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Kaïs Saïed │ «La révolution législative ne réussira pas sans une révolution administrative»

29. Mai 2025 um 09:43

La «révolution administrative» que le président Kaïs Saïed appelle de tous ses vœux tarde à être mise en œuvre; d’où l’impatience qu’il montre face à ce qu’il considère comme des services publics réfractaires, récalcitrants et fonctionnant en vase clos.

Lors de sa rencontré mercredi 28 mai 2025 au palais de Carthage avec la Première ministre Sarra Zaâfrani Zenzeri pour examiner plusieurs projets de loi, le chef de l’Etat est revenu sur cette thématique qui lui tient tellement à cœur : la révolution législative qui ne saurait réussir, selon lui, sans une révolution administrative. Traduire : les politiques sociales qu’il est en train de promouvoir dans le pays ne sauraient réussir sans la promulgation de lois répondant à ce qu’il appelle «la volonté du peuple» et sans l’adhésion totale d’une administration plus proactive et réceptive des changements qu’il cherche à imprimer.

Saïed a aussi souligné que cette démarche doit être collective, car elle concerne le destin de la nation et celui d’un peuple déterminé à «construire une nouvelle histoire», a déclaré le président selon le communiqué officiel. «Il ne s’agit pas de résoudre des problèmes sectoriels isolés, les uns après les autres», a-t-il déclaré, soulignant que la justice et la dignité ne peuvent être instaurées que par une nouvelle législation accompagnée d’une révolution administrative.

Ceux qui négligent leurs responsabilités, qui sont un devoir national sacré, qui recherchent les privilèges au lieu d’incarner les aspirations du peuple, doivent céder la place à une jeune génération capable d’offrir de meilleures solutions et des idéaux plus élevés, conformes aux priorités nationales globales, a encore menacé le président, laissant ainsi entendre, pour la énième fois, que son combat pour la «libération nationale», autre concept qui lui est cher et qui reste vague et flou pour beaucoup de ses compatriotes, rencontre une certaine résistance de la part d’une partie de l’administration publique, plus soucieuse de ses privilèges que de l’intérêt des couches populaires de la population.

I. B.

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Esclavage moderne, clientélisme, privilèges : Saïed dénonce, promet, réalise et agit

Von: La Presse
29. Mai 2025 um 06:04
ment touchés par des politiques d’exclusion et d’appauvrissement, méritent une attention prioritaire, la justice sociale et la dignité ne pourront être garanties que par l’adoption de nouvelles législations accompagnées d’une profonde réforme administrative. «L’ombre ne peut être droite si le bois est tordu », a-t-il affirmé.

Tunisie : Kaïs Saïed prône une « révolution administrative »

Le président Saïed plaide pour une approche collective et une révolution administrative lors d’une entrevue avec la cheffe du gouvernement

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu mercredi 28 mai 2025 la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, au palais de Carthage. Lors de cette rencontre, le chef de l’État a évoqué plusieurs projets de textes juridiques, réaffirmant la détermination de l’État à mettre en œuvre sa politique sociale, conformément à la volonté du peuple tunisien.

Insistant sur la nécessité d’une approche globale plutôt que sectorielle, le président a souligné qu’il s’agissait du destin d’une nation ayant choisi d’écrire une nouvelle page de son histoire. Il a précisé que la priorité serait accordée aux citoyens les plus touchés par les politiques d’appauvrissement et d’exclusion, ajoutant que la justice et la dignité ne pourraient être atteintes qu’à travers de nouvelles législations et une « révolution administrative ».

Par ailleurs, M. Saïed a averti les responsables ne considérant pas leur mission comme un « devoir national sacré » ou l’utilisant à des fins personnelles. Ces derniers, a-t-il déclaré, devraient laisser place aux jeunes, plus enclins à l’effort et capables de proposer des solutions conformes aux choix nationaux.

Le chef de l’État a également ordonné l’application stricte de la loi contre les abus envers les travailleurs, suite à l’adoption de la réforme du Code du travail. Un décret interdisant toute forme d’exploitation dans la fonction publique et les entreprises publiques sera prochainement publié.

Enfin, M. Saïed a estimé qu’un travailleur sécurisé dans ses droits serait plus productif, favorisant ainsi une croissance économique réelle et un climat d’investissement sain.

Avec TAP

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Kais Saïed insiste sur une réforme sociale globale et une justice pour les plus démunis

Von: walid
29. Mai 2025 um 08:15
Kais Saïed insiste sur une réforme sociale globale et une justice pour les plus démunis

Le président de la République, Kais Saïed, a reçu, hier, mercredi, au palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri. Lors de cette réunion, cite un communiqué, le chef de l’Etat a évoqué nombre de projets de textes juridiques. Le président de la République a réaffirmé, à cette occasion, que l’Etat est résolu […]

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Kaïs Saïed à Cyril Ramaphosa : “L’Afrique appartient aux Africains”

28. Mai 2025 um 11:50

Le président de la République Kaïs Saïed a reçu, mardi soir, un appel téléphonique de son homologue sud-africain, Cyril Ramaphosa.

Selon un communiqué, le chef de l’Etat a réitéré sa ferme position de principe selon laquelle l’Afrique est un continent qui appartient aux seuls Africains.

Il a, dans ce contexte, rappelé les souffrances des peuples africains subies au fil des siècles, dénonçant l’attitude de certains qui croient encore que les Africains sont des êtres qui doivent être traités de manière dégradante et qui peuvent faire l’objet de trafic illicite d’organes.

Le président de la République a également rappelé le rêve qui hantait les pères fondateurs après la création de l’Organisation de l’Unité Africaine en 1963, citant en exemple feu président Habib Bourguiba, Kwame Nkrumah, Modibo Keita, Nelson Mandela et Thomas Sankara.

Il a évoqué dans ce contexte les prouesses des mouvements de libération nationale en Afrique contre l’esclavage et le colonialisme.

Lors de cet entretien téléphonique, le chef de l’Etat a tenu à réaffirmer le droit naturel  de chaque citoyen Africain à mener une vie digne et décente dans sa patrie là où il est né, rappelant que le continent africain regorge de ressources et de richesses mais dont l’exploitation échappe aux populations locales en raison des ingérences étrangères, les conflits récurrents, et les famines.

“Il est grand temps pour nous les Africains d’œuvrer ensemble à bâtir une nouvelle Afrique malgré l’ampleur des défis et les mutations sans précédent que connaît le monde d’aujourd’hui”, a plaidé le président Saïed.

Le président de la République a saisi l’occasion pour rappeler que la société humaine d’aujourd’hui est désormais beaucoup plus avant-gardiste que la communauté internationale classique, soulignant que l’humanité tout entière a amorcé une nouvelle phase de reconstruction fondée sur le vivre ensemble et les nouvelles valeurs partagées.

Une telle situation a fait que la légitimité internationale est en large retrait par rapport à la légitimité humaine.

Le chef de l’Etat a hautement salué la position de la République d’Afrique du Sud sur la guerre à Gaza.

“Tout comme l’Afrique appartient aux Africains, la Palestine, toute la Palestine, appartient au peuple palestinien, qui possède la terre et le droit.

“Un droit qui ne peut nullement être prescrit avec temps”, a estimé le président Saïed.

A l’issue de cet appel, le président de la République a adressé une invitation au président de la République d’Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa à visiter la Tunisie.

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Saïed à Ramaphosa : «L’Afrique aux Africains et la Palestine aux Palestiniens»

28. Mai 2025 um 09:24

L’Afrique est un continent qui appartient aux seuls Africains, a déclaré le président de la République Kaïs Saïed dans son entretien téléphonique avec son homologue sud-africain, Cyril Ramaphosa, mardi soir, 27 mai 2025. «Tout comme la Palestine est aux Palestiniens», a-t-il ajouté  

Selon un communiqué, le chef de l’Etat a réitéré cette ferme position de principe, rappelant les souffrances des peuples africains subies au fil des siècles et dénonçant l’attitude de certains qui croient encore que les Africains sont des êtres qui doivent être traités de manière dégradante et qui peuvent faire l’objet de trafic illicite d’organes.

Le président de la République a également rappelé le rêve qui hantait les pères fondateurs de l’Organisation de l’Unité Africaine en 1963, citant feu Habib Bourguiba, Kwame Nkrumah, Modibo Keita, Nelson Mandela et Thomas Sankara, évoquant les succès des mouvements de libération nationale en Afrique contre l’esclavage et le colonialisme.

Lors de cet entretien téléphonique, le chef de l’Etat a aussi réaffirmé le droit naturel de chaque citoyen africain à mener une vie digne et décente dans sa patrie, là où il est naît, rappelant que le continent africain regorge de ressources et de richesses mais dont l’exploitation échappe aux populations locales en raison des ingérences étrangères, les conflits récurrents, et les famines.

«Il est grand temps pour nous les Africains d’œuvrer ensemble à bâtir une nouvelle Afrique malgré l’ampleur des défis et les mutations sans précédent que connaît le monde d’aujourd’hui», a plaidé le président Saïed.

Le président de la République a saisi l’occasion pour rappeler que la société humaine d’aujourd’hui est beaucoup plus avant-gardiste que la communauté internationale classique, soulignant que l’humanité tout entière a amorcé une nouvelle phase de reconstruction fondée sur le vivre ensemble et les nouvelles valeurs partagées.

Une telle situation a fait que la légitimité internationale est en retrait par rapport à la légitimité humaine, a souligné le chef de l’Etat, en saluant la position de l’Afrique du Sud sur la guerre à Gaza.

«Tout comme l’Afrique appartient aux Africains, la Palestine, toute la Palestine, appartient au peuple palestinien, qui possède la terre et le droit. Un droit qui ne peut nullement être prescrit avec temps», a estimé le président Saïed.

A l’issue de cet appel, le président de la République a adressé une invitation à son homologue sud-africain à visiter la Tunisie.

Difficile de ne pas voir dans le contenu de cet échange téléphonique entre les deux chefs d’Etat une réponse limpide au président américain Donald Trump qui, lors d’une récente rencontre avec M. Ramaphosa à la Maison blanche, a accusé le pouvoir en Afrique du Sud d’avoir perpétré un génocide contre les blancs afrikaners, tout en montrant aux cameras des fake news et à des images manipulées.

I.B. (avec Tap).   

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L’Afrique aux Africains et le génocide à Gaza : Saïed et Ramaphosa même vision

Dans la soirée du mardi 27 mai, le président de la République tunisienne, Kaïs Saïed, s’est entretenu par téléphone avec son homologue sud-africain, Cyril Ramaphosa. Cet échange a été l’occasion pour les deux chefs d’État de réaffirmer leur attachement commun à la souveraineté du continent africain et de discuter des enjeux majeurs qui le traversent.

Au cours de cette conversation, dévoile un communiqué de la présidence de la République. le chef de l’Etat a exprimé avec force sa conviction profonde que l’Afrique ne peut véritablement se développer qu’en comptant sur ses propres forces, et en s’émancipant définitivement des influences extérieures qui continuent à freiner son essor. Il a ainsi réaffirmé un principe qu’il considère comme fondamental : l’Afrique appartient aux Africains.

Il a saisi cette occasion pour rappeler les souffrances historiques subies par les peuples du continent au fil des siècles — de l’esclavage à la colonisation —, dénonçant au passage avec fermeté les formes modernes d’exploitation et de mépris dont sont encore victimes de nombreux Africains. Il condamne notamment les pratiques inhumaines telles que le trafic illicite d’organes, qu’il considère comme une manifestation odieuse du déni de dignité que subissent encore certains Africains aujourd’hui.

Unité du continent

Le président tunisien a également évoqué la mémoire des grands leaders africains qui ont lutté pour la libération et l’unité du continent, citant notamment le président Habib Bourguiba, Kwame Nkrumah, Modibo Keita, Nelson Mandela et Thomas Sankara. Il a salué leur engagement visionnaire et le rêve panafricain qu’ils ont porté à travers la création de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA) en 1963, devenu depuis l’Union Africaine (UA).

Revenant sur les combats menés par les mouvements de libération nationale contre l’esclavage et le colonialisme, Kaïs Saïed a souligné que ces luttes historiques doivent aujourd’hui se poursuivre sous de nouvelles formes, afin de garantir à chaque Africain le droit fondamental de vivre dans la dignité et la justice, sur sa propre terre.

Les richesses africaines profitent davantage aux non-Africains

Il a rappelé que l’Afrique est un continent riche, non seulement de ses ressources naturelles, mais aussi de son capital humain et de sa diversité culturelle. Cependant, ces richesses continuent trop souvent à bénéficier à des intérêts étrangers, au détriment des peuples africains. Le président tunisien a pointé du doigt les ingérences extérieures, les conflits armés et les famines qui affaiblissent le continent, soulignant l’urgence d’une prise en main collective et solidaire de son destin.

« Il est grand temps pour nous, Africains, de nous unir et de collaborer étroitement afin de bâtir une nouvelle Afrique, plus forte, plus indépendante et plus juste, malgré les défis immenses et les bouleversements profonds auxquels le monde est aujourd’hui confronté », a-t-il déclaré.

Les limites de la légitimité internationale

Élargissant sa réflexion à l’échelle globale, Kaïs Saïed a également critiqué les limites de la légitimité internationale actuelle, qu’il estime dépassée par les nouvelles aspirations humaines. Selon lui, l’humanité est entrée dans une nouvelle ère fondée sur le vivre-ensemble, la solidarité et des valeurs communes partagées, qui redéfinissent les rapports entre les peuples. Dans ce contexte, a-t-il affirmé, la société humaine a pris une avance significative sur les institutions internationales classiques, qui peinent à répondre aux réalités contemporaines.

L’Afrique du Sud et le génocide à Gaza

Le président tunisien a également tenu à saluer avec vigueur la position courageuse de l’Afrique du Sud face à la guerre menée à Gaza. Il a établi un parallèle fort entre la lutte pour la souveraineté africaine et le droit inaliénable du peuple palestinien à disposer de sa terre et de son avenir. « De la même manière que l’Afrique appartient aux Africains, la Palestine, toute la Palestine, appartient à son peuple. Ce droit ne peut jamais se perdre, même avec le passage du temps », a-t-il affirmé.

Ramaphosa invité en Tunisie

À la fin de cette conversation marquée par une grande convergence de vues, le président Kaïs Saïed a invité officiellement son homologue Cyril Ramaphosa à effectuer une visite en Tunisie, exprimant le souhait de renforcer davantage les liens fraternels et stratégiques entre les deux pays au service de l’unité et de la prospérité du continent africain.

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Kaïs Saïed appelle à une politique budgétaire sociale et souveraine en Tunisie

Von: walid
27. Mai 2025 um 11:26

Le président de la République, Kaïs Saied, a reçu, lundi, au Palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzeri et la ministre des Finances, Mechket Slama Khaldi.

Lors de cette rencontre, cite un communiqué, le chef de l’Etat a mis l’accent sur la nécessité d’identifier des équilibres budgétaires à la lumière de choix typiquement nationaux, recommandant à ce titre de faire prévaloir le volet social dans la conception de la politique financière de l’Etat.

Dans ce contexte, le président de la République a tenu à indiquer que le peuple tunisien paie aujourd’hui un lourd tribut résultant de choix et orientations qui avaient creusé la pauvreté d’une large frange de ses élites, rappelant que bon nombre de crédits accordés à la Tunisie sont assortis d’intérêts qui pèsent lourdement sur la communauté nationale sans pour autant en tirer bénéfice.

Le chef de l’Etat a, dans ce contexte, donné ses instructions en vue d’identifier de nouvelles stratégies tout en œuvrant à rouvrir la porte aux recrutements publics dans plusieurs secteurs, soulignant qu’il est grand temps de régulariser plusieurs dossiers découlant de l’adoption de politiques publiques d’exclusion qui ont fait surgir situations intolérables.

Sur un autre plan, le chef de l’Etat a donné ses instructions pour ne plus tolérer une carence ou manquement émanant d’un quelconque responsable qui ne se plie pas à la politique de l’Etat et qui se prévaut de faux prétextes pour ne pas fournir des services aux usagers de l’administration dans les meilleures conditions.

Plus besoin d’insister sur le fait que le prétendu “État profond”, qui est en réalité en bien des égards “facilement discernable”, doit impérativement s’éclipser à jamais, a fait savoir le chef de l’Etat, rappelant, à ce propos, qu’il n’y a “qu’un seul et unique État”, celui dont les institutions émanent du libre choix du peuple.

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Kaïs Saïed │ «Les Tunisiens réaliseront des miracles»

27. Mai 2025 um 10:44

Recevant, lundi 26 mai 2025, au Palais de Carthage, le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar, le président Kaïs Saied a de nouveau appelé à la fin de la sous-traitance dans les entreprises publiques, après l’élimination de cette formule de travail précaire dans le cadre de la réforme du code du travail.

«L’être humain n’est pas un simple numéro ou une statistique, il possède des droits inhérents que l’État doit garantir», a plaidé le président de la République, en soulignant la capacité de la Tunisie à faire respecter ces droits grâce à une fiscalité juste, une répartition équitable des richesses et l’octroi de droits complets aux travailleurs, tant dans le secteur public que privé.

Le chef de l’État a expliqué que lorsque les travailleurs se sentiront rassurés et stables, cela stimulera leur production et dynamisera l’économie du pays, car ils auront le sentiment que leur lieu de travail leur assure des moyens de subsistance décents.

Cela nécessite un climat sain fondé sur la justice et l’équité. Lorsqu’un tel climat sera instauré, les Tunisiens réaliseront ce que certains pourraient appeler des miracles. Des «miracles» qui, il faut le dire en passant, se font encore attendre depuis la «révolution» de 2011 et que rien ne laisse encore présager, avec notamment une croissance atone, un endettement croissant, une inflation persistante et un chômage qui ne baisse pas.

A moins que la fin de la sous-traitance et les recrutements massifs au sein de l’administration publique ne finiront par relancer l’investissement, impulser la croissance, ralentir l’inflation et réduire l’endettement extérieur… Ce dont les experts économiques ont de bonnes raisons de douter…

I. B.

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Jendouba │ Deux gouverneurs en moins d’un an

27. Mai 2025 um 10:13

Le président Kaïs Saïed a nommé, lundi 26 mai 2025, Taieb Dridi au poste de gouverneur de Jendouba, selon un communiqué de la présidence. Il remplace Hichem Hassoumi, nommé le 8 septembre 2024 et qui est resté à son poste moins de 6 mois. Et pour cause…  

Hichem Hassoumi fait l’objet d’une enquête judiciaire ouverte le 6 mars 2025 par le juge d’instruction auprès du Tribunal de première instance de Jendouba, conformément à l’article 31 du Code de procédure pénale.

L’enquête a été ouverte sur la base d’un signalement reçu par le ministère public de la part de la section de la Ligue tunisienne des droits de l’homme (LTDH) à Jendouba, qui accuse le mis en cause d’avoir tenu une réunion au siège de la délégation d’Aïn Draham avec plusieurs élèves, pendant les heures de classe et en l’absence de leurs parents. Il les aurait maltraités, intimidés, menacés et exercé des pressions sur eux, selon ses accusateurs.

Lors de sa rencontre, hier, au palais de Carthage, avec le ministre de l’Intérieur, Khaled Nouri, et le secrétaire d’État à la Sécurité nationale, Sofiène Bessadok, le président de la République a exhorté les autorités régionales et locales à s’acquitter efficacement de leurs missions, à écouter activement les préoccupations des citoyens et à apporter des solutions à leurs revendications légitimes.

Le chef de l’État a également souligné la nécessité de lutter contre toutes les formes de criminalité, notamment le trafic de drogue, affirmant que «ceux qui menacent la sécurité de l’État finissent par compromettre la stabilité de la société».

Il a aussi appelé les responsables de la sécurité à soutenir le ministère du Commerce dans son effort pour démanteler les monopoles, la spéculation sur les prix et la manipulation des marchés, qui seraient selon lui à l’origine de la poursuite de la hausse des prix dont se plaignent sans cesse les citoyens.

I. B.

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Kaïs Saïed appelle à la lutte sans merci contre la drogue

Khaled Nouri et Sofiene Bessadok, respectivement ministre de l’Intérieur et le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur chargé de la sécurité nationale, ont été reçus au Palais de Carthage, lundi 26 mai 2025, par le président de la République, Kaïs Saïed.

La situation sécuritaire générale du pays a été passée en revue lors de cette réunion, indique un communiqué de la présidence de la République.

Le chef de l’Etat a souligné la nécessité de lutter contre toutes les formes de criminalité, en particulier le fléau de la drogue.

Par ailleurs, il a mis en exergue, à cette occasion, la nécessité d’épauler les efforts du ministère du Commerce et du Développement des exportations dans « le démantèlement des réseaux de spéculation et de monopole ».

Le président de la République a aussi demandé aux autorités régionales et locales d’assumer comme il se doit leur rôle, à prêter une oreille attentive aux préoccupations des citoyens et à identifier des solutions appropriées à leurs revendications qu’il juge légitimes.

Lors de cette réunion, toujours selon le communiqué, le président de la République a décidé de nommer Taïeb Dridi au poste de gouverneur de Jendouba.

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Kaïs Saïed poursuit son combat contre l’«Etat profond»

27. Mai 2025 um 09:37

Dans pratiquement toutes ses rencontres avec les membres du gouvernement, Kaïs Saied ne cesse de mettre en avant le rôle social de l’Etat et la nécessité de prendre des mesures à caractère social dans tous les domaines, dans ce qui ressemble à une politique socialisante en rupture avec celles vaguement libérales en oeuvre dans le pays depuis les années 1990. Il l’a encore fait, lundi 26 mai 2025, en recevant, au Palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzeri et la ministre des Finances, Mechket Slama Khaldi.

Cette fois, et pour la énième fois, le chef de l’Etat souligné la nécessité de faire prévaloir le volet social dans la conception de la politique financière de l’Etat, et ce «à la lumière de choix typiquement nationaux», comme indiqué dans le communiqué publié à l’issue de la rencontre. Traduire : la loi de finances et le budget de l’Etat pour 2026 devraient avoir une orientation encore plus sociale que ne l’ont été ceux des années précédentes.    

Rouvrir la porte aux recrutements publics

Le peuple tunisien paie aujourd’hui un lourd tribut résultant des choix et orientations qui avaient creusé la pauvreté d’une large frange de ses élites, a encore indiqué le président de la République, en rappelant que bon nombre de crédits accordés à la Tunisie sont assortis d’intérêts qui pèsent lourdement sur la communauté nationale sans que celle-ci en tire un bénéfice. Faut-il en conclure que M. Saïed s’oppose à la politique d’endettement que suit actuellement le gouvernement ? Auquel cas, où l’Etat va-t-il trouver les financements nécessaires pour son train de vie qui s’alourdit d’année en année avec les vagues successives de recrutements dans la fonction publique, laquelle étouffe déjà sous le poids d’une masse salariale dont la moyenne est parmi les plus élevées au monde.

En effet, le budget de l’État de 2025 a fixé le montant alloué aux dépenses des salaires à 24,389 millions de dinars, en hausse de 8,1% par rapport à 2024, la masse salariale des fonctionnaires représentant ainsi 40,7% des dépenses globales du budget.

Ces chiffres ne sont pas pour impressionner le chef de l’Etat qui, poursuivant ses politiques sociales, a donné des instructions, hier, pour «rouvrir la porte aux recrutements publics dans plusieurs secteurs», soulignant qu’«il est grand temps de régulariser plusieurs dossiers découlant de l’adoption de politiques publiques d’exclusion ayant conduit à des situations intolérables».

Un seul Etat, une seul pouvoir  

Dans le même temps, le chef de l’Etat a réitéré ses critiques envers certains agents publics qui ne montrent pas le zèle requis dans la mise en œuvre des politiques de l’Etat. Il a ainsi «donné ses instructions pour ne plus tolérer une carence ou manquement émanant d’un quelconque responsable qui ne se plie pas à la politique de l’Etat et qui se prévaut de faux prétextes pour ne pas fournir des services aux usagers de l’administration dans les meilleures conditions.»

L’«État profond», qui est «facilement identifiable», doit impérativement s’éclipser à jamais, a fait savoir le chef de l’Etat, rappelant, à ce propos, qu’«il n’y a qu’un seul et unique État», celui dont les institutions émanent du libre choix du peuple, indique encore le communiqué de la présidence. Inutile d’ajouter, ici, qu’il est entendu que cet Etat est celui qu’incarne et conduit Kaïs Saïed, dans l’exclusion de toute autre source de légitimité ou de pouvoir.

I. B. (avec Tap).

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Tunisie – « Les travailleurs du privé et du public doivent bénéficier de leurs pleins droits » (K. Saïed)

Le président de la République, Kaïs Saïed, s’est entretenu, lundi 26 mai 2025, avec le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar. La suppression de la sous-traitance dans le secteur public et la réforme du code du travail étaient au centre de la rencontre.

Kaïs Saïed a fait savoir au ministre des Affaires sociales que « l’entité humaine ne peut nullement être réduite en chiffres ou en nombres décimaux. C’est plutôt une entité qui dispose de droits naturels dont la garantie incombe nécessairement à l’Etat », indique un communiqué de la présidence de a République.

 

pleins droits

De ce fait, « la Tunisie, capacités et choix aidant, est en mesure de pouvoir concrétiser ces droits à travers une fiscalité juste, une répartition équitable des richesses et la garantie de la plénitude des droits des travailleurs public et privé ».

Et de poursuivre : « Un travailleur qui se sent rassuré et stable est forcément un travailleur qui n’hésitera jamais à déployer un surcroît d’effort en vue d’augmenter la production pour booster l’économie de son pays ».

Pour le chef de l’Etat, il s’agit plutôt de la nécessité d’instaurer un climat sain fondé sur la justice et l’équité. « Autant ce climat est offert et garanti, autant les Tunisiens seront capables de convertir l’irréalisable en réalisable ».

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Kaïs Saïed appelle à des recrutements massifs dans le secteur public

Sarra Zaafrani Zenzeri et Mechket Slama Khaldi, respectivement cheffe du gouvernement et ministre des Finances, ont été reçues en audience, lundi 26 mai au Palais de Carthage, par le président de la République, Kaïs Saïed.

Dans un communiqué publié à l’issue de la rencontre, Kaïs Saïed a mis l’accent sur la nécessité d’identifier des équilibres budgétaires à la lumière de choix typiquement nationaux. Recommandant à ce titre de faire prévaloir le volet social dans la conception de la politique financière de l’Etat.

Dans ce contexte, le président de la République a tenu à rappeler que le peuple tunisien paie aujourd’hui un lourd tribut dû aux choix et orientations qui ont entraîné la pauvreté d’une large frange de ses élites. Selon lui, « bon nombre de crédits accordés à la Tunisie sont assortis d’intérêts qui pèsent lourdement sur la communauté nationale sans pour autant en tirer bénéfice ».

C’est pour cette raison que le chef de l’Etat a donné ses instructions pour « identifier de nouvelles stratégies tout en œuvrant à rouvrir la porte aux recrutements publics dans plusieurs secteurs ». Il souligne ainsi qu' »il est grand temps de régulariser plusieurs dossiers découlant de l’adoption de politiques publiques d’exclusion qui ont fait surgir situations intolérables ».

Sur un autre plan, le chef de l’Etat a appelé à « ne plus tolérer une carence ou manquement émanant d’un quelconque responsable qui ne se plie pas à la politique de l’Etat et qui se prévaut de faux prétextes pour ne pas fournir des services aux usagers de l’administration dans les meilleures conditions ».

Plus besoin d’insister sur le fait que le prétendu « État profond », qui est en réalité en bien des égards « facilement discernable », doit impérativement s’éclipser à jamais, a martelé le président de la République. Tout en rappelant du reste qu’il n’y a qu' »un seul et unique État, celui dont les institutions émanent du libre choix du peuple ».

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Sécurité, spéculation et gouvernance locale : Kaïs Saïed trace les priorités

Von: walid
27. Mai 2025 um 08:29
Sécurité, spéculation et gouvernance locale : Kaïs Saïed trace les priorités

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, lundi, au Palais de Carthage, le ministre de l’Intérieur, Khaled Nouri, et le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, chargé de la sécurité nationale, Sofiene Bessadok. La situation sécuritaire générale du pays a été passé en revue lors de cette réunion, rapporte un communiqué de […]

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Kaïs Saïed : La sous-traitance ne doit plus avoir sa place dans le secteur public

Von: walid
27. Mai 2025 um 08:26
Kaïs Saïed : La sous-traitance ne doit plus avoir sa place dans le secteur public

Le président de la République, Kaïs Saïed, s’est entretenu, lundi, au Palais de Carthage, avec le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar. La réunion a porté sur la suppression de la sous-traitance dans le secteur public ainsi que dans le code du travail. Cité dans un communiqué de la présidence de la République, le chef […]

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Sécurité nationale : Le Président déclare la guerre aux trafiquants et aux spéculateurs

Von: La Presse
27. Mai 2025 um 06:10
nalité, en particulier le fléau de la drogue, affirmant que ceux qui complotent pour porter atteinte à la sécurité de l’État cherchent désormais à s’attaquer à la sécurité de la société tunisienne. Il a également souligné l’importance de soutenir les efforts du ministère du Commerce et du développement des exportations dans le démantèlement des réseaux de monopole, de spéculation derrière la hausse abusive des prix.

Le Fades contribue à 17 projets dans divers secteurs en Tunisie

24. Mai 2025 um 08:02

Le président du conseil d’administration du Fonds arabe pour le développement économique et social (Fades), Badr Mohammed Al Saad, a affirmé la volonté de son institution de développer sa coopération avec la Tunisie et contribuer à la mise en œuvre de projets phares à moyen et long terme, dans des secteurs prioritaires ayant un impact sur le cycle économique.

M. Al Saad et la délégation qui l’accompagne ont été reçus vendredi 23 mai 2025 au palais du gouvernement à la Kasbah par le Premier ministre, Sarra Zaâfrani Zenzeri, dans le cadre de sa visite officielle en Tunisie du 21 au 25 mai.

Il convient de noter la signature de plusieurs accords au cours de cette visite, en particulier celui portant sur l’extension et la réhabilitation de la route nationale n° 20 entre El Faouar et Rjim Maatoug à Kébili, dans le cadre du projet de renouvellement et de développement des lignes ferroviaires.

Selon un communiqué de la présidence du gouvernement, plusieurs projets sont actuellement à l’étude pour être mis en œuvre dans divers secteurs, notamment les infrastructures routières, les autoroutes, les pistes rurales, l’agriculture, l’eau et les projets prioritaires liés à l’eau potable.

Lors de la réunion, axée sur la coopération à moyen et long terme, le Premier ministre a souligné que l’État tunisien prévoit plusieurs projets majeurs, notamment dans les domaines du transport ferroviaire, de l’éducation, de la santé et des énergies renouvelables.

«Elle a également passé en revue les principaux piliers du programme économique et social du pays, fondés sur la vision globale du président Kaïs Saïed», note le communiqué. Cette vision, rappelons-le, est fondée sur l’indépendance et l’autonomie e la décision nationale, les politiques sociales et l’intégration régionale du pays.

Le Fades est un partenaire important pour la Tunisie et a contribué à la mise en œuvre de 65 projets dans divers domaines, notamment les infrastructures (barrages, routes et autoroutes), la production dans les secteurs industriel, agricole et du développement rural, ainsi que l’enseignement primaire et supérieur.

Le fonds contribue actuellement à la mise en œuvre de 17 projets dans divers secteurs, ainsi qu’à plusieurs programmes d’assistance technique.

La réunion s’est déroulée en présence du ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, du directeur de cabinet du Premier ministre, Moncef Hamdi, et de plusieurs cadres du Premier ministère.

(Avec Tap).

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Kaïs Saïed promet un «lendemain radieux» aux Tunisien.ne.s

23. Mai 2025 um 11:16

A l’ouverture du conseil des ministres qu’il a présidé hier, jeudi 22 mai 2025, au Palais de Carthage, s’est félicité de la joie provoquée par la suppression de la sous-traitance dans le Code du travail.

«La joie gagnera tous les autres secteurs avec des solutions radicales qui rompraient une fois pour toutes avec le détestable passé», aurait promis le chef de l’Etat selon le communiqué publié par la présidence de la république. «Demain sera illuminé par les lumières de la justice, de la liberté et de la dignité nationale, et ce dans le contexte de l’harmonie existante entre les fonctions législative et exécutive, lesquelles sont l’émanation de la volonté populaire», aurait encore déclaré Saïed, selon le même communiqué.

«Ce lendemain radieux est tout proche pour ceux qui savent voir», a-t-il conclu dans ce qui ressemble à une réponse à toutes les prévisions négatives relatives à l’économie nationale émanant d’experts nationaux et internationaux, et qui soulignent une croissance atone, un recul de l’investissement, un déficit extérieur chronique, une persistance du chômage et une régression du pouvoir d’achat des citoyens en raison de la poursuite des hausses des prix.

Saïed espère, peut-être, que ses politiques sociales vont renverser cette tendance.

I. B.

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