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Gestern — 15. Dezember 2025Webmanagercenter

Journées cinématographiques de Carthage – JCC 1966-2024 : un festival entre culture, pouvoir et résistance

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 19:17

Tahar Cheriaa - JCCCréées en 1966, les Journées cinématographiques de Carthage (JCC) constituent la plus ancienne manifestation cinématographique du continent africain. Dès leur origine, elles se sont distinguées par une vocation politique affirmée : promouvoir les cinémas africains et arabes dans une perspective de décolonisation culturelle. Plus qu’un festival, les JCC ont été conçues comme un outil de souveraineté symbolique face à la domination des circuits occidentaux de production et de diffusion.

Une genèse militante et panafricaine

La naissance des JCC s’inscrit dans un contexte de déséquilibre structurel. Dix ans après l’indépendance tunisienne, l’absence d’une industrie cinématographique nationale structurée contrastait avec une forte tradition ciné-clubiste. À l’échelle continentale, la distribution restait dominée par des sociétés européennes et américaines. Les JCC émergent alors comme une réponse directe à cette hégémonie, dans ce qui fut qualifié de « guerre de libération cinématographique ».

Tahar Cheriaa, fondateur du festival, incarne cette orientation. À la tête de la Fédération tunisienne des ciné-clubs et responsable institutionnel du cinéma, il défend une stratégie claire : créer une compétition réservée aux cinémas africains et arabes afin d’inverser les rapports de force symboliques. Sa conviction, résumée par la formule « Qui tient la distribution, tient le cinéma », structure durablement l’identité des JCC.

Institutionnalisation et tensions

Jusqu’aux années 1970, les JCC fonctionnent sur un mode biennal et militant. Le tournant de 1978 marque une rupture. L’introduction d’un marché du film et l’ouverture accrue à des figures reconnues du cinéma arabe traduisent une volonté de professionnalisation. Cette évolution suscite des tensions avec les réseaux cinéphiles, attachés à l’idéal anti-commercial des débuts. Le festival entre alors dans une phase de compromis entre mission idéologique et contraintes institutionnelles.

Sous contrôle politique, une marge d’expression

Durant la période du régime de Zine El Abidine Ben Ali, les JCC conservent une visibilité internationale tout en évoluant dans un cadre politique contraint. Le palmarès devient un espace de négociation symbolique. Des films comme Making of, Teza ou Microphone abordent des questions sociales et politiques régionales, sans remettre directement en cause le pouvoir en place. Le festival sert à la fois de vitrine officielle et de plateforme critique limitée.

Après 2011, une nouvelle configuration

La révolution tunisienne ouvre une phase de transformation. Depuis 2015, les JCC sont devenues annuelles, avec une structure permanente et une ambition internationale renforcée. La création du Prix Tahar Cheriaa, dédié aux premières œuvres, vise à institutionnaliser l’héritage du fondateur. Toutefois, un paradoxe persiste : si les JCC offrent une visibilité essentielle aux films du Sud, la faiblesse des réseaux de distribution régionaux limite leur diffusion hors des festivals.

Le Tanit d’or, reflet des enjeux contemporains

L’édition 2024 illustre cette continuité. Le Tanit d’or attribué à Les enfants Rouges de Lotfi Achour consacre une œuvre inspirée de traumatismes nationaux récents. La dédicace du prix à la Palestine rappelle que, près de soixante ans après leur création, les JCC demeurent un espace où cinéma et géopolitique restent étroitement liés.

EN BREF

  • Festival fondé en 1966 dans une logique de décolonisation culturelle.
  • Projet porté par Tahar Cheriaa et le mouvement ciné-clubiste.
  • Tournant institutionnel en 1978 avec la création d’un marché du film.
  • Négociation constante avec le pouvoir sous le régime Ben Ali.
  • Passage à l’annualité après 2015.
  • Enjeu central toujours non résolu : la distribution des films africains et arabes.

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Coupe Arabe FIFA 2025 : le Maroc domine les Émirats (3-0) et file en finale

Von: walid
15. Dezember 2025 um 18:54

La sélection marocaine de football s’est qualifiée pour la finale de la Coupe Arabe FIFA Qatar-2025 après sa large victoire face aux Émirats arabes unis (3-0), lundi, en demi-finale disputée au stade international Khalifa à Al-Rayyan.

Les Lions de l’Atlas ont rapidement pris le contrôle de la rencontre grâce à l’ouverture du score signée Karim El Berkaoui à la 28e minute. Solides défensivement et maîtrisant le rythme du jeu, les Marocains ont accentué leur avance en fin de match par Aschraf El Mahdioui (83e), avant que Abderrazak Hamdallah ne scelle définitivement le sort de la rencontre dans le temps additionnel (90e+2).

En finale, programmée le 18 décembre au stade de Lusail, le Maroc, dirigé par Tarik Sektioui, affrontera le vainqueur de l’autre demi-finale opposant l’Arabie Saoudite de Hervé Renard à la Jordanie de Jamal Sellami.

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Budget de l’État 2026 : déficit, trésorerie et besoins de financement expliqués

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 18:26

Chaque année, la présentation du budget de l’État suscite une incompréhension persistante. Une question revient systématiquement : pourquoi les montants d’emprunts mobilisés sont-ils bien supérieurs au déficit budgétaire annoncé ? Le budget de l’État pour 2026 illustre clairement ce décalage. Alors que le déficit budgétaire est estimé à 11 milliards de dinars, les ressources de financement atteignent près de 27 milliards de dinars. Cette différence s’explique par une distinction fondamentale entre logique budgétaire et logique de trésorerie.

Deux approches comptables distinctes

Le budget de l’État repose sur une approche économique et comptable. Il retrace l’ensemble des recettes, qu’elles soient fiscales, non fiscales ou issues de dons, ainsi que les dépenses liées au fonctionnement de l’administration, aux salaires, aux subventions, aux investissements publics et aux intérêts de la dette. Le solde de ces opérations détermine le déficit ou l’excédent budgétaire.

La trésorerie obéit à une logique différente. Elle mesure exclusivement les flux financiers réels, c’est-à-dire les entrées et sorties effectives de liquidités, sans considération pour leur qualification économique.

Le remboursement du principal, source de confusion

La principale incompréhension porte sur le traitement du remboursement du principal de la dette. Contrairement aux intérêts, considérés comme une charge annuelle, le remboursement du capital ne constitue pas une dépense budgétaire. Il ne finance aucune action publique et correspond à la restitution d’un emprunt contracté antérieurement. D’un point de vue budgétaire, il s’agit donc d’une opération financière, inscrite hors dépenses.

Cette exclusion n’implique toutefois aucune neutralité financière.

Un impact direct sur les liquidités

Sur le plan de la trésorerie, le remboursement du principal représente une sortie de cash immédiate. En 2026, le remboursement de la dette intérieure dépasse 7,9 milliards de dinars, tandis que celui de la dette extérieure avoisine également 7,9 milliards de dinars. Ces montants s’ajoutent au déficit budgétaire et doivent être intégralement financés.

Du déficit budgétaire au besoin de trésorerie

La différence entre les deux notions est alors claire. Le déficit budgétaire résulte de l’écart entre dépenses et recettes budgétaires. Le besoin de trésorerie correspond au déficit budgétaire auquel s’ajoutent les remboursements du principal de la dette. Pour 2026, ce mécanisme conduit à un déficit d’environ 11 milliards de dinars, mais à un besoin de trésorerie global de 27 milliards de dinars, couvert par des emprunts intérieurs, extérieurs et des ressources de trésorerie.

Une logique comparable à celle d’un ménage

À l’image d’un ménage, les dépenses courantes et les intérêts d’un crédit pèsent sur le budget. Le remboursement du capital n’est pas une dépense, mais il réduit néanmoins le solde bancaire. L’État fonctionne selon une logique identique.

CHIFFRES CLÉS

  • 11 milliards de dinars — Déficit budgétaire estimé en 2026
  • 27 milliards de dinars — Besoin total de trésorerie
  • 7,9 milliards de dinars — Remboursement de la dette intérieure
  • 7,9 milliards de dinars — Remboursement de la dette extérieure

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Loi de Finances 2026 | Comprendre le Budget : Recettes, dépenses et financement du déficit

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 18:07

La loi n°17 de l’année 2025, datée du 12 décembre 2025, fixe les équilibres du budget de l’État pour l’exercice 2026. Le texte a été adopté par l’Assemblée des représentants du peuple et le Conseil national des régions et des districts. Il a été publié au Journal officiel de la République tunisienne n°148 du 12 décembre 2025.

Un déficit budgétaire de 11,015 milliards de dinars

Pour 2026, les recettes de l’État s’élèvent à 52,56 milliards de dinars. Les dépenses atteignent 63,575 milliards de dinars. L’écart entre ces deux agrégats se traduit par un déficit budgétaire de 11,015 milliards de dinars. Ces données constituent l’équilibre général du budget tel que défini par la loi de finances.

Une structure de recettes dominée par la fiscalité

Les recettes fiscales représentent la principale source de financement du budget. Elles totalisent 47,773 milliards de dinars, soit 90,9 % des recettes de l’État. Les recettes non fiscales atteignent 4,437 milliards de dinars, correspondant à 8,4 % du total. Les dons sont évalués à 350 millions de dinars, soit 0,7 % des recettes globales.

Cette répartition confirme la forte dépendance du budget de l’État aux ressources fiscales, conformément aux dispositions de l’article 2 de la loi de finances.

Des dépenses encadrées par des crédits de paiement et d’engagement

Les dépenses budgétaires sont arrêtées à 63,575 milliards de dinars en crédits de paiement. Les crédits d’engagement atteignent 66,8 milliards de dinars. La loi prévoit une ventilation des dépenses par missions, missions spécifiques et programmes, détaillée dans les tableaux annexés.

Un financement reposant sur les emprunts intérieurs et extérieurs

Le financement du déficit et des besoins de trésorerie repose sur des ressources totales de 27,064 milliards de dinars. Les emprunts extérieurs sont plafonnés à 6,808 milliards de dinars. Les emprunts intérieurs représentent 19,056 milliards de dinars. Les ressources de trésorerie complètent cet ensemble à hauteur de 1,2 milliard de dinars.

Ces ressources sont utilisées pour financer le déficit budgétaire, à hauteur de 11,015 milliards de dinars. Elles servent également au remboursement du principal de la dette intérieure pour 7,932 milliards de dinars et de la dette extérieure pour 7,917 milliards de dinars. Les prêts et avances de trésorerie s’élèvent à 200 millions de dinars.

Comptes spéciaux, effectifs et encadrement financier

Les comptes spéciaux du Trésor sont dotés de 1,924 milliard de dinars. Les comptes de fonds de participation atteignent 53,104 millions de dinars. Les ressources et dépenses des établissements publics rattachés sont évaluées à 1,586 milliard de dinars.

Le nombre total d’agents de la fonction publique autorisés pour 2026 est fixé à 687.000. La loi encadre également les plafonds financiers, notamment les garanties de l’État, les prêts du Trésor aux entreprises publiques et les avances de la Banque centrale de Tunisie, définies sans intérêts et remboursables sur quinze ans, avec trois années de grâce.

EN BREF

  • Le budget de l’État pour 2026 est régi par la loi n°17 de 2025.
  • Les recettes s’élèvent à 52,56 milliards de dinars.
  • Les dépenses atteignent 63,575 milliards de dinars.
  • Le déficit budgétaire est fixé à 11,015 milliards de dinars.
  • Les recettes fiscales représentent plus de 90 % des ressources.
  • Le financement repose principalement sur les emprunts intérieurs.
  • Les effectifs publics autorisés sont de 687 000 agents.

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Renouvellement automatique des titres de séjour en France : Ce que prévoit la loi ?

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 17:39

Carte de séjour FranceL’Assemblée nationale a adopté en première lecture, le 11 décembre 2025, une proposition de loi visant à instaurer un renouvellement automatique des titres de séjour de longue durée. Le texte, déposé le 16 septembre 2025 sous le numéro 1799, entend simplifier les démarches administratives des ressortissants étrangers et réduire la charge pesant sur les préfectures.

Cette proposition de loi part d’un constat partagé par plusieurs parlementaires : les délais de renouvellement des titres de séjour sont souvent longs et sources d’incertitude juridique pour les personnes concernées. Dans certains cas, ces retards peuvent entraîner une perte temporaire de droits, notamment en matière d’emploi ou de protection sociale.

Des titres de séjour de longue durée concernés

Le dispositif concerne deux catégories de titres. Il s’applique, d’une part, aux cartes de séjour pluriannuelles, délivrées pour une durée de deux à quatre ans. Il inclut, d’autre part, les cartes de résident, valables dix ans. Ces titres sont généralement accordés à des étrangers installés durablement sur le territoire français.

Un principe de renouvellement par défaut

Le texte instaure un mécanisme fondé sur une présomption de renouvellement. Concrètement, le renouvellement deviendrait la règle, sauf si l’administration identifie un motif de refus. L’examen individuel ne disparaît pas, mais il serait inversé dans sa logique : l’absence de décision explicite vaudrait maintien du droit au séjour.

La proposition encadre également les conditions de refus. Lorsque l’administration s’appuie sur des informations transmises par des tiers pour refuser un renouvellement, elle serait tenue d’en communiquer la teneur et l’origine à la personne concernée. Cette disposition vise à renforcer les garanties procédurales.

La question des délais administratifs

Des amendements ont été discutés afin d’évaluer les conséquences de la perte du droit au séjour lorsque la demande de renouvellement n’est pas traitée dans un délai de trois mois. Cette question reste un point sensible du débat parlementaire, en lien avec le fonctionnement des services préfectoraux.

Un parcours législatif encore incertain

Si le texte a été adopté en première lecture par l’Assemblée nationale, son adoption définitive n’est pas acquise. Il a été transmis au Sénat, où l’équilibre politique pourrait conduire à des modifications substantielles, voire à un rejet.

Le gouvernement s’est opposé à la proposition lors des débats, évoquant des risques juridiques et constitutionnels. Selon l’exécutif, un renouvellement automatique pourrait entrer en tension avec le principe d’examen individuel des situations administratives.

À ce stade, la réforme du renouvellement des titres de séjour reste donc en discussion. Son issue dépendra des travaux du Sénat et, le cas échéant, d’une éventuelle commission mixte paritaire.

EN BREF

  • Une proposition de loi sur le renouvellement automatique des titres de séjour a été adoptée en première lecture.
  • Le texte vise les cartes de séjour pluriannuelles et les cartes de résident.
  • Le renouvellement deviendrait la règle, sauf motif de refus explicite.
  • L’administration serait tenue de mieux encadrer les décisions de refus.
  • Le gouvernement exprime des réserves juridiques.
  • Le Sénat doit désormais examiner le texte.

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Expertise France célèbre 10 ans en Tunisie et mise sur l’innovation, le climat et l’emploi

Von: walid
15. Dezember 2025 um 16:11

« La Tunisie et la France partagent des défis communs, mais aussi des opportunités uniques pour construire ensemble une Méditerranée plus résiliente, plus inclusive et plus durable », a affirmé le Directeur général d’Expertise France, Jérémie Pellet.

Intervenant, lundi 15 décembre 2025, à Tunis, lors de la célébration de 10 ans d’Expertise France en Tunisie, il a ajouté que l’intelligence artificielle (IA) et les technologies de pointe figurent parmi les opportunités à saisir dans l’avenir.

Pour la Tunisie, la France et l’Europe, l’enjeu est double, a-t-il dit.

Il s’agit de maîtriser ces outils pour renforcer la souveraineté technologique, et en faire un levier de développement économique et social. L’objectif est de faire de la Méditerranée un acteur clé de la révolution numérique, a-t-il souligné.

« Nous allons continuer de travailler avec la Tunisie sur les sujets majeurs tels que l’emploi et la formation professionnelle ainsi que les thématiques de l’intégration économique régional», a affirmé Pellet.

Evoquant le défi des changements climatiques, il a indiqué qu’Expertise France est aux côtés des ministères tunisiens et des acteurs locaux, pour renforcer les capacités d’adaptation des territoires, soutenir la transition vers une économie sobre en carbone et promouvoir les énergies renouvelables pour faire de la Tunisie un modèle méditerranéen de résilience climatique, en combinant innovation technologique et savoir-faire local.

Le DG d’Expertise France a évoqué que la mobilité humaine demeure importante, aussi, pour parler de l’avenir. « Il ne s’agit plus seulement de gérer les flux migratoires, mais de construire des partenariats équilibrés, fondés sur la mobilité régulière, l’insertion professionnelle des Tunisiens de retour dans le pays et la valorisation des compétences de la diaspora » a-t-il expliqué.

Depuis sa création, Expertise France accompagne les pays partenaires en mobilisant son expertise technique et ses solutions innovantes.

En Tunisie, l’agence met en œuvre près de vingt projets nationaux et régionaux sous l’égide du Ministère Tunisien de l’Économie et de la Planification, ainsi, que des ministères porteurs des projets de coopération.

Ces projets, financés principalement par l’Union européenne et l’Agence française de développement (AFD), contribuent à la modernisation des institutions, à la dynamisation de l’économie et à l’inclusion sociale et territoriale.

En 2025, le nombre de projets s’élevé à 26 (dont 4 régionaux). Environ 2 311 entreprises ont été accompagnées dans leur croissance et leur internationalisation et 1 773 jeunes et femmes ont été accompagnés vers l’emploi ou l’entrepreneuriat, selon les données publiées par Expertise France.

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Tunisie : lancement du projet « Watani » pour mobiliser la diaspora au service de l’entrepreneuriat

Von: walid
15. Dezember 2025 um 15:34

Le projet « Watani » destiné à stimuler l’entrepreneuriat, renforcer l’innovation et soutenir l’inclusion économique en Tunisie en s’appuyant sur les dynamiques et les compétences de la diaspora, a été lancé lundi 15 décembre 2025 à Tunis.

Une convention a été, dans ce cadre, signée entre la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), l’Agence Française de Développement (AFD) et  l’agence de coopération technique française « Expertise France »  à l’occasion de la célébration de ses 10 ans en Tunisie.

 Moyennant une enveloppe de 5 millions d’euros, le projet

«Watani » est financé par l’AFD et mis en œuvre par Expertise France. Il s’appuie sur le rôle structurant de la CDC dans le développement économique et inclusif national.

« Ce projet incarne notre volonté commune de faire de l’entrepreneuriat un levier de développement inclusif et durable, en mobilisant, notamment, les compétences et les ressources de la diaspora tunisienne », a avancé le Directeur général d’Expertise France, Jérémie Pellet.

 Et de poursuivre que ce partenariat va permettre aux 500 entrepreneurs, dont une majorité de jeunes et de femmes, de bénéficier d’un accompagnement personnalisé pour créer ou développer leur entreprise.

 Le projet prévoit, également, la régionalisation de The Dot, un centre dédié aux start-up et à la promotion du numérique, ainsi que la création d’une plateforme innovante pour mobiliser l’épargne de la diaspora, a-t-il fait savoir.

 Présidé par la CDC, le comité de pilotage du projet rassemble des acteurs nationaux majeurs pour garantir une mise en œuvre cohérente et alignée avec les priorités du pays.

De son côté, la Directrice générale de la CDC Nejia Gharbi,a affirmé que le projet « Watani », s’inscrit dans le cadre de la mobilisation de l’apport de la diaspora tunisienne en Tunisie que ce soit à travers l’instrument épargne diaspora dédié vers l’investissement ou à travers la mise en place de projets au niveau de la Tunisie pour la diaspora de retour en Tunisie ou la collaboration avec l’écosystème entrepreneurial en Tunisie.

Selon les signataires, le projet « Watani » vise à structurer un environnement propice à la création d’opportunités durables et à l’ancrage territorial de l’innovation entrepreneuriale, et ce, en renforçant les structures d’appui, en facilitant l’accès aux ressources, et en reconnectant les talents.

 Ce projet s’inscrit dans un contexte où la Tunisie a structuré, depuis plus d’une décennie, un tissu entrepreneurial remarquable porté par l’engagement croisé d’acteurs publics, privés et de la société civile.

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Journée mondiale de la langue arabe 2025 : l’UNESCO mise sur l’innovation pour un avenir linguistique inclusif

Von: walid
15. Dezember 2025 um 15:12

L’UNESCO célèbre le 18 décembre la Journée mondiale de la langue arabe, en organisant à son siège parisien un événement consacré aux voies innovantes pour un avenir linguistique inclusif.

Cette rencontre, qui se tiendra de 10h45 à 16h30 (GMT+2) dans la salle IV, se déroulera en français, arabe et anglais.

Placée sous le thème « Voies innovantes pour l’arabe : orientations et pratiques pour un avenir linguistique plus inclusif », l’édition 2025 mettra en avant le rôle de l’innovation et de l’inclusion dans le développement de la langue arabe. Éducation, médias, technologies numériques et politiques publiques seront au cœur des discussions visant à renforcer la présence de l’arabe dans les systèmes éducatifs, les plateformes numériques et l’espace public, en particulier dans les contextes multilingues ou à ressources limitées.

Au fil des siècles, la langue arabe a joué un rôle central dans la création de liens entre les sociétés et la promotion du développement culturel, scientifique et intellectuel. Aujourd’hui, elle est parlée par 450 millions de personnes, coexiste avec de nombreux dialectes et figure parmi les six langues officielles des Nations Unies. Sa calligraphie est inscrite au Patrimoine immatériel de l’UNESCO et son influence se retrouve dans plus de 50 langues à travers l’Asie, l’Afrique et l’Europe. Des générations de scientifiques et de penseurs ont également produit des découvertes majeures en arabe, illustrant son rôle durable dans la transmission du savoir et des valeurs à l’échelle mondiale.

Depuis 2016, l’UNESCO s’engage à renforcer l’usage de l’arabe en son sein, avec le soutien de la Fondation Sultan Bin Abdulaziz Al Saoud, partenaire clé de l’événement. La Fondation contribue à la promotion de la langue arabe, à la transmission du patrimoine linguistique et à l’innovation dans l’éducation, et considère la langue comme un vecteur de cohésion, d’autonomisation des communautés et d’inspiration pour les générations futures.

Selon Gabriela Ramos, Sous-Directrice générale pour les Sciences sociales et humaines de l’UNESCO, « La langue arabe joue un rôle majeur dans la promotion de la compréhension mutuelle et de la création de connaissances. Sa contribution à l’humanité ne peut être réduite à un seul peuple, car elle est un héritage civilisationnel destiné au monde entier ».

Organisée en collaboration avec la Délégation permanente du Royaume d’Arabie saoudite auprès de l’UNESCO, la célébration met également en lumière le Programme Prince Sultan Bin Abdulaziz Al Saoud pour la langue arabe, qui soutient la recherche, la formation et la coopération internationale pour renforcer la place de l’arabe dans les milieux académiques et scientifiques.

L’événement se veut une plateforme internationale de dialogue, d’innovation et de promotion de la diversité linguistique, réaffirmant le rôle de la langue arabe comme patrimoine universel et vecteur de savoir et de culture.

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Le Prix « Bank of the Year » une autre distinction pour la BT en 2025 

Von: walid
15. Dezember 2025 um 15:04

Pour la deuxième année consécutive, la Banque de Tunisie a  été honorée par le magazine « The Banker », publication éminente du  Financial Times, en décrochant le titre prestigieux de « Bank of the  Year – Tunisia ». Cette distinction renouvelée, ne relève plus de la  simple performance annuelle, mais consacre la trajectoire robuste et  la cohérence stratégique d’une institution ancrée dans son temps.  Dans un paysage financier mondial marqué par la turbulence, cette  reconnaissance souligne la résilience d’un modèle qui allie pertinence  et avant-gardisme.

Outre la solidité de ses fondamentaux, la pertinence de son modèle et  sa résilience face à un contexte aussi compliqué qu’incertain, le jury  du prix « Bank of the Year – Tunisia » a apprécié à juste titre la  poursuite méthodique d’une transformation numérique devenue  moteur autonome de croissance de la BT.

Le « LABTINNOV », laboratoire interne dédié à la recherche et au  développement, incarne cette volonté de faire de l’innovation une  culture d’entreprise. Outre la digitalisation des processus, il s’agit de  concevoir également des solutions capables de répondre aux défis  concrets et aux besoins spécifiques des entreprises et des particuliers.

Cette année 2025 a également confirmé le rôle de pilier structurant de  la Banque de Tunisie pour l’économie nationale ainsi que son rôle  central dans le financement du commerce extérieur. Cette influence  s’appuie sur un pilotage optimisé, certifié par les normes  internationales MSI 20000 et AML 30000, gages de transparence, de  sécurité et de gestion proactive des risques financiers.

Le modèle opérationnel a été repensé pour plus d’agilité et de  proximité. Le réseau de la banque a été réorganisé pour optimiser la  relation client et étendre son influence territoriale. Cette refonte  structurelle s’accompagne d’une offre segmentée et ciblée, capable de

répondre précisément à des profils variés tout en maintenant une  ambition inclusive d’accessibilité aux services financiers.

Ce deuxième prix consécutif « Bank of the Year – Tunisia », intervenant  alors que la Banque de Tunisie célèbre 141 ans d’histoire, est bien plus  qu’un honneur. C’est la marque d’une institution centenaire qui se  réinvente sans faillir à ses principes. Il récompense le travail collectif  des équipes dont l’engagement quotidien façonne un savoir-faire à la  fois ancré dans les territoires et ouvert sur le monde. Entre excellence  opérationnelle, innovation technologique et contribution au  développement économique, la Banque de Tunisie démontre, par ses  résultats, qu’une approche responsable et durable est la clé pour créer  de la valeur pérenne pour ses clients, ses parties prenantes et  l’ensemble de l’écosystème tunisien. C’est ainsi qu’elle trace avec  détermination la voie d’une résilience active, prouvant que la  modernité tournée vers le futur peut s’enraciner dans la solidité d’un  héritage assumé.

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Loi de finances 2026 : Salaires, pensions, solidarité et les ajustements sociaux de 2026

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 14:59

Face à la pression persistante sur le pouvoir d’achat, la Loi de finances 2026 introduit une série de mesures sociales ciblées, sans engager de refonte globale du système de protection sociale. Le choix assumé est celui d’ajustements progressifs, destinés à amortir les effets de l’inflation sur les revenus, dans un contexte de marges budgétaires limitées.

Le texte prévoit d’abord une revalorisation des salaires et des pensions sur la période 2026–2028. Les montants précis et les modalités d’application sont renvoyés à des décrets ultérieurs [à vérifier], mais l’orientation est clairement affichée. L’objectif est de préserver le pouvoir d’achat des actifs et des retraités, confrontés à une érosion continue des revenus réels. Plus qu’un levier structurel, cette mesure s’inscrit comme un signal politique adressé aux ménages.

Un renforcement de la solidarité ciblée

Au-delà des revenus, la Loi de finances 2026 renforce plusieurs dispositifs de solidarité ciblée. La création d’un Fonds de promotion des personnes en situation de handicap constitue l’une des principales nouveautés. Doté de ressources dédiées, ce fonds vise à soutenir l’insertion économique, la formation et l’autonomie. Il marque un glissement vers une approche plus active, privilégiant l’intégration et l’accès à l’emploi plutôt qu’une assistance strictement compensatoire.

 

Cette orientation s’inscrit dans une logique de ciblage assumé. Le texte prévoit également des allocations mensuelles au profit de personnes atteintes de certaines maladies rares ou chroniques. Ces mesures entendent répondre à des situations de vulnérabilité spécifiques, identifiées comme prioritaires dans le cadre des politiques sociales actuelles.

Soutien au tissu associatif et incitations fiscales

La Loi de finances 2026 accorde par ailleurs une attention particulière au rôle des associations sociales et culturelles. Elle élargit les avantages fiscaux qui leur sont accordés et améliore la prise en compte des dons dans le calcul de l’impôt. L’objectif est double : encourager l’engagement citoyen et soutenir des acteurs souvent en première ligne dans l’accompagnement social, sans alourdir directement les dépenses publiques.

Là encore, la logique reste sélective. Les incitations fiscales sont conçues pour maximiser l’impact social tout en maîtrisant la charge budgétaire, dans un contexte où l’État cherche à concilier soutien social et discipline financière.

Un équilibre sous contrainte

La Loi de finances 2026 ne prétend pas répondre aux fragilités sociales structurelles. Elle procède par ajustements successifs, cherchant à maintenir la cohésion sociale sans remettre en cause l’architecture globale du système de protection sociale. Le texte reflète un équilibre délicat entre contraintes budgétaires et impératif social, privilégiant des réponses ciblées à court et moyen terme plutôt qu’une réforme d’ensemble.

EN BREF

  • Revalorisation annoncée des salaires et pensions sur 2026–2028.
  • Absence de réforme globale du système de protection sociale.
  • Création d’un Fonds de promotion des personnes en situation de handicap.
  • Allocations mensuelles pour certaines maladies rares ou chroniques.
  • Avantages fiscaux élargis pour les associations et les dons.

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Classement ATP : Carlos Alcaraz franchit le cap des 50 semaines au sommet

Von: walid
15. Dezember 2025 um 14:05

Carlos Alcaraz continue d’inscrire son nom dans l’histoire du tennis mondial. L’Espagnol a officiellement atteint les 50 semaines passées à la première place du classement ATP, devenant le 14e joueur à franchir ce seuil symbolique depuis la création du classement. À seulement 22 ans, il confirme son statut parmi les références du circuit masculin.

Un cap symbolique dans l’histoire du tennis

Le classement publié ce lundi consacre une étape marquante dans la carrière d’Alcaraz. Avec 50 semaines cumulées comme numéro 1 mondial, il rejoint un cercle restreint de joueurs ayant dominé durablement le tennis international. Ce chiffre, souvent considéré comme un repère de constance au plus haut niveau, place l’Espagnol aux côtés de figures majeures du sport.

L’accès à ce palier souligne la régularité de ses performances au sommet du classement ATP. Peu de joueurs parviennent à s’y maintenir suffisamment longtemps pour atteindre un tel total, ce qui renforce la portée symbolique de cette étape.

Un leadership assuré sur la durée

À 22 ans, Carlos Alcaraz est assuré de conserver sa place de numéro 1 mondial au moins jusqu’après l’Open d’Australie 2026. Cette garantie lui permettra de continuer à augmenter son nombre de semaines passées au sommet dans les prochains mois. Cette stabilité en tête du classement confirme sa position dominante sur le circuit masculin.

Sans projection chiffrée supplémentaire [à vérifier], cette continuité ouvre la voie à un renforcement progressif de son empreinte statistique dans l’histoire du classement ATP, déjà marquée par ce cap des 50 semaines.

Une place dans une élite restreinte

Franchir ce seuil signifie rejoindre un groupe de joueurs considérés comme les plus dominants de l’ère moderne. Carlos Alcaraz figure désormais aux côtés de noms tels que Novak Djokovic, Roger Federer, Rafael Nadal ou Pete Sampras, cités comme références parmi ceux ayant atteint ou dépassé ce total.

Cette comparaison ne préjuge pas de la suite de sa carrière, mais situe clairement l’Espagnol dans une trajectoire déjà remarquable à un âge précoce. Le classement ATP, fondé sur des résultats accumulés semaine après semaine, continue ainsi de refléter son statut de leader du tennis mondial.

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Loi de Finances 2026 : baisse de l’impôt sur les retraites… mais pas tout de suite

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 13:48

RetraiteL’article 56, paragraphe II, de l’article 26 du Code de l’impôt sur le revenu des personnes physiques et de l’impôt sur les sociétés est modifié comme suit :

Les pensions de retraite et les rentes viagères bénéficient d’un abattement égal à 25 % de leur montant brut pour le calcul de l’impôt.

Ce taux d’abattement est relevé progressivement comme suit :

  • 30 % à partir du 1er janvier 2027,
  • 40 % à partir du 1er janvier 2028,
  • 50 % à partir du 1er janvier 2029.

RAPPEL -Imposition des pensions de retraite au titre de l’IRPP

Abattement de base

En Tunisie, pour le calcul de l’impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPP), les pensions de retraite et les rentes viagères bénéficient d’un abattement forfaitaire de 25 % du montant brut avant imposition.

Exonérations existantes

Une partie importante des retraités bénéficie déjà d’une exonération totale de l’IRPP et de la contribution sociale si leur revenu annuel imposable est faible. Ainsi près de 56 % des retraités avec un revenu imposable annuel inférieur à 5 000 dinars ne paient pas d’impôt ni de contribution sociale.

Régime spécial pour pensions de source étrangère

Abattement renforcé pour pensions étrangères

La législation tunisienne prévoit un abattement de 80 % pour les pensions ou rentes viagères de source étrangère, à condition qu’elles soient transférées en Tunisie ou déclarées à l’importation.

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Coupe arabe FIFA Qatar-2025 (demi-finales) : Le programme

Von: walid
15. Dezember 2025 um 13:42

Programme des demi-finales de la Coupe arabe FIFA Qatar-2025 de football (1-18 décembre), prévus lundi (heures tunisiennes) :

Demi-finales

Lundi 15 décembre 2025 :

Au stade Khalifa International : Maroc – EAU 15h30

Au stade Al-Bayt : Arabie saoudite – Jordanie 18h30

Jeudi 18 décembre 2025 :

Au stade Khalifa International (Match pour la 3e place) 12h00

Au stade Lusaïl (Finale) 17h00.

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JCC 2025 : « My Father’s Shadow », un regard intime et politique sur le Nigeria des années 1990

Von: walid
15. Dezember 2025 um 11:51

Présenté dimanche à la salle du Théâtre de l’Opéra à la Cité de la culture Chedly Klibi, le long-métrage “My Father’s Shadow” (L’Ombre de mon père) d’Akinola Davies (Nigeria) a été découvert par le public dans le cadre de la compétition officielle des longs métrages de fiction de la 36ème édition des Journées cinématographiques de Carthage (JCC).

D’une durée de 93 minutes, le film marque un tournant pour le cinéma nigérian : il est le premier du pays à avoir été sélectionné en compétition officielle au Festival de Cannes, où il a été présenté en 2025 dans la section “Un Certain Regard” et distingué par une mention spéciale Caméra d’Or.

A la croisée de l’autobiographie et du politique, le film raconte l’histoire d’un père et de ses deux enfants confrontés à l’absence d’un homme absorbé par le travail et la nécessité de subvenir aux besoins de sa famille. Une journée passée ensemble dans la capitale nigériane, Lagos, se transforme, avec la mort du père, en un jour d’adieu, ponctué de moments de divertissement et de confidences, mais aussi de tensions familiales, sur fond de crises politiques et sociales, que traverse le Nigeria en 1993.

Cette période charnière, marquée par l’espoir d’une transition démocratique brutalement brisé par l’annulation des élections présidentielles, irrigue le récit et révèle l’amalgame entre les trajectoires individuelles et l’histoire collective. Le film met en lumière les paradoxes d’un pays riche en ressources mais miné par les pénuries, où les réalités sociales et économiques limitent jusqu’aux gestes les plus simples de la vie familiale, et donnent à la vie privée une portée politique.

Porté par l’interprétation nuancée de Ṣọpẹ́ Dìrsù, le père apparaît comme une figure fragile et complexe, ni héroïque ni autoritaire, suspendue entre mémoire, responsabilités et désillusions. A travers le regard des enfants, “l’ombre du père” devient le symbole d’une présence à la fois tangible et fuyante.

“My Father’s Shadow” capte une ville éprouvante, saturée de mouvements, de visages et de silences, reflet du malaise social et politique. Le rythme mesuré, l’attention portée aux détails et aux non-dits, ainsi que l’usage d’une caméra sur l’épaule, renforcent la dimension introspective de l’œuvre.

En interrogeant la paternité et la mémoire, le film zoome sur la manière dont les traumatismes historiques marquent les individus, y compris les plus jeunes. A travers cette chronique familiale inscrite dans l’histoire nigériane, Akinola Davies livre ainsi un regard sensible sur la dignité humaine, la résilience et le désir d’un avenir plus juste.

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Maroc vs Émirats arabes unis: Sur quelle chaîne regarder le match en direct et live streaming ?

Von: walid
15. Dezember 2025 um 10:23

La sélection marocaine A’ poursuit son aventure à la Coupe arabe des nations Qatar-2025 et affrontera, ce lundi 15 décembre à Doha, la sélection des Émirats arabes unis en demi-finale de la compétition. La rencontre se disputera au stade international Khalifa et offrira une place en finale au vainqueur.

Les Lions de l’Atlas locaux se sont qualifiés pour le dernier carré après leur succès face à la Syrie (1-0), jeudi 11 décembre, à l’issue d’un quart de finale disputé et engagé, confirmant ainsi leurs ambitions dans ce tournoi.

De leur côté, les Émirats arabes unis ont décroché leur billet pour les demi-finales après une victoire aux tirs au but contre l’Algérie (7-6), à la suite d’un match nul (1-1) à l’issue des prolongations, démontrant leur solidité mentale dans les grands rendez-vous.

Le coup d’envoi de la rencontre Maroc-Émirats arabes unis sera donné à 17h30 (heure locale à Doha), soit 15h30 (heure marocaine).

Le match sera retransmis en direct sur les chaînes beIN Sports, MBC5 et Al Kass.

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Liga : Barcelone conforte sa place de leader après la 16e journée

Von: walid
15. Dezember 2025 um 09:54

La 16e journée du championnat d’Espagne de football s’est étalée du vendredi 12 au dimanche 14 décembre, avec un match reporté lundi. Elle confirme la solidité du FC Barcelone en tête du classement, tandis que le Real Madrid et l’Atlético Madrid restent au contact dans la course aux premières places européennes.

Barcelone et le Real Madrid assurent

Le FC Barcelone s’est imposé à domicile face à Osasuna (2-0), portant son total à 43 points après 17 matches. Les Catalans affichent un bilan de 14 victoires, un nul et deux défaites, avec la meilleure attaque du championnat (49 buts marqués).

Le Real Madrid suit à la deuxième place avec 39 points, après sa victoire à l’extérieur contre Alavés (2-1). Les Madrilènes comptent 12 succès, trois nuls et deux revers, avec une différence de buts positive de +18.

Villarreal et l’Atlético restent en embuscade

Villarreal, troisième avec 35 points en 15 rencontres, conserve une position solide malgré l’absence de match lors de cette journée. L’Atlético Madrid, de son côté, a battu Valence (2-1) et occupe désormais la quatrième place avec 34 points en 17 matches.

Ces quatre équipes composent, à ce stade, le quatuor qualifié pour la phase de ligue de la Ligue des champions, conformément au règlement.

Succès importants en milieu de tableau

Plusieurs équipes ont marqué des points précieux. Majorque a dominé Elche (3-1), tandis que l’Espanyol Barcelone s’est imposé sur la pelouse de Getafe (1-0). Le Séville FC a signé la plus large victoire de la journée en écrasant le Real Oviedo (4-0).

Le Celta Vigo a également tiré profit de cette journée en battant l’Athletic Bilbao (2-0), ce qui lui permet de remonter à la huitième place avec 22 points.

Un match reporté et une lutte serrée en bas de classement

La rencontre entre le Rayo Vallecano et le Betis Séville, prévue lundi à 21h00, a été reportée. Le match Levante – Villarreal figure également comme non disputé à ce stade [cohérence à vérifier].

En bas de tableau, la lutte pour le maintien reste ouverte. Levante ferme la marche avec 9 points en 15 matches, précédé du Real Oviedo (10 points) et de Gérone (15 points). Selon le règlement, les trois derniers du classement sont relégués en division inférieure.

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What explains the resilience of the ASEAN-6 growth outlook?

Von: walid
15. Dezember 2025 um 09:31

In recent decades, Southeast Asia has been the most dynamic region in the world, showcasing the brightest economic growth performance. Within this region, the six largest countries of the Association of Southeast Asian Nations (ASEAN-6), which includes Indonesia, Thailand, Singapore, Malaysia, Vietnam, and the Philippines, have been among the fastest growing economies, with Singapore already reaching the status of an advanced economy.

Trade is a major pillar of the economic growth model for the ASEAN-6 countries, and significant disruptions in international commerce can have a large impact on their performance. On April 2, which came to be known as “Liberation Day,” President Trump announced sweeping tariffs on all U.S. trade partners, and a period of much tighter protectionism emerged as a potential threat to growth. Trade and growth forecasts initially deteriorated sharply on fears of the impact of supply-chain disruptions, rocketing uncertainty, and potentially escalating trade wars. But despite a still-uncertain environment, the growth outlook for the ASEAN-6 group has been stable, with real GDP growth rates in 2026 expected to remain overall strong, similar to those of 2025.

ASEAN-6 Economic Growth Forecasts 

(%, annual real GDP growth) Source: Bloomberg Consensus, IMF WEO, QNB Economics

In this article, we discuss the key factors that will support economic growth in the ASEAN-6 economies during 2026 and contribute to a positive growth outlook.

First, the global trade environment has begun to stabilize, as the U.S. reached agreements with an increasing number of trade partners, and there is no evidence of a negative impact of trade in the ASEAN-6 countries. The initially unyielding protectionism of the U.S. administration shifted towards pragmatism as agreements were reached with the U.K., Japan, and the E.U., among many others. Importantly, for the ASEAN-6, agreements were reached with Vietnam, Malaysia, Thailand, Indonesia, and Philippines, establishing a general tariff of 19% and lower rates for selected goods, while for Singapore the levy stands at 10%. Although these rates are higher than before Liberation Day, the end of the negotiations largely reduced the levels of uncertainty discarding the more extreme negative scenarios, and are still within a manageable range, especially as other competitors are also affected by new U.S. tariffs.

Even as the U.S. has become more protectionist, the rest of the world is pursuing further integration via new or deeper trade agreements. In October, the ASEAN member states signed two major agreements: one improving cross-border flows within the group, and an upgrade of the ASEAN-China Free Trade framework. At the same time, negotiations began for an ASEAN-South Korea agreement. Furthermore, some ASEAN-6 countries appear to be benefiting from trade diversion as firms shift supply chains away from China.

The impact of tariffs after Liberation Day on the ASEAN-6 economies has so far been negligible, with exports continuing to show monthly growth rates in the range of 10 to 20% in USD in annual terms. Even as the world adjusts to a more protectionist U.S., the outlook on global trade is improving, contributing to a more supportive growth scenario for the ASEAN-6 economies.

Second, lower policy interest rates in the major advanced economies (AE), as well as in the ASEAN-6 countries, provide a better global environment for economic growth. Since 2024, the U.S. Federal Reserve has already lowered its policy rate by 175 basis points (bp) to 3.75% and is likely to bring it further down to a neutral level of 3.5%. In a similar period, the European Central Bank has lowered its benchmark policy rate by 200 bp to 2% and is likely to keep it unchanged during next year. Thus, policy interest rates in major AE are set to stabilize at lower levels than in recent years, providing better financial conditions for emerging economies.

ASEAN-6 Total Exports 

(total per month, billion USD) Source: Haver Analytics, QNB Economics

Similarly, central banks in the ASEAN-6 countries have implemented their own monetary easing cycles after inflation was brought under control following the post Covid-pandemic recovery. In these economies, the average increase in policy rates was 260 basis points (bps), to levels above those at the onset of the Covid-pandemic. As tight monetary policy brought inflation rates down to their target ranges, central banks reached a turning point and began to cut policy interest rates, reducing the cost of credit and boosting credit growth. Overall, looser monetary conditions in the AE as well as from the ASEAN-6 central banks provide better credit conditions for growth in the region.

Average Benchmark Interest Rates in ASEAN-6

(%, central bank policy or benchmark rates, simple average)

Source: ASEAN Central Banks, Haver Analytics, QNB Economics

All in all, the growth outlook for the ASEAN-6 economies remains stable on the back of an improvement in the trade environment and more supportive monetary.

 

QNB Economics Team:
Luiz Pinto

Assistant Vice President – Economics

+974-4453-4642

Bernabe Lopez-Martin*

Senior Manager – Economics

+974-4453-4643

Aisha Khalid Al-Thani

Senior Associate – Economics

+974-4453-4647

* Corresponding author

 

DISCLAIMER: The information in this publication (“Information”) has been prepared by Qatar National Bank (Q.P.S.C.) (“QNB”) which term includes its branches and affiliated companies. The Information is believed to be, and has been obtained from, sources deemed to be reliable; however, QNB makes no guarantee, representation or warranty of any kind, express or implied, as to the Information’s accuracy, completeness or reliability and shall not be held responsible in any way (including in respect of negligence) for any errors in, or omissions from, the Information. QNB expressly disclaims all warranties or merchantability or fitness for a particular purpose with respect to the Information. Any hyperlinks to third party websites are provided for reader convenience only and QNB does not endorse the content of, is not responsible for, nor does it offer the reader any reliance with respect to the accuracy or security controls of these websites. QNB is not acting as a financial adviser, consultant or fiduciary with respect to the Information and is not providing investment, legal, tax or accounting advice. The Information presented is general in nature: it is not advice, an offer, promotion, solicitation or recommendation in respect of any information or products presented in this publication. This publication is provided solely on the basis that the recipient will make an independent evaluation of the Information at the recipient’s sole risk and responsibility. It may not be relied upon to make any investment decision. QNB recommends that the recipient obtains investment, legal, tax or accounting advise from independent professional advisors before making any investment decision. Any opinions expressed in this publication are the opinions of the author as at the date of publication. They do not necessarily reflect the opinions of QNB who reserves the right to amend any Information at any time without notice. QNB, its directors, officers, employees, representatives or agents do not assume any liability for any loss, injury, damages or expenses that may result from or be related in any way to the reliance by any person upon the Information. The publication is distributed on a complementary basis and may not be distributed, modified, published, re-posted, reused, sold, transmitted or reproduced in whole or in part without the permission of QNB. The Information has not, to the best of QNB’s knowledge, been reviewed by Qatar Central Bank, the Qatar Financial Markets Authority, nor any governmental, quasi-governmental, regulatory or advisory authority either in or outside Qatar and no approval has been either solicited or received by QNB in respect of the Information.

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Loi de finances 2026 : Ce qui change pour les salariés

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 09:22

La Loi de finances 2026 introduit des ajustements destinés à atténuer la pression sur le pouvoir d’achat, sans bouleverser le cadre salarial existant.

👉 Ce qui change :

  • Une revalorisation progressive des salaires et des pensions est prévue sur la période 2026–2028. Les modalités précises seront fixées par décrets, mais le principe d’un ajustement est acté.
  • Les pensions de retraite sont concernées par cette revalorisation, dans une logique de maintien du niveau de vie des retraités.
  • Les dispositifs de solidarité ciblée sont renforcés, notamment pour les personnes en situation de handicap et celles atteintes de maladies rares ou chroniques, à travers des aides spécifiques et un fonds dédié.

👉 Ce qui ne change pas :

  • Pas de réforme globale du système salarial.
  • Pas de baisse directe de l’impôt sur le revenu généralisée.

📌 À retenir
La Loi de finances 2026 cherche avant tout à stabiliser les revenus et à préserver les catégories les plus vulnérables, dans un contexte de marges budgétaires limitées.

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Tozeur accueille le 3ᵉ forum régional arabe sur l’économie créative et les métiers de demain

Von: walid
15. Dezember 2025 um 09:06

Le troisième forum régional arabe sur les industries culturelles et l’économie créative s’ouvrira demain, lundi 15 décembre, à Tozeur, pour trois jours de travaux. Il est organisé conjointement par le Centre international de Tunis pour l’économie culturelle numérique (TICDCE) et l’Organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (ALECSO).

Placé sous le thème « Les métiers de demain et le financement de la créativité à l’ère de l’intelligence artificielle », ce forum vise à analyser les transformations mondiales du secteur culturel et créatif, accentuées par la transition numérique, les crises géopolitiques et les enjeux liés à la propriété intellectuelle.

Structuré autour de trois axes principaux, l’événement, annoncé sur la page facebook du TICDCE, alternera sessions de dialogue, ateliers pratiques, visites culturelles et séances de réseautage. Il examinera les transformations mondiales et leur impact sur l’économie créative, le rôle des politiques publiques dans le développement de l’innovation culturelle, avant de conclure par la présentation de projets concrets issus des ateliers, notamment des start-up du secteur.

Les débats porteront sur la créativité en période de crises, l’impact du numérique, la protection de la propriété intellectuelle et les modèles de financement culturel. Des ateliers de prospective sur les métiers et le financement dans le monde arabe sont également au programme.

À l’issue des travaux, des recommandations stratégiques seront annoncées, ainsi que le lancement de deux initiatives phares : le « Foresight Cultural Hub », un pôle dédié à la prospective des politiques culturelles, et l’« Empowered Futures Cultural Initiative (EFCI) », qui vise à renforcer les capacités des acteurs arabes de la créativité.

Organisé sous la devise « Investir dans la créativité… Investir dans l’avenir », ce forum a pour objectif de renforcer la coopération interarabe et d’élaborer des feuilles de route stratégiques pour une économie culturelle plus résiliente et prospère.

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