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Heute — 20. November 2025Haupt-Feeds

Génération Z, IA et pratiques RH : les nouveaux repères des entreprises

Von: hechmi
20. November 2025 um 20:19

IA DRHLes entreprises ajustent leurs pratiques face aux attentes de la Génération Z. Cette génération demande plus de transparence, des processus rapides et une forte digitalisation. Les directions RH identifient le recrutement comme leur premier défi. Elles doivent accélérer les échanges, clarifier les étapes et renforcer la cohérence entre discours et réalité interne. Les outils numériques deviennent centraux, mais la demande d’interaction humaine reste élevée.

Management et intégration en mutation

Les organisations revoient leurs méthodes d’intégration pour répondre aux valeurs portées par les jeunes actifs. La Génération Z recherche flexibilité, sens et équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Les entreprises adaptent leurs pratiques pour mieux accompagner ces attentes. Les dispositifs de mentorat apparaissent comme un levier pour rapprocher les différentes générations et fluidifier la transmission des codes internes.

Influence croissante des plateformes numériques

Les comportements professionnels évoluent sous l’influence de plateformes comme Twitch et d’autres réseaux sociaux. Ces espaces structurent de nouveaux modes d’expression et impactent la motivation des jeunes talents. Les entreprises analysent ces tendances pour comprendre les codes culturels qui façonnent leur rapport au travail. Elles ouvrent des espaces de dialogue pour mieux saisir ces usages et ajuster leurs pratiques managériales.

IA et transformation des processus RH

L’intelligence artificielle s’impose comme un outil stratégique pour optimiser le sourcing, l’évaluation et la gestion des talents. Les directions RH identifient des gains de temps sur des tâches comme le tri des CV ou le matching de compétences. Elles restent toutefois vigilantes face au risque de déshumanisation si l’usage de ces technologies n’est pas encadré. Les entreprises introduisent des chartes éthiques et renforcent les formations internes pour garantir une intégration responsable de l’IA.

Recommandations adressées aux DRH

Les DRH sont invités à repenser leurs méthodes de recrutement en combinant automatisation et contact humain. Ils développent également des programmes de mentorat intergénérationnels et valorisent l’apprentissage continu. Les équipes RH se forment aux outils d’IA pour en assurer une utilisation éclairée. Les organisations surveillent par ailleurs les tendances numériques afin d’ajuster leur culture interne et dialoguer avec les jeunes salariés.

Axes stratégiques et calendrier de mise en œuvre

Les priorités évoluent selon un calendrier progressif. À court terme, entre 2025 et 2026, les organisations digitalisent le recrutement, instaurent des chartes d’usage de l’IA et renforcent la marque employeur. À moyen terme, entre 2027 et 2028, elles déploient des parcours de carrière hybrides, mêlant présentiel et distanciel, et introduisent des outils IA prédictifs pour la mobilité interne. À l’horizon 2030, elles ambitionnent de devenir des acteurs de la gouvernance RH augmentée, fondée sur un modèle inclusif et intergénérationnel.

EN BREF

La Génération Z demande plus de transparence et de rapidité dans le recrutement.
Les entreprises adaptent leur management pour répondre à des attentes centrées sur la flexibilité et le sens.
Les plateformes numériques influencent les comportements professionnels des jeunes talents.
L’IA optimise les processus RH, mais nécessite un cadre éthique pour éviter la déshumanisation.
Les DRH combinent automatisation, mentorat et formation pour accompagner cette transition.
• Les étapes clés s’étalent entre 2025 et 2030, avec un objectif final de gouvernance RH augmentée.

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Financements étrangers des associations : 5 signaux d’alerte relevés par la Cour des comptes

Von: hechmi
20. November 2025 um 12:11

JugeLa première présidente adjointe de la Cour des comptes, Fadhila Gargouri, a révélé que de nombreuses associations ont bénéficié de financements étrangers importants. Elle a précisé que l’État ne dispose pas d’un système d’information complet pour connaître le volume réel de ces fonds. Elle a appelé à une révision du cadre juridique régissant les associations afin d’assurer un suivi et un contrôle effectif de leurs activités.

Un appel à renforcer le contrôle

Selon elle, les enquêtes de la Cour montrent l’absence d’outils de recensement centralisé, empêchant une visibilité précise sur les ressources externes. Elle estime nécessaire d’adapter les règles pour garantir la transparence et prévenir les risques liés à l’utilisation de ces financements.

Les députés interrogent la portée des rapports

Lors de la séance conjointe entre les deux chambres du Parlement consacrée à la mission de la Cour des comptes dans le cadre du projet de loi de finances 2026, plusieurs députés ont demandé des éclaircissements sur le devenir des audits visant certaines associations et partis. Ils ont souligné le manque de caractère contraignant des rapports, ce qui favoriserait, selon eux, la répétition des dépassements.

Un rappel sur l’intégrité et le cadre légal

Gargouri a réaffirmé l’intégrité des juges, agents et greffiers de la Cour. Elle a indiqué que les rapports sont élaborés conformément à la loi et aux normes internationales, qui fixent un délai maximal de publication. La Cour finalise actuellement le budget 2023 et transmettra son rapport avant la fin de l’année.

EN BREF

  • La Cour des comptes signale des financements étrangers d’un volume jugé préoccupant.
  • Les montants déclarés soulèvent des questions de transparence et de traçabilité.
  • Les mécanismes de contrôle apparaissent insuffisants selon les premiers constats.
  • Certaines institutions bénéficient de fonds sans reporting complet.
  • L’instance recommande un renforcement du suivi et une clarification des procédures.

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Quels défis pour maîtriser l’avenir de l’intelligence artificielle ?

Von: hechmi
20. November 2025 um 11:47

Tawfik JelassiLa seconde édition d’un événement consacré à la gouvernance de l’intelligence artificielle place la maîtrise de cette technologie au centre du débat. L’intervention de Tawfik Jelassi, Sous-Directeur général à l’UNESCO sur ExpressFM, met en avant l’importance d’un cadre international capable d’accompagner les effets de l’IA sur les économies, les sociétés et les institutions. Le message insiste sur la nécessité d’anticiper les transformations en cours et d’assurer une coordination globale.

L’UNESCO, acteur de régulation

Tawfik Jelassi rappelle le rôle de l’UNESCO dans la réflexion et l’élaboration de normes autour de l’IA. L’organisation cherche à structurer un dialogue inclusif sur les principes éthiques, la transparence et la protection des utilisateurs. Cette position vise à renforcer la confiance dans une technologie qui influence déjà les modèles productifs et les interactions sociales.

La Tunisie dans le débat international

La communication met en avant la participation active de la Tunisie dans les discussions sur la gouvernance de l’IA. Le pays souhaite prendre part aux efforts mondiaux pour définir les règles qui encadrent une technologie en évolution rapide. Cette présence s’inscrit dans une logique de coopération et de représentation des pays émergents dans les instances internationales.

Des enjeux politiques et économiques

La gouvernance de l’IA pose des questions politiques liées à la mise en place de régulations équilibrées. Les décideurs doivent établir des cadres qui soutiennent l’innovation tout en protégeant les citoyens. Les enjeux économiques concernent l’évolution du marché du travail et l’adaptation des entreprises aux nouveaux outils. Les transformations à venir exigent une réflexion sur les compétences, la productivité et l’organisation des secteurs.

Des implications sociétales et institutionnelles

L’usage accru de l’IA soulève des attentes fortes en matière d’éthique, de transparence et de responsabilité. Les acteurs institutionnels cherchent des mécanismes pour préserver la confiance du public. La coopération internationale apparaît essentielle pour harmoniser les approches et soutenir les pays qui souhaitent prendre part à cette transition technologique.

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Températures : contrastes entre nord et sud

Von: hechmi
20. November 2025 um 10:51
Nuit
Météo la nuit

Tunis, 20 novembre (TAP) — Des pluies éparses touchent le sud, avec des passages orageux et des intensités plus marquées sur le sud-est. Ailleurs, le ciel reste variable avant de se charger en fin de journée sur les côtes du nord, où des pluies localement intenses sont attendues durant la nuit.

Le vent souffle de secteur ouest, fort près des côtes, avec des rafales pouvant dépasser 70 km/h sous orages. La mer est agitée et devient très agitée la nuit dans le nord.

Les températures varient entre 17 et 22 °C, autour de 15 °C sur les hauteurs et atteignent 24 °C dans l’extrême sud.

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Gestern — 19. November 2025Haupt-Feeds

Délégation indienne en Tunisie : quelles opportunités industrielles ?

Von: hechmi
19. November 2025 um 12:29

énergie solaireUne délégation d’entrepreneurs indiens, conduite par Shabinaa Sultana, Consul honoraire de la Tunisie au Karnataka, et accompagnée d’Akkshye Tulsyan, investisseur industriel, a été reçue mardi par l’Agence de Promotion de l’Industrie et de l’Innovation (APII). Les responsables tunisiens et les membres de la délégation ont échangé autour des conditions d’investissement, des réformes engagées et des perspectives de coopération économique.

Échanges autour du climat des affaires

Les discussions ont porté sur le climat des affaires en Tunisie et sur les efforts en cours pour améliorer la compétitivité du site industriel national. L’APII a présenté les incitations destinées aux porteurs de projets, ainsi que les dispositifs d’appui réservés aux investisseurs. Les secteurs jugés porteurs et la diversité des compétences tunisiennes ont été mis en avant comme éléments attractifs pour les entreprises étrangères.

Focus sur un projet dans l’énergie solaire

Akkshye Tulsyan a exprimé un intérêt spécifique pour l’étude d’un projet dans les énergies solaires. Il a évoqué un investissement susceptible de créer près de 600 emplois. L’APII a affirmé sa disponibilité à accompagner l’investisseur dans les différentes étapes de l’analyse et de la mise en œuvre. L’agence a rappelé son rôle d’appui aux initiatives visant à renforcer la capacité industrielle et à soutenir les projets à forte valeur ajoutée.

Rencontre avec l’Instance Tunisienne de l’Investissement

La délégation indienne avait également été reçue le 17 novembre par l’Instance Tunisienne de l’Investissement (TIA). Cette rencontre a permis de présenter les avancées enregistrées par les investissements indiens récents dans plusieurs secteurs émergents en Tunisie. Les deux parties ont souligné l’importance des échanges d’informations pour identifier les opportunités disponibles dans des domaines variés.

Renforcement de la coopération bilatérale

Les échanges ont confirmé la volonté commune de consolider les relations économiques entre les deux pays. Les responsables tunisiens et indiens ont convenu de poursuivre leurs contacts afin de favoriser une présence renforcée des entreprises indiennes sur le marché tunisien. La TIA a réitéré son engagement à soutenir les partenariats et à encourager de nouveaux projets d’investissement.

EN BREF

  • Une délégation d’entrepreneurs indiens a rencontré l’APII pour discuter du climat des affaires et des incitations disponibles.
  • L’investisseur Akkshye Tulsyan s’intéresse à un projet solaire pouvant créer près de 600 emplois.
  • La délégation a aussi été reçue par la TIA le 17 novembre pour examiner les avancées des investissements indiens.
  • Les deux parties souhaitent renforcer la coopération économique et poursuivre les échanges d’informations.
  • Les institutions tunisiennes ont réaffirmé leur engagement à accompagner les investisseurs.

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SANTE : Impact du déficit en vitamines sur la santé mentale

Von: hechmi
19. November 2025 um 12:12

SANTE PsychologieLa nutritionniste Nésrine Chouk y a rappelé l’existence d’un lien direct entre l’apport en vitamines, la stabilité émotionnelle et l’équilibre psychologique, lors d’une émission sur ExpressFM. Elle a décrit les effets possibles d’un déficit en vitamines et les moyens d’agir en prévention.

Un lien nutrition–psychologie à mieux comprendre

Nésrine Chouk souligne que l’organisme a besoin d’un apport vitaminique suffisant pour maintenir ses fonctions physiologiques. Un manque peut fragiliser la santé mentale. Elle rappelle que cette relation ne relève pas d’une approche alternative de la santé, mais d’un constat observé dans la pratique clinique : le corps et l’esprit réagissent à la qualité de l’alimentation.

Fatigue, baisse de moral et difficultés de concentration

Selon l’intervention, un déficit vitaminique peut entraîner différents troubles. La fatigue apparaît souvent comme l’un des premiers signaux. Le moral peut fluctuer et la capacité de concentration peut diminuer. La vulnérabilité au stress peut aussi augmenter.

Ces manifestations varient d’une personne à l’autre, mais elles s’inscrivent dans une même dynamique : lorsque l’organisme manque de nutriments essentiels, l’équilibre psychologique peut se fragiliser. Chouk insiste sur la nécessité d’observer l’apparition de ces signes et d’en discuter avec un professionnel si les symptômes persistent.

L’alimentation comme outil de prévention

La nutritionniste rappelle que la prévention constitue un levier central. Une alimentation équilibrée et diversifiée aide le corps à fonctionner de manière optimale. Elle indique que le maintien d’un apport vitaminique adapté contribue à soutenir le bien-être émotionnel. Cette approche ne vise pas à remplacer d’autres dimensions du suivi psychologique, mais à les compléter.

Un message sociétal plus large

L’intervention met en avant une idée transversale : la santé mentale ne dépend pas uniquement de facteurs psychologiques ou sociaux. La qualité de l’alimentation joue aussi un rôle. Cette perspective ouvre la voie à une réflexion plus globale sur les politiques de santé. Elle invite à mieux intégrer la nutrition dans les stratégies de prévention, de sensibilisation et de prise en charge.

Des enjeux de communication multiples

La capsule rappelle la nécessité de vulgariser le rôle des vitamines dans l’équilibre psychologique pour un large public. Les institutions de santé peuvent aussi s’appuyer sur ce type de message pour inclure la dimension nutritionnelle dans leurs programmes.

En bref

  • Le déficit en vitamines peut fragiliser l’équilibre psychologique.
  • Fatigue, baisse de moral, troubles de concentration et stress figurent parmi les manifestations possibles.
  • Une alimentation équilibrée soutient le bien-être émotionnel.
  • La nutritionniste Nésrine Chouk rappelle que l’alimentation influe sur la santé mentale.
  • La spécialiste souligne l’importance d’intégrer la nutrition dans les actions de sensibilisation et de prévention.
  • Le message invite à considérer la nutrition comme une composante de l’approche globale de la santé mentale.

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Météo : pluies orageuses et vents forts attendus mercredi

Von: hechmi
19. November 2025 um 11:10

Météo nuageLe temps de mercredi sera marqué par des nuages denses et des pluies sur les régions côtières du nord. Le centre et le sud connaîtront des averses temporairement orageuses. Les précipitations pourront devenir localement intenses, avec des chutes de grêle par endroits.

Rafales dépassant 70 km/h

Un vent de secteur nord soufflera fort sur les côtes nord et dans le sud. Les rafales dépasseront temporairement 70 km/h sous orages. Des phénomènes de sable sont possibles dans plusieurs zones du sud. Ailleurs, le vent restera faible à modéré.

Mer très agitée au nord et à Gabès

La mer sera très agitée dans le nord et le golfe de Gabès. Elle restera agitée sur les autres côtes. Les conditions de navigation seront peu favorables tout au long de la journée.

Contraste thermique selon les régions

Les températures maximales se situeront entre 15 et 21 degrés. Les hauteurs ouest atteindront 12 degrés. L’extrême sud enregistrera une maximale de 27 degrés, illustrant un écart notable entre régions côtières, zones élevées et zones désertiques.

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Brésil–Tunisie : un nul historique avant la CAN

Von: hechmi
18. November 2025 um 22:40

Tunisie - BrésilLa Tunisie a obtenu un résultat inédit face au Brésil ce mardi soir à Lille. Les deux sélections se sont quittées sur un score de 1-1 lors d’un match amical disputé à haute intensité. Pour les Aigles de Carthage, cette rencontre a servi de répétition générale avant leur entrée en Coupe d’Afrique des Nations contre l’Ouganda le 23 décembre prochain.

Un exploit symbolique pour la Tunisie

Ce match nul représente une première historique. Jusqu’ici, la Tunisie n’était jamais parvenue à accrocher la Seleçao, cinq fois championne du monde. Les joueurs tunisiens ont montré une solidité défensive constante et une capacité à répondre aux accélérations adverses. Leur réalisme offensif a également pesé dans un premier acte rythmé.

Une première période ouverte

La première mi-temps s’est conclue sur un score de parité. Les Tunisiens ont ouvert la voie grâce à Mastouri avant que le Brésil ne revienne à hauteur sur un pénalty transformé par Estevao à la 44e minute, après une main de Bronn signalée par la VAR. Les deux minutes de temps additionnel n’ont pas modifié le tableau d’affichage.

Un second acte de plus en plus tendu

Au retour des vestiaires, le Brésil a pris le contrôle du ballon. Les Tunisiens ont répondu par des phases de contre bien construites. Saad a manqué de peu le cadre à la 55e minute sur une action individuelle. Plusieurs duels physiques ont ensuite marqué la rencontre, obligeant l’arbitre à intervenir davantage.

Les changements opérés de part et d’autre ont modifié le rythme. La Tunisie a fait entrer Gharbi, auteur d’un bon coup-franc obtenu dès son premier ballon. Le Brésil a renforcé son milieu avec Paqueta et Fabinho. Les fautes subies par Rodrygo ont continué d’alimenter les arrêts de jeu.

Deux pénaltys pour le Brésil, un seul converti

Un second pénalty a été accordé à la 77e minute après une faute de Sassi sur Roque. Paqueta s’est chargé de la tentative mais a expédié le ballon au-dessus du cadre. Cette occasion manquée a tenu les Tunisiens dans le match, malgré la pression grandissante.

Des dernières minutes sous tension

La fin de rencontre a été marquée par plusieurs actions chaudes. La VAR a refusé un potentiel troisième pénalty. Vinicius a manqué une frappe, tandis qu’Estevao a trouvé le poteau dans les arrêts de jeu lors d’une action individuelle. La sortie de Mejbri, ovationné par le public, a illustré la performance collective tunisienne.

Après plusieurs minutes additionnelles prolongées par la blessure de Meriah, l’arbitre a mis fin à une rencontre intense. La Tunisie repart avec un nul historique et un moral renforcé à quelques jours de la CAN.

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Évasion fiscale en Tunisie : quels secteurs sont ciblés par les contrôles de la brigade fiscale ?

Von: hechmi
18. November 2025 um 21:21

Contrôle FiscalLa brigade de lutte contre l’évasion fiscale, créée par la loi de finances 2017 et rattachée au ministère des Finances, mène des enquêtes pour protéger les recettes publiques. Son directeur des recherches et enquêtes, Aymen Hamdaoui, rappelle sur Alwataniya que le public la surnomme souvent « police fiscale », une appellation non officielle. L’unité intervient pour contrôler le respect des obligations fiscales et réduire les pratiques de dissimulation.

Secteurs à risque sous surveillance

Les équipes concentrent leurs opérations sur les secteurs présentant des risques fiscaux élevés. Les cafés, bars, restaurants et le commerce de l’alcool figurent parmi les activités les plus surveillées. Selon la brigade, ces segments disposent d’une forte rentabilité et d’un volume de transactions important, ce qui impose une vigilance accrue. Les contrôles visent à vérifier les déclarations, la tenue de caisse et la régularité des documents comptables.

Montants identifiés lors des enquêtes

Les opérations menées dans l’industrie et le commerce de l’alcool ont permis d’estimer une évasion d’environ 1,88 milliard de dinars. Les vérifications dans les restaurants et bars ont révélé plus de 100 millions de dinars non déclarés lors de quelques interventions. Les responsables indiquent que ces montants pourraient augmenter avec l’avancée des enquêtes et l’élargissement du périmètre de contrôle.

Commerce électronique et professions libérales

La brigade observe également la croissance du commerce électronique, dont le volume d’affaires atteint 1,7 milliard de dinars. Les équipes ont identifié plus de 7 000 opérateurs sans identifiant fiscal, ce qui a conduit à des actions ciblées pour les intégrer dans le champ de l’impôt. Les professions libérales et les créateurs de contenu font aussi l’objet de campagnes de sensibilisation afin d’encourager la déclaration de leurs revenus.

Réformes numériques pour renforcer la transparence

Le ministère des Finances déploie plusieurs outils numériques destinés à moderniser les pratiques. La facturation électronique et les caisses enregistreuses connectées doivent permettre un meilleur suivi des transactions et faciliter les contrôles à distance. Le calendrier d’adoption s’étale jusqu’en 2028, avec une implémentation progressive selon les secteurs et la taille des entreprises.

Un appel à la conformité fiscale

En conclusion, Aymen Hamdaoui affirme que la brigade agit dans le respect de la loi et du citoyen. Il rappelle la volonté d’appliquer une justice fiscale sans discrimination et invite les contribuables à régulariser leurs situations. Il souligne également les avantages prévus pour les usagers qui se mettent en conformité.

CHIFFRES CLÉS

  • 1,88 milliard — Évasion estimée dans l’alcool.
  • 100 millions — Montants détectés dans les bars et restaurants.
  • 1,7 milliard — Volume d’affaires du e-commerce.
  • 7 000 — Opérateurs du e-commerce sans identifiant fiscal.
  • 2028 — Fin du calendrier de déploiement numérique.

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Match Tunisie vs Brésil dans la presse brésilienne : l’amical qui dérange les certitudes

Von: hechmi
18. November 2025 um 16:50

Tunisie - BrésilLes médias brésiliens insistent sur le fait que ce match constitue le dernier test de l’année 2025 pour le Brésil avant la phase finale de préparation à la Coupe du Monde de la FIFA 2026.

Par exemple, l’article de Globo-GE indique que « A Seleção encerra o ano contra a Tunísia … Este é o último compromisso da equipe em 2025 ».

L’enjeu est donc double : peaufiner l’équipe dirigée par Carlo Ancelotti et vérifier certains schémas tactiques dans un cadre compétitif mais sans pression extrême.

La Tunisie sous l’œil critique du Brésil

Les médias brésiliens ne considèrent pas la Tunisie comme un adversaire faible automatique. Ils notent que la Tunisie arrive avec du moral après une campagne victorieuse dans les éliminatoires africaines.

Un article mentionne : « Os tunisianos chegam ao confronto com moral elevada. A equipe fez campanha perfeita nas Eliminatórias Africanas ».

Cependant, certains médias appellent à la vigilance : la Tunisie a aussi montré des signes de fragilité, par exemple dans son match contre la Jordanie où elle a “passé des apuros” avant de l’emporter 3-2.

Ainsi, le ton est : «oui, nous sommes favoris, mais on ne doit pas sous-estimer l’adversaire».

La gestion de l’effectif brésilien

Un point fréquemment souligné est la configuration de l’équipe du Brésil pour cet affrontement. On note des ajustements minimes dans la défense (par exemple, le remplacement de Gabriel Magalhães, blessé) et la volonté de consolider un système de jeu.

L’article de “FutebolBrasil” indique que «le Brésil cherche stabilité sous Ancelotti, qui donne liberté offensive à Estêvão, Vinícius Jr. et Matheus Cunha».

Cela montre que les médias brésiliens attachent autant d’importance à la préparation tactique qu’au simple résultat.

Le prisme des pronostics, médias grand public

Certains médias adoptent un registre moins “stratégique” et plus “grand public”, en insistant sur des pronostics ou des spéculations. Par exemple, le journal Lance! publie un article sur un voyant (« vidente ») qui “crave le gagnant” du match, en estimant la victoire brésilienne.

Même s’il s’agit de contenu plus léger, cela traduit l’intérêt médiatique populaire pour cette rencontre. L’article souligne : «La victoire devrait être construite par détails et tendance est que le Brésil ait plus de chances de gagner».

Cela montre que l’amical ne perd pas tout attrait en tant qu’événement médiatique.

Le contexte historique et statistique

Les médias brésiliens rappellent le passé des confrontations et les chiffres en faveur du Brésil. Un article relève que le Brésil a remporté 38 des 44 affrontements contre des équipes africaines.

Un autre rappelle que la dernière fois Brésil–Tunisie en 2022 s’était soldé par une large victoire brésilienne (5-1).

Cette mise en perspective historique servira de base à l’attente d’un match contrôlé par le Brésil.

Le ton dominant & les angles médiatiques

En synthèse, trois angles dominent dans les médias brésiliens :

  • Le match comme préparation majeure pour le Brésil avant la Coupe du Monde.
  • La reconnaissance que la Tunisie est un “test sérieux”, pas un simple adversaire de complaisance.
  • La focalisation sur la gestion de l’équipe, la tactique, la consolidation avant les échéances clés.
  • Le ton reste globalement confiant pour le Brésil, tout en évitant l’arrogance. On insiste sur la nécessité de «fermer l’année avec une performance consistante».

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Tunisie vs Brésil : un test majeur à Lille avant la CAN et le Mondial 2026

Von: hechmi
18. November 2025 um 16:34

Tunisie - BrésilUn match amical opposant la Tunisie à la sélection brésilienne se tiendra le 18 novembre 2025 à Lille, en France. Il suscite un intérêt médiatique international tant pour la préparation de la Coupe du Monde 2026 que pour les enjeux stratégiques des deux pays.

Contexte et enjeux pour le Brésil

La sélection brésilienne dirigée par Carlo Ancelotti a programmé ce match contre la Tunisie comme l’un de ses derniers tests avant la Coupe du Monde 2026.

Un article de la presse spécialisée résume : « Brazil round off their year with a friendly against Tunisia … Brazil will be favorites to overwhelm Tunisia. »

De plus, on note l’absence de Gabriel Magalhães, blessé lors d’un récent match amical, qui manquera donc cette rencontre.

Contexte et enjeux pour la Tunisie

Pour la Tunisie, ce match est l’occasion de tester ses forces face à une grande nation du football. L’article de beIN SPORTS mentionne : « Tunisia arrives … after a 1-1 draw against Mauritania and a hard-fought 3-2 win over Jordan. »

Dans la perspective de la Coupe du Monde et de la Coupe d’Afrique des Nations, cette confrontation est perçue comme un baromètre de qualité.

Informations pratiques & historique des confrontations

Date et lieu : le match aura lieu le 18 novembre 2025, à 19h30 GMT (≈20h30 heure tunisienne) au Stade Pierre‑Mauroy à Lille, France.

Historique : les deux équipes ne se sont rencontrées que deux fois auparavant ; à chaque fois, le Brésil en est sorti vainqueur (4-1 en 1973, 5-1 en 2022).

Diffusion : le match sera diffusé sur plusieurs chaînes internationales, dont beIN SPORTS, ITV4 HD, SuperSport 7, etc.

Couverture et interprétations médiatiques

Les médias internationaux placent le Brésil en favori, tout en soulignant l’importance pour Ancelotti d’affiner son équipe.

Du côté tunisien et africain, l’accent est mis sur la possibilité pour la Tunisie de se tester, de gagner en expérience.

Un angle émergent : la gestion des blessures du côté brésilien (Gabriel Magalhães), montrée comme un risque potentiel avant le Mondial.

En bref

Le match Tunisie–Brésil est présenté comme un duel déséquilibré sur le papier, mais chargé de sens pour les deux équipes : les Brésiliens cherchent à peaufiner leur effectif avant le Mondial, les Tunisiens veulent confirmer leurs progrès et gagner de la crédibilité au niveau international.

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Importation des voitures d’occasion : Nouvelle proposition de députés dans le projet de loi de finances ?

Von: hechmi
18. November 2025 um 16:13

Selon certains députés ayant introduit un nouveau article au projet de loi de finances, les familles tunisiennes font face à de fortes difficultés liées au transport, au logement, à la santé, à l’éducation et aux engagements financiers quotidiens. Ces obstacles entraînent un recul du pouvoir d’achat, une hausse du chômage et un retard dans l’accès aux moyens essentiels de vie.

Les familles tunisiennes ne parviennent plus à assumer les coûts de mobilité, en raison de la flambée du prix des voitures neuves et d’occasion. Ce texte vise à alléger ces charges en facilitant l’achat d’un véhicule.

Dans le même temps, la baisse du coût d’importation des véhicules permettrait aux professionnels du secteur automobile de bénéficier d’une diminution des prix.

Extrait

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Startups IA natives : une dynamique mondiale en forte accélération

Von: hechmi
18. November 2025 um 11:55

startup IAL’intervention d’Anna Chadwell, Key Account Manager chez Startup Genome, lors de la première édition du GAICA 2025, met en lumière l’évolution des écosystèmes de startups et l’impact de l’intelligence artificielle sur leur structure. Elle rappelle, dans une intervention sur ExpressFM, qu’une startup est considérée comme IA native lorsque son produit repose entièrement sur l’IA. Sans ce socle technologique, le produit n’existerait pas. Cette définition la distingue des entreprises qui intègrent l’IA comme une brique additionnelle.

Les startups IA natives développent leur modèle dès l’origine autour de l’IA, ce qui influe sur leur rythme de croissance, leurs besoins en financement et leur positionnement sur les marchés.

Une croissance nettement supérieure aux standards économiques

Les données partagées indiquent que les écosystèmes de startups IA natives progressent 20 fois plus vite que le PIB de l’Union européenne. Ce décalage témoigne d’une dynamique forte, portée par une demande rapide et l’évolution des usages liés à l’IA.

Ce rythme accéléré se retrouve aussi dans leur parcours de financement. Ces startups atteignent le seed funding en 8 à 18 mois. Les autres startups mettent entre deux et trois ans pour franchir cette étape. Cette différence reflète une traction plus rapide et un accès facilité aux premières levées de fonds.

Une concentration géographique marquée

La répartition mondiale des investissements montre une forte polarisation. La Silicon Valley et Pékin concentrent plus de 60 % des financements destinés aux startups IA natives.

Cette situation confère à ces deux pôles une avance significative dans la structuration de l’écosystème global. Anna Chadwell souligne l’objectif de Startup Genome : encourager une diversification des investissements pour limiter une concentration jugée excessive et soutenir de nouveaux territoires en développement.

Montée en puissance de la Tunisie et de l’Afrique

La Tunisie figure depuis 2022 dans le rapport mondial des écosystèmes startups établi par Startup Genome. Le pays s’inscrit dans une dynamique de développement de startups IA natives. D’autres écosystèmes africains suivent la même trajectoire.

Cette tendance traduit une volonté de renforcer la place du continent africain dans un secteur en croissance rapide. Les initiatives locales cherchent à structurer des environnements favorables à l’émergence de solutions IA natives.

Un rendez-vous annuel pour mesurer l’évolution du secteur

Startup Genome publie chaque année son rapport consacré aux écosystèmes de startups. Cette publication intervient en juin, souvent dans le cadre de grands événements technologiques comme VivaTech, à Paris.

La prochaine édition paraîtra en juin 2026. Elle proposera un focus renforcé sur l’IA et sur les transformations en cours dans les écosystèmes mondiaux.

DES CHIFFRES

20× — Les écosystèmes IA natives progressent à un rythme bien supérieur à celui du PIB européen. Ce rapport illustre un dynamisme soutenu. Il témoigne aussi d’une adoption rapide de modèles reposant sur l’IA.
8–18 mois — Les startups IA natives atteignent ce délai pour leur première levée. Il contraste avec les deux à trois ans des autres startups. Cette différence souligne une traction plus rapide.
60 % — La Silicon Valley et Pékin concentrent cette part des investissements. Cette polarisation crée un écart entre les pôles établis et les régions émergentes. L’objectif est de réduire cette concentration.
2022 — Année d’apparition de la Tunisie dans le rapport mondial. Cette présence met en valeur la progression de son écosystème. Elle reflète aussi un mouvement plus large en Afrique.
Juin 2026 — Date annoncée pour la prochaine publication du rapport. Ce rendez-vous permettra de suivre l’évolution des tendances IA. Il offrira un focus renforcé sur la structuration des écosystèmes.

 

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Météo Tunisie : Ciel couvert et pluies éparses sur plusieurs régions

Von: hechmi
18. November 2025 um 11:07

MétéoLes régions côtières du nord-ouest connaissent un temps très nuageux avec des pluies éparses. Le centre-est et certaines zones du sud enregistrent aussi des précipitations locales. Ces averses restent irrégulières selon les secteurs.

Extension des pluies dans la nuit

Les pluies s’étendent la nuit vers le reste du centre et du sud. Elles deviennent temporairement orageuses et localement denses. Ce changement marque une instabilité plus marquée sur plusieurs régions.

Vent du nord et mer agitée

Le vent souffle du nord. Il se montre relativement fort près des côtes nord et à l’extrême sud, alors qu’il reste faible à modéré ailleurs. La mer est moutonneuse sur les côtes est et devient très agitée, voire houleuse, au nord.

Températures en contraste

Les maximales varient entre 16 et 21 degrés au nord et au centre, avec 14 degrés sur les hauteurs. Dans le reste des régions, elles oscillent entre 22 et 27 degrés.

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C’était en 2003 : Textile, TIC, libre-échange, comment 2003 a préparé la Tunisie d’aujourd’hui ?

Von: hechmi
14. November 2025 um 21:36

C'était en 2003En 2003, la Tunisie traverse une phase d’ouverture économique, marquée par la libéralisation progressive des échanges, l’essor du tourisme et les premières mutations numériques.

Le pays cherche alors à consolider sa position dans la région euro-méditerranéenne tout en anticipant les transformations sectorielles à venir.

Revisiter ces archives permet de comprendre les dynamiques qui, vingt ans plus tard, influencent encore les débats actuels : diversité économique, stratégie d’attractivité, place du numérique, rôle du secteur privé. Pourquoi revenir sur cette période ? Parce qu’elle révèle les fondations politiques et économiques qui façonnent toujours l’environnement tunisien contemporain.

Économie, tourisme et communication : les grands dossiers tunisiens en 2002–2003

Un secteur textile en quête de repères
À Bruxelles, la conférence dirigée par Pascal Lamy ouvre un débat sur l’avenir du textile après le démantèlement de l’Accord Multifibres prévu en 2005. Mondher Zenaidi représente la Tunisie aux côtés de professionnels et d’organisations patronales. Les discussions rappellent le poids stratégique d’un secteur exposé à la concurrence internationale et à une libéralisation appelée à s’accélérer. Les participants s’interrogent sur les outils capables d’accompagner cette transition.

Vers un espace arabo-méditerranéen intégré
Quelques mois plus tôt, la Tunisie participe à la signature de la Déclaration d’Aghadir avec le Maroc, la Jordanie et l’Égypte. Le projet prévoit la mise en place progressive d’une zone de libre-échange avant le 1er janvier 2006. L’accord met en avant la complémentarité industrielle et la volonté d’attirer davantage d’investissements extérieurs. Il inscrit la coopération commerciale dans un cadre régional structuré.

Tourisme : élargissement de l’offre et ancrage régional
Le tourisme fait l’objet d’initiatives multiples. À Hammamet, le premier Salon nautique international réunit près de 100 exposants tunisiens et européens. L’événement vise à renforcer les contacts d’affaires et signale une volonté d’élargir l’offre au-delà du balnéaire classique.

À Tanger, la participation tunisienne à Meditour 2003 confirme cette dynamique. Le forum rassemble 850 professionnels et se conclut par la signature de 22 accords de coopération par des entreprises tunisiennes.

En parallèle, la Conférence nationale sur le tourisme intérieur cherche à consolider le marché local. Les participants adoptent un Code de déontologie prévoyant des prix préférentiels pour les agences et des services adaptés à la clientèle tunisienne.

Investissement et technologies : renforcer l’attractivité
À Berlin, un séminaire organisé par la Fipa met l’accent sur l’investissement direct allemand. Les échanges soulignent l’importance d’intégrer l’économie tunisienne dans les flux européens.

Sur le plan technologique, la conférence internationale sur l’IPv6 réunit experts tunisiens et étrangers. Les discussions portent sur le protocole Internet de nouvelle génération et sur ses implications techniques et stratégiques pour la région.

Ouverture médiatique et essor du mobile
L’année est marquée par deux lancements majeurs. Mosaïque FM devient la première radio privée du pays et commence à émettre sur le Grand Tunis après la signature de sa convention.

Quelques mois plus tôt, Tunisiana, premier opérateur privé de téléphonie mobile, met fin aux listes d’attente pour l’obtention d’une ligne.

Dynamique institutionnelle, culturelle et sportive
La Banque africaine de développement choisit Tunis comme siège provisoire pour au moins deux ans, décision perçue comme un signe de confiance institutionnelle.

Le décès du peintre Hatem El Mekki rappelle la place centrale d’une œuvre reconnue pour sa modernité plastique.

Sur la scène sportive, la Tunisie présente à Zurich son dossier de candidature au Mondial 2010, accompagné d’un film mettant en avant infrastructures, tourisme et tradition footballistique.

Vingt ans plus tard : regards croisés

Certaines évolutions annoncées en 2003 ont trouvé un prolongement clair. La libéralisation du textile, par exemple, a profondément remodelé la chaîne de valeur régionale. D’autres ambitions, notamment en matière d’intégration euro-méditerranéenne, ont connu des trajectoires plus contrastées.

Le lancement de Mosaïque FM et de Tunisiana préfigure l’ouverture médiatique et la transformation numérique des années 2010. Quant au tourisme, la diversification amorcée en 2003 reste un enjeu central en 2025, notamment face aux fluctuations géopolitiques régionales.

Conclusion

Ce retour en arrière montre une Tunisie engagée dans une dynamique d’ouverture économique et d’innovation institutionnelle. Les archives éclairent les continuités et les ruptures de 2025 : diversification, attractivité, mutation numérique. Elles rappellent surtout que chaque avancée repose sur des choix politiques inscrits dans le temps long.

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Vente à découvert : Michael Burry, une figure paradoxale pour les investisseurs particuliers

Von: hechmi
14. November 2025 um 20:29

Les vendeurs à découvert suscitent souvent la méfiance des investisseurs particuliers. Ils parient sur la baisse des actions que ces derniers soutiennent. Pourtant, Michael Burry échappe en grande partie à ce rejet. L’investisseur rendu célèbre par « The Big Short » bénéficie d’une attention singulière, malgré des paris réguliers contre certaines des actions les plus populaires du marché.

BOURSE - VENTE A DECOUVERTUne notoriété entretenue depuis 2008

Le fondateur de Scion Asset Management a bâti sa réputation en anticipant la crise financière de 2008. Ses gains de 700 millions de dollars pour ses clients et d’environ 100 millions de dollars pour lui-même ont marqué durablement les esprits. Son succès s’est construit au détriment des grandes banques de Wall Street, souvent critiquées sur les forums d’investisseurs particuliers. Cette dimension contribue encore aujourd’hui à la perception positive dont il bénéficie.

Alors que des vendeurs à découvert comme Andrew Left ou Gabe Plotkin ont été pris pour cible en ligne, Burry semble échapper à cette hostilité. L’intérêt mondial pour son nom a progressé de 769 % ce mois-ci, selon l’outil Google Trends Glimpse. La fermeture de son fonds cette semaine a ravivé les spéculations sur ses intentions futures.

Une figure singulière dans l’écosystème financier

Michael Brown, chercheur chez Pepperstone, souligne que Burry « parle le langage de l’investisseur particulier », notamment en allant contre le consensus. Sa présence sur les réseaux sociaux contribue à cette image. Depuis son retour sur X, il publie des mèmes Star Wars et répond à des rumeurs personnelles, ce qui contraste avec le style plus conventionnel d’autres acteurs du marché.

Burry a également évoqué son œil de verre et son diagnostic de syndrome d’Asperger dans un entretien de 2010. Ces éléments façonnent une perception d’authenticité qui renforce l’adhésion d’une partie du public.

Un penseur dissident, suivi mais contesté

Les publications de Burry alimentent régulièrement les discussions en ligne. Il met souvent en garde contre de nouvelles bulles spéculatives, ce qui nourrit les théories des investisseurs particuliers. Les réactions restent toutefois partagées. Sur Reddit, certains s’interrogent sur l’efficacité de ses paris, tandis que d’autres ironisent sur sa tendance à annoncer un krach imminent.

Selon Brown, une partie des investisseurs continuera à le considérer comme une figure de référence, même si ses positions ne se révèlent pas toujours gagnantes. Les inquiétudes croissantes autour d’une possible bulle boursière donnent aujourd’hui plus d’écho à ses avertissements.

Une posture assumée dans un marché inquiet

Burry rappelle régulièrement qu’il avait alerté avant la crise de 2008. Dans une publication de 2021, il affirmait que ses avertissements n’avaient pas été entendus. Il a récemment changé son nom de profil en « Cassandra Unchained », référence à la prophétesse grecque condamnée à être ignorée malgré ses prédictions exactes.

Pour David Morrison, analyste chez Trade Nation, ces messages trouvent un écho particulier à l’heure où les investisseurs questionnent la solidité des valorisations liées à l’IA. Ses prises de position alimentent ainsi le débat sur le niveau réel des risques dans un marché en pleine effervescence.

A propos de la Vente à découvert
La vente à découvert est une stratégie d’investissement qui consiste à parier sur la baisse du cours d’une action.
L’investisseur emprunte un titre auprès d’un courtier, le vend immédiatement sur le marché, puis cherche à le racheter plus tard à un prix inférieur. La différence entre le prix de vente initial et le prix de rachat représente le gain potentiel.
Si le cours monte au lieu de baisser, l’investisseur subit une perte, puisqu’il doit tout de même restituer le titre emprunté.
Cette pratique expose donc à un risque potentiellement illimité. Elle reste courante dans les fonds spéculatifs et dans certaines stratégies de couverture.

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Nuages, vent, houle : la Tunisie change de rythme météo

Von: hechmi
14. November 2025 um 11:13
Vent
Vent Météo

Les côtes Est ont connu une brume en début de journée. Le ciel est ensuite devenu peu nuageux avant de passer partiellement nuageux sur plusieurs régions.

Vent du sud et contrastes régionaux

Le vent a soufflé du sud. Il a été relativement fort dans le Golfe de Tunis et sur les côtes Est, tandis qu’il est resté faible à modéré ailleurs. Aucun détail supplémentaire n’a été fourni sur les rafales [à vérifier].

Mer agitée dans les golfes

La mer a été agitée à très agitée dans les Golfes de Tunis et de Hammamet. Elle est restée peu agitée à houleuse sur les autres côtes. L’ampleur de la houle n’a pas été précisée [à vérifier].

Températures douces

Les températures maximales se sont situées entre 23 et 28 °C. Les hauteurs ouest ont enregistré 21 °C. Aucune indication n’a été donnée sur l’évolution dans la soirée [à vérifier].

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Déficit libyen : les causes profondes et les clés du redressement

Von: hechmi
13. November 2025 um 22:58
Libye
Libye

Le déficit extérieur de la Libye s’explique en premier lieu par une dépendance marquée aux importations. Le pays mobilise d’importantes quantités de devises pour financer l’achat de biens essentiels produits à l’étranger. Cette pression constante sur les réserves limite la capacité de l’économie à absorber les variations des prix internationaux et à répondre aux besoins internes.

Un tissu productif peu diversifié

La faible diversification de l’économie accentue ce déséquilibre. Les hydrocarbures occupent une place centrale dans la structure productive, tandis que les secteurs agricoles, industriels et de services restent sous-développés. Cette configuration limite l’offre locale et accroît la vulnérabilité face aux chocs externes.

Un climat institutionnel instable

L’instabilité politique et institutionnelle en Libye constitue un autre facteur. Elle réduit la confiance des investisseurs et freine les flux financiers entrants. Cette incertitude impacte la planification économique et rend les financements plus difficiles à mobiliser, aggravant la pression sur les comptes extérieurs.

La dépendance aux importations mobilise une grande quantité de devises. Elle renforce la vulnérabilité extérieure. Elle limite la capacité du pays à stabiliser son économie.

Des finances publiques fragilisées

La gestion budgétaire apparaît également comme un élément déterminant. Les dépenses publiques demeurent élevées sans contrepartie productive suffisante. Ce déséquilibre élargit le besoin de financement externe et pèse sur les capacités de stabilisation économique.

Des conséquences économiques immédiates

L’évolution du déficit fait peser un risque d’épuisement des réserves en devises. Cette situation menace la capacité du pays à assurer ses besoins fondamentaux. Le dinar libyen pourrait subir une pression accrue, avec une dépréciation possible et une inflation importée, en particulier pour les biens essentiels. Le blocage potentiel des importations critiques, comme les médicaments, les denrées alimentaires ou les équipements, représente un scénario préoccupant. Ce contexte crée un terrain propice aux tensions sociales, alimentées par la hausse des prix et un sentiment d’insécurité économique.

Les hydrocarbures dominent encore la structure économique. La diversification demeure insuffisante. Cette configuration amplifie la dépendance aux marchés extérieurs.

Des réformes pour stabiliser le cadre économique

Les recommandations présentées convergent vers un ensemble de mesures structurelles. La diversification économique apparaît comme un pilier, avec le développement de l’agriculture, des services et des industries locales. Les réformes institutionnelles visent à renforcer la transparence et améliorer la gouvernance financière afin de restaurer la confiance.

L’optimisation des dépenses publiques doit permettre de réduire les charges improductives et de réorienter les ressources vers l’investissement. Des accords internationaux pourraient stabiliser les flux financiers dans une phase de transition. Enfin, une communication claire sur les enjeux du déficit permettrait d’impliquer davantage les citoyens dans les réformes engagées.

Le déficit extérieur met sous pression les réserves. Il menace le financement des besoins essentiels. Il peut provoquer des ruptures dans les importations vitales.

Une trajectoire conditionnée aux réformes

Le déficit extérieur reflète un ensemble de fragilités structurelles. Sa réduction dépend de la capacité à diversifier l’économie, à renforcer les institutions et à mieux cibler les dépenses publiques. L’enjeu est de rétablir un équilibre durable permettant de sécuriser les importations essentielles et de réduire les tensions économiques et sociales.

EN BREF

  • Le déficit s’explique par une forte dépendance aux importations et une économie peu diversifiée.
  • L’instabilité politique limite les flux financiers entrants et la confiance des investisseurs.
  • Les dépenses publiques restent élevées sans retombées productives suffisantes.
  • Les conséquences incluent un risque sur les réserves, une pression sur le dinar et un blocage potentiel des importations vitales.
  • Les recommandations misent sur la diversification, les réformes institutionnelles, l’optimisation des dépenses et de nouveaux partenariats.

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Fuite des capitaux : risque réel avec l’impôt sur la richesse ?

Von: hechmi
13. November 2025 um 22:31

impôts et taxesLe projet de Loi de Finances 2026 introduit un impôt sur la richesse appliqué à un large périmètre d’actifs, incluant immobilier, dépôts bancaires, actions, bijoux et autres formes de patrimoine. Le gouvernement met en avant deux objectifs : renforcer la justice sociale et financer les services publics jugés prioritaires, notamment la santé, l’éducation et le transport. Cette mesure s’inspire de modèles internationaux, mais elle intervient dans un contexte tunisien marqué par une forte prévalence de l’économie informelle et par un niveau d’épargne faible.

Un outil perçu comme redistributif

Les autorités présentent cet impôt comme un levier de réduction des inégalités entre les ménages modestes et les détenteurs de grandes fortunes. Elles l’envisagent aussi comme une source de financement complémentaire pour les dépenses sociales. Le gouvernement mise sur l’effet symbolique d’une réforme perçue comme un effort d’équité, destinée à renforcer la crédibilité institutionnelle.

L’impôt sur la richesse couvre l’ensemble des actifs déclarés. Le gouvernement affirme qu’il vise la justice sociale et le financement des services publics. La mesure reste conditionnée à son efficacité réelle.

Une rentabilité incertaine

Plusieurs risques apparaissent dans l’analyse des impacts potentiels. Les expériences internationales montrent des recettes inférieures à 1 % des revenus fiscaux, ce qui met en doute la rentabilité du dispositif. La mise en œuvre nécessite un suivi précis des actifs, des contrôles bancaires et une administration plus lourde. Ces exigences pourraient générer des coûts élevés sans garantie de rendement.

Des effets économiques sensibles

La mesure pourrait provoquer des comportements d’évitement. Une partie des détenteurs de capitaux pourrait se tourner vers l’économie parallèle. Le retrait de dépôts bancaires présente un risque pour la stabilité du système financier. L’investissement et l’épargne pourraient se contracter davantage, alors que le taux d’épargne nationale a déjà reculé, passant de 21 % en 2010 à environ 4 % en 2024. La surveillance renforcée des comptes, associée au système Likouba, suscite également un climat de méfiance perçu comme intrusif.

Les expériences internationales montrent que les recettes de l’impôt sur la richesse restent faibles. Elles représentent souvent moins de 1 % des revenus fiscaux. La Tunisie pourrait connaître un rendement similaire.

Leçons tirées de l’étranger

Certains pays maintiennent un impôt sur la richesse, comme l’Espagne, la Norvège, la Suisse ou l’Argentine. D’autres l’ont supprimé depuis plusieurs années : France, Allemagne, Suède, Pays-Bas, Danemark, Autriche et Finlande. Le point commun observé concerne la faiblesse des recettes et l’abandon progressif de cette fiscalité dans plusieurs États.

Pistes pour une réforme pragmatique

Les recommandations avancées soulignent la nécessité d’une étude d’impact préalable pour estimer précisément les recettes potentielles et les coûts de gestion. Un ciblage plus précis, excluant les actifs productifs, permettrait de réduire les effets négatifs sur l’investissement. Des taux modérés encourageraient une déclaration volontaire plus large. Le renforcement de la confiance constitue un levier central, notamment par une transparence sur l’affectation des recettes. Les priorités structurelles identifiées incluent la lutte contre l’économie parallèle, la modernisation des institutions publiques et l’optimisation de la dépense.

L’épargne nationale a fortement reculé sur quatorze ans, passant de 21 % en 2010 à environ 4 % en 2024. Cet affaiblissement limite la capacité d’investissement. L’impôt pourrait accentuer cette tendance.

Un choix fiscal à clarifier

Le bilan global décrit une mesure à forte portée symbolique mais à efficacité limitée si elle reste isolée. Sans stratégie de long terme et sans réforme structurelle, l’impôt sur la richesse pourrait accentuer la fragilité du système financier et favoriser un basculement accru vers l’informel. Le défi consiste à définir une politique fiscale cohérente, intégrée dans un cadre institutionnel renforcé.

EN BREF

  • Le projet prévoit un impôt sur la richesse couvrant tous les types d’actifs.
  • L’objectif est de renforcer la justice sociale et financer les services publics.
  • Les expériences internationales montrent une rentabilité inférieure à 1 %.
  • Les risques incluent la fuite des capitaux, la baisse des dépôts et la contraction de l’investissement.
  • La Tunisie s’inscrit dans un contexte d’épargne faible et d’informalité élevée.
  • Les recommandations insistent sur un ciblage précis, des taux modérés et une transparence sur l’utilisation des recettes.

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