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Les prix décélèrent, l’inflation à 5,3% fin juillet 2025

06. August 2025 um 08:04

Les nouveaux chiffres de l’inflation sont tombés hier. La hausse des prix a atteint 5,3% en juillet 2025 contre 5,4% le mois précédent. Ce repli est principalement dû au ralentissement du rythme d’évolution des prix du groupe «produits alimentaires» de 50 points de base à 5,9% sur une année. Cette composante pèse 26,2% dans l’indice, ce qui fait d’elle l’élément déterminant de l’IPC.

Les 5,9% traduisent l’augmentation des prix des légumes frais de 25,3%, des viandes ovines de 19,1%, des fruits frais de 15,1% et des poissons frais de 11,0%. Nous comprenons donc la raison pour laquelle le citoyen n’arrive pas à comprendre une inflation à un seul chiffre. En revanche, les prix des huiles alimentaires ont baissé de 22,9%, ainsi que ceux des œufs de 4,7%.

Sur un an, les prix des produits manufacturés ont progressé de 5,3% en raison de la hausse des prix des produits de l’habillement et chaussures de 9,2% et des produits d’entretien courant du foyer de 5,3%. Pour les services, l’augmentation des prix est de 4,7% sur un an, principalement expliquée par la hausse des prix des services du groupe restaurant, cafés et hôtels de 11%.

En juillet 2025, le taux d’inflation sous-jacente (hors produits alimentaires et énergie) a légèrement augmenté pour s’établir à 5,6% après 5,5% le mois précédent. Les prix des produits libres (non encadrés) ont gagné 6,3% sur un an, ceux des produits encadrés ont évolué de 1,8%. Les produits alimentaires libres ont connu une hausse de 6,7% contre 0,5% pour les produits alimentaires à prix encadrés. Autrement dit, si l’État n’avait pas continué sa politique de subvention des matières de base, les prix auraient été à un autre niveau.

 

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Commerce: prix plafonnés pour la pomme de terre, marges encadrées sur le poisson

01. August 2025 um 13:56

Dès le 4 août 2025, le ministère du Commerce impose un prix plafond à la pomme de terre: 1650 millimes/kg en entrepôt, 2 000 millimes/kg en gros, et 2 500 millimes/kg en détail.

Par ailleurs, les marges bénéficiaires sur les poissons vendus en détail à l’état brut ne devront pas dépasser 25%, basées sur des prix d’achat justifiés par des factures.

Ces mesures s’accompagnent d’un rappel à l’ordre pour tous les acteurs de la filière, producteurs, grossistes et commerçants, qui doivent impérativement justifier leur statut professionnel, respecter les circuits légaux et se conformer aux plafonnements imposés. En cas de non-respect, les autorités procéderont à la saisie immédiate des produits et pourront appliquer des sanctions judiciaires et administratives sévères.

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Chèques sans provision: l’ANPME veut l’arrêt des poursuites contre les plus de 60 ans. Détails

30. Juli 2025 um 10:59

L’Association nationale des petites et moyennes entreprises (ANPME) alerte sur l’ampleur de la crise des chèques sans provision en Tunisie, avec près de deux millions d’affaires recensées en 2022, selon un magistrat. Dans un communiqué publié le 26 juillet 2025, elle réclame la fin de leur criminalisation, estimant que l’emprisonnement des dirigeants en faillite ne permet ni de récupérer les dettes ni de relancer l’activité économique.

Selon l’ANPME les chiffres soulignent l’ampleur du problème: alors qu’en 2022, un juge au tribunal de Monastir a mentionné plus de deux millions de cas de chèques impayés, le ministère de la Justice n’en reconnaît officiellement que 114 603. Par ailleurs, le Registre national des entreprises révélait la même année que près de 350 000 entreprises n’avaient plus déclaré leurs revenus fiscaux depuis plus de trois ans, signalant un effondrement du tissu entrepreneurial.

Dans la majorité des cas, les porteurs de chèques sans provision sont d’anciens patrons en faillite, qui ont déjà liquidé leurs biens pour éviter la prison. Leur incarcération ne permet ni de récupérer les fonds, ni de les réintégrer dans le circuit économique.

L’association attribue cette crise à des facteurs structurels remontant à l’après-révolution: montée de l’informel (qui représente désormais près de 50% du marché), pressions fiscales croissantes, afflux massif d’importations bon marché, embauches publiques hasardeuses, réduction des financements étatiques après 2016, et retrait des banques dans l’octroi des facilités de caisse. Les chocs récents — pandémie de Covid-19 et guerre en Ukraine — ont aggravé la situation en fragilisant davantage les PME.  

Devant cette situation, l’ANPME appelle à:

  • la dépénalisation du chèque sans provision, en conformité avec les standards internationaux,
  • l’application effective de la loi en vigueur, notamment l’abandon des poursuites contre les plus de 60 ans et le respect du délai de prescription,
  • la promotion de moyens de paiement alternatifs via les banques publiques,
  • un programme national pour réinsérer les débiteurs économiquement fragilisés,
  • et une relance claire de l’investissement à travers un cadre incitatif plus juste.

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Déficit énergétique en Tunisie: l’Observatoire de l’économie appelle à repenser les transports

30. Juli 2025 um 10:52

Dans sa récente note intitulée “Le secteur du transport, grand oublié de la transition énergétique!”, l’Observatoire tunisien de l’économie souligne l’urgence de développer des alternatives au transport routier et de renforcer les transports en commun.

Entre 2016 et 2024, le déficit énergétique tunisien s’est multiplié par quatre, passant de -2505 à -10718 millions de dinars.

Le secteur des transports, gros consommateur d’énergie, représente à lui seul 32% de la consommation finale en 2023, les produits pétroliers constituant la moitié de la demande en énergie primaire en 2024.

Malgré ces chiffres alarmants, l’observatoire déplore une absence de réaction adaptée de la part des décideurs. Ceux-ci persistent à appliquer des politiques énergétiques déconnectées des réalités nationales. 

L’observatoire appelle à revoir les priorités en encourageant des politiques qui diminuent la dépendance aux produits pétroliers tout en favorisant le développement de modes de transport alternatifs ainsi que des transports en commun. Il insiste aussi sur la nécessité de renforcer l’investissement dans le raffinage local afin d’améliorer la couverture des besoins énergétiques du pays.

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La ministre de l’Industrie appelle à finaliser la révision du Code minier

29. Juli 2025 um 10:46

La ministre de l’Industrie, des mines et de l’énergie, Fatma Thabet Chiboub, a insisté lundi 28 juillet, sur la nécessité de renforcer la coordination entre les acteurs concernés pour finaliser rapidement la révision du Code minier, un levier essentiel pour dynamiser le secteur.

Lors d’une réunion avec les membres du comité chargé de ce dossier et les représentants des entreprises minières, elle a rappelé que le Code, datant de 2003, doit être adapté à la Constitution de juillet 2022. 

Celle-ci impose notamment que «les conventions et contrats d’investissement relatifs aux richesses nationales» soient approuvés par l’Assemblée des représentants du peuple et le Conseil national des régions et des districts (article 16). Cette révision garantit ainsi la suprématie de la Constitution et la souveraineté de l’État sur ses ressources naturelles.

La ministre a également souligné que cette réforme est indispensable pour répondre aux besoins d’investissement dans le secteur, unifier le cadre juridique, revoir les aspects fiscaux et douaniers, et renforcer la prise en compte des dimensions foncières, environnementales et sociales, conformément aux principes du développement durable.

Cette rencontre s’inscrit dans le suivi des travaux du comité de révision, qui recueille les propositions des différentes parties prenantes afin d’améliorer la gouvernance et la gestion des ressources naturelles du pays.

À noter que le secteur minier regroupe aujourd’hui 60 sociétés de recherche et 47 entreprises d’exploitation, dont 10 étrangères. Il contribue à environ 3% du PIB national et emploie plus de 25 000 personnes.

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Disparue et retrouvée en Tunisie, une Italienne retourne à Cagliari

27. Juli 2025 um 13:07

Valentina Greco, 42 ans, une Italienne originaire de Cagliari, est rentrée en Sardaigne hier soir, samedi 26 juillet 2025. Elle a été retrouvée à son domicile de Sidi Bou Saïd (photo) le 19 juillet, après avoir été annoncée disparue par sa famille pendant une dizaine de jours.

Profondément bouleversée physiquement et psychologiquement, elle a demandé, par l’intermédiaire de son avocat, Me Gianfranco Piscitelli, à ne pas être bombardée de questions sur ce qui s’est passé en Tunisie et à ne pas être récupérée à son arrivée.

Il ne s’agit pas d’une position hostile aux médias, a expliqué Me Piscitelli, mais d’une «demande compréhensible et humaine compte tenu de son état physique». Elle ne fournira des éclaircissements et des précisions qu’ultérieurement et par l’intermédiaire de son avocat, a rapporté l’agence italienne Ansa.

I. B.

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La récolte des céréales de 2025 s’annonce prometteuse avec près de 20 Mqx attendus

21. Juli 2025 um 13:00

Le ministère de l’Agriculture et des Ressources hydrauliques a dévoilé des prévisions particulièrement encourageantes pour la saison céréalière 2025. La récolte pourrait atteindre 19,8 millions de quintaux, soit une nette progression comparée aux 11,5 millions de quintaux récoltés lors de la saison précédente.
Dans sa réponse à une question écrite de la députée Besma Hammami, publiée sur le site officiel de l’Assemblée des représentants du peuple, le ministère a précisé que la capacité de collecte pour la campagne 2024/2025 est estimée à environ 8 millions de quintaux.
Pour faire face à cette demande, les autorités ont renouvelé les contrats de location de 50 centres de collecte pour une durée de 9 ans.
Par ailleurs, l’Office des céréales a lancé des appels d’offres pour occuper huit centres de collecte vacants.
Trois d’entre eux ont été attribués à Nadhour, Hajeb El Ayoun et Teboursouk.
En complément, plusieurs annexes offrant une capacité d’environ 240 000 quintaux ont été recensées dans les gouvernorats de Siliana, Jendouba, Kairouan et Zaghouan, renforçant le maillage territorial pour la collecte.
Concernant le stockage, le ministère a indiqué que les infrastructures de l’Office des céréales peuvent accueillir actuellement environ 4,3 millions de quintaux, répartis entre stocks stratégiques et volumes d’évacuation.
Pour assurer une gestion optimale des récoltes, un accord a été conclu avec la Chambre nationale des minoteries de Tunisie, permettant d’exploiter près de 3 millions de quintaux de capacités vacantes dans les moulins entre juin et août 2025. D’autres espaces de stockage supplémentaires, d’environ 1 million de quintaux, viennent également compléter cette logistique.
Selon le ministère, le réseau de collecte s’étend désormais à 190 centres, dont 14 ont été ajoutés récemment, témoignant de la volonté d’améliorer sans cesse le dispositif.
Le transport des céréales mobilise 7 camions appartenant à l’Office des céréales, ainsi qu’environ 400 camions privés et 40 wagons ferroviaires, qui assurent le transfert des céréales depuis les zones de production jusqu’aux silos régionaux du Grand Tunis.
Enfin, le ministère a souligné que la superficie totale touchée par les incendies a atteint environ 200 hectares au 30 juin dernier.

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Deglet Ennour maintient sa place de leader dans les exportations de dattes

16. Juli 2025 um 14:18

Les exportations de dattes tunisiennes ont reculé de près de 6% entre octobre 2024 et fin juin 2025, selon les dernières données de l’Onagri. Malgré cette baisse, la variété Deglet Ennour reste ultra-dominante, représentant plus de 80% du volume exporté.

L’Union européenne est le principal marché, suivie de l’Afrique et de l’Asie. Le Maroc figure en tête des pays importateurs de dattes tunisiennes. Du côté des dattes biologiques, la filière reste encore marginale et accuse une baisse plus marquée.

Ce repli s’explique notamment par une légère baisse des prix et la conjoncture internationale moins favorable. Pour les acteurs de la filière, la Deglet Ennour reste toutefois un atout majeur pour maintenir la place de la Tunisie sur le marché mondial.

 

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Finances publiques: sous la surface de l’excédent, une vulnérabilité persistante

Von: Managers
14. Juli 2025 um 14:57

La Tunisie a traversé, entre 2021 et 2024, une période délicate pour ses finances publiques, marquée par des crises mondiales à répétition et la nécessité de maintenir le rôle social de l’État. Selon la dernière publication de l’IACE intitulée «Exécution budgétaire et vulnérabilité des finances publiques», la dette publique est restée au-dessus de 80% du PIB, signe d’une pression persistante.

Des recettes fiscales fragiles

Après des recettes plutôt bonnes en 2021 et 2022, le pays a vu ses ressources budgétaires ralentir en 2023 et 2024. En cause: une croissance qui peine à décoller et un effort de recouvrement fiscal qui s’essouffle. L’impôt sur les sociétés non pétrolières a notamment chuté. Malgré tout, la pression fiscale est restée forte car l’activité économique a ralenti. L’IACE souligne que plus de 90% des ressources de l’État dépendent encore des recettes fiscales, ce qui rend le système très vulnérable en cas de nouveau choc économique.

Dépenses maîtrisées mais charges rigides

D’après le même rapport, la masse salariale a été plutôt bien contenue, et les investissements ont gardé une certaine dynamique. Mais les subventions, elles, ont bondi entre 2021 et 2023 pour se stabiliser à plus de 7 000 Mtnd par an depuis 2022. Face à un manque de ressources extérieures, l’État a massivement eu recours à l’emprunt intérieur. En janvier 2024, la Banque centrale a même dû financer exceptionnellement le budget à hauteur de 7 000 Mtnd, preuve de tensions persistantes.

Une dette qui pèse lourd

Les chiffres confirment une vulnérabilité structurelle. Le taux d’endettement public dépasse 70% du PIB depuis 2020. Le service de la dette représente plus de 40% des ressources budgétaires, franchissant un seuil jugé critique. Les dépenses rigides — salaires, dette, subventions — pèsent désormais près de 89% du budget total en 2024, selon l’IACE. De quoi laisser très peu de marge pour financer de nouveaux projets ou investir dans des réformes de fond.

Début 2025: un excédent comptable à relativiser

À fin mars 2025, l’exécution budgétaire affiche un excédent de 2 078 Mtnd. Ce «répit» est lié à une hausse des recettes fiscales, à une baisse des dépenses de gestion et à l’apport de financements extérieurs, notamment via un crédit de l’Afreximbank. Mais l’IACE précise que cet excédent reste avant tout «comptable»: la baisse de 33,7% des dépenses d’investissement et le recours régulier à la Banque centrale montrent que la trésorerie reste sous tension, surtout en fin d’année.

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La Tunisie enregistre un déficit commercial aggravé de 23,5% à fin juin 2025

11. Juli 2025 um 14:10

La Tunisie a enregistré un déficit commercial de 9 900,5 millions de dinars (Mtnd) à fin juin 2025, contre 8 017,4 Mtnd à la même période de 2024, selon un communiqué de presse publié vendredi par l’Institut national de la statistique (INS) sur le commerce extérieur aux prix courants de juin 2025.

 

Ce creusement du déficit s’explique par une légère baisse des exportations (-0,6 %), qui ont atteint 31 773,7Mtnd, face à une hausse plus marquée des importations (+4,3%), s’élevant à 41 674,2 Mtnd.

Cette évolution a entraîné une détérioration du taux de couverture, qui est passé de 79,9% en 2024 à 76,2% en 2025.

Performances contrastées à l’export

Si les exportations globales affichent un léger recul, plusieurs secteurs ont tout de même enregistré des hausses notables. Le secteur des mines, phosphates et dérivés a progressé de +11,2%, celui des industries mécaniques et électriques de +6,2%, et le textile, habillement et cuirs de +0,4%.

En revanche, d’autres secteurs stratégiques ont connu des baisses significatives. Les exportations du secteur énergie ont chuté de -36,3%, en raison d’un effondrement des ventes de produits raffinés (245,6 Mtnd contre 950,4 Mtnd en 2024). Le secteur agroalimentaire a également reculé de -19,1%, principalement à cause de la baisse des ventes d’huile d’olive (2 346,6 Mtnd contre 3 406 Mtnd ).

Hausse des importations de biens de production

Du côté des importations, la hausse est principalement tirée par les biens d’équipement (+17,6%), les matières premières et demi-produits (+6,2%) et les biens de consommation (+11,6%). À l’inverse, les produits énergétiques ont reculé de -16,3%, tout comme les produits alimentaires (-2%), ce qui a partiellement atténué la hausse globale.

Une dynamique régionale hétérogène

Les échanges avec l’Union européenne, principal partenaire commercial de la Tunisie, ont représenté 70,3% des exportations et 44% des importations.

À l’export, les ventes vers l’UE sont restées quasiment stables (22 348,9 Mtnd en 2025 contre 22 332,6 Mtnd en 2024). Cependant, des disparités apparaissent : hausse vers l’Allemagne (+15,2%), la France (+4,8%) et les Pays-Bas (+12,4%), mais recul vers l’Italie (-7,1%) et l’Espagne (-31,9%).

Les exportations vers les pays arabes ont nettement progressé, notamment avec la Libye (+18,7%), le Maroc (+40,9%), l’Algérie (+27,8%) et l’Égypte (+44,7%), illustrant une diversification des marchés extérieurs.

À l’import, les échanges avec l’UE ont augmenté pour atteindre 18 354 Mtnd . Les hausses les plus notables concernent la France (+13,4%), l’Italie (+1,4%) et l’Allemagne (+10,6%).

En revanche, les importations depuis la Grèce et la Belgique ont diminué, respectivement de -28,5% et -4,1%.

Hors UE, les importations en provenance de la Chine (+37,7%) et de la Turquie (+15,4%) sont en forte hausse, tandis que celles en provenance de la Russie (-20,1%) et de l’Inde (-16,5%) reculent.

 

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