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Heute — 02. September 2025Haupt-Feeds

Décès du journaliste Marwen Hadweji | Une enquête ouverte

Von: Yusra NY
02. September 2025 um 21:11

Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de la mort du journaliste Marwen Hadweji, retrouvé ce matin dans sa voiture qui s‘était renversée et est tombée dans le canal Medjerda, à l’ouest de Tunis.

C’est ce qu’a indiqué Sami Smadhi, premier assistant du procureur et porte-parole du tribunal, cité dans la soirée de ce mardi 2 septembre 2025, par Mosaïque FM, en précisant que le corps du regretté Marwen Hadweji a été transféré à l’hôpital au service de médecine légale afin de déterminer les causes et les circonstance exactes du décès.

Rappelons que le journaliste était porté disparu, après avoir raccompagné sa sœur chez elle à Fouchana, vers 20h30. Son téléphone portable avait cessé de fonctionner et sa famille avait alors lancé un appel à témoins…

Y. N.

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Tunisie : la FTDJ adhère à l’appel de la FIJ pour protéger les journalistes dans la bande de Gaza

02. September 2025 um 12:12

La Fédération Tunisienne des Directeurs de Journaux (Ftdj) a annoncé, lundi, son adhésion sans condition à la campagne internationale de solidarité visant à mettre fin au ciblage des journalistes dans la bande de Gaza, en réponse à l’appel de la Fédération internationale des journalistes (FIJ) pour garantir l’accès de la presse internationale indépendante au territoire.

Dans un communiqué, la fédération a appelé toutes les institutions du secteur des médias à rejoindre cette campagne “sans précédent dans l’histoire du journalisme international”, afin de condamner l’agression contre Gaza et de dénoncer les crimes d’extermination commis contre la population palestinienne, y compris les journalistes, rappelant que 254 professionnels du secteur ont été tués à ce jour, et de s’opposer aux atteintes au droit à la vérité.

L’organisation a recommandé de poursuivre la production et la publication de contenus assurant la couverture des violations visant les journalistes à Gaza et, plus largement, la population palestinienne, tout en condamnant les pratiques de mise à mort, de famine et de déplacement forcé.

Réaffirmant son attachement à la liberté d’opinion, d’expression et de publication, la Fédération souligne le devoir de solidarité internationale comme levier essentiel pour protéger le journalisme en tant qu’outil de recherche de la vérité et de la redevabilité, lit-on de même source.

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Drame à Tunis : le corps du journaliste Marouane Hedouaji retrouvé dans sa voiture

02. September 2025 um 12:44
Drame à Tunis : le corps du journaliste Marouane Hedouaji retrouvé dans sa voiture

Le mardi 2 septembre 2025, une nouvelle tragique a bouleversé le monde médiatique et l’opinion publique en Tunisie. Les unités de sécurité et de la protection civile ont retrouvé, dans la matinée, la dépouille du journaliste Marouane Hedouaji, porté disparu depuis la soirée du dimanche 31 août. Son corps a été découvert à l’intérieur de […]

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Vives réactions après une interview controversée de la journaliste tunisienne Rim Bougamra

28. August 2025 um 18:13

Dans un contexte marqué par l’offensive meurtrière que mène l’occupation israélienne contre le peuple palestinien, notamment dans la bande de Gaza, où des dizaines de milliers de victimes ont été recensées – en majorité des civils, parmi eux 254 journalistes tombés dans l’exercice de leur métier – une polémique secoue aujourd’hui la scène médiatique tunisienne.

La journaliste tunisienne Rim Bougamra a accordé un entretien télévisé à l’un des responsables de la guerre au sein du gouvernement israélien, diffusé sur la chaîne Al Arabiya. Une initiative qui a immédiatement suscité l’indignation de le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), lequel a publié un communiqué dénonçant « une violation flagrante de l’éthique journalistique » et « un acte de normalisation médiatique inacceptable ».

Le syndicat a souligné qu’« aucune nécessité professionnelle ni intérêt journalistique ne justifie d’offrir une tribune à un responsable d’un gouvernement impliqué dans des crimes de guerre et contre l’humanité ». Pour le SNJT, ce type d’interview « ne représente aucune valeur ajoutée sur le plan informatif », mais sert plutôt à « blanchir l’occupation et à tromper l’opinion publique ».

L’organisation a également estimé que la diffusion d’un tel entretien « ne saurait être réduite à un simple choix éditorial », mais relève d’« une décision politique enrobée d’un vernis médiatique », visant à briser le consensus arabe et populaire autour du refus de la normalisation avec Israël.

Le communiqué rappelle que les journalistes tunisiens sont moralement et professionnellement tenus de respecter les convictions du peuple tunisien, historiquement attaché à la cause palestinienne et fermement opposé à toute forme de normalisation – qu’elle soit politique, culturelle ou médiatique. La SNJT appelle ainsi les journalistes à s’engager activement dans la dénonciation des crimes de l’occupation et dans une couverture professionnelle du combat du peuple palestinien, loin de toute complaisance.

Enfin, le syndicat réaffirme sa conviction que « le vrai journalisme consiste à se tenir du côté des causes justes, des victimes et de la voix des peuples opprimés », rejetant ce qu’il qualifie de « faux langage de neutralité » qui sert, selon lui, à maquiller une forme de complicité médiatique avec l’occupant.

À la suite de cette affaire, une large campagne de dénonciation a éclaté sur les réseaux sociaux, où de nombreux internautes tunisiens et arabes ont fustigé le choix de la journaliste et appelé à un respect strict des positions historiques de la Tunisie vis-à-vis de la cause palestinienne.

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Israël tue Anas al-Sharif et l’accuse d’être un dirigeant du Hamas

11. August 2025 um 07:08

Une frappe aérienne israélienne, menée le 10 août 2025 près de l’hôpital al-Shifa à Gaza, a coûté la vie à Anas al-Sharif, correspondant de la chaîne Al Jazeera, ainsi qu’à plusieurs autres journalistes présents sur place. Selon les autorités palestiniennes, au moins sept personnes ont été tuées dans cette attaque, dont quatre reporters de la même chaîne.

L’armée israélienne a rapidement revendiqué l’opération, affirmant que le journaliste était en réalité un « dirigeant de cellule du Hamas » impliqué dans des tirs de roquettes contre des civils et des soldats israéliens. Ces accusations ont été rejetées avec force par Al Jazeera, qui dénonce un « acte prémédité » visant à faire taire une voix critique de la couverture du conflit.

Anas al-Sharif, âgé de 28 ans et originaire du camp de réfugiés de Jabalia, était connu pour être resté l’un des rares journalistes à couvrir le nord de Gaza malgré les bombardements quotidiens. Il avait déjà perdu son père lors d’une frappe israélienne en décembre 2023. Dans ses dernières publications, quelques instants avant sa mort, il dénonçait l’intensification des frappes sur la ville et affirmait sa volonté de continuer à témoigner.

L’attaque a suscité l’indignation des défenseurs de la liberté de la presse. Des organisations internationales rappellent que plus de 200 journalistes ont été tués dans la bande de Gaza depuis le début de l’offensive israélienne en octobre 2023, et appellent à des enquêtes indépendantes pour faire la lumière sur ces assassinats.

Pour beaucoup, la mort d’Anas al-Sharif symbolise la vulnérabilité extrême des reporters travaillant en zones de guerre et relance le débat sur la nécessité de mécanismes internationaux contraignants pour assurer leur protection.

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Le journaliste Youssef Oueslati s’éteint, la presse tunisienne en deuil

Le journaliste Youssef Oueslati est décédé ce vendredi matin, plongeant le monde médiatique tunisien dans une profonde tristesse. Figure marquante du journalisme indépendant, il a laissé une empreinte durable par son engagement sans faille en faveur de la liberté d’expression et de la déontologie professionnelle.

Ancien membre du bureau exécutif du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Oueslati s’est distingué à travers de nombreux congrès et combats syndicaux. Défenseur inlassable des droits des journalistes, il incarnait une voix libre, critique et profondément attachée aux valeurs de la presse indépendante.

Au cours de sa carrière, il a dirigé la rédaction du journal Echaâb et du magazine Akher Khabar, tout en collaborant avec de nombreux médias tunisiens et internationaux. Son professionnalisme et sa rigueur journalistique ont fait de lui une référence respectée parmi ses pairs.

Dans un communiqué publié à l’annonce de sa disparition, le SNJT a salué la mémoire d’un homme intègre, généreux et engagé, soulignant sa présence constante aux côtés de ses confrères, que ce soit dans les luttes syndicales ou les élans de solidarité.

Le syndicat a exprimé ses condoléances les plus sincères à la famille du défunt, à ses proches ainsi qu’à l’ensemble de la profession, partageant leur peine en cette douloureuse circonstance.

Que Dieu accorde à Youssef Oueslati sa miséricorde et l’accueille en Son vaste paradis.

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Tunisie : Le SNJT dénonce le licenciement de l’ancien directeur d’Assabah 

Von: MC
29. Mai 2025 um 19:28

La tension monte dans le secteur des médias. Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a exprimé, jeudi 29 mai 2025, son rejet catégorique du licenciement définitif de Sofiane Rajeb, ancien directeur et rédacteur en chef de l’institution de presse Dar Assabah, ainsi que d’un journaliste ayant exercé pendant 32 ans au sein de la même maison.

Dans un communiqué, le syndicat qualifie cette décision de « mesure arbitraire », prise à l’issue d’un conseil de discipline tenu le 5 mai 2025. Le SNJT estime que les motifs invoqués sont infondés et remis en cause par Sofiane Rajeb et son équipe de défense.

Selon la même source, le licenciement serait lié à la possession par Rajeb d’un site électronique créé il y a 11 ans, avec l’aval des responsables de Dar Assabah.

Toujours selon le syndicat, le journaliste avait cessé toute implication dans ce site dès sa nomination à la tête de la rédaction, ce que confirment plusieurs témoignages écrits.

Le SNJT dénonce une décision injuste et disproportionnée, qui s’inscrit, selon elle, dans une tendance inquiétante à fragiliser la liberté de la presse et les droits des journalistes en Tunisie.

Il appelle la direction de Dar Assabah à revenir sur sa décision et à respecter les garanties professionnelles et juridiques des journalistes, tout en réaffirmant son engagement à défendre ses adhérents contre toute forme d’injustice ou de représailles.

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Tunisie : Décès du journaliste Walid Tlili

Le journaliste Walid Tlili s’est éteint ce mardi 24 juin 2025, laissant derrière lui un riche parcours professionnel et une empreinte durable dans le paysage médiatique tunisien.

Animateur emblématique de la Radio nationale tunisienne, il s’est distingué par son aisance à l’oral, sa capacité à captiver le public et la qualité de ses émissions. Sa voix puissante et chaleureuse a marqué plusieurs générations d’auditeurs.

Connu pour sa courtoisie, son professionnalisme et ses qualités humaines, Walid Tlili a débuté sa carrière dans la presse écrite, notamment au sein des journaux Al Akhbar, Al-Ayyam et Al-Tariq Al-Jadid.

Il a également contribué à la revue de la Radio tunisienne avant de s’illustrer en tant qu’animateur de plusieurs émissions phares telles que Al Bath Al-Moubasher, Tounes Al-Warda, Youm Saïd, Rahma Lil’Alamine, Dhayf Min Al-Zaman Al-Jamil et Aazif Al-Layl.

Paix à son âme. Toutes nos condoléances à sa famille, ses proches et ses collègues.

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