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Gestern — 14. Mai 2025Haupt-Feeds

La Turquie entrevoit des perspectives crédibles de désinflation

14. Mai 2025 um 16:42

Le vice-gouverneur de la Banque centrale turque, Osman Cevdet Akcay, a affirmé que la Turquie fait face à de véritables perspectives de désinflation, tout en précisant que les réserves de change du pays sont en cours de reconstitution après avoir été affectées par les récentes turbulences politiques.

« Pour la première fois, je crois que nous faisons face à de véritables perspectives de désinflation au sens propre du terme », a déclaré Akcay lors d’un panel organisé dans le cadre de l’assemblée annuelle de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), à Londres.

Il a ajouté qu’une rupture notable et durable dans les chiffres de l’inflation pourrait prochainement être observée. En parallèle, il a indiqué que la Banque centrale procède à une reconstitution progressive mais certaine de ses réserves.

Depuis 2023, l’inflation en Turquie est sur une trajectoire descendante, conséquence d’un recentrage vers des politiques monétaires orthodoxes, sous l’impulsion du président Recep Tayyip Erdoğan. Ce virage a été mené sous la houlette de l’économiste Mehmet Şimşek, nommé ministre du Trésor et des Finances en 2023, et d’Hafize Gaye Erkan, alors gouverneure de la Banque centrale. En novembre 2024, le taux d’inflation s’élevait à 47,09 %, en net recul par rapport à son pic historique de 83 % enregistré en octobre 2022. Plus récemment, l’inflation annuelle a poursuivi sa baisse, atteignant 37,86 % en avril 2025, contre 38,10 % le mois précédent.

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États-Unis : l’inflation chute de manière inattendue à 2,3% en avril

14. Mai 2025 um 14:45

L’inflation américaine a affiché un rythme légèrement plus lent que prévu en avril, apaisant les craintes concernant les pressions sur les prix résultant des tarifs douaniers de Trump.

En particulier, l’indice des prix à la consommation aux États-Unis a légèrement ralenti en avril, passant de 2,4 à 2,3% sur un an, alors que l’estimation moyenne des analystes s’attendait à ce qu’il reste inchangé.

Dans la comparaison mars-avril, l’indice a légèrement augmenté de 0,2% par rapport à l’estimation moyenne d’une hausse de 0,3%, après la baisse mensuelle précédente de 0,1%.

La tendance était similaire au niveau structurel, la mesure plus étroite qui n’inclut pas les prix volatils de l’énergie et des aliments frais augmentant légèrement plus lentement que prévu sur une base mensuelle.

Plus précisément, dans la comparaison mars-avril, l’inflation sous-jacente a augmenté de 0,2% par rapport aux prévisions de 0,3%, après la hausse mensuelle précédente de 0,1%.

En comparaison annuelle, le taux de l’indice structurel des prix à la consommation est resté à 2,8% comme prévu.

Dans les composantes individuelles de la mesure, les coûts du logement ont de nouveau été le principal moteur de la hausse de l’indice, puisque les +0,3% affichés devraient constituer la moitié de la hausse mensuelle plus large de l’inflation.

Les prix de l’énergie ont également ajouté quelques pressions inflationnistes, qui, après avoir chuté de 2,4% en mars, se sont redressés en avril avec une augmentation de 0,7%. En revanche, l’indice alimentaire a enregistré une légère baisse de 0,1%.

Cependant, comme le note Reuters, les données ne reflètent qu’une partie des tarifs douaniers de Trump, principalement ceux qu’il a imposés avant ledit « Jour de la Libération », comme il l’a appelé le 2 avril. Malgré cela, elles incluent la taxe de 20% sur les produits importés par les États-Unis en provenance de Chine, les tarifs liés au fentanyl et les +25% sur les véhicules importés.

Depuis lors, Trump a « gelé » la plupart des tarifs « réciproques » qu’il a imposés à chaque pays, mais une taxe horizontale de 10% sur tous les produits importés est maintenue, les économistes estimant que cet effet commencera à se refléter dans les indicateurs d’inflation à partir de mai.

Quoi qu’il en soit, les marchés accueillent avec optimisme les données de mesure d’avril, les contrats à terme sur indices de Wall Street tentant de passer en territoire positif après les pertes enregistrées plus tôt…

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Moez Hadidane prédit un taux d’inflation de 5 % à fin 2025

14. Mai 2025 um 10:59

Intervenant sur les ondes de la radio privée Express FM, mardi 13 mai 2025, l’analyste financier Moez Hadidane estime que les prévisions d ’un taux d’inflation d’environ 5% à fin décembre 2025 en glissement annuel sont réalisables.

L’analyste explique : un regard sur le taux d’inflation des quatre premiers de l’année montre que dernier suit un trend baissier se situant à 5,6 %.

Il estime que les résultats de la politique monétaire de la Banque centrale de Tunisie impliquant un taux d’intérêt directeur autour de 8 %, pendant deux années successives, a entraîné une baisse des demandes des prêts de consommation pour les particuliers ainsi que des prêts d’investissement pour les entreprises.

Par ailleurs et toujours selon lui, plusieurs entreprises se plaignent de charges financières importantes. Et que le coût de l’investissement devient élevé. Ce qui a entraîné une baisse des investissements des unités économiques.

Sur autre volet, l’analyste financier affirme que la relation entre l’inflation et l’argent liquide en circulation n’existe pas. Pour expliquer l’augmentation des billets en circulation, Moez Hadidane souligne qu’il y a eu une progression considérable qui a eu lieu après la crise de la Covid-19. « En divisant le taux des liquidités par le PIB, la valeur moyenne était en général de 11 % en 2020 », précise-t-il. Ce taux atteint aujourd’hui 14,5%.

En outre, la hausse de cette valeur en dinar est tout à fait légitime, en ce sens que lorsque le PIB augmente, l’économie nationale a besoin d’une partie d’argent en liquide.

Il soulignera par ailleurs que si l’équation se fait en divisant la liquidité disponible par la masse monétaire, l’on obtiendra un taux de 17 % environ. Et d’ajouter que ce taux est aujourd’hui stable bien qu’il ait augmenté sensiblement de 0,7 %.

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L’inflation grimpe à 13,5 % en Égypte

11. Mai 2025 um 22:33
L’inflation grimpe à 13,5 % en Égypte

En avril, l’Égypte a enregistré un taux d’inflation de 13,5 %, marquant une légère hausse par rapport aux 13,1 % constatés en mars, selon les chiffres publiés par l’Agence centrale pour la mobilisation publique et les statistiques. L’indice des prix à la consommation a atteint 253,8 points, traduisant une progression mensuelle de 1,3 %. Cette […]

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ECLAIRAGES – Tunisie – Inflation : Une relecture augmentée de l’indice des prix à la consommation

08. Mai 2025 um 06:12

Au mois d’avril 2025, le taux d’inflation a enregistré une légère baisse, atteignant 5,6 % contre 5,9 % en mars. Bien que cette diminution soit un signe encourageant, elle demeure préoccupante, restant au-dessus des niveaux historiquement considérés comme acceptables dans de nombreuses économies développées. Cette situation complexe mérite une relecture augmentée, pour explorer les divers secteurs impactés par cette dynamique des prix, et des implications pour l’économie et les consommateurs.

 

Inflation

Le secteur alimentaire : pression persistante

La hausse des prix des produits alimentaires, qui s’élève à 7,3 %, continue d’inquiéter les ménages, notamment ceux à faibles revenus. Les augmentations spectaculaires des prix des légumes frais (+24,3 %) et des fruits (+19,2 %) révèlent une pression de plus en plus forte sur l’approvisionnement.

Commentaires :

  • Ces hausses peuvent être attribuées à des conditions climatiques défavorables, à des problèmes logistiques causés par des ruptures d’approvisionnement ou à des augmentations des coûts de production.
  • Paradoxalement, certaines denrées comme les huiles alimentaires ont enregistré une baisse significative de 20,9 %.
  • Cette situation souligne la volatilité inhérente aux marchés agricoles, où les fluctuations de l’offre et de la demande peuvent avoir des répercussions rapides et profondes sur les prix.
  • La stabilisation observée des prix alimentaires en avril, avec des baisses notables sur certains produits (œufs, légumes frais), pourrait indiquer un ajustement nécessaire après des hausses excessives.
  • Toutefois, cette instabilité reste préoccupante car elle peut entraîner des choix alimentaires difficiles pour les consommateurs. En effet, cette volatilité peut inciter les ménages à modifier leurs habitudes de consommation, se tournant vers des produits moins chers ou moins nutritifs. Cela exacerbe les problèmes de santé publique et de nutrition, en particulier dans les groupes les plus vulnérables.

Les produits manufacturés : une pression sur les coûts

Dans le secteur manufacturé, les prix ont augmenté de 5,2 % avec une concentration notable dans l’habillement et les chaussures, où les prix ont grimpé de 9,5 %.

Commentaires :

  • Cette hausse pourrait être le résultat d’une combinaison de coûts de production accrus, notamment liés aux matières premières, à la main-d’œuvre et aux frais de transport.
  • Par ailleurs, la reprise de la demande post-pandémique a également contribué à augmenter la pression sur les prix.
  • Les consommateurs, après des périodes de restrictions, sont maintenant désireux de consommer. Ce qui, couplé à des chaînes d’approvisionnement encore fragiles, crée une situation où les prix continuent d’augmenter.
  • La capacité des consommateurs à absorber ces prix plus élevés dépendra de leur situation financière et de la confiance en l’économie. Une demande soutenue pourrait encourager les entreprises à augmenter davantage leurs prix, tandis qu’un retournement économique pourrait inverser cette tendance.
  • Cette dynamique met également en lumière la nécessité d’une transparence accrue de la part des entreprises concernant les raisons des augmentations de prix, car la confiance des consommateurs pourrait être affectée par des hausses jugées injustifiées.

 Services : une reprise énergique

Le secteur des services, notamment dans le domaine des restaurants, cafés et hôtels, a connu une hausse des prix de 11,5 %.

Commentaires :

  • Cet essor peut être attribué à un retour à la normale après les restrictions liées à la pandémie. Cependant, cette situation soulève des questions sur la durabilité de cette demande.
  • Les entreprises de ce secteur, qui ont été sévèrement touchées par la crise sanitaire, tentent de compenser les pertes subies au cours des dernières années. Cela peut les amener à adopter des pratiques tarifaires qui, tout en cherchant à couvrir les coûts accrus, pourraient dissuader une partie de la clientèle.
  • Il est remarquable de noter que cette hausse des prix dans les services peut avoir des effets d’entraînement sur d’autres secteurs de l’économie. Par exemple, si les consommateurs doivent dépenser plus pour se restaurer ou se divertir, cela pourrait réduire leur pouvoir d’achat pour d’autres biens et services.
  • Ce phénomène pourrait aggraver la pression inflationniste, créant un cercle vicieux difficile à briser.

L’inflation sous-jacente : un indicateur avancé, un signal d’alerte

Une attention particulière doit être portée à l’inflation sous-jacente, qui a légèrement diminué à 5,5 %, contre 5,7 % précédemment. Cette mesure, qui exclut les éléments volatils comme les produits alimentaires et l’énergie, indique une certaine stabilisation dans d’autres secteurs.

Commentaires :

  • L’augmentation des prix des produits libres (+6,8 %) comparativement aux produits encadrés (+1,7 %) suggère que les consommateurs continuent de faire face à des pressions sur les prix. Cette distinction pourrait guider les décideurs vers des mesures plus ciblées pour protéger les consommateurs vulnérables, en particulier ceux qui consacrent une part importante de leur revenu aux produits de base.
  • L’inflation sous-jacente est un indicateur avancé pour les banques centrales, en l’occurrence pour la BCT, car elle reflète les tendances inflationnistes sous-jacentes dans l’économie. Une inflation sous-jacente élevée pourrait inciter les autorités monétaires à revoir leur politique et envisager des hausses des taux d’intérêt. Ce qui pourrait avoir des répercussions sur la croissance économique.

Perspectives : naviguer dans un environnement complexe

En premier lieu, à l’horizon, le paysage économique reste incertain. Les prévisions des économistes et autres analystes indiquent que les prix pourraient continuer à fluctuer en raison de divers facteurs, notamment les conditions climatiques, les tensions géopolitiques et les politiques commerciales.

  • La BCT, face à cette situation, pourrait être amenées à ajuster sa stratégie monétaire. Pour autant, une éventuelle hausse des taux d’intérêt pour contrer l’inflation doit être maniée avec précaution, car elle pourrait freiner la reprise économique en cours.
  • L’équilibre entre la nécessité de maîtriser l’inflation et celle de soutenir la croissance sera un exercice délicat.

En second lieu, l’inflation persistante risque d’aggraver les inégalités sociales, car les ménages à faibles revenus consacrent une part disproportionnée de leur budget aux produits de première nécessité.

  • À cet égard, des politiques de soutien, telles que des subventions alimentaires ou une aide sociale élargie, pourraient être nécessaires pour atténuer ces effets.
  • Le rôle du gouvernement sera déterminant pour garantir que les mesures prises soient à la fois efficaces et justes, en ciblant les populations les plus touchées d’une part, d’assainir et de fluidifier les circuits de distribution.

En définitive, une stabilisation éclectique

L’indice des prix à la consommation d’avril 2025 dresse un tableau nuancé des défis économiques actuels. Bien qu’une légère baisse du taux d’inflation soit une lueur d’espoir, les pressions toujours présentes sur les prix des biens essentiels et des services soulignent l’importance d’une approche équilibrée et proactive de la part des décideurs.

Les politiques doivent non seulement viser à contrôler l’inflation, mais aussi à promouvoir une reprise économique durable et équitable. La collaboration entre les secteurs public et privé, ainsi que l’implication des citoyens dans le dialogue sur les politiques économiques, seront essentielles pour faire face à ces défis complexes.

Les prochaines étapes nécessiteront une vigilance continue et une adaptation rapide aux conditions changeantes du marché, afin d’assurer que les bénéfices d’une économie en reprise soient partagés équitablement.

Sources : INS

 

 

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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Les prix augmentent moins vite en avril: l’inflation à 5,6%

06. Mai 2025 um 08:35

Le taux d’inflation en Tunisie s’est replié à 5,6% en avril 2025, contre 5,9% en mars, selon les derniers chiffres publiés le 5 mai par l’Institut national de la statistique. Cette baisse s’explique principalement par le ralentissement de l’augmentation des prix des produits alimentaires, passés de 7,8% en mars à 7,3% en avril, ainsi que par un net ralentissement des prix de l’habillement, qui ont reculé de 11,7% à 9,4%.

Dans le détail, les prix à la consommation ont connu une hausse mensuelle de 0,6%. Cette progression s’explique par la fin des soldes d’hiver, qui a entraîné une augmentation de 4,2% des prix d’habillement, incluant une hausse de 4,9% pour les chaussures. À l’inverse, les prix des produits alimentaires sont restés stables en avril, grâce notamment à une baisse des prix des œufs (-2,9%), des légumes frais (-1,1%) et de la volaille (-0,3%), malgré des hausses enregistrées pour la viande ovine (+1,9%), bovine (+0,7%) et les fruits frais (+0,7%).

Les produits manufacturés ont affiché une augmentation annuelle de 5,2%, principalement en raison de la hausse du groupe habillement et chaussures (+9,5%) et des produits d’entretien courant du foyer (+4,7%). Du côté des services, la hausse est également de 4,7%, dominée par les services de restauration, cafés et hôtels qui ont grimpé de 11,5%.

L’inflation sous-jacente, qui exclut les produits alimentaires et énergétiques, s’est établie à 5,5%, contre 5,7% en mars. Une décélération qui confirme la tendance générale au ralentissement des pressions inflationnistes.

En termes de contributions sectorielles à l’inflation, les produits manufacturés et les produits alimentaires frais sont les principaux contributeurs à l’inflation globale, avec des contributions respectives de 2% et 2,2%.

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Tunesien: Inflation lag im Dezember 2023 bei 8,1 Prozent

Von: Redaktion
05. Januar 2024 um 20:46

Im Dezember 2023 ging die Inflation auf 8,1% zurück, verglichen mit 8,3% im November 2023. Dies geht aus einer am Freitag veröffentlichten Mitteilung des Nationalen Mehr

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