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Gestern — 27. März 2025Haupt-Feeds

Le dinar résiste face aux devises étrangères, affirme la BCT

27. März 2025 um 10:09

Le conseil d’administration de la Banque centrale de Tunisie (BCT) souligne que le dinar tunisien continue de faire preuve de résilience face aux principales devises. Toutefois, il met en garde contre les risques de remontée des taux, malgré une tendance baissière de l’inflation.

Dans un communiqué publié à l’issue de sa réunion du 26 mars, le conseil a examiné les récentes évolutions économiques et financières aux niveaux international et national, ainsi que les prévisions d’inflation.

Il a relevé que la baisse quasi généralisée des prix des principales matières premières et produits de base sur le marché international a contribué au repli de l’inflation mondiale en 2024. Cependant, l’inflation sous-jacente demeure élevée, maintenant l’inflation globale au-delà des prévisions des banques centrales au cours des premiers mois de 2025.

Dans un contexte marqué par des incertitudes géopolitiques et commerciales, ces tendances ont conduit à une révision à la hausse des perspectives d’inflation à court terme, incitant plusieurs grandes banques centrales à maintenir leurs taux directeurs inchangés.

Sur le plan national, la croissance économique a poursuivi sa progression au quatrième trimestre 2024, atteignant 2,4% en glissement annuel contre 1,8% le trimestre précédent. Cette dynamique repose principalement sur le renforcement des activités dans les secteurs des services et de l’agriculture.

Concernant le secteur extérieur, le conseil a constaté que le déficit courant s’est établi à 1.654 Mtnd (0,9% du PIB) à fin février 2025, contre 113 Mtnd (0,1% du PIB) un an plus tôt. Cette aggravation résulte principalement de l’élargissement du déficit commercial (-3.518 Mtnd contre -1.780 Mtnd à fin février 2024), malgré la bonne performance des recettes touristiques et des revenus du travail.

Par ailleurs, les avoirs nets en devises ont atteint, au 25 mars 2025, 22,9 milliards de dinars (100 jours d’importations), contre 27,3 milliards (121 jours) à fin décembre 2024. Le taux de change du dinar demeure stable face aux principales devises.

L’inflation, quant à elle, poursuit son ralentissement, s’établissant à 5,7% en février 2025, contre 6% le mois précédent. Cette atténuation s’explique en grande partie par la baisse de l’inflation des produits à prix administrés (2,2% contre 3,8%), en lien avec la réduction de la TVA sur les tarifs de l’électricité et le maintien du gel des prix des produits et services clés. Toutefois, l’inflation sous-jacente, hors produits alimentaires frais et prix administrés, a légèrement progressé à 5,1% en février contre 5% en janvier.

Les prix des produits alimentaires frais continuent d’évoluer à des niveaux élevés, atteignant 13,3% en février contre 13,2% un mois plus tôt.

Selon la BCT, les récentes tendances de l’inflation ont conduit à une révision à la baisse des prévisions pour les mois à venir. Cependant, la hausse des salaires dans les secteurs public et privé pourrait exercer des pressions à la hausse sur les coûts de production et stimuler davantage la demande, dans un contexte où les capacités de production restent limitées, notamment en raison du stress hydrique persistant et du rythme lent des réformes stratégiques.

Cette situation pourrait freiner une baisse plus marquée de l’inflation à court terme. En moyenne annuelle, le taux d’inflation devrait passer de 7% en 2024 à 5,3% en 2025.

Enfin, le conseil souligne que l’évolution future de l’inflation demeure incertaine et exposée à plusieurs risques haussiers, en lien avec la fluctuation des prix internationaux des matières premières, la dynamique de la demande et la gestion du déficit budgétaire de l’État.

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Le dollar s’affaiblit, contrairement aux attentes

26. März 2025 um 10:56

Au début de l’année, tous les analystes s’attendaient à un dollar fort. Mais à la fin du premier trimestre, le billet vert traverse une mauvaise passe. Les politiques agressives de Donald Trump, basées sur des barrières douanières, risquent d’impacter négativement la croissance américaine. La réponse européenne, forte et basée sur des dépenses plus importantes, a changé la donne. La confiance des consommateurs américains est à son plus bas depuis 4 ans.

Au début, les attentes évoquaient un impact positif des droits de douane. Mais ce sont les données économiques américaines qui inquiètent. Les actions actuelles vont conduire à l’augmentation du taux de chômage à la suite du licenciement des agents publics. En même temps, la guerre contre l’immigration clandestine va réduire la disponibilité de la main-d’œuvre, donc les prix à terme. Les économistes tentent de suivre la réalisation des promesses électorales de Trump qui n’a pas de calendrier précis pour ses réformes. Il mène les actions sur tous les fronts, ce qui perturbe toute analyse des effets des chantiers ouverts.

Pour le dinar, nous avons vu une appréciation de 0,7% vis-à-vis du billet vert sur une année glissante. Il est encore tôt d’évaluer les retombées de ces dynamiques sur la balance des paiements tunisienne. Toutefois, un euro fort signifie des recettes d’exportations plus importantes et des importations de matières premières et de base moins coûteuses. Tous les contrats sont négociés en dollar américain, ce qui fait nos affaires en tant que pays importateur net de ces produits. Mais au total, une mauvaise croissance américaine signifie un ralentissement mondial, ce qui n’est pas une bonne nouvelle. 

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Une baisse du taux directeur en vue ?

26. März 2025 um 10:15

Bien que cela demeure un sujet à débattre du point de vue technique, plusieurs signes convergent vers une baisse proche du taux directeur.

La dernière rencontre du président de la République avec le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie envoie des signes dans ce sens. Il y a une insistance sur le rôle de l’institution de l’Avenue Hédi-Nouira dans la relance économique; en d’autres termes, l’accès au financement. De plus, les derniers chiffres de l’inflation, 5,7% le mois dernier, ouvrent effectivement une fenêtre de tir, surtout que celle sous-jacente, indicateur clé pour la politique monétaire, est au même niveau.

À notre avis, la révision des taux doit se faire cette année, mais nous préférons temporiser. L’analyse de l’indice des prix montre que les produits alimentaires accélèrent toujours plus rapidement que le panier global. Si les prix de l’huile d’olive n’avaient pas baissé et que la période des soldes n’avait pas coïncidé avec cette période, nous aurions été avec une inflation plus élevée. Ceux qui font le marché quotidiennement ont certainement remarqué la hausse des prix de plusieurs produits. Les commerçants préparent la rentrée après les vacances de l’aïd avec de nouveaux tarifs.

Pour relancer l’investissement, il faut que la baisse soit significative, de pas moins de 100 points de base. Elle permettra un accès moins onéreux aux crédits d’exploitation, mais pas nécessairement à ceux d’investissement. Ce dernier ne dépend pas seulement de cette composante. Il y a tout un environnement et une demande locale et internationale toujours instables. Si nous relançons la demande alors que l’offre demeure rigide, nous allons nous retrouver dans le même piège, et c’est grave.

Reste à préciser que la réduction du taux directeur sera accompagnée d’une baisse similaire de la rémunération des dépôts. Si vous avez planifié des produits financiers sur la base de 7% brut, il est temps de refaire vos calculs.

 

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Pourquoi la dette ne cesse d’augmenter en Afrique? Détails.

26. März 2025 um 09:39

“L’Afrique perd chaque année 88,6 milliards de dollars à cause des flux financiers illicites”, a affirmé Jason Braganza, directeur exécutif du réseau africain sur la dette et le développement,  lors de la 5e édition d’AFRODAD; tenue du 25 au 27 mars à Johannesburg, en Afrique du Sud. Il a insisté sur la nécessité d’une action concertée pour endiguer ces pertes, qui freinent le développement économique du continent.

“Nous ne pouvons pas parler de développement durable sans aborder la question des flux financiers illicites. Ce sont des ressources qui devraient être investies dans l’éducation, la santé et les infrastructures”, a-t-il insisté. Il a également mis en avant la responsabilité des gouvernements africains dans la lutte contre l’évasion fiscale et les pratiques de corruption.

Selon lui, une meilleure transparence fiscale et une coopération accrue entre les États sont indispensables pour limiter ces pertes. “Il est temps d’adopter des politiques plus strictes et de renforcer les capacités des institutions pour traquer et récupérer ces fonds détournés”, a-t-il ajouté.

Dette en afrique: les raisons d’un cycle sans fin

Lors du même événement, Jason Braganza a dressé un tableau critique de la structure économique des pays africains et de la crise de la dette qui pèse sur le continent. Il a souligné que les économies africaines restent dominées par l’exportation de matières premières, une héritage du système colonial. “La structure de l’économie du Kenya n’a pas changé depuis l’indépendance”, a-t-il déclaré, en expliquant que bien que les produits exportés aient évolué, la logique d’exploitation reste la même.

Braganza a illustré son propos en prenant l’exemple des téléphones portables: “Plus de 50% des matériaux contenus dans votre téléphone proviennent de ce continent, mais regardez où il est fabriqué.” Il a mis en avant l’incohérence du modèle économique où l’Afrique exporte du lithium ou du cobalt à bas prix, puis importe les produits finis à des coûts bien plus élevés.

Concernant la dette, il a rappelé que ce phénomène ne date pas d’hier, mais remonte aux années 1970. Plusieurs tentatives de réduction ont été entreprises, comme l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés dans les années 2000, qui a permis l’annulation de plus de 100 milliards de dollars de dette. Cependant, de nombreux pays africains se retrouvent aujourd’hui dans la même situation.

Enfin, il a souligné l’absence des institutions multilatérales dans ces négociations, un élément qui complique la recherche de solutions durables. Les dettes contractées auprès du FMI, de la Banque mondiale ou de la Banque africaine de développement ne sont pas incluses dans le cadre commun et doivent être remboursées intégralement. Cette rigidité contribue à perpétuer le cycle d’endettement des États africains.

Par son intervention, Jason Braganza a appelé à une refonte profonde du modèle économique et des mécanismes de gestion de la dette pour permettre à l’Afrique de sortir de cette spirale financière et d’envisager un développement durable et autonome.

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Johannesburg: lancement de la 5e édition d’AfroMedi sur la question de la dette en Afrique

25. März 2025 um 21:35

La question de la dette en Afrique demeure un enjeu majeur, affectant directement le développement économique du continent. 

C’est dans ce cadre que la 5e édition de l’Initiative Médias Afrodad (AfroMedi V) se tient à Sandton, Johannesburg, en Afrique du Sud. Organisé par le Forum et réseau Africain sur la dette et le développement (AFRODAD), cet événement vise à renforcer la capacité des médias à traiter les questions de dette publique et de financement du développement.

« Plus de la moitié des pays africains sont confrontés à une détresse liée à la dette ou présentent un risque élevé d’y sombrer » a déclaré Howard Mwangi, chargé des campagnes et de la communication à AFRODAD et d’ajouter que des pays comme la Zambie, le Tchad, l’Éthiopie et plus récemment le Ghana ont déjà fait défaut. Cette réalité compromet les investissements dans les services publics essentiels tels que l’éducation, la santé et l’assainissement.

L’édition de cette année intervient alors que l’Afrique cherche à affirmer sa souveraineté économique. AFRODAD met ainsi l’accent sur la nécessité pour les journalistes de ne pas seulement rapporter les faits, mais aussi d’analyser et d’humaniser les problématiques liées à l’endettement. “L’Afrique doit être créatrice de règles et non sujette à des règles”, a insisté Mwangi, appelant les médias à jouer un rôle clé dans la transformation du discours économique mondial.

Il est bon de rappeler qu’AFRODAD, l’Organisation panafricaine de la société civile, s’engage depuis 1996 à promouvoir la justice en matière de dette et de financement du développement à travers le continent. Basée à Harare, au Zimbabwe, avec des bureaux au Cameroun et au Kenya, elle œuvre pour une croissance économique inclusive et un développement durable en influençant les politiques de gestion de la dette sur la base des droits humains.

En 2021, AFRODAD a lancé l’Initiative Médias AFRODAD (AFROMEDI) pour renforcer la qualité et l’efficacité du traitement médiatique des questions de dette et de développement en Afrique. 

Actuellement, la 5ᵉ édition de l’AFROMEDI se déroule du 25 au 27 mars 2025 à Johannesburg, en Afrique du Sud, réunissant 45 journalistes de 31 pays pour approfondir ces enjeux cruciaux.  

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Afreximbank: la Somalie est officiellement un membre

24. März 2025 um 11:45

La Somalie rejoint officiellement Afreximbank, une annonce faite ce lundi 24 mars 2025 par l’institution financière elle-même.

Cette adhésion représente une opportunité majeure pour stimuler la croissance économique du pays, qui affichait en 2022 un indice de développement humain de 0,380, le plus bas parmi les 193 pays classés par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).

La Somalie figure également parmi les pays les moins avancés, selon l’Organisation des Nations unies (ONU).

Pour Afreximbank, cette intégration marque une étape clé vers une transformation économique durable et la modernisation des infrastructures commerciales et industrielles du pays.

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Une cimenterie tunisienne passe sous pavillon chinois

24. März 2025 um 11:12

L’ambassadeur de Chine en Tunisie, Wan Li, a annoncé qu’une entreprise chinoise spécialisée dans le secteur du ciment s’apprête à acquérir une cimenterie en Tunisie pour un montant dépassant 100 millions de dollars.

Dans une interview que l’ambassadeur a accordé le 23 mars 2025, il a souligné que cet investissement, qu’il considère comme majeur, représente le premier engagement direct de la Chine en Tunisie depuis plusieurs années.

« Nous avons confiance que cette entreprise, à la pointe de la technologie, introduira des techniques modernes et renouvellera les équipements de l’usine, ce qui aura un impact positif sur l’environnement », a-t-il déclaré. Il a également assuré que cette acquisition permettra d’améliorer la productivité et l’efficacité de la cimenterie, située près de Tunis.

Selon Wan Li, cet investissement reflète l’intérêt croissant des entreprises chinoises pour le marché tunisien. Toutefois, il a reconnu que ces dernières manquent encore de familiarité avec le cadre réglementaire du pays.

Concernant la reconstruction du stade olympique d’El Menzah, il a annoncé qu’un accord de financement a été conclu entre la Tunisie et la Chine. Il a précisé que la partie tunisienne a remis une étude de faisabilité, actuellement examinée par les entreprises chinoises concernées. Ces dernières ont demandé des documents complémentaires, tout en exprimant leur optimisme quant à l’avancement du projet grâce aux efforts conjoints des deux parties.

Source: TAP

 

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Observatoire national de l’énergie: la demande de gaz naturel a bondi de 6%

19. März 2025 um 12:53

La demande totale de gaz naturel a augmenté de 6% entre janvier 2024 et janvier 2025, atteignant 392 ktep, selon le rapport sur la conjoncture énergétique de janvier 2025, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

La demande pour la production d’électricité a progressé de 4%, le secteur de la production électrique restant le principal consommateur de gaz naturel, représentant 61% de la demande totale en janvier 2025. En effet, plus de 95% de la production d’électricité repose sur le gaz naturel.

Pour les usages finaux, à l’exclusion de la production d’électricité, la demande de gaz naturel a augmenté de 8%, atteignant 153 ktep. La demande des clients moyenne et basse pression a progressé de 9%, tandis que celle des clients haute pression a enregistré une hausse de 3%.

La consommation spécifique globale des moyens de production d’électricité est restée quasi stable entre janvier 2024 et janvier 2025, se chiffrant à 188,3 tep/GWh.

Par ailleurs, la demande nationale de produits pétroliers a légèrement augmenté de 1% entre janvier 2024 et janvier 2025, atteignant 381 ktep. L’Observatoire a observé une hausse de 3% pour les essences et de 22% pour le jet d’aviation. En revanche, la demande de fuel a diminué de 18%, tandis que celle du petcoke a baissé de 3%.

La structure de la consommation de produits pétroliers n’a pas connu de changements notables entre janvier 2024 et janvier 2025, à l’exception de certains produits: la part du fuel est passée de 3 à 2%, celle du gasoil a diminué de 45 à 43%, et la part du jet d’aviation a augmenté de 4 à 5%.

La consommation de gaz de pétrole liquéfié a diminué de 2% entre janvier 2024 et janvier 2025, représentant 61% de la consommation totale de produits pétroliers. De même, la consommation de GPL a augmenté de 11%, tandis que celle du coke de pétrole, utilisé uniquement par les cimenteries, a baissé de 3% pendant cette même période (données partiellement estimées).

Enfin, la consommation de jet aviation a enregistré une hausse significative de 22% en janvier 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

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Balance commerciale alimentaire à fin février 2025: une couverture positive de 129,8%

19. März 2025 um 12:15

L’Observatoire national de l’agriculture (Onagri) a récemment publié les résultats de la balance commerciale alimentaire pour la période allant jusqu’à la fin du mois de février 2025. Ces chiffres montrent une couverture positive de 129,8%, ce qui témoigne d’une solide performance du secteur alimentaire tunisien.

La balance commerciale alimentaire affiche un excédent de 390,2 Mtnd, contribuant ainsi à réduire le déficit global du pays de 11,1%. 

Plusieurs produits ont particulièrement contribué à cet excédent, avec des performances remarquables dans certaines catégories:

-L’huile d’olive: les quantités exportées ont enregistré une progression significative de 67,9%, consolidant ainsi la position de la Tunisie comme acteur majeur sur le marché international de l’huile d’olive.

-Les agrumes: en termes de valeur, les exportations d’agrumes ont augmenté de 59,8%, mettant en lumière la dynamique du secteur et la demande croissante pour ces produits sur les marchés internationaux.

-Les tomates: une hausse de 22,7% en termes de valeur a été observée, confirmant le dynamisme des productions maraîchères tunisiennes.

Maîtrise des importations alimentaires

L’Onagri a également souligné une gestion plus efficace des importations alimentaires au début de l’année 2025. Les importations de sucre ont enregistré une diminution notable de 58,7%, contribuant ainsi à une réduction de la dépendance du pays vis-à-vis de ce produit.

Concernant les importations d’huiles végétales, elles ont baissé de 58,3%.

Les prix du blé dur ont diminué de 19%, tandis que ceux du blé tendre ont connu une baisse de 3,4%.

 

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22,4 milliards $ pour la transition énergétique africaine, et la Zlecaf dans tout ça?

19. März 2025 um 09:33

L’intégration économique de l’Afrique est essentielle pour stimuler la croissance et renforcer la compétitivité des entreprises du continent. Pourtant, la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) reste incomplète, freinée par des obstacles réglementaires, logistiques et financiers.

L’accord de la Zlecaf, entré en vigueur en 2019, vise à créer un marché unique africain en facilitant le commerce entre les pays du continent. Cependant, plusieurs défis persistent, notamment la nécessité d’harmoniser les politiques commerciales et d’améliorer les infrastructures. Pour y remédier, le Rapport économique sur l’Afrique 2025 propose des recommandations claires.

Des mesures concrètes!

Tout d’abord, les gouvernements doivent accélérer l’application intégrale de la Zlecaf. Cela implique de réduire les droits de douane, d’éliminer les obstacles non tarifaires et d’unifier les politiques commerciales. De plus, il est important de renforcer les comités nationaux de mise en œuvre et d’impliquer davantage le secteur privé.

Par ailleurs, le développement de chaînes de valeur régionales doit être une priorité. Des secteurs comme l’agroalimentaire, l’automobile, les produits pharmaceutiques et les énergies renouvelables nécessitent des investissements ciblés et un soutien accru aux petites et moyennes entreprises (PME).

De plus, les politiques climatiques doivent être intégrées dans l’application de la Zlecaf. La tarification du carbone et le financement des énergies renouvelables, comme le solaire et l’éolien, sont des leviers essentiels. D’ici à 2040, la transition énergétique africaine pourrait nécessiter des investissements de 22,4 milliards de dollars.

Par ailleurs, la modernisation des procédures douanières et l’adoption de technologies numériques, telles que la chaîne de blocs et le traitement électronique des données, sont indispensables. L’amélioration des infrastructures numériques, incluant les réseaux à haut débit et les centres de données, facilitera le commerce numérique et l’innovation.

L’égalité hommes-femmes est aussi un enjeu majeur. Il est nécessaire de lever les barrières empêchant les femmes de participer au commerce transfrontalier et de soutenir les PME dirigées par des femmes en facilitant leur accès au financement, à l’éducation et aux compétences numériques.

Enfin, l’harmonisation des politiques commerciales entre les communautés économiques régionales (CER) réduira la fragmentation et améliorera la cohérence de la Zlecaf. La libre circulation des personnes, des biens et des capitaux doit être encouragée grâce à des initiatives comme le Marché unique africain du transport aérien et le Système de paiement et de règlement panafricain.

En plus de ces aspects économiques, le rapport insiste sur l’importance d’un développement urbain durable. Investir dans le logement abordable, l’eau propre et l’assainissement est essentiel pour gérer l’urbanisation rapide. La création d’emplois dans les villes, notamment dans les services et l’économie informelle, contribuera aussi à réduire le chômage des jeunes.

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Les exportations de dattes tunisiennes enregistrent une baisse

19. März 2025 um 09:00

Le volume des exportations de dattes tunisiennes a enregistré une baisse durant les cinq premiers mois de la campagne 2024/2025. Selon les données publiées par l’Observatoire national de l’agriculture (Onagri), entre octobre 2024 et fin février 2025, la Tunisie a exporté 90,3 mille tonnes de dattes, contre 92,9 mille tonnes durant la même période de l’année précédente, soit une baisse de 2,9%.

La variété “Deglet Ennour” continue de dominer les exportations tunisiennes, représentant 86,8% du volume total exporté.

En termes de valeur, les recettes à fin février 2025 s’élèvent à 581,8 millions de dinars, contre 587,8 millions de dinars un an auparavant, enregistrant ainsi une baisse de 1%. Le prix moyen des dattes en février 2025 a atteint 6,02 dinars par kilogramme, soit un recul de 1,9% par rapport au même mois de la campagne précédente.

L’Union européenne reste la principale destination des dattes tunisiennes, absorbant 37,3% des volumes exportés, suivie de l’Afrique (28,9%) et de l’Asie (23,7%). Le Maroc demeure le premier importateur, avec une part de 22,8%, devant l’Italie (9,9%) et la France (6,9%).

Concernant les dattes biologiques, les exportations ont atteint 3,7 mille tonnes pour une valeur de 35 millions de dinars. Comparées à la même période de l’année précédente, ces exportations ont chuté de 5,9%, tandis que les recettes ont connu une baisse plus marquée de 30,7%. La part des dattes biologiques dans l’ensemble des exportations de dattes reste faible, ne dépassant pas 4%.

Le prix moyen des dattes biologiques est de 9,36 dinars par kilogramme, avec des variations selon le type de produit: 8,38 dinars/kg pour les dattes biologiques conventionnelles, 10,35 dinars/kg pour les produits dérivés, et 2,53 dinars/kg pour les dattes biologiques destinées à l’industrie.

L’Allemagne demeure le premier marché pour les dattes biologiques tunisiennes, représentant 28% du volume exporté, suivie des Pays-Bas et de la France, avec chacun une part de 12%.

 

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Quand la Mauritanie digitalise son service public

Von: Managers
18. März 2025 um 09:09

Khadijetou El Heda, directrice de la modernisation de l’administration au ministère de la Transformation numérique et de la Modernisation de l’administration en Mauritanie, a participé au webinaire “Wings Growth Boost” organisé par Managers, dans le cadre du programme WING4Africa, soutenu par le projet Qawafel financé par l’AFD – Agence française de développement – et mis en œuvre par Expertise France. Ce webinaire s’est tenu le vendredi 14 mars 2025 et avait pour thème central les partenariats pour une Afrique numérique compétitive.

 

Dans son intervention, Khadijetou El Heda a souligné l’importance des partenariats solides pour booster la compétitivité digitale en Afrique. Elle a partagé les initiatives mises en place en Mauritanie pour favoriser l’innovation et la croissance à travers la collaboration, l’amélioration de l’infrastructure et la réglementation panafricaine. Elle a notamment évoqué la mise en œuvre de la digitalisation du secteur public adoptée par le gouvernement mauritanien. Cette transformation numérique vise à atteindre l’administration et permettre au ministère d’optimiser et de digitaliser ses processus, améliorant ainsi la qualité de service. Ces efforts sont supervisés par un comité technique présidé par le ministère de la Transformation numérique et un comité de pilotage présidé par le premier ministre.

 

Un système de gestion des plaintes a également été mis en place pour guider les politiques publiques en faveur des citoyens. De plus, un portail regroupant plus de 1100 formalités administratives a été créé afin d’informer les citoyens sur les procédures administratives. La mise en place d’un système électronique est également en cours.

 

Khadijetou El Heda a également présenté la plateforme numérique “Khadamati”, récemment lancée par le gouvernement mauritanien. Cette initiative prometteuse vise à faciliter l’accès aux services administratifs pour les citoyens et à renforcer la digitalisation des démarches publiques. Conçue pour centraliser les requêtes et doléances, cette plateforme ambitionne d’améliorer la transparence et la réactivité de l’administration. Toutefois, elle a souligné que le succès de “Khadamati” dépendra de la capacité de l’État à assurer un traitement efficace des demandes, à mobiliser les ressources nécessaires et à garantir son accessibilité, notamment pour les populations rurales confrontées à la fracture numérique. Malgré ces défis, “Khadamati” marque une avancée significative vers une modernisation des services publics en Mauritanie.

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Tourisme et artisanat : des programmes de coopération sont en préparation

18. März 2025 um 08:44

Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Sofiène Tekaya, a annoncé lundi, en marge de la cérémonie de remise des prix aux lauréats du Concours National de l’Artisanat 2025, que des programmes de coopération sont en préparation avec les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ainsi que celui de la Formation professionnelle et de l’Emploi. Ces initiatives visent à mettre en place des formations adaptées aux spécialités de l’artisanat tunisien.

Il a souligné que plus de 60 % des exposants du Salon national de l’artisanat sont de jeunes diplômés du supérieur, illustrant ainsi l’attrait croissant du secteur, qui connaît une transformation notable et séduit de plus en plus de jeunes, hommes et femmes.

Concernant les exportations, le ministre a précisé qu’en 2024, elles ont dépassé les 160 MD, les États-Unis représentant la première destination des produits artisanaux tunisiens. Il a également révélé qu’un nouveau programme est en cours pour explorer de nouveaux marchés en Afrique, une initiative qui renforcera davantage la filière.

Sur le volet touristique, Tekaya a indiqué que la Tunisie pourrait accueillir jusqu’à 11 millions de visiteurs lors de la prochaine saison, contre 10,25 millions en 2024. Des efforts sont en cours pour promouvoir la destination sur de nouveaux marchés, notamment en Tchéquie, en Chine et en Espagne.

Dans cette optique, un accord a déjà été signé avec la République tchèque pour le lancement de vols directs entre les deux pays à partir d’avril 2025.

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Quatre nouveaux hôpitaux régionaux en Tunisie: un projet à 358,7 millions de dinars

18. März 2025 um 07:50

Le ministère de l’Équipement et de l’Habitat a signé un contrat pour la construction et l’équipement de quatre hôpitaux régionaux de catégorie “B” à Ghardimaou, Guelma, Haffouz et Makthar. Le projet, d’un coût total de 358,7 millions de dinars tunisiens, est financé conjointement par le budget de l’État tunisien et le Fonds koweïtien pour le développement économique arabe.

La cérémonie de signature s’est tenue le lundi 17 mars 2025 sous la présidence de la ministre de l’Équipement et de l’Habitat en présence de l’ambassadeur du Koweït en Tunisie. Étaient également présents des représentants des ministères de la Santé, des Affaires étrangères, de l’économie et du plan, ainsi que plusieurs cadres du ministère de l’Équipement et de l’Habitat.

Ces infrastructures hospitalières seront réalisées sous la supervision du ministère de l’Équipement et de l’Habitat en tant que maître d’ouvrage délégué, au profit du ministère de la Santé. Chaque hôpital aura une capacité d’accueil de 105 lits et comprendra plusieurs services, notamment des consultations externes, un service des urgences et d’assistance médicale, des blocs opératoires, des unités de réanimation, ainsi que des services spécialisés en médecine interne, chirurgie générale, gynécologie-obstétrique et pédiatrie. Les établissements seront également dotés de laboratoires, d’une banque du sang, d’une pharmacie, d’une morgue et de divers équipements techniques.

Lors de la cérémonie, la ministre a insisté sur la nécessité pour l’entreprise en charge du projet de respecter les délais contractuels et d’assurer une qualité optimale des travaux. Elle a souligné que l’amélioration des services de santé constitue une priorité des autorités tunisiennes, conformément aux directives du président de la République qui considère que l’accès à des soins de qualité est un droit fondamental pour tous les Tunisiens, quel que soit leur lieu de résidence.

L’ambassadeur du Koweït a, quant à lui, réaffirmé l’engagement de son pays à soutenir le développement des infrastructures de santé en Tunisie. Il a mis en avant l’expérience et la compétence de l’entreprise en charge du projet et exprimé son souhait de renforcer davantage la coopération bilatérale entre les deux pays à travers d’autres initiatives et projets futurs.

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BCT: les avoirs nets en devises couvrent 101 jours d’importation à la date du 14 mars 2025

17. März 2025 um 08:47

Les avoirs nets en devises se sont établis à 23,1 milliards de dinars au 14 mars, représentant 101 jours d’importation, contre 23,9 milliards de dinars (109 jours d’importation) il y a un an, selon les derniers indicateurs monétaires et financiers publiés par la Banque centrale de Tunisie (BCT).

Cependant, les revenus du travail et les recettes touristiques ont respectivement augmenté de 6,8% pour atteindre 1,4 milliard de dinars, et de 5,1% pour atteindre 1 milliard de dinars au 10 mars 2025, par rapport aux résultats de mars 2024.

En ce qui concerne les services de la dette extérieure, ils sont restés pratiquement stables, s’établissant à 5,1 milliards de dinars.

En outre, les statistiques de la Banque centrale ont révélé une diminution de 10,7% du volume global de refinancement, passant de 14,8 milliards de dinars le 10 mars 2024 à 13,2 milliards de dinars le 10 mars 2025.

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INS: le déficit fait une chute libre en 2025

15. März 2025 um 12:12

Le déficit commercial de la Tunisie a atteint environ 3 milliards de dinars au cours des deux premiers mois de 2025, contre environ 1,5 milliard de dinars durant la même période en 2024. Cette augmentation est principalement attribuée au déficit du secteur énergétique, qui s’élève à environ 1,5 milliard de dinars, selon les données de l’Institut national de la statistique (INS). Si l’on exclut le secteur énergétique, le déficit commercial s’établit à environ 1,3 milliard de dinars. Le déficit énergétique a légèrement augmenté, atteignant 1,6 milliard de dinars, contre 1,5 milliard de dinars en janvier-février 2024.

L’INS a aussi observé une baisse des exportations d’environ 4 %, pour un total de 9 milliards de dinars, tandis que les importations ont augmenté de 10 %, atteignant 13 milliards de dinars. Cette hausse des importations provient principalement des achats de matières premières, demi-produits, produits de consommation et alimentaires. Le taux de couverture des importations par les exportations s’est établi à 74 %, contre 85 % en 2024. Les exportations du secteur énergétique ont diminué de 5 %, en raison de la baisse des exportations de produits pétroliers raffinés. Les exportations agricoles et alimentaires ont également chuté de 16 %, en raison de la réduction des ventes d’huile d’olive, passant de 1,2 milliard à 1 milliard de dinars.

Les exportations du secteur des industries mécaniques et électriques ont baissé de 5 %, tandis que celles du secteur textile, vêtements et cuir ont légèrement diminué de 1 %. En revanche, les exportations du secteur du phosphate et de ses dérivés ont augmenté de 9 %.

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Le déficit commercial s’établit à 3517,9 Mtnd en février 2025

14. März 2025 um 09:15

Selon les dernières données provenant de l’INS, les résultats des échanges commerciaux de la Tunisie avec l’extérieur aux prix courants durant les deux premiers mois de 2025 montrent que les exportations ont atteint le niveau de 10169,2 Mtnd contre 10637,6 Mtnd durant les deux premiers mois de 2024.

Quant aux importations, elles ont atteint 13687,1 Mtnd contre 12417,5 Mtnd durant la même période de 2024.

À la suite de cette évolution au niveau des exportations (-4,4%) et des importations (10,2%), le déficit commercial s’établit à un niveau de 3517,9 Mtnd contre 1779,9 Mtnd durant les deux premiers mois de 2024. Le taux de couverture s’est établi à un niveau de 74,3% contre 85,7% durant la même période en 2024.

Les exportations tunisiennes vers l’Union européenne (69,7% du total des exportations) ont diminué de 6,9%. Cette évolution est expliquée, d’une part, par la baisse de nos exportations vers certains partenaires européens, tels que la France  (7,9%), l’Italie (3%) et l’Espagne (43,9%), et, d’autre part, par la hausse observée avec l’Allemagne (10,7%) et les Pays-Bas (34%). 

Avec les pays voisins, les exportations ont augmenté avec la Libye (51,6%), le Maroc (40,6%), l’Algérie (11,8%) et l’Égypte (149,1%).

 

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4 banques tunisiennes se démarquent par leur solidité financière

14. März 2025 um 08:48

L’agence de notation financière américaine Moody’s a récemment annoncé une amélioration des perspectives concernant le système bancaire tunisien. Quatre banques locales se démarquent par leur solidité financière croissante, ce qui les aligne sur la notation souveraine du pays, qui s’améliore également. Les établissements concernés sont Amen Bank, la Banque de Tunisie (BT), la Banque Internationale Arabe de Tunisie (BIAT) et la Société Tunisienne de Banque (STB). Cette annonce survient dans un contexte de réformes gouvernementales visant à stabiliser l’économie nationale.

Les notes de dépôt à long terme de ces banques ont été révisées à la hausse, passant de Caa2 à Caa1. De plus, les notations associées aux risques de contrepartie à long terme ont également connu une progression. Pour la BT et la BIAT, ces notations évoluent de Caa1 à B3, tandis que pour la STB, elles passent de Caa2 à Caa1. Ces ajustements témoignent d’une confiance renouvelée dans la capacité de ces institutions tunisiennes à respecter leurs engagements financiers.

Moody’s attribue cette évolution favorable à la capacité du gouvernement tunisien à gérer efficacement le remboursement de sa dette. Une gestion plus rigoureuse permet de réduire le risque d’incidents liés à la dette souveraine. Néanmoins, les défis demeurent, pesant sur le secteur bancaire tunisien dans le moyen terme.

En effet, la croissance économique reste faible, freinée par des déséquilibres budgétaires et extérieurs significatifs. Les tensions financières restent assez élevées, et les banques locales sont fortement exposées à la dette publique. Ces conditions limitent toute amélioration notable en matière de solvabilité et de liquidité. Au cours des 12 à 18 mois à venir, Moody’s anticipe que ces contraintes restreindront les marges de manœuvre nécessaires à un renforcement supplémentaire de la stabilité du secteur financier tunisien.

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SNIT: 190 appartements à Zahrouni sont mis en vente

13. März 2025 um 13:00

La Société nationale immobilière de Tunisie (SNIT) a annoncé la commercialisation de 190 appartements dans le cadre du programme Foprolos, destiné aux citoyens souhaitant devenir propriétaires. En parallèle, 55 autres logements du même lotissement sont intégrés au programme du premier logement, selon les informations fournies par la SNIT.

Les tarifs des appartements mis en vente varient en fonction de leur superficie. Les logements S+1 (une chambre + salon) sont proposés entre 105.000 et 114.000 dinars, les S+2 (deux chambres + salon) entre 131.000 et 145.000 dinars, tandis que les S+3 (trois chambres + salon) sont disponibles entre 177.000 et 193.000 dinars.

Abdelkader Kacem, directeur commercial de la SNIT, a déclaré ce jeudi 13 mars 2025 sur les ondes de la Radio nationale que les visites des appartements ont commencé la veille et se poursuivront jusqu’au dimanche 16 mars, de 8h00 à 13h00. Les personnes intéressées pourront s’inscrire à partir du lundi 17 mars à 8h00 via le site officiel de la SNIT, où elles recevront un certificat d’enregistrement.

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