Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 23. Juli 2025Haupt-Feeds

Siliana : situation sanitaire du cheptel satisfaisante (CRDA)

23. Juli 2025 um 14:40

L’état sanitaire du cheptel dans le gouvernorat de Siliana est jugé satisfaisant, a affirmé Aberrazek Mejri, chef du service de la production animale au Commissariat régional au développement agricole (CRDA), dans une déclaration à l’Agence TAP.

Il a précisé que 23 800 bovins ont été vaccinés contre la dermatose nodulaire entre décembre 2024 et janvier 2025,. Tout en

Dans le cadre de la campagne de lutte contre la fièvre aphteuse, 25 481 bovins, 254 534 ovins et 44 642 caprins ont été vaccinés entre mars et juillet 2025.

Par ailleurs, la campagne de vaccination contre la variole et la brucellose a permis d’immuniser respectivement 175 878 ovins et 111 973 moutons d’élevage.

Enfin, 10 122 chiens, 272 chats et 69 bovins ont été vaccinés contre la rage.

L’article Siliana : situation sanitaire du cheptel satisfaisante (CRDA) est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Gestern — 22. Juli 2025Haupt-Feeds

Zenith Energy : nouveau revers judiciaire face à la Tunisie

Von: hechmi
22. Juli 2025 um 19:11

PétroleLa société pétrolière canadienne Zenith Energy Ltd, active en Tunisie, en Italie et aux États-Unis, a exprimé son indignation après le rejet d’une réclamation de 103 millions de dollars par un tribunal arbitral international. Ce litige oppose sa filiale nord-africaine à l’État tunisien dans le cadre du projet pétrolier Sidi El Kilani (SLK).

Le différend concerne une participation de 45 % dans la concession SLK, dont 22,5 % sont détenus par Zenith et 22,5 % proviennent d’une cession antérieure de Kuwait Foreign Petroleum Exploration Co. Zenith accuse la Tunisie d’avoir entravé ses activités par un comportement arbitraire ayant conduit à des interruptions de production.

Cette décision constitue le deuxième arbitrage lancé par Zenith contre la Tunisie. Le premier avait abouti fin 2024 à une condamnation de l’État tunisien à verser 9,7 millions de dollars. Ce nouvel arbitrage (CCI-2) rejette en revanche l’intégralité des demandes de Zenith, estimées à 103 millions USD.

En parallèle, la société prépare un troisième arbitrage (CCI-3) devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI), pour un montant de 503 millions de dollars, avec une audience prévue au deuxième trimestre 2026.

L’article Zenith Energy : nouveau revers judiciaire face à la Tunisie est apparu en premier sur WMC.

Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Baisse des réserves dans les barrages tunisiens de 2,5% en 3 semaines

20. Juli 2025 um 09:31

Le taux de remplissage des barrages tunisiens est de 35,6% le 18 juillet 2025, a annoncé l’Observatoire national de l’agriculture (Onagri), samedi 19 juillet 2025. Ce taux était de 38,1% le 27 juin dernier, soit une baisse 2,5% en trois semaines.

Selon la même source, les réserves d’eau dans les barrages s’élèvent à 842,825 millions de m3, le 18 juillet, contre 902 millions de m3 le 27 juin, soit une baisse de 59,1 millions de m3 en une vingtaine de jours.

En peine canicule de l’été, marquée par une grande consommation de la ressource, le risque de voir les réserves d’eau s’épuiser rapidement est réel.

C’est au gouvernement de trouver des solutions alternatives et aux citoyens de rationaliser leur consommation, sachant que la sécheresse due au changement climatique persiste et que les eaux d’écoulement dans notre pays continuent de baisser en raison de la construction, en amont, de nombreux barrages dans l’Algérie voisine.

Par ailleurs, l’Algérie, qui cherche à développer son agriculture dans les zones sahariennes, est en train de pomper énormément dans le Système aquifère du Sahara septentrional (Sass), une ressource non renouvelable partagée entre l’Algérie, la Tunisie et la Libye.

I. B.

L’article Baisse des réserves dans les barrages tunisiens de 2,5% en 3 semaines est apparu en premier sur Kapitalis.

Victoire de l’État tunisien dans un litige pétrolier international

18. Juli 2025 um 12:40

L’État tunisien a obtenu une victoire décisive dans une affaire d’arbitrage international l’opposant à la société « Canadian North Africa Oil & Gas Limited ».

Rendue mardi 15 juillet, la décision de la Cour d’arbitrage rejette l’intégralité des demandes de la société plaignante, qui réclamait la somme de 130 millions de dollars US (environ 400 millions de dinars tunisiens) de compensation pour la résiliation du contrat et la privation d’exploitation du champ pétrolier de Sidi Kilani à Kairouan qui courait jusqu’en 2047.

En effet, le litige est né de la décision souveraine de l’État tunisien de refuser à « Canadian North Africa Oil & Gas Limited » l’autorisation d’acquérir les droits d’une société chinoise sur le champ pétrolier de Sidi Kilani, en raison de l’incapacité de la plaignante à fournir les garanties techniques et financières nécessaires à l’exploitation du champ. La société avait alors tenté de contourner la loi en acquérant la totalité des actions de la société chinoise, se substituant ainsi à ses droits, une manœuvre que l’État tunisien a catégoriquement refusée de reconnaître.

Affirmation de la souveraineté de l’État et protection de ses ressources

Ainsi, la Cour d’arbitrage a statué en faveur de l’État tunisien, confirmant son droit légitime à exercer sa souveraineté sur ses ressources naturelles.

Cette décision, d’une importance capitale cela dit, souligne la nécessité du consentement préalable de l’État pour tout changement d’opérateur de champ, tel que garanti par la Constitution tunisienne, les lois régissant le secteur des hydrocarbures et la convention d’exploitation du champ de Sidi Kilani.

Ce jugement renforce la position de la Tunisie dans la protection de ses intérêts économiques et stratégiques.

Compétences nationales face aux défis internationaux

Cette victoire est le fruit d’une défense solide et rigoureuse menée par des compétences nationales. En effet, le cabinet d’avocats tunisien « Boussayene-Knani & Associés », représenté par maîtres Youssef Knani, Mehrez Boussayene et Inès Youssef, a démontré une compétence et une efficacité exceptionnelles dans la protection des intérêts de l’État, avec le soutien indéfectible du chef du contentieux de l’État et des services spécialisés, qu’ils soient sous sa tutelle, celle du ministère de l’Industrie ou de l’Entreprise tunisienne des activités pétrolières (ETAP).

Par ailleurs, en plus du rejet de toutes les demandes de la partie adverse, la Cour d’arbitrage a condamné « Canadian North Africa Oil & Gas Limited » à supporter l’intégralité des frais d’arbitrage, s’élevant à plus de 800 000 dollars US, ainsi que les honoraires du cabinet d’avocats « Boussayene-Knani & Associés ».

En tout cas, cette affaire met en lumière la capacité de la Tunisie à défendre ses intérêts face aux adversaires les plus redoutables et aux plus grands cabinets d’avocats internationaux, grâce à l’excellence de ses compétences juridiques nationales. Elle réaffirme la nécessité de continuer à soutenir les intérêts du Chargé général des litiges de l’État et à améliorer les conditions matérielles de son personnel pour garantir le bon fonctionnement du service de défense des intérêts de l’État, en particulier sur la scène internationale.

Avec communiqué

L’article Victoire de l’État tunisien dans un litige pétrolier international est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Marokko – Binnenwirtschaft stützt Wachstum trotz schwacher Exportaussichten

Von: maghreb
15. Juli 2025 um 13:19

Wirtschaftswachstum in MarokkoDer Wirtschaftsprognosebericht 2026 der HCP geht von solidem Wachstum durch Agrarerholung und Inlandsnachfrage aus – gleichzeitig bleiben Investitionseffizienz und Handelsbilanz kritische Schwachstellen. Rabat – Die globale Konjunktur verlangsamt sich weiter. Die HCP geht in ihrem „Budget Économique Exploratoire 2026“ davon aus, dass das Weltwirtschaftswachstum von 2,8 % im Jahr 2024 auf 2,3 % im Jahr 2025 und […]

Der Beitrag Marokko – Binnenwirtschaft stützt Wachstum trotz schwacher Exportaussichten erschien zuerst auf Maghreb-Post.

Siliana – Bargou : lancement imminent d’un projet de forage d’un puits d’eau potable à Ferna

15. Juli 2025 um 12:38

Les travaux de forage d’un puits d’eau potable dans la localité de Ferna de la délégation de Bargou à Siliana seront bientôt entamés.

Ce projet est réalisé dans le cadre d’un partenariat entre le commissariat régional au développement agricole et un investisseur privé, a a indiqué à l’Agence TAP Le commissaire régional au développement agricole, Jamel Ferchichi, notant que l’objectif étant de répondre aux demandes en eau potable de la région en proie à des insuffisances en ressources hydriques.

De son côté, Tarek Bargaoui, partenaire privé à ce projet, a fait savoir que le début des travaux, d’une durée de dix mois, est prévu dans deux semaines.

Par ailleurs, le puits profond réalisé dans la région d’Ain Zine à El Krib avec une capacité de 25 litres par seconde est désormais entré en service, a souligné Ferchichi.

L’article Siliana – Bargou : lancement imminent d’un projet de forage d’un puits d’eau potable à Ferna est apparu en premier sur WMC.

Tunisie | Une statue de bateau naufragé fait polémique

09. Juli 2025 um 13:13

À Menzel Jemil, ville côtière située à environ 60 kilomètres au nord de Tunis, dans le gouvernorat de Bizerte, une statue réalisée par un artiste autodidacte et installée sur un rond-point par la municipalité, le 3 juillet 2025, suscite une vive polémique sur les réseaux sociaux et les médias pour son esthétique singulière et le choix du sujet.

Menzel Jemil est connue pour l’épave du cargo grec Tarpon Sentinel, échoué sur la plage de Rimel depuis 1983 et qui fait désormais partie intégrante du paysage et de l’attrait touristique de la région.

L’œuvre, créée par un artiste autodidacte local, a été inspirée par l’épave et les vagues qui l’entourent. Cependant, son style naïf et ses proportions «» ont suscité moqueries et critiques.

L’installation s’inscrit dans le cadre d’un programme municipal d’«embellissement des entrées de route et des ronds-points», lancé par la municipalité début juillet. En quelques heures, les images du monument ont inondé Facebook et Twitter, divisant les internautes entre ceux qui apprécient ses bonnes intentions et ceux qui le considèrent comme «une offense au bon goût» ou «une priorité malavisée» dans une localité où l’on se plaint du manque de services de base. Certains commentateurs réclament le retrait ou la rénovation de l’œuvre, tandis que d’autres défendent son cachet populaire, rappelant que la ville avait déjà obtenu des soutiens en 2017 avec une sculpture dédiée aux éboueurs.

Cette affaire s’inscrit dans une longue série de controverses similaires au Maghreb et dans le monde arabe – de l’œuvre controversée «L’Égypte se soulève» à la «Théière géante» d’Assouan – qui illustrent le décalage entre les initiatives artistiques locales et les attentes esthétiques de la citoyenneté numérique.

À Menzel Jemil, cependant, le débat sur l’art public a sa propre histoire : en 2017 déjà, la statue des balayeurs de rue était saluée comme un hommage à des groupes souvent invisibles, démontrant qu’un langage «pop» peut faire consensus si le message social est clair.

Concernant la statue de l’épave, le délégué local, interrogé par la presse, a assuré que l’administration «écouterait les commentaires des citoyens» et envisagerait d’éventuelles modifications sans sacrifier l’identité locale.

Ce litige, plus qu’un simple débat esthétique, relance le débat sur la relation entre art, mémoire collective et participation citoyenne en Tunisie, où l’imaginaire urbain demeure un point de discorde entre institutions, artistes et public.

D’après Ansamed.

L’article Tunisie | Une statue de bateau naufragé fait polémique est apparu en premier sur Kapitalis.

Quand le covoiturage à Tunis fatigue…

07. Juli 2025 um 14:35

Partager une voiture pour partager des coûts. Théoriquement, le covoiturage est avant tout un outil simple pour alléger la facture de carburant, réduire le nombre de véhicules sur les routes et faire un geste concret pour la planète. Sauf qu’en Tunisie, la pratique est devenue, pour beaucoup, un véritable casse-tête mental, logistique et financier.

Un besoin né du vide laissé par les transports publics

Dans certaines régions, il suffit de rater un bus pour perdre des heures. Un bus censé accueillir une trentaine de passagers en transporte souvent plus du double, des voyageurs accrochés aux portes, un pied sur la marche, l’autre dans le vide. Entre bus bondés, trains en retard et taxis grands et petits souvent hors de prix, le covoiturage s’est imposé comme une solution… ou plutôt comme un pis-aller.

C’est devenu une source de stress. Certains conducteurs, au lieu de partager équitablement les frais d’essence, imposent des tarifs qui dépassent le simple partage des coûts.

Les prix varient de 5 à 8 dinars par jour, parfois plus. Pour une seule personne, cela peut vite représenter jusqu’à 160 Tnd par mois pour un simple aller-retour quotidien, un montant qui pèse lourd sur le budget des classes moyennes.

Quand le rapport de force s’installe

Ceux qui «offrent» ces trajets finissent par transformer le covoiturage en activité parallèle rentable. Certains refusent de partir tant que la voiture n’est pas remplie à ras bord. Résultat: salariés et étudiants patientent une heure de plus devant leur lieu de travail, souvent sans alternative. «Si ça ne te plaît pas, il y en a dix autres pour prendre ta place», lâche parfois le conducteur. Et gare à celui ou celle qui a cinq minutes de retard le matin: le ton monte vite, et l’ambiance devient toxique.

Sans compter les risques: la majorité des «offres» se négocient sur des groupes Facebook, où l’on tombe souvent sur des profils verrouillés ou anonymes. Du coup, on ne sait pas vraiment à qui on a affaire. Ça peut être un inconnu mal intentionné ou un psychopathe. Allez savoir!

Pourquoi l’État doit réguler

Partout dans le monde, le covoiturage s’est structuré grâce à un encadrement clair: plateformes officielles, tarifs transparents, garanties de sécurité pour les passagers. En Tunisie, aucune réglementation ne définit aujourd’hui qui peut proposer du covoiturage, à quel prix ni selon quelles conditions.

Il est urgent de poser un cadre légal. Cela pourrait passer par un tarif maximum réglementé, des critères clairs (véhicule assuré, chauffeur vérifié), voire des avantages fiscaux pour encourager la pratique vertueuse du covoiturage.

Comment ça se passe ailleurs?

En France, BlaBlaCar est l’exemple emblématique: une plateforme encadrée par la loi qui vérifie l’identité des membres et interdit de dégager un profit — le conducteur peut uniquement partager les frais, pas gagner de l’argent (source: ministère de la Transition écologique).

En Allemagne, le covoiturage est soutenu par des politiques incitatives comme les voies réservées aux voitures avec plusieurs passagers. Le gouvernement investit dans des parkings-relais et des bornes de rencontre.

En Afrique du Sud, des startups comme GoCarShare ou Jozibear se sont inspirées des modèles européens. Mais les initiatives sont encore jeunes et souvent freinées par l’absence de politique publique dédiée.

Au Maroc, le covoiturage reste marginal mais le gouvernement encourage la mobilité partagée dans le cadre de son plan climat

Une pratique à sauver… en l’organisant

Le covoiturage est loin d’être une mauvaise idée. Bien encadré, il pourrait réellement soulager les budgets des ménages tunisiens, réduire la congestion urbaine et contribuer à la lutte contre la pollution. Mais sans règles claires, il ne reste qu’un système parallèle qui profite à quelques-uns au détriment du plus grand nombre.

L’article Quand le covoiturage à Tunis fatigue… est apparu en premier sur Managers.

Ultra Mirage El Djerid 2025 : le désert prêt pour la 9e édition

Le compte à rebours est lancé pour l’Ultra Mirage El Djerid (UMED), l’événement touristico-sportif désormais incontournable du sud tunisien.

Sa 9e édition se tiendra le 27 septembre 2025, en plein cœur du désert majestueux de Tozeur, marquant symboliquement le coup d’envoi de la haute saison touristique dans la région.

Porté par l’énergie d’Amir Ben Gacem, son fondateur et organisateur, l’événement attire chaque année des passionnés de trail venus des quatre coins du monde : ils étaient issus de 27 nationalités lors de la dernière édition.

Plus qu’une simple compétition sportive, UMED s’inscrit dans une vision durable et inclusive du tourisme : plantation d’arbres, recyclage des déchets générés par la course, mise en avant des produits du terroir… autant d’actions concrètes qui renforcent l’impact positif de l’événement sur son territoire d’accueil.

Côté performance, l’édition 2025 promet de belles émotions avec trois formats de course : 100 km, 50 km et 25 km, ouverts aux amateurs comme aux coureurs aguerris, prêts à défier les étendues sablonneuses du Djérid.

L’article Ultra Mirage El Djerid 2025 : le désert prêt pour la 9e édition est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

Iberostar prépare son 8e hôtel en Tunisie

La chaîne hôtelière Iberostar a repris un nouvel hôtel à Hammamet, portant à 8 le nombre de ses établissements en Tunisie.

L’hôtel Mirage, situé dans la zone touristique de Jinène El Hammamet, va passer sous l’enseigne Iberostar Selection et ce à compter du 1er avril 2025.

Cet établissement de catégorie 5 étoiles est composé de 271 chambres et bungalows en bord de mer.

Iberostar consolide ainsi sa présence sur le marché tunisien après l’ouverture en juin 2024 de l’hôtel Eolia à Djerba.

L’article Iberostar prépare son 8e hôtel en Tunisie est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

Umfrage April 2024: Nur neun Prozent sehen Tunesien auf dem richtigen Weg

Von: Redaktion
05. April 2024 um 14:55

Während Kaïs Saïed bei den Wahlabsichten für die Präsidentschaftswahlen das Rennen macht, sind nur 9% der befragten Tunesier der Meinung, dass sich Tunesien in die Mehr

Der Beitrag Umfrage April 2024: Nur neun Prozent sehen Tunesien auf dem richtigen Weg erschien zuerst auf Tunesienexplorer.de.

CNAM: Erhöhung der Höchstbeträge für die Kostenübernahme ab dem 1. Februar

Von: Redaktion
15. Januar 2024 um 19:38

Ab dem 1. Februar 2024 wird die jährliche Höchstgrenze der Beträge für die Kostenübernahme von Gesundheitsdienstleistungen, die von der Nationalen Krankenversicherungskasse (CNAM) übernommen werden, offiziell Mehr

Der Beitrag CNAM: Erhöhung der Höchstbeträge für die Kostenübernahme ab dem 1. Februar erschien zuerst auf Tunesienexplorer.de.

❌
❌