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Gestern — 20. Juni 2025Haupt-Feeds

Les investissements étrangers en Tunisie poursuivent leur envolée

20. Juni 2025 um 20:01

Les investissements étrangers directs (IED) en Tunisie ont atteint 3,2 milliards de dinars en 2024, marquant une progression notable de 26 % par rapport à l’année précédente.

C’est ce qu’a annoncé Jalel Tebib, directeur général de l’Agence de promotion de l’investissement extérieur (FIPA), en marge des célébrations du trentième anniversaire de l’agence, tenues vendredi après-midi à Gammarth, dans la banlieue nord de Tunis.

Ce dynamisme semble se poursuivre en 2025. Selon le responsable, les IED ont totalisé 760 millions de dinars durant le premier trimestre de l’année en cours, soit une hausse de 25 % par rapport à la même période en 2024. Pour Jalel Tebib, ces chiffres confirment « la tendance haussière des investissements et l’intérêt croissant des investisseurs internationaux pour la Tunisie ».

Confiant, il estime que la Tunisie pourrait attirer entre 6 et 8 milliards de dinars d’investissements étrangers dans les années à venir, à condition de réunir les efforts pour améliorer le climat des affaires et renforcer l’attractivité du pays. « Ce n’est pas un excès d’optimisme, mais une conviction fondée sur les acquis du pays et la compétence de ses ressources humaines », a-t-il affirmé.

Toutefois, il a souligné que la réalisation de ces ambitions reste tributaire de la capacité à relever plusieurs défis, dont la concurrence internationale, les avancées technologiques, ainsi que la nécessité d’adapter et de moderniser continuellement le cadre législatif.

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Les investissements étrangers directs en Tunisie ont bondi de 26 % en 2024 pour atteindre 3,2 milliards de dinars, selon la FIPA, qui se montre optimiste pour les années à venir.

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Tunisie : les investissements étrangers atteignent 3200 MD en 2024, une dynamique en progression

20. Juni 2025 um 17:00

Les investissements directs étrangers se sont établis à 3200 millions de dinars pour toute l’année 2024, soit une augmentation de 26% par rapport à 2023 a fait savoir, le directeur général de l’Agence de promotion de l’investissement extérieur “FIPA-Tunisia”, Jalel Tebib.

Le responsable, qui s’adressait aux médias, en marge de la cérémonie du 30ème anniversaire de la FIPA, organisée vendredi après-midi à Gamarth (banlieue nord de la capitale Tunis), a également indiqué que les IDE se sont établis à 760 MD pour le premier trimestre de 2025 en hausse de 25% par rapport à la même période de 2024, ce qui confirme selon lui la tendance haussière de ces investissements et un intérêt croissant pour le site Tunisie de la part de plusieurs nationalités d’investisseurs.

Le responsable s’est dit optimiste quant à l’avenir des IDE en Tunisie, estimant que le pays pourrait attirer des investissements de l’ordre de 6000 MD voire 8000 MD dans les années à venir, si tous les efforts sont conjugués pour améliorer davantage le climat des affaires et réunir les conditions de réussite pour les entreprises qui s’installent en Tunisie.

“Il ne s’agit pas d’un optimisme démesuré” a-t-il affirmé, mais “d’une confiance dans les atouts du pays et dans ses compétences . Mais atteindre ces chiffres reste aussi conditionné par la capacité de faire face à certains défis dont la concurrence d’autres pays, les évolutions technologiques, le besoin continu d’adapter et de moderniser les législations… “.

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Forte hausse des IDE en Tunisie en 2024, selon la CNUCED

20. Juni 2025 um 13:39

Selon le dernier rapport de la CNUCED, les Investissements Directs Étrangers (IDE) en Tunisie ont augmenté de 21 % en 2024 par rapport à 2023, atteignant 936 millions de dollars. Le pays, aux côtés de l’Égypte, a largement contribué à la hausse des investissements en Afrique du Nord, où la valeur des nouveaux projets a progressé de 12 % pour s’établir à 76 milliards de dollars.

La Tunisie a notamment enregistré des annonces d’investissement totalisant 13 milliards de dollars, dont un mégaprojet dans les énergies renouvelables estimé à 6 milliards. L’Afrique du Nord devient ainsi la seule région du continent à afficher une hausse significative des projets d’investissement.

À l’échelle du continent africain, les IDE ont bondi de 75 % pour atteindre 97 milliards de dollars, représentant 6 % des flux mondiaux. Hors effet exceptionnel de l’Égypte, la progression reste solide (+12 %, soit 62 milliards de dollars). L’Afrique attire également un nombre croissant de mégaprojets et poursuit ses efforts de libéralisation et de facilitation des investissements.

Les investisseurs européens restent les premiers acteurs sur le continent, suivis des États-Unis et de la Chine, dont les IDE (42 milliards de dollars) s’orientent vers de nouveaux secteurs comme l’agroalimentaire et la pharmaceutique.

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Forum de Saint-Pétersbourg : la Tunisie présente ses atouts d’investissement aux acteurs russes

20. Juni 2025 um 13:45

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh s’est entretenu, les 18 et 19 juin 2025 à l’occasion de la 28ème édition du Forum international à Saint-Pétersbourg, en Russie, avec le ministre du Commerce à la Commission économique eurasiatique, M. Andrey Slepnev, le président du Conseil des affaires russes, M.Rubik Alexay, et le président de la Chambre de commerce et d’industrie de Saint-Pétersbourg Vladimir Katenev, qui ont mis en relief le nombre d’opportunités visant à consolider les relations économiques bilatérales.

Les responsables russes ont exprimé, à cette occasion, leur intérêt pour la Tunisie en tant qu’espace fournissant de nombreux avantages pour l’investissement, ainsi que pour établir des partenariats fructueux dans de nombreux domaines.

Les réunions, ont représenté une opportunité au cours de laquelle Samir Abdelhafidh a loué les relations entre la Tunisie et la République fédérale de Russie et le développement réalisé dans de nombreux domaines.

Le ministre a, dans ce contexte, souligné les perspectives prometteuses et les opportunités disponibles pour renforcer davantage les relations économiques, en particulier au niveau des échanges commerciaux et de l’investissement, mettant en exergue les avantages que compte la Tunisie, notamment sa situation géographique dans l’espace euro-méditerranéen et africain, en plus de la compétence de ses ressources humaines.

Le ministre a souligné l’importance de consolider la coopération entre les structures du secteur privé des deux parties à travers l’intensification des réunions et des manifestations promotionnelles ainsi que la préparation des structures publiques tunisiennes, notamment celles concernées par l’investissement,  tout en assurant un soutien et un accompagnement aux hommes d’affaires et institutions russes désirant lancer des projets en Tunisie ou établir des relations commerciales.

 

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Tunisie – Oman : vers un partenariat stratégique dans l’industrie, l’agriculture et les énergies renouvelables

20. Juni 2025 um 12:38

Des responsables de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (UTICA) et une délégation du ministère omanais du Commerce et de l’Industrie ont discuté des préparatifs de la visite du ministre omanais de l’Industrie et de la Promotion de l’investissement en Tunisie prévue en septembre 2025.

La réunion, tenue, jeudi dernier à Tunis, présidée par Samir Majoul,  président de l’Organisation Patronale, en présence d’une délégation officielle du Sultanat d’Oman, conduite par le sous-secrétaire du ministère du Commerce et de l’Industrie, Salah Mousen a évoqué la possibilité d’organiser un forum d’affaires et des réunions bilatérales qui rassemblent les chefs d’entreprises des deux pays dans des secteurs prioritaires.

Les deux parties ont examiné les relations historiques distinguées entre la Tunisie et le Sultanat d’Oman, notamment, estimant toutefois que le niveau des échanges commerciaux reste encore en deçà des capacités des deux parties.

La réunion a abordé l’importance d’élever ces relations au niveau de partenariat réel et stratégique, en particulier à la lumière des incitations que le Sultanat offre aux investisseurs étrangers, et les compétences et progrès dont la Tunisie bénéficie dans de nombreux secteurs.

La réunion a également discuté des opportunités de coopération et d’intégration entre la Tunisie et le Sultanat d’Oman dans les domaines des industries pharmaceutiques, des énergies renouvelables et de l’agriculture, ainsi que des moyens de surmonter les défis logistiques et de stimuler les échanges, tout en soulignant l’importance d’exploiter le positionnement de la Tunisie et du Sultanat pour conquérir des marchés prometteurs.

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La Tunisie capte l’attention des investisseurs : forte hausse des IDE et projets massifs en 2024

Von: walid
20. Juni 2025 um 10:47

En 2024, les Investissements Directs Etrangers (IDE) en Tunisie ont augmenté de 21 % par rapport à 2023, pour atteindre 936 millions de dollars, selon le dernier Rapport sur l’investissement dans le monde publié, jeudi, par la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED).

Avec l’Egypte, la Tunisie a contribué de « manière significative » à la hausse de la valeur de nouveaux projets en Afrique du Nord, où les investissements ont augmenté de 12 % pour atteindre 76 milliards de dollars, soit les deux tiers des dépenses d’investissement du continent.

Ainsi, la Tunisie a contribué à cette évolution, avec des annonces d’investissement d’une valeur de 13 milliards de dollars, outre une augmentation considérable du nombre de projets.

Selon la CNUCED, l’Afrique du Nord a été la seule région du continent qui a enregistré une hausse de la valeur de nouveaux projets.

Elle a d’ailleurs attiré le plus d’investissements directs étrangers dans le continent, avec une valeur de 51 milliards de dollars, contre 13 milliards de dollars, en 2023.

Par ailleurs, le rapport a mis en lumière une reprise significative des flux d’IDE vers l’Afrique qui ont bondi de 75 % pour atteindre 97 milliards de dollars, soit 6 % des IDE mondiaux, contre 4 % l’année précédente.

Cette hausse est en grande partie due à un accord international de financement de projets de développement urbain en Égypte, explique la même source.

Hors cette augmentation, les IDE en Afrique ont tout de même progressé de 12 % pour atteindre environ 62 milliards de dollars, soit 4 % des flux mondiaux.

Les efforts de facilitation des investissements ont continué de jouer un rôle important en Afrique, représentant 36 % des mesures politiques favorables aux investisseurs.

La libéralisation est également restée un élément clé de l’élaboration des politiques d’investissement en Afrique et en Asie, représentant un cinquième des mesures adoptées en 2024.

Le continent a attiré en 2024 une part croissante des mégaprojets mondiaux, dont sept sont évalués à plus de 4 milliards de dollars.

Parmi les plus grandes annonces figurent un mégaprojet dans le secteur des énergies renouvelables en Tunisie, d’une valeur totale de 6 milliards de dollars.

Au niveau sectoriel, les secteurs de la construction et des produits métalliques ont enregistré les plus fortes hausses d’investissements dans les projets entièrement nouveaux, tandis que les projets d’approvisionnement en électricité et en gaz ont reculé de 51 milliards de dollars.

D’après le rapport, les investisseurs européens détiennent le plus grand stock d’IDE en Afrique, suivis par les États-Unis et la Chine.

Les investissements chinois, évalués à 42 milliards de dollars, se diversifient dans des secteurs tels que l’industrie pharmaceutique et l’agroalimentaire.

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Dhafer Seghiri plaide pour une réforme législative urgente pour relancer l’investissement en Tunisie

Von: walid
20. Juni 2025 um 10:07

«Plusieurs textes législatifs doivent être révisés afin de parvenir à regagner la confiance des hommes d’affaires tunisiens et d’attirer de nouveaux investisseurs étrangers », c’est ce qu’a indiqué le député à l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP), Dhafer Seghiri, lors de la rencontre « 90 minutes avec l’IACE », organisée mercredi soir, sur le thème « Les propositions économiques de l’ARP ».

Seghiri a à cet égard, souligné, l’impératif d’adopter dans les plus brefs délais des textes à caractère économique dont le Code de Changes…, afin d’être à la page des évolutions économiques et de manière à booster le développement et à assurer la relance économique.

Evoquant le projet de loi sur la liberté économique et la lutte contre l’économie de rente, le député a fait savoir que ce dernier consacre la liberté économique, limite la criminalisation des activités économiques, garantit la liberté d’investissement, protège la concurrence loyale.

Il a estimé, dans ce cadre, qu’il est indispensable, aujourd’hui, d’œuvrer à activer la législation favorisant l’investissement et l’initiative privée, à renforcer les mécanismes d’appui financier, à finaliser la transition vers l’administrative numérique afin de faire face à la corruption et à adopter des peines alternatives pour les investisseurs, en cas d’infractions financières, afin d’assurer la pérennité de l’activité de leurs entreprises.

« Parallèlement, il faut alléger les procédures, limiter la bureaucratie administrative et activer le rôle des organismes de contrôle et de conseil, et revoir le rôle de l’État dans l’investissement », a-t-il souligné, estimant que l’Etat doit investir davantage dans les secteurs promoteurs tels que le phosphate, l’agriculture et le tourisme afin de favoriser la création des richesses.

Le député a appelé, en outre, à renforcer la coordination entre les différents départements et structures de l’Etat concernés par l’investissement, afin de réaliser des progrés.

Il a recommandé, aussi, de veiller à la promotion du secteur logistique (ports, aéroports…) pour soutenir les secteurs économiques, notamment dans le cadre des projets de partenariat public-privé.

Il convient de rappeler que le projet de Loi sur la liberté économique et la lutte contre l’économie de rente a été déposé à l’ARP, en novembre 2024, et il a été examiné par la Commission des Finances et du Budget, au cours du mois de mai 2025.

Une réunion avec les différentes parties prenantes (patronat, ministère de finances…) est prévue, à l’ARP, au cours du mois de juillet 2025.

A noter que L’IACE (l’Institut Arabe des Chefs d’Entreprises) se présente comme un Think Tank international indépendant qui s’engage à promouvoir l’entreprise et à améliorer l’environnement des affaires, et ce, en formulant des recommandations et des propositions de réformes avec le concours des chefs d’entreprises, des universitaires et autres acteurs de la société civile.

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Tunisie : 166,1 millions de dinars d’investissements agricoles approuvés à fin mai 2025 (APIA)

17. Juni 2025 um 17:16

Quelque 1189 opérations d’investissement, d’une valeur de 166,1 millions de dinars ont été approuvées dans le secteur agricole, à fin mai 2025, par les comités d’octroi des avantages. Ces investissements permettront de créer 1117 emplois permanents, indique l’Agence de Promotion des Investissements Agricoles (APIA) dans un bulletin statistique publié mardi.

Ces investissements sont répartis entre 708 opérations de création (90 MD), 481 opérations d’extension et de renouvellement (76,1MD) et 580 opérations d’investissements.

Selon l’APIA, 45% de ces investissements ont concerné des projets déclarés en 2024, tandis que 34% ont concerné des projets déclarés en 2025. Le reste a touché des projets déclarés en 2023 ou avant.

Le secteur agricole arrive en tête avec des investissements approuvés estimés à 75 millions de dinars, suivi des secteurs des services liés à l’agriculture et à la pêche maritime ( 51,2 MD), de l’aquaculture ( 29,8 MD), de la pêche avec (9 MD), et enfin du secteur de la première transformation des produits agricoles et de la pêche maritime (1,1 MD).

Les investissements dans le secteur de l’aquaculture ont augmenté de 1858% par rapport à la même période de 2024 (29,8 MD contre 1,5 MD en 2024). En outre, les investissements dans le secteur des services liés à l’agriculture et à la pêche maritime ont progressé de 94% par rapport à la même période de 2024 (51,2 MD contre 26,4 MD en 2024).

Par contre, les investissements dans le secteur de la pêche ont diminué de 33% par rapport à la même période de l’année 2024 (9 MD contre 13,4 MD en 2024).

S’agissant de la répartition des investissements par types des promoteurs,16 opérations d’investissement ont été approuvées au profit des sociétés communautaires pour un montant de 4,1 MD. Ces projets seront implantés dans les gouvernorats Manouba, Beja, Kairouan, Nabeul, Kebili, Siliana, Mahdia et Sidi Bouzid.

Quelque 215 opérations d’investissement ont été approuvées au profit des jeunes promoteurs pour une valeur de 21,8 MD.

Selon l’APIA, 80 femmes promotrices ont bénéficié de décisions d’octroi de privilèges pour lancer des projets d’une valeur de 7,6 MD.

Les opérations d’investissement approuvées ont bénéficié de subventions d’une valeur de 41,08 millions de dinars, représentant 24,7% de la valeur des investissements approuvés.

Les subventions ont concerné notamment l’acquisition de matériel agricole, d’une valeur de 21MD, représentant 51% du total des subventions approuvées. Il s’agit également de l’approbation de l’achat de 603 tracteurs agricoles d’une valeur de 56,6 MD contre 480 tracteurs d’une valeur de 43,8 MD durant la même période de l’années 2024.

Elles ont aussi concerné les équipements en énergie solaire. Ainsi, 91 projets d’un montant global de 2,8 MD ont été approuvés, assortis de subventions d’un montant global de 1,5 MD. Des subventions ont été en outre, consacrées à 161 opérations de l’économie d’eau d’irrigation d’une valeur de 2,4 MD, et à 129 projets intégrés de culture d’olivier moyennant 15,8 MD.

Pour ce qui est du ratio de crédit, il s’est élevé à 32,4% de la valeur des investissements approuvés, après avoir été d’environ 27% au cours de la même période de l’année 2024.

Les crédits ont contribué au financement de 547 projets, soit 46% du nombre total de projets approuvés. Les crédits fournisseurs occupent toujours la première place dans schéma financier avec 390 crédits pour une valeur de 26,2 millions de dinars.

Seize crédits fonciers d’une valeur de 2,5 millions de dinars ont été approuvés, contre 11 crédits d’une valeur de 1,6 million de dinars au cours de la même période de l’année 2024. Ils permettront l’intégration de 159 hectares de terres dans le cycle économique.

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BM : les IDE au plus bas dans les pays en développement depuis 2005

17. Juni 2025 um 12:45

La Chine, l’Inde et le Brésil représentent la moitié des flux d’investissements étrangers vers les marchés émergents et les économies en développement.

La Banque mondiale (BM) a déclaré dans un rapport publié lundi 16 juin que les investissements directs étrangers (IDE) dans les économies en développement ont atteint leurs niveaux les plus bas depuis 2005, faisant état de l’augmentation des barrières commerciales et d’investissement.

L’institution de Bretton Woods a ajouté que les pays en développement n’ont reçu que 435 milliards de dollars de ces investissements en 2023, la dernière année pour laquelle des données sont disponibles.

Les flux d’investissements directs étrangers vers les économies en développement en pourcentage du PIB ont atteint 2,3 % en 2023, soit environ la moitié du taux record de 2008, selon l’Agence France-Presse.

« Ce que nous voyons est le résultat des politiques publiques », a déclaré Indermit Gill, économiste en chef de la Banque mondiale, soulignant que l’investissement est en baisse tandis que la dette publique atteint de nouveaux records. « Ces dernières années, les gouvernements se sont efforcés d’ériger des barrières à l’investissement et au commerce qui devraient être supprimées », dit-il.

Les investissements directs étrangers donneraient un fort coup de pouce à la croissance économique, mais le nombre de traités d’investissement, qui constituent une incitation aux flux d’investissement, a également diminué, regrette la BM.

En effet, le rapport de la Banque mondiale révèle qu’entre 2010 et 2024, seulement 380 nouveaux traités d’investissement sont entrés en vigueur, soit moins de la moitié du nombre entre 2000 et 2009, année où environ 870 traités sont entrés en vigueur.

Le rapport indique que « l’incertitude de la politique économique mondiale et les risques géopolitiques ont atteint leurs plus hauts niveaux depuis le début du siècle ».

En revanche, les IDE sont généralement concentrés dans les pays dotés d’une économie plus importante. Ainsi, entre 2012 et 2023, les deux tiers des flux d’IDE vers les économies en développement ont été dirigés vers seulement dix pays – la Chine, l’Inde et le Brésil représentant ensemble près de la moitié du total des flux d’IDE vers les marchés émergents et les économies en développement.

Le rapport ajoute que les 26 pays les plus pauvres n’ont reçu que « 2 % de l’investissement total ».

La Banque mondiale appelle à une coopération mondiale renforcée pour aider à orienter les financements vers les économies en développement présentant les plus grands déficits d’investissement.

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IDE : que révèle le rapport de la Cnuced sur la Tunisie ?

17. Juni 2025 um 08:50

Investissement IDELa Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement (Cnuced) a publié, récemment, un rapport accablant sur la politique d’investissement en Tunisie. Dans ce document, l’agence onusienne spécialisée dans les tendances des flux d’investissement direct étranger (IDE) dans le monde revient sur le cadre juridique, réglementaire et institutionnel relatif à l’investissement en Tunisie. Elle y émet des recommandations visant à améliorer l’attractivité du site Tunisie pour les investisseurs étrangers.

Potentiel réel, attractivité en recul

Le rapport rappelle néanmoins le potentiel productif important dont jouit le site Tunisie de par sa position géographique stratégique, son économie diversifiée et sa main-d’œuvre qualifiée. Il estime que des réformes structurelles sont nécessaires pour renforcer son attractivité.

Les chiffres : une tendance à la baisse

Selon la Cnuced, le taux d’investissement (public et privé) en Tunisie s’est replié aux alentours de 16 % du PIB durant la période 2020-2024, contre 19,3 % en 2016. La Cnuced ajoute que « les IDE qui dépassaient régulièrement 1 milliard de dollars annuellement entre 2006 et 2015, se sont contractés à environ 700 millions de dollars par an depuis 2020 ».

« Les IDE dépassaient régulièrement 1 milliard de dollars avant 2015 ; ils plafonnent à 700 millions depuis 2020. »

 

Par secteur, les IDE mobilisés ont profité principalement à l’industrie manufacturière exportatrice (plus de la moitié des IDE durant la période 2020-2023). En revanche, les segments à forte valeur ajoutée (haute technologie) restent peu développés.

Conséquences économiques et sociales

Ce trend baissier des IDE a freiné la croissance économique du pays (taux de croissance moyen de 2,2 % sur 2004-2022, contre 5,5 % en moyenne pour les pays à revenu intermédiaire). Il s’est traduit, également, par un chômage structurellement élevé (15 % en 2023) ainsi qu’une prévalence de l’économie informelle (entre 27 et 49 % de l’emploi et près de 35 % du PIB selon la Cnuced).

Comparaison régionale défavorable

Comparativement avec des pays voisins, d’après les données statistiques publiées par le rapport, les flux entrants moyens d’IDE ont baissé de 974 millions de dollars (2014-2018) à 728 millions de dollars (2019-2023). Ainsi, notre pays se situe en bas de la liste des pays comparateurs, notamment l’Égypte, dont le flux moyen des IDE dépasse les 8,2 milliards de dollars, et le Maroc avec un flux de l’ordre de 1,7 milliard de dollars.

Un climat d’affaires dégradé

La Cnuced explique le recul des IDE en Tunisie par plusieurs facteurs. Le rapport commence par pointer du doigt la complexité administrative (régime des autorisations et multiplication des acteurs institutionnels). Selon le rapport, ces barrières ont entravé, de manière significative, l’attraction des investisseurs.

Le document évoque également la faible proportion de la diaspora (environ 10 %) qui lance des projets d’investissement, l’accès difficile au foncier et le retard qu’accuse le site en matière de digitalisation.

« Le chômage structurellement élevé et l’économie informelle reflètent les failles du modèle d’investissement. »

 

Autre facteur cité par le rapport : les restrictions aux mouvements de capitaux du code de change. D’après la Cnuced, ce code impose de fortes contraintes aux entreprises off-shore et on-shore, particulièrement en ce qui concerne le transfert, le rapatriement des bénéfices et le financement extérieur.

Le document énumère d’autres faiblesses : ambiguïtés et imprécisions du cadre juridique relatif au droit du travail, à l’environnement et à la concurrence, et déficit de capacité institutionnelle pour en assurer la mise en œuvre.

Les recommandations de la Cnuced

Le rapport suggère d’inviter les banques à simplifier les procédures d’accès au crédit ; à renforcer et promouvoir les dispositifs spécifiques pour accompagner les TPME et startups dans leurs phases de croissance ; et à développer des mécanismes pour les femmes, les jeunes et les personnes en situation de handicap.

Les recommandations portent aussi sur la mise en place de budgets dédiés à l’innovation, l’encouragement des partenariats entre gouvernement, secteur privé et universités, et le développement de fonds de garantie au profit des secteurs prioritaires.

La Cnuced propose également de créer des fonds d’investissement pour les secteurs prioritaires, dans lesquels la diaspora pourrait contribuer, et d’élargir les sources de financement de projets structurants via les PPP.

« La Cnuced recommande de supprimer la carte de commerçant étranger et d’unifier le traitement des investisseurs. »

 

Enfin, elle invite les autorités tunisiennes à simplifier le cadre réglementaire, notamment en supprimant la carte de commerçant étranger et les disparités entre off-shore et on-shore, dans l’objectif de garantir un traitement égalitaire aux investisseurs.

Le rapport revient aussi sur la nécessité de renforcer la gouvernance autour de la politique d’attractivité, notamment via un guichet unique et une meilleure coordination institutionnelle.

Un regard critique sur le rapport

Par-delà ces indicateurs et recommandations, nous pensons, pour notre part, que le rapport de la Cnuced est incomplet, voire quelque part non objectif. Et pour cause : il ne prend pas en considération l’instabilité politique de ces quinze dernières années, ni l’embargo de fait imposé par plusieurs bailleurs de fonds, dont le FMI.

Abou SARRA

INDICATEURS CLÉS

  • Taux d’investissement en Tunisie : 16 % du PIB (2020-2024) contre 19,3 % en 2016.
  • IDE annuels : 700 millions USD (2020-2023), contre plus de 1 milliard entre 2006 et 2015.
  • Croissance économique moyenne : 2,2 % (2004-2022) en Tunisie, contre 5,5 % dans les pays comparables.
  • Chômage en 2023 : 15 %.
  • Part de l’économie informelle : jusqu’à 49 % de l’emploi et 35 % du PIB.

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Tunisie : les IDE en hausse de 61 % entre 2020 et 2024, selon la FIPA

Von: walid
16. Juni 2025 um 10:18

Les investissements directs étrangers (IDE) ont progressé au cours des dernières années, passant de 1,8 milliard de dinars en 2020, à 2,9 milliards de dinars, en 2024, ce qui représente un accroissement de 61,1%, d’après les données statistiques de l’Agence de promotion de l’investissement extérieur (FIPA).

Il en ressort que «la Tunisie a réussi, depuis 2000, à élargir la base sectorielle de ses IDE et à évoluer vers des investissements plus qualitatifs, porteurs d’innovation et de croissance durable » car « malgré des défis structurels, la stratégie actuelle de la FIPA, mise sur la montée en gamme et l’ancrage dans des secteurs d’avenir, afin de renforcer l’attractivité du pays dans un environnement international de plus en plus compétitif ».

Ainsi, selon l’Agence, notre pays œuvre, depuis 2020, à valoriser les projets lancés par les startups technologiques (soutenus par la Startup Act), à développer des technologies vertes, l’économie circulaire, et à impulser la production industrielle à haute valeur ajoutée.

De ce fait, “l’objectif ne constitue plus, seulement, à attirer des investissements intensifs en main-d’œuvre bon marché, mais aussi à attirer des projets intégrant la recherche et le développement, la formation et l’innovation. Ceci a été favorisé, surtout, par l’amélioration de la formation technique et universitaire, et la collaboration avec les investisseurs étrangers pour former une main-d’œuvre adaptée aux standards internationaux”.

La FIPA souligne “les efforts déployés en vue d’améliorer l’environnement d’accueil des IDE, à travers, notamment, l’amélioration du climat des affaires ; le développement d’un cadre législatif et institutionnel adéquat ; la modernisation du Code des changes ; la consécration du principe de liberté d’investissement et de l’accès au marché ; la révision des cahiers des charges ; le développement de la gouvernance des institutions de régulation et des comités d’octroi des autorisations”…

En parallèle, la Tunisie a lancé une série de réformes économiques à dessein de rétablir la confiance des investisseurs, et de renforcer la résilience économique du pays, dont des réformes fiscales (moderniser la fiscalité et élargir la base fiscale, lutter contre l’évasion fiscale…), des réformes du secteur public (réduction des effectifs dans la fonction publique…), des réformes du marché du travail (réforme du code du travail, renforcement de la formation professionnelle…).

“Afin de renforcer les flux des IDE, la Tunisie se retrouve dans l’obligation de rechercher de nouveaux pays partenaires, à même de rendre le site moins dépendant des conjonctures économiques de certains pays et de la volonté d’internationalisation de leurs entreprises”. C’est ainsi que le nombre de pays émetteurs des IDE vers la Tunisie, est passé de 62 en 2020 à 78 en 2023.

Dans le cadre de cette démarche, la Fipa envisage l’ouverture d’un bureau de représentation en Asie (Singapour ou en extrême orient), afin de mieux faire connaître les spécificités du site aux milieux d’affaires de ces régions, dans un contexte marqué par la mise en place de la zone de libre-échange avec l’UE. Les actions de promotion cibleraient, notamment, des entreprises asiatiques intéressées par le marché européen, en particulier dans les secteurs des composants automobiles, de l’électronique grand public et des services des TIC.

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En Tunisie, les IDE ont progressé de 61 % entre 2020 et 2024 (FIPA)

14. Juni 2025 um 20:45

Les investissements directs étrangers (IDE) en Tunisie ont connu une progression notable, passant de 1,8 milliard de dinars en 2020 à 2,9 milliards en 2024, soit une hausse de 61,1 %, selon l’Agence de promotion de l’investissement extérieur (Fipa).

Cette dynamique est le fruit d’une stratégie visant à diversifier les secteurs d’investissement et à attirer des projets à forte valeur ajoutée, notamment dans les technologies vertes, l’économie circulaire, les industries innovantes et les startups technologiques, appuyées par le dispositif Startup Act.

La Fipa souligne l’évolution de la politique d’attraction des IDE, désormais axée sur l’ancrage de projets intégrant la R&D, la formation et l’innovation, plutôt que sur les seuls avantages de main-d’œuvre à bas coût.

Pour renforcer l’attractivité du pays, des réformes structurelles ont été engagées : amélioration du climat des affaires, modernisation du cadre légal (Code des changes, cahiers des charges), et réformes économiques (fiscalité, secteur public, marché du travail).

La diversification géographique est aussi à l’ordre du jour : le nombre de pays investisseurs est passé de 62 en 2020 à 78 en 2023. Un bureau en Asie (à Singapour ou en Extrême-Orient) est envisagé, dans le but de promouvoir le site tunisien auprès d’entreprises asiatiques ciblant le marché européen, en lien avec la zone de libre-échange Tunisie-UE.

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Un bond en avant dans les investissements en IA au Moyen-Orient

13. Juni 2025 um 15:45

La directrice de l’équipe de recherche de MAGNITT, Farah Al-Nahlawi, a déclaré, jeudi 12 juin, que les investissements dans l’IA dans la région du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord (MENA) ont connu une croissance significative entre 2022 et 2024, leur part des investissements en capital-risque passant de 8 % en 2022 à 12 % en 2024.

Dans une interview accordée à Al Business, Al-Nahlawi a ajouté que les entreprises utilisant l’intelligence artificielle (IA) dans le cadre de leurs services (AI Enabled) représentaient la plus grande part des investissements, par rapport aux entreprises qui s’appuient sur l’IA comme fondement de leur modèle économique (AI Native). Des pays comme les Émirats arabes unis et l’Égypte ont constaté un intérêt marqué pour ce type d’entreprises.

Elle a expliqué que dans le secteur des technologies financières (fintech), les entreprises ont levé environ 174 millions de dollars, dont 66 % étaient destinés à des entreprises utilisant l’IA, ce qui reflète le recours croissant à l’intelligence artificielle comme outil de soutien aux services financiers.

Toujours selon Mme Al-Nahlawi, les Émirats arabes unis mènent des initiatives dans ce domaine grâce à leur Stratégie nationale d’intelligence artificielle 2031, ainsi qu’à des investissements importants d’institutions telles que City View et Google, et de fonds comme Wa’ed Ventures.

L’Arabie saoudite a également lancé sa stratégie d’IA pour la période 2025-2030, avec une forte présence d’investissements égyptiens.

Elle a souligné que parmi les transactions les plus marquantes du secteur entre 2022 et 2024 figurait l’acquisition de Paymob (50 millions de dollars), suivie de celle de The Applied AI Company (42 millions de dollars). Le premier trimestre 2025 a vu une nouvelle transaction de plus de 50 millions de dollars.

En termes de nombre de transactions, Gaia Accelerators d’Arabie saoudite a ouvert la voie, suivi de Flat6Labs et 500 Global, dans un contexte d’activité importante de la part d’investisseurs locaux tels que VantO Investors.

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Tunisie-Suisse : accord entre la FIPA et la Chambre de commerce pour booster les investissements

13. Juni 2025 um 09:51

Un accord de partenariat a été signé, le 11 juin 2025, entre l’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur “FIPA-Tunisia” et la Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Suisse (CCITNCH), a fait savoir jeudi, la FIPA.

Ce partenariat signé au siège de l’Agence à Tunis vise à renforcer la coopération économique et les flux d’investissement entre la Tunisie et la Suisse.

D’après la FIPA, cet accord constitue une étape importante dans le renforcement des relations économiques bilatérales. Il témoigne d’un engagement commun à soutenir les entreprises suisses, encourager les partenariats stratégiques et créer un environnement favorable à l’investissement mutuel.

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