A la demande de la défense, la justice a reporté l’audience de l’homme d’affaires Marouane Mabrouk au mois de janvier prochain.
Ce dernier a comparu, jeudi 18 décembre 2025, devant la sixième Chambre pénale spécialisée dans les affaires de corruption financière près le tribunal de première instance de Tunis et son avocat a indiqué que Marouane Mabrouk compte entamer des démarches de conciliation avec la Douane.
La défense a ainsi demandé le report du procès en attendant l’issue de cette conciliation et la Chambre a accepté la demande et a reporté l’audience au mois de janvier 2026.
Le collectif « Femmes contre l’injustice » appelle à une mobilisation, lundi prochain, à l’occasion de la première audience du procès de Saadia Mosbah.
Un rassemblement est ainsi prévu lundi 22 décembre, à partir de 9h30 devant le tribunal de Tunis, en soutien ) la militante et présidente de l’association Mnemty, qui œuvre pour une Tunisie plurielle.
Les organisateurs appellent à réaffirmer l’engagement de la société civile pour la défense des droits humains et contre le racisme, en affirmant qu’il s’agit là d’une nécessité démocratique.
Notons que Saadia Mosbah est détenue depuis mai 2024, rappelle la même source en pointant du doigt « une dérive grave : la criminalisation du travail associatif, le harcèlement judiciaire des militant·e·s, et la volonté de faire taire celles et ceux qui défendent l’égalité, la dignité et les droits fondamentaux »
L’examen du procès sur l’évasion, en octobre 2023, de cinq terroristes de la prison civile de la Mornaguia, a de nouveau été reporté.
La Chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme près le tribunal de première instance de Tunis a en effet décidé de reporter l’examen de l’affaire au 9 janvier prochain.
Les demandes de remise en liberté, présentées par la défense de plusieurs accusés parmi les 40 détenus dans cette affaire, ont par ailleurs été rejetées.
La 35e édition de la Coupe d’Afrique des Nations de football débutera dimanche 21 décembre 2025 et se poursuivra jusqu’au 18 janvier 2026, à Rabat. Le Maroc, pays hôte, qui vient de remporter la Coupe arabe Fifa au Qatar, fait figure de favori. L’Algérie, l’Égypte et la Tunisie, qui ne manquent pas d’atouts eux non plus, entament leur quête pour reconquérir le titre continental.
Le Maroc ouvrira dimanche à Rabat contre l’équipe des Comores. Il s’est bien préparé pour cette compétition organisée par la Confédération africaine de football (CAF), qui réunit 24 équipes nationales en phase finale. Le pays hôte souhaite faire forte impression auprès de l’organisation et mettre un terme définitif au différend qui l’opposait à la CAF depuis 2015. Initialement prévu pour accueillir la Coupe, le Maroc s’était retiré en 2014 en raison de l’épidémie d’Ebola qui sévissait en Afrique de l’Ouest. Cette décision avait été rejetée par la CAF, et la compétition s’était finalement déroulée en Guinée équatoriale, entraînant l’exclusion de l’équipe nationale marocaine.
Outre le Maroc, pays hôte, cette édition met également en vedette d’autres équipes nord- africaines : l’Algérie, l’Égypte et la Tunisie, qui affronteront la Côte d’Ivoire et le Sénégal, vainqueurs des deux dernières éditions.
Le dernier succès nord-africain est à mettre au crédit de l’Algérie, victorieuse de l’édition 2019 en Égypte. Le Maroc, vainqueur de la compétition en 1976, fait figure de favori pour cette coupe, au moment même où la fédération locale renforce considérablement son football, comme en témoigne le récent triomphe de l’équipe nationale des moins de 20 ans, qui a remporté la Coupe du monde en battant l’Argentine 2-0 en finale en octobre. Cette victoire place également le pays en lice pour accueillir la Coupe du monde 2030, aux côtés de l’Espagne et du Portugal.
Un nouveau chapitre s’ouvre, initié par le roi Mohammed V, qui a investi 1 milliard de dollars à partir de 2023 pour moderniser les stades du pays et soutenir les infrastructures d’entraînement de la fédération. Cette décision a permis la rénovation en profondeur des stades accueillant la compétition. Celle-ci se déroulera à Rabat sur quatre sites : le complexe sportif Prince Moulay Abdellah (69 500 places), le stade Al Barid, le stade annexe olympique et le complexe sportif Prince héritier Moulay El Hassan. Des matchs auront également lieu dans d’autres villes marocaines, notamment à Casablanca (complexe sportif Mohammed V, 45 000 places), au Grand Stade d’Agadir, au Grand Stade de Marrakech, au complexe sportif de Fès et au Grand Stade de Tanger (75 600 places).
Selon les bookmakers, le Maroc est suivi par l’Algérie, l’Égypte et le Sénégal, mais aussi par le Nigeria, la Côte d’Ivoire et le Mali, la Tunisie et le Cameroun étant également en lice.
L’Égypte, en particulier, cherchera à reconquérir le titre de champion d’Afrique après avoir remporté trois éditions consécutives en 2006, 2008 et 2010, et compte sur Mohamed Salah qui, après un début de saison difficile à Liverpool, a rejoint la sélection nationale pour retrouver son meilleur niveau. Mais les Égyptiens devront se mesurer au Maroc, qui reste sur une série de 18 victoires consécutives, emmené sur le terrain par des stars comme Achraf Hakimi, Yassine Bounou, Sofyan Amrabat et l’attaquant Youssef En-Nesyri, qui a déjà inscrit sept buts cette année pour son club turc, Fenerbahçe.
La Tunisie, qui ne compte pas beaucoup de stars, tente également sa chance, puisqu’elle dispute sa 17e édition consécutive de la Coupe d’Afrique des Nations, un record sur le continent, tandis que l’Égypte détient le record absolu de participations non consécutives à la phase finale, avec sa 26e édition. A défaut d’être de grands stars, les Aigles de Carthage vont essayer de faire valoir leur esprit de groupe et leur sens tactique qui leur ont souvent permis de jouer dans la cour des grands. Ne sont-ils pas la sélection africaine qui a joué le plus grand nombre de coupes du monde ?
Dans son enquête annuelle consacrée aux «100 Africains les plus influents 2025», publiée le 19 décembre 2025, le magazine New African, publié à Londres par IC Publications de notre ami Afif Ben Yedder, a retenu 5 personnalités tunisiennes, qui sont l’investisseur Hazem Ben-Gacem, le financier Lotfi Karoui, la militante écologiste Semia Gharbi, la commissaire d’exposition Myriam Ben Salah, et l’économiste Fadhel Kaboub.
Le classement des «100 Africains les plus influents 2025» célèbre les réalisations et les contributions d’Africains qui ont eu un grand impact positif dans plusieurs secteurs du continent et du monde en 2025.
«D’après les nombreux commentaires que nous recevons, cette liste est devenue plus qu’un simple classement ; pour beaucoup, c’est une reconnaissance qui change leur vie», déclare Anver Versi, rédacteur en chef de New African. Il ajoute : «Cette année, nous observons une tendance chez les Africains à exprimer leurs propres courants philosophiques à une époque de confusion mondiale. Que ce soit dans le domaine de l’éthique de l’IA ou des arts, ces personnes se réapproprient le récit africain.»
Au total, 32 nations africaines représentées dans ce classement, 64 hommes et 36 femmes répertoriés, 21 issus du monde économique, 19 créatifs, 15 leaders d’opinion, 15 fonctionnaires publics, 13 sportifs, 9 acteurs du changement et 8 technologues. Avec 5 personnalités sélectionnées, la Tunisie fait partie des 5 pays les plus représentés au classement 2025, avec le Nigeria (21), l’Afrique du Sud (10), le Kenya (7) et le Ghana (7).
Nous vous présentons ci-dessous la traduction des mini-portraits des 5 tunisien.ne.s retenus dans le classement.
Hazem Ben-Gacem | Un as des affaires
Hazem Ben-Gacem a passé trois décennies au cœur des marchés privés mondiaux, mais c’est l’audace de sa dernière initiative qui a renforcé son statut de figure incontournable de la finance du Golfe et des marchés émergents.
Né en Tunisie et diplômé de Harvard, il a débuté sa carrière à New York avant de rejoindre Investcorp en 1994. Il a gravi les échelons jusqu’à devenir co-PDG du plus important gestionnaire d’actifs non souverain du Moyen-Orient.
Fin 2024, Ben-Gacem a quitté ses fonctions et s’est immédiatement attelé à la création de BlueFive Capital, une société de gestion d’investissements mondiale basée à Abou Dhabi, conçue pour orienter les capitaux du Golfe vers les régions à forte croissance des pays du Sud. En quelques mois, BlueFive Capital a franchi la barre des centaines de millions d’actifs sous gestion et a clôturé une levée de fonds sursouscrite mi-2025. Aujourd’hui, elle gère des milliards. L’entreprise est présente à Abou Dhabi, Riyad, Singapour, Pékin et Londres, et a annoncé l’ouverture de nouveaux bureaux liés aux plans de transformation économique du Golfe. Elle se concentre sur les infrastructures, l’énergie, les nouveaux matériaux et les opportunités régionales transfrontalières.
Ben-Gacem apprécie de se fixer des objectifs ambitieux, à une exception notable près.
Après les Jeux olympiques de Pékin de 2008, il décida de participer lui-même à la compétition. Bien qu’il n’ait jamais atteint le podium olympique, il remporta d’importantes médailles régionales et intégra l’équipe nationale tunisienne de tir – un parcours remarquable pour un investisseur d’une quarantaine d’années. C’est pourquoi les investisseurs avisés misent sur lui dans sa nouvelle ambition.
Lotfi Karoui | Stratège de renom à Wall Street
Pimco, l’un des plus importants gestionnaires d’actifs obligataires au monde, a annoncé en octobre l’arrivée de Lotfi Karoui au sein de la firme en tant que directeur général et stratège crédit multi-actifs, basé à New York.
«PIMCO s’est toujours distinguée par son analyse approfondie des opportunités et des risques liés au crédit, des obligations de qualité aux obligations à haut rendement, en passant par le crédit structuré et la dette en difficulté. L’expertise de Lotfi Karoui viendra enrichir considérablement notre solide savoir-faire dans ce domaine», a déclaré Manny Roman, PDG de Pimco.
Avant de rejoindre Pimco, Lotfi Karoui était stratège crédit en chef chez Goldman Sachs, où il était responsable de la recherche et des analyses sur les marchés du crédit mondiaux. Il a intégré Goldman Sachs en 2007, a été nommé directeur général en 2015 et associé en 2025. Auparavant, il a enseigné la finance et la recherche opérationnelle aux niveaux licence et master à l’Université McGill et à HEC Montréal.
Né et élevé en Tunisie, Karoui est diplômé de l’Institut des hautes études commerciales de Carthage, en Tunisie, où il a obtenu une licence en finance.
Il est titulaire d’une maîtrise en ingénierie financière de HEC Montréal et d’un doctorat en économie financière de l’Université McGill. Il préside l’American Business and Finance Association (Abana), où il a piloté des programmes visant à connecter les professionnels de la diaspora aux réseaux financiers internationaux, favorisant ainsi les investissements en Afrique.
Il conseille et accompagne également de nombreux acteurs du capital-risque en Afrique.
Semia Gharbi | Militante contre le «colonialisme des déchets»
Si l’on entend parler de trafic d’êtres humains et de drogue, on parle rarement du trafic de déchets. Ce commerce insidieux de produits dérivés de déchets implique, selon l’OCDE, l’exportation illégale d’environ 1,7 million de tonnes de déchets par an vers les pays en développement par les pays riches.
Semia Gharbi contribue à sensibiliser le monde à ce fléau et à faire du trafic de déchets une véritable aberration humaine, environnementale et morale.
Lauréate du Prix Goldman pour l’environnement 2025, Semia Gharbi, 57 ans, a débuté sa carrière comme scientifique avant d’acquérir une renommée internationale en tant que militante écologiste et éducatrice. En acceptant son prix, elle a déclaré : «En Tunisie, comme dans de nombreux autres pays, nous recevons des déchets illégaux en provenance des pays développés. En tant que membres de notre société civile nationale et internationale, nous refusons d’être considérés comme un simple dépotoir. Nous devons mettre fin au colonialisme des déchets !»
À la tête d’un réseau de militants écologistes, d’éducateurs et d’enseignants, Gharbi est profondément engagée à mettre fin à cette tendance.
À titre d’exemple, en 2019, un contrat de recyclage de déchets plastiques italiens en Tunisie, avant leur retour en Italie, s’est révélé être un complot environnemental criminel. Ces déchets étaient destinés à être enfouis dans des décharges tunisiennes. Outre la découverte de tentatives de dissimulation, l’affaire a entraîné la démission de dirigeants d’entreprises et de responsables gouvernementaux, des incendies d’origine suspecte, des procès et la condamnation de plus de 40 personnes. Rien de tout cela n’aurait été possible sans l’intervention et le travail de plaidoyer de Gharbi au sein du Réseau Tunisie Verte, un réseau de plus de 100 organisations environnementales qu’elle a cofondé.
Myriam Ben Salah | Une intégrité sans faille dans le monde de l’art international
Quittant une vie bourgeoise mais modeste en Tunisie, sa famille s’installe en Belgique lorsque Myriam Ben Salah a six ans. Son refus d’intégrer l’école francophone locale, faute de maîtriser la langue, est sans doute l’élément déclencheur de son polyglottisme. Après des études à Paris, elle effectue un stage au Palais de Tokyo, haut lieu de l’art contemporain en France, où elle est nommée, en 2009, commissaire des programmes publics et des projets spéciaux. Sept ans plus tard, elle devient rédactrice en chef de Kaleidoscope, revue d’art d’avant-garde italienne de renom. Ces dernières années, elle a notamment organisé la 10e édition du Prix d’art du Groupe Abraaj à Dubaï. Depuis 2020, elle dirige la Renaissance Society de l’Université de Chicago, un musée d’art contemporain indépendant. En 2026, Ben Salah sera le commissaire de l’exposition consacrée à l’artiste plasticien et cinéaste franco-marocain de renom, Yto Barrada, à la Biennale de Venise.
Les propos de Barrada dressent un portrait parfait de cette femme qui a tant donné à l’art : «Les artistes la reconnaissent comme une alliée ; les institutions lui font confiance pour concevoir des expositions influentes et novatrices. Son travail de commissaire d’exposition, ses écrits et ses prises de parole publiques reflètent une vision centrée sur l’artiste, ancrée dans un savoir approfondi, une recherche rigoureuse et une intégrité sans faille.»
Fadhel Kaboub | Une voix engagée pour les pays du Sud
Économiste et conseiller en politique internationale, Fadhel Kaboub est reconnu pour ses travaux sur la finance, la transition énergétique juste et la souveraineté économique dans les pays du Sud. Professeur associé d’économie à l’Université Denison et président du Global Institute for Sustainable Prosperity, il milite pour des politiques climatiques qui privilégient l’équité, la résilience et la justice réparatrice, en particulier pour les pays les plus touchés par le changement climatique mais les moins responsables de ses conséquences. Il défend également des cadres politiques permettant aux pays du Sud de réduire leur dépendance à l’aide et à la dette extérieure, arguant que ces instruments sont conçus pour maintenir les pays les plus pauvres dans la dépendance des plus riches. «Pour chaque dollar d’aide injecté en Afrique, quatre dollars en sortent au titre du remboursement de la dette. Il ne s’agit pas de coopération au développement, mais d’une extraction néocoloniale systémique», affirme-t-il. «L’aide […] a été élaborée dans le cadre d’un système qui conçoit le développement à travers le prisme du Nord, offrant un soulagement temporaire tout en maintenant un contrôle structurel et des hiérarchies coloniales intactes», ajoute-t-il.
Auteur prolifique, Kaboub est co-auteur de ‘‘Just Transition : A Climate, Energy, and Development Agenda for the Global South’’. Il a été conférencier lors de nombreux forums, notamment les COP, les panels des Nations Unies et les conférences africaines sur le climat.
Avec l’inscription du khôl arabe sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, la Tunisie a porté à 22 le nombre total d’éléments inscrits sur les différentes listes de l’Unesco. Pour le khôl arabe, il s’agit d’une reconnaissance partagée avec la Syrie, l’Irak, la Jordanie, la Libye, Oman, l’État de Palestine, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, qui ont présenté le dossier de manière conjointe.
Selon la fiche descriptive de l’Unesco, le khôl arabe est à la fois un artisanat et une pratique sociale : une fine poudre noire utilisée comme eyeliner par les personnes de tous genres, à la fois cosmétique et protectrice contre le vent, le sable et le soleil.
Sa préparation, à base d’ingrédients naturels, varie selon les contextes locaux et se transmet principalement par les femmes, souvent au sein des familles, à l’aide de récipients traditionnels appelés «makhala», qui peuvent devenir des objets de famille.
En Tunisie, l’inscription du khôl arabe est le dernier élément ajouté à la Liste du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco en 2025, portant à dix le nombre total d’éléments du PCI attribués au pays, y compris les dossiers nationaux et les candidatures conjointes avec d’autres États arabes.
Le total des 22 éléments inscrits comprend neuf sites du patrimoine mondial, dont Djerba, Carthage, l’amphithéâtre romain d’El Jem, la médina de Tunis et le parc national d’Ichkeul ; dix éléments de la Liste représentative du patrimoine immatériel, parmi lesquels la harissa, la céramique de Sejnane et la pêche à la charfiya à Kerkennah ; et trois inscriptions au registre «Mémoire du monde», qui incluent également des documents relatifs à l’abolition de l’esclavage en Tunisie.
Parallèlement, les travaux se poursuivent en vue de l’inscription de nouveaux sites au patrimoine mondial et au registre «Mémoire du monde», ainsi que dans le réseau mondial des géoparcs de l’Unesco.
L’appel d’offres international lancé par l’hôpital La Rabta de Tunis pour l’acquisition de matériel médical d’origine italienne expire le 15 janvier 2026. Cet appel d’offres est exclusivement réservé aux entreprises italiennes et géré via le système tunisien de passation de marchés publics en ligne, Tuneps.
Le site web de Tuneps précise que les offres techniques et financières doivent être soumises exclusivement via la plateforme dédiée, tandis que les documents originaux requis doivent être remis en version papier au Premier ministre tunisien avant la date limite.
La séance d’ouverture des plis est prévue le 15 janvier 2026 à 10h30 à l’hôpital La Rabta de Tunis.
La procédure, avec des prix unitaires fixes et non révisables, concerne 70 articles répartis en différentes catégories, notamment les équipements d’imagerie médicale, les appareils de laboratoire, les matériaux et instruments chirurgicaux, les systèmes de ventilation et de réanimation, les équipements de diagnostic et de surveillance, la stérilisation, le mobilier hospitalier et les équipements médico-techniques fixes, ainsi que les interventions pour les systèmes de visualisation des salles d’opération.
Les marchés seront financés dans le cadre du Programme d’appui à la balance des paiements tunisienne et les offres seront sélectionnées article par article.
La participation est ouverte, à égalité de chances, aux personnes physiques ou morales italiennes spécialisées, répondant aux exigences techniques et financières requises et ne faisant l’objet d’aucune mesure d’exclusion de la part des autorités tunisiennes compétentes.
L’agence de presse Tap a dévoilé vendredi 19 décembre 2025 la liste des nominés dans cinq disciplines sportives pour le titre de meilleur athlète de l’année 2025, dans le cadre de la 14e édition de son sondage.
Ce sondage, organisé chaque année depuis 2012 par l’agence de presse publique, est ouvert à tous les journalistes sportifs tunisiens, aux directeurs techniques des fédérations nationales et aux entraîneurs de Ligue 1.
Parallèlement, le vote du public en ligne est possible sur le site web de l’agence.
Voici la liste finale des nominés dans les cinq disciplines :
Meilleur footballeur : Ali Abdi, Aymen Dahmen, Firas Chaouat, Montassar Talbi et Hannibal Mejbri.
Meilleur athlète : Ahmed Jaouadi (natation), Khalil Jendoubi (taekwondo), Farès Ferjani (escrime), Khaled Bougriba (pétanque) et Rafed Mabrouk (wushu kung-fu).
Les unités de la Garde nationale ont réussi à saisir, à Sfax, un précieux trésor archéologique, a annoncé l’Institut national du patrimoine (INP) sur les réseaux sociaux, vendredi 19 décembre 2025.
Ce trésor est composé de 5 196 pièces de monnaies romaines en bronze, d’une petite fiole, d’un fragment d’assiette du 1er siècle après J.-C. et d’une assiette en céramique du 2e siècle après J.-C, indiquent les experts de l’INP, qui étudiera, documentera et mettra en valeur ce trésor archéologique, conclut la même source, sans préciser la provenance des pièces saisies et si elles étaient destinées au trafic de pièces archéologiques.
Alors que la grande mode dans les pays du Vieux continent est à la surenchère anti-immigration et qu’il faut fermer la citadelle Europe ou bien la laisser ouverte à la seule immigration choisie, la crise démographique inquiète de plus en plus et les politiques publiques pour relancer la natalité montrent leurs limites. Il ne suffit pas de décréter des mesures pour qu’en un claquement de doigts, les gens se mettent à faire des enfants. Il y a des tendances sociétales de fond irréversibles et des situations individuelles complexes qui font qu’aujourd’hui le déclin démographique européen est devenu une problématique sans issue.
Imed Bahri
Le Washington Post a publié une enquête sur ce sujet, soulignant qu’il constitue un défi majeur pour le Vieux continent et suscitant des inquiétudes quant à son impact sur le marché du travail et la stabilité économique.
Cette enquête de Chico Harlan note que les Nations Unies prévoient que la population des pays de l’Union européenne atteindra un pic l’année prochaine, avant d’amorcer son premier déclin durable depuis la peste noire du XIVe siècle.
Il indique que plusieurs gouvernements européens s’efforcent de résoudre ce problème par une combinaison d’incitations financières et de politiques sociales. Et explique que les pays scandinaves ont commencé à former des comités chargés d’élaborer de nouvelles stratégies pour lutter contre la baisse de la fécondité.
Réarmement démographique
En France, le président Emmanuel Macron a évoqué la nécessité d’un «réarmement démographique» suite à la chute de 18% du taux de fécondité au cours de la dernière décennie. Dans certains pays dirigés par des nationalistes, les gouvernements offrent des incitations financières importantes pour encourager la natalité, tout en promouvant la famille traditionnelle.
En Italie, les mères actives de deux enfants ou plus perçoivent des primes. En Pologne, les allocations familiales mensuelles ont été portées à 220 dollars par enfant et le président a promulgué une loi instaurant d’importantes réductions d’impôts pour les familles de deux enfants ou plus. Ces mesures visent à encourager les familles à avoir plus d’enfants et à stimuler la croissance démographique.
L’expérience européenne montre que même les programmes gouvernementaux les plus ambitieux n’ont parfois qu’un impact partiel. Si certains programmes ont réussi à ralentir le déclin démographique, ils n’ont pas permis d’inverser complètement la tendance.
L’expérience hongroise illustre clairement ces limites : le pays a investi 5% de son PIB dans les politiques familiales sans atteindre l’objectif escompté.
Les décisions relatives au fait d’avoir des enfants sont personnelles et complexes et souvent hors du champ d’action des politiques publiques. Ces décisions incluent des facteurs structurels tels que le coût du logement, l’inflation et l’accès aux soins de santé et à une éducation de qualité.
1,38 enfant par femme
Par ailleurs, la baisse des taux de fécondité reflète des mesures sociétales comme l’accès à la contraception, la diminution des grossesses chez les adolescentes et l’amélioration de l’éducation et des perspectives de carrière des femmes.
Les données indiquent que le taux de fécondité dans l’Union européenne a chuté à un niveau historiquement bas de 1,38 enfant par femme. De nombreuses personnes retardent leur projet d’avoir des enfants, beaucoup attendant la fin de la vingtaine ou le début de la trentaine.
La Hongrie a mis en place des mesures incitatives à la fécondité il y a une quinzaine d’années, et son taux de fécondité est passé de 1,25 à 1,45 en 2015, puis à 1,61 en 2021. Cependant, ce taux a de nouveau baissé depuis, pour atteindre 1,39 en 2024, témoignant des difficultés persistantes à maintenir cette amélioration. Certains experts estiment que ces mesures incitatives ont simplement encouragé les personnes qui envisageaient déjà d’avoir des enfants à le faire plus tôt.
Le coût élevé de la vie
Le journal américain note que ses entretiens avec des jeunes à Budapest ont révélé que les politiques actuelles n’ont pas permis de répondre à certaines des principales préoccupations concernant l’éducation des enfants, telles que la dégradation du système d’éducation publique et le coût élevé de la vie. Hannah Kirisch, une étudiante de 24 ans, a déclaré : «Je pense qu’il faut améliorer d’autres aspects. Aider les parents ne suffit pas».
Le WP a constaté un sentiment partagé par de nombreux jeunes: inciter à la procréation ne résout qu’une partie du problème et ne permet pas de s’attaquer aux difficultés rencontrées par les parents.
Adam Petrizschlem, père de jumeaux de 5 ans et d’un autre enfant, a déclaré : «Les inconvénients de la parentalité sont bien supérieurs aux avantages. Avoir trois enfants est difficile, quel que soit le pays».
L’immigration, une solution temporaire
L’immigration est une des solutions envisagées pour les pays confrontés au déclin démographique, mais dans les décennies à venir, ce problème se complexifiera avec la baisse des taux de fécondité à l’échelle mondiale, à l’exception de l’Afrique subsaharienne.
Stephen Shaw, réalisateur du documentaire sur le déclin démographique, a déclaré : «L’immigration ne sera qu’une solution temporaire».
Bref, la résolution du problème du déclin démographique en Europe exige une approche multidimensionnelle qui doit prendre en compte les facteurs économiques, sociaux et culturels, et que les incitations financières peuvent certes obtenir un certain succès mais que les solutions durables nécessitent une amélioration globale des infrastructures publiques, de l’éducation et de la santé afin de favoriser un environnement qui permette aux familles de s’épanouir durablement.
Zohran Mamdani et Ahmed El Ahmed ont beaucoup fait parler d’eux ces dernières semaines dans le médias du monde pour des raisons différentes, mais en tant que Musulmans vivant dans des pays occidentaux, ils ont contribué, chacun à sa manière et sans vraiment le vouloir, à déconstruire le préjugé qui voudrait lier invariablement l’image des musulmans à l’antisémitisme.(Ph. Mamdani et El Ahmed, qui ont eu droit à la couverture du célèbre magazine américain ‘‘Time’’ sont indiscutablement les deux Musulmans de l’année 2025).
Jamila Ben Mustapha *
Ce n’est un secret pour personne que l’image des musulmans dans les médias occidentaux est, pour le moins qu’on puisse dire, loin d’être positive, étant le produit d’une part, des méfaits catastrophiques de l’idéologie jihadiste des dernières décennies, d’autre part de l’attitude de rejet, par les mêmes médias, de cette communauté souvent prise comme bouc émissaire. Il n’empêche que la généralisation de ce rejet dont rend bien compte le terme d’«islamophobie», ne peut être acceptée, comme tout jugement systématique visant un groupe donné.
Récemment, pourtant, eux événements ont eu lieu que nous pourrions considérer comme formant «une exception à la règle» de la méfiance qui entacherait les rapports entre les juifs et les musulmans, et constituant une brèche si bien venue plantée dans ce mur qui existerait entre eux.
Tout d’abord, incroyable mais vrai, la ville de New-York dont presque un million d’habitants sont de confession juive, élit, le 5 novembre dernier, un maire musulman, Zohran Mamdani.
Ensuite et surtout, l’attentat islamiste qui s’est produit àBondi en Australie, ce 14 décembre, et a abouti au meurtre de 15 Australiens de confession juive, a mis en lumière le comportement qualifié d’héroïque par le monde entier, non pas d’un intellectuel – dont la spécialité est, il est vrai, l’analyse et non l’action –, mais d’un modeste marchand de fruits d’origine syrienne, né en Australie, Ahmed El Ahmed : il s’est en effet précipité pour désarmer un des tueurs jihadistes en se faisant tirer dessus par le second.
Par ce geste spontanément réparateur de l’horreur, non seulement il devient un héros mondial visité à l’hôpital par le Premier ministre australien lui-même, mais il contribue spontanément à déconstruire le préjugé qui voudrait lier invariablement l’image des musulmans à l’antisémitisme.
À en croire, en effet, beaucoup de médias occidentaux, par un mécanisme de projection servant à faire oublier le rejet massif des juifs par l’Allemagne nazie lors de la deuxième guerre mondiale et ayant abouti au massacre de millions d’entre eux, les Arabes et les musulmans seraient des antisémites par essence. Ce que les historiens, y compris juifs, ont toujours catégoriquement démenti.
Rendons grâce à ce monsieur qui n’a certainement pas prévu que son geste de quelques secondes allait avoir des implications énormes, internationales, qui nous a montré que le progrès et la lumière ne sont pas forcément l’œuvre de l’élite mais peuvent être déclenchés par une personne humble, et souhaitons en définitive que ce genre de démenti à l’antisémitisme prétendu des musulmans, reçoive de plus en plus d’illustrations dans la réalité.
La Cité des sciences de Tunis propose à l’occasion des vacances scolaires d’hiver, le Laboratoire « ADN Junior » , et ce pour les élèves âgés de 14 à 16 ans.
Cette école d’hiver, prévue les 26 et 27 décembre 2025 permettra l’initiation à la biologie moléculaire, par une formation théorique et pratique.
Elle permettra de découvrir l’unité fondamentale des êtres vivants, de découvrir l’expression du programme génétique, d’apprendre les bases de la biologie moléculaire, de découvrir les protocoles utilisés au laboratoire, d’utiliser des équipements scientifiques spécifiques et de s’initier à la manipulation du programme génétique.,
L’inscription se fait à l’accueil de la Cité des Sciences à Tunis.
Après un premier concert en janvier couronné d’un succès immense, le voyage musical consacré aux Mélodies Andalouses revient pour une nouvelle soirée exceptionnelle.
Le Carthage Symphony Orchestra, dirigé par Hafedh Makni, et son chœur placé sous la direction de Mourad Gaâloul, interpréteront des waslas de malouf tunisien, algérien, marocain et libyen ainsi que un clin d’oeil à l’héritage andalou oriental, dans des arrangements symphoniques inédits signés Mohamed Makni et Wassim Makni.
C’est au Théâtre Municipal de Tunis que le rendez-vous est donné ce dimanche 21 décembre à 18h30 : On a commencé l’année en malouf… et on la termine en malouf !
Promettant un rendez-vous unique pour célébrer l’héritage andalou et la richesse des traditions musicales du Maghreb, les organisateurs rappellent que les billets ( 30, 35 et 40 dinars) sont disponibles au théâtre municipal au Boulevard des Arts à Mutuelleville ou en ligne
La police a arrêté, ce vendredi 19 décembre 2025, un dealer en fuite et qui est condamné par contumace à une peine de 20 ans de prison ferme.
Le suspect recherché dans plusieurs affaire de drogue, notamment pour trafic en milieu scolaire, indique une source proche du dossier citée par Mosaïque FM, en précisant que le suspect a été condamné à des peines avec exécution immédiate.
Le dealer a été placé en détention sur ordre par le tribunal de Tunis 2, ajoute la même source.
Un cadre sécuritaire est décédé suite à un tragique accident de la route survenu lors de l’exercice de ses fonctions, dans la nuit du jeudi 18 décembre 2025, à Sijoumi.
Selon les premiers éléments, le responsable sécuritaire s’était rendu sur la voie rapide ouest, en direction du carrefour de la place des Martyrs à Sijoumi avec une patrouille, afin de constater un accident de la route signalé sur les lieux.
Alors qu’il procédait au constat, il a été violemment percuté par un véhicule et a été transporté à l’hôpital dans état grave, avant de succomber à ses blessures à l’aube de ce vendredi.
L’Institut national du patrimoine (INP) a annoncé la saisie de plus de 5.000 pièces de monnaie et des poteries antiques lors d’une opération menée par la garde nationale à Sfax.
Les services spécialisés de l’INP ont effectué une expertise approfondie et ont confirmé l’authenticité ainsi que les datation à l’époque romaine des pièces saisies, lit-on dans le communiqué.
La même source précise que la GN a saisi 5196 pièces de monnaie en alliage de bronze,, une fiole, un fragment de plat et un plat intact en céramique.
L’INP a par ailleurs annoncé que le lancement immédiat des travaux de documentation, de restauration et de valorisation.
La Cour d’appel a rendu son verdict, ce vendredi 19 décembre 2025 dans l’affaire de blanchiment d’argent et d’enrichissement illicite visant l’ancien député Walid Jalled.
Il a été condamné à 4 ans de prison ferme par la chambre criminelle chargée des affaires de corruption financière près la Cour d’appel, réduisant aisni de deux années, la peine prononcée en première instance.
L’ancien député et ancien président de l’association sportive de Soliman est, rappelons-le, en détention depuis le 14 février 2023.
Le secrétaire général du Parti des patriotes démocratiques unifiés (Watad), Mongi Rahoui, a été jusque-là un fervent partisan du processus politique engagé par le président de la république Kaïs Saïed avec la proclamation de l’état d’exception, le 25 juillet 2021. Est-il en train de réviser sa position ou de seulement la nuancer ?
On est tenté de le penser après les déclarations qu’il a faites aujourd’hui, vendredi 18 décembre 2025, lors de son passage dans l’émission «Houna Tounes» sur Diwan FM. «Le 25 juillet a quatre ans et demi, et ce n’est pas peu», a-t-il déclaré, en s’interrogeant sur les résultats obtenus de la «révolution législative» dont parlent les tenants de ce processus, et sur la crédibilité du parlement censé mener cette révolution.
Le changement institutionnel dont on parle n’a pas eu lieu, a-t-il estimé, en attribuant cet échec au grand nombre de nominations effectuées à tous les niveaux de l’Etat et qu’il a qualifiées d’absurdes. D’autant plus que, serions-nous tentés d’ajouter, il n’en a pas bénéficié lui-même, malgré le forcing qu’il a fait en ce sens en criant sur tous les toits son soutien au locataire du Palais de Carthage.
Il n’y a aujourd’hui ni pouvoir ni opposition, a déclaré Rahoui, considérant que «la véritable opposition n’a pas encore émergé car l’une des conditions de son émergence est l’adoption des revendications du peuple», laissant ainsi entendre que l’opposition actuelle est coupée du peuple. «Lorsqu’elle se transforme en ennemie du peuple et de la patrie et se met au service d’agendas étrangers, elle [l’opposition] finit par susciter le rejet», a-t-il déclaré, reprenant une thématique chère au président Saïed qui assimile ses opposants à des traitres complotant avec l’étranger.
Selon Rahoui, il existe aujourd’hui un conflit entre un pouvoir en place, qui a son programme et sa propre interprétation de la souveraineté nationale et de l’État social, et un autre pouvoir qui est tombé et qui cherche à se relever pour reprendre son souffle et revenir sur le devant de la scène. Parle-t-il ici de ce que les islamistes d’Ennahdha appelaient, il y a quelques années, «l’Etat profond», qui les aurait empêchés de mettre en œuvre leur programme, selon leurs dires ?
C’est, en tout cas, ce qu’il laisse entendre en déclarant ceci : «Les acteurs actuels représentent l’ancien pouvoir et ils ont commis des crimes contre la patrie et le peuple», s’attaquant ainsi, à demi-mot, au gouvernement «conservateur» en place qui ne serait pas, selon lui, en phase avec les orientations «révolutionnaires» du président de la république.
Traduire : Kaïs Saïed aurait été mieux inspiré de compter plutôt sur Rahoui et ses camarades du Watad pour faire exécuter son programme, et non puiser dans le vivier de l’administration publique.
Si ce n’est pas là une demande d’emploi, elle lui ressemble beaucoup. Et venant d’un Watad pur jus, cela coule de source.
Ooredoo Tunisie confirme une nouvelle fois son leadership en matière d’expérience client en étant élue Service Client de l’Année 2026, et ce pour la septième année consécutive.
Cette distinction prestigieuse, qui lui a été décernée lors d’une cérémonie officielle à Tunis, le 16 décembre 2025, récompense l’engagement constant de l’opérateur à placer le client au cœur de sa stratégie, à travers une approche fondée sur l’écoute, la proximité et l’excellence opérationnelle.
Lors de cette édition, Ooredoo s’est distinguée dans trois catégories majeures : les services de téléphonie mobile et fixe, les services d’accès à Internet, ainsi que les solutions de télécommunications dédiées aux entreprises. Une reconnaissance transversale qui illustre la cohérence et la solidité du modèle de relation client déployé par Ooredoo sur l’ensemble de ses segments.
Le label Élu Service Client de l’Année (ESCDA) est une référence internationale en matière d’évaluation de la qualité de service.
Basé exclusivement sur des tests clients mystères réalisés selon un protocole rigoureux, indépendant et identique pour tous les acteurs du marché, ESCDA mesure la performance réelle des services clients sur des critères clés tels que l’accessibilité, la réactivité, la qualité des réponses et la relation humaine. Ce dispositif garantit une évaluation objective, fondée sur l’expérience vécue par les clients.
Commentant cette nouvelle distinction, Mansoor Rashid Al-Khater, Ceo de Ooredoo Tunisie, a déclaré : «Être élu Service Client de l’Année pour la septième fois consécutive est une reconnaissance forte, car elle émane directement de l’expérience réelle de nos clients. Elle reflète l’engagement remarquable de nos équipes, leur sens des responsabilités et leur volonté constante d’offrir une expérience de qualité, fondée sur la confiance, la proximité et l’excellence. Chez Ooredoo, nous considérons cette distinction non comme un aboutissement, mais comme une motivation supplémentaire pour continuer à élever nos standards et anticiper les attentes de nos clients.»
Au-delà du trophée, cette récompense confirme la pertinence des investissements de Ooredoo dans ses talents, ses outils digitaux et l’amélioration continue de ses parcours clients. Elle traduit également la mobilisation quotidienne de femmes et d’hommes engagés à offrir une expérience fluide, humaine et performante, au service des particuliers comme des entreprises.
Avec cette septième consécration, Ooredoo réaffirme son ambition : faire de la qualité de service un pilier durable de sa relation avec ses clients et un levier clé de création de valeur à long terme.