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Pharmaciens en colère : Le SPOT dénonce le non-paiement des sommes dues par la CNAM

10. November 2025 um 16:04

Le Syndicat des pharmaciens d’officine de Tunisie (SPOT) a lancé, lundi, un appel urgent aux autorités pour intervenir face au non-paiement d’une partie des montants dus par la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM), malgré la disponibilité des fonds issus des cotisations tripartites.

Le syndicat dénonce une décision « injustifiée et abusive »

Dans un communiqué, le SPOT affirme que la CNAM a décidé unilatéralement de ne pas régler certaines créances dues aux pharmaciens, sans justification légale ni logique.

Le syndicat estime que cette attitude « porte atteinte au principe de gestion du service public » et remet en cause les engagements pris par la Caisse dans le cadre des accords et des législations en vigueur.

Le SPOT appelle le gouvernement et le ministère des Affaires sociales à assumer leurs responsabilités et à intervenir immédiatement pour corriger ce qu’il qualifie de « décision administrative abusive ».

Le syndicat prévient qu’il se réserve le droit d’entreprendre toutes les actions institutionnelles et légales nécessaires pour défendre la dignité de la profession et les droits de ses adhérents.

Une rupture de confiance avec la CNAM

Le syndicat considère cette situation comme « un précédent grave dans l’histoire de l’administration tunisienne », dénonçant un désengagement flagrant de la CNAM vis-à-vis de ses obligations sociales et contractuelles.

Cette tension s’ajoute à une série de différends récurrents entre la caisse et les pharmaciens, souvent liés aux retards de remboursement et aux difficultés de trésorerie des officines.

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CNAM–pharmaciens : La confusion dissipée, mais le bras de fer continue

29. Oktober 2025 um 14:13

Après plusieurs jours d’incertitude autour du sort du remboursement des médicaments pour les maladies courantes, la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) et le Syndicat tunisien des pharmaciens privés ont tenté d’apaiser les tensions. Si la continuité du remboursement est désormais confirmée, le conflit de fond entre les deux parties reste entier, révélant une crise de confiance qui s’enlise.

Confusion dissipée, tension maintenue

Dans un communiqué publié mardi soir, le Syndicat tunisien des propriétaires de pharmacies privées a tenu à rassurer les assurés affiliés au système du médecin de famille : ils peuvent continuer à se procurer leurs médicaments habituels dans les pharmacies et bénéficier du remboursement par la CNAM, conformément aux procédures en vigueur.

Cette mise au point répond à la confusion provoquée par une série de communiqués successifs. La CNAM avait annoncé que, de manière exceptionnelle, les assurés relevant du système thérapeutique privé pouvaient encore bénéficier du remboursement des médicaments pour maladies courantes, le temps de régler les différends administratifs.

Un bras de fer contractuel

À l’origine du conflit : la décision du Syndicat des pharmaciens, prise lors de sa session extraordinaire du 25 octobre, de ne pas renouveler la convention du payeur direct pour 2026 et de suspendre ce dispositif pour les maladies courantes à partir du 27 octobre.

Les pharmaciens dénoncent les violations répétées de la convention actuelle, la fermeture du dialogue avec la CNAM et le non-respect des engagements pris lors des dernières réunions bilatérales.

En réponse, la CNAM a accusé le syndicat d’avoir agi de manière unilatérale, en dehors des délais et des procédures légales prévues. Elle a réaffirmé que le système du payeur direct continue de fonctionner avec les pharmacies qui n’appliquent pas la suspension décidée par l’Ordre.

Les pharmaciens réclament des garanties

L’Ordre des pharmaciens a pour sa part insisté sur la continuité du remboursement et du système du payeur direct, tout en rappelant que les professionnels du secteur ont, depuis des années, assumé seuls les conséquences des retards et manquements de la CNAM.

L’organisation appelle à une solution institutionnelle et durable, afin d’éviter que les citoyens ne soient pris en otage de ce désaccord.

Une crise symptomatique du système de santé

Derrière ce différend contractuel se cache une crise plus large de gouvernance du système de santé tunisien, où les tensions financières entre acteurs publics et privés se multiplient.

La CNAM cherche à contenir ses déficits, tandis que les pharmaciens revendiquent des conditions de travail viables et des paiements à temps.

En attendant une renégociation claire de la convention sectorielle, la méfiance reste palpable et le dialogue, toujours suspendu.

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Tunisie : La CNAM maintient le système du tiers payant avec les pharmacies

28. Oktober 2025 um 19:23

Face à la décision du Syndicat des pharmaciens d’officine de suspendre le tiers payant, la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) a annoncé la poursuite du dispositif afin de garantir la continuité de l’accès aux médicaments pour les assurés sociaux.

La CNAM rassure les assurés et les pharmacies

La CNAM a confirmé, mardi 28 octobre 2025, le maintien du système du tiers payant en vigueur avec les pharmacies. Cette décision vise à assurer la continuité de la délivrance des médicaments aux assurés sociaux « dans les meilleures conditions », selon le communiqué publié par l’institution.

À titre exceptionnel, les affiliés relevant du régime de soins privés continueront à bénéficier du remboursement des frais liés à l’achat de médicaments pour les maladies ordinaires, conformément aux procédures habituelles.

Réaction à la décision du Syndicat des pharmaciens

Cette annonce intervient après la décision unilatérale du Syndicat tunisien des pharmaciens d’officine (STPO), datée du 25 octobre, de suspendre le système du tiers payant pour les maladies ordinaires à partir du 27 octobre et de ne pas renouveler la convention pour 2026.

La CNAM a rappelé que cette décision syndicale avait été prise en dehors des délais et procédures légales prévus par la convention sectorielle liant les deux parties. En réponse, elle a adopté des mesures exceptionnelles pour protéger les droits des assurés et éviter toute rupture de service dans la chaîne d’approvisionnement des médicaments.

Une mesure de stabilité dans un contexte tendu

Le maintien du tiers payant, mécanisme clé du système de santé tunisien, permet aux patients affiliés de ne pas avancer le coût des médicaments pris en charge par la CNAM. Cette décision vise à préserver l’équilibre du système et à éviter une crise de confiance entre les pharmaciens, les patients et la caisse d’assurance maladie..

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Crise à la CNAM : Kaïs Saïed tente de reprendre le contrôle d’un modèle social fissuré

28. Oktober 2025 um 10:05

Le même jour que l’annonce de la suspension du tiers payant par les pharmaciens, le chef de l’État a convoqué le ministre des Affaires sociales pour évoquer la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM). Derrière le ton institutionnel, un signal politique adressé à tout un système social en perte d’équilibre.

Lundi 27 octobre 2025, Kaïs Saïed a reçu au palais de Carthage le ministre des Affaires sociales, Issam Chebbi. Selon le communiqué de la présidence, la réunion a porté sur les fonds sociaux, en particulier sur la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM). Le chef de l’État y a réitéré la nécessité de rétablir l’équilibre de ces caisses, en élaborant une législation adaptée à leurs missions.

« Les fonds doivent retrouver leur équilibre et atteindre les objectifs pour lesquels ils ont été créés », souligne le texte.

CNAM – pharmaciens : La rupture

Ce message intervient alors que le Syndicat des pharmaciens d’officine de Tunisie (SPOT) a annoncé, le même jour, la suspension du tiers payant pour les maladies ordinaires.

Les pharmaciens dénoncent des retards de paiement de plusieurs mois et une CNAM incapable de respecter les termes de la convention en vigueur.

« Nous avons tenu jusqu’au bout, mais la CNAM a laissé tomber les malades », a déclaré Molka Moudir, présidente du syndicat.

Ce n’est pas la première fois que la CNAM traverse une telle zone de turbulence. Des tensions similaires avaient déjà éclaté en 2019, 2021 et 2023, à chaque fois autour des mêmes difficultés : retards de remboursement, déficit croissant et désaccords sur les conventions. Ces épisodes récurrents ont progressivement entamé la confiance entre la caisse et ses partenaires, nourrissant l’idée d’un système à bout de souffle.

Un avertissement présidentiel

La mention explicite de la CNAM dans le communiqué de Carthage n’est pas fortuite. En appelant à “rétablir l’équilibre des caisses sociales” et à “faire appliquer la loi”, Kaïs Saïed vise directement la caisse d’assurance maladie, mais aussi l’ensemble du dispositif social tunisien.

Le président entend rappeler que ces institutions, souvent gérées avec lenteur et opacité, doivent revenir à leur mission première : garantir la solidarité et la justice sociale.

L’avertissement dépasse donc le seul conflit entre la CNAM et les pharmaciens. Il s’inscrit dans une séquence politique plus large, amorcée depuis plusieurs mois : celle de la réforme du financement des caisses sociales.

Le projet de loi de finances 2026 prévoit de nouvelles taxes et contributions destinées à renforcer la CNAM, la CNSS et la CNRPS.
En mai déjà, le président évoquait la création d’un « nouveau modèle de financement » pour assurer leur pérennité.

Autrement dit, le Palais de Carthage ne parle pas d’un incident : il met en scène le début d’un redressement annoncé.

Un modèle social à la dérive

La CNAM n’est plus un simple organisme payeur.
Elle cristallise les contradictions d’un modèle social qui promet la couverture pour tous, mais ne parvient plus à la financer.
Cotisations insuffisantes, retards de transferts, dettes croisées entre institutions : le système craque de toutes parts.
Chaque nouvelle crise – pharmaciens, hôpitaux, prestataires – en révèle un pan supplémentaire.

En plaçant la CNAM au cœur de son discours, Kaïs Saïed cherche à rétablir l’autorité de l’État sur un champ miné par la défiance.
Mais sans réforme structurelle et sans ressources nouvelles, le volontarisme présidentiel risque de se heurter au mur budgétaire.

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Tensions avec la CNAM : Les pharmaciens décident de suspendre le tiers payant

26. Oktober 2025 um 10:31

Le Syndicat des pharmaciens d’officine de Tunisie (SPOT) a tranché. Réunis en assemblée générale extraordinaire ce samedi, les pharmaciens ont décidé de ne pas renouveler la convention liant la profession à la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) pour l’année 2026, dans sa forme actuelle. En conséquence, ils suspendront à partir du lundi 27 octobre l’application de la formule du tiers payant pour les maladies courantes.

Un climat de rupture après des mois de tensions

Dans un communiqué publié à l’issue de la réunion, le syndicat justifie cette décision par la violation continue des principes fondamentaux de la convention et le non-respect des clauses de l’accord signé avec la CNAM.

Les pharmaciens estiment que la situation est devenue insoutenable et que la convention, prorogée jusqu’à la fin de 2025, ne peut être maintenue sans réformes de fond.

Le SPOT rappelle qu’il avait reporté en octobre la suspension du tiers payant, initialement prévue le 1er octobre 2025, après une série de concertations avec les autorités sanitaires et les partenaires du secteur. Cette trêve visait à favoriser la mise en œuvre de réformes structurelles promises par le gouvernement, mais restées sans effet concret selon le syndicat.

Appel à sauver le service pharmaceutique

Le syndicat appelle désormais toutes les parties concernées – CNAM, ministère de la Santé et partenaires institutionnels – à honorer leurs engagements et à les traduire en mesures tangibles. Il met en garde contre la dégradation du service pharmaceutique, évoquant la nécessité urgente de sauver un secteur en crise et de garantir aux citoyens un accès équitable aux médicaments.

La convention sectorielle entre les pharmacies privées et la CNAM, signée pour un an, devait prendre fin le 31 décembre 2025. Son avenir dépendra désormais de nouvelles négociations autour d’un cadre plus équitable pour la profession.

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Tunisie – CNAM : Demain, dernier délai pour changer de régime de soins

29. September 2025 um 10:52

La Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) rappelle que le mardi 30 septembre 2025 marque la date limite pour le dépôt des demandes de changement de régime de soins. Les affiliés peuvent effectuer cette démarche à distance via la plateforme e-cnam, sans avoir à se déplacer.

Pour ceux qui désirent changer de médecin de famille, le délai a été prolongé jusqu’au 30 novembre 2025, selon un communiqué publié sur la page officielle de la CNAM sur Facebook. Cette mesure offre aux assurés plus de flexibilité pour adapter leur suivi médical à leurs besoins personnels.

Démarches 100% en ligne

La CNAM précise que toutes ces démarches peuvent être effectuées entièrement à distance, sans nécessité de déplacement physique. Les assurés doivent utiliser la plateforme e-cnam pour soumettre leurs demandes. Cette solution numérique vise à simplifier les procédures administratives et à réduire les files d’attente dans les agences.

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Tunisie : L’OTIC alerte sur les défaillances du système d’assurance maladie

22. September 2025 um 15:52

L’Organisation tunisienne pour informer le consommateur (OTIC) a tiré la sonnette d’alarme, lundi 22 septembre 2025, sur les dysfonctionnements majeurs du système de sécurité sociale en Tunisie. Délais excessifs de remboursement, plafonds inadaptés et manque de transparence dans la tarification médicale pèsent lourdement sur les assurés et menacent l’accès équitable aux soins.

Des assurés sociaux étranglés

Selon l’OTIC, les assurés tunisiens supportent directement entre 38% et 40% des dépenses de santé, bien au-delà du seuil de 25% recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Le salaire minimum garanti dans l’industrie, fixé à 566,512 dinars par mois, rend le plafond actuel de remboursement « injuste » face à l’augmentation continue du prix des traitements.

Les délais de remboursement dépassent dans de nombreux cas cinq mois, alors que plus de 3 millions de demandes sont déposées chaque année, dont la majorité concerne plus d’un million de malades chroniques. Ces lenteurs administratives, qualifiées d’« injustifiées », aggravent la détérioration de l’état de santé des patients contraints de reporter ou d’abandonner leurs soins.

Des plafonds inadaptés et une tarification opaque

L’OTIC relève que les plafonds de couverture n’évoluent pas au rythme de l’inflation, ce qui oblige les assurés à assumer de lourdes dépenses après seulement quelques mois de traitement.

Par ailleurs, l’organisation dénonce un manque de transparence dans la tarification des cliniques et cabinets privés, qui ne publient pas leurs tarifs malgré l’obligation légale, exposant ainsi les patients à des « factures surprises ». Certains établissements ne respecteraient même pas les tarifs de référence de la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM).

Abus révélés par la Cour des comptes

Le 32ᵉ rapport annuel de la Cour des comptes a mis en évidence de graves abus : marges bénéficiaires excessives atteignant parfois 300% sur certains produits médicaux, et hausses illégales de prix de médicaments avec des marges allant de 26% à 160%, au lieu des 10% autorisés.

Pour l’OTIC, ces pratiques constituent une « violation flagrante » du droit constitutionnel à la santé, garanti par l’article 38 de la Constitution tunisienne.

Les réformes réclamées par l’OTIC

Face à cette situation, l’organisation appelle à fixer un délai maximal de 15 jours pour le traitement et le remboursement des dossiers ; à réviser régulièrement le plafond annuel de couverture en fonction du salaire minimum, du pouvoir d’achat et de l’inflation ; à élargir la liste des maladies graves et chroniques prises en charge ; et à accélérer la généralisation de la carte électronique « Labess », destinée à fluidifier les procédures.

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Tunisie : Le Grand Rodeo de la CNAM et des Pharmaciens

16. September 2025 um 15:42

Chaque année, comme les saisons, le même feuilleton revient : la CNAM (Caisse nationale d’assurance maladie) et les pharmaciens se dressent l’un contre l’autre, négocient, menacent, suspendent, puis renouvellent. Et les assurés ? Ils regardent, attendent, parfois payent à la fin. Bienvenue au Grand Rodeo Annuel – où les stars, c’est la palabre et la promesse, mais le script, lui, ne change jamais.

Acte I : L’alerte solennelle

C’est toujours la même chanson. Les pharmaciens montent au micro : « Nous ne pouvons plus subir les retards de paiement ! ». « Certaines clauses ne sont jamais respectées ! ». « Si la convention n’est pas renouvelée, ce sera la faillite… ».

Le Syndicat des pharmaciens d’officine de Tunisie (Spot) a en effet annoncé, mardi 16 septembre 2025, une mesure exceptionnelle visant à suspendre le système du tiers payant pour les médicaments destinés aux maladies ordinaires à partir du 1er octobre 2025, dénonçant « la situation critique » provoquée par le retard de la CNAM dans le paiement des sommes dues aux pharmaciens pour le remboursement des médicaments.

Il a ainsi décidé de suspendre le tiers payant pour les maladies ordinaires à partir du 1er octobre 2025, et de convoquer une assemblée générale extraordinaire le 25 octobre 2025 pour décider des mesures à adopter face à cette situation.

Et de l’autre côté, la CNAM : « Vous exagérez ! ». « Voici ce que nous pouvons faire… mais pas plus ! ». « On ne promet pas de miracles, mais de bonnes volontés ! »

Acte II : Le bras de fer

Les dates butoirs approchent. Le calendrier s’embrase : menaces de suspension du tiers-payant pour les maladies ordinaires, procès de mauvaise foi, communiqués médiatiques, déclarations tonitruantes. Internet s’enflamme, les syndicats se lèvent, tout le monde a un haut-parleur.

Le public – c’est-à-dire nous – retient son souffle. On espère un accord. On redoute la rupture. Mais au fond, on connaît déjà la fin.

Acte III : Le dénouement… attendu

La date définie comme frontière fatidique est enfin franchie. Surprise (non) : la convention est renouvelée. La CNAM signe, les pharmaciens acceptent. Quelques aménagements, des promesses. « On digitalisera un peu », « on réglera les créances bientôt », « on tâchera de faire mieux dans les délais ».

Tous respirent. Soulagement dans les officines. Fierté dans les bureaux ministériels. Et sur les visages des assurés : un haussement d’épaules. Parce que, vraiment, que changerait-on ?

À quand un vrai changement ? Un vrai !

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Tunisie – Pénurie de médicaments importés : Une fragilité qui touche les malades chroniques

01. September 2025 um 10:40

Le marché pharmaceutique tunisien connaît une pénurie de certains médicaments vitaux, touchant principalement les traitements pour la thyroïde, certains cancers et les troubles psychiques. Cette situation fragilise directement les malades, alors que les autorités sanitaires minimisent le risque de privation de soins.

Selon Thouraya Ennaifer, secrétaire générale du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens de Tunisie (CNOPT) :

« Le marché pharmaceutique tunisien enregistre une pénurie de certains médicaments, fortement constatée au cours de la semaine écoulée. »

Des patients privés de traitements essentiels

Parmi les produits concernés figurent des traitements pour la thyroïde, les maladies psychiques et certains cancers. Ces ruptures, qui touchent principalement des médicaments importés, exposent directement les malades à des interruptions de traitement, avec des conséquences lourdes sur leur état de santé.

Selon Ennaifer, la pénurie découle de « difficultés financières et logistiques au niveau de la Pharmacie centrale de Tunisie », qui n’a toujours pas perçu ses créances auprès de la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM). Cette impasse financière ralentit l’importation et bloque l’approvisionnement en médicaments stratégiques.

Pour de nombreux malades chroniques, chaque rupture devient un parcours du combattant, entre pharmacies à la recherche d’alternatives et risque de complications médicales.

Les pharmaciens appellent à une réaction rapide

Le CNOPT réclame des mesures concrètes pour endiguer la crise. Ennaifer plaide pour « la tenue régulière de la réunion du Comité de pharmacovigilance au sein de l’Agence nationale des médicaments et des produits de la santé (ANMPS) », prévue une fois par mois, afin d’élaborer des solutions durables.

Face à la multiplication des alertes, le ministère de la Santé avait tenu à rassurer. Dans un communiqué récent, il a nié toute privation de soins, assurant que la stratégie nationale du médicament vise au contraire à garantir la disponibilité des traitements, notamment grâce à la rationalisation des prescriptions et à l’encouragement des génériques.

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Tunisie – CNAM : Comment changer de régime sans se déplacer

27. August 2025 um 11:55

La Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) a annoncé que les affiliés souhaitant changer de régime doivent le faire avant le 30 septembre 2025. Cette mesure vise à permettre une meilleure organisation des dossiers et à garantir la continuité des prestations pour les assurés.

Prolongation pour le choix du médecin de famille

Pour ceux qui désirent changer de médecin de famille, le délai a été prolongé jusqu’au 30 novembre 2025, selon un communiqué publié sur la page officielle de la CNAM sur Facebook.

Cette mesure offre aux assurés plus de flexibilité pour adapter leur suivi médical à leurs besoins personnels.

Démarches 100 % en ligne

La CNAM précise que toutes ces démarches peuvent être effectuées entièrement à distance, sans nécessité de déplacement physique. Les assurés doivent utiliser la plateforme e-cnam pour soumettre leurs demandes.

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CNAM: Erhöhung der Höchstbeträge für die Kostenübernahme ab dem 1. Februar

Von: Redaktion
15. Januar 2024 um 19:38

Ab dem 1. Februar 2024 wird die jährliche Höchstgrenze der Beträge für die Kostenübernahme von Gesundheitsdienstleistungen, die von der Nationalen Krankenversicherungskasse (CNAM) übernommen werden, offiziell Mehr

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Tunesische Krankenkasse erstattet künftig Diabetesmittel Dapagliflozin

Von: Redaktion
11. November 2023 um 21:10

Die tunesische Krankenkasse (CNAM) hat beschlossen, Dapagliflozin, das zur Behandlung von Diabetes Typ 2 empfohlen wird, in die Liste der Medikamente aufzunehmen, die von der Mehr

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Von: Redaktion
11. November 2023 um 21:10

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