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Italie – Algérie : la coopération énergétique, sécuritaire et migratoire au sommet

24. Juli 2025 um 14:05

À l’occasion d’un sommet bilatéral à Rome, jeudi 24 juillet 2025, la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, et le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, ont affiché une entente renforcée autour de la coopération énergétique, sécuritaire et migratoire.

Mme Meloni a saisi l’occasion pour saluer une relation « d’un niveau jamais atteint ». Laquelle est consolidée par la signature de nouveaux accords, notamment dans les secteurs du gaz, du pétrole et du numérique. Alors que par ailleurs les entreprises Sonatrach et ENI poursuivent leur rapprochement stratégique, comme le souligne l’AFP.

En effet, l’Italie, qui s’est tournée vers l’Algérie pour réduire sa dépendance au gaz russe, en a fait son premier fournisseur énergétique en Afrique, ajoute l’agence.

Et ce n’est pas tout, les deux pays ont aussi signé des accords dans plusieurs autres domaines, dont la défense, la lutte contre le terrorisme et contre l’immigration illégale.

Ainsi, l’agence française établit un parallèle entre cette coopération étroite entre Algériens et Italiens à l’inverse des relations entre l’Algérie et la France qui restent gelées, « sur fond de crise diplomatique persistante ».

A noter que le président algérien aura une rencontre avec le pape Léon XIV, d’origine augustinienne, un symbole fortement apprécié en Algérie, rappelle l’AFP.

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Des chorégraphes italiens animent des ateliers à Tunis

24. Juli 2025 um 13:06

La première édition du Festival Impronte di Danza au Maghreb s’est tenue du 14 au 19 juillet 2025 à Tunis : une semaine dédiée à l’étude et à l’exploration de la danse classique et contemporaine, avec une importante contribution italienne.

Près de quatre-vingt-dix danseurs venus d’Algérie, du Congo et de toutes les régions de Tunisie ont participé aux ateliers, confirmant la forte demande de formations spécialisées en danse, rare dans cette partie du monde arabe, indique l’Oplas/Centro Regionale della Danza Umbria.

La même source ajoute dans un communiqué que les participants étaient répartis en trois niveaux différents, en fonction de leur âge et de leurs compétences techniques.

Durant la semaine d’études, des cours quotidiens de danse classique (avec les professeurs Piero Martelletta, Luca Bruni et Mario Ferrari), de danse contemporaine (avec les chorégraphes Paola Sorressa et Luana Rossetti) et de composition chorégraphique (toujours avec Bruni, Ferrari, Rossetti et Sorressa) ont été proposés dans les salles de l’Opéra de Tunis, qui a accueilli la manifestation.

À la fin du programme d’études, une représentation de l’œuvre achevée a été présentée au Théâtre des Régions, enrichie par les prestations des deux compagnies italiennes organisatrices du programme : Oplas/Centro Regionale della Danza Umbria et Mandala Dance Company.

«Cet excellent résultat suscite une réflexion approfondie sur le rôle éducatif primordial que l’Italie peut jouer dans ces régions géographiquement proches, contribuant ainsi à une émancipation socioculturelle qui commence incontestablement par la base, pour tous et sans distinction d’origine sociale, offrant aux jeunes de nouvelles ambitions et de nouvelles perspectives de carrière et, plus important encore, de nouveaux moyens d’exprimer leur ambition artistique», a souligné Oplas.

Le projet Impronte di Danza est né à Pérouse au début des années 2000 dans le but de promouvoir la danse à travers des spectacles et des ateliers. Après des années d’activité continue en Italie, ce format a fait son apparition en Afrique.

I. B. (avec Ansamed).

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Jeux Africains Scolaires : 192 jeunes athlètes tunisiens en lice dans 18 disciplines en Algérie

22. Juli 2025 um 17:01

La Tunisie sera représentée à la première édition des Jeux Africains Scolaires, qui se dérouleront en Algérie du 26 juillet au 5 août prochain, par une délégation de 262 membres, dont 192 athlètes (hommes et femmes) concourant dans 18 disciplines.

Selon une source du ministère de la jeunesse et des sports, le reste de la délégation tunisienne est composé de 50 personnes réparties entre staff technique et arbitres, ainsi que 8 membres du staff médical et paramédical et 12 officiels et cadres administratifs.
La délégation tunisienne se rendra en Algérie par groupes, en fonction du calendrier des compétitions, avec un premier voyage prévu le 24 juillet. La cérémonie d’ouverture aura lieu le 26 juillet au stade du 19 mai 1956 à Annaba.

Voici la répartition des athlètes tunisiens par discipline :

Athlétisme (22) / Aviron de plage (8) / Badminton (4) / Boxe (13) / Canoë de plage (2) / Cyclisme (6) / Équitation (8) / Escrime (18) / Football (20) / Gymnastique (5) / Judo (16) / Lutte (21) / Natation (17) / Taekwondo (13) / Tennis (4) / Tennis de table (2) / Volley-ball de plage (4) / Wushu Kung Fu (9).

A noter que les Jeux se tiendront dans quatre villes algériennes : Annaba, Skikda, Sétif et Constantine.

La participation tunisienne sera fera à Annaba (Athlétisme, aviron de plage, boxe, canoë de plage, cyclisme, escrime, judo, lutte et tennis), à Skikda (Volley-ball de plage), à Constantine (équitation, football, gymnastique et tennis de table) et à Sétif (Badminton, natation, taekwondo et wushu kung fu).

 

 

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Kamel Daoud, le chroniqueur d’un double exil

22. Juli 2025 um 10:33

Il a un côté casse-gueule, en rupture de ban avec tout, et de préférence avec les siens, auxquels il reproche leur dogmatisme intellectuel et leur conservatisme politique. La langue déliée, trop au goût de certains, Kamel Daoud dit tout, et ne craint pas de déranger les bien-pensants de tout bord, son ego surdimensionné lui tenant souvent lieu de boussole.

Djamal Guettala     

Dans la préface magistrale de son dernier livre, ‘‘Avant qu’il ne soit trop tard. Chroniques 2015-2025’’ (Les Presses de la Cité, avril 2025), Kamel Daoud offre un texte de haute tension intellectuelle. À la fois méditation sur l’exil, alerte politique, et profession de foi littéraire, cette ouverture se lit comme un manifeste : lucide, engagé, dérangeant.

On y retrouve l’écrivain tel qu’en lui-même : libre, insituable, habité par l’Algérie, mais désormais ancré en France, ce pays qu’il décrit comme un «Éden terrestre» autant qu’un territoire de luttes.

Être persan au XXIe siècle

Dans cette longue préface, Kamel Daoud ne chronique pas seulement une décennie française tourmentée. Il chronique aussi ses propres fractures, ses vertiges, son regard de survivant de la décennie noire algérienne, ses inquiétudes face aux répliques qu’il croit percevoir dans l’Hexagone.

Dès l’ouverture, Daoud convoque Montesquieu et ses ‘‘Lettres persanes’’, dans lesquelles un regard étranger interroge les travers d’un pays. Ce jeu du miroir, il le reprend à son compte. Il s’imagine en Persan des temps modernes, observant la France d’un œil inquiet, aimant mais lucide. Il s’interroge : qu’est-ce qu’une chronique française écrite par un Algérien ? À quoi peut prétendre une voix exilée qui refuse d’être réduite au rôle de victime, de donneur de leçon ou de héros postcolonial ?

«Je suis ici depuis peu, c’est ma deuxième chance, c’est mon purgatoire, mon Éden terrestre», écrit-il, d’un ton à la fois désabusé et tendre. La France devient alors terrain d’observation, mais aussi de projection, miroir inversé de son Algérie natale, où l’Histoire s’est figée dans une épopée intouchable, laissant peu de place aux voix libres.

Fantômes d’hier, alertes pour demain

Mais ce regard n’est pas seulement littéraire. Il est hanté par les souvenirs d’une guerre civile : celle qu’il a vécue en Algérie dans les années 1990.

L’islamisme, il le connaît. Il l’a vu naître, prospérer, semer la terreur. Il en parle non comme une obsession, mais comme une vigilance acquise dans la douleur : «J’ai survécu à ses prêches, à ses armées, à son humour sinistre.»

En France, il retrouve les symptômes d’un basculement possible : complaisance médiatique, extrémismes symétriques, culpabilité mal digérée, instrumentalisation de la mémoire. Il voit s’avancer ce qu’il nomme un «remake français» des dérives algériennes. Et il tire la sonnette d’alarme, sans complaisance ni haine : «Un pays peut être perdu en un instant.»

Pour Daoud, les islamistes ne sont pas des croyants mais des stratèges. Ils se jouent des failles des démocraties, exploitent les frustrations, colonisent les imaginaires. Leur rejet de la France ne vise pas seulement son passé colonial, mais surtout ce qu’elle représente : la laïcité, la liberté, l’égalité. Ils haïssent ce pays précisément parce qu’il a bâti un contre-modèle.

Une chronique ou un cri d’amour ?

Pour autant, Daoud n’écrit pas contre la France. Il écrit pour elle. Il la connaît, la lit, la parcourt, la rêve. Il la critique comme on secoue un être aimé que l’on refuse de voir sombrer. Il écrit pour «ne pas tout perdre encore une fois».

Son livre n’est pas une lamentation : c’est un acte de foi dans la possibilité de la lucidité. Il revendique le droit de nommer le danger sans être accusé d’alimenter la haine, de défendre la nuance sans être soupçonné de trahison. Car, dit-il, l’exil algérien en France est un paradoxe permanent. En Algérie, il se sent «en retard» sur l’Histoire. En France, il se découvre «en avance» sur les tragédies à venir. Il est le fantôme d’un désastre passé, devenu messager d’un avenir à éviter.

Le chroniqueur sur une ligne de crête

Cette préface est aussi une réflexion sur le journalisme. Kamel Daoud refuse les simplismes et les lignes éditoriales figées. Il veut «goûter le plaisir de la nuance et du style», tracer une ligne de crête entre actualité et distance, entre émotion et raisonnement. C’est là qu’il retrouve Camus, son maître tutélaire : celui qui réclamait à la fois justice et vérité, qui écrivait que les journaux sont «la voix d’une nation».

Dans cette voix, Daoud place son souffle. Pas celui d’un «bon Arabe» ou d’un «mauvais Arabe», mais celui d’un écrivain libre, délié des assignations, habité par les deux rives de la Méditerranée, refusant de trahir l’une pour flatter l’autre.

Avec ‘‘Avant qu’il ne soit trop tard’’, Kamel Daoud livre plus qu’un livre : un signal, une tentative de lucidité face au chaos rampant, une défense de la liberté comme condition première de l’écriture. Et une main tendue à ce pays qu’il veut aider à ne pas sombrer. Avant qu’il ne soit trop tard.

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Eni signe un contrat pour le champ gazier algérien de Reggane 2

22. Juli 2025 um 08:58

Le géant énergétique italien Eni a officiellement ret a signé, lundi 21 juillet 2025, le contrat d’exploration du champ gazier de Reggane 2, situé dans le sud-ouest de l’Algérie.

Le champ a été attribué en juin dernier au groupe milanais San Donato, en partenariat avec le thaïlandais PTTEP, à l’issue du premier appel d’offres international lancé par l’Etat algérien.

La cérémonie de signature s’est déroulée au siège de Sonatrach à Alger, en présence de Giorgio Vicini, directeur général d’Eni Algérie, du ministre algérien de l’Énergie, Mohamed Arkab, et du PDG de l’entreprise publique algérienne, Rachid Hachichi.

À cette occasion, Vicini a déclaré à l’agence italienne Ansa : «Nous sommes ravis d’avoir signé cet accord, qui renforce encore notre partenariat avec Sonatrach dans le pays, et nous félicitons le ministère, l’agence Alnaft et Sonatrach pour le professionnalisme de ce travail et de cet appel d’offres.»

Selon un document publié par l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft), le contrat de «partage de production» couvre une superficie de 40 827 kilomètres carrés et porte sur des réserves prouvées de 65 milliards de mètres cubes, avec des ressources estimées et potentielles atteignant 143 milliards de mètres cubes.

Selon le document soumis par Alnaft, l’investissement prévu pour la seule phase d’exploration s’élève à 32 millions de dollars. Le contrat exige également la présentation d’un programme de développement de champs comportant au moins cinq découvertes entre la troisième et la quatrième année d’exploration.

I. B.

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Énergie en Tunisie : 11% des besoins en électricité couverts par l’Algérie en 2025

21. Juli 2025 um 15:14
Énergie en Tunisie : 11% des besoins en électricité couverts par l’Algérie en 2025

La production nationale d’électricité en Tunisie a atteint environ 7065 gigawattheures à la fin du mois de mai 2025, selon les dernières données publiées par le Observatoire National de l’Énergie. Cette performance s’accompagne toutefois d’un recours accru aux importations, notamment en provenance d’Algérie, qui ont couvert près de 11 % des besoins électriques du pays. […]

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Tunisie : Baisse de 11% des ressources en gaz naturel à fin mai 2025 malgré une hausse des achats algériens

Von: walid
21. Juli 2025 um 12:29

Les ressources en gaz naturel (production nationale + forfait fiscal) ont atteint 809 ktep, à fin mai 2025, enregistrant ainsi une baisse de 11% par rapport à la même période de l’année précédente, c’est ce qui ressort du rapport sur la conjoncture énergétique pour mai 2025, publié par l’observatoire national de l’énergie et des mines.

La production du gaz commercial sec a diminué de 5%, alors que la redevance sur le passage du gaz algérien a enregistré une baisse de 18% à fin mai 2025, par rapport à fin mai 2024, en se situant à 335 ktep.

Il convient de noter que le Champ Hasdrubal et celui de Nawara ont enregistré une baisse respectivement de 11%, et de 34%. De même, pour le champ Miskar dont la production a régressé de 1%.

Pour ce qui est du Gaz commercial du sud, sa production a connu une hausse de 17%, à fin mai 2025, par rapport à la même période de l’année écoulée.

L’observatoire a mis l’accent sur la baisse du forfait fiscal sur le transit de gaz d’origine algérienne de 18% à fin mai 2025, par rapport à fin mai 2024.

Par ailleurs, la répartition de la redevance totale entre la redevance cédée à la STEG et la redevance exportée montre que la plus grande partie est cédée à la STEG (84%).

A signaler qu’un dépassement des prélèvements STEG sur la redevance revenant à l’Etat Tunisien a été enregistré en 2024 d’une quantité de 219 millions de Cm3, il est en cours de régularisation.

S’agissant des achats du gaz algérien, ils ont enregistré une hausse de 24%, entre fin mai 2024 et fin mai 2025, pour se situer à 1056 ktep.

L’approvisionnement national en gaz naturel a enregistré une hausse de 7 % entre fin mai 2024 et fin mai 2025 pour se situer à 1811 ktep.

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Algérie : une nouvelle réglementation pour le change de devises étrangères

21. Juli 2025 um 09:59

La Banque d’Algérie a approuvé de nouvelles conditions pour que les citoyens puissent obtenir des devises étrangères au taux de change officiel lors de leurs voyages à l’étranger, rapporte l’agence de presse officielle (APS) citant un communiqué de la banque.

La Banque d’Algérie a fixé le montant pour les citoyens voyageant à l’étranger à 750 euros (payés une fois par an) pour les plus de 19 ans, et à 300 euros pour les 12 à 19 ans, à condition que les réservations de voyage soient effectuées au moins trois jours ouvrables à l’avance.

Elle a souligné que les devises étrangères sont détenues dans ses succursales ou auprès de cinq autres banques : la Banque nationale d’Algérie, la Banque de l’agriculture et du développement rural, la Caisse nationale d’épargne et de réserve – Banque CNAB, la Banque algérienne des étrangers et la Banque de développement local.

Pourquoi cette décision ?

Les médias locaux indiquent que cette décision contribuera à mettre fin à certaines manipulations et pratiques qui ont alimenté le « marché noir » des changes.

Certains médias indiquent que des agences de voyages et de tourisme ont récemment exploité ce problème pour générer des profits commerciaux illicites en organisant des voyages à l’étranger d’une journée ou moins, notamment vers la ville tunisienne de Tabarka, située à seulement 20 kilomètres du poste-frontière algérien, avec des allers-retours le jour même. Cela permet aux citoyens de bénéficier de la différence de taux de change.

La Banque centrale d’Algérie vend la valeur des aides au voyage aux citoyens au taux de change officiel, soit 40 % de moins que le taux de change du marché noir, c’est-à-dire 100 euros pour 15 000 dinars algériens, contre 100 euros pour 26 000 dinars sur le marché noir.

La Banque a imposé une nouvelle condition d’une durée du séjour lors d’un voyage à l’étranger d’au moins sept jours.

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Algérie Ferries achète le ro-pax grec El Venizelos 

19. Juli 2025 um 08:22
L’Entreprise Nationale de Transport Maritime de Voyageurs (ENTMV), basée à Alger, a acquis l’un des plus grands et des plus anciens ferries de la flotte du conglomérat grec Attica Group.Attica a déclaré avoir conclu un contrat de location-vente avec coque nue qui prévoit la vente du ro-pax El Venizelos (construit en 1992), d’une capacité de […]

Algérie : « El Heddaf TV » rappelée à l’ordre par l’ANIRA

18. Juli 2025 um 22:42

Le secteur audiovisuel algérien est secoué par une polémique. L’Autorité nationale indépendante de régulation de l’audiovisuel (ANIRA) a adressé un avertissement officiel à la chaîne algérienne « El-Heddaf TV », pointant de graves manquements à la déontologie professionnelle et au respect de son cahier des charges.

En cause : des propos jugés préjudiciables à la réputation du Groupe Sonelgaz. Le régulateur exige des excuses officielles et publiques, afin de réparer le préjudice porté à l’image de cette entreprise stratégique, a rapporté l’APS.

L’Autorité nationale indépendante de régulation de l’audiovisuel (ANIRA) a annoncé, dans un communiqué, avoir reçu, le 24 juin 2025, une plainte officielle émanant du groupe Sonelgaz, propriétaire actuel du club Entente sportive de Sétif (ESS). La plainte dénonce des propos jugés « attentatoires à la réputation du groupe et à la dignité de ses responsables ».

Ces propos auraient été tenus lors de l’émission « Belmakchouf », diffusée le 17 juin 2025 sur la chaîne El Heddaf TV, et qualifiés par Sonelgaz de « diffamatoires » et constituant des « moqueries publiques ».

Suite à cette plainte, l’ANIRA a convoqué, le 25 juin 2025, les responsables de la chaîne afin d’entendre leur version des faits, aussi bien orales qu’écrites, avant de procéder à une « analyse objective » du contenu de l’émission incriminée, ainsi que des pratiques récurrentes relevées dans certaines émissions sportives.

L’Autorité demande à la chaîne de présenter des « excuses officielles et publiques » au groupe Sonelgaz. En effet, l’autorité estime que les propos diffusés ont porté atteinte à la réputation d’une entreprise qu’elle qualifie de « souveraine et stratégique » pour l’économie nationale.

L’ANIRA souligne qu’elle « ne tolérera aucune dérive portant atteinte à l’intérêt suprême du pays » et exhorte les professionnels du secteur à promouvoir « une culture médiatique éthique et responsable ».

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Un journaliste sportif français accusé de terrorisme en Algérie

18. Juli 2025 um 08:19

De l’actrice Catherine Deneuve à l’ancien sélectionneur des Bleus Hervé Renard, une centaine de personnalités réclament la libération de Christophe Gleizes, journaliste sportif spécialisé dans le football, condamné à sept ans de prison en Algérie pour «apologie du terrorisme».

Parmi les soutiens à cette initiative, organisée par un comité de soutien lancé par Reporters sans frontières (RSF), figurent l’ancien sélectionneur de l’équipe algérienne de football Vahid Halilhodzic, le journaliste sportif Hervé Mathoux, l’acteur Gilles Lellouche, le romancier Nicolas Mathieu et la journaliste Anne-Sophie Lapix.

Leurs noms figurent également parmi les plus de 17 100 signatures recueillies sur une pétition de RSF demandant la «libération immédiate» du journaliste.

Collaborateur des magazines français So Foot et Society, Christophe Gleizes, 36 ans, a été condamné fin juin à sept ans de prison ferme pour «apologie du terrorisme» et «publications visant à la propagande contre l’intérêt national».

Alger l’accuse d’avoir été en contact avec un dirigeant du club de football de la Jeunesse sportive de Kabylie (JSK), qui est également le chef du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK), classé organisation terroriste par les autorités algériennes depuis 2021.

I. B.

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Baisse des naissances et ralentissement démographique en Algérie

18. Juli 2025 um 08:04

Alors que la population algérienne continue de croître, dépassant les 47 millions, le pays connaît une baisse constante des naissances depuis 2020, signe d’une évolution démographique sans précédent.

Selon le ministère de la Santé, environ 873 000 naissances sont attendues en 2025, soit 18,5 pour 1 000 habitants, contre 19,6 en 2019.

Ce déclin progressif a débuté après six années consécutives au-delà du million de naissances par an.

Le pays compte actuellement 47 millions d’habitants, dont la majorité est en âge de travailler.

Les données de l’Office national des statistiques indiquent que 29% de la population a moins de 15 ans et 11% plus de 60 ans. On compte environ 11,7 millions de femmes en âge de procréer.

Parallèlement, le nombre de mariages est également en baisse : 282 000 en 2023, contre 387 000 en 2014, année record.

L’âge moyen au premier mariage est passé à 27 ans pour les femmes et 34 ans pour les hommes, tandis que le mariage précoce est désormais un phénomène résiduel.

Selon la Direction de la démographie du ministère de la Santé, le modèle familial évolue : les couples optent de plus en plus pour des familles de petite taille, avec trois enfants comme choix prédominant.

I. B.

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Cinq livres des éditions Casbah, cinq chemins d’Algérie

17. Juli 2025 um 07:37

Du désert soufi aux marges de Paris, de la mémoire coloniale aux plaines oubliées de l’Antiquité, en passant par l’héritage combatif des femmes algériennes, cinq livres récents des éditions Casbah dessinent les contours d’une Algérie plurielle, blessée mais debout. Cinq coups de cœur pour dire autrement l’histoire, l’exil, la foi, la transmission.

Djamal Guettala

‘‘Atlas des qoubbas des maîtres du sens du sud algérien’’, de Malek Kerdel :

Un ouvrage monumental. Plus de 400 pages consacrées aux qoubbas du sud algérien, ces mausolées de saints soufis qui irriguent l’imaginaire populaire depuis des siècles.

Malek Kerdel ne livre pas un simple inventaire : il fait revivre les maîtres du silence, raconte leurs parcours, leurs vertus, les lieux qui les abritent et les croyances qu’ils ont nourries.

À travers ce travail, c’est un pan essentiel du patrimoine immatériel algérien qui se déploie avec ferveur. Un livre rare, salué en préface par l’anthropologue Ouiza Galleze, experte du PCI à l’Unesco.

‘‘Paris, l’autre désert’’ de Mokeddem :

Un bossu, un chien qui se prend pour Victor Hugo, et une ville : Paris, devenue désert pour ceux qui n’y ont pas de place.

Dans ce roman bref et percutant, Mokeddem donne la parole aux invisibles. Avec humour noir et tendresse, il raconte l’errance d’un scénariste algérien marginalisé, qui s’invente une relation poétique et absurde avec un chien bavard.

Entre fable cruelle et chronique sociale, c’est une réflexion bouleversante sur l’exil, la solitude et la dignité des vaincus.

‘‘Algériennes. De mère en fille’’ de Hind Soyer :

À travers la lignée des El-Hassani, Hind Soyer retrace une histoire de femmes debout, résistantes, libres, du vieux quartier d’Alger jusqu’à sa propre fille, Aurore.

Ce récit vibrant mêle mémoire familiale et figures historiques — Zohra Drif, Djamila Bouhired — pour redonner corps à l’héroïsme quotidien des Algériennes.

Sans emphase ni artifice, ce livre dit la filiation, la douleur et la fierté. Il rappelle que certaines luttes se transmettent comme le sang : avec la même force, la même dignité.

‘‘La revanche du dernier des indigènes’’ de Lachemi Siagh :

Touggourt, années 1960. L’indépendance arrive, mais la mémoire de l’indigénat est encore brûlante.

Lachemi Siagh revient sur son enfance au cœur du Sahara, témoin des bouleversements économiques, sociaux et politiques liés à la découverte du pétrole et à la fin de la colonisation. Il mêle récit de vie et réflexion historique, avec le souci de transmettre une expérience à ceux qui n’ont pas vécu cette période. Une écriture sincère, sans rancœur, mais avec exigence. Pour que justice se dise, enfin.

‘‘Robba, la Berbère donatiste’’ de Driss Reffas :

C’est un nom oublié, un destin effacé des manuels: Robba, chrétienne berbère et martyre donatiste, assassinée en 434 pour avoir défié Rome.

Driss Reffas, historien de terrain, redonne vie à cette figure dissidente de l’Algérie antique. À travers elle, il exhume une mémoire religieuse effervescente, bien antérieure à l’islam, et rappelle que la terre algérienne fut aussi celle de résistances spirituelles farouches.

Un récit éclairant, ancré dans un passé encore vivant dans les noms de lieux, les pierres et les récits oubliés.

* * *

Cinq livres, cinq intensités. À lire comme on traverse un pays : à la fois blessé et vivant, éparpillé et entier.

Les éditions Casbah, par cette sélection, poursuivent leur œuvre essentielle : faire surgir des voix qui racontent l’Algérie autrement.

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Alger : Lancement des travaux d’extension du métro confiés au géant chinois CRCC

16. Juli 2025 um 13:42

La cérémonie de lancement des travaux de l’extension de la ligne 1 du métro d’Alger, dirigés par CRCC (China Railway Construction Corporation), s’est tenue mardi à Alger, capitale algérienne.

C’est la première fois qu’une entreprise chinoise intervient en tant que contractant général dans la construction d’un métro en Algérie.

Lors de cet événement, plus de 300 invités étaient présents, notamment Lakhdar Rekhroukh, ministre des Travaux publics et des Infrastructures, Saïd Sayoud, ministre des Transports, Kamel Baddari, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, et Dong Guangli, ambassadeur de Chine en Algérie, ainsi que des représentants de la wilaya d’Alger.

M. Rekhroukh a exprimé son souhait que les partenaires optimisent davantage leurs méthodes et techniques de construction, améliorent la qualité de la gestion de projet, et contribuent ainsi à améliorer les infrastructures urbaines en Algérie.

Le projet de métro s’étend sur environ 9,6 km et comprend neuf stations souterraines. Il est mis en œuvre par un groupement dirigé par CRCC, composé également d’entreprises publiques locales.

Une fois achevé, ce projet permettra une liaison efficace entre le centre-ville et l’aéroport Houari Boumediene, facilitant les déplacements des habitants et constituant un axe essentiel pour le développement local.

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IATF 2025 : 24 entreprises tunisiennes à la conquête du marché africain à Alger

16. Juli 2025 um 12:07

Une délégation de 24 entreprises exportatrices tunisiennes, dont 12 PME, 8 artisans et 4 startups prendra part à la Foire commerciale intra-africaine (IATF 2025), l’événement incontournable du commerce continental qui se tiendra du 4 au 10 septembre 2025 en Alger (Algérie), a fait savoir le ministère du commerce et du développement des exportations.

Ces entreprises opérant dans des secteurs prometteurs, notamment le textile, l’habillement, le cuir et la chaussure, les cosmétiques, les matériaux de construction, l’artisanat, ainsi que dans l’industrie des composants automobiles, occuperont un pavillon national couvrant une superficie de 304 mètres carrés.

Un espace spécial sera dédié aux institutions nationales telles que le Comité national de mise en œuvre de la Zone de Libre-échange Continentale Africaine ( Zlecaf), les Chambres de commerce et d’industrie, le Centre de promotion des exportations, l’Agence de promotion de l’investissement extérieur, l’Office national du tourisme tunisien et l’Office national de l’artisanat.

Les préparatifs pour cet évènement ont été au cœur d’une réunion tenue le 15 juillet courant au siège du ministère du commerce et présidée par le ministre de tutelle Samir Abid qui a, à cette occasion, souligné la nécessité de simplifier les procédures pour les entreprises participantes et de leur fournir l’accompagnement et le soutien nécessaires afin d’atteindre les objectifs souhaités de cette participation.

Organisée par la Banque africaine d’import-export (Afreximbank), en collaboration avec la Commission de l’Union africaine (CUA) et le Secrétariat de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), l’IATF a pour objectif de fournir une plate-forme unique pour faciliter l’échange d’informations sur le commerce et l’investissement afin de soutenir le développement du commerce et des investissements intra-africains, en particulier dans le contexte de la mise en œuvre de l’Accord de libre-échange continental africain (ZLECAf).

L’IATF rassemble des acteurs continentaux et mondiaux pour présenter et exposer leurs biens et services et pour explorer les opportunités commerciales et d’investissement sur le continent.

Plus de 2000 exposants et de 35 000 visiteurs professionnels issus de tout le continent prendront part à cette foire avec plus de 44 milliards de dollars d’accords commerciaux et d’investissements attendus.

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Kamel Daoud | «L’affaire Sansal révèle une double faillite algérienne et française»

14. Juli 2025 um 08:04

Dans une tribune publiée par ‘‘Le Point’’ , l’écrivain franco-algérien Kamel Daoud, Prix Goncourt 2024, revient avec force sur la détention de Boualem Sansal en Algérie. Il dénonce une Algérie livrée à l’arbitraire et une France engluée dans son impuissance. Une affaire emblématique d’un monde postcolonial à bout de souffle. (Ph. François Bouchon / Le Figaro).

Imed Bahri

L’affaire Sansal ne fait plus la une des journaux, mais elle continue d’agiter les consciences. Boualem Sansal, romancier reconnu et traduit dans plusieurs langues, est détenu en Algérie depuis des mois dans un climat d’opacité judiciaire et condamné à 5 ans de prison ferme. Il a 75 ans et souffre de plusieurs maladies.

Dans un éditorial publié le 10 juillet 2025 dans ‘‘Le Point’’ et intitulée ‘Sansal, les leçons d’un scandale’’, Kamel Daoud livre une lecture implacable de ce qu’il qualifie de «scandale politique et moral». Une tribune qui dépasse le cas individuel pour dresser le portrait d’un système à bout de souffle.

Répression, silence, indifférence

D’un côté, une Algérie de plus en plus autoritaire, où l’écrivain est redevenu une cible. «Le pays des révolutions est devenu celui des prisons», écrit Daoud. Boualem Sansal n’est qu’un nom parmi d’autres : artistes, militants, syndicalistes, intellectuels sont confrontés à la répression, au silence ou à la marginalisation. Le dernier en date, rappelle Daoud, est Cheb Mustapha, condamné à cinq ans de prison dans l’indifférence générale.

De l’autre côté, une France désarmée, engluée dans ses contradictions postcoloniales, entre posture humaniste et silence stratégique. «Pendant des mois, la France est restée impuissante», observe Kamel Daoud, qui dénonce un mélange de politesse diplomatique, de calculs politiques et de renoncements. La parole solennelle a remplacé l’action, la patience s’est substituée au courage.

Mais le cœur de l’analyse va plus loin : l’écrivain algérien dénonce aussi les compromissions françaises. Certains intellectuels, journalistes ou militants ont relayé les accusations du régime algérien, participant au lynchage symbolique de Sansal. D’autres, par crainte ou par posture idéologique, ont préféré le silence. «L’affaire a mis à nu les réflexes collaborationnistes», tranche Daoud.

La parole libérée est un rempart contre la peur

Ce texte résonne dans toute la région. Il parle aussi à ceux qui, ailleurs au Maghreb, observent des logiques similaires : criminalisation de la pensée, instrumentalisation de la justice, et abandon progressif des libertés fondamentales. Il dit également l’échec d’un rêve : celui d’une relation franco-maghrébine fondée sur le dialogue, la reconnaissance et la liberté. À la fin, Kamel Daoud rappelle que, face à ce double effondrement, une chose demeure : la dignité. «Lui, au moins, conserve la sienne», écrit-il à propos de Sansal. Une manière de rappeler que la parole, quand elle est tenue jusqu’au bout, peut encore faire rempart contre la peur.

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Poste frontalier Tunisie-Algérie : un important incendie provoqué par une voiture en feu

13. Juli 2025 um 22:10
Poste frontalier Tunisie-Algérie : un important incendie provoqué par une voiture en feu

Un incendie s’est déclaré il y a peu dans une voiture de marque “Symbol” immatriculée en Algérie, au niveau du poste-frontière Taleb Larbi entre l’Algérie et la Tunisie, côté algérien. Les unités de la protection civile sont rapidement intervenues et sont parvenues à maîtriser les flammes avant qu’elles ne causent des dégâts plus importants. Heureusement, […]

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Droits de douane | L’ultimatum de Trump à la Tunisie et 3 autres pays arabes

13. Juli 2025 um 10:34

Le président américain Donald Trump a adressé cette semaine des lettres à quatre pays arabes – la Tunisie, l’Algérie, la Libye et l’Irak – les informant qu’ils seront confrontés à des droits de douane plus élevés à compter du 1er août, à moins qu’ils ne concluent de nouveaux accords commerciaux avec les États-Unis. Si ne n’est pas une sanction, cela y ressemble beaucoup.

Ces lettres, publiées sur la plateforme Truth Social de Trump, exposent un projet de droits de douane de 30% sur les importations en provenance d’Algérie, d’Irak et de Libye, et de 25% sur les marchandises en provenance de Tunisie. Pour l’Algérie, le droit de douane de 30% correspond au taux annoncé en avril.

Cependant, l’Irak et la Libye ont bénéficié de légères réductions par rapport aux taux proposés précédemment, passant respectivement de 39% et 31%. Le nouveau taux de 25% de la Tunisie constitue également une légère baisse par rapport aux 28% proposés en avril.

Les exportations ciblées reflètent les principaux échanges de chaque pays avec les États-Unis : la Tunisie exporte des graisses animales et végétales, des vêtements et des produits agricoles tels que l’huile d’olive et les dattes; l’Algérie du pétrole, du ciment et des produits sidérurgiques; l’Irak du pétrole brut et des dérivés du pétrole; et les produits pétroliers dominent les exportations libyennes.

Si certaines de ces taxes à l’importation reflètent les taux dévoilés par Trump en avril – dont beaucoup ont été reportés par la suite – plusieurs taxes désormais promises pour le mois prochain sont supérieures ou inférieures à celles annoncées précédemment, ce qui témoigne d’une certaine avancée dans les récentes négociations.

Dans ces lettres, Trump a averti les pays qu’ils s’exposeraient à des droits de douane encore plus élevés s’ils ripostaient en augmentant leurs propres taxes à l’importation.

Difficile de ne pas voir dans ces droits de douanes élevés imposés aux quatre pays concernés une sanction pour leurs positions politiques favorables à la cause palestinienne et leur rejet de principe de toute normalisation avec l’Etat d’Israël. Les faibles droits de douanes fixés pour les pays ayant déjà des relations diplomatiques avec l’Etat hébreu, comme l’Egypte, la Jordanie ou le Maroc, confirment la justesse d’une telle analyse.

I. B.

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Algérie–Tunisie : le train international Annaba–Tunis reprend du service en 2025

12. Juli 2025 um 18:51
Algérie–Tunisie : le train international Annaba–Tunis reprend du service en 2025

Le train international reliant Annaba à Tunis fait son grand retour, marquant une avancée significative dans le renforcement des liens entre l’Algérie et la Tunisie. Ce service transfrontalier, désormais disponible trois fois par semaine dans chaque sens, propose un itinéraire stratégique avec des arrêts à Souk Ahras, Ghardimaou, Jendouba et Béja, facilitant l’accès à plusieurs […]

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