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Brésil : Flamengo décroche son huitième titre national

Von: walid
04. Dezember 2025 um 11:35

Flamengo a conclu une semaine historique. Le club carioca a remporté mercredi le championnat du Brésil grâce à sa victoire contre Cear (1-0) au Maracanã. Ce succès intervient seulement quatre jours après son sacre en Copa Libertadores, la principale compétition de clubs d’Amérique latine. L’équipe confirme ainsi sa domination sportive, portée par un calendrier encore chargé.

Un huitième titre qui marque un record d’ère moderne

Avec 78 points, Flamengo compte désormais cinq unités d’avance sur Palmeiras, son adversaire en finale de la Copa Libertadores, alors qu’il reste une journée à jouer. Le club décroche ainsi son huitième titre national, après ceux obtenus en 1980, 1982, 1983, 1992, 2009, 2019, 2020 et désormais 2025.

Flamengo rejoint Santos au nombre de sacres nationaux et ne reste derrière que Palmeiras, qui totalise 12 titres.

Un doublé rare dans l’histoire du football brésilien

Ce nouveau titre permet à Flamengo d’entrer un peu plus dans l’histoire. Seuls quatre clubs ont réussi un doublé national et continental la même saison : le Santos de Pelé en 1962 et 1963, Flamengo en 2019 et Botafogo en 2024. La performance de 2025 confirme la capacité du club à maintenir un niveau élevé sur plusieurs compétitions.

Le club carioca a aussi été le premier club brésilien à remporter quatre trophées dans la plus prestigieuse compétition de clubs sud-américaine, un palmarès qui renforce son statut de référence dans la région. La saison 2025 s’inscrit dans cette continuité.

Un programme qui se poursuit en Coupe Intercontinentale

La saison n’est pas encore terminée pour Flamengo. L’équipe doit affronter mercredi Cruz Azul, champion de la Concacaf, en Coupe Intercontinentale. Le vainqueur de ce match sera opposé à Pyramids FC, champion d’Afrique, pour une place en finale. Celle-ci est prévue le 17 décembre à Doha face au Paris SG, champion d’Europe en titre. Le club brésilien reste donc engagé dans une compétition mondiale où il peut encore viser une nouvelle finale.

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Football | La Tunisie bouscule amicalement le Brésil

20. November 2025 um 13:19

La période des matches de préparation pour la Coupe du Monde de football 2026 a commencé. Pour la Tunisie, l’événement du mardi 18 novembre 2025 à Lille, en France, face aux Brésil, avec toutes ses vedettes, a ressemblé à un très grand défi puisqu’il s’agissait de se mesurer au pays iconique du ballon ronde. Le test est momentanément concluant, mais il reste l’essentiel : la confirmation lors de la CAN Maroc dans quelques semaines. La balle est à nouveau dans le camp des coéquipiers de Hannibal Mejbri.

Jean-Guillaume Lozato *

Brésil-Tunisie ? Tunisie-Brésil ? Quelle formulation adopter ? C’est la question que l’on se pose quand on sait que le site choisi pour cette confrontation se situe au Nord de la France.

Au stade Pierre Mauroy, beaucoup étaient sceptiques quant aux possibilités tunisiennes. Qu’en est-il vraiment du Brésil ? Et de la Tunisie ?

Initions cette réflexion en rappelant quelques points à propos du Brésil, puis de la Tunisie. Ainsi, nous serons mieux armés pour nous pencher précisément sur ce match et son résultat.

Le Brésil, éternel présent  

Le Brésil, c’est le porte-drapeau du beau jeu et de la conciliation entre effort physique et créativité artistique.

La circulation du jeu à la brésilienne fait emprunter au ballon des trajectoires aussi variables que maîtrisées. Cette image colle à la réputation du footballeur brésilien typique, jusqu’à inspirer l’équipementier Nike pour sa campagne publicitaire de 1998.

Cette expression technique et chorégraphique bien au-dessus de la moyenne a permis de fournir un contingent intemporel d’acteurs sportifs exceptionnels. Le premier d’entre eux étant Pelé. Le plus complet. Le plus présentable aussi. Suivi de très près par Garrincha, le plus déconcertant de par ses dribbles accordés aux mouvements saccadés de ses jambes torses.

Depuis, les générations se sont succédé. Cette touche brésilienne du «Joga bonito» subsiste et renvoie à une image de carte postale idéalisée. Le plus grand pays d’Amérique Latine par sa superficie peut se vanter d’un vivier extraordinaire, qui ne s’est jamais tari. Néanmoins, il reste sur un échec à Qatar 2022 où la mission s’était terminée en quarts de finale. Les «Auriverde» demeurent une valeur sûre. Il faudra composer avec eux au prochain Mondial, d’autant plus qu’ils seront sur «leur» continent. De tous temps, la romance brésilienne du ballon est apparue en tant que force transcontinentale. Tandis que le narratif tunisien se place davantage sur une ligne éditoriale continentale.

La Tunisie des éternels départs

À l’origine, la Tunisie revêt un statut de précurseur continental suite à son épopée positive à Argentina 78. Supposée annonciatrice, cette aventure a plus ressemblé à un film qu’à une saga en plusieurs parties.

Un demi-siècle après, la Tunisie semble à la traîne par rapport à l’Algérie et surtout au Maroc qui ont déjà franchi par deux fois l’obstacle du premier tour en Coupe du Monde. Une difficulté imputable à la cadence de la bureaucratie et à l’immobilisme qui a caractérisé la mentalité locale lorsqu’il fallait appliquer des décisions. Se référer à la Révolution du Jasmin est d’ailleurs trompeur. Car c’est le plus souvent sans faire de bruit que la Tunisie a appliqué des réformes. Ou s’en est abstenue. Ainsi, alors qu’elle avait lancé un véritable mot d’ordre pour l’installation des éoliennes, elle a désormais été largement dépassée par… le Maroc dans ce domaine précis. Cette phénoménologie est transposable au foot.

Au Qatar, les Tunisiens avaient produit un jeu aux facettes intéressantes durant la phase de poules, et auraient dû se qualifier pour le tour suivant. Défier une grosse cylindrée comme le Brésil permettait donc d’estimer comment adapter le curseur à la vitesse et aux exigences de la route dessinée par la course au trophée mondial.

De la synthèse au syncrétisme

La confrontation latino-américaine/nord-africaine rentrait dans cette logique de confrontation entre deux nations qui avaient laissé une sensation d’inaccompli en terre qatarie.

Les Brésiliens, entraînés par le célèbre Carlo Ancelotti, ont déjà la tête et le bagage pour la phase finale. Les Tunisiens sont plus dubitatifs. Qu’importe. Les vingt-deux acteurs d’un soir étaient très motivés pour ce match réunissant les conditions logistiques d’une vraie Coupe du Monde.

Constants dans l’effort, solides, immédiatement entreprenants, les Aigles de Carthage ont ouvert le score par l’avant-centre Hazem Mastouri. Un but subtil, plein de timing et de sang-froid, rendu possible par une passe décisive à la semi-transversalité digne de David Beckham. Transmission distillée par Ali Abdi, un des pions essentiels de cet échiquier que les Brésiliens encerclés se sont retrouvés contraints de contourner.

Par la suite, les Sud-Américains ont poussé, mais sans dominer. À l’exception d’un tir de Rodrygo très bien dévié par Yan Valéry, la première moitié de match a été orchestrée par les Tunisiens. En revanche, leur impulsion s’est amenuisée les quarante-cinq minutes suivantes, sous l’effet d’actions de Vinicius, Paqueta et surtout Estevao. Ce dernier a signé l’égalisation sur penalty, tiré très particulièrement dans un élan fractionné à la Pelé.

Au coup de sifflet final, prévalait le sentiment d’un 1-1 équitable mérité, mais avec la conscience que les Rouges revenaient de loin quand on repense au penalty manqué par Paqueta et à une action «jaune» finie sur le poteau.

Retenons enfin deux noms. Le premier est Elias Saad. L’attaquant du FC Augsbourg sait naviguer de son aile gauche vers l’axe. Auteur d’une superbe action à la cinquante-cinquième minute, le natif de Hambourg détient les capacités pour évoluer en tant qu’ailier ou avant-centre. Voire en attaquant de soutien si une verticalisation figée s’impose en fonction de l’adversaire.

L’autre nom à retenir est Hannibal Mejbri, garant du pressing tout en participant à la construction énergiquement. Il a livré mardi soir un de ses meilleurs matches.

D’une certaine manière, le match a fait office de synthèse des éléments sur lesquels se concentrer après les prestations inégales contre la Mauritanie et la Jordanie. Passant du général au particulier, du collectif à l’individuel, Mejbri se pose en ambassadeur d’un syncrétisme sportivo-culturel.

Le natif d’Ivry-sur-Seine passé par le Paris FC en formation puis professionnel à Monaco, Manchester, Birmingham, Séville et Burnley, a déjà acquis un solide capital de connaissances et d’expériences malgré son jeune âge.

Maintenir le cap

Tout comme il existe une culture d’entreprise, il existe des variantes d’approches selon les championnats. D’où une nécessité de consultation entre les joueurs et leur coach Sami Trabelsi, et une mutualisation des efforts qui permettra de limiter les coûts des investigations et autres investissements autour de la sélection nationale. Une vision à la logique économiste qui serait en phase avec le football d’aujourd’hui ressemblant de plus en plus au «Knowledge Management», chose que les fédérations marocaine et qatarie ont parfaitement compris, chacune dans des domaines différents d’intervention.

Deux figures historiques mais d’envergures différentes se sont affrontées pour notre plus grand plaisir. Quel que fût le résultat de ce match, tout pouvait servir la critique et l’autocritique tunisiennes. Un score de parité ? C’est ce qui pouvait arriver de mieux.

Une lourde défaite aurait amoindri le mental des Aigles de Carthage. Et une victoire aurait engendré du rêve avec un risque potentiel d’illusion. En mars 2023, le Maroc avait défait le Brésil en match amical (2-1 à Tanger). La Tunisie n’a pas atteint ce palier mais elle et son homologue marocaine sont les deux seules équipes arabes à avoir réussi historiquement à ne pas avoir perdu contre la «Seleçao».

Le Brésil reste un adversaire extrêmement dangereux, qui impressionne de par sa réputation et son style de jeu peuplant les imaginaires. La carte de visite de l’équipe nationale de Tunisie est moins impressionnante. Mais ses joueurs ont les moyens de rajouter quelques lignes sur son CV. De plus, ils ont joué ce match de préparation en France où c’était l’occasion de resserrer les liens avec le public composé de la diaspora tunisienne. Il s’agit là d’un facteur psychologique important.

Pour la première fois depuis la création de la Coupe du Monde, une absence des équipes européennes dans le dernier carré ne serait pas à exclure. Alors, pourquoi pas organiser un rendez-vous en demi-finales pour le Brésil et le Maroc avec… la Tunisie en guest star ?

Pour que ce test ne se convertisse pas en crash-test, restons prudents pour le moment en relisant cette citation de l’écrivain italien Italo Calvino : «C’est le sort des plus beaux rêves de se transformer tout d’un coup en cauchemars.»

* Ecrivain et analyste de football.

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Tunisie – Brésil (1-1) à Lille : Une performance de caractère face à une Seleção amorphe

19. November 2025 um 09:09

A Lille, la Tunisie a tenu tête au Brésil dans un duel d’une rare intensité, ponctué par un penalty manqué en fin de match par Lucas Paquetá et un final électrique où chaque équipe aurait pu faire basculer le score.

Les Aigles de Carthage livrent l’une de leurs prestations les plus solides de l’année, tandis que la presse brésilienne s’interroge sur une Seleção poussive et fragile.

Mastouri surprend une Seleção maladroite

La Tunisie entre dans la rencontre avec détermination, compacte, disciplinée, et capable d’exploiter la moindre ouverture. Sur une transition rapide parfaitement exécutée, Hazem Mastouri surgit et ouvre le score d’une frappe précise (24’).

La Seleção a bien tenté de reprendre la maîtrise du ballon, mais s’est heurté à un bloc tunisien bien en place. Les circuits intérieurs étaient bloqués, le rythme haché, et les brèches rares. De plus en plus nerveux, le Brésil a multiplié les tentatives lointaines sans réellement mettre en danger le portier tunisien.

Mais sur une rare accélération claire, les Brésiliens obtiennent un penalty. Estevão, annoncé comme un futur cadre de la sélection, transforme la tentative avec sang-froid (44’). Le match bascule alors dans une bataille mentale et physique.

Discipline collective et montée en intensité brésilienne

A la reprise, le Brésil cherche à hausser le ton. Les entrées offensives ajoutaient de la vitesse mais la Tunisie ne rompait pas. Au milieu, l’activité constante des Tunisiens fermait les angles de passe, tandis que la défense gagnait les duels clés.

L’équipe d’Ancelotti s’exposait aussi aux contres tunisiens, dont la vivacité mettait régulièrement la Seleção en difficulté. Le rapport de force s’équilibrait : les Brésiliens dominaient la possession, mais les Tunisiens contrôlaient les zones dangereuses.

Poteau d’Estevão et penalty raté de Paquetá

La rencontre est entrée alors dans une dimension dramatique. D’abord, Lucas Paquetá obtenait un penalty en fin de match (78’). L’occasion était immense. Mais le Brésilien, sous pression, le manquait.

Le match bascule ensuite dans un scénario totalement fou. A la 90’+5 Ismaïl Gharbi frôle le poteau d’une frappe enroulée, quelques secondes plus tard, Estevão, encore lui, touchait le montant tunisien sur l’action suivante. Et pourtant, malgré ces actions coup sur coup, le score restait bloqué à 1-1.

Au Brésil, incompréhension et critiques

Au Brésil, les médias n’ont pas tardé pas à souligner cet échec avec sévérité. La presse brésilienne n’a pas mâché ses mots. De la gestion du match au manque de créativité, les médias ont dénoncé une prestation décevante :

« Le Brésil gâche un penalty et ne fait pas mieux qu’un match nul contre la Tunisie ».

« La sélection brésilienne a mal joué et a fait match nul avec la Tunisie… »

Même Carlo Ancelotti, pourtant mesuré, l’a reconnu :

« Nous avons eu un match bien plus difficile face à la Tunisie… nous aurions pu gagner. »

Pour la Tunisie, ce nul n’a rien d’un hasard. Il repose sur trois éléments clés. D’abord une organisation défensive impeccable en verrouillant les zones centrales, en gagnant les duels importants et en gérant parfaitement les transitions. A cela s’ajoutent une efficacité offensive malgré peu d’occasions et une maîtrise émotionnelle rare

Ce match signe un état d’esprit, une cohésion collective et une progression nette à l’approche de la Coupe Arabe des Nations et de la CAN.

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Tunisie – Brésil : A Lille, les Aigles veulent faire trembler la Seleção

18. November 2025 um 09:42

A Lille, la soirée s’annonce électrique. Devant des tribunes largement acquises à sa cause, la Tunisie défie ce mardi le Brésil dans une rencontre amicale qui n’aura rien d’un simple galop d’essai. Coup d’envoi à 20h30 au Stade Pierre-Mauroy, où des milliers de supporters tunisiens établis en France sont attendus pour transformer l’enceinte en chaudron rouge et blanc.

Ce rendez-vous arrive à un moment particulier pour les Aigles de Carthage. Après une préparation irrégulière — un match nul frustrant face à la Mauritanie (1-1) puis une victoire arrachée devant la Jordanie (3-2) -, la sélection peine encore à dégager une ligne claire. Les automatismes tardent, les repères vacillent, et l’équipe ne dégage pas la solidité espérée à ce stade de la saison.

Calmer les critiques !

Pour Sami Trabelsi, la pression est réelle. Le sélectionneur, contesté pour les performances fluctuantes de son groupe, sait que cette affiche face à l’une des sélections les plus redoutées de la planète pèsera lourd dans le jugement du public et de la fédération. Une prestation cohérente et courageuse pourrait calmer les critiques et offrir une bouffée d’air avant deux échéances majeures : la Coupe Arabe des Nations au Qatar et la Coupe d’Afrique des Nations au Maroc.

L’enjeu dépasse donc largement le cadre d’un simple amical : il s’agit d’un révélateur du niveau réel de la Tunisie face à une référence mondiale, mais aussi d’un test mental pour un groupe qui a besoin de se rassurer.

Sur quelles chaînes suivre le match !

La rencontre bénéficiera d’une large couverture internationale. Elle sera diffusée sur Watania 1 en Tunisie, AD Sports 1 dans la région MENA, ainsi que sur Sport Digital pour l’Allemagne et Sport TV 4 au Portugal.

Reste à savoir si les Aigles saisiront cette occasion rare : se mesurer au Brésil pour évaluer leur courage, leur discipline… et leur capacité à se sublimer quand la pression monte.

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Tunisie–Brésil : Huit joueurs forfaits pour des problèmes de visa

15. November 2025 um 10:37

La Fédération tunisienne de football a annoncé vendredi que huit joueurs ne participeront pas au match amical Tunisie–Brésil prévu le 18 novembre au stade Pierre-Mauroy de Lille (20h30).

Ces absences, dues à des difficultés d’obtention de visa, touchent plusieurs titulaires clés. La rencontre s’inscrit dans la préparation des Aigles de Carthage pour la Coupe arabe 2025 et la Coupe d’Afrique des Nations 2025–2026.

Des forfaits liés à des problèmes administratifs

Le sélectionneur national, Sami Trabelsi, a confirmé que les huit joueurs retenus pour ce forfait sont : Mohamed Amine Ben Hamida, Ali Maâloul, Hamza Jelassi, Chiheb Jebali, Oussama Haddadi, Mahmoud Gharbel, Issam Jebali et Mohamed Ben Ali.

Ces absences interviennent après deux matches amicaux disputés cette semaine au stade Hammadi Agrebi de Radès : un nul 1-1 face à la Mauritanie et une victoire 3-2 contre la Jordanie.

Le match contre le Brésil constitue une étape préparatoire avant deux échéances importantes, la Coupe arabe 2025 au Qatar, du 1er au 18 décembre ; et la Coupe d’Afrique des Nations au Maroc, du 21 décembre au 18 janvier.

Malgré les absences, la sélection tunisienne reste concentrée sur l’intégration et la cohésion de l’équipe en vue de ces compétitions.

La liste des joueurs retenus

  • Gardiens : Aymen Dahmène, Nourredine Farhati, Sabri Ben Hassan
  • Défenseurs : Yan Valery, Dylan Bronn, Montassar Talbi, Mortadha Ben Ouannès, Yassine Meriah, Marouane Sahraoui, Ali Abdi
  • Milieux : Ferjani Sassi, Elyès Sekhiri, Hannibal Mejbri, Ismaïl Gharbi, Mohamed Haj Mahmoud, Firas Belarbi, Houssem Tka, Mohamed Ali Ben Romdhane
  • Attaquants : Omar Laayouni, Sebastien Tounekti, Naïm Sliti, Nassim Dendani, Elias Saad, Elyès Achouri, Hazem Mestouri, Firas Chaouat, Seifeddine Jaziri

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Tunisie – Brésil : Les Aigles de Carthage retrouveront la Seleção le 18 novembre à Lille

16. Oktober 2025 um 14:16

La Fédération tunisienne de football (FTF) a confirmé, ce jeudi, la tenue d’un match amical de prestige entre la Tunisie et le Brésil, prévu le 18 novembre à 20h30 au Stade Pierre-Mauroy de Lille (France).

Cette rencontre marquera les retrouvailles entre les deux sélections, trois ans après leur dernier duel, disputé également en France, et remporté largement par la Seleção (5-1) en septembre 2022.

Avant d’affronter les Brésiliens, les Aigles de Carthage disputeront un premier match amical face à la Jordanie, le 14 novembre, dans le cadre de leur préparation aux prochaines échéances internationales.

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