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Heute — 20. September 2025Haupt-Feeds

Zaghouan : “Sioen” annonce la fermeture de son site de production

Von: walid
20. September 2025 um 15:51

La direction de l’usine “Sioen”, opérant dans le secteur des textiles, vient d’annoncer la fermeture de son site de production à Zaghouan.

La fermeture de cette unité, due à des difficultés financières rencontrées , entraine le placement de 250 ouvriers au chômage.

Le secrétaire de l’Union régionale du travail, Hamadi Nahali a indiqué à l’Agence TAP que la décision de l’employeur a été prise de manière unilatérale sans respecter les dispositions légales prévues par le code du travail.

Dans sa réponse écrite envoyée à l’Agence TAP, la direction de l’usine a précisé que la cession d’activités a été décidée afin d’assurer la continuité du fonctionnement de son deuxième site basé à Tunis et la survie de l’entreprise.

Les droits sociaux et financiers des salariés seront conservées, a affirmé la même source.

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Telnet Holding affiche un résultat résilient et récupère un crédit TVA de 2,914 Mtnd

20. September 2025 um 11:54

La société Telnet Holding a annoncé un bénéfice net de 5,055 Mtnd. Ces résultats individuels garantissent déjà un dividende attractif pour l’année prochaine. Sur le plan consolidé, les revenus ont enregistré une hausse de 23,9% par rapport à l’année précédente, atteignant ainsi 42,348 Mtnd. En ce qui concerne les charges, celles liées au personnel restent le principal poste de dépenses, avec une augmentation de 14,9%, s’élevant à 26,183 Mtnd. Cette hausse a impacté la rentabilité opérationnelle du groupe. L’EBIT (bénéfice avant intérêts et impôts) a ainsi diminué, s’établissant à 4,364 Mtnd contre 6,301 Mtnd l’année précédente.

Les comptes consolidés montrent également une quote-part des titres mis en équivalence s’élevant à 0,625 Mtnd. Le bénéfice net part du groupe a atteint 4,093 Mtnd, marquant une légère baisse de 4,6% par rapport à l’année précédente.

Par ailleurs, la société Telnet INC a conclu un accord total avec l’administration fiscale le 17 juin 2025 concernant les notifications de février 2023 et de mars 2024. Selon cet accord, la société s’est engagée à régler les restes à recouvrer exigibles en principal, d’un montant de 0,334 Mtnd, sur un délai de trois ans. À la date du 30 juin 2025, la première échéance a été réglée pour un montant de 0,040 Mtnd. De même, un accord favorable a été obtenu concernant le crédit TVA, à la suite de la demande de restitution effectuée par la société le 25 décembre 2024. L’administration fiscale a accepté une restitution de 2,914 Mtnd.

Sur le marché, le titre affiche un rendement de 17,5% depuis le début de l’année, satisfaisant pour les investisseurs.

 

 

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La BTS mobilise 6,5 MDT en faveur des petits céréaliculteurs pour la saison 2025-2026

20. September 2025 um 08:13

La Banque tunisienne de solidarité (BTS) a décidé de nouvelles mesures au profit des petits céréaliculteurs pour la saison 2025-2026, en plus d’approuver le financement d’environ 450 dossiers avec un montant total de prêts de 6,5 millions de dinars (MDT).

Les nouvelles mesures les plus importantes consistent à augmenter de 24 à 30 MDT les fonds alloués, dont 5 MDT à travers des collecteurs privés, selon la banque.

Les mesures prises lors de la Journée nationale du secteur des céréales, organisée jeudi 18 septembre en partenariat avec le ministère de l’Agriculture, et la Banque agricole nationale (BNA) à l’Institut national de l’agriculture, visent également l’augmentation du plafond des crédits saisonniers fournis par la banque de 60 mille dinars à 100 mille dinars sans garanties en nature ni d’autofinancement, mais aussi l’augmentation du plafond des crédits accordés par les associations de microfinance de 5 à 10 mille dinars.

La BTS a également décidé de supprimer le plafond d’âge maximum (auparavant 65 ans), en plus de conclure de nouveaux accords avec 5 collecteurs privés dans les gouvernorats où il n’y a pas d’entreprises traitant avec la banque et d’ouvrir la porte au financement dans les autres gouvernorats en focalisant sur le secteur de l’irrigation.

La banque a tenu, le même jour, sa première réunion interne consacrée aux crédits au siège central de la banque, au cours de laquelle elle a approuvé le financement d’environ 450 dossiers pour un montant total de crédits  d’environ 6,5 millions de dinars.

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Mise à niveau industrielle: adoption de quatre dossiers de 110 MDT 

20. September 2025 um 08:00

La Commission consultative du Programme de mise à niveau industrielle (PMN) des entreprises a approuvé, vendredi 19 septembre 2025, quatre (4) dossiers de mise à niveau industrielle pour des entreprises industrielles avec un montant global d’investissement de plus de 110 millions de dinars (MDT) et des subventions de 15 MDT.

Ces entreprises opèrent dans les secteurs des industries agroalimentaires, des industries textiles et habillement, des industries mécaniques et électriques et des industries diverses, a fait savoir le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie.

La réunion de la Commission, présidée par la ministre de l’Industrie, Fatma Thabet Chiboub, a également permis d’adopter les travaux de la commission restreinte du PMN tenue le 17 septembre 2025. Il s’agit d’approuver 33 dossiers de mise à niveau d’investissements d’une valeur de 53 MDT et des subventions de 8,1 MDT.

De même, la commission a adopté, à la même date, 66 dossiers d’investissements technologiques prioritaires d’une valeur de 4,6 MDT et des subventions d’environ 2 MDT.

Le département de l’Industrie précise que le but est d’inciter les entreprises industrielles à réaliser les investissements nécessaires dans le domaine du traitement des eaux industrielles. A ce titre, décision a été prise d’accorder des incitations du Fonds de développement de la compétitivité industrielle pour l’installation des stations d’épuration.

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Gestern — 19. September 2025Haupt-Feeds

Transport maritime : la transformation numérique entraîne une « crise humaine »

19. September 2025 um 18:30

Le transport maritime mondial connaît une révolution technologique à un rythme sans précédent. De nouvelles solutions transforment radicalement le fonctionnement des navires et des ports, mais derrière ces innovations se cache un risque sérieux : la création d’une main-d’œuvre risquant d’être laissée pour compte.

S’exprimant jeudi 18 septembre lors de la clôture de la London International Shipping Week (LISW25), le président d’Inmarsat, Ben Palmer, a déclaré que le transport maritime connaissait la transformation la plus profonde de son histoire. Il a expliqué que l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique optimiseraient chaque voyage, que les données de performance seraient saisies en temps réel et que les imprimantes 3D embarquées fabriqueraient des pièces de rechange en cas de besoin. « Ces progrès sont déjà en cours », a-t-il ajouté.

Shell, par l’intermédiaire de Carrie Troth, directrice des activités maritimes, a présenté ses propres initiatives : transition vers de nouveaux carburants, flotte de méthaniers bicarburants, utilisation de bio- et électro-GNL, mais aussi test de piles à oxyde solide sur un méthanier. Cependant, malgré la technologie, l’accent a également été mis sur le facteur humain.

Emanuele Grimaldi, président de la Chambre internationale de la marine marchande, a exprimé la même préoccupation. Il a souligné que les marins doivent rester en première ligne, car 70 % de la main-d’œuvre aura besoin d’une mise à niveau immédiate. Il a même mis en garde contre une grave pénurie de marins, notamment les jeunes, qui ne peuvent imaginer la vie sans connexion internet permanente.

De son côté, Nick Brown, PDG de Lloyd’s Register, a évoqué une industrie « conservatrice » qui adopte pourtant les solutions numériques à un rythme sans précédent. Selon lui, le plus grand risque pour les armateurs est désormais de rester inactifs. Il a également mis en garde contre la pénurie de main-d’œuvre et décrit la situation comme une « crise humaine » imminente, posant la question clé : « D’où viendra la prochaine génération de marins ? ».

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Leith Ben Becher : « Notre système fiscal agricole est injuste »

19. September 2025 um 18:07

Le système fiscal  appliqué à l’agriculture ne favorise pas les exploitants agricoles, principalement parce qu’il ne prend pas en compte les spécificités fondamentales du métier d’agriculteur. C’est le constat dressé par Leith Ben Becher, président d’honneur de l’association pour l’agriculture durable et fondateur du Syndicat des agriculteurs de Tunisie

Notre invité dénonce le système fiscal agricole  une « injustice qui dure depuis très longtemps » et appelle à des réformes urgentes pour corriger des failles qui fragilisent un secteur déjà mis à rude épreuve par les aléas climatiques. Au cœur de ses préoccupations se trouvent la gestion de la TVA, l’absence de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle pour l’année 2024 et la suspension du fonds d’indemnisation des calamités agricoles.

Le principal problème, selon M. Ben Becher, réside dans l’absence d’un statut juridique clairement défini pour les agriculteurs. Cette lacune a une conséquence directe sur leur traitement fiscal, notamment en matière de TVA. Contrairement aux autres professions, l’agriculteur est considéré comme un consommateur final. Lorsqu’il achète des intrants, des pièces de rechange ou des services nécessaires à son exploitation, il paie une TVA qu’il ne peut ni déduire ni récupérer.

Cette charge non déductible pèse lourdement sur ses finances, d’autant plus que les prix de vente de nombreux produits agricoles sont administrés à l’avance, l’empêchant d’impacter ce coût sur le consommateur. Cette situation crée une distorsion par rapport à d’autres corps de métier, comme un menuisier qui intègre la TVA sur ses matières premières dans le prix de vente final de son produit. Hormis ce point, le reste du système d’imposition est globalement équivalent aux autres secteurs, sauf pour certaines sociétés agricoles spécifiques.

Ben Becher souligne également deux points critiques qui nécessitent une réparation immédiate. Le premier concerne l’année 2024, qualifiée d’ « année sinistrée » pour de nombreuses cultures pluviales comme les céréales, les légumineuses et les fourrages. Malgré des pertes considérables, les pouvoirs publics n’ont pas publié de décret déclarant officiellement l’état de catastrophe naturelle au sens juridique du terme. Cette absence de reconnaissance officielle a un double impact négatif. D’une part, elle prive les agriculteurs de la possibilité de se prévaloir de cette situation auprès des banques pour obtenir des reports d’échéances ou des aménagements de crédits, les institutions financières ne pouvant pas non plus appliquer de règles spécifiques liées à un cas de force majeure.

D’autre part, elle pénalise doublement les agriculteurs qui, en cas de bonne récolte l’année suivante, devront non seulement assumer les dépenses de la nouvelle campagne mais aussi rembourser les arriérés de l’année sinistrée, un fardeau particulièrement lourd après plusieurs saisons difficiles. Le second point soulevé est directement lié à cette situation : la suspension unilatérale par le gouvernement du Fonds d’indemnisation des calamités naturelles (FIDAC).

Ce fonds, mis en place en 2018, fonctionnait comme une assurance spécifique permettant aux agriculteurs cotisants de récupérer une partie de leurs dépenses en cas de sinistre naturel avéré. Or, le mécanisme de déclenchement de cette assurance est l’annonce officielle de l’état de catastrophe naturelle. Puisque cette annonce n’a pas eu lieu pour la saison 2024, les agriculteurs qui avaient souscrit et payé leurs cotisations se retrouvent dans l’impossibilité de réclamer une indemnisation.  Pour Leith Ben Becher, cette situation est comparable à celle d’une personne qui paie une assurance incendie mais ne peut rien réclamer après un sinistre. Cette rupture pose un grave problème de confiance dans la parole publique et l’engagement de l’État, tout en perturbant le fonctionnement normal des exploitations agricoles.

 

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Ciments de Bizerte: 26,7 millions de dinars de pertes au premier semestre 2025

19. September 2025 um 16:19

La société Les Ciments de Bizerte (SCB) a publié ses états financiers intermédiaires arrêtés au 30 juin 2025. Au premier semestre 2025, la SCB affiche une perte nette de 26,7 millions de dinars, contre 26,8 millions à la même période de 2024. Le chiffre d’affaires a reculé à 18,6 millions de dinars, contre 19,6 millions un an plus tôt.

La marge brute, déjà négative en 2024, s’est encore détériorée pour atteindre -2,6 millions de dinars, contre -1,8 million l’année précédente. Ce recul est directement lié à l’arrêt de la production de clinker, conséquence de ruptures d’approvisionnement en coke de pétrole dues à un manque de financement. Pour pallier cette situation, la société a dû importer 58 536 tonnes de clinker, un volume insuffisant pour répondre à la demande et maintenir sa compétitivité.

Le coût de cette sous-activité est lourd : 11,3 millions de dinars ont été imputés au coût de production pour la période.

Au 30 juin 2025, le total des actifs de la SCB s’établit à 379,7 millions de dinars, contre 400 millions un an plus tôt. Les immobilisations corporelles représentent l’essentiel des actifs non courants (334,1 millions).

Côté passif, l’endettement progresse à 263,2 millions de dinars, contre 238,6 millions en juin 2024, tiré par les dettes fournisseurs (70,5 millions) et les concours bancaires (85,3 millions).

Les pertes successives continuent d’éroder les fonds propres, passés de 161,4 millions de dinars en juin 2024 à 116,5 millions un an plus tard. Le poste des résultats reportés affiche désormais un solde négatif de -230,2 millions de dinars.

Des signaux contrastés

Malgré ce tableau préoccupant, certains indicateurs apportent une note plus positive :

  • Charges financières en recul : elles passent de 5,9 millions à 5,1 millions de dinars.

  • Revenus du quai en forte hausse : ils atteignent 2 millions de dinars, contre 702 000 dinars en 2024.

  • Provision fiscale accrue : la société a dû constituer une provision supplémentaire de 4,4 millions de dinars, en raison de retards dans ses obligations fiscales.

 

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Pens.com étend ses activités à Tunis avec l’ouverture de nouveaux bureaux dans l’immeuble MAJDA

19. September 2025 um 14:53

Dans le cadre de sa stratégie d’expansion régionale, Pens.com renforce sa présence en Tunisie en investissant dans des infrastructures modernes destinées à accompagner sa croissance. La cérémonie d’inauguration, tenue en présence de représentants de l’entreprise et d’acteurs locaux, marque une étape significative dans le développement de Pens.com sur le territoire tunisien. Cette initiative témoigne de l’engagement durable de la multinationale envers ses équipes et son ancrage à long terme dans la région.

Tunis, Tunisie – 18 septembre 2025 – Pens.com vient d’annoncer la consolidation de sa présence en Tunisie à travers l’acquisition d’un étage supplémentaire au sein de l’immeuble MAJDA, situé à proximité de ses bureaux actuels aux Berges du Lac 2, à Tunis. Cette initiative s’inscrit dans une dynamique de croissance soutenue et témoigne de l’engagement indéfectible de l’entreprise envers ses collaborateurs et ses activités locales.

Implantée en Tunisie depuis 2018, Pens.com a connu une expansion constante, employant aujourd’hui plus de 1 000 collaborateurs. Au fil des sept dernières années, la société a consolidé son ancrage à Tunis où ses équipes assurent un large éventail de fonctions stratégiques, contribuant à enrichir l’expérience client à l’échelle mondiale.

Le nouvel espace accueillera les équipes de plus en plus nombreuses occupant des fonctions multilingues clés, dont les opérations du centre de contact (Ventes et Service Client), l’Administration et le Marketing, au service d’une clientèle internationale diversifiée.

Lors de l’inauguration officielle des nouveaux espaces, tenue le 17 septembre, la direction de Pens.com, conduite par son Président & CEO, M. Peter Kelly, s’est rendue à Tunis pour célébrer cette étape importante lors d’une cérémonie de coupure de ruban.

Un événement qui a mis en avant le rôle stratégique du site tunisien dans le déploiement global de l’entreprise. « Nos opérations en Tunisie sont un pilier fondamental de notre succès. Elles sont portées par des équipes talentueuses et engagées, qui contribuent activement à l’amélioration continue de l’expérience client », a déclaré M. Peter Kelly. « Cette expansion illustre la solidité de notre développement local et réaffirme notre confiance dans le site Tunisie, élément clé de notre stratégie internationale. J’invite les professionnels locaux à découvrir les opportunités passionnantes que nous proposons sur notre site carrière. »

Dans le cadre de cette croissance, Pens.com continue de créer des opportunités professionnelles stimulantes pour les talents sis en Tunisie. Les personnes intéressées peuvent consulter les offres disponibles sur : https://careers.pens.com.

À propos de Pens.com

Forte de près de 60 ans d’expérience et présente dans 22 pays à travers le monde, Pens.com aide ses clients à « dépenser moins et promouvoir plus », grâce à une large gamme de produits promotionnels de qualité adaptés à tous les budgets. En tant que marque phare de National Pen dédiée au modèle direct-à-l ’entreprise, Pens.com opère via un réseau de plus de 11 sites en Amérique du Nord, en Europe, en Afrique, en Australie et en Asie.

Pour en savoir plus : www.PENS.com
Pens.com est une marque de National Pen.

National Pen est une marque de Cimpress (Nasdaq : CMPR).

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Sotuver: des comptes solides qui valident la stratégie

19. September 2025 um 09:18

La Société tunisienne de verreries (Sotuver) a enregistré un bénéfice net de 2,162 Mtnd au terme du premier semestre 2025, contre 6,119 Mtnd à la même période en 2024. Le chiffre d’affaires a progressé de 5,0%, atteignant 51,106 Mtnd, dont 40,042 Mtnd réalisés à l’export et 11,064 Mtnd sur le marché local. Cette répartition confirme la stratégie de la société, axée principalement sur les marchés étrangers. Par ailleurs, les autres produits d’exploitation se sont élevés à 4,755 Mtnd.

Les charges d’exploitation ont été maîtrisées, avec une hausse de 9,4% à 45,288 Mtnd. L’EBIT du premier semestre s’établit ainsi à 10,573 Mtnd, en hausse de 16,4% sur un an.

En revanche, les charges financières nettes ont fortement augmenté, atteignant 9,139 Mtnd à fin juin 2025, contre 6,413 Mtnd un an plus tôt. L’endettement de la société s’est sensiblement alourdi, avec des emprunts totalisant 81,160 Mtnd et des concours bancaires s’élevant à 116,787 Mtnd. À cela s’ajoute une baisse de 46,3% des produits de placement, qui se sont établis à 1,664 Mtnd. Ces éléments financiers, expliqués entre autres par les investissements importants engagés au cours de 2024 (97,977 Mtnd) et qui se sont poursuivis cette année, ont pesé sur la rentabilité.

Au niveau consolidé, la Sotuver a quasiment doublé son bénéfice net, à 26,693 Mtnd. Sur le marché boursier, le titre affiche un rendement de 7,45% depuis le début de l’année et les chiffres publiés devraient consolider la performance de l’action.

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Myriam Mouakhar succède à Chokri Ben Mabrouk à la tête d’ASSAD

19. September 2025 um 07:11

A ASSAD, ne dites plus « Monsieur le directeur général d’ASSAD », mais « Madame la directrice générale ».

En effet, le Conseil d’administration de l’Accumulateur ASSAD a décidé de nommer Myriam Mouakhar, en tant que directrice générale, apprend-on.

Membre du conseil depuis un bon moment, elle remplace Chokri Ben Mabrouk à ce poste, et ce officiellement depuis le 15 septembre 2025.

Bon vent Mme Mouakhar.

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Face à Nvidia, Huawei lance les processeurs IA les plus puissants au monde

18. September 2025 um 18:28

Le géant chinois des télécommunications Huawei a annoncé, jeudi 18 septembre 2025, de nouveaux systèmes informatiques. Ils sont destinés à prendre en charge les technologies d’intelligence artificielle utilisant ses puces Ascend 910C. A savoir, une initiative qui accroît la pression sur son concurrent américain, Nvidia.

La société Huawei a déclaré qu’elle prévoyait de lancer son nouvel Atlas 950 SuperCluster dès l’année prochaine. Lequel comprendra plus de 500 000 puces. L’Atlas 960, plus avancé, prévu pour 2027, supportera 15 488 puces par nœud. Portant ainsi le nombre total de puces du supercluster à plus d’un million…

A rappeler que les États-Unis cherchent à priver la Chine de semi-conducteurs avancés utilisés dans la formation des modèles d’IA. Forçant donc les entreprises chinoises à s’appuyer sur l’assemblage d’un grand nombre de puces moins efficaces, souvent produites localement, pour obtenir des capacités de calcul similaires. C’est ce que révèle un rapport publié par CNBC.

Selon Huawei, son architecture informatique IA connecte un supercluster à plusieurs superclusters, qui sont à leur tour construits à partir de plusieurs super nœuds basés sur des puces Ascend, utilisant la conception technique pour surmonter les limitations techniques imposées par les sanctions américaines.

Huawei : les nouveaux super nœuds seront les plus puissants du monde

Huawei a confirmé dans un communiqué que les nouveaux super nœuds seront les plus puissants au monde en termes de puissance de calcul pendant plusieurs années.

« L’annonce par Huawei de cette prouesse technologique coïncide avec l’accent croissant mis par le gouvernement chinois sur l’autonomie en matière de technologies de puces ». Ainsi affirme George Chen, associé et responsable du département numérique de The Asia Group…

Le cabinet d’études SemiAnalysis avait révélé en avril dernier que le système CloudMatrix de Huawei surpassait celui de Nvidia. Bien que chaque puce Ascend n’offre qu’environ un tiers des performances du processeur Nvidia, Huawei a compensé l’écart avec cinq fois plus de puces.

« La puissance de calcul a été et restera le facteur déterminant du développement de l’intelligence artificielle », selon Eric Xu, vice-président et président tournant de Huawei, lors de l’ouverture de la conférence annuelle Huawei Connect à Shanghai.

Il y a deux ans, lors du même événement, Huawei avait annoncé l’Atlas 900 SuperCluster et vend actuellement un cluster de calcul IA comprenant des « milliers » de puces Ascend.

La pression sur Nvidia

L’annonce de Huawei intervient alors que la Chine continue de promouvoir des alternatives nationales à Nvidia. A noter que Pékin et Washington ont conclu des négociations commerciales en Espagne, qui abordaient notamment une possible solution au différend concernant les activités de TikTok aux États-Unis.

Dans un autre signal d’escalade, la Chine a annoncé lundi qu’elle allait étendre son enquête sur Nvidia pour des pratiques antitrust présumées. De ce fait, la pression s’est accrue sur la société américaine après que ses actions ont chuté de plus de 2 % mercredi à la suite d’un rapport du Financial Times selon lequel la Chine avait ordonné aux entreprises technologiques nationales de cesser les tests et les commandes de la puce Nvidia RTX Pro 6000D.

Le PDG de Nvidia, Jensen Huang, a exprimé sa « déception » à l’annonce de cette prétendue interdiction. Tout en affirmant auparavant que Huawei était un concurrent « féroce » dans le secteur.

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Tunisie : quand les investisseurs prêchent dans le désert

18. September 2025 um 16:45

L’impatience gagne les milieux économiques. Face à un État qui peine à tenir ses promesses de réforme, entrepreneurs et experts tirent la sonnette d’alarme. Ils estiment que sans révolution réglementaire, la Tunisie ratera le coche de la compétitivité méditerranéenne. La frustration était palpable, mercredi, dans la salle qui a abrité l’événement « Tunisie 2.0 : Réinventer l’attractivité économique et l’environnement des affaires ».

Derrière les sourires de circonstance et les formules diplomatiques, une réalité s’impose : le décalage grandissant entre les ambitions affichées et la réalité du terrain. Les acteurs économiques du pays ne mâchent plus leurs mots. Ils exigent des actes.

L’offensive de Tarak Cherif : « Libérez tout ! »

Le ton est donné d’emblée par Tarak Cherif, figure emblématique d’ANIMA Investment Network. L’homme n’y va pas par quatre chemins : « La Tunisie manque cruellement d’ambition ». Son diagnostic est sans appel. Le pays se contente de viser 3,2 % de croissance quand il pourrait prétendre à bien mieux. Sa recette ? Révolutionnaire dans sa simplicité : libérer totalement l’investissement privé. Seules exceptions tolérées : la sécurité nationale et les activités illicites. Point final.

Mais M. Cherif ne s’arrête pas là. Il pointe du doigt le maillon faible : la logistique. « Le meilleur investissement possible », martèle-t-il. Ports défaillants, aéroports sous-dimensionnés : autant de boulets qui sabotent la compétitivité nationale. L’exemple des Émirats ? Obsédant. Leur politique d’Open Skies a transformé Dubaï en hub incontournable. La Tunisie, elle, continue de discuter.

Moez Soussi, l’économiste qui compte

Plus analytique, Moez Soussi dissèque les maux avec la précision du chirurgien. Professeur d’université, il livre ses chiffres : une hausse de 100 points de base du taux directeur provoque une chute de 16 % de l’investissement privé. Dix années de politique monétaire restrictive ont fait des ravages. Autre poison : l’écart systématique entre promesses budgétaires et résultats. Comment investir sereinement quand l’État lui-même rate ses prévisions ? « La Tunisie ne manque de rien pour réussir », tempère-t-il néanmoins. Talents, ingéniosité : les atouts existent. Reste à créer l’environnement législatif adéquat.

Ghali Mannoubi : les leçons du monde

Depuis la Tunisia Investment Authority, Ghali Mannoubi observe les tendances mondiales. Joint-ventures et fusions-acquisitions dominent désormais face aux traditionnels projets Greenfield. L’Asie et l’Afrique mènent une guerre sans merci pour attirer les capitaux. Comment rivaliser ?

Ses propositions : une « autorisation unique » (testée avec succès en Égypte et aux Émirats), une politique d’incitations repensée (exit les 20 secteurs fourre-tout, place aux niches d’avenir), et l’unification des zones sous le label « zones économiques spéciales ». Du concret, enfin.

Mohamed Ben Abid : les aveux du gouvernement

Face à cette charge, Mohamed Ben Abid ne peut esquiver. Directeur général du suivi des réformes, il concède : 50 % seulement des 185 mesures de la stratégie climat des affaires ont été réalisées. La troisième vague du décret 417 arrive, promet-il. Mais consulter cinquante ministères prend du temps…

Sa défense : éviter la déstabilisation. Sa roadmap : logistique, digitalisation (plateforme unique de l’investisseur au premier trimestre 2026), financement PME et foncier. Les quatre piliers de la renaissance annoncée.

Néjia Gharbi : « Stop à l’inflation législative »

De la Caisse des Dépôts et Consignations, Néjia Gharbi lance son cri du cœur : « Trop de textes, trop de lois ». Sa philosophie ? « L’investissement est libre sauf liste négative ». Simple, efficace.

Elle épingle la sur-réglementation chronique : PPP et crowdfunding étranglés par l’excès de contrôle. Pourtant, les atouts tunisiens restent intacts : top 20 mondial pour les talents, porte d’entrée africaine. La CDC mobilise déjà les bailleurs internationaux. Reste à lever les verrous.

Au final, un paradoxe tunisien se dessine : un pays riche de potentiel mais pauvre en réactivité institutionnelle. Les solutions existent, les experts les connaissent, les acteurs les réclament. Seule manque la volonté politique de trancher dans le vif. Combien de temps encore ?

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La JICA soutient l’écosystème des startups TIC à travers un projet de formation innovant

18. September 2025 um 16:45

La Cité des Sciences de Tunis a accueilli, jeudi 18 septembre, la cérémonie de clôture du projet « Établissement d’un modèle de développement des ressources humaines pour les startups en TIC destinées aux femmes et aux jeunes en Tunisie ».

Lancé en 2022 avec le soutien de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA), ce programme visait à renforcer l’écosystème entrepreneurial numérique à travers la formation et l’accompagnement.

Mené en partenariat avec l’Université d’Aizu au Japon, le projet a permis de former les enseignants de l’Institut Supérieur des Technologies de l’Information et de la Communication (ISTIC – Université de Carthage) aux méthodologies de coaching et de mentorat en entrepreneuriat technologique.

Trois ans d’échanges, de formations et de résultats concrets

Durant les trois années du programme, trois cycles de formation ont été organisés, bénéficiant à 29 jeunes porteurs de projets. Encadrés par des formateurs tunisiens et japonais, les participants ont bénéficié d’un accompagnement sur mesure pour transformer leurs idées en projets concrets.

Un manuel pédagogique a été développé à partir des meilleures pratiques internationales, notamment japonaises. Six enseignants de l’ISTIC ont été formés, dont plusieurs ont séjourné au Japon pour des échanges de compétences.

En parallèle, quatre conférences thématiques et plusieurs séminaires ont rassemblé environ 300 étudiants et jeunes entrepreneurs. À l’occasion de la cérémonie de clôture, deux jeunes start-uppeurs ont présenté l’état d’avancement de leurs projets. À ce jour, une startup a déjà été créée grâce à cette initiative, et deux autres sont en cours de lancement.

Une coopération universitaire durable

Au-delà de l’entrepreneuriat, ce partenariat a permis d’enrichir l’offre académique de l’ISTIC. Un nouveau cursus sur l’Edge Computing a été introduit, et un projet de recherche collaborative a été lancé. La collaboration entre l’ISTIC et l’Université d’Aizu se poursuivra, notamment à travers des recherches conjointes et des activités autour des technologies émergentes comme l’intelligence artificielle.

Une cérémonie de clôture en présence d’acteurs de haut niveau

La cérémonie s’est déroulée en présence de Takeshi OSUGA, ambassadeur du Japon en Tunisie ; Malek KOCHLEF, directeur général de la coopération internationale au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ; Nadia MZOUGHI AGUIR, présidente de l’Université de Carthage ; Abderrazek BEN ABDALLAH, doyen de l’Université d’Aizu ; Lazhar MANAI, directeur de l’ISTIC ; Mayumi MIYATA, représentante résidente de la JICA.

« Les retours positifs des participants et les résultats concrets obtenus témoignent du succès de cette formation. Elle a permis de consolider les compétences des enseignants et d’ouvrir de nouvelles perspectives à de jeunes entrepreneurs tunisiens », a souligné Mme Miyata.

Avec communiqué

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Une IA capable de prédire les maladies futures

18. September 2025 um 12:05

Des chercheurs ont développé un modèle d’intelligence artificielle (IA) capable d’estimer la probabilité de maladies chez un individu ainsi que leur prévalence au sein d’une population, plusieurs années à l’avance. Et ce, en utilisant la même technologie que ChatGPT d’OpenAI.

C’est en tout cas ce que rapporte le site 20Minutes, reprenant une dépêche de l’AFP, qui ajoute que ce modèle, nommé Delphi-2M, a été formé à partir des antécédents médicaux de près de 500 000 patients britanniques tirés de la UK Biobank. A savoir une base de données biomédicales dédiée à la recherche.

Selon cette étude publiée le 17 septembre sur la revue Nature, Delphi-2M « prédit la probabilité de plus de 1 000 maladies plusieurs années en avance ». Et d’ajouter : « Grâce à son entraînement, Delphi-2M apprend à discerner des schémas dans les données de santé, dans les diagnostics antérieurs, ainsi que dans les combinaisons et l’ordre dans lequel ils se produisent ». C’est ce qu’explique Moritz Gerstung, spécialiste de l’intelligence artificielle au Centre allemand de recherche contre le cancer,

Selon lui, l’IA pourrait identifier chez certains individus un risque de crise cardiaque plus ou moins élevé que celui prédit par des facteurs comme l’âge ou d’autres données.

Les capacités de Delphi-2M ont été validées à partir des données de santé de près de deux millions de personnes au Danemark, rapporte 20Minutes. Cependant, le modèle a besoin de subir d’autres tests et n’est pas encore prêt à être utilisé, expliquent les équipes de recherche. « Le chemin est encore long pour aboutir à une amélioration des soins médicaux, comme le reconnaissent les auteurs. Car les deux ensembles de données (britanniques et danois) présentent des biais en termes d’âge, d’origine ethnique et de résultats actuels en matière de santé ». Ainsi commente Peter Bannister, le chercheur en technologies de la santé et membre de l’Institution of Engineering and Technology britannique.

20Minutes rappelle par ailleurs que « des outils informatiques sont déjà employés pour prédire les risques de maladies, comme le programme QRISK3 utilisé par les médecins généralistes britanniques pour évaluer le risque d’une crise cardiaque ou d’un AVC ». Mais par contraste, Delphi-2M lui est capable de « gérer toutes les maladies en même temps et sur une longue période», selon Ewan Birney, un des coauteurs de l’étude.

En tout cas, le professeur au King’s College de Londres spécialisé dans l’IA médicale, Gustavo Sudre, estime que « cette avancée semble être un pas significatif vers une modélisation prédictive évolutive, interprétable et – plus important encore – éthiquement responsable ».

Que dire sinon qu’on n’arrête pas le progrès !

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200 bus genevois entament une seconde vie à Tunis

18. September 2025 um 10:22

Dans le cadre de la transition énergétique engagée à Genève, en Suisse, quelque 200 autobus thermiques des Transports Publics Genevois (TPG) seront transférés à la Société des Transports de Tunis (Transtu). Officialisé mercredi 17 septembre par la signature d’un contrat entre les deux opérateurs, ce don s’inscrit dans une démarche de coopération solidaire et durable.

D’ici 2030, rapporte le 20 min.ch, les TPG ambitionnent de convertir l’intégralité de leur flotte à l’électrique. « Les autobus thermiques actuellement en service seront progressivement remplacés par des e-bus », a déclaré François Mutter, porte-parole des TPG, cité dans un communiqué. Pour éviter la mise au rebut de véhicules encore en bon état, Genève a donc choisi de les confier à son homologue de Tunis.

Toujours selon la même source, le transfert (le transport de Genève à Tunis) desdits bus sera pris en charge par la TRANSTU. Et ce partir du 1er janvier 2026 pour se prolonger jusqu’en 2030.

Un coup de pouce pour les transports tunisiens

Ce don arrive à point nommé pour la TRANSTU, confrontée qu’elle est à une chute importante de fréquentation : de 335 millions de passagers en 2010, le nombre est tombé à 113 millions en 2023. En cause, notamment, la vétusté du parc roulant et l’indisponibilité chronique de pièces de rechange. Mais aussi l’augmentation du nombre de Tunisiens ayant leur propre moyen de circulation. Pour s’en rendre compte, il suffit de voir l’évolution du nombre de séries des plaques d’immatriculation entre 2010 et 2025…

Ceci dit, les bus suisses, bien entretenus malgré leur ancienneté (plus de 15 ans et plus d’un million de kilomètres), vont représenter une bouffée d’air pour un réseau en difficulté.

S’ils n’ont plus de valeur marchande- leur valeur résiduelle est estimée symboliquement à 1 franc suisse-, ils conservent un potentiel d’exploitation dont la TRANSTU compte bien profiter. D’ailleurs, Lionel Brasier, directeur général des TPG, n’a pas manqué de souligner que « ce don d’opérateur à opérateur est une manière responsable de prolonger la durée de vie de nos véhicules. Il soutient le développement des transports publics ailleurs tout en répondant à notre mission de service public ».

Merci à nos amis genevois !

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Taysir Microfinance convoque une AGO pour autoriser des émissions obligataires

18. September 2025 um 08:21

Taysir Microfinance réunira ses actionnaires en Assemblée générale ordinaire le 26 septembre 2025. L’ordre du jour portera principalement sur l’obtention d’une autorisation pour l’émission d’emprunts obligataires d’un montant maximum de 200 Mtnd, valable jusqu’au 26 septembre 2028.

Par ailleurs, l’Assemblée sera également appelée à se prononcer sur l’émission de dettes subordonnées, dans la limite de 50 Mtnd. Cette autorisation sera également valable pour une durée de trois ans. Les modalités précises de ces différentes émissions seront arrêtées par la direction générale, sur délégation du conseil d’administration.

Ces initiatives témoignent de la volonté de l’institution de microfinance d’accélérer son développement au cours des prochaines années. À fin 2024, l’encours des créances sur la clientèle s’élevait à 174,090 Mtnd, tandis que les emprunts obligataires en cours et non encore échus sont de 52,172 Mtnd. Taysir a toujours honoré ses engagements financiers, ce qui facilite les futures levées de fonds sur le marché. Quant à la dette subordonnée, elle vise à renforcer les ratios prudentiels de l’institution, ces instruments étant pris en compte dans le calcul des fonds propres nets.

Pour les investisseurs, ces émissions représentent une opportunité de placement à des taux généralement plus élevés que ceux proposés par les instruments de dettes émis par les établissements de crédit classiques. Alors que les taux d’intérêt tendent à baisser, les institutions de microfinance peuvent offrir des rendements attractifs. Ces niveaux de rémunération reflètent certes un risque plus élevé, mais ils n’entament pas la rentabilité de l’institution, compte tenu des taux appliqués sur les financements octroyés.

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Ilhem Bouaziz, nouvelle présidente du conseil d’administration de l’UIB

17. September 2025 um 17:12

L’Union Internationale de Banque annonce la nomination de Ilhem Bouaziz, comme Directrice Générale Adjointe en charge de la Banque de Détail de l’UIB, en tant que présidente du Conseil d’Administration de UIB Assurances et ce, suite à la démission de Kamel Néji de ses fonctions et mandats au sein de la filiale UIB Assurances.

Aussi, les comités directeurs de la Fondation Arts et Culture by UIB et de la Fondation Solidarité et Innovation by UIB ont pris acte de la démission de leur président, Kamel Néji, et nommé Moufida Hamza, présidente intérimaire de la Fondation Arts et Culture by UIB, et Achraf Fakhfakh, président intérimaire de la Fondation Solidarité et Innovation by UIB.

Par la même occasion, Kamel Néji, président du Conseil d’Administration de l’UIB, a déclaré que le plan de sa succession est bien engagé et que sa démission prendra effet, en toutes circonstances, le 31 décembre 2025.

Et d’ajouter : « J’ose croire que mon départ écrira un nouveau chapitre tout aussi rayonnant de l’histoire de notre banque … Et je sais pouvoir compter sur toutes les parties prenantes pour demeurer unies, attachées à nos valeurs et relever avec hauteur de vue les défis à venir. L’histoire nous observe ». Avoir à la fois une vision de long terme et des réponses pragmatiques à des impératifs urgents n’est pas seulement un devoir. C’est une garantie d’avenir pour l’UIB, conclut Kamel Néji.

Avec communiqué

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Carrefour suspend ses activités au Koweït et à Bahreïn

17. September 2025 um 16:20

Le géant de la distribution Carrefour a annoncé la suspension de ses opérations au Koweït à compter du mardi 16 septembre 2025, selon une publication sur la page Facebook officielle de l’entreprise.

Dimanche dernier, la société a annoncé la cessation de ses opérations au Royaume du Bahreïn, à compter du 14 septembre. Les raisons de la décision n’ont pas été révélées.

En novembre 2024, basé aux Émirats arabes unis, Majid Al Futtaim détient les droits exclusifs d’exploitation de la marque Carrefour dans 12 pays du Moyen-Orient, d’Afrique et d’Asie depuis 1995, selon le site Web de la société.

Toutefois, fin août dernier, Mohamed Khafaga, directeur régional de Majid Al Futtaim Retail en Égypte, a déclaré que la société avait prévu de nouveaux investissements d’une valeur de 1,9 milliard de livres égyptiennes d’ici 2025.

En marge de l’ouverture de la 100ème succursale de la société en Egypte, et sa première dans le gouvernorat de Suez, Khafaga a expliqué que Majid Al Futtaim Retail vise à ouvrir 300 nouvelles succursales pour ses marques au cours des cinq prochaines années, renforçant ainsi sa présence dans le secteur de la vente au détail égyptien.

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Global Innovation Index 2025 : la Tunisie parmi les leaders africains

17. September 2025 um 12:12

Dans le paysage technologique africain en pleine effervescence, un acteur méditerranéen tire son épingle du jeu avec une constance remarquable. La Tunisie vient de décrocher une 76ème position mondiale dans le prestigieux Global Innovation Index 2025. Lequel est élaboré par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle des Nations unies (OMPI), l’Université Cornell et l’INSEAD. Une performance qui propulse directement la Tunisie dans le cercle fermé des cinq nations les plus créatives du continent.

Cette ascension tunisienne s’inscrit dans une dynamique continentale particulièrement prometteuse. Maurice demeure l’étalon-or africain avec sa 53ème place mondiale, porté par un écosystème de capital-risque particulièrement développé. Le trio de tête se complète avec le Maroc (57ème) et l’Afrique du Sud (61ème) qui redéfinit les codes de l’innovation africaine.

Derrière ces chiffres se cache une méthodologie rigoureuse: 139 économies passées au crible de 80 indicateurs distincts. A savoir : investissements en recherche-développement; foisonnement des brevets; densité des emplois à haute technicité; vitalité du financement participatif… Autant de paramètres qui dessinent le portrait-robot des nations innovantes de demain.

Pour la Tunisie, le bond de cinq échelons depuis 2024 traduit une maturation progressive de ses infrastructures technologiques; malgré la persistance de défis économiques structurels.

Globalement, l’année 2025 consacre d’ailleurs une véritable renaissance africaine de l’innovation. Douze nations ont grimpé dans la hiérarchie mondiale, avec des progressions spectaculaires. Ainsi, le Maroc gagne neuf places et l’Afrique du Sud huit. Tandis que la Namibie réalise un exploit avec onze rangs supplémentaires. Cette émulation continentale s’enrichit même de nouveaux entrants, les Seychelles et le Malawi faisant leur entrée dans ce baromètre de référence.

A noter que sur le plan international, la Suisse maintient sa suprématie devant la Suède, les États-Unis, la Corée du Sud et Singapour. L’événement de cette édition reste néanmoins l’intégration de la Chine dans le top 10, consacrant une décennie d’investissements technologiques massifs. Toutefois, l’OMPI tempère cet optimisme en pointant un essoufflement des financements mondiaux : la croissance des budgets recherche-développement a chuté à 2,9 % en 2024, victime de l’inflation et des incertitudes économiques globales liées aux taxes douanières de Trump.

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