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Gestern — 23. Oktober 2025Haupt-Feeds

Cérémonie funéraire en hommage à Mohamed Tata au siège du SNJT

Von: Yusra NY
23. Oktober 2025 um 19:54

Une cérémonie funéraire a été organisée ce jeudi 23 octobre 2024 au siège du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) à Tunis, en hommage au journaliste photographe Mohamed Tata.

La profession a rendu hommage à un homme dont la carrière fut synonyme de rigueur, d’engagement et de professionnalisme sans faille, lit-on dans le communiqué du SNJT, qui affirme que Mohammed Tata était de ceux qui ont fait de la photo de presse non pas un simple agrément, mais une preuve, un document et un témoignage du réel.

Journaliste photographe passionné, il a travaillé pour plusieurs chaînes tunisiennes et étrangères ainsi que pour de nombreux sites médiatiques, rappelle encore la même source.

Le Syndicat a également souligné les qualités humaines du regretté Mohamed Tata, en commentant : « Il ne cherchait ni la célébrité ni les projecteurs, mais uniquement l’accomplissement de son devoir avec la plus grande exactitude et le respect des règles de l’art… Sa courtoisie et son sens du relationnel étaient unanimement appréciés… la famille de la presse perd un des visages calmes et sincères ».

Y. N.

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Il a survécu aux frappes sionistes… mais pas aux milices à Gaza !

13. Oktober 2025 um 07:31

Le 12 octobre 2025, le journaliste palestinien Saleh Al-Jafarawi a été tué par balle dans le quartier de Sabra, à Gaza, alors qu’il couvrait des affrontements violents entre le groupe Hamas et la milice Doghmush. Selon plusieurs sources, dont la chaîne Al Jazeera, Al-Jafarawi portait un gilet de presse au moment de sa mort .

Agé de 28 ans, Al-Jafarawi était connu pour ses vidéos virales soutenant le Hamas et documentant de manière dramatique ses blessures présumées lors des frappes israéliennes. Il avait acquis une notoriété en ligne et était surnommé « Mr. FAFO » en raison de ses multiples rôles, notamment en tant que combattant, journaliste et victime, ce qui avait suscité à la fois des moqueries et des accusations de propagande.

Avant sa mort, Al-Jafarawi avait déclaré vivre dans une peur constante après avoir reçu des menaces de la part des forces israéliennes. Son décès survient dans un contexte de violences inter-palestiniennes, avec des affrontements ayant fait au moins 52 morts parmi les membres du clan Doghmush et 12 militants du Hamas.

La mort d’Al-Jafarawi s’inscrit dans un contexte plus large de répression de la liberté de la presse à Gaza. Depuis le début du conflit en octobre 2023, plus de 270 journalistes ont été tués dans la région, faisant de ce conflit le plus meurtrier pour les travailleurs des médias.

Des experts des Nations Unies ont exprimé leur indignation face à l’assassinat de six journalistes palestiniens, dont deux femmes, dans plusieurs frappes israéliennes à Gaza, soulignant la nécessité d’une protection internationale pour les journalistes dans les zones de conflit.

Lire aussi : Gaza : Le cessez-le-feu entre en vigueur après deux ans de guerre

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Vives réactions après une interview controversée de la journaliste tunisienne Rim Bougamra

28. August 2025 um 18:13

Dans un contexte marqué par l’offensive meurtrière que mène l’occupation israélienne contre le peuple palestinien, notamment dans la bande de Gaza, où des dizaines de milliers de victimes ont été recensées – en majorité des civils, parmi eux 254 journalistes tombés dans l’exercice de leur métier – une polémique secoue aujourd’hui la scène médiatique tunisienne.

La journaliste tunisienne Rim Bougamra a accordé un entretien télévisé à l’un des responsables de la guerre au sein du gouvernement israélien, diffusé sur la chaîne Al Arabiya. Une initiative qui a immédiatement suscité l’indignation de le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), lequel a publié un communiqué dénonçant « une violation flagrante de l’éthique journalistique » et « un acte de normalisation médiatique inacceptable ».

Le syndicat a souligné qu’« aucune nécessité professionnelle ni intérêt journalistique ne justifie d’offrir une tribune à un responsable d’un gouvernement impliqué dans des crimes de guerre et contre l’humanité ». Pour le SNJT, ce type d’interview « ne représente aucune valeur ajoutée sur le plan informatif », mais sert plutôt à « blanchir l’occupation et à tromper l’opinion publique ».

L’organisation a également estimé que la diffusion d’un tel entretien « ne saurait être réduite à un simple choix éditorial », mais relève d’« une décision politique enrobée d’un vernis médiatique », visant à briser le consensus arabe et populaire autour du refus de la normalisation avec Israël.

Le communiqué rappelle que les journalistes tunisiens sont moralement et professionnellement tenus de respecter les convictions du peuple tunisien, historiquement attaché à la cause palestinienne et fermement opposé à toute forme de normalisation – qu’elle soit politique, culturelle ou médiatique. La SNJT appelle ainsi les journalistes à s’engager activement dans la dénonciation des crimes de l’occupation et dans une couverture professionnelle du combat du peuple palestinien, loin de toute complaisance.

Enfin, le syndicat réaffirme sa conviction que « le vrai journalisme consiste à se tenir du côté des causes justes, des victimes et de la voix des peuples opprimés », rejetant ce qu’il qualifie de « faux langage de neutralité » qui sert, selon lui, à maquiller une forme de complicité médiatique avec l’occupant.

À la suite de cette affaire, une large campagne de dénonciation a éclaté sur les réseaux sociaux, où de nombreux internautes tunisiens et arabes ont fustigé le choix de la journaliste et appelé à un respect strict des positions historiques de la Tunisie vis-à-vis de la cause palestinienne.

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Israël tue Anas al-Sharif et l’accuse d’être un dirigeant du Hamas

11. August 2025 um 07:08

Une frappe aérienne israélienne, menée le 10 août 2025 près de l’hôpital al-Shifa à Gaza, a coûté la vie à Anas al-Sharif, correspondant de la chaîne Al Jazeera, ainsi qu’à plusieurs autres journalistes présents sur place. Selon les autorités palestiniennes, au moins sept personnes ont été tuées dans cette attaque, dont quatre reporters de la même chaîne.

L’armée israélienne a rapidement revendiqué l’opération, affirmant que le journaliste était en réalité un « dirigeant de cellule du Hamas » impliqué dans des tirs de roquettes contre des civils et des soldats israéliens. Ces accusations ont été rejetées avec force par Al Jazeera, qui dénonce un « acte prémédité » visant à faire taire une voix critique de la couverture du conflit.

Anas al-Sharif, âgé de 28 ans et originaire du camp de réfugiés de Jabalia, était connu pour être resté l’un des rares journalistes à couvrir le nord de Gaza malgré les bombardements quotidiens. Il avait déjà perdu son père lors d’une frappe israélienne en décembre 2023. Dans ses dernières publications, quelques instants avant sa mort, il dénonçait l’intensification des frappes sur la ville et affirmait sa volonté de continuer à témoigner.

L’attaque a suscité l’indignation des défenseurs de la liberté de la presse. Des organisations internationales rappellent que plus de 200 journalistes ont été tués dans la bande de Gaza depuis le début de l’offensive israélienne en octobre 2023, et appellent à des enquêtes indépendantes pour faire la lumière sur ces assassinats.

Pour beaucoup, la mort d’Anas al-Sharif symbolise la vulnérabilité extrême des reporters travaillant en zones de guerre et relance le débat sur la nécessité de mécanismes internationaux contraignants pour assurer leur protection.

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Le journaliste Youssef Oueslati s’éteint, la presse tunisienne en deuil

Le journaliste Youssef Oueslati est décédé ce vendredi matin, plongeant le monde médiatique tunisien dans une profonde tristesse. Figure marquante du journalisme indépendant, il a laissé une empreinte durable par son engagement sans faille en faveur de la liberté d’expression et de la déontologie professionnelle.

Ancien membre du bureau exécutif du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Oueslati s’est distingué à travers de nombreux congrès et combats syndicaux. Défenseur inlassable des droits des journalistes, il incarnait une voix libre, critique et profondément attachée aux valeurs de la presse indépendante.

Au cours de sa carrière, il a dirigé la rédaction du journal Echaâb et du magazine Akher Khabar, tout en collaborant avec de nombreux médias tunisiens et internationaux. Son professionnalisme et sa rigueur journalistique ont fait de lui une référence respectée parmi ses pairs.

Dans un communiqué publié à l’annonce de sa disparition, le SNJT a salué la mémoire d’un homme intègre, généreux et engagé, soulignant sa présence constante aux côtés de ses confrères, que ce soit dans les luttes syndicales ou les élans de solidarité.

Le syndicat a exprimé ses condoléances les plus sincères à la famille du défunt, à ses proches ainsi qu’à l’ensemble de la profession, partageant leur peine en cette douloureuse circonstance.

Que Dieu accorde à Youssef Oueslati sa miséricorde et l’accueille en Son vaste paradis.

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