Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Travaux de restauration urgents sur une partie de l’aqueduc du Bardo

08. November 2024 um 19:32

 Des travaux de restauration et de conservation urgents sont en cours sur une partie de l’aqueduc romain dans le quartier du Bardo à la Capitale.

Les travaux sont effectués par les services de la municipalité de Tunis, sous l’égide de la Direction de la conservation des monuments et sites. Dans un communiqué publié, vendredi 8 novembre, le ministère des Affaires Culturelles a indiqué que ce projet placé sous sa tutelle sera réalisé dans le cadre des efforts de l’Institut national du patrimoine (INP) visant à préserver les monuments historiques.

La priorité sera donné à la restauration des parties en ruine, principalement les arches supérieures qui supportent les canalisations d’eau et les colonnes en gros rochers. La partie concernée par la restauration s’étale sur 600 mètres de longueur et 14 mètres d’altitude, indique le ministère.

Elle sera effectuée selon les normes de restauration en faisant usage de matériaux de construction naturels provenant des carrières de roches et des briques en argile et en adoptant les techniques de construction traditionnelles. Les parties restantes du monument sera restaurée au fur et à mesure, indique-t-on de même source.

L’aqueduc du Bardo est une dérivation de l’aqueduc de Zaghouan Carthage qui s’étale sur 132 km. Construit en l’an 122, l’aqueduc est un monument romain qui faisait partie des termes d’Antonin à Carthage.

L’aqueduc du Bardo a souvent été la cible des armées conquérantes et plusieurs fois restauré sous les dynasties successives. Cette dérivation a été créée sous la dynastie des Hafsides pour alimenter la cité en eau provenant de Djebel Zaghouan.

Avec TAP

L’article Travaux de restauration urgents sur une partie de l’aqueduc du Bardo est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Kaïs Saïed et les «bandes organisées» qui s’attaquent à l’Etat

08. November 2024 um 08:08

Evoquant les récents incidents survenus dans les transports publics, et notamment à l’aéroport de Tunis-Carthage *, et l’incendie de matériel agricole à Henchir Chaal, gouvernorat de Sfax, le président Kaïs Saïed a souligné «la nécessité de redoubler d’efforts pour lutter contre tous les types de criminalité, notamment celles commises par des bandes organisées qui visent non seulement la sécurité des citoyens mais aussi celle de l’Etat et de la société».  

«La lutte contre les lobbies qui croient désespérément pouvoir déstabiliser l’Etat et la société doit se poursuivre sans relâche», a-t-il ajouté, lors d’une réunion avec le ministre de l’Intérieur Khaled Nouri, au Palais de Carthage, jeudi 7 novembre 2024, soulignant ainsi la portée criminelle de pareils incidents qui, selon lui, ne sauraient être imputés à de simples accidents. Ce qui suppose l’ouverture d’enquêtes sérieuses de la part des autorités sécuritaires et judiciaires, afin de rassurer l’opinion sur les capacités de l’Etat à mettre hors d’état de nuire ce que le président qualifie, dans le communiqué de la présidence de la république, de «bandes organisées».  Il faut dire que l’absence de communication officielle claire sur lesdits «incidents» évoqués par le président de la république n’est pas de nature à rassurer les citoyens. Au contraire…  

Saluant les résultats des récentes opérations menées par les forces de sécurité, qui ont permis de démanteler un certain nombre de réseaux criminels impliqués dans le trafic de drogue, Saïed a souligné la nécessité de soutenir les efforts du ministère du Commerce et du Développement des exportations dans la lutte contre la hausse des prix dont la responsabilité est imputée à de grands spéculateurs et à des contrebandiers.

«Un certain nombre de responsables régionaux doivent comprendre le moment historique que vit la Tunisie et faire preuve d’un grand esprit national, en écoutant les préoccupations des citoyens et en leur apportant des solutions rapides et efficaces. Les autorités régionales et locales doivent également jouer leur rôle pour faciliter et simplifier les procédures, notamment pour les jeunes souhaitant lancer des projets, afin d’atteindre le développement économique et social souhaité», a, par ailleurs, déclaré le président de la république, estimant que l’administration publique ne se montre pas suffisamment réactive vis-à-vis des jeunes promoteurs qui lancent des projets dans les régions intérieures, dans une limpide allusion aux entreprises communautaires dont il espère qu’elles relancent la machine économique grippée dans le pays mais qui peinent encore à démarrer leurs activités et à exister.

«Chaque responsable de l’État doit toujours se sentir au service du peuple, et il n’y a aucune excuse pour ne pas s’efforcer de répondre à ses espoirs et à ses attentes», a conclu le président qui continue d’interpeller les agents publics qui s’empêtrent dans les «vieilles approches» ou se cachent souvent derrière la sophistication des procédures pour ne pas assumer leur responsabilité.

I. B. (avec Tap).

* Où un véhicule de logistique portuaire a, selon nos informations, heurté deux avions les mettant en panne. Incident à propos duquel on attend toujours des éclaircissements des autorités publiques.

L’article Kaïs Saïed et les «bandes organisées» qui s’attaquent à l’Etat est apparu en premier sur Kapitalis.

Journées cinématographiques de Carthage 2024 : Les Tunisiens en lice

06. November 2024 um 11:36

 

Record de participations des films tunisiens à la 35e édition des Journées cinématographiques  de Carthage qui auront lieu du 14 au 21 décembre prochain et de nouvelles sections créées pour l’occasion. 

Le comité d’organisation de la 35e édition des Journées cinématographiques de Carthage a annoncé ce lundi 4 novembre 2024 la liste des  films  de fiction, documentaires, longs et courts métrages tunisiens retenus  par le comité de sélection pour représenter la Tunisie dans les différentes sections des JCC. Les films tunisiens en lice ont atteint cette année un record qui n’a jamais été enregistré, soit 25 films dans différentes sections des Journées cinématographiques de Carthage.

Du nouveau dans cette édition des Journées cinématographiques de Carthage avec la création de deux sections parallèles : une compétition nationale   et la section «Panorama 34 ».

Pour la compétition nationale du film tunisien, le lauréat de cette compétition se voit décerner une médaille d’or et un prix  important, en plus de plusieurs récompenses offertes par les partenaires officiels du festival.

Quant à «Panorama 34», elle propose au public des Journées cinématographiques de Carthage la possibilité de découvrir 7 films tunisiens qui devaient être projetés l’année dernière lors de la 34e édition des JCC, sauf que l’annulation de l’édition 2023 quelques jours avant son ouverture, en signe de solidarité avec le peuple palestinien, a imposé la création de cette section, faisant en sorte que le nombre total des films aux JCC 2024 atteint 32 films. 

Parmi les moments phares de cette édition, une séance spéciale consacrée à une pionnière du cinéma tunisien, une projection spéciale de la première expérience cinématographique de Dorra Zarrouk en tant que réalisatrice et productrice. Le film s’intitule “Where are we?”, un film documentaire  placé dans le cadre de l’hommage à la Palestine.

Revenons aux films tunisiens sélectionnés dans la compétition officielle des films de fiction longs-métrages : «Là d’où l’on vient (La source)» de Meryam Joobeur, «Aïcha» de Mehdi Barsaoui, «Les enfants rouges» de Lotfi Achour, «Borj El Roumi» de Moncef Dhouib.

Dans la compétition officielle de courts-métrages de fiction: «Makun» de Farès Nanan, «Bord à bord» de Sahar El Echi, «In Three Layers Of Darkness» de Houcem Slouli, «Leni Africo» de Marwen Labib.

Quant à la compétition officielle des films documentaires courts métrages,  elle compte : «Les derniers jours avec Eliane» de Mehdi Hajri et «Au Bout Des Doigts» de Aida Chamekh. Et pour les longs métrages documentaires, nous citons la présence de «Sh’hili» de Habib Ayeb, «La mémoire et les rêves» de Mohamed Ismail Louati et «Matula» de Abdallah Yahia. 

Dans la section «Ciné-promesse» réservée aux premières œuvres, la Tunisie propose  «Les Buveurs des larmes» de Hazar Abbassi, «1321» de Bilel Zaghdoudi,  «Ici et là» de Youssef Guermazi, «Une malédiction» de Bothayna Aloulou. Dans la compétition nationale  des longs métrages documentaires, «Looking for my mother» de Anis Lassoued, «La Fille du 08 janvier» de Marouen Meddeb, «La couleur du phosphate» de Ridha Tlili, «Maudite Aphrodite» de Karim Souaki. Et pour les longs métrages de fiction, «Agora» de Ala Eddine Slim, «Le Pont» de Walid Mattar, «The Dying of The Light» de Kays Mejri et «La zone» de Lassaâd Dkhili.

Côté compétition nationale,  des courts métrages de fiction, «Le Nuage Amoureux» de Nacer Khemir, «Fiction» de Hamza Ouni,  «Loading» de Anis Lassoued, «Où est Diana» de Samy Chaffai,  «Au-delà de la réalité» de Béchir Zayene,  «Le sentier de Aïcha» de Selma Hobbi. Dans la section “ Diaspora” non compétitive, nous trouvons «Sudan, remember us» de Hind Meddeb (Documentaire), «Behind the sun» de Dhia Jerbi (documentaire), «Sulla Terra leggera» de Sara Fgaier (fiction).  Enfin, dans  la section  «Panorama 34», figurent les films suivants : «Stone» de Karim Berhouma, «Wed» de Habib Mestiri, «Asfour Jenna» – «Bird of paradise»  de Mourad Ben Cheikh, «Rehlet Wejden» de Khaled Barsaoui et «Silentium» de Nidhal Chatta.

L’article Journées cinématographiques de Carthage 2024 : Les Tunisiens en lice est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Tunisair au cœur d’une zone de turbulence!

06. November 2024 um 11:27

Pour le président de la République Kaïs Saied, les perturbations sur les vols de Tunisair du weekend dernier à l’aéroport Tunis-Carthage, où des passagers ont été bloqués pendant plus de 48 heures, sont dues à « des actions délibérées orchestrées par des groupes d’intérêt ».

Mais que se passe-t-il de si alarmant chez Tunisair pour que son dossier figure au menu du Conseil de sécurité nationale? Et de si fâcheux pour que l’enfer qu’auront vécu des passagers dans les aéroports tunisiens soit étalé dans la presse étrangère? Une crise majeure qui aura nui à la réputation de la compagnie aérienne nationale de la Tunisie qui fêtera le 21 octobre son 76ème anniversaire; et par ricochet écorné l’image de notre pays.

Sachant que la compagnie aérienne s’est fendue, lundi 4 octobre, d’un communiqué dans lequel elle présente « ses excuses pour les désagréments subis par les passagers et ses partenaires » Et ce, suite aux « perturbations de ses vols des 1, 2, 3 et 4 novembre 2024, causées par des problèmes techniques soudains affectant plusieurs de ses avions ».

Prise d’otages

« C’est une prise d’otages », titrait lundi 4 octobre le quotidien niçois Nice-Matin qui décrit en détail le calvaire de dizaines de Français et de Franco-Tunisiens coincés plusieurs jours à l’aéroport de Tunis-Carthage. Et ce, après que la compagnie aérienne Tunisair a annulé des vols retour, sans prendre la peine d’en avertir ses clients.

« J’ai vu des gens en venir presque aux mains. Les gens hurlent, certains sont très énervés », témoigne Léa Serrano, une passagère, à Nice-Matin; alors qu’elle est partie en famille en Tunisie pendant la deuxième semaine de la trêve automnale. Avec plusieurs Niçois et de nombreux autres Français et Franco-Tunisiens, elle a eu la désagréable surprise d’être coincée plusieurs jours à l’aéroport de Tunis-Carthage à cause de dysfonctionnements de la compagnie aérienne publique tunisienne Tunisair.

Et de narrer ses déboires : « Après un vol Djerba-Tunis qui s’est bien passé, nous étions censés embarquer le dimanche 3 novembre à 13h20 à bord du Tunis-Nice. On n’a jamais reçu de mail ou de SMS. Et, une fois à l’aéroport, les panneaux d’affichage indiquaient que notre vol avait été repoussé au lendemain à 7h. »

Rien de grave à ce stade, il fallait juste passer la nuit dans un hôtel payé par la compagnie aérienne. Problème : « Le taxi pour s’y rendre était à notre charge. Et cet hôtel était dégoûtant : des cafards, des poils et des cheveux dans les draps ».

« J’ai vu des gens en venir presque aux mains, abonde Léa. Les gens hurlent, pour nous ça ne fait que 36 heures d’attente; mais certains sont très énervés ». La petite famille de quatre doit également payer tous ses repas sur place.

« Nous sommes le dernier vol de la journée et nous ne savons pas s’il décollera vraiment. De toute façon, il y a trop de monde en train d’attendre ici autour de moi pour que l’on rentre tous ce soir à Nice. Une personne à l’ambassade a carrément employé l’expression « prise d’otages de la compagnie » pour qualifier ce qui nous arrivait », poursuit-elle.

« Ils ne sont pas près d’oublier leurs vacances de la Toussaint à Djerba », conclut le quotidien français.

« Un acte criminel »

« C’est un acte criminel dont sont responsables non seulement ceux qui l’ont exécuté mais aussi ceux qui l’ont planifié ». Ainsi a réagi le président de la République Kaïs Saied aux récents incidents ayant paralysé les opérations de Tunisair le weekend dernier; quand des centaines de passagers se sont retrouvés bloqués dans les aéroports de Tunis et de Lyon.

Ainsi, les perturbations du weekend dernier sont-elles motivées par des « problèmes techniques soudains » comme l’affirme la compagnie nationale?

Non répond le chef de l’Etat qui présidait lundi 4 novembre 2024 la réunion du Conseil de sécurité nationale consacrée notamment à la lutte contre la corruption, l’envolée des prix, les moyens de lutte contre la spéculation; ainsi qu’à la situation des migrants irréguliers dans la région de Sfax. Ces perturbations sont dues à « des actions délibérées orchestrées par des groupes d’intérêt », a-t-il martelé.

Et de fustiger « les manœuvres des réseaux tentaculaires de lobbies qui ont réussi à noyauter les rouages de l’Etat avec leurs ramifications dans de nombreuses administrations et entreprises publiques ». Tout en appelant à les démanteler et à traduire les responsables en justice.

En effet, pour le locataire du palais de Carthage, la crise de Tunisair est une parfaite illustration de « la mainmise » de certains groupes d’intérêt sur les entreprises publiques tunisiennes. Une « guerre sacrée » de la lutte contre la corruption qu’il s’est engagée à mener « avec la plus grande fermeté ».

Le passé éclaire le présent

Notons enfin que le transporteur national croule sous le poids des dettes et fait face à des suspicions de corruption qui ne datent pas d’aujourd’hui.

Ainsi, lors de la visite non annoncée à l’aéroport de Tunis-Carthage que le président de la République avait effectuée au mois d’avril 2024, plusieurs dossiers relatifs à la cession d’engins à des prix dérisoires, au trafic de pièces de rechange, au cas de l’avion Amilcar, « parti de Tunisie en 2017, et qui n’est toujours pas revenu », ainsi qu’aux recrutements de manière illégale par le biais de faux diplômes abusifs, ont été pointés.

S’en est suivi l’arrestation et le placement en détention du PDG de la Tunisair, Khaled Chelly durant la nuit du 30 au 31 juillet 2024 Et ce, dans le cadre d’une enquête ayant visé le secrétaire général du syndicat de base de la compagnie aérienne, Najmeddine Mzoughi. Ce dernier a été interpellé par les forces de l’ordre alors qu’il se préparait à fuir vers la Libye.

L’article Tunisair au cœur d’une zone de turbulence! est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Le Marathon Comar de Tunis-Carthage : au cœur du sport et de l’environnement

06. November 2024 um 09:35

La 37e édition du très attendu Marathon Comar de Tunis-Carthage se tiendra le dimanche 1er décembre 2024. Cet événement est plus qu’une simple course, c’est désormais un rendez-vous incontournable pour les passionnés de sport, mais aussi pour les citoyens engagés dans la protection de l’environnement et le développement durable.

Le Marathon Comar de Tunis-Carthage est aujourd’hui le plus grand évènement sportif outdoor, réunissant chaque année des milliers de coureurs, amateurs comme professionnels. Depuis ses débuts, cet événement populaire en Tunisie s’est forgé une réputation d’excellence sur le plan sportif et de l’engagement citoyen et environnemental.

Cette année encore, il s’inscrit dans une démarche de responsabilité citoyenne, en mettant l’accent sur deux axes majeurs : le sport pour tous et la préservation de l’environnement.

À travers ces engagements, les organisateurs entendent promouvoir des valeurs fortes de respect, de partage et de sensibilisation aux enjeux écologiques.

Engagement citoyen pour le sport

Le Marathon de Tunis-Carthage est bien plus qu’une course; c’est un véritable mouvement citoyen. Il incarne la volonté de promouvoir la pratique sportive accessible à tous, quel que soit l’âge, le sexe ou le niveau de condition physique.

Des épreuves adaptées sont ainsi prévues, allant du marathon classique aux parcours plus courts pour les débutants et les familles, afin d’encourager une large participation. Le but est d’inciter les Tunisiens à adopter un mode de vie sain et actif, tout en favorisant l’inclusion sociale.

Reconnaissance internationale

Le Marathon de Tunis-Carthage est considéré depuis plusieurs années comme le championnat de Tunisie du Marathon et développe un engouement de plus en plus fort pour cette discipline.

Outre cette reconnaissance nationale, l’événement a atteint une telle excellence qu’il a réussi à obtenir le label de la Fédération internationale d’athlétisme (World Athletics) depuis 2019 et est aujourd’hui planifié dans le calendrier international de l’AIMS.

Courir pour l’environnement

Outre la promotion du sport, le Marathon Comar de Tunis-Carthage se distingue par son engagement environnemental et se donne pour mission aussi de réduire son empreinte carbone, dont les organisateurs dont un point d’honneur.

Cette année, ces derniers ont également prévu des actions de reforestation en collaboration avec l’association Tounes CleanUp. Pour chaque dinar collecté à travers les inscriptions au Marathon Comar, un arbre sera planté dans des zones déforestées de Tunisie.

Ce geste symbolique souligne l’engagement du marathon à contribuer à la lutte contre le changement climatique et à la protection de la biodiversité locale.

Un impact durable

Au fil des années, le Marathon Comar de Tunis-Carthage est devenu un acteur clé dans la promotion du développement durable en Tunisie. Il ne s’agit pas seulement de courir, mais de courir pour une cause, avec une vision à long terme qui s’ancre dans les principes de responsabilité sociale et environnementale.

En combinant sport, solidarité et respect de l’environnement, cette 37e édition promet d’être un véritable succès, tant sur le plan sportif que citoyen. C’est une invitation pour chacun à s’engager, à son niveau, pour un avenir plus sain et plus vert, tout en prenant part à un événement sportif, festif et mobilisateur.

Le Marathon Comar de Tunis-Carthage 2024 se prépare à offrir une expérience inoubliable, où chaque foulée comptera pour l’avenir de la planète.

Les préinscriptions sont déjà ouvertes sur le site web marathon.

Pour retirer vos dossards :

• Bureau d’inscription au siège de la Comar, Avenue Habib Bourguiba Tunis du 18 au 29 novembre 2024 (jours ouvrables) de 8h00 à 18h00 et le samedi de 8h00 à 12h00 (les bureaux sont fermés le dimanche et les jours fériés).

• Bureaux d’inscriptions des magasins Décathlon : La Marsa, Tunis City, Azur City, Mall Of Sousse et Mall Of Sfax à partir du 25 novembre 2024.

Dernier délai pour les inscriptions et la remise des dossards : le 29 novembre 2024.

L’article Le Marathon Comar de Tunis-Carthage : au cœur du sport et de l’environnement est apparu en premier sur Kapitalis.

Tunisie – 35e édition des JCC : Ennafoura de Salma Baccar en Séance Spéciale

06. November 2024 um 08:10

 

En Hommage à Salma Baccar, pionnière du cinéma tunisien, « Ennafoura » (La Maison Dorée), son dernier long métrage, sera présenté en séance spéciale lors de la 35 édition des Journées Cinématographiques de Carthage qui se tiendra du 14 au 21 décembre 2024. Ce film de fiction, coécrit avec Emna Rmili, sera projeté en avant-première mondiale.

La fable se focalise sur le sit-in « Errahil » (Dégagez), qui s’est tenu en été 2013 après l’assassinat du martyr Mohamed Brahmi, et où la grande histoire se mêle à la petite histoire à travers le vécu de trois femmes, entre enthousiasme et douleur, rêve et désillusion. Le film déroule des documents visuels, des éléments pivots, entre images et scènes du sit-in dont certaines sont inédites.

Les principaux rôles sont campés par Rym Riahi, Amira Dérouiche, Khaled Houissa et Ali Bennour. Salma Baccar, particulièrement connue en tant que cinéaste de la cause des femmes, a réalisé plusieurs courts et longs métrages, entre fiction et documentaire, dont « Fatma 75 », « La danse du Feu », « Fleur d’Oubli » et « El Jeida ».

L’article Tunisie – 35e édition des JCC : Ennafoura de Salma Baccar en Séance Spéciale est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

JCC2024 : 32 films tunisiens en compétition, un record!

05. November 2024 um 16:54

Le comité de sélection au festival des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC) 2024 a dévoilé la liste des films tunisiens dans la sélection officielle.

La liste des films tunisiens sélectionnés a été publiée, lundi soir, sur la page facebook du festival. La sélection complète des films, issus de monde arabe d’Afrique ainsi que du reste du monde, au programme de cette année, sera publiée ultérieurement.

Les JCC auront lieu dans leur 35ème édition du 14 au 21 décembre 2024 à la cité de la culture avec des projections dans différentes salles de la Capitale.

Pour cette édition 2024, deux nouvelles sections ont été créées dont une section compétitive nationale pour longs et courts métrages de Fiction et Documentaires.

Le lauréat de cette compétition nationale se verra attribuer un trophée spécial et un prix financier de 15 000 dinars décerné par les JCC en plus d’autres prix de la part des partenaires du festival.

Le cinéma tunisien a enregistré un nombre record de films jamais enregistré auparavant avec 25 œuvres dans les différentes sections compétitives.

La sélection officielle est composée d’une compétition arabe et africaine et une nouvelle compétition nationale baptisée “Horizons du cinéma tunisien”. La section compétitive Ciné-promesses est dédiée aux films d’écoles du cinéma arabes et africaines.

Panorama 35 est une section spéciale non compétitive pour les films qui n’ont pas été projetés en salles aupavant. Cette section propose une sélection de films arabes et africains. Elle comprend 7 films tunisiens de la sélection officielle de l’édition 2023 qui a été annulée en solidarité avec la Palestine.

Avec cette section, le nombre des films tunisiens au line-up de cette édition s’élève à 32 œuvres.

Films tunisiens dans la sélection officielle :

● Compétition arabo-africaine

□Longs métrages de Fiction:

“Là d’où l’on vient (La source)” de Meryam Joobeur
“AICHA” de Mehdi Barsaoui
“Les enfants rouges” de Lotfi Achour
“Borj El Roumi” de Moncef Dhouib

□Longs métrages Documentaires:

“Sh’hili” de Habib Ayeb
“La mémoire et les rêves” de Mohamed Ismail Louati
“Matula” d’Abdallah Yahia

□Courts métrages de Fiction :

“MAKUN” de Farès Nanan
“Bord à bord” de Sahar El Echi
“In Three Layers Of Darkness” de Houcem Slouli
“Leni Africo” de Marwen Labib

● Compétition nationale
□ Longs métrages de Fiction:

“Agora” d’Ala Eddine Slim
“Le Pont” de Walid Mattar
“The Dying of The Light” de Kays Mejri
“La zone” de Lassad Dkhil

□Longs métrages Documentaires:

“Looking for my mother” d’Anis Lassoued
“La Fille du 08 janvier” de Marouen Meddeb
“La couleur du phosphate” de Ridha Tlili
“Maudite Aphrodite” de Karim Souaki

□ Courts métrages de fiction

“Le Nuage Amoureux” de Nacer Khemir
“Fiction” de Hamza Ouni
“LOADING” d’Anis Lassoued
“Où est Diana” de Samy Chaffai
“Au delà de la réalité” de Béchir Zayene
” Le sentier de Aïcha” de Selma Hobbi

● Compétition “Ciné-promesse”

“Les Buveurs Des Larmes” de Hazar Abbassi
“1321” de Bilel Zaghdoudi
“ici et là” de Youssef Guermazi
“Une malédiction” de Bothayna Aloulou

●Sélection officielle Hors-Compétition

□ “Panorama 35”

“Stone” de Karim Berhouma
“Wed” de Habib Mestiri
“Asfour Jenna” (Bird of paradise) de Mourad Ben Cheikh
“Rehlet Wejden” de Khaled Barsaoui
“Silentium” de Nidhal Chatta

□Section “Diaspora”

Documentaires:
“Sudan, remember us” de Hind Meddeb
“Behind the sun” de Dhia Jerbi

Fiction :
“Sulla Terra leggera” de Sara Fgaier

 

Il est regrettable que la Tunisie compte sur l’étranger pour se développer

31. Oktober 2024 um 12:37

L’accord de partenariat entre Transavia France et l’Office national du tourisme tunisien (ONTT) visant à attirer 2 millions de touristes français en Tunisie à l’horizon 2030 est une excellente initiative. Sauf qu’il est regrettable que nous comptions exclusivement sur des compagnies aériennes étrangères pour développer notre tourisme et notre économie.

Hakim Tounsi *

Lors de l’élaboration de projets nationaux futurs, je pense qu’il est crucial de réfléchir et de veiller à garantir l’indépendance économique pour assurer le développement durable et l’autonomie du pays. Il est également nécessaire d’impliquer la compagnie nationale Tunisair dans tous les programmes de développement stratégique dans toutes les régions de la République.

L’eau, l’énergie, le transport, l’alimentation et les médicaments sont des domaines stratégiques sensibles qui doivent rester sous contrôle national. Cela ne signifie pas qu’il faille rejeter les partenariats avec des parties extérieures dans ces secteurs. Mais pour construire une économie durable sous contrôle national, il devrait y avoir dans chaque région des compagnies aériennes tunisiennes associées à des entreprises étrangères.

À mon avis, il ne faut pas céder sur ce principe pour préserver l’indépendance de l’économie et du pays.

Dans ce contexte, je considère que l’accord de partenariat signé e, juin dernier avec la compagnie Transavia, compagnie aérienne «low cost» du groupe Air France-KLM, pour développer le tourisme dans les régions tunisiennes est important et bénéfique, mais je pense qu’il est essentiel que la structure de base des stratégies de développement soit composée d’entreprises nationales soumises à la souveraineté tunisienne. Il est préférable que le partenariat avec des entités étrangères soit un complément à un projet national et non sa structure principale. La structure de base pour élaborer des stratégies et des projets tunisiens doit rester majoritairement tunisienne.

C’est pourquoi il est urgent de trouver des solutions pour donner les moyens nécessaires à la compagnie nationale de retrouver ses capacités et sa flotte, tout en veillant à moderniser ses méthodes de travail, afin d’élever notre compagnie nationale de transport aérien aux normes mondiales dans les meilleurs délais. Il est tout de même frustrant, révoltant et regrettable que nous devions compter exclusivement sur des compagnies aériennes étrangères pour développer notre tourisme et notre économie, alors que plus de quinze de nos avions sont laissés à l’abandon, complètement inutilisés, devant le magasin des ateliers de maintenance de l’aéroport de Tunis-Carthage pour manque de pièces de rechange en raison de la négligence et de la mauvaise gestion tout au long de la «décennie noire» (2011-2021).

* Voyagiste tunisien basé en France.

L’article Il est regrettable que la Tunisie compte sur l’étranger pour se développer est apparu en premier sur Kapitalis.

Tourisme : lancement de l’initiative «Tunis, mosaïque vivante»

23. Oktober 2024 um 11:28

Une initiative baptisée «Tunis, Semaine de la Mosaïque Vivante» qui vise à attirer les visiteurs locaux et internationaux, tout en renforçant l’image de Tunis-Carthage en tant que destination de classe mondiale, sera lancée du 27 octobre au 3 novembre 2024.

L’événement a été initié par la Destination Management Organisation (DMO) Tunis-Carthage, une organisation indépendante regroupant différents acteurs publics et privés du secteur touristique, engagés à fédérer et créer de la valeur pour l’écosystème de la région.

Le nom de cette initiative fait clairement référence au glorieux héritage de Tunis-Carthage, a indiqué le DMO de Tunis-Carthage dans un communiqué.

Œuvre artistique complexe, la mosaïque combine avec goût des fragments de pierre, de céramique et de verre coloré, symbolisant la diversité culturelle et les multiples influences des civilisations qui ont façonné la ville.

Cette dynamique, profondément ancrée dans l’ADN de Tunis, en fait, plus que jamais, une ville vibrante, vivante et cosmopolite, pleine d’énergie, précise le communiqué.

Le programme comprend divers événements et activités qui se dérouleront dans plusieurs lieux emblématiques de la capitale, visant à mettre en valeur la destination Tunis-Carthage à travers ses dimensions historique, culturelle, sportive et festive.

Le programme comprend également l’inauguration d’un nouvel itinéraire cyclable et pédestre à Carthage, l’organisation d’ateliers, d’expositions d’art, de visites guidées et de spectacles musicaux, ainsi que l’organisation d’une foire artisanale qui se tiendra au parc Essaâda à La Marsa.

Ce projet vise à faire de Tunis-Carthage une destination incontournable de la Méditerranée, rivalisant ainsi avec les autres destinations urbaines et commerciales de la région.

L’OGD Tunis-Carthage est soutenue par le projet «Promotion du tourisme durable en Tunisie», mis en œuvre par le ministère du Tourisme avec le soutien de la GIZ, l’Agence allemande de coopération pour le développement, et cofinancé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et l’Union européenne, dans le cadre de son programme Tounes Wijhetouna.

I. B.

L’article Tourisme : lancement de l’initiative «Tunis, mosaïque vivante» est apparu en premier sur Kapitalis.

Golden Carthage Tunis : l’hôtel récompense l’engagement de ses équipes

Après un exercice 2023 exceptionnel en termes de résultats et de prestations, la direction de l’hôtel Golden Carthage Tunis exprime sa reconnaissance pour la performance de ses équipes.

Sous la houlette de son directeur général, Lotfi Mechergui et du PDG de la société propriétaire de tout le complexe du Golden Carthage Tunis à Gammarth, Tariq Jalal, une grande cérémonie s’est déroulée afin de récompenser les équipes de l’hôtel.

Lotfi Mechergui n’a pas manqué de louer publiquement les réalisations de ses équipes qu’il avait réunies avec leurs familles le 29 mai courant pour une après-midi conviviale organisée pour renforcer l’esprit d’équipe et célébrer les réalisations de l’établissement.

Pour la circonstance, tout le monde a bénéficié d’un congé exceptionnel, le service lors de l’événement ayant été assuré par un prestataire extérieur. De la musique pour animer le tout avec le Troupe El Hani, et un amuseur public en la personne de Jaafar Guesmi sur scène pour créer une ambiance décontractée.

Au-delà de l’événement en lui-même, il s’agissait, à travers cette opération, de stimuler les équipes en place, mais également de rendre hommage à certains membres du personnel pour leur fidélité car exerçant pour plusieurs d’entre-eux au sein du même établissement depuis son ouverture il y a 24 ans et ayant gravi tous les échelons depuis lors.

Une manière de signifier à tous que le Golden Carthage Tunis offre des plans de carrière et de la stabilité à ses employés auxquels il a été annoncé à l’occasion l’octroi d’une prime en nature exceptionnelle qu’ils percevront au cours du mois de juin et qui s’ajoute aux dizaines de cadeaux de valeur qui leur ont été offerts par le management de l’hôtel.

L’article Golden Carthage Tunis : l’hôtel récompense l’engagement de ses équipes est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

Création du DMO Tunis-Carthage: le coup de pouce touristique dont la capitale a tant besoin

Ce nouveau DMO regroupe les différents acteurs du tourisme de la zone concernée dans une démarche d’amélioration et de promotion de l’offre touristique selon un modèle de gouvernance entre le public et le privé.

C’est un nouveau maillon au développement touristique de la capitale et de ses environs. Après deux années de préparatifs laborieux, le DMO Tunis-Carthage est finalement opérationnel. Pour son lancement officiel, tout le gratin du tourisme y a pris part lors d’une cérémonie ouverte par le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Moez Belhassine, qui s’est déroulée hier soir au Palais Ennejma Ezzahra à Sidi Bou Saïd.

belhassine-moez-ministre-tourisme

Le DMO (acronyme de Destination Management Organisation) est en réalité un organisme autonome s’intégrant dans le cadre du projet de « Promotion de tourisme durable » de la GIZ (coopération allemande) et financé par la BMZ et l’UE dans le cadre de son programme Tounes Wijhetouna de soutien à la destination.

Sa mission sera de fédérer les acteurs du tourisme en favorisant les synergies; car il ne s’agit pas d’agir en solitaire mais en parfaite symbiose avec les structures déjà existantes: ONTT et AMVPPC (pour le public) mais aussi FTH, FTAV, Fi2T, FTRT, FTGAT et toutes les autres fédérations syndicales professionnelles privées du tourisme.

Une stratégie clairement définie

Concrètement, le DMO Tunis-Carthage a pour mission de promouvoir la région à des fins touristiques. Il établira dans cet objectif des stratégies de marketing et de communication, mettra en place un réseautage professionnel et coordonnera les actions destinées à améliorer l’offre à travers des projets d’intérêt pour la zone.

Ses membres et adhérents doivent forcément exercer dans le secteur de près ou de loin: on y retrouve à cet effet des hôteliers (y compris maisons d’hôtes), des agents de voyages, des restaurateurs, des artisans ainsi que des prestataires et intervenants dans divers domaines tels que le culturel, l’animation, l’événementiel, la formation professionnelle liée au tourisme et autres.

Cette large représentativité va permettre de déployer une task force comprenant différentes spécialités qui, finalement, se complètent et vont probablement apporter la symbiose qui manquait pour faire de Tunis une destination touristique phare, d’autant que la région ne manque pas d’atouts, qu’ils soient en termes de capacités d’hébergement pour tous types de clientèle (loisirs, balnéaire, MICE…) ou en termes de potentiel de patrimoine culturel, ne serait-ce qu’à travers ses deux sites classés au Patrimoine mondial de l’Unesco, la Médina et le site antique de Carthage.

Le DMO Tunis-Carthage sera présidé par Skander Mestiri, hôtelier de son état (propriétaire et directeur de Dar El Marsa) et qui semble bien déterminé à faire bouger les lignes pour faire réussir ce projet qui a déjà fait ses preuves ailleurs, notamment à Djerba et à Dahar, et plus récemment à Mahdia et en attendant l’entrée en opération de celui de Zaghouan.

©Destination Tunisie

L’article Création du DMO Tunis-Carthage: le coup de pouce touristique dont la capitale a tant besoin est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

❌
❌