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Saudi Airlines lance le premier vol direct entre Riyad et Moscou

11. Oktober 2025 um 15:08

Le premier vol direct de passagers entre Riyad et Moscou, opéré par Saudi Arabian Airlines (SAA), a atterri vendredi 10 octobre dans la capitale russe, Moscou, dans un contexte de réchauffement des relations entre les deux pays producteurs de pétrole.

Saudi Arabian Airlines, la compagnie aérienne nationale du royaume, a annoncé son intention d’opérer trois vols aller-retour directs par semaine vers l’aéroport Sheremetyevo de Moscou, une mesure susceptible d’encourager les déplacements des visiteurs, des hommes d’affaires…

D’ailleurs, la Russie a déjà constaté une augmentation du nombre de touristes en provenance du royaume, la compagnie aérienne à bas prix saoudienne Flynas ayant lancé trois vols directs par semaine entre Riyad et l’aéroport Vnukovo de Moscou en août, selon Reuters.

Flynas prévoit également de lancer une ligne directe entre Djeddah et Moscou en décembre.

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La Maison Blanche méprise la sélection du prix Nobel de la paix

11. Oktober 2025 um 14:24

Le comité d’Oslo a choisi « la politique plutôt que la paix » en ignorant le président Trump, a déclaré, vendredi 10 octobre, le directeur de la communication de la Maison Blanche, Steven Cheung.

Steven Cheung a accusé le comité Nobel norvégien de faire preuve de partialité politique en n’attribuant pas le prix Nobel de la paix de cette année au président américain, Donald Trump.

Dans une déclaration publiée sur X vendredi, quelques heures après l’attribution du prix, Cheung a estimé que « le président Trump continuera de conclure des accords de paix, de mettre fin aux guerres et de sauver des vies. Il a l’âme d’un humanitaire, et personne ne pourra, par sa seule volonté, déplacer des montagnes comme lui ».

À rappeler que le prix de cette année a été décerné à la dirigeante de l’opposition vénézuélienne Maria Corina Machado. L’ancienne députée, bénéficiant de solides relations à Washington, a été accusée par le président vénézuélien Nicolas Maduro d’avoir canalisé des fonds américains vers des groupes antigouvernementaux « fascistes ».

Lire aussi: Le Nobel de la Paix pour la Vénézuélienne María Corina Machado

 

Selon le comité, plusieurs raisons expliquent sa décision. Premièrement, il explique avoir choisi son lauréat depuis lundi, soit plusieurs jours avant la signature de l’accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. Ensuite, Donald Trump s’est montré particulièrement belliqueux depuis le début de son mandat : guerre commerciale, déploiement de l’armée dans plusieurs villes américaines, volonté d’annexer le Canada… Enfin, les nominations pour le Nobel de 2025 sont closes depuis le 31 janvier, soit onze jours après le début de son mandat. Les chances du président américain d’obtenir le prix cette année étaient donc compromises…

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Droits de douane : reprise de la guerre commerciale entre les USA et la Chine

11. Oktober 2025 um 11:00

Donald Trump lance une nouvelle attaque contre la Chine, annonçant que les États-Unis imposeraient des droits de douane supplémentaires de 100% sur les importations mais aussi des contrôles sur les exportations de tous les logiciels critiques fabriqués aux États-Unis, et ce, à partir du 1er novembre.

Plus précisément, dans une déclaration publiée sur Truth Social vendredi 10 octobre, le président américain a déclaré que « à compter du 1er novembre 2025 (ou plus tôt, en fonction de toute action ou changement ultérieur pris par la Chine), les États-Unis d’Amérique imposeront un tarif de 100% à la Chine, en plus des tarifs qu’ils paient déjà ».

Le message intégral de Trump publié sur Truth Social

« On vient de savoir que la Chine a adopté une position extrêmement agressive sur le commerce, en envoyant une lettre extrêmement hostile au monde, dans laquelle elle déclare qu’à partir du 1er novembre 2025, elle imposera des contrôles à l’exportation à grande échelle sur presque tous les produits qu’elle fabrique, ainsi que sur certains qu’elle ne fabrique pas elle-même.

Cela affecte TOUS les pays, sans exception, et il s’agit clairement d’un plan fomenté par la Chine il y a des années. C’est totalement inédit dans le commerce international et une honte morale dans les relations avec les autres pays.

Étant donné que la Chine a adopté cette position sans précédent, et en parlant uniquement des États-Unis et non d’autres pays qui ont été menacés de la même manière, à compter du 1er novembre 2025 (ou plus tôt, en fonction de toute autre action ou changement entrepris par la Chine), les États-Unis d’Amérique imposeront un tarif de 100% à la Chine, en plus des tarifs qu’ils paient aujourd’hui.

De plus, à compter du 1er novembre, nous imposerons des contrôles à l’exportation sur tous les types de logiciels critiques.

Il est incroyable que la Chine ait pris une telle mesure, mais elle l’a fait, et la suite appartient à l’histoire. Merci de votre attention ! ».

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Standard & Poor’s relève la note de l’Égypte

11. Oktober 2025 um 09:35

Standard & Poor’s a relevé, vendredi 10 octobre, la note de crédit de l’Egypte d’un cran, de « B- » à « B », citant les réformes en cours qui ont conduit à un fort rebond de la croissance du PIB. De son côté, Fitch Ratings a confirmé la note de crédit du pays des Pharaons à la lumière du potentiel de croissance modérément élevé du pays et du fort soutien de ses partenaires.

Fitch avait relevé la note de l’Égypte à « B » pour la dernière fois en novembre 2024, lorsque les investissements étrangers et le resserrement des conditions monétaires ont contribué à renforcer la marge de manœuvre budgétaire. Le relèvement à « B » de Standard & Poor’s est le premier depuis que l’Égypte a commencé à bénéficier d’un soutien financier en mars 2024.

« Nous considérons que les risques d’escalade des tensions avec Israël n’ont augmenté que modérément au cours des derniers mois, et que la coopération énergétique progresse », selon Reuters, citant un communiqué de Fitch.

De son côté, Standard & Poor’s souligne dans un communiqué que « compte tenu des perspectives de croissance du PIB plus fortes et de l’augmentation des recettes, associées à la maîtrise des dépenses et aux objectifs d’excédent primaire liés au programme du FMI, nous nous attendons à ce que la consolidation budgétaire se poursuive, bien qu’à un rythme progressif ».

L’agence a ajouté qu’en plus du programme du FMI, l’engagement en faveur d’un taux de change déterminé par le marché devrait continuer à soutenir les perspectives de croissance du PIB de l’Égypte et les efforts de consolidation budgétaire au cours des exercices 2025-2028.

Au cours du trimestre d’avril à juin 2025, les revenus du tourisme en Égypte ont augmenté de 20%, indiquant une forte reprise après l’impact de la pandémie de Covid-19, tandis que les transferts de fonds des Égyptiens à l’étranger, autre source majeure de devises étrangères, ont augmenté de 36,5%.

Selon Standard & Poor’s, les réformes mises en œuvre par les autorités au cours des dix-huit derniers mois, notamment la libéralisation du régime de change, ont conduit à une forte reprise de la croissance du PIB égyptien et stimulé le tourisme et les transferts de fonds des migrants.

Moody’s a maintenu la note de l’Égypte à « Caa1 » depuis octobre 2023, bien qu’elle ait révisé ses perspectives de « négatives » à « positives » en mars 2024, à la suite d’un soutien bilatéral important et à des changements de politique.

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Le Canal de Panama réalise 5,7 milliards de dollars de recettes en 2025

10. Oktober 2025 um 18:43

Le Canal de Panama enregistre des revenus records de 5,7 milliards de dollars au cours de l’exercice 2025, soit une augmentation de 14,4 % par rapport à l’année précédente. 

Le nombre de transits de navires a augmenté de 19,3 %, atteignant 13 404 au cours de la période se terminant le 30 septembre, confirmant le rôle central du canal dans le transport maritime mondial. C’est ce qu’a rapporté l’Autorité du canal dans un communiqué publié le 9 octobre.

Cette augmentation du nombre de navires intervient alors que le canal a été mis à rude épreuve par des sécheresses successives au cours des années précédentes. En 2023 et 2024, les restrictions de tirant d’eau et le nombre de traversées ont contraint de nombreuses compagnies maritimes à emprunter des itinéraires alternatifs, augmentant les coûts et les retards.

En 2025, les conditions hydrologiques ont été plus favorables, permettant un retour à un débit normal et une reprise des revenus.

Les transits de conteneurs et de méthaniers ont été les principaux moteurs de la croissance. Le trafic de gaz naturel liquéfié (GNL), en revanche, n’a pas connu la même dynamique en raison d’une demande plus faible et de facteurs géopolitiques.

Toutefois, le tableau général reste positif, l’Autorité du canal semblant prête à réinvestir pour renforcer sa compétitivité, soulignant que ces résultats fournissent la base financière nécessaire au démarrage de nouveaux projets en 2026.

L’accent est mis sur l’augmentation de la capacité, la modernisation des infrastructures hydrauliques alimentant les réservoirs et la numérisation des procédures de transit. Ces mesures sont cruciales, car le canal reste vulnérable aux aléas climatiques, toute période de sécheresse pouvant réduire considérablement les transits et limiter les recettes.

Sur le plan géoéconomique, ces chiffres renforcent la position du Panama face à la concurrence du canal de Suez. Les problèmes de sécurité en mer Rouge et la hausse des primes d’assurance sur la route de Suez ont détourné une partie du trafic vers le Panama, lui offrant ainsi un avantage comparatif.

La stabilité que dégage le canal fait du transit par celui-ci une option plus sûre pour les compagnies maritimes, en particulier pour les marchandises entre l’Asie et les marchés américains.

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Virements instantanés : Bruxelles change la donne en Europe

10. Oktober 2025 um 16:16

Les prestataires de services de paiement (PSP) de la zone euro sont tenus d’offrir à leurs clients la possibilité de recevoir des paiements instantanés en euros.

« À compter d’aujourd’hui (jeudi 9 octobre – ndlr), les prestataires de services de paiement sont également tenus de proposer le service d’envoi de paiements directs en euros et, afin de lutter contre la fraude aux virements en euros, le service de vérification du bénéficiaire (VoP). Cela rend les paiements directs plus répandus, plus sûrs et plus abordables pour tous dans la zone euro », indique la Commission européenne dans un communiqué.

Quels changements ?

Selon la Commission européenne, les virements en euros ne prendront plus plusieurs jours et arriveront sur le compte du bénéficiaire en quelques secondes, à tout moment, même les week-ends et les jours fériés. Les banques et autres prestataires de paiement ne sont pas autorisés à facturer plus cher un paiement instantané qu’un virement classique.

Avant d’effectuer un paiement, les prestataires doivent vérifier si le nom du destinataire correspond à l’IBAN fourni, contribuant ainsi à prévenir les erreurs ou les fraudes.

Ce service sera fourni gratuitement au payeur. Les nouvelles règles permettent également aux établissements de paiement et de monnaie électronique de participer directement aux systèmes de paiement, afin de proposer leurs services, tels que les paiements instantanés, de manière plus efficace.

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Trump vole au secours de Milei en achetant des pesos sur le marché libre

10. Oktober 2025 um 15:20

Le département du Trésor américain a finalisé, jeudi 9 octobre, un accord d’échange de devises de 20 milliards de dollars avec l’Argentine et a acheté des pesos sur le marché libre, à la suite de la promesse du président américain Donald Trump d’aider ce pays instable.  

« Le département du Trésor est prêt, immédiatement, à prendre toutes les mesures d’urgence nécessaires pour assurer la stabilité des marchés », a déclaré le secrétaire américain au Trésor, Scott Bessent, dans un message publié sur X.

Suite à cette annonce, la Bourse argentine a bondi de plus de 5 %, tandis que le peso s’est renforcé de 0,8 % à 1 418 pour un dollar après des pertes supérieures à 3 % auparavant…

La directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, a salué l’initiative américaine dans un message publié sur X, déclarant que le Fonds « soutient pleinement [les initiatives] visant à soutenir le programme économique solide du pays, qui repose sur la discipline budgétaire et un régime de taux de change fort pour la gestion des réserves ».

Dans des déclarations à Fox News, Bessent a toutefois précisé que la dernière initiative n’est pas un plan de sauvetage, notant qu’aucun argent n’a été transféré à l’Argentine, et que les États-Unis « ne perdront pas d’argent ici ».

Il a ajouté qu’avec l’aide offerte par les États-Unis, ils obtiennent des avantages stratégiques, comme l’engagement du président argentin à « faire sortir la Chine d’Argentine » et à maintenir le pays ouvert aux entreprises américaines pour développer des synergies dans les terres rares.

Les démocrates ont cependant accusé l’administration Trump de prendre des initiatives pour offrir de l’aide aux gouvernements étrangers et aux investisseurs mondiaux alors que la fermeture du gouvernement américain se poursuit.

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L’interdiction des moteurs thermiques dans l’UE d’ici 2035 est « irréaliste » (Blume)

10. Oktober 2025 um 14:59

Le PDG du géant automobile allemand Volkswagen, Oliver Blume, estime ce vendredi 10 octobre que l’interdiction des moteurs à combustion prévue par l’Union européenne est « irréaliste », appelant à davantage de flexibilité dans la réglementation.

« Aujourd’hui, l’objectif de 2035 est irréaliste. Nous avons donc besoin de plus de flexibilité sur cette question », a déclaré Blume dans un entretien avec l’agence de presse allemande (dpa), ajoutant qu’il fallait réfléchir à ce qui peut être réalisé, indépendamment des idéologies.

Blume, qui dirige également Porsche, a souligné que l’atteinte des objectifs climatiques constitue un engagement fondamental, mais a insisté sur la nécessité de prolonger l’horizon au-delà de 2035, conformément au principe d’ouverture technologique. Il a insisté sur la nécessité de mettre à profit tout ce qui contribue à la réduction des émissions de carbone pour atteindre cet objectif.

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Après l’accord sur Gaza, les prix du pétrole augmentent légèrement

10. Oktober 2025 um 12:32

Les prix du pétrole ont peu évolué ce vendredi 10 octobre en début de séance asiatique après avoir chuté de plus de 1% lors de la séance précédente, les primes de risque de guerre ayant diminué sur le marché après qu’Israël et le Hamas ont accepté la première phase d’un plan visant à mettre fin à la guerre à Gaza.

Les contrats à terme sur le pétrole brut Brent ont augmenté de 9 cents, soit 0,1%, à 65,31 dollars le baril à 00h44 GMT. Le pétrole brut américain West Texas Intermediate a augmenté de 12 cents, soit 0,2%, à 61,63 dollars le baril.

Les prix ont atteint leurs plus hauts niveaux en une semaine après avoir gagné environ 1% mercredi en raison de l’impasse dans laquelle se trouve l’accord de paix en Ukraine, ce qui signifie que les sanctions contre la Russie, deuxième exportateur mondial de pétrole, pourraient rester en vigueur.

Sur une base hebdomadaire, les prix du pétrole brut restent en hausse d’environ 1,2% après leur forte baisse de la semaine dernière.

L’accord de cessez-le-feu à Gaza représente une étape majeure vers la fin d’une guerre qui dure depuis deux ans et qui a augmenté la probabilité de perturbations de l’approvisionnement en pétrole, a déclaré l’analyste d’ANZ Daniel Hynes dans une note publiée vendredi.

« Cet accord a recentré l’attention sur l’excédent pétrolier imminent, alors que l’OPEP progresse dans la réduction de la production », a-t-il ajouté.

Les investisseurs craignent également qu’une fermeture prolongée du gouvernement américain puisse affaiblir l’économie américaine et nuire à la demande de pétrole.

Israël et le Hamas ont signé jeudi un accord de cessez-le-feu, dans le cadre de la première phase d’une initiative proposée par le président américain Donald Trump pour mettre fin à la guerre à Gaza.

En vertu de l’accord, approuvé jeudi soir par le gouvernement israélien, les combats cesseront, Israël se retirera partiellement de Gaza et le Hamas libérera tous les otages restants qu’il détenait lors de l’attaque qui a déclenché la guerre en échange de centaines de prisonniers détenus par Israël.

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Trump : de nouvelles exigences envers l’UE qui risquent de faire dérailler l’accord commercial

09. Oktober 2025 um 17:45

Les nouvelles demandes des États-Unis pour davantage de concessions risquent de compromettre l’accord commercial conclu cet été avec l’Union européenne. C’est ce que déclarent des responsables de l’UE cités par Bloomberg.

L’administration Trump a récemment envoyé à l’UE une nouvelle proposition pour un commerce « réciproque, juste et équilibré », selon des personnes proches du dossier.

Selon certaines sources, les responsables de l’UE jugent les nouvelles exigences maximalistes et les concessions supplémentaires demandées importantes. Elles sont apparues alors que les deux parties se préparent à négocier les prochaines étapes de l’accord commercial. Lequel impose un tarif horizontal de 15 % sur la plupart des produits exportés par l’UE vers les États-Unis.

Les États-Unis cherchent une opportunité de renforcer la législation européenne. Notamment les réglementations numériques et technologiques de l’UE, ainsi que d’autres liées à la conformité des entreprises et au changement climatique.

De son côté, l’UE a indiqué à plusieurs reprises que le maintien de l’autonomie de son cadre réglementaire constituait une « ligne rouge » et qu’elle consulterait les États-Unis sur toute question qui se poserait au cas par cas.

Interrogé par Bloomberg sur ces nouvelles exigences américaines, le porte-parole de la Commission européenne, Olof Gill, a déclaré : « Nous nous concentrons actuellement sur la mise en œuvre fidèle de la déclaration conjointe UE-États-Unis, essentielle au maintien de nos échanges transatlantiques inégalés, à la protection des entreprises et à la préservation des emplois. Cette déclaration commune constitue le fondement de notre coopération stratégique commune »…

L’administration Trump a confirmé que les voitures européennes bénéficieront d’un taux de droits de douane de 15 % au lieu des 25 % qu’elle impose aux importations en provenance d’autres régions, et les exportations de produits pharmaceutiques devraient recevoir le même traitement.

En contrepartie, l’UE a présenté une législation visant à réduire les droits de douane sur les produits industriels américains et certaines exportations agricoles. Cette initiative nécessite le soutien du Parlement européen, qui doit également donner son feu vert à l’accord commercial dans son ensemble.

Cependant, les négociations visant à réduire de 50 % les droits de douane américains sur l’acier et l’aluminium n’ont guère progressé. L’UE a annoncé cette semaine son intention d’introduire le même taux sur les importations d’acier au-delà d’un certain quota.

Les États-Unis résistent également à l’idée d’inclure des produits tels que le vin et les spiritueux dans la liste des importations exemptées du tarif de 15 %, ont indiqué les sources.

Les responsables de l’UE craignent que l’administration Trump n’élargisse en même temps sa liste de produits en acier et en aluminium soumis au tarif de 50 %, tout en préparant davantage de tarifs potentiels sur d’autres secteurs, tels que les dispositifs médicaux et la technologie, ont ajouté les sources.

La crainte, selon les personnes interrogées par Bloomberg, est que ces mesures prises collectivement pourraient affaiblir le plafond tarifaire de 15 % garanti par l’UE.

Enfin, les sources ont indiqué que les responsables de l’UE chercheront des conseils politiques auprès des États membres sur la proposition américaine et sur la manière de gérer les négociations dans les prochaines étapes.

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La BCE satisfaite face à l’inflation

09. Oktober 2025 um 17:41

L’économie de la zone euro se renforce progressivement. Tandis que l’inflation est compatible avec l’objectif de 2 % de la Banque centrale européenne (BCE). C’est ce qu’indique Madis Müller, membre du conseil d’administration de la banque européenne.

« Le scénario de base reste celui d’une reprise progressive, a déclaré, mercredi 8 octobre, Madis Müller. Nous constatons une augmentation progressive des revenus des Européens. Leur pouvoir d’achat se renforce. Cela soutient également la consommation et la demande intérieure. Dans ce contexte, une reprise progressive est prévue. Même si la contribution des exportations à la croissance globale devrait connaître des difficultés au cours des deux prochaines années », a ajouté le membre du conseil d’administration de la BCE.

« Du point de vue de la BCE, il est important que l’inflation, particulièrement élevée depuis plusieurs années, se situe désormais autour de 2 %, le niveau que nous souhaitons. La situation semble donc stable ». Ainsi a aussi déclaré Müller, gouverneur de la banque centrale d’Estonie, lors d’une conférence à Tallinn.

« Mais bien sûr, il y a des vulnérabilités et des risques qui rôdent toujours […] Je pense qu’ils ont principalement à voir avec les développements géopolitiques en Europe et aussi avec les niveaux accrus d’endettement dans de nombreux pays européens », a-t-il averti.

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Accord Israël–Hamas : les indices asiatiques en hausse

09. Oktober 2025 um 12:08

La plupart des indices boursiers asiatiques ont augmenté ce jeudi 9 octobre. Et ce, alors que les actions américaines ont atteint de nouveaux records, après une légère chute lors de la séance précédente.

Les marchés de Chine continentale ont gagné plus de 1 % avec la reprise des échanges asiatiques, après une semaine de vacances. Tandis que les contrats à terme sur les actions américaines ont baissé.

Par ailleurs, les prix du pétrole ont chuté après qu’Israël et le Hamas sont parvenus mercredi 8 octobre à un accord pour cesser les combats à Gaza. Ouvrant ainsi la voie à la libération des otages restants, en échange de prisonniers palestiniens dans les prochains jours, indique l’Associated Press.

L’indice japonais Nikkei 225 a progressé de 1,3 % à 48 369,90 points, soutenu par une hausse de plus de 11 % des actions du groupe Soft Bank qui poursuit son expansion dans l’intelligence artificielle.

L’indice Hang Seng de Hong Kong a également augmenté de moins de 0,1 % à 26 840,95 points. Tandis que l’indice composite de Shanghai a augmenté de 1,2 % à 3 931,07 points, lors de sa première séance de négociation depuis le 1er octobre.

L’indice australien S&P/ASX 200 a augmenté de 0,2 % à 8 965,90 points. Alors que l’indice taïwanais TAIEX a augmenté de 1,3 %.

À Wall Street, les actions américaines ont clôturé en ordre dispersé mercredi, l’indice Standard & Poor’s 500 progressant de 0,6 % à 6.735,72 points. Etablissant ainsi un nouveau record, un jour après avoir mis fin à une séquence de sept jours de hausse.

Le Dow Jones Industrial Average a chuté de moins de 0,1 % à 46 601,78 points. Quant à l’indice composite Nasdaq, il a augmenté de 1,1 % à 23 043,38 points, enregistrant un record historique.

Sur les marchés de l’énergie, le prix du brut américain West Texas Intermediate a chuté de 44 cents à 62,11 dollars le baril. Tandis que le prix du brut Brent, référence mondiale des prix du pétrole, a perdu 38 cents à 65,87 dollars le baril.

L’or a réduit une partie de ses gains importants, mais est resté à 4 048,20 $ l’once jeudi matin.

Sur les marchés des changes, le dollar américain a chuté face au yen japonais à 152,57 yens contre 152,70 yens. Enfin, l’euro est passé de 1,1629 $ à 1,1646 $.

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Israël et le Hamas concluent la première phase du plan Trump pour Gaza

09. Oktober 2025 um 07:55

Israël et le Hamas ont conclu, mercredi 8 octobre, la première phase du plan de paix proposé par le président américain Donald Trump pour Gaza. Cet accord de cessez-le-feu, incluant un échange d’otages, pourrait marquer une étape décisive vers la fin d’une guerre dévastatrice qui ravage la région depuis deux ans.

Dans la soirée du mercredi 8 octobre 2025, Israël et le Hamas ont convenu de suspendre les combats à Gaza afin que les otages restants puissent être libérés dans les prochains jours en échange de prisonniers palestiniens. Les deux parties acceptent ainsi des éléments du plan proposé par l’administration Trump qui représenterait la plus grande avancée depuis des mois dans cette guerre dévastatrice.

« Cela signifie que TOUS les otages seront libérés très prochainement et qu’Israël retirera ses troupes sur une ligne convenue; première étape vers une paix solide, durable et pérenne », a écrit le président Donald Trump sur son réseau social en annonçant l’accord. « Toutes les parties seront traitées équitablement ! »

 

Lire aussi : Plan de paix américain : le « oui, mais » du Hamas

 

Israël et le Hamas ont confirmé séparément les contours de leur accord, qui a suscité des rassemblements de célébrations parmi les familles des otages à Tel-Aviv et un optimisme prudent chez certains Gazaouis. Le Hamas a l’intention de libérer les 20 otages encore en vie d’ici quelques jours. Tandis que l’armée israélienne entamera un retrait de la majeure partie de Gaza et libérera 2 000 prisonniers palestiniens, selon Associated Press qui cite des personnes au courant du dossier.

L’incertitude persiste sur certains aspects les plus épineux de la proposition de Trump – comme la question de savoir si et comment le Hamas désarmera, et qui gouvernera Gaza – mais les parties semblent plus proches que jamais de mettre fin à cette guerre.

 

Lire également : Antonio Tajani : la fin de la guerre à Gaza dépend du « oui » du Hamas au plan

 

Les discussions, menées à Charm el-Cheikh, ont réuni des représentants de haut niveau des États-Unis, du Qatar et de la Turquie. En effet, Jared Kushner, gendre de Trump, et Steve Witkoff, son envoyé spécial, y participaient aux côtés du ministre israélien des Affaires stratégiques, Ron Dermer, proche conseiller de Netanyahou.

A noter par ailleurs que Trump a déclaré qu’il pourrait se rendre en Égypte ce week-end.

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Google étend la recherche basée sur l’IA à une quarantaine de pays

08. Oktober 2025 um 15:03

Le géant américain de la technologie, Google, a commencé à étendre sa nouvelle fonctionnalité de recherche basée sur l’IA à plus de 40 pays et régions supplémentaires, dont plusieurs pays européens tels que l’Allemagne, l’Autriche, la Suisse, l’Espagne, l’Italie, la Suède et la Pologne, ainsi que la Thaïlande et le Vietnam.

Cette fonctionnalité, qui permet aux utilisateurs d’interagir directement avec les résultats de recherche via le chat en direct, a été lancée aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Inde en juillet dernier. Le géant technologique américain indique qu’elle est désormais disponible dans plus de 200 pays et régions à travers le monde.

Ce nouveau mode est accessible via Google.com ou les domaines locaux des sites Google dans différents pays, où il apparaît comme une option supplémentaire aux côtés des onglets habituels tels que « Tout », « Photos », « Vidéos » et « Actualités ». L’entreprise a expliqué que l’arrivée de cette nouvelle option pourrait prendre plusieurs jours, le temps que les serveurs soient progressivement mis à jour.

Google proposait auparavant des résumés optimisés par l’IA pour certains sujets, mais ceux-ci incluaient également des liens sponsorisés et des sources traditionnelles. Dans le nouveau format, les listes de liens traditionnels sont remplacées par des réponses détaillées, avec des sources partiellement citées en notes de bas de page, tandis que les trois principales sources sont affichées dans une barre latérale.

Le nouveau mode IA s’appuie sur le système Gemini Pro 2.5, conçu pour fournir des réponses précises et rapides. Hema Budaraju, vice-présidente de Google, a expliqué que les utilisateurs peuvent désormais poser des questions longues et complexes qui nécessitaient auparavant plusieurs recherches, citant l’exemple de la préparation détaillée d’un week-end à Édimbourg (Écosse) en fonction de leurs centres d’intérêt.

Cette nouvelle fonctionnalité suscite des inquiétudes chez certains éditeurs et entreprises qui dépendent du trafic utilisateur issu des résultats de recherche, craignant une baisse des clics. Cependant, les responsables de Google ont confirmé que les premières expériences menées aux États-Unis et au Royaume-Uni ont montré que les signets vers des sources fiables continuent de générer un trafic important vers des sites de qualité.

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Le commerce mondial piégé par les tensions tarifaires

08. Oktober 2025 um 14:39

La croissance du commerce mondial de marchandises devrait ralentir fortement en 2026, après sa résilience au premier semestre 2025, reflétant l’impact (retardé) des tarifs douaniers de Trump. C’est ce que craint l’Organisation mondiale du commerce (OMC).

Le volume des échanges de marchandises devrait croître de 2,4 % en 2024, selon un rapport de l’OMC publié mardi 7 octobre. Soit un rythme bien plus rapide que la hausse de 0,9 % prévue en août. Cependant, l’organisme onusien a revu à la baisse ses prévisions pour 2026 : il table désormais sur une croissance de 0,5 %, contre 1,8 % initialement.

« Ces perspectives divergentes suggèrent que le plein effet des tarifs douaniers de Trump sur les importations américaines par pays et par secteur pourrait être retardé jusqu’à l’année prochaine », note l’OMC.

« Avec des droits de douane plus élevés et une politique commerciale encore très incertaine, la concentration des marchés en amont devrait diminuer avec une baisse des stocks et un ralentissement de la croissance du PIB », indique encore le rapport. « Des signes potentiels de faiblesse du commerce et de la production manufacturière dans les économies avancées ont été observés. Avec notamment une baisse de la confiance des entreprises et des consommateurs et un ralentissement de la croissance de l’emploi et des revenus », précise-t-il.

Ngozi Okonjo-Iweala, directrice générale de l’OMC, a souligné lors d’une conférence de presse que la résilience enregistrée face aux mesures « unilatérales » démontre qu’il existe un groupe « central » d’économies qui continue d’assurer la stabilité du système commercial mondial.

Toutefois, en 2026, un ralentissement des échanges commerciaux est attendu. « Car le plein impact des droits de douane plus élevés se fera sentir pendant une année entière », selon l’OMC.

La contribution de l’intelligence artificielle

Selon l’OMC, les principaux moteurs de la forte croissance de l’activité mondiale au premier semestre 2025 ont été les expéditions de biens liés à l’intelligence artificielle. Les échanges dans cette catégorie ayant augmenté de plus de 20 % par rapport à 2024.

En revanche, la croissance du commerce des biens non liés à l’IA s’est élevée à moins de 4 %. L’OMC a souligné que même si les produits liés à l’IA représentaient moins d’un dixième du commerce mondial de marchandises au cours du premier semestre de l’année, ils « ont contribué à près de la moitié de la croissance totale du commerce au cours de cette période ».

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Pour sauver sa sidérurgie, l’UE double les droits de douane sur l’acier chinois

08. Oktober 2025 um 12:10

La Commission européenne a dévoilé un plan d’action sans précédent pour protéger l’industrie sidérurgique européenne face à la concurrence jugée déloyale de la Chine. Les mesures phares incluent le doublement des droits de douane sur les importations d’acier, qui passeront de 25 % à 50 %, et une réduction de 47 % des quotas d’importation en franchise de droits.

« En 2024, 18 000 emplois ont été perdus dans la sidérurgie. C’est trop et cela doit cesser », a déclaré le vice-président de la Commission, Stéphane Séjourné, en présentant le dispositif. La quantité d’acier pouvant être importée sans taxe sera limitée à 18,3 millions de tonnes, un niveau équivalent à celui de 2013, avant la crise de surproduction mondiale.

Ces mesures visent à endiguer la déferlante d’acier chinois qui déstabilise le marché européen depuis plus d’une décennie. Selon le commissaire au Commerce, Maros Sefcovic, « la surcapacité mondiale est cinq fois supérieure à la consommation annuelle d’acier de l’UE ».

Les importations dépassant les quotas seront désormais frappées de droits de douane de 50 %. Alignant ainsi l’Europe sur les niveaux tarifaires appliqués par les États-Unis et le Canada. Les importateurs devront également déclarer le pays d’origine réel du métal, pour éviter le contournement des barrières commerciales.

Le plan, présenté comme une « bouée de sauvetage pour la sidérurgie européenne », remplacera la clause de sauvegarde mise en place en 2019 et qui expirera mi-2026. « L’industrie européenne était au bord de l’effondrement. Nous la protégerons afin qu’elle puisse investir et redevenir compétitive », a affirmé Séjourné.

Le président d’ArcelorMittal se félicite

Les réactions du secteur ont été immédiates. Le président d’ArcelorMittal, Aditya Mittal, a salué une décision « courageuse » : « L’Union européenne a compris la gravité de la situation et a agi de manière décisive ». L’association Eurofer, qui regroupe les sidérurgistes européens, a qualifié la mesure de « tournant vital » pour les 300 000 salariés du secteur et les 2,5 millions d’emplois indirects qu’il soutient.

La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a appelé les États membres et le Parlement européen à adopter rapidement le texte afin qu’il entre en vigueur au plus tard le 1er juillet 2026. « Nous devons agir maintenant », a-t-elle insisté.

Les chiffres illustrent l’ampleur du défi : la Chine produit plus d’un milliard de tonnes d’acier par an, soit plus de la moitié du total mondial. Et ce, loin devant l’Inde (149 millions), le Japon (84 millions) et les États-Unis (79 millions). À titre de comparaison, la production européenne plafonne à 37 millions de tonnes en Allemagne, 12 millions en Espagne et moins de 11 millions en France.

En Europe, les restructurations se poursuivent : Thyssenkrupp envisage de vendre son aciérie à l’indien Jindal Steel; tandis qu’ArcelorMittal a annoncé la suppression de 600 postes en France.

Tensions diplomatiques : Londres réclame des clarifications, la Norvège exemptée

Le Royaume-Uni a réagi avec inquiétude aux annonces de Bruxelles. Le Premier ministre Keir Starmer assure être en « discussions » avec la Commission pour obtenir des éclaircissements sur les quotas d’importation, évoquant une « menace existentielle » pour l’industrie sidérurgique britannique.

Londres redoute que l’impact de ces mesures dépasse celui des tarifs imposés par Donald Trump en 2018. « Nous faisons pression sur la Commission pour comprendre les implications concrètes de sa décision », a déclaré le ministre de l’Industrie, Chris McDonald.

Par ailleurs, et selon l’agence NTB, la Norvège a obtenu une exemption des nouvelles taxes européennes sur l’acier importé, comme l’a confirmé son ministre des Affaires étrangères, Espen Barth Eide.

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Allemagne : chute de 18,5 % de la production automobile

08. Oktober 2025 um 10:52

La production industrielle allemande a enregistré sa plus forte baisse depuis début 2022, montrant les difficultés auxquelles la plus grande économie européenne est confrontée pour surmonter une récession de plusieurs années.

La production a chuté de 4,3 % en août par rapport au mois précédent, entraînée par une baisse de 18,5 % de la production automobile, selon les données de Destatis, l’agence statistique allemande. Ce résultat est bien pire que toutes les prévisions d’une enquête Bloomberg réalisée auprès de 22 économistes.

« La baisse significative peut s’expliquer, au moins en partie, par la combinaison des fermetures annuelles d’usines pour les vacances et des changements de production » dans l’industrie automobile, a indiqué l’agence dans un communiqué.

Le rapport, combiné aux données publiées plus tôt cette semaine montrant que les commandes des usines ont chuté de manière inattendue pour un quatrième mois. Il souligne la faiblesse persistante de l’Allemagne, qui souffre de l’impact cumulatif des tarifs douaniers, d’un choc énergétique et de la concurrence de la Chine.

A noter que les revers répétés présentés par les données concrètes suggèrent le défi auquel le chancelier Friedrich Merz est confronté pour sortir l’économie d’une récession qui a déjà conduit à deux années de contraction.

Il a promis de relancer la croissance et de s’attaquer aux problèmes de longue date tels que le vieillissement de la main-d’œuvre et la bureaucratie excessive, mais les critiques affirment que peu de progrès ont été réalisés jusqu’à présent.

Le gouvernement allemand devrait revoir ses prévisions à la hausse, annonçant une croissance de 0,2 % au lieu d’une stagnation, selon des sources proches du dossier. Pour 2026, la croissance devrait être de 1,3 %, ont-elles précisé.

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Bourse de New York : le prix de l’or franchit la barre des 4 000 dollars l’once

08. Oktober 2025 um 10:01

L’or a franchi la barre des 4 000 dollars l’once mercredi 8 octobre 2025. Un niveau record poussé par les investisseurs en quête de sécurité. Et ce, dans un contexte d’incertitude économique et géopolitique croissante, ainsi que par les attentes de nouvelles baisses des taux d’intérêt par la Réserve fédérale américaine.

L’or au comptant a augmenté de 1,29 % à 4 035,07 dollars l’once, mercredi 8 octobre 2025. Les contrats à terme sur l’or américain pour livraison en décembre ont également augmenté de 0,5 % à 4 025 dollars l’once.

L’or est souvent considéré comme une valeur refuge en période d’instabilité. Ainsi, le cours de l’or au comptant a augmenté de 52 % depuis le début de l’année, après une hausse de 27 % en 2024, selon Reuters.

« La confiance dans ces échanges est telle qu’actuellement le marché attendra le prochain chiffre important, 5 000, avec la Fed qui devrait poursuivre ses baisses de taux d’intérêt », a déclaré Tai Wong, négociant indépendant en métaux. « Il y aura des obstacles, comme une trêve permanente au Moyen-Orient ou en Ukraine, mais les moteurs fondamentaux des échanges commerciaux – une dette importante et croissante, la diversification des réserves et un dollar plus faible – ne devraient pas changer à moyen terme ».

Une combinaison de facteurs, notamment l’augmentation des achats des banques centrales, un regain d’intérêt pour les fonds négociés en Bourse (ETF) adossés à l’or, un dollar plus faible et une forte demande des particuliers, a alimenté la hausse du métal jaune.

La fermeture du gouvernement américain est entrée mardi dans son septième jour, retardant la publication d’indicateurs économiques clés, obligeant les investisseurs à se fier à des données secondaires non gouvernementales pour prédire le calendrier et l’ampleur des baisses de taux d’intérêt.

« Ce que nous voyons maintenant, c’est que les investisseurs achètent de l’or, malgré le prix plus élevé. Cee qui ajoute à la dynamique du mouvement », souligne Giovanni Staunovo, analyste chez UBS.

Quant aux autres métaux précieux, l’argent au comptant a augmenté de 0,5 % à 48,03 $ l’once, le platine a augmenté de 2,2 % à 1 653,21 $ et le palladium a augmenté de 1,3 % à 1 355,32 $.

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Mohamed Ali Nafti représente la Tunisie au Sommet du COMESA à Nairobi

07. Oktober 2025 um 20:13

Mohamed Ali Nafti, ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger,  conduira la délégation tunisienne qui participe aux travaux de la 24ème session de la Conférence des chefs d’État et de gouvernement du Marché Commun de l’Afrique Orientale et Australe (COMESA), qui se tiendra le 9 octobre 2025 à Nairobi au Kenya.

Cette Conférence sera précédée de la 20ème Réunion des chefs de la diplomatie des pays du COMESA, prévue le 8 octobre, indique un communiqué du département des Affaires étrangères. Le Salon et le Forum des Affaires du COMESA seront également organisés durant la même période.

Sur le thème « L’exploitation optimale de la numérisation pour parvenir à un développement régional inclusif », les travaux du sommet porteront sur l’examen des réalisations accomplies dans la mise en œuvre de l’accord instituant le Marché Commun, le suivi des principaux programmes visant à accélérer le rythme de l’intégration économique et régionale ainsi que sur l’adoption de mécanismes de numérisation en tant que levier pour renforcer une dynamique de croissance économique efficace, contribuant à asseoir les fondements de la paix, de la sécurité et de la stabilité pour les peuples de la région et du continent africain.

A rappeler par ailleurs que la Tunisie a adhéré, en juillet 2018, à ce groupe économique régional qui compte désormais 21 pays…

Cette adhésion s’inscrit dans le cadre de l’engagement de la Tunisie dans le processus d’intégration économique et régionale, et vise à élargir son partenariat avec les pays de l’Afrique de l’Est australe, en vue de la mise en œuvre effective de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) et de la réalisation d’un nouveau modèle de développement et de croissance économique.

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