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Tunisie │ Hausses tous azimuts des prix des fruits, légumes et poissons

10. Mai 2025 um 12:30

Les prix des différents fruits, légumes et poissons au marché de gros de Bir El Kassaa, au sud de Tunis, se sont inscrits en hausse durant le mois d’avril 2025, par rapport à la même période de l’année dernière.

C’est ce qui ressort des données, publiées jeudi 7 mai 2025, par l’Observatoire national de l’agriculture (Onagri), relevant du ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche.

Pour ce qui est des fruits, les prix des dattes ont évolué, durant la période concernée, de 5% (à 6926 millimes), des fraises de 12% (à 4129 millimes), des citrons de 36% (à 1000 millimes), des pommes de 64% (à 3692 millimes), des oranges de 53% à 134%, selon les différentes variétés (les prix variant de 1561 millimes à 3323 millimes).

La plupart des légumes ont vu, également, leur prix augmenter, notamment l’artichaut violet (de 74% à 2290 millimes), les pommes de terre (de 71% à 1741 millimes), les courgettes (de 67% à 2149 millimes), le fenouil (de 59% à 1125 millimes), l’oignon (de 41% à 1480 millimes).

Les prix ont cependant baissé, durant la même période. C’est le cas des tomates (de 29%, à 1406 millimes) et du concombre (de 15%, à 1865 millimes).

Toutes les variétés de poissons ont vu leur prix augmenter, à l’exception des Sardines dont le prix a régressé de 31%, pour se situer au niveau de 4509 millimes.

Les prix du merlan et du pageot ont augmenté de 5% (à respectivement 19220 millimes et 3760 millimes), du chinchard (8% à 4182 millimes), du mulet (14% à 11994 millimes), du rouget (21% à 28990 millimes), du poulpe (23% à 30214 millimes) et de la bonite (58% (à 17724 millimes).

I. B. (avec Tap).

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Les prix des fruits et poissons en forte hausse au marché de gros de Bir El Kassaa

Les prix des différents fruits au marché de gros de Bir El Kassaa se sont inscrits en hausse durant le mois d’avril 2025, par rapport à la même période de l’année dernière. C’est ce qu’il ressort des données, publiées jeudi, par l’Observatoire national de l’agriculture (ONAGRI).

S’agissant des prix des dattes, ils ont évolué de 5 %, passant de 6 603 millimes, en avril 2024, à 6 926 millimes en avril 2025.

Pour ce qui est des fraises et de citrons, les prix ont augmenté respectivement de 12 % (à 4 129 millimes) et de 36 % (à 1 000 millimes).

Celui des pommes a, à son tour, augmenté de 64 % (à 3 692 millimes), alors que celui de l’orange a enregistré une hausse comprise entre 53 % et 134 % (avec des prix variant de 1 561 millimes à 3 323 millimes), selon les différentes variétés.

Idem pour la plupart des légumes, lesquels ont vu leur somme augmentée, notamment l’artichaut violet (de 74% à 2290 millimes), les pommes de terre (de 71 % à 1741 millimes), les courgettes (de 67 % à 2149 millimes), le fenouil (de 59 % à 1125 millimes), l’oignon (de 41 % à 1 480 millimes)

D’autres variétés de légumes ont vu, en revanche, leur prix baissé. Il s’agit, surtout, de tomates et du concombre, dont les prix ont régressé respectivement de 29 %, à 1406 millimes, et de 15 %, à 1 865 millimes.

Quant aux poissons, les prix de toutes les variétés ont augmenté, à l’exception des sardines dont le prix a régressé de 31 %, pour se situer au niveau de 4 509 millimes.

Ainsi, les prix du merlan et du pageot ont augmenté de 5 % (respectivement à 19220 millimes et 3 760 millimes). Ceux du Chinchard ont enregistré une hausse de 8 % (à 4 182 millimes) et ceux du Mulet se sont accrus de 14 % (à 11 994 millimes).

Idem pour le rouget, le poulpe et la bonite, dont la valeur a enregistré une hausse assez importante, allant respectivement de 21 % (à 28 990 millimes), à 23 % (à 30 214 millimes) et à 58 % (à 17 724 millimes).

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ECLAIRAGES – Tunisie – Inflation : Une relecture augmentée de l’indice des prix à la consommation

08. Mai 2025 um 06:12

Au mois d’avril 2025, le taux d’inflation a enregistré une légère baisse, atteignant 5,6 % contre 5,9 % en mars. Bien que cette diminution soit un signe encourageant, elle demeure préoccupante, restant au-dessus des niveaux historiquement considérés comme acceptables dans de nombreuses économies développées. Cette situation complexe mérite une relecture augmentée, pour explorer les divers secteurs impactés par cette dynamique des prix, et des implications pour l’économie et les consommateurs.

 

Inflation

Le secteur alimentaire : pression persistante

La hausse des prix des produits alimentaires, qui s’élève à 7,3 %, continue d’inquiéter les ménages, notamment ceux à faibles revenus. Les augmentations spectaculaires des prix des légumes frais (+24,3 %) et des fruits (+19,2 %) révèlent une pression de plus en plus forte sur l’approvisionnement.

Commentaires :

  • Ces hausses peuvent être attribuées à des conditions climatiques défavorables, à des problèmes logistiques causés par des ruptures d’approvisionnement ou à des augmentations des coûts de production.
  • Paradoxalement, certaines denrées comme les huiles alimentaires ont enregistré une baisse significative de 20,9 %.
  • Cette situation souligne la volatilité inhérente aux marchés agricoles, où les fluctuations de l’offre et de la demande peuvent avoir des répercussions rapides et profondes sur les prix.
  • La stabilisation observée des prix alimentaires en avril, avec des baisses notables sur certains produits (œufs, légumes frais), pourrait indiquer un ajustement nécessaire après des hausses excessives.
  • Toutefois, cette instabilité reste préoccupante car elle peut entraîner des choix alimentaires difficiles pour les consommateurs. En effet, cette volatilité peut inciter les ménages à modifier leurs habitudes de consommation, se tournant vers des produits moins chers ou moins nutritifs. Cela exacerbe les problèmes de santé publique et de nutrition, en particulier dans les groupes les plus vulnérables.

Les produits manufacturés : une pression sur les coûts

Dans le secteur manufacturé, les prix ont augmenté de 5,2 % avec une concentration notable dans l’habillement et les chaussures, où les prix ont grimpé de 9,5 %.

Commentaires :

  • Cette hausse pourrait être le résultat d’une combinaison de coûts de production accrus, notamment liés aux matières premières, à la main-d’œuvre et aux frais de transport.
  • Par ailleurs, la reprise de la demande post-pandémique a également contribué à augmenter la pression sur les prix.
  • Les consommateurs, après des périodes de restrictions, sont maintenant désireux de consommer. Ce qui, couplé à des chaînes d’approvisionnement encore fragiles, crée une situation où les prix continuent d’augmenter.
  • La capacité des consommateurs à absorber ces prix plus élevés dépendra de leur situation financière et de la confiance en l’économie. Une demande soutenue pourrait encourager les entreprises à augmenter davantage leurs prix, tandis qu’un retournement économique pourrait inverser cette tendance.
  • Cette dynamique met également en lumière la nécessité d’une transparence accrue de la part des entreprises concernant les raisons des augmentations de prix, car la confiance des consommateurs pourrait être affectée par des hausses jugées injustifiées.

 Services : une reprise énergique

Le secteur des services, notamment dans le domaine des restaurants, cafés et hôtels, a connu une hausse des prix de 11,5 %.

Commentaires :

  • Cet essor peut être attribué à un retour à la normale après les restrictions liées à la pandémie. Cependant, cette situation soulève des questions sur la durabilité de cette demande.
  • Les entreprises de ce secteur, qui ont été sévèrement touchées par la crise sanitaire, tentent de compenser les pertes subies au cours des dernières années. Cela peut les amener à adopter des pratiques tarifaires qui, tout en cherchant à couvrir les coûts accrus, pourraient dissuader une partie de la clientèle.
  • Il est remarquable de noter que cette hausse des prix dans les services peut avoir des effets d’entraînement sur d’autres secteurs de l’économie. Par exemple, si les consommateurs doivent dépenser plus pour se restaurer ou se divertir, cela pourrait réduire leur pouvoir d’achat pour d’autres biens et services.
  • Ce phénomène pourrait aggraver la pression inflationniste, créant un cercle vicieux difficile à briser.

L’inflation sous-jacente : un indicateur avancé, un signal d’alerte

Une attention particulière doit être portée à l’inflation sous-jacente, qui a légèrement diminué à 5,5 %, contre 5,7 % précédemment. Cette mesure, qui exclut les éléments volatils comme les produits alimentaires et l’énergie, indique une certaine stabilisation dans d’autres secteurs.

Commentaires :

  • L’augmentation des prix des produits libres (+6,8 %) comparativement aux produits encadrés (+1,7 %) suggère que les consommateurs continuent de faire face à des pressions sur les prix. Cette distinction pourrait guider les décideurs vers des mesures plus ciblées pour protéger les consommateurs vulnérables, en particulier ceux qui consacrent une part importante de leur revenu aux produits de base.
  • L’inflation sous-jacente est un indicateur avancé pour les banques centrales, en l’occurrence pour la BCT, car elle reflète les tendances inflationnistes sous-jacentes dans l’économie. Une inflation sous-jacente élevée pourrait inciter les autorités monétaires à revoir leur politique et envisager des hausses des taux d’intérêt. Ce qui pourrait avoir des répercussions sur la croissance économique.

Perspectives : naviguer dans un environnement complexe

En premier lieu, à l’horizon, le paysage économique reste incertain. Les prévisions des économistes et autres analystes indiquent que les prix pourraient continuer à fluctuer en raison de divers facteurs, notamment les conditions climatiques, les tensions géopolitiques et les politiques commerciales.

  • La BCT, face à cette situation, pourrait être amenées à ajuster sa stratégie monétaire. Pour autant, une éventuelle hausse des taux d’intérêt pour contrer l’inflation doit être maniée avec précaution, car elle pourrait freiner la reprise économique en cours.
  • L’équilibre entre la nécessité de maîtriser l’inflation et celle de soutenir la croissance sera un exercice délicat.

En second lieu, l’inflation persistante risque d’aggraver les inégalités sociales, car les ménages à faibles revenus consacrent une part disproportionnée de leur budget aux produits de première nécessité.

  • À cet égard, des politiques de soutien, telles que des subventions alimentaires ou une aide sociale élargie, pourraient être nécessaires pour atténuer ces effets.
  • Le rôle du gouvernement sera déterminant pour garantir que les mesures prises soient à la fois efficaces et justes, en ciblant les populations les plus touchées d’une part, d’assainir et de fluidifier les circuits de distribution.

En définitive, une stabilisation éclectique

L’indice des prix à la consommation d’avril 2025 dresse un tableau nuancé des défis économiques actuels. Bien qu’une légère baisse du taux d’inflation soit une lueur d’espoir, les pressions toujours présentes sur les prix des biens essentiels et des services soulignent l’importance d’une approche équilibrée et proactive de la part des décideurs.

Les politiques doivent non seulement viser à contrôler l’inflation, mais aussi à promouvoir une reprise économique durable et équitable. La collaboration entre les secteurs public et privé, ainsi que l’implication des citoyens dans le dialogue sur les politiques économiques, seront essentielles pour faire face à ces défis complexes.

Les prochaines étapes nécessiteront une vigilance continue et une adaptation rapide aux conditions changeantes du marché, afin d’assurer que les bénéfices d’une économie en reprise soient partagés équitablement.

Sources : INS

 

 

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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Le prix des moutons de l’Aïd entre 800 et 1600 dinars

07. Mai 2025 um 12:35
Karim Tlili, chef du département de la production animale à la délégation régionale au développement agricole de Gafsa, a déclaré dans une interview exclusive à Mosaïque, ce mercredi 7 mai 2025, que les prix de vente des moutons de sacrifice dans le gouvernorat de Gafsa ont connu une légère baisse par rapport à l’année précédente, […]

Monoprix: de la croissance, en attendant la profitabilité

23. April 2025 um 11:55

La Société Nouvelle Maison de la Ville de Tunis (Monoprix) a réalisé un chiffre d’affaires (hors taxes) de 176,242 MTND, une hausse de 6,7% en glissement annuel. Retraitée des ventes exceptionnelles relatives à l’opération nationale de distribution d’huile d’olive, la croissance s’élève plutôt à 10,1%. Globalement, nous pensons que cette amélioration provient d’un double effet positif prix et volume.

L’enseigne de distribution a renforcé son empreinte géographique, avec l’ouverture d’un 86e point de vente aux Jardins de Carthage en décembre 2024. De plus, l’inflation qui continue a poussé les prix vers le haut, bien que la grande distribution ait fait un effort côté prix.

Le ratio de la masse salariale au chiffre d’affaires est passé de 10,1% fin mars 2024 à 9,5% une année plus tard. Cette tendance traduit la croissance du chiffre d’affaires, couplée à une légère baisse des effectifs (3 131 agents). L’efficacité demeure le principe poursuivi par la société.

La société n’a pas encore annoncé son résultat 2024. Pour rappel, le premier semestre est soldé par une perte de 3,242 MTND. Monoprix, comme l’ensemble du secteur, fait face à un contexte difficile. La concurrence est rude, formelle et informelle, et le pouvoir d’achat des Tunisiens est érodé par un cycle inflationniste qui n’est pas encore terminé. Stratégiquement, il faudra s’orienter vers un modèle qui exige de moindres charges d’exploitation, ce qui n’est pas si évident.

Sur le marché actions, le titre affiche un rendement de 11,2% depuis le début de l’année. Les chiffres publiés sont positifs, mais ils sont à confirmer par une meilleure profitabilité tout au long de l’exercice.

 

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Au Mövenpick Hotel du Lac Tunis, la rupture du jeûne est un voyage culinaire et artistique

Comme chaque année, le Mövenpick Hotel du Lac se met dans l’ambiance de Ramadan en mettant en place à cette occasion une offre culinaire et artistique spécifique en ancrant davantage cette tradition débutée il y a 7 ans.

Sous le thème « El Dar El Kbira » (Maison de famille, Ndlr), le Mövenpick Hotel du Lac Tunis propose une expérience d’Iftar impressionnante durant le mois de Ramadan 2025 dans un cadre idyllique et convivial. Sous la tente de la terrasse, les convives prennent place pour un dîner combinant plats traditionnels exquis et art. L’établissement voulait, en choisissant ce thème, confirmer que ses valeurs s’alignent sur celles de la famille authentique tunisienne connue par son hospitalité et sa générosité.

Le décor choisi inspiré de bougainvilliers confère à l’ambiance le charme du Ramadan d’antan avec des lanternes traditionnelles, des guirlandes lumineuses et des voiles flottants. « Pour ces soirées ramadanesques, nous avons changé la décoration. De plus, des exposants, des artistes, des artisans vont venir tout au long du Ramadan pour exposer et promouvoir leurs produits artisanaux avec une exposition de peinture », indique Eric Vittenet, directeur général de l’hôtel.

Eric Vittenet, directeur général de l’hôtel, avec ses équipes.

23 spécialités

Dans une ambiance festive et décontractée, les visiteurs pourront goûter parmi les mets finement préparés par le chef exécutif de l’hôtel, Taher Trabelsi, qui propose un généreux buffet tunisien avec plus de 23 spécialités traditionnelles, accompagnées de délicieuses pâtisseries et de boissons authentiques, pour in Iftar riche et gourmand.

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Le chef Taher Trabelsi

Produits frais

« Comme à l’accoutumée, nous proposons un buffet tunisien avec un menu encore plus riche que les années précédentes. Les visiteurs auront la possibilité de savourer nos différents plats. Ceux-ci sont préparés à partir de produits frais comme la viande de l’agneau cuite à basse température pendant 7 heures dans le four et à laquelle nous ajoutons du riz mélangé au miel pour un arrière-goût sucré. Il y a également des artichauts farcis, de la viande d’agneau en ragout avec des artichauts et des petits pois, etc. Pour les fromages, nous avons un large choix entre le sardaigne, le sicilien, la ricotta », a ajouté Taher Trabelsi.

Vingtaine de salades

Quant au dessert, les convives auront le choix entre une variété d’entremets travaillés avec notamment des fruits secs comme les pistaches, les amandes et les noisettes. En outre, le menu du chef compte au minimum une vingtaine de salades de poulpe, de calamar, de seiche, de crevettes, d’artichauts, etc.

 

Célèbres artistes

Cette 7e édition du Ramadan au Mövenpick Hotel du Lac Tunis sera rythmée par de grandes soirées. En collaboration avec la Troupe Mazzika Khaled Ben Aissa, les invités auront rendez-vous dans un cadre unique avec des artistes de renommée et un programme musical captivant mettant en valeur l’authenticité de la tradition tunisienne.

Expérience musicale captivante

Le premier grand rendez-vous sera le 7 mars avec Lotfi Bouchnek et Asma Ben Ahmed. La soirée sera dédiée à la musique traditionnelle. Le 14 mars, les artistes Sofiene Zaidi et Mahdi Ayachi (Hadhra) animeront la soirée en offrant une immersion dans les sonorités polyphoniques et la profondeur de la musique soufie. Le troisième grand rendez-vous aura lieu le 19 mars avec l’artiste Mounib Gharbi. Durant cette soirée à la carte, qui se tiendra sous la tente du Diwan, Mounib Gharbi mettra en lumière l’harmonie de sa musique envoûtante. Quant aux soirées du 21 et du 26 mars, elles seront respectivement meublées par les troupes Azouzeya et Ochek Nouba.

En outre, à l’exception des grandes soirées, la terrasse du Diwan accueillera chaque soir un duo oriental pour des soirées intimes, créant une ambiance calme. Ces soirées offriront aux invités une expérience musicale différente dans un cadre tranquille, où des coins Margoum sont aménagés pour une atmosphère encore plus conviviale.

Lumières familiales

Le Mövenpick Hotel du Lac a voulu également rendre hommage durant le mois de Ramadan à l’art de la peinture avec l’exposition « Lumières Familiales : Récits du Ramadan », sous la supervision artistique de Michela Margherita Sarti.

Cette exposition célèbre la famille, la maison et les moments partagés pendant l’Iftar, à travers des œuvres qui mettent en lumière les traditions et les valeurs profondes de la communauté.

Cuisine : buffet tunisien

Tarifs: Adulte : 150 DT – Enfant entre 6 et 12 ans : Moins de 50% – Moins de 6 ans : gratuit

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