ont été dégagés, et des équipes d’intervention avancées et des patrouilles mobiles ont été mises en place afin de sécuriser les exploitations céréalières et les forêts avoisinantes contre tout départ de feu accidentel.
L’article Environ 150 mille quintaux d’orge récoltés au Kef est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
La directrice générale de l’Office des céréales, Saloua Ben Hedid, a déclaré à l’agence TAP, que les prévisions de récolte de céréales à Siliana s’élèvent à 2,5 millions de quintaux. Cette déclaration a eu lieu à l’occasion du lancement officiel de la campagne de moisson dans une ferme de la délégation de Bourouis (gouvernorat de Siliana).
À ce jour, 283 000 quintaux ont été collectés dans la région, dont 9 % d’orge, a-t-elle précisé. Par ailleurs, 600 000 quintaux ont déjà été récoltés dans le gouvernorat de Kairouan.
Elle a ajouté que les opérations d’évacuation de la récolte se poursuivent afin de désengorger les centres de collecte, soulignant que l’Office a aménagé de nouveaux espaces pour accueillir des quantités supplémentaires d’orge.
Au niveau national, la capacité de collecte devrait atteindre 8 millions de quintaux au cours de cette saison, un chiffre record, selon la responsable.
De son côté, la cheffe du département de la production végétale au Commissariat régional au développement agricole de Siliana, Noura Zouari, a souligné que les conditions climatiques ont été favorables cette année grâce aux précipitations régulières enregistrées dans la région. Elle a rappelé que le gouvernorat de Siliana compte 28 centres de collecte, offrant une capacité de stockage d’environ 1,1 million de quintaux de céréales.
L’article Démarrage de la moisson à Siliana est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Il s’agit de Slim Arfaoui, qui a été nommé à la tête de la Société les Ciments de Bizerte, et Mohsen Boulaâras qui prend les rênes de la Société Tunisienne de Sucre (STS).
L’article Nouvelles nominations à la tête des Ciments de Bizerte et de la STS est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Le ministère de l’Équipement et de l’Habitat prévoit de lancer, d’ici la fin de l’année 2025, une première opération pilote pour l’application de la loi relative aux bâtiments menaçant ruine. C’est ce qu’a annoncé le ministre Slah Zouari lors d’une séance de dialogue avec les membres du Conseil national des régions et des districts (CNRD).
Cette opération s’inscrit dans le cadre d’un plan d’appui au secteur de l’habitat, structuré autour de huit objectifs. Le ministre a insisté sur l’importance de cette loi, précisant que les mécanismes de mise en œuvre ont déjà été définis et publiés.
La mise en application de cette loi démarrera en 2025 et se poursuivra dans les années à venir, avec pour objectif de garantir un logement décent pour tous.
Slah Zouari a également évoqué une hausse attendue de la demande pour le mécanisme du « premier logement », notamment grâce aux mesures prises pour en faciliter l’accès dès 2025.
Par ailleurs, l’Agence foncière de l’habitat (AFH) lancera, à partir de 2026, l’attribution de lotissements sociaux dans le cadre d’un programme spécifique visant à permettre l’acquisition de terrains domaniaux.
Autre mesure phare : la relance du mécanisme de location-vente, considéré comme l’un des piliers du plan gouvernemental. Celui-ci permettra aux citoyens de louer un logement avec la possibilité de l’acquérir, facilitant ainsi l’accès à la propriété, notamment pour les catégories à faibles revenus.
Le ministre a enfin présenté les projets en cours dans le secteur public de l’immobilier : l’AFH pilote actuellement 66 projets couvrant 3 000 hectares, tandis que les investissements de la Société nationale immobilière de Tunisie (SNIT) atteignent environ 40,4 millions de dinars.
L’article Bâtiments menacés d’effondrement : première opération pilote du ministère de l’Équipement est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Le ministre de l’Équipement et de l’Habitat, Slah Zouari, a indiqué que l’appel d’offres pour la réalisation de la deuxième phase du programme de logements sociaux, visant à construire 3 100 unités d’habitation, sera lancée avant la fin de l’année 2025, en attendant l’achèvement de la première phase du programme.
Zouari a précisé, vendredi 13 juin, lors d’une séance de dialogue avec les membres du Conseil national des régions et des districts (CNRD), que la composante relative à la construction de logements sociaux, inscrite dans le cadre du programme spécifique, a connu une progression notable en matière de réalisation.
Lancé en 2012 dans le cadre de la politique gouvernementale en matière d’habitat, ce programme vise à fournir des logements décents à travers la construction de 13 400 unités d’habitation. Il est mis en œuvre en deux phases, avec un financement provenant de plusieurs bailleurs de fonds ainsi que du budget de l’État, pour un montant total estimé à 1,038 milliard de dinars.
Le ministre a indiqué qu’environ 4 537 logements ont été livrés, tandis que 1 100 autres sont prêts à l’être dès que la liste des bénéficiaires sera finalisée. Il a également souligné qu’environ 2 681 unités n’ont pas encore été réalisées, rappelant que cette première phase prévoit la construction de 8 372 logements, pour un coût estimé à 588 millions de dinars.
Par ailleurs, il a fait savoir qu’environ 10 000 personnes ont bénéficié de la composante relative à la substitution, après l’éradication des logements rudimentaires. Sur les 9 500 unités identifiées dans ce cadre, 7 300 ont déjà été achevées.
Évoquant plus largement la politique de l’habitat, Zouari a mis en avant les mécanismes mis en place par l’État pour soutenir ce secteur, notamment l’activation du mécanisme de location-vente et la mise à disposition de logements sociaux réalisés dans le cadre des interventions ordinaires du Foprolos.
« La Tunisie œuvre à renforcer et à faciliter l’accès au logement, à travers le mécanisme du premier logement, la mise à disposition de parcelles sociales, ainsi que l’octroi de subventions pour l’amélioration de l’habitat », a-t-il conclu.
L’article Logement social : appel d’offres imminent pour 3100 logements est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Une récente étude commandée par Kaspersky et VDC Research appelée « Securing OT with Purpose built Solutions » dresse un état des lieux de la cybersécurité des environnements technologiques dans les entreprises du secteur de l’industrie. A partir d’un panel de 250 décideurs issus, entre autres, des secteurs de l’énergie, des services publics, de la manufacture, et des transports, l’étude analyse les principales tendances commerciales et techniques qui affectent les organisations industrielles, et revient sur les stratégies les plus efficaces pour relever ces défis.
Selon l’étude, les répercussions financières d’une cyberattaque dans le secteur des TIC sont complexes et variées. Les organisations doivent prendre en compte un large éventail de coûts, y compris les pertes de revenus, les arrêts de production non planifiés, la perte et la mise au rebut des stocks de produits en cours de production, et les dommages causés aux équipements ou aux biens. Au-delà de tous ces frais, la charge financière totale englobe également les dépenses directement liées à la violation, telles que la réponse aux incidents, qu’elle soit assurée en interne ou par des fournisseurs tiers, ou encore le paiement des rançons dans le cadre des attaques ransomware.
En considérant tous ces facteurs, 21 % des répondants à l’enquête ont estimé que chaque cyberattaque pourrait entraîner des dommages supérieurs à 5 millions de dollars sur une période de deux ans. La répartition des coûts varie considérablement d’une organisation à l’autre et d’un incident à l’autre, mais elle a généralement un impact sur plusieurs départements et influe à la fois sur le chiffre d’affaires et la rentabilité.
Le rapport précise que la réponse aux incidents représente environ 22 % du total des dépenses liées aux violations, suivie par la perte de revenus (19,5 %), les temps d’arrêt imprévus (17 %), la réparation et le remplacement d’équipements ou de biens (17 %), le paiement de rançons (12 %) et la mise au rebut ou la perte de stocks de travaux en cours (12 %). Concernant les temps d’arrêt, 70 % des personnes interrogées ont indiqué que ces interruptions durent généralement entre quatre et 24 heures. Ces arrêts peuvent engendrer des pertes financières importantes, des blocages opérationnels et ébranler la confiance de la clientèle.
« Les arrêts non planifiés représentent un coût majeur pour les entreprises industrielles. La maintenance est évidemment un moyen crucial de les limiter, mais la mise en œuvre de mesures de cybersécurité renforcées sont également indispensables. Ignorer les risques de cybersécurité sape les efforts visant à éliminer les temps d’arrêt et à assurer la rentabilité », commente Andrey Strelkov, responsable de la ligne de produits de cybersécurité industrielle chez Kaspersky.
Kaspersky propose un écosystème unique pour les clients OT, combinant des technologies professionnelles, des connaissances spécialisées et une expertise approfondie. Au cœur de cet écosystème se trouve Kaspersky Industrial Cybersecurity (KICS), une plateforme XDR native conçue pour la protection des infrastructures critiques et des entreprises industrielles. KICS offre une couverture de bout en bout de l’infrastructure, des mesures de réponse sécurisées, une gestion centralisée des actifs, une évaluation des risques et des capacités d’audit, tout en assurant une sécurité évolutive dans des environnements complexes et distribués grâce à une plateforme unifiée.
Avec communiqué
L’article L’industrie à l’ère du risque numérique : des attaques aux coûts vertigineux est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Le réseau de distribution du gaz naturel au profit des habitants de la ville de Tataouine sera bientôt mis en service, a affirmé à l’agence TAP une source au sein de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG).
Ce projet, dont le coût s’élève à 32 millions de dinars, a porté principalement sur la pose de conduites sur des distances de 50 et 13 km, ainsi que leur raccordement au réseau de distribution du gaz naturel.
Le raccordement des foyers au réseau se fera sur demande. L’approvisionnement de la région en gaz naturel sera, dans un premier temps, assuré par la station de gaz de Gabès, en attendant l’achèvement de la construction de l’unité de traitement de gaz à Kordhab, dans la délégation de Ghomrassen.
L’article Tataouine : bientôt mise en service du réseau de distribution du gaz naturel est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Le ministre de l’Équipement et de l’Habitat, Slaheddine Zouari, a confirmé, vendredi 13 juin, lors d’une séance de dialogue sur le secteur du logement et de l’aménagement du territoire tenue au Conseil national des régions et des districts (CNRD), que le nouvel index de transport routier sera officiellement publié au cours du deuxième semestre de l’année 2025.
Zouari a précisé que le ministère a mis à jour l’index routier, en vigueur depuis 1984, en le remplaçant par un nouveau guide prenant en compte l’évolution du trafic, le volume des échanges commerciaux, les changements climatiques, ainsi que l’intégration de l’innovation et de l’économie circulaire pour des routes durables.
Il a indiqué que le ministère vise à atteindre 1 320 km d’autoroutes d’ici à 2035, rappelant que la Tunisie en compte actuellement 743 km.
Dans ce cadre, il a souligné que les efforts portent sur l’achèvement de l’autoroute Tunis-Jelma (186 km), ainsi que sur la finalisation des études et procédures foncières pour d’autres tronçons totalisant 390 km, notamment Bou Salem-frontière algérienne, Jelma-Sidi Bouzid-Gafsa, ainsi qu’une autoroute vers Le Kef.
Concernant les routes express, le ministre a précisé que son département ambitionne de réaliser 2 000 km d’ici à 2035, contre 700 km actuellement disponibles.
Il a également annoncé le lancement d’études visant à relier les régions et les pôles technologiques aux zones frontalières.
Durant le second semestre 2025, plusieurs projets majeurs seront lancés, notamment le doublement de la route nationale 13, reliant Kasserine à Sfax via Sidi Bouzid et Kairouan, pour un coût de 1 470 millions de dinars, ainsi que le doublement de la route nationale 2, reliant Nefza à Kairouan et à l’autoroute A1, pour un coût de 360 millions de dinars.
S’agissant des pistes rurales, le ministre a estimé que les projets réalisés sont inférieurs à l’objectif fixé (moins de 50%). En effet, seulement 28 000 km sur les 58 000 km existants ont été aménagés et bitumés.
Il a souligné que le ministère achèvera prochainement la réalisation de 900 km de pistes rurales, et entamera parallèlement la construction de 114 km de pistes autour de l’axe économique de la route nationale n°13.
Le plan stratégique 2026-2030 devrait inclure l’aménagement d’au moins 2 000 km de pistes rurales, sélectionnées selon les priorités définies par le Conseil des régions et districts.
Le ministre a également rappelé que son département a élaboré un programme d’action jusqu’à fin 2025, comprenant la réalisation de 22 projets en attente pour un coût de 1,2 milliard de dinars, ainsi que le lancement de 12 nouveaux projets inscrits dans la loi de finances, répartis sur 14 gouvernorats, pour un montant global de 2,3 milliards de dinars.
« Le ministère vise également à relancer 16 projets bloqués dans 13 gouvernorats, pour un coût de 0,4 milliard de dinars avant la fin de l’année 2025 », a-t-il ajouté.
Enfin, concernant le projet du pont de Bizerte, le ministre a indiqué qu’il sera exploité d’ici à fin 2027. Ce projet, qui comprend trois tranches, représente le plus grand marché conclu dans le secteur des ponts et routes. Il sera réalisé par une entreprise chinoise pour un investissement total de 610 millions de dinars.
L’article Le nouvel index du transport routier publié au second semestre 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Dans une interview accordée à Al Business, Al-Nahlawi a ajouté que les entreprises utilisant l’intelligence artificielle (IA) dans le cadre de leurs services (AI Enabled) représentaient la plus grande part des investissements, par rapport aux entreprises qui s’appuient sur l’IA comme fondement de leur modèle économique (AI Native). Des pays comme les Émirats arabes unis et l’Égypte ont constaté un intérêt marqué pour ce type d’entreprises.
Elle a expliqué que dans le secteur des technologies financières (fintech), les entreprises ont levé environ 174 millions de dollars, dont 66 % étaient destinés à des entreprises utilisant l’IA, ce qui reflète le recours croissant à l’intelligence artificielle comme outil de soutien aux services financiers.
Toujours selon Mme Al-Nahlawi, les Émirats arabes unis mènent des initiatives dans ce domaine grâce à leur Stratégie nationale d’intelligence artificielle 2031, ainsi qu’à des investissements importants d’institutions telles que City View et Google, et de fonds comme Wa’ed Ventures.
L’Arabie saoudite a également lancé sa stratégie d’IA pour la période 2025-2030, avec une forte présence d’investissements égyptiens.
Elle a souligné que parmi les transactions les plus marquantes du secteur entre 2022 et 2024 figurait l’acquisition de Paymob (50 millions de dollars), suivie de celle de The Applied AI Company (42 millions de dollars). Le premier trimestre 2025 a vu une nouvelle transaction de plus de 50 millions de dollars.
En termes de nombre de transactions, Gaia Accelerators d’Arabie saoudite a ouvert la voie, suivi de Flat6Labs et 500 Global, dans un contexte d’activité importante de la part d’investisseurs locaux tels que VantO Investors.
L’article Un bond en avant dans les investissements en IA au Moyen-Orient est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Ghazi El Biche (PDG de van Laack Tunisie) a été réélu président de la Chambre tuniso-allemande de l’industrie et du commerce (AHK Tunisie) lors de sa 46ᵉ Assemblée générale, tenue ce jeudi à Tunis. Hichem Elloumi (Coficab) et Ibrahim Debache (Ennakl Automobiles) ont été élus vice-présidents.
Dr. Wissem Badri (Kromberg & Schubert Tunisie)
Volker Kasten (Nani)
Dr. Adel Ben Khaled (Nexans Autoelectric)
Mohamed Yassine Bouagila (Sartorius Stedim Bioprocess)
Côté tunisien :
Nazeh Ben Ammar (Excellencia)
Sonia Mahjoub (Focus)
Mehdi Tekaya (Wevioo)
L’article Ghazi El Biche réélu président de l’AHK Tunisie : un nouveau mandat pour renforcer les liens économiques tuniso-allemands est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.