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Agri-business : IFFCO ambitionne d’élargir ses activités en Tunisie dans l’huile d’olive et la transformation alimentaire

04. Juli 2025 um 13:11

Les opportunités d’élargir les investissements de l’IFFCO dans les secteurs de l’huile d’olive et de l’Agri-Business, ont été au centre d’une réunion tenue au siège de la Tunisia Investment Authority, a Tunis, a fait savoir, vendredi, la TIA.

Fondé en 1975, IFFCO est un groupe multinational dont le siège social est aux Émirats arabes unis et qui propose des marques de produits de grande consommation de premier plan, ainsi qu’un portefeuille de solutions industrielles.

Le groupe était représenté, lors de cette réunion, par son directeur des affaires corporatives et du développement commercial, Abdelghani Abdullah. L’accent a été mis sur l’impératif d’améliorer les opérations dans les installations existantes en Tunisie (Cogia SA, SDA Zitouna, L’Appétissante) et d’explorer de nouvelles opportunités dans l’industrie tunisienne de transformation des aliments.

La présidente de TIA, Namia Ayadi, a saisi cette opportunité pour présenter « les mécanismes de facilitation des investisseurs de TIA, le support sur mesure pour les plans d’expansion de l’IFFCO et les avantages compétitifs de la Tunisie pour les investissements dans l’agro-industrie».

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Le producteur Habib Attia invité à rejoindre The Academy of Motion Picture Arts and Sciences

28. Juni 2025 um 14:23

Le producteur tunisien Habib Attia figure parmi les nouveaux membres invités à rejoindre l’Academy of Motion Picture Arts and Sciences, prestigieuse institution qui organise chaque année les Oscars. Cette reconnaissance confirme l’importance de son parcours et de sa contribution au renouveau du cinéma tunisien, qu’il accompagne depuis près de deux décennies à travers des œuvres puissantes, singulières et désormais incontournables sur la scène internationale.

Habib Attia rejoint ainsi un cercle encore restreint de professionnels tunisiens admis au sein de l’Academy, tous ayant joué un rôle actif dans le développement du cinéma tunisien. Avant lui, la réalisatrice Kaouther Ben Hania – dont il a produit plusieurs films –, la réalisatrice Raja Amari, la productrice Dorra Bouchoucha, la monteuse franco-tunisienne Nadia Ben Rachid, ou encore la réalisatrice Meryam Joobeur (Brotherhood, nommé aux Oscars en 2020), ont été invitées à siéger dans différentes branches de l’institution. Le producteur Tarak Ben Ammar, qui a produit plusieurs films tournés en Tunisie et soutenu l’industrie locale dès les années 1970, en fait également partie. L’entrée d’Habib Attia vient ainsi renforcer une présence tunisienne encore modeste mais croissante dans cette institution de référence.

À la tête de la société Cinétéléfilms, fondée par son père Ahmed Bahaeddine Attia, producteur historique de films majeurs comme Les Silences du palais, Les Sabots en or et Halfaouine, Habib Attia a su, dès son retour en Tunisie en 2007 après avoir terminé ses études en Italie, faire émerger une nouvelle génération de cinéastes. Son nom est aujourd’hui indissociable de la percée du cinéma tunisien sur la scène mondiale, notamment grâce à une série de films qui ont franchi les frontières des festivals pour accéder aux plus hautes sphères de reconnaissance, jusqu’à l’Académie elle-même.

L’un des projets les plus marquants qu’il a portés reste L’homme qui a vendu son dos/The Man Who Sold His Skin, réalisé par Kaouther Ben Hania, qui a permis à la Tunisie de décrocher sa toute première nomination à l’Oscar du meilleur film international, en 2021. Le film, audacieux et visuellement stylisé, interroge les notions de liberté, de frontières et de marchandisation des corps, à travers l’histoire d’un réfugié syrien devenu œuvre d’art vivante. Présenté à la Mostra de Venise, il a connu un parcours exceptionnel jusqu’aux Oscars, consolidant la réputation de Habib Attia comme producteur capable de porter des projets à la fois artistiquement exigeants et internationalement viables.

Deux ans plus tard, en 2023, il produit Les Filles d’Olfa, également réalisé par Kaouther Ben Hania. Le film est présenté en compétition officielle au Festival de Cannes (première présence d’un film tunisien en sélection officielle depuis 1970) et y remporte quatre prix décernés par des jurys indépendants : l’Œil d’or du meilleur documentaire, le Prix François-Chalais, le Prix de la Citoyenneté et le Prix du Cinéma positif. Il est ensuite nommé aux Oscars 2024 dans la catégorie meilleur documentaire. Œuvre hybride, entre documentaire et fiction, Les Filles d’Olfa interroge le destin d’une mère tunisienne dont deux filles ont rejoint Daech, tout en explorant les traumatismes intimes et politiques que cette histoire incarne. Là encore, le geste de production de Habib Attia est fondamental : accompagner une œuvre complexe, qui bouscule les formats narratifs traditionnels, tout en lui assurant une visibilité mondiale.

Mais au-delà de ces deux films emblématiques, Habib Attia a produit, depuis une quinzaine d’années, plusieurs œuvres majeures du cinéma tunisien post-révolutionnaire. Dès 2013, Le Challat de Tunis, satirique et impertinent, marquait le début de sa collaboration avec Kaouther Ben Hania. Il s’était auparavant engagé dans la production de No More Fear de Mourad Ben Cheikh, l’un des tout premiers films à documenter la révolution tunisienne, ou encore It Was Better Tomorrow de Hinde Boujemaa. Il est aussi coproducteur de Brotherhood de Meryam Joobeur, qui a valu à la Tunisie sa première nomination aux Oscars dans la catégorie du court-métrage de fiction.

Aujourd’hui, son entrée à l’Academy vient consacrer un parcours fondé sur la rigueur, la fidélité artistique et une rare capacité à faire rayonner des récits tunisiens profondément ancrés dans le réel. Elle atteste aussi de la place croissante qu’occupe le cinéma tunisien sur la scène internationale. Si le cinéma tunisien est de plus en plus présent dans les festivals majeurs et accède aux cérémonies prestigieuses comme les Oscars, il reste cependant en marge des grands circuits industriels de production mondiaux, marqués par des enjeux économiques et de distribution complexes. La trajectoire de producteurs comme Habib Attia prouve qu’un autre modèle est possible : celui d’un cinéma indépendant, audacieux, libre, qui n’attend pas qu’on lui tende la main pour exister.

Neïla Driss

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Revue │ ‘‘Notre regard’’ pour accompagner le cinéma tunisien  

27. Juni 2025 um 08:19

La dynamique du cinéma tunisien et sa présence à l’échelle internationale ne sont plus à prouver. Aussi était-il important de l’accompagner par une revue tenue par des spécialistes et des critiques qui suivent son parcours depuis des décennies.

Voilà la revue ‘‘Notre regard’’, qui paraît à Paris, dont le numéro 3 (juin 2025) propose des entretiens comme celui de Selma Baccar ou des gros plans sur des films comme ‘‘Thalathoun’’ de Fadhel Jaziri ou des hommages rendus à Moufida Tlatli et Kahina Attia. L’actualité ne manque pas, Lotfi Achour et ses ‘‘Enfants Rouges’’.

La revue se veut aussi l’écho solide du cinéma arabe et africain de l’Algérienne Assia Djebar au Palestinien, Rachid Mashrawi et Malien Souleymane Cissé.

Fiches techniques, dossiers, datations, photos historiques, problématiques posées avec sérieux sur la production, le financement, l’industrie du cinéma, etc., font de cette revue bien imprimée et dans une mise en page agréable et accessible, un vrai outil de travail, outre ce qu’elle apporte comme plaisir de lecture.

Tahar Bekri

Contact : notreregard@cinematunisien.com

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Nouveau succès international de l’huile d’olive Oueslati

25. Juni 2025 um 13:09

L’huile d’olive Oueslati, qui se distingue par son profil sensoriel raffiné et ses qualités nutritionnelles remarquables, a été encore une fois primée à l’international lors de sa participation à la troisième édition du Concours Européen International d’huile d’olive extra-vierge (European International Olive Oil Competition – EIOOC) organisée du 22 au 24 avril 2025 à Genève.

Une réception s’est tenue le 20 juin 2025 à l’ambassade de Suisse mettant à l’honneur l’huile d’olive tunisienne suite à la brillante réussite lors de la 3e édition de l’EIOOC organisée du 22 au 24 avril à Genève.

Deux marques tunisiennes, originaires de Kairouan, spécialisées dans la production et la commercialisation de la variété Oueslati, ont remporté chacune, une médaille d’or.

Les deux lauréates de la région de Kairouan n’ont pas caché leur joie suite à l’obtention de médailles d’or qui vient récompenser leurs efforts pour promouvoir leur produit du terroir aux multiples vertus.

Sonia Amiri, propriétaire de la marque primée Olea Amiri témoigne : «Nous constatons que l’huile d’olive de la variété Oueslati est de plus en plus reconnue à l’international pour sa qualité et son goût exceptionnel. Ce n’est pas la première médaille pour moi. En fait, mon produit a été primé dans tous les concours internationaux auxquels j’ai participé».

Quant à Bouchra Laaouani, fondatrice de la marque Bahia également récompensée, elle déclare: «J’ai récemment introduit l’huile d’olive de la variété Oueslati dans mon plan d’affaires et mes clients sont très impressionnés par la qualité de ce produit. C’est ma deuxième participation à un concours international et aussi ma deuxième médaille d’or. Ces reconnaissances sont pour moi très motivantes et me poussent à aller de l’avant pour positionner mon produit à l’international».

Oueslati est une variété locale cultivée aux alentours de Jbel Oueslat, une imposante chaîne montagneuse d´où la variété tire son nom. C’est l’un des produits phares du gouvernorat de Kairouan et plus concrètement des délégations d’Oueslatia, El Ala et Haffouz. Elle se distingue par sa saveur unique et ses spécificités physico-chimiques aux bienfaits multiples.

D’après le Dr. Kaouther Ben Hassine, universitaire et représentante de la Fédération arabe des industries alimentaires, «cette huile se distingue par son profil sensoriel raffiné et ses qualités nutritionnelles remarquables.» «L’olivier Oueslati est planté sur une diversité de sols dont les caractéristiques édaphiques contribuent à produire une huile très fruitée, douce, non-piquante et peu amère, conférant à cette huile une typicité unique. L’huile Oueslati affiche une teneur exceptionnelle en acide oléique, atteignant 81,40 %, elle se caractérise par un fruité intense, une amertume modérée et un piquant très faible offrant une expérience gustative élégante et équilibrée», ajoute la spécialiste.

L’huile d’olive Oueslati a été sélectionnée comme l’un des produits phares dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de valorisation et de promotion des produits du terroir dans le gouvernorat pilote de Kairouan. Tout un programme est en train d’être mis en œuvre en suivant une approche multisectorielle et multi-acteurs, impliquant les agriculteurs, les conditionneurs et les commerçants en vue de diversifier l’offre, maîtriser la qualité et faciliter l’accès aux marchés.

Un programme de valorisation touristique a été mis en place, impliquant des établissements gastronomiques, des hôtels et maisons d’hôtes ainsi que des agences de voyage dans le but de développer une nouvelle offre touristique autour de ce produit phare.

Dans ce même élan, les travaux ont démarré pour la création d’une route thématique dédiée à l’huile d’olive Oueslati. C’est une initiative qui vise à promouvoir ce fruit phare en tant que symbole d’une identité locale qui permettra d’attirer davantage de visiteurs tout au long de l’année.

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Tunis accueille le 8e Salon international de la céramique contemporaine

21. Juni 2025 um 13:33

Quelque 64 œuvres, entre sculptures, installations et céramiques murales et utilisant différentes techniques et matériaux, sont visibles au Salon international de la céramique contemporaine qu’abrite, du 20 juin au 15 juillet 2025, le Musée de la Ville de Tunis, Palais Kheireddine, à la Médina de Tunis. (Ph. Yosr Hachaichi et Lynda Abdellatif devant leurs œuvres respectives).

Le vernissage de cette huitième éditiondu salon a eu lieu en présence d’un grand nombre d’artistes participants, une quarantaine de céramistes, confirmés et débutants.

Organisé sous le patronage du ministère des Affaires culturelles, ce salon se tient à l’initiative de l’Union des artistes plasticiens tunisiens (UAPT) en partenariat avec l’Association tunisienne des arts et de la médiation (Atam) et avec la collaboration de la municipalité de Tunis.

Céramiques murales, sculptures et installations

L’exposition présente des œuvres de céramistes issus de cinq pays : l’Egypte, l’Arabie Saoudite, l’Irak, la France et la Tunisie, qui occupe la majorité de l’espace.

Des céramiques murales, des sculptures et des installations sont visible, en l’absence d’autres formes telles que les performances et les vidéos céramiques qui étaient présentes lors des éditions précédentes.

En parallèle, on constate que le raku, technique japonaise traditionnelle d’émaillage, est largement en usage dans les œuvres exposées, avec une majorité de céramistes femmes.

Au hall central de la salle d’exposition au premier étage du palais Kheireddine, trône une installation intitulée “Naissance”, représentant des coquilles d’œuf (en terre cuite émaillée) de Mohamed Khalil Kadri, fraîchement diplômé de l’Institut des Beaux Arts de Tunis (Isbat).

La céramiste Lobna Anen, diplômée des beaux-arts depuis 2010 et détentrice d’un mastère de recherche en sciences et techniques des arts plastiques, est dans une démarche tout à fait différente. «Mon son travail est le plus souvent basé sur le concept d’accumulation et de compression», dit-elle. Habituée du Salon international de la céramique contemporaine, elle y a souvent été présente depuis sa création en 2018. En parallèle, elle a perfectionné son art dans le cadre de formations sur l’usage des différentes techniques de céramique dont le Raku à partir de laquelle a été réalisée son œuvre en céramique blanc intitulée «Fleur d’inconnu» traduisant «mes sentiments secrets», a-t-elle confié.

«Cette grande dynamique dans le secteur des arts plastiques est favorisée par la productivité des artistes tunisiens malgré les grands défis qui se posent à eux», a fait savoir le président de l’UAPT, Wissam Gharsallah, qui a cependant déploré la «négligence de la part du ministère de tutelle».

Parmi les autres participants, on trouve Yosr Hachaichi, Lynda Abdellatif, Arwa Ben Smail, Lamia El Mekki, Rabeb Rouissi, Lassaad Guesmi et Mohamed Ali Darouiche.

D’après Tap.

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Deutsches Archäologisches Institut Rom eröffnet Grabungssaison 2024

Von: Redaktion
04. Juli 2024 um 21:58

Im Rahmen der Grabungssaison 2024 führt das Deutsche Archäologische Institut Rom mehrere archäologische Grabungen in Italien und Tunesien durch. Vom 29. Juli 2024 bis September Mehr

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Behind the mountains – Film von Mohamed Ben Attia

Von: Redaktion
12. Januar 2024 um 18:33

Behind The Mountains (arab.: Oura el jbel, dt.: Hinter den Bergen, frz.: Par-delà les Montagnes) ist Mohamed Ben Attias dritter Spielfilm nach „Inhebek Hedi“ (2016)

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Mein lieber Sohn (Weldi) – Film von Mohamed Ben Attia

Von: Redaktion
23. Februar 2022 um 12:40

Gemeinsam mit seiner Ehefrau Nazli und Sohn Sami führt der Staplerfahrer Riadh ein bescheidenes Leben in Tunis. Doch Samis Gesundheit bereitet den fürsorglichen Eltern große

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