Algérie : La Sonatrach inaugure le complexe de traitement de gaz d’Aïn Tsila
La crise autour de la chanteuse égyptienne Sherine Abdel Wahab connaît un nouvel épisode marqué par une grande confusion. Alors que des rumeurs annoncent son retour auprès de l’artiste Hossam Habib, son avocat, Me Yasser Kantoush, a publié un communiqué alarmant évoquant un « effondrement psychologique » et appelant les ministères de la Culture et […]
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La chanteuse émiratie Ahlam a ébloui le public lors de la soirée de clôture de la 59ᵉ édition du Festival international de Carthage, en apparaissant dans une somptueuse robe signée par le célèbre créateur libanais Zuhair Murad. Issue de la collection automne-hiver 2025/2026, cette tenue d’exception, d’une valeur estimée à 29 000 euros (près de […]
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Les projecteurs du grand Théâtre antique de Carthage se sont allumés une dernière fois, dans la soirée du jeudi 21 août 2025, pour auréoler la clôture de la 59ème édition du Festival international de Carthage (FIC). Dans cette arène millénaire, chargée d’histoire et de mémoire, la star du Golfe, la chanteuse émiratie Ahlam, a signé son grand retour après vingt-huit ans, depuis sa première apparition en 1997. Un retour exceptionnel et des retrouvailles marquantes, portés par le dernier concert de cette édition, qui restera comme l’un des moments phares de la saison estivale 2025.
Plus qu’un simple spectacle, la soirée s’est transformée en un hommage vibrant : hommage à la Tunisie, à l’amphithéâtre romain de Carthage et à ce public fidèle qui, en 1997, avait accueilli la jeune chanteuse avec chaleur et bienveillance, contribuant à lancer une carrière aujourd’hui couronnée de gloire. “Carthage restera toujours le point de départ de mon parcours” s’est confiée Ahlam avec émotion, avouant que c’est cette scène mythique qui l’a propulsée vers la célébrité.
De sa voix puissante et nuancée, portée par une spontanéité et une générosité captivantes, l’artiste, accompagnée de sa troupe sous la direction du maestro Walid Fayed, a su instaurer une véritable complicité avec son public. Entre gestes empreints de délicatesse, mots chargés de reconnaissance et extraits soigneusement choisis de son vaste répertoire, elle a chanté l’amour, la loyauté, la nostalgie et la beauté. Passant avec aisance des ballades douces aux morceaux plus rythmés, Ahlam a enchainé avec “Tedri Lich”, reprise en chœur par l’auditoire, tout en improvisant un refrain vibrant, dédié à la Tunisie et à son amour pour ce pays.
Virevoltant sur scène, Ahlam a, durant plus de deux heures et demie, su surprendre en mêlant ses propres succès à des chansons profondément ancrées dans la mémoire collective tunisienne. Ainsi, avec des morceaux comme “Ghanni li chouwaya chouwaya” ou encore “koul alaya ma tkoul” ont suffi pour faire monter crescendo le public, doublement ravi par son interprétation en dialecte tunisien de “Megyess” de Zied Gharsa ou encore du classique du patrimoine musical “Ya Khlila”. Le tout était sublimé par des tableaux chorégraphiques folkloriques qui ont transformé la soirée en une véritable aubaine festive.
Diffusé en direct sur les chaînes MBC et El Wataniya, ce concert n’a pas seulement clos une édition mais il a ravivé l’essence du Festival international de Carthage : un lieu où artistes et public se rejoignent dans l’éclat d’instants partagés. Avec Ahlam, le festival s’est ainsi clôturé par une soirée spéciale, terminant la 59ème édition sur une note de nostalgie, de mémoire et de gratitude tout en éveillant déjà la curiosité autour de la 60ème édition-anniversaire appelée à être à la hauteur de ce rendez-vous estival d’exception en Tunisie.
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Dans une conjoncture économique internationale complexe et instable, la Tunisie a poursuivi ses efforts de stabilisation macroéconomique en renouant avec une croissance modérée (+1,4%), après une stagnation en 2023, a déclaré le gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie (BCT) Fathi Nouri, c’est ce qu’écrit le gouverneur de la BCT, Marouane El Abassi dans son mot d’ouverture du rapport annuel de l’Institut d’émission pour l’année 2024.
Et d’expliquer que ce résultat est soutenu, essentiellement, par une bonne campagne agricole, suite à l’amélioration des conditions climatiques, ainsi que par la performance du secteur des services marchands notamment le tourisme.
Cette évolution a pu, en fait compenser la contre-performance du secteur industriel, qui a subi les effets de l’affaiblissement de l’activité manufacturière dans la Zone Euro et les difficultés du secteur extractif, précise Nouri, ajoutant que l’activité économique a été essentiellement tirée par la demande intérieure, qui a constitué le principal moteur de la croissance, grâce à la vigueur de la consommation privée et la reprise de l’investissement malgré l’effet négatif exercé par la demande extérieure en relation avec le ralentissement des économies des principaux partenaires commerciaux dans la Zone Euro.
Pour le gouverneur, ce rythme de croissance économique reste toutefois insuffisant pour absorber le chômage, dont le taux a légèrement reculé à 16% au terme du troisième trimestre de 2024 (contre 16,4 % au terme de 2023).
S’agissant du secteur extérieur, l’année 2024 a été marquée par la poursuite de la maîtrise du déficit courant, revenant à -2.425 MDT, soit -1,5% du PIB contre -2,2% un an plus tôt, a-t-il rappelé. Et d’ajouter que cette amélioration est attribuable à la performance des secteurs pourvoyeurs de devises, notamment la consolidation des recettes touristiques et des transferts des travailleurs tunisiens à l’étranger.
En revanche, le déficit de la balance commerciale (FOB-CAF) s’est creusé d’environ 11% par rapport à 2023, traduisant un regain des importations contre une stagnation des exportations en dépit de l’accroissement des recettes d’exportation générées par le secteur oléicole, a–il encore indiqué.
La bonne tenue des principaux indicateurs du compte courant de la balance des paiements a permis de reconstituer le stock des avoirs en devises qui se sont situés à 27,3 milliards de dinars au terme de l’année 2024, soit l’équivalent de 121 jours d’importation (contre 120 jours une année auparavant) et ce, malgré la forte augmentation des dépenses au titre des remboursements du service de la dette extérieure à long terme. En conséquence, le taux de change du dinar vis-à-vis des principales devises a connu une quasi-stabilité.
S’agissant des finances publiques, le gouverneur rappelle que le déficit budgétaire hors privatisations et dons a connu une contraction, revenant à 6% du PIB en 2024 (contre -7,6% en 2023).
Cette consolidation budgétaire témoigne d’une gestion plus rigoureuse des dépenses budgétaires combinée à un accroissement des recettes propres de l’Etat favorisé par la reprise de l’activité économique. De son côté, le taux d’endettement public a baissé de 3,4 points de pourcentage pour revenir à 81,2% du PIB contre 84,6% une année auparavant.
Concernant les prix à la consommation, le taux d’inflation s’est progressivement replié pour s’établir à 6,2%, en glissement annuel, à fin 2024, contre 8,1% un an plus tôt. Le taux d’inflation annuel moyen est revenu pour sa part à 7% contre 9,3%, en 2023. Selon Nouri, cette détente porte, surtout, la marque de la baisse des prix des produits de base sur les marchés internationaux conjuguée à la quasi-stabilité du taux de change du dinar, de même que l’impact de la politique monétaire restrictive sur la demande.
Malgré la poursuite progressive de ce processus désinflationniste, le contexte international est demeuré marqué par des risques haussiers sur les prix incitant la BCT à mener une politique monétaire prudente en maintenant son taux d’intérêt directeur à 8% tout au long de l’année 2024.
Sur un autre volet, la BCT a poursuivi, au cours de l’année 2024, la mise en œuvre de son deuxième plan stratégique (2023-2025), en consolidant les efforts de pilotage et de suivi des projets, tout en veillant à leur alignement avec les Sur un autre volet, la BCT a poursuivi, au cours de l’année 2024, la mise en œuvre de son deuxième plan stratégique (2023-2025), en consolidant les efforts de pilotage et de suivi des projets, tout en veillant à leur alignement avec les Rapport Annuel 2024. Cette dynamique s’est concrétisée, notamment, par l’achèvement du projet stratégique de ” mise en place d’un dispositif de management et de l’innovation de la BCT”.
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L’Organisation des Nations unies a officiellement déclaré, ce vendredi, l’état de famine dans la bande de Gaza, où près de 500.000 personnes font face à une insécurité alimentaire qualifiée de « catastrophique ». Selon le rapport du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire, basé à Rome, la ville de Gaza, qui représente environ […]
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*Cet article fait partie d’une série de publications dans le cadre de notre voyage au japon à l’occasion de la TICAD 9
La neuvième Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD 9) s’ouvre ce mercredi 20 août 2025, à Yokohama. Trois ans après avoir accueilli TICAD 8 à Tunis, la Tunisie doit capitaliser sur cette dynamique pour renforcer sa coopération avec le Japon et attirer de nouveaux investissements.
La TICAD, lancée en 1993 par le Japon en partenariat avec les Nations unies, la Banque mondiale et l’Union africaine, constitue l’un des rendez-vous majeurs du dialogue politique et économique entre le Japon et le continent africain. La conférence, organisée cette année à Pacifico Yokohama du 20 au 22 août, met l’accent sur la croissance durable, l’innovation, la lutte contre le changement climatique et la résilience économique.
Après avoir été sous les projecteurs en 2022 lors de TICAD 8 à Tunis, la Tunisie continue de surfer sur cet élan. Parmi les événements parallèles à Yokohama figure le séminaire « Discover Tunisia – Next Generation Business Challenges and Opportunities », organisé avec la participation de la FIPA (Agence tunisienne de promotion de l’investissement). Ce rendez-vous entend mettre en avant le potentiel tunisien en matière d’innovation, de solutions urbaines et de partenariats avec la jeunesse.
Cette présence ciblée confirme la volonté de Tunis de rester dans le radar des investisseurs japonais, alors que le pays cherche à diversifier ses partenariats et à renforcer son rôle de hub entre la Méditerranée et l’Afrique.
La Tunisie mise particulièrement sur la coopération avec le Japon dans des secteurs stratégiques tels que les technologies numériques, la transition énergétique et les infrastructures durables. La JICA (Agence japonaise de coopération internationale), déjà active en Tunisie, devrait jouer un rôle renforcé dans la mise en place de projets conjoints.
De plus, les discussions prévues à Yokohama sur la transition énergétique et l’adaptation au changement climatique résonnent directement avec les priorités tunisiennes, notamment la réduction de la dépendance énergétique et la promotion des énergies renouvelables.
Un autre enjeu fort de cette TICAD 9 est la mise en réseau des jeunes leaders africains et japonais. La Tunisie, riche d’un capital humain qualifié, y voit l’opportunité de développer des programmes conjoints dans la formation, la recherche et l’entrepreneuriat. Cette dynamique pourrait favoriser l’émergence de nouvelles générations de décideurs et d’innovateurs des deux côtés.
En accueillant TICAD 8 à Tunis, la Tunisie a gagné en visibilité sur la scène internationale. Aujourd’hui, à Yokohama, elle cherche à transformer cette visibilité en opportunités concrètes : investissements directs, coopération technologique et partenariats éducatifs.
La continuité entre Tunis et Yokohama illustre la stratégie tunisienne de se positionner comme un acteur incontournable dans les échanges Afrique–Japon, tout en renforçant sa propre transition économique.
La TICAD 9, qui se tient à Yokohama, met en avant plusieurs enjeux stratégiques : renforcer le partenariat Afrique–Japon à travers des investissements dans les infrastructures durables, l’énergie et le numérique, soutenir la transition vers une économie décarbonée et des solutions climatiques innovantes, promouvoir la paix et la sécurité humaine, tout en impliquant la jeunesse et l’innovation. Le programme prévoit des sessions thématiques sur le climat, les villes durables et l’alimentation, des ateliers sur la coopération technologique et économique, ainsi que des événements dédiés à la jeunesse et à l’entrepreneuriat, dont le séminaire « Discover Tunisia » qui met en lumière les opportunités tunisiennes.
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Lors de sa participation à la TICAD 9 à Yokohama, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, a proposé l’organisation d’un forum économique tuniso-japonais l’année prochaine, afin de renforcer la coopération bilatérale et explorer de nouvelles perspectives de développement.
Sarra Zaafrani Zenzri a rencontré Akihiko Tanaka, président de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA), pour discuter de l’organisation d’un forum économique qui pourrait se tenir en Tunisie ou au Japon en 2026.
Consolider le partenariat tuniso-japonais
L’objectif est de consolider le partenariat tuniso-japonais et de promouvoir l’usage des technologies émergentes dans les projets de développement pour la période 2026-2030.
Elle a également présenté plusieurs programmes financés par la JICA, en cours d’évaluation, et a indiqué que la Tunisie a soumis une liste de nouveaux projets à financer. Les difficultés fiscales ou procédurales identifiées font l’objet d’études pour trouver des solutions adaptées.
La JICA, 50 ans de présence en Tunisie
La cheffe du gouvernement a insisté sur le renforcement du soutien à l’enseignement supérieur et à la formation professionnelle, avec un nombre accru de bourses japonaises pour les étudiants tunisiens. Elle a rappelé l’importance des 50 ans de présence de la JICA en Tunisie et son rôle dans le développement d’infrastructures et le renforcement des compétences tunisiennes.
Akihiko Tanaka a réaffirmé l’engagement de la JICA à poursuivre les projets stratégiques et à développer de nouvelles initiatives, soulignant la réussite des programmes déjà réalisés dans divers secteurs en Tunisie.
La proposition intervient dans le cadre de la TICAD 9 (20-22 août 2025), dont le thème est « Coopérer pour trouver des solutions innovantes avec l’Afrique ». Cette conférence rassemble gouvernements, bailleurs de fonds et acteurs du secteur privé pour renforcer la coopération et le développement africain, tout en mettant l’accent sur l’innovation et la jeunesse.
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Un groupe de députés à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a présenté une proposition de loi visant à instaurer le système de séance unique dans les établissements scolaires publics, avec pour objectif d’améliorer la gestion du temps scolaire et la qualité de l’enseignement.
La proposition de loi, composée de sept articles, a été soumise à la Commission de l’éducation et de la formation professionnelle. Elle prévoit que les cours soient dispensés sans interruption pendant un maximum de cinq heures par jour, permettant aux élèves de consacrer le reste de la journée à des activités parascolaires.
Horaires aménagés
Le projet de loi prévoit des horaires aménagés avec des cours du lundi au vendredi, et maximum cinq heures par jour pour le cycle primaire ; et un maximum de 30 heures par semaine, réparties sur cinq jours pour les collèges et lycées.
Le texte propose une application progressive, priorisant les zones rurales et les régions défavorisées ou difficiles d’accès. Les députés soulignent que ce système pourrait contribuer à une meilleure organisation des établissements scolaires et à un apprentissage plus efficace pour les élèves.
Favoriser les activités parascolaires
La gestion du temps scolaire fait régulièrement l’objet de discussions en Tunisie. Le système de séance unique est considéré comme une solution pour réduire la fatigue des élèves et favoriser l’accès aux activités éducatives complémentaires, notamment dans les zones rurales.
Cette initiative vise à moderniser l’organisation scolaire et à offrir aux élèves un meilleur équilibre entre apprentissage et activités extrascolaires.
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Mandatée par le président de la République Kaïs Saïed, la cheffe du gouvernement Sarra Zaafrani Zenzri effectue une visite officielle à Yokohama du 18 au 22 août 2025, afin de participer à la 9e Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD 9), organisée sous le thème « Coopérer pour trouver des solutions innovantes avec l’Afrique ».
Selon un communiqué officiel, la cheffe du gouvernement prendra part aux travaux de ce sommet aux côtés du Premier ministre japonais et de plusieurs chefs d’État et de gouvernement africains.
Son agenda prévoit également une série de rencontres bilatérales avec les autorités japonaises et des responsables africains.
La présidence du gouvernement souligne que cette participation revêt une importance particulière pour la Tunisie, qui entend contribuer activement à l’élaboration d’une vision commune du développement africain, basée sur une approche participative et intégrée.
La TICAD, initiée par le Japon en 1993, est un cadre international de dialogue et de partenariat en faveur du développement de l’Afrique. La Tunisie avait déjà accueilli la 8e édition de cette conférence les 27 et 28 août 2022 à Tunis, un événement qui avait marqué une étape importante dans le renforcement des liens tuniso-japonais et afro-japonais.
Cette visite illustre la volonté de Tunis de jouer un rôle actif dans la coopération afro-japonaise et de renforcer son positionnement stratégique en Afrique.
Lire aussi :
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Le ministère des Finances a annoncé la généralisation du timbre de voyage électronique, exigé lors de la sortie du territoire tunisien. Désormais disponible en ligne, ce dispositif vise à simplifier les démarches, réduire la bureaucratie et améliorer la transparence des opérations.
Depuis octobre 2023, les voyageurs tunisiens et résidents doivent s’acquitter de la taxe de sortie, fixée à 60 dinars, via la plateforme officielle e-timbres.finances.gov.tn.
Une fois le paiement effectué, un identifiant unique de 16 chiffres est généré et envoyé par SMS ou e-mail. Ce code, valable six mois, tient lieu de justificatif aux postes frontaliers.
Le timbre numérique remplace progressivement le timbre papier, longtemps vendu dans les aéroports ou les recettes des finances. Cette transition met fin aux files d’attente et aux ruptures de stock fréquentes en période de forte affluence.
Le ministère des Finances met en avant une mesure de simplification et de modernisation. Les autorités insistent également sur l’interconnexion avec la police des frontières, qui permet de vérifier l’authenticité de chaque timbre en temps réel.
La réforme du timbre de voyage s’inscrit dans une stratégie plus large de dématérialisation des services publics. La même plateforme propose déjà d’autres timbres électroniques : inscriptions aux concours nationaux, examens scolaires ou demandes de passeport. Tous peuvent être achetés en ligne via carte bancaire ou postale.
Ce qu’il faut retenir
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Le terme « Grand Israël » revient régulièrement dans les débats au Moyen-Orient. Mais que désigne-t-il exactement et quelles sont ses implications pour la région ?
Le « Grand Israël » est un concept politique et idéologique visant à étendre l’État d’Israël au-delà de ses frontières actuelles, en englobant notamment certaines zones historiques de la Judée, de la Samarie et de la Galilée. Dans sa forme la plus large, certains extrémistes incluent même des territoires du Liban, de la Syrie et de la Jordanie.
Ce concept trouve ses racines dans le sionisme religieux et nationaliste, qui considère que l’État moderne d’Israël devrait recouvrir l’intégralité de la « Terre d’Israël » telle qu’elle est décrite dans la Bible. Cependant, aucune définition officielle n’existe et les interprétations varient selon les courants politiques et religieux.
Sur le plan politique, l’idée de « Grand Israël » est fortement contestée à l’international. Elle implique souvent l’annexion de territoires palestiniens et la remise en cause d’une solution à deux États, ce qui soulève de sérieux problèmes juridiques et diplomatiques. La plupart des pays et organisations internationales considèrent ces revendications comme une menace pour la stabilité régionale et un obstacle à la paix au Moyen-Orient.
En pratique, certains responsables israéliens utilisent ce concept comme argument symbolique ou stratégique pour justifier le contrôle maximal sur la Cisjordanie. Pour les pays arabes et la communauté internationale, il reste un sujet sensible, symbole de tensions historiques et actuelles entre Israël et les Palestiniens.
Comprendre le « Grand Israël », c’est donc saisir un pan essentiel des conflits et des négociations au Moyen-Orient, entre revendications historiques, religion et réalités géopolitiques contemporaines.
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Le ministère de la Santé a lancé mardi 12 août 2025 la plateforme Najda.TN sur tout le territoire tunisien. Les tests réalisés dans plusieurs gouvernorats ont montré que cette solution accélère les interventions médicales et sauve des vies.
Grâce à Najda.TN, les crises cardiaques se détectent plus tôt. Les notifications arrivent instantanément aux équipes médicales, qui peuvent intervenir rapidement. Cette réactivité réduit fortement le risque de complications pour les patients.
Le ministère de la Santé équipe désormais tous les services de cardiologie, d’urgences et les ambulances SAMU avec les technologies numériques de la plateforme. Les équipes médicales suivent une formation spécifique pour apprendre à utiliser ces outils, en partenariat avec l’Association tunisienne de cardiologie et l’Autorité nationale d’accréditation.
Avec Najda.TN, la Tunisie améliore sa capacité à réagir face aux urgences cardiaques et place la technologie au cœur de la protection de la vie.
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Le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens a lancé une nouvelle plateforme numérique. Elle permet de gérer les services de garde des pharmacies pendant les jours fériés, les dimanches et les soirées du samedi.
Cette plateforme ne sert pas seulement à organiser les permanences. Elle offre aussi aux citoyens des informations fiables sur les pharmacies de garde. Les utilisateurs peuvent voir leur emplacement sur une carte interactive.
La plateforme est accessible ici : https://medicapp.tn/cnoptLocalisation/
Le Conseil encourage tous les pharmaciens à inscrire leurs officines. Cela aidera à mieux organiser les services de garde et à guider facilement les citoyens vers les pharmacies disponibles.
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Le ministère de la Santé a mis en place un centre médical à distance pour faciliter l’accès aux soins dans les zones rurales. Hier, il a réussi à transmettre des images médicales de trois patients depuis l’hôpital régional de Tabarka. Aujourd’hui, plus de dix examens ont été réalisés à distance pour des patients de l’hôpital local de Chebika, dans la région de Kairouan.
Ce centre aide les patients à éviter les longs déplacements. Il réduit aussi le temps d’attente et permet un diagnostic plus rapide.
Pour cela, le ministère utilise des technologies modernes et l’intelligence artificielle. Ces outils connectent les établissements de santé et rapprochent les soins des citoyens, où qu’ils habitent.
Ce projet fait partie d’un plan plus large pour moderniser le système de santé. Il veut offrir de meilleurs services tout en utilisant mieux les ressources disponibles.
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Les services des douanes au port de la Goulette Nord ont intercepté une importante quantité de cannabis soigneusement dissimulée à l’intérieur d’une voiture appartenant à un voyageur tunisien résidant à l’étranger.
Selon le communiqué publié ce mardi 12 août 2025 par la Direction générale des douanes, le véhicule a été soumis au scanner de contrôle et inspecté par l’unité cynophile, ce qui a éveillé des soupçons quant à la présence de marchandises de contrebande.
Un contrôle minutieux effectué par les agents des douanes a permis de découvrir 360 plaques de cannabis, pesant au total 36 170 grammes.
Un procès-verbal de saisie a été établi et, après consultation du parquet, l’affaire a été confiée aux services de sécurité compétents pour la poursuite de l’enquête.
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Le développement de l’innovation sanitaire et l’adoption des technologies médicales de pointe ont été au cœur de l’entretien, ce lundi au siège du ministère, entre le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, et l’ambassadeur de Corée du Sud, Lee Tae-won.
Selon un communiqué publié par le ministère en fin de journée, cette rencontre a permis d’explorer de nouvelles pistes de coopération entre Tunis et Séoul dans les domaines de la numérisation des services médicaux, du développement de technologies de santé avancées, ainsi que du lancement de programmes de recherche conjoints et d’innovations médicales.
Les discussions ont également porté sur la formation des compétences, l’échange d’expertises en chirurgie robotique, le soutien à la transformation numérique du système de santé tunisien et l’ouverture sur le marché du tourisme médical.
Le ministre Ferjani a souligné que la numérisation et les technologies modernes constituent la clé pour améliorer la qualité des services de santé et faire de la Tunisie un moteur de l’innovation sanitaire en Afrique.
De son côté, l’ambassadeur sud-coréen a réaffirmé le soutien de son pays au renforcement des infrastructures technologiques médicales tunisiennes. À cette occasion, le diplomate a remis au ministre une invitation officielle à participer au Sommet mondial de la biotechnologie qui se tiendra en Corée du Sud en septembre prochain.
Lire aussi : Tunisie : Vers la création d’un centre régional de formation en biotechnologie
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Ce lundi 11 août, la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a remis des certificats aux experts formés à la gestion de l’énergie. Cette formation suit la norme internationale ISO 50001.
La cérémonie s’est tenue au ministère, en présence du secrétaire d’État Wael Chouchane, de la cheffe de cabinet Afaf Chachi Tayari et des représentants de l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ).
Ce programme fait partie du projet « Croissance Qualitative pour l’Emploi » (CQE). Lancé en février 2022, il vise à moderniser l’industrie tunisienne. Le projet aide les entreprises à devenir plus compétitives et à mieux gérer leur consommation d’énergie.
Au total, 45 personnes du secteur public et privé ont suivi cette formation. Parmi elles, 25 ont obtenu une certification officielle. De plus, 22 entreprises industrielles ont reçu un soutien pour mettre en place un système de gestion de l’énergie conforme à la norme ISO 50001.
La ministre a souligné l’importance de former des experts nationaux. Ces experts aideront les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique. Elle a aussi salué l’effort de tous pour construire un avenir industriel durable et respectueux de l’environnement.
La norme internationale ISO 50001 est un cadre volontaire de management de l’énergie qui aide les organisations à améliorer leur performance énergétique, réduire leurs coûts et leurs émissions de gaz à effet de serre (GES).
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