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Tunisie : un prêt saoudien de 112 MD pour créer un pôle oasien à Borj Bourguiba

Von: walid
28. Juni 2025 um 10:43

Un accord de prêt d’un montant de 143,3 millions de riyals saoudiens (l’équivalent de 112 millions de dinars), visant à financer un projet de création d’un pôle oasien dans le sud tunisien a été signé, vendredi à Tunis, par le ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafidh et le directeur général du Fonds saoudien pour le développement (FSD), Soltan bin Abderrahmane Al-Murshed.

Cet accord prévoit la réalisation de travaux d’extension du village frontalier “Borj Bourguiba” relevant de la délégation de Ramada (gouvernorat de Tataouine) et la création de nouveaux villages à proximité.

En vertu de cet accord, des terres agricoles d’une superficie de 1000 hectares, seront mises en valeur. Ce prêt sera remboursable sur une durée de 20 ans, incluant une période de grâce de 5 ans, avec un taux d’intérêt de 2,5 %.

Lors de la cérémonie de signature de cet accord, le ministre de l’Economie et de la Planification a déclaré que ce projet de réalisation d’un pôle oasien ne manquera pas de diversifier et de développer l’économie dans le sud tunisien, ajoutant qu’il permettra, également, de générer des postes d’emploi et des revenus au profit des habitants de la région.

Selon lui, le FSD a contribué depuis les années 70 au financement de plusieurs projets de développement qui ont touché plusieurs secteurs dont 14 projets en cours de réalisation.

D’après le directeur général du FSD, le nombre de projets financés par son fonds en Tunisie s’élève à 32 projets, moyennant un coût total estimé à 1,2 milliard de dollars.

De son côté, le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzedine Ben Cheikh a indiqué que ce projet va contribuer à rationaliser l’utilisation des ressources hydrauliques souterraines dans la région, et ce, à travers l’aménagement de 1000 hectares de cultures irriguées à Borj Bourguiba.

Cela, a-t-il ajouté, permettra de lutter contre le chômage, de retenir ainsi les habitants dans leur région et de préserver la biodiversité du désert, tout en améliorant la résilience face au changement climatique.

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Tunisie : le changement climatique bouleverse l’agriculture et menace la sécurité alimentaire

Von: walid
28. Juni 2025 um 10:30

Les changements climatiques provoquent une perturbation significative du calendrier agricole en Tunisie et menacent la sécurité alimentaire en raison de l’instabilité des récoltes, c’est ce qui ressort d’une étude, publiée, récemment, par le Bureau “Heinrich Böll Stiftung” Tunis (Fondation allemande), sur “Les petits agriculteurs face au changement climatique: perceptions et mécanismes de résilience”.

Cette étude met en lumière la profondeur et l’importance des effets des changements climatiques sur le secteur agricole en Tunisie, en révélant, notamment, les menaces qui pèsent sur les écosystèmes, qu’ils soient végétaux ou animaux.

Passant en revue les divers mécanismes d’adaptation, adoptés par les agriculteurs, pour faire face aux impacts de ce fléau, l’étude a souligné que ces mesures « manquent de durabilité et d’efficacité lorsqu’ils ne sont pas intégrés dans un cadre plus général, ce qui exige une approche globale de la part de l’État ».

A ce propos, l’étude a relevé que « les politiques et les engagements de l’Etat ne suffisent pas à faire face aux répercussions de ce phénomène ».

Ainsi, elle présente une série de recommandations pour «lutter contre les répercussions du changement climatique dans le secteur agricole, tout en suivant un cadre analytique basé sur le concept des “communs””, désignant des formes d’usage et de gestion collective d’une ressource ou d’une chose par une communauté. Il s’agit d’«un modèle alternatif capable d’offrir à l’agriculture les moyens de résister au dérèglement climatique ». L’objectif étant de garantir la résilience et la durabilité du secteur agricole.

Tout d’abord, l’étude propose de «refuser de soumettre le développement national aux contraintes de la mondialisation», ce qui « implique de réorienter la production agricole vers la consommation locale dans le but d’approvisionner la société, tout en soutenant les agriculteurs tunisiens ».

ans ce contexte, le rapport estime que « la majorité de la production agricole tunisienne est orientée vers l’exportation, en se basant sur les avantages comparatifs, finalement illusoires, sans tenir compte des priorités de l’économie nationale et des objectifs de développement local ».

Par ailleurs, il souligne que l’Etat doit réviser les systèmes de production considérés stratégiques (l’olivier, les dattes, les agrumes, etc.) et les remplacer par d’autres systèmes (céréales, viandes, fourrage, etc.), ce qui permettrait de garantir l’autosuffisance de la population et de se libérer de l’emprise des marchés mondiaux.

L’Etat est appelé, aussi, à investir dans le développement rural en créant une infrastructure qui assure une vie décente aux habitants des zones rurales, tout en préservant les terres, les ressources naturelles et les écosystèmes ; à augmenter les dépenses publiques au profit de l’agriculture ; à promouvoir les marchés de proximité afin de réduire les coûts à long terme liés au transport et au stockage des denrées alimentaires, …

D’après l’étude, il est impératif, également, d’encourager les systèmes de production axés sur la diversification des produits ; de soutenir les choix de produits agricoles qui ne nécessitent pas des ressources en eau en grandes quantités et qui sont adaptés aux conditions climatiques locales ; de revaloriser l’élevage, secteur qui présente plusieurs avantages pour la régénération des écosystèmes ; de créer des coopératives de production et de consommation pour implanter des méthodes de prise de décisions participatives

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Baisse des températures et temps mitigé attendus ce samedi en Tunisie

Von: hechmi
28. Juni 2025 um 09:42

Météo Printemps

Après plusieurs jours de chaleur, la Tunisie s’apprête à connaître une légère baisse des températures ce samedi 28 juin. Les prévisions de l’Institut National de la Météorologie (INM) annoncent un temps globalement peu nuageux, avec des variations régionales notables.

Dans les régions côtières du nord et sur les hauteurs, les maximales devraient osciller entre 28 et 32 degrés Celsius, offrant un répit bienvenu aux habitants et aux vacanciers. Le ciel y sera toutefois plus couvert, avec des nuages plus denses attendus.

Pour le reste du pays, les températures resteront élevées, comprises entre 33 et 39 degrés. Le sud-ouest, en particulier, connaîtra des pics de chaleur pouvant atteindre les 43 degrés, invitant à la prudence et à l’hydratation.

Côté vent, une forte brise de secteur nord est attendue près des côtes et sur les hauteurs, rendant la mer très agitée. Ailleurs, le vent sera faible à modéré. Les usagers de la mer et les riverains des zones côtières sont donc appelés à la vigilance.

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Tunisie : les éditeurs indépendants réunis autour des enjeux du livre et de la bibliodiversité

Von: walid
28. Juni 2025 um 09:36

Les rencontres professionnelles des éditeurs indépendants du monde arabe et de l’espace francophone, organisées depuis lundi 23 juin par l’Alliance internationale de l’édition indépendante (AIEI), ont pris fin jeudi 26 juin 2025.

Pendant quatre jours de débats et de workshops, des éditeurs venus de 17 pays se sont réunis pour échanger autour des enjeux majeurs du secteur du livre, en particulier dans le monde arabe et dans les pays francophones.

L’un des temps marquants de ces rencontres a été le lancement, mardi 24 juin, de la première cartographie des politiques publiques du livre dans le monde arabe. Il s’agit d’une étude inédite et approfondie sur les politiques publiques liées à l’édition dans la région, permettant de présenter des recommandations en vue de développer le secteur du livre, à toutes les étapes de sa réalisation.

La cartographie, accessible sur le site de l’Alliance internationale de l’édition indépendante, est ouverte à tous les éditeurs locaux qui peuvent y contribuer en ajoutant des données spécifiques à leurs pays.

Parmi les points forts figure également la présentation de la première mouture du livre du grand calligraphe syrien Mouneer al-Shaarani, qui a mis en lettres des citations et des vers emblématiques de la littérature arabe. Cet ouvrage associe ses calligraphies à des traductions des mots en trois langues, français, anglais et espagnol. A travers ce projet, le réseau des éditeurs en langue arabe au sein de l’AIEI entend promouvoir la culture arabe auprès des autres peuples, à travers l’art de la calligraphie.

Les échanges ont porté sur trois grands axes : les partenariats éditoriaux solidaires entre maisons d’édition arabes et francophones, les politiques publiques du livre, et l’intelligence artificielle et la bibliodiversité (diversité culturelle appliquée au monde du livre).

Une grande partie des discussions a porté sur le soutien aux éditeurs palestiniens. Dans ce contexte, il a été procédé à la création d’une cellule dédiée à la promotion de la littérature palestinienne au sein de l’Alliance. Elle aura pour mission de mieux faire connaître la production littéraire palestinienne, d’en faciliter la traduction et d’encourager les éditeurs membres à l’intégrer dans leurs catalogues, chacun dans sa langue.

Soutenant la notion de la bibliodiversité, l’AIEI a choisi de traiter le thème de l’intelligence artificielle, dès lors que l’IA peut soit encourager cette diversité, soit, au contraire, la freiner. Le colloque a été l’occasion de réfléchir à la manière dont les éditeurs peuvent utiliser l’IA, tout en respectant les règles et l’éthique du métier. Pour accompagner cette réflexion, un atelier de formation sur l’intelligence artificielle et la bibliodiversité, animé par un expert de l’UNESCO, a été proposé aux participants, dans un esprit d’ouverture au numérique et de transmission d’outils techniques susceptibles de faire évoluer les pratiques éditoriales.

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Bourse de Tunis : SMART TUNISIE dynamise les échanges avec deux blocs de 5,6 MD

Von: walid
28. Juni 2025 um 09:22

Le marché boursier a prolongé son rebond, vendredi. L’indice de référence s’est apprécié de 0,46% à 11575,02 points dans un volume de 13,4 millions de dinars (MD), soutenu par deux transactions de bloc de 5,6 MD portant sur le titre SMART TUNISIE, d’après l’analyse quotidienne de l’intermédiaire en bourse Tunisie Valeurs.

SMART TUNISIE a été la valeur vedette de la séance. L’action du groupe s’est maintenu à l’équilibre à 12,500 D, tout en alimentant le marché avec des capitaux assez fournis de 5,9 MD.

Le titre STA s’est offert la meilleure performance de la séance. Dans un flux de 82 mille dinars, l’action du concessionnaire de la marque Chery s’est appréciée de 6% à 24,800 D.

Le titre ATTIJARI LEASING s’est également, distingué sur la séance, affichant une performance dans le vert (+6 % à 27,550 D). L’action du leaseur adossé au groupe ATTIJARI a amassé un volume de 66 mille dinars.

Sans faire l’objet de transactions sur la séance, le titre ASTREE a figuré parmi les plus fortes baisses de la séance. L’action de l’assureur a reculé de -4,5% à 44,840 D.

Le titre SOMOCER a, également, affiché une performance décevante sur la séance. L’action du spécialiste des carreaux en céramique a abandonné -4,1% à 0,470 D. Les échanges sur la valeur ont été maigres ne dépassant pas les 14 mille dinars.

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Foire de Gabès : 300 m² dédiés à l’artisanat dans une édition marquée par la diversité

Von: walid
28. Juni 2025 um 09:12

Les activités de la la 41ème édition de la Foire internationale de Gabès ont démarré, hier soir, jeudi, au Palais des expositions de Gabès, sous le slogan ”Gabès se rassemble: une créativité renouvelée”, de

L’événement se poursuivra jusqu’au 14 juillet prochain, avec la participation de plus de 250 exposants venus de Tunisie et de l’étranger, représentant la majorité des secteurs de production : prêt-à-porter, cuir et chaussures, rideaux et ameublement, cadeaux et parfumerie, industries alimentaires et bureautiques.

Cette édition se distingue, comme les précédentes, par une forte présence de l’artisanat traditionnel. L’Office National De l’artisanat Tunisien (ONAT) a veillé à assurer une participation active des artisans à cette manifestation commerciale majeure, selon le délégué régional de l’artisanat à Gabès, Makram Aydi.

Dans une déclaration à l’Agence TAP, Aydi a précisé qu’un espace de 300 m² a été réservé à l’artisanat traditionnel au sein de la foire. Il accueille 40 artisans et artisanes issus des gouvernorats de Gabès, Kébili, Tozeur, Gafsa, Médenine, Tataouine et Sfax.

Les métiers traditionnels représentés, sont ceux des fibres végétales, du tissage, de la distillation de plantes médicinales et de fleurs, du bois d’olivier, des habits traditionnels et de la bijouterie.

Il a ajouté que l’objectif de l’ONAT, à travers cette participation, est de soutenir les artisans dans la promotion et la commercialisation de leurs produits à plus grande échelle, en profitant de l’affluence considérable de visiteurs, tant locaux que venus d’autres régions.

Il a enfin précisé que les artisans présents ont été retenus par une commission régionale spécialement mise en place pour l’occasion, sur la base de critères tels que la qualité des produits, l’innovation dans le savoir-faire artisanal et leur intégration au sein du secteur formel.

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Qui sont les pays les plus compétitifs en 2025 ? La Tunisie brille par son absence

28. Juni 2025 um 09:00

Compétitivité 2025Bizarrement, la Tunisie, qui s’est toujours souciée d’améliorer son attractivité en tant que site de production internationale et de participer, à cette fin, aux classements internationaux pour s’informer de son positionnement mondial, ne figure pas, cette année, dans le classement de la compétitivité mondiale 2025.

Un classement de référence internationale

Ce rapport, publié par l’IMD Business School (IMD World Competitiveness Center), institut universitaire suisse indépendant, a étudié, en 2025, le degré de développement de la compétitivité dans 69 pays.

Sur le plan de la méthodologie, ce classement est établi sur la base de quatre principaux critères :

  • la stabilité macroéconomique,
  • la digitalisation des services publics,
  • le soutien à l’entrepreneuriat et
  • l’investissement dans l’éducation et la formation professionnelle, et son corollaire, l’émergence d’une main-d’œuvre qualifiée, capable de répondre aux exigences des marchés mondiaux.

Concrètement, les données statistiques comprennent 170 indicateurs provenant des institutions internationales, régionales et nationales comme la croissance du PIB, le volume des exportations, le taux d’alphabétisation, le climat des affaires, les infrastructures technologiques, la situation des finances publiques et le degré de développement des infrastructures technologiques.

« L’absence de la Tunisie dans le classement IMD 2025 soulève une question cruciale : comment un pays historiquement engagé dans l’amélioration de sa compétitivité peut-il se retrouver hors radar cette année ? »

 

Ces données statistiques pèsent deux tiers dans le score global de chaque pays. Les perceptions des dirigeants d’entreprise sont tirées d’une enquête en ligne portant sur 92 indicateurs de compétitivité liés à des aspects difficiles à quantifier comme la fraude, la corruption, la politique fiscale ou encore la disponibilité de la main-d’œuvre qualifiée.

Une vision élargie de la compétitivité

Ses analyses ont pour spécificité de ne pas se limiter à la dimension économique pour évaluer la compétitivité d’un pays. Elles intègrent les dimensions politique, sociale et culturelle, en partant du principe que les économies qui allient force institutionnelle et développement inclusif sont en mesure de mieux résister aux chocs externes.

« La compétitivité ne se résume plus à des chiffres économiques : elle s’évalue aussi à l’aune de la qualité des institutions, de l’inclusion sociale et du cadre politique global. »

 

En plus clair encore, selon l’IMD : « La compétitivité d’une économie est synonyme de qualité de vie. Elle ne peut pas être réduite à son PIB, à sa productivité ou à son niveau d’emploi ; elle ne peut être mesurée qu’en considérant une matrice complexe de dimensions politiques, sociales et culturelles. »

Les champions régionaux et mondiaux

Au niveau nord-africain, seul le Maroc a participé à ce classement. Il a été classé 55ᵉ à l’échelle mondiale, 1er en Afrique et 6ᵉ dans le monde arabe.

Dans le monde arabe, seuls six pays figurent dans ce classement :

  • Émirats arabes unis (5ᵉ),
  • Qatar (9ᵉ),
  • Arabie saoudite (17ᵉ),
  • Bahreïn (22ᵉ),
  • Koweït (36ᵉ),
  • Jordanie (47ᵉ).

Au niveau africain, six pays figurent parmi les sites les plus compétitifs dans le monde. Il s’agit dans l’ordre :

  • Kenya (56ᵉ),
  • Botswana (59ᵉ),
  • Ghana (61ᵉ),
  • Afrique du Sud (64ᵉ),
  • Nigeria (67ᵉ) et
  • Namibie (68ᵉ).

Dans le reste du monde, le classement montre que la :

  • Suisse (1ʳᵉ),
  • Singapour (2ᵉ),
  • Hong Kong (3ᵉ),
  • le Danemark (4ᵉ) sont les économies les plus compétitives du monde.

Les États-Unis, première puissance économique mondiale, occupent le 13ᵉ rang sur les 69 économies étudiées, tandis que la Chine, deuxième puissance économique, arrive à la 16ᵉ position.

Un environnement mondial de plus en plus complexe

Et pour ne rien oublier cette déclaration d’Arturo Bris, directeur du Centre mondial de la compétitivité de l’Institut international pour le développement du management (IMD). Il estime que “dans le contexte mondial actuel, il devient plus difficile d’être compétitif dans un système qui restreint le commerce mondial. La guerre tarifaire en est la principale illustration“, a-t-il dit.

« Dans un monde de plus en plus fragmenté et marqué par des tensions commerciales, seules les économies dotées de politiques bien structurées et d’institutions solides peuvent préserver leur prospérité. »

 

Bris a également souligné que, « face à la fragmentation sociopolitique mondiale, la prospérité économique peut être préservée grâce à une gouvernance efficace et à la solidité des institutions ».

Nous avons besoin de réglementations et de politiques gouvernementales bien structurées et bien établies. C’est l’élément le plus important du classement de cette année“, a-t-il relevé.

Abou SARRA

Indicateurs clés

  • 69 pays étudiés dans le classement mondial de l’IMD 2025
  • 170 indicateurs statistiques + 92 indicateurs qualitatifs
  • Le Maroc : 55e mondial, 1er africain
  • La Suisse, Singapour et Hong Kong : top 3 mondial
  • Les États-Unis : 13e, la Chine : 16e

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Bizerte : des mesures pour accélérer les projets d’assainissement autour du lac

Von: walid
27. Juni 2025 um 23:36

La Commission régionale chargée d’accélérer la mise en œuvre des projets de développement public à Bizerte a entériné, lors de sa réunion périodique tenue, vendredi, au siège du gouvernorat, une série de mesures opérationnelles destinées à lever les blocages techniques entravant plusieurs projets sectoriels dans le domaine de l’assainissement.

Présidant la séance, le gouverneur de Bizerte et président du Conseil régional de développement, Salem Ben Yaâcoub, a insisté sur la nécessité d’achever, dans les délais impartis et sans nouvelles entraves, le projet d’extension des réseaux d’assainissement dans les zones urbaines et rurales bordant le lac de Bizerte.

Inscrit dans le cadre du programme intégré de dépollution de cette zone, ce projet comprend notamment l’extension des réseaux de collecte des eaux usées dans les villes de Menzel Bourguiba, Tinja et Mateur, au profit d’environ un millier de bénéficiaires, pour un coût global estimé à 16 millions de dinars.

À cet égard, le gouverneur a exhorté l’ensemble des acteurs locaux, techniques et municipaux à prendre toutes les dispositions nécessaires pour soutenir les entreprises chargées des travaux et à favoriser l’adhésion de la communauté locale, afin de garantir l’intégration harmonieuse du projet dans son environnement.

Il a également rappelé l’importance des réunions hebdomadaires de la Commission régionale, tenues chaque vendredi, en soulignant leur rôle essentiel pour lever les blocages administratifs et techniques qui freinent l’exécution des programmes de l’État.

Dans ce cadre, la Commission a examiné les obstacles retardant la validation de l’étude d’impact environnemental du projet de station d’épuration de la zone industrielle d’Utique (27 millions de dinars) ainsi que les démarches foncières pour l’implantation d’une station similaire à Sejnane (plus de 17 millions de dinars).

Présidée par le gouverneur, la Commission réunit représentants de l’État, des administrations régionales et des secteurs concernés, conformément au décret n°68/2022 et aux dispositions gouvernementales encadrant la Commission supérieure pour l’accélération des projets publics. Elle a pour mission d’identifier les freins, de proposer des solutions concrètes et de suivre sur le terrain l’avancement des chantiers stratégiques.

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Gestern — 27. Juni 2025Webmanagercenter

Dr Kgothatso Motumi : L’Afrique affiche les taux de mortalité, par cancer du sein, les plus élevés au monde

27. Juni 2025 um 17:07

Le Conseil africain du cancer du sein (ABCC), créé en 2024, œuvre en faveur des objectifs de l’OMS.

Il élabore et défend des politiques concrètes et évolutives qui améliorent la lutte contre le cancer du sein. En se connectant et en réunissant des dirigeant.e.s, des décideurs politiques et des expert.e.s du continent, le Conseil soutient les efforts des gouvernements pour faire du cancer du sein une priorité nationale de santé et s’efforce de soutenir la collaboration entre les parties prenantes.

Dr Kgothatso Motumi, Coprésidente de ce Conseil africain et directrice générale de Roche Products, expose ici la situation alarmante en Afrique et les perspectives de la lutte.

D’après l’analyse scientifique des données actuelles, quelles sont les principales causes du cancer du sein dans le monde ?

Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent dans le monde. Il est la principale cause de décès par cancer chez les femmes, touchant de manière disproportionnée les pays à revenu faible et intermédiaire. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), certains facteurs augmentent le risque de cancer du sein, notamment l’âge avancé, l’obésité, la consommation nocive d’alcool, les antécédents familiaux, l’exposition aux radiations, le tabagisme et les aspects reproductifs (comme l’âge du début des règles et l’âge de la première grossesse). Environ la moitié des cancers du sein se développent chez des femmes qui ne présentent aucun facteur de risque identifiable autre que le sexe (féminin) et l’âge (plus de 40 ans).

Pourquoi l’Afrique enregistre-t-elle des taux élevés de cancer du sein ?

L’Afrique détient le taux le plus élevé du cancer de sein dans le monde. En Afrique Subsaharienne, par exemple, l’incidence a augmenté de 247% entre 1990 et 2019. D’ici 2045, l’OMS prévoit que le nombre de cas doublera dans cette région pour atteindre 400 000. Cette tendance est due à l’augmentation de l’espérance de vie sur le continent, combinée à des changements de mode de vie, dont nous citons cinq facteurs principaux de risques : le tabagisme, la consommation d’alcool, un poids corporel élevé, une glycémie élevée et le manque d’exercice physique.

Comment expliquez-vous les faibles taux de survie des patientes en Afrique ?

 Le continent africain affiche aussi les taux de mortalité par cancer du sein les plus élevés au monde : seulement 50 % des femmes devraient survivre cinq ans après le diagnostic, contre 90% dans les pays à revenu élevé. Ces faibles taux de survie sont dus à un diagnostic tardif : 77 % des femmes ne sont diagnostiquées qu’au stade 3 ou 4 de la maladie, alors que le traitement est beaucoup plus difficile. Les systèmes de santé africains doivent investir davantage pour offrir à toutes les femmes une prise en charge complète du cancer du sein qui permettra d’enrayer cette hausse des taux. Nous devons mettre en place des programmes de sensibilisation de grande envergure pour apprendre aux femmes à identifier les symptômes du cancer du sein et à prendre les mesures nécessaires. Ensuite, nous devons bien sûr garantir l’accès à des soins de meilleure qualité là où elles se trouvent, afin qu’elles puissent être diagnostiquées rapidement et orientées vers les traitements appropriés. Les pays africains doivent donner la priorité au renforcement du personnel de santé spécialisé dans la cancérologie et au développement des infrastructures pour offrir les soins que toutes les femmes méritent.

Pourquoi le Conseil africain du cancer du sein a-t-il été créé ?

Le Conseil africain du cancer du sein Africa Breast Cancer Council a été créé l’année dernière (2024) en réponse à cette tendance alarmante et à l’aggravation des taux de mortalité due au cancer du sein. Ce Conseil rassemble des femmes africaines de premier plan – notamment des économistes, des professionnelles de la santé, des oncologues, des Premières dames et d’anciennes ministres – qui s’engagent à faire progresser la prise en charge du cancer du sein en Afrique. S’appuyant sur l’expérience et les connaissances de ses membres, le Conseil partage des données probantes avec les gouvernements africains et plaide en faveur de changements systémiques susceptibles d’accroître les taux de survie des femmes.

Quelles sont les principales initiatives de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et du Conseil africain du cancer du sein (ABCC) pour lutter contre le phénomène actuel des infections par le cancer du sein ?

L’Organisation mondiale de la Santé a lancé son Initiative mondiale contre le cancer du sein en 2021, qui a défini trois piliers pour la lutte ainsi que des objectifs régionaux à atteindre par les pays d’ici 2040.

Ces objectifs sont axés sur :

  • Le dépistage précoce : augmenter la proportion de cancers du sein détectés aux stades précoces (I et II) de 30% à 60%.
  • L’accélération du diagnostic : réduire le délai moyen entre la reconnaissance des symptômes et le traitement de 183 jours à 60 jours.
  • L’amélioration des résultats thérapeutiques : améliorer les taux de survie afin que huit femmes sur dix diagnostiquées avec un cancer du sein survivent, contre cinq sur dix actuellement.

Le Conseil africain du cancer du sein (ABCC) œuvre en faveur des objectifs de l’OMS en élaborant et en défendant des politiques concrètes et évolutives qui améliorent les résultats de lutte. En se connectant et en réunissant des dirigeant.e.s, des décideurs politiques et des expert.e.s, le Conseil soutient les efforts des gouvernements pour faire du cancer du sein une priorité nationale de santé et s’efforce de soutenir la collaboration entre les différentes parties prenantes.

Comment le Conseil africain du cancer du sein compte-t-il collaborer avec les institutions de santé publique des pays africains pour lutter contre le cancer du sein ?

Un aspect essentiel du travail du Conseil africain du cancer du sein consiste à réunir des acteurs des secteurs public et privé. Notre rôle n’est pas de mettre en œuvre la lutte, mais de servir de canal de collecte et de partage d’idées et de données probantes sur les solutions efficaces sur le continent. Les institutions de santé publique ont un rôle essentiel à jouer dans ces discussions, et les partenariats public-privé s’avèrent précieux dans de nombreux pays africains, où ils ont permis la création de centres de cancérologie plus spécialisés.

Comment le Conseil travaille-t-il pour développer et promouvoir des initiatives visant à atteindre les objectifs fixés ?

Le Conseil (ABCC) s’efforce d’identifier et de mettre en lumière les lacunes critiques que les pays africains doivent combler pour accélérer le diagnostic et le traitement efficace du cancer du sein, en sensibilisant à cette maladie en tant que priorité nationale de santé. Nous œuvrons à favoriser le dialogue politique et à soutenir les changements de politiques dans les pays prioritaires, en mettant l’accent sur le financement public et l’allocation de ressources pour l’éducation, le traitement et les soins liés au cancer du sein. Nous plaidons également en faveur des ressources nécessaires pour améliorer l’accès aux soins et explorer des solutions innovantes pour la lutte, en mettant l’accent sur la création de partenariats stratégiques et en facilitant la collaboration entre les secteurs public et privé.

Qui sont les personnes et les partenaires clés du Conseil africain du cancer du sein ?

Je suis très fière de coprésider un groupe de femmes pionnières venues de tout le continent africain. Au Ghana, nous accueillons Dr Verna Vanderpuye, consultante principale au Centre national ghanéen de radiothérapie, d’oncologie et de médecine nucléaire. Verna a reçu le Prix international de mentorat « Femmes qui conquièrent le cancer » en 2019 et est également trésorière de l’Organisation africaine pour la recherche et le traitement du cancer. Parmi nos autres membres ouest-africains, on compte, du Nigéria, S.E. Dr Zainab Shinkafi-Bagudu, présidente de l’Initiative des Premières dames contre le cancer et présidente élue de l’Union internationale contre le cancer (UICC). De Guinée-Bissau, nous accueillons Dr Magda Robalo, ancienne ministre de la Santé, actuellement présidente et cofondatrice de l’Institut pour la santé mondiale et le développement.

Le Conseil bénéficie aussi du soutien de Roche. Pour plus d’informations, visitez le site : https://africa.roche.com/stories/africa-breast-cancer-council.

La dernière conférence du Conseil africain du cancer du sein à Kigali en mars 2025 a été un succès. Comment de tels événements peuvent rassembler les meilleur.e.s expert.e.s pour trouver des solutions au problème en Afrique ?

L’événement que nous avons organisé à Kigali (Rwanda), en mars 2025, portait sur le thème « Combler les disparités : faire progresser la prise en charge du cancer du sein chez les femmes africaines ». Il s’est tenu dans le cadre de la Conférence internationale de l’Agenda africain pour la santé, un important rassemblement biennal de leaders de la santé. Nous avons eu le plaisir d’accueillir des ministres et de hauts fonctionnaires de plusieurs pays africains qui ont échangé des idées, des témoignages et des expériences réussies. Nous avons aussi l’intention d’organiser davantage d’événements de ce type en partageant des preuves d’impact et en amplifiant les exemples de réussite.

Quelles sont les principales attentes du Conseil africain en matière de prévention et de prise en charge du cancer du sein au cours de la prochaine décennie ?

Les membres du Conseil africain du cancer du sein sont animé.e.s par une vision commune : un avenir où chaque femme africaine aura accès à des soins rapides, équitables et vitaux. Dans un premier temps, nous intervenons dans dix pays identifiés comme étant à l’origine de progrès transformateurs dans la prise en charge du cancer du sein et inspirant des actions sur tout le continent. Ces pays prioritaires sont : l’Algérie, la Côte d’Ivoire, l’Égypte, le Ghana, le Kenya, le Maroc, le Nigéria, le Rwanda, l’Afrique du Sud et la Tunisie. Le Conseil ne met pas en œuvre ni ne finance les soins contre le cancer. Mais en nous réunissant, en nous connectant, en recueillant des informations et en les partageant, nous offrons des orientations politiques pour soutenir les gouvernements dans leur démarche visant à transformer la prise en charge du cancer du sein pour les femmes. En travaillant à la réalisation des objectifs de l’OMS, nous sommes convaincus que le Conseil peut impulser des changements politiques significatifs et coordonnés, alignés sur les objectifs régionaux existants.

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Bourse de Tunis : le Tunindex bondit de 2,5% et franchit les 11 500 points

27. Juni 2025 um 16:58

L’optimisme a ressaisi de nouveau le marché actions tunisien. Le Tunindex s’est hissé de 2,5 % à 11 575,02 points, affichant une performance positive de 16,3% depuis le début de l’année 2025.

Sur le front des échanges, le volume total échangé sur la semaine du 23 au 27 juin courant, écourtée a été soutenu totalisant une enveloppe de 46,9 MD, soit un volume quotidien moyen de 11,7 MD.

Les échanges ont été alimentés par la réalisation de 6 transactions de bloc, dont quatre d’une valeur totale de 7,5 MD portant sur le titre POULINA GROUP HOLDING et deux d’une valeur de 5,6 MD portant sur le titre SMART TUNISIE.

Analyse des valeurs

Le titre NEW BODY LINE s’est retrouvé en haut du palmarès. L’action du spécialiste en vêtements intelligents a affiché la meilleure performance de la semaine, se hissant de +16,5 % à 4,510 D , dans un modeste volume de 112 mille dinars. Le titre STA a figuré parmi les plus grands gagnants de la semaine. L’action du concessionnaire de la marque chinoise “Chery” a gagné 10 % à 24,800 D , en amassant un volume de 835 mille dinars sur l’ensemble de la semaine.

Le titre SOMOCER s’est retrouvé en lanterne rouge du marché. Le titre du spécialiste en céramiques a reculé de –7,8 % à 0,470 D, dans un volume quasi-nul.

PGH a été le titre le plus dynamique de la semaine, drainant un volume dépassant les 9 MD sur la cote, soit 19,3 % du volume échangé sur le marché. Le titre de l’industriel s’est effrité de 1,3 % à 15,250 D.

Les nouvelles du marché

Admission de la société BNA ASSURANCES
Lors de sa réunion du 24 juin 2025, le Conseil d’Administration de la Bourse a donné son accord de principe pour l’admission au Marché Principal de la Cote de la Bourse des 87 391 790 actions constituant le capital actuel de la société BNA ASSURANCES, de nominal un dinar chacune.

BNA Assurances sera introduite en Bourse au moyen d’une procédure d’inscription directe à la cote. Il reste entendu que l’admission définitive sera tributaire de la mise à disposition du public d’un prospectus d’admission visé par le Conseil du Marché Financier.

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Horaires d’été 2025 : ce qui change dans les services publics tunisiens dès le 1er juillet

27. Juni 2025 um 16:50

La présidence du gouvernement a annoncé, dans un communiqué publié, vendredi, que les horaires d’été dans les administrations publiques, les collectivités locales et les établissements publics à caractère administratif seront appliqués du 1er juillet au 31 août 2025 comme suit :

-Du lundi à jeudi: de 8h00 à 14h30

-Le vendredi: de 8h00 à 13h30

HC

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Bac 2025: 155 bourses et places pour les lauréats dans le cadre de la session d’excellence

27. Juni 2025 um 16:43

Le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a annoncé vendredi, l’octroi de 18 bourses d’étude dans les universités françaises, 17 bourses dans les universités Allemandes et 120 places à l’institut préparatoire des études scientifiques et technologiques (IPEST) pour la session de l’excellence au baccalauréat 2025, selon la circulaire numéro 39 de l’année 2025.

Les bacheliers de la section Maths, sciences expérimentales, économie et gestion, sciences techniques et sciences de l’informatique ayant obtenu une moyenne égale ou supérieure à 16 peuvent postuler à cette session de l’excellence , ainsi que les bacheliers ayant obtenu une moyenne égale ou supérieure à 14 dans la section lettres.

Les lauréats au Baccalauréat doivent remplir le formulaire de choix en ligne via le site www.orientation.tn en utilisant le mot de passe à partir du 3 juillet. Les résultats seront annoncés le 8 juillet 2025 sur le même site ou par SMS.

Le ministère de l’enseignement supérieur a souligné que les bacheliers doivent assister aux réunions d’information organisées par le ministère, le 10, 11 et 14 juillet 2025 à l’IPEST selon les spécialités.

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Industrie électronique : le géant japonais IIDA Electronics en prospection en Tunisie

27. Juni 2025 um 16:39

Une délégation de l’entreprise japonaise IIDA Electronics, leader asiatique dans le secteur des services de production électronique, qui a récemment effectué une visite de prospection en Tunisie, a affirmé qu’elle est entrain d’étudier la possibilité d’investissement dans un site de production et de prospecter d’éventuels partenariats avec des acteurs en industrie électronique basés dans le pays.

Cette délégation composée de Takahiro Yamazaki et Astushi Moriyama respectivement Président et Directeur Général de IIDA Electronics, a été accueillie, le jeudi 19 juin 2025, au siège de la FIPA par le directeur général de l’agence, Jalel Tebib.

Les discussions ont porté, d’après un communiqué de la FIPA-Tunisia, sur les atouts et opportunités existants dans le secteur électrique et électroniques en Tunisie.

Tebib a, à cette occasion, mis l’accent sur l’aspect stratégique du secteur en termes de valeur ajoutée et de capacité d’emploi.

Il a rappelé également l’importance et la qualité des investissements japonais en Tunisie, tout en réaffirmant l’engagement de FIPA-Tunisia ainsi que les différentes structures d’appui à accompagner les investisseurs étrangers et les appuyer à mener à bien leurs projets d’investissement en Tunisie.

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Tunisie : seulement 13,88 % des crédits des banques publiques destinés aux secteurs du bien public

27. Juni 2025 um 16:19

Le taux de financement des banques publiques destine aux secteurs du bien public, dont l’agriculture, l’habitat et les secteurs stratégiques, ne dépasse pas 13,88% du total de leurs crédits octroyés.

Ainsi l’encours de ces crédits est estimé à 5859,3 millions de dinars (MD), contre un total de crédits de 42207,7 MD, selon des indicateurs d’activité de ces banques au titre de l’année 2024, publiés sur le site du Conseil du marché financier (CMF).

Ces indicateurs des banques publiques, à savoir la Banque nationale agricole (BNA), la BH Bank et la Société tunisienne de banque (STB Bank ) montrent des faibles quotas consacrés de leurs financements au bien public et aux secteurs stratégiques.

Ainsi, l’encours des crédits agricoles accordés par la BNA ne dépasse pas 1168 millions de dinars (MD), soit l’équivalent de 7,19% du total des crédits, alors que l’encours des crédits de l’habitat accordés aux familles et aux individus par la BH ne dépasse pas 1938 MD, soit l’équivalent d’un faible quota limité à 13,66 % du total des crédits de la banque.

La contribution de la Société Tunisienne de Banque (STB Bank) qui finance des entreprises publiques stratégiques, notamment l’Office des céréales et l’Office du Commerce de la Tunisie (OCT), au financement des services publics ne dépasse pas 23,39 %.

Concernant les priorités des banques publiques, les données démontrent que la Banque Nationale Agricole (BNA BANK) alloue des prêts commerciaux et industriels, tandis que la BH Bank finance les activités liées aux services et la STB Bank finance le tourisme et la consommation.

Les institutions publiques œuvrent à booster l’investissement public par l’intermédiaire de leurs bras financiers, représentés par les banques publiques. Cependant, les efforts de ces institutions publiques dans le soutien des services publics, demeurent limités à 5859,3 millions de dinars, à fin 2024.

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Béja : création d’une nouvelle société communautaire en agriculture biologique

27. Juni 2025 um 16:13

Une nouvelle société communautaire spécialisée en agriculture biologique à Amdoun (gouvernorat de Béja) vient d’être créée. Dotée d’un capital de 10 mille dinars, elle comprend 50 acteurs de divers horizons professionnels.

La société vise à promouvoir les exportations tunisiennes en matière de produits agricoles biologiques et d’apiculture, a indiqué sa présidente Hajer Melki, à l’Agence TAP.

Elle a ajouté que les différentes activités agricoles du projet seront réalisées sur un terrain agricole d’une superficie de 200 ha.

La région compte désormais environ 30 sociétés communautaires.

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Attention aux arnaques : le ministère de l’Enseignement supérieur publie la liste des bureaux agréés

27. Juni 2025 um 15:57

Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a mis en garde, ce vendredi, tous les étudiants souhaitant poursuivre leurs études à l’étranger contre le recours aux bureaux d’intermédiation illégaux.

Dans ce contexte, le ministère a publié, dans un communiqué sur son site officiel, une liste exclusive contenant les noms des cabinets d’intermédiation autorisés par le ministère de l’Enseignement supérieur, en précisant que cette liste est accessible au public sur son site officiel : www.mes.tn.

Cette liste exclusive comprend 26 bureaux répartis sur les gouvernorats de Tunis, l’Ariana, Sousse, Sfax, Nabeul et Mahdia, selon le ministère de l’Enseignement.

Le ministère a également appelé toutes les personnes souhaitant poursuivre leurs études à l’étranger, dans toutes les spécialités, ainsi que leurs parents, à consulter impérativement la rubrique « équivalences » du site officiel du ministère pour prendre connaissance du contenu de l’arrêté ministériel daté du 10 octobre 2023, fixant les critères sur la base desquels l’équivalence est accordée aux diplômes et titres.

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Tunisie – Gaza : trois poètes tunisiens dans la mobilisation du Mouvement Poétique Mondial pour la paix

27. Juni 2025 um 15:42

“Ecrire et lire des poèmes ne suffira pas à éteindre la guerre à Gaza ni à empêcher l’extermination du peuple palestinien. Mais cela s’inscrit dans la trame d’une révolution poétique mondiale, destinée à secouer l’esprit confus de notre espèce et à la ramener vers les grands idéaux oubliés de l’Humanité… Et si les peuples du monde sont convaincus qu’ils continueront à défendre l’esprit humain et à poursuivre le rêve de vivre en paix, il est tout aussi vrai que la poésie, voix de l’Humanité, incarne ce rêve”.

Ce sont quelques extraits de la Déclaration du comité de coordination du Mouvement Poétique Mondial (World Poetry Movement WPM), dans le cadre de l’appel lancé aux poètes du monde entier pour une vaste mobilisation poétique “Le Chant d’amour du monde pour Gaza”.

Prévue les 28 et 29 juin 2025, cette action en ligne rassemblera 170 poètes issus de 110 pays, dont la Tunisie, pour une série de lectures poétiques des quatre coins du monde. Cette initiative du WPM, présidé par le poète, journaliste et éditeur colombien Fernando Rendón, se veut d’une ampleur sans précédent, tant par sa portée organisationnelle que par son impact symbolique et humain.

Trois poètes pour représenter la Tunisie

Dans cet élan poétique de solidarité, l’événement prend forme grâce à l’engagement de 76 coordinateurs mobilisés aux quatre coins du monde. Contacté par l’agence TAP, Radhouane Ajroudi, coordinateur du WPM en Tunisie, a précisé que trois poètes ont été choisis par le Mouvement poétique mondial pour représenter chaque pays. Pour la Tunisie, il s’agit de Ahmed Zaabar, poète vivant à Londres, de la poétesse Faten Guemri et du poète Radhouane Ajroudi.

Les lectures, enregistrées sous forme de vidéos sous-titrées en anglais et en espagnol, seront diffusées en ligne à partir du 28 juin à 14h00 GMT depuis Medellín (Colombie), via les réseaux sociaux du mouvement, notamment Facebook et YouTube. Par ailleurs, une quinzaine de poètes de Tunisie, d’Algérie, du Maroc, du Moyen-Orient et du monde arabe participeront à une action nationale en Tunisie, dans le prolongement d’une première initiative organisée en mai dernier baptisée “Toute la poésie du monde avec Gaza”, diffusée notamment sur la page du WPM-Tunisia.

Le Mouvement mondial de la poésie se définit comme une coordination internationale rassemblant plus de 2 150 membres, 187 festivals et 118 associations partenaires. Son siège se trouve à Medellín, en Colombie, qui s’apprête à vivre du 5 au 12 juillet 2025 au rythme de la 35ème édition du Festival international de poésie de Medellín, où de nombreux prix seront remis dont le prix “Mahmoud Darwish”.

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Tunisie : vers une révision du décret-loi 54 sur la cybercriminalité, la commission législative entame l’examen

27. Juni 2025 um 15:24

La Commission de la législation générale à l’Assemblée des représentants du peuple entamera, mercredi 2 juillet, l’examen d’une proposition de loi portant révision du décret-loi n°54 relatif à la lutte contre les infractions liées aux systèmes d’information et de communication. Dans une déclaration à l’Agence TAP ce vendredi, Yassine Kourrari, président de ladite commission, a indiqué que la première séance sera consacrée à l’audition de l’instance à l’origine de cette proposition.

Il a ajouté que le bureau de la commission fixera, en concertation avec ses membres, la suite du calendrier des auditions.

Il a affirmé que la commission s’emploie à transmettre la proposition au bureau du Parlement dans les plus brefs délais.

Il a également précisé que les travaux de la commission se poursuivront pendant les vacances parlementaires, conformément au règlement intérieur, si le dépôt n’est pas possible avant cette période.

Kourrari a souligné que la commission s’engage à transmettre ses rapports relatifs à la révision du décret-loi 54, ainsi que ceux concernant les autres projets et propositions de loi à l’étude, au bureau de l’ARP avant l’ouverture de la prochaine session parlementaire, dans tous les cas.

Le bureau de l’Assemblée avait décidé, lors de sa réunion du 11 avril dernier, de transmettre la proposition de révision du décret-loi n°54 à la Commission de la législation générale.

Cette proposition avait initialement été déposée le 20 février 2024 par plusieurs députés, mais n’avait pas été transmise aux commissions compétentes.

Ce retard a conduit 60 députés à présenter, en janvier dernier, une nouvelle demande en ce sens, avec une requête d’examen en urgence.

Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), appuyé par des composantes de la société civile, a multiplié les actions appelant à l’arrêt des poursuites judiciaires contre les journalistes et professionnels des médias sur la base du décret-loi 54.

Il plaide pour l’application du décret-loi 115 dans le traitement des affaires relatives à la profession.

Lors de son assemblée générale ordinaire tenue le 23 février 2025, le SNJT a adopté une motion appelant à intensifier les pressions pour la libération des journalistes incarcérés et la cessation des poursuites à l’encontre de ceux poursuivis sur la base du décret 54.

La Cour de cassation de Tunis a rendu, le 3 février 2025, une décision stipulant que les médias ne sont pas concernés par les dispositions du décret-loi 54.

Elle a annulé le renvoi de l’avocate et chroniqueuse Sonia Dahmani devant la chambre criminelle dans une affaire relative à ses critiques envers des fonctionnaires publics, estimant que le champ d’application du décret-loi 54 ne saurait inclure les médias, lesquels sont soumis au décret-loi 115.

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Tunisie : intensification du contrôle des véhicules administratifs durant l’été 2025

27. Juni 2025 um 14:17

Les opérations de contrôle des véhicules administratifs seront intensifiées, au cours de la saison estivale, pour lutter contre les abus et assurer une bonne utilisation de ces voitures de service, a affirmé le Ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires Foncières, Wajdi Hedhili

Intervenant lors d’une séance de dialogue du conseil national des régions et des districts, tenue, vendredi, Hedhili a ajouté que « son département n’a pas épargné aucun effort pour préserver les biens de l’État et rationaliser leur gestion, notamment en généralisant le système GPS pour optimiser la gestion des véhicules administratifs et des carburants, et ce, en renforçant, parallèlement, les équipes de contrôle sur le terrain en coordination avec les autorités régionales”.

Et de poursuivre que trois équipes de contrôle des véhicules administratifs, créées récemment dans les gouvernorats de Sidi Bouzid, Kasserine et Kairouan, en vertu, de décisions du Ministre des Domaines de l’État et des Affaires Foncières, ont entamé leurs activités depuis mai 2025.

Hedhili a fait savoir que 187 procès-verbaux ont été enregistrés, au cours des cinq premiers mois de 2025, après la réalisation de 288 opérations de contrôle de 8 410 véhicules administratifs.

Il a rappelé qu’en 2024, 23 900 véhicules administratifs ont été contrôlées et 784 infractions ont été relevées après avoir effectué 875 opérations de contrôle.

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