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Heute — 28. Oktober 2025Haupt-Feeds

Tunisie–Irak : renforcement des relations bilatérales en prélude à la 2e session des consultations politiques

Von: walid
28. Oktober 2025 um 12:09

Le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, de la migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ben Ayed, s’est entretenu, lundi, au siège de l’Académie diplomatique internationale, à Tunis, avec le sous-secrétaire d’État irakien aux Relations bilatérales, Mohamed Hussein Bahr Al-Ouloum.

Citée dans un communiqué, la réunion a permis de dresser un état des lieux de la coopération bilatérale entre les deux pays et de débattre des questions d’intérêt commun.

La réunion a été également l’occasion de réaffirmer la volonté des deux parties de concrétiser la volonté politique ferme des dirigeants des deux pays frères de poursuivre et de renforcer les relations fraternelles et la coopération entre les deux pays.

À cette occasion, il a été fait état de la dynamique qui distingue les relations bilatérales tuniso-irakiennes et de passer en revue les différents domaines de coopération entre les deux pays.

Dans ce contexte, les deux parties ont mis l’accent sur la nécessité de tirer meilleur parti des opportunités de coopération prometteuses qui s’offrent dans bon nombre de secteurs, tels que l’énergie, l’industrie, les transports, le tourisme et l’agriculture.

Toujours dans le cadre de la même réunion, les deux parties ont discuté des défis posés par les développements internationaux et régionaux, réaffirmant l’impératif de coordonner les positions pour y faire face au service de la sécurité et de la stabilité dans la région.

Dans ce contexte, les concertations entre les deux parties ont fait ressortir une convergence de vues autour de l’ensemble des questions abordées, dont en premier lieu, la question palestinienne.

A ce titre, Ben Ayed a réaffirmé la position ferme de la Tunisie en faveur du peuple palestinien frère, de son droit à disposer de lui-même et de sa lutte pour recouvrer ses droits historiques et établir son État indépendant sur l’ensemble de son territoire avec pour capitale la ville sainte d’Al-Qods.

Le responsable irakien effectue, aujourd’hui et demain, une visite de travail en Tunisie à l’invitation de son homologue tunisien, Mohamed Ben Ayed.

La visite s’inscrit dans le cadre des préparatifs en prévision de la deuxième session des consultations politiques entre la République tunisienne et la République d’Irak.

A l’entame de sa visite en Tunisie, le responsable irakien a rencontré le ministre des Affaires étrangères, de la migration et des Tunisiens de l’étranger, Mohamed Ali Nafti.

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Gestern — 27. Oktober 2025Haupt-Feeds

Tunisie–BERD : vers une coopération renforcée dans le cadre du Plan de développement 2026-2030

27. Oktober 2025 um 15:56

Les orientations et les priorités en matière de développement pour la période à venir  afin d’assurer une bonne coordination dans l’élaboration des prochains programmes de travail, ont été au centre d’une rencontre tenue, lundi, à Tunis, entre le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh et  des conseillers du Conseil d’administration de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).

La cheffe de la délégation de la BERD,  Emily Keenan  a indiqué que cette visite s’inscrit dans le cadre de suivi  de l’état d’avancement des différents axes et programmes de coopération entre la Banque et la Tunisie, selon un communiqué publié  par le département de l’Economie.

Abdelhafidh a notamment souligné, à cette occasion,  l’importance   de consolider davantage la coopération financière et technique entre la Tunisie et la BERD et à diversifier ses domaines dans le cadre du Plan de développement 2026-2030.

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Tunisie–Chine : une porte stratégique pour investir en Afrique selon Wan Li

Von: walid
25. Oktober 2025 um 10:20

“La Tunisie représente une porte stratégique pour investir dans le continent africain en raison de sa position géographique inédite, de son niveau élevé d’instruction et de sa base industrielle solide”, a déclaré, vendredi, Wan Li, ambassadeur de la République populaire de Chine.

Lors d’une interview avec l’Agence TAP, M. Li a mentionné qu’au cours de la visite du président de la République Kaïs Saied en Chine en mai 2024, les deux parties tunisienne et chinoise ont annoncé l’établissement d’un “partenariat stratégique et ont haussé la confiance politique mutuelle à un niveau élevé, afin de renforcer la coopération dans tous les domaines et accélérer la mise en œuvre des accords conclus entre les deux pays dans un délai bref”.

Wan Li a expliqué en outre que “la Chine est prête à travailler avec la Tunisie en vue de mettre en place des coopérations avec les autres pays africains et de discuter de la coopération trilatérale”, tout en soulignant que les deux pays accueilleront en novembre prochain le “Forum Tunisie-Chine-Afrique sur le développement médical”, qui est un modèle de coopération avec l’Afrique en s’appuyant sur l’excellence de la Tunisie dans le domaine de la santé.

La modernisation, selon ses dires, est un dessein commun auquel aspirent plus de 2,8 milliards de personnes en Chine et en Afrique, et c’est aussi un processus crucial afin de construire une communauté sino-africaine orientée vers un avenir commun dans tous les domaines.

“Le développement de la Chine contribue au développement de l’Afrique pour réaliser des bénéfices mutuels et une prospérité commune, lequel développement a été largement accueilli par les peuples africains”, a-t-il rappelé.

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La Chine voit en la Tunisie une passerelle stratégique vers l’Afrique

24. Oktober 2025 um 19:23

L’ambassadeur de Chine en Tunisie, Wan Li, a affirmé que la Tunisie occupe une position stratégique unique pour investir dans le continent africain. Il a salué le potentiel industriel et le capital humain du pays, considérés comme des atouts majeurs pour renforcer la coopération sino-africaine.

Dans une interview accordée à l’agence TAP, Wan Li est revenu sur la visite du président Kaïs Saïed à Pékin en mai 2024, un moment qu’il a décrit comme un tournant dans les relations bilatérales. Cette visite s’était conclue par la signature d’un partenariat stratégique entre les deux pays, marquant une volonté d’approfondir la coopération politique, économique et technologique, précisant que :

« Les deux parties ont haussé la confiance politique mutuelle à un niveau élevé et se sont engagées à accélérer la mise en œuvre des accords conclus ».

Vers une coopération trilatérale Tunisie–Chine–Afrique

L’ambassadeur a souligné que Pékin souhaite désormais aller plus loin en associant la Tunisie à ses initiatives africaines. « La Chine est prête à travailler avec la Tunisie pour développer des coopérations avec d’autres pays africains et explorer les perspectives d’une coopération trilatérale », a-t-il déclaré.

Cette approche s’inscrit dans la continuité du Forum Tunisie–Chine–Afrique sur le développement médical, prévu pour novembre prochain à Tunis. Cet événement se veut un modèle de collaboration entre la Chine et l’Afrique, s’appuyant sur l’expertise tunisienne dans le domaine de la santé et la volonté commune de promouvoir des partenariats durables dans les secteurs sociaux et technologiques.

Un avenir commun à construire

Pour Wan Li, la modernisation est un objectif partagé par la Chine et l’Afrique, représentant plus de 2,8 milliards de personnes aspirant à un avenir meilleur. Il a insisté sur le fait que « le développement de la Chine contribue à celui de l’Afrique », et qu’il s’agit d’un moteur de prospérité mutuelle fondé sur la solidarité et les bénéfices partagés.

« Le développement de la Chine a toujours été bien accueilli par les peuples africains, car il favorise une croissance commune et un partenariat équilibré », a-t-il ajouté.

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Diplomatie : la Tunisie et l’Australie veulent intensifier leur coopération économique et académique

Von: walid
24. Oktober 2025 um 10:21

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti a reçu, jeudi, Matt Skelly, ambassadeur du Commonwealth d’Australie en Tunisie avec résidence à Malte, qui lui a remis une copie de ses lettres de créance l’accréditant ambassadeur d’Australie en Tunisie.

À cette occasion, le ministre s’est félicité des liens d’amitié et de partenariat unissant les deux pays depuis l’établissement des relations diplomatiques en 1977, appelant à les renforcer dans les différents domaines d’intérêt commun, notamment sur les plans économique, commercial et des investissements, indique un communiqué du département des Affaires étrangères.

Le ministre a également mis l’accent sur les perspectives de coopération avec l’Australie dans plusieurs secteurs tels que l’agriculture, la gestion rationnelle de l’eau, les énergies renouvelables et les mines ainsi que les opportunités de nouer des partenariats en particulier dans les domaines de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et du développement des communautés locales.

Il a, en outre, appelé à l’organisation de visites de délégations d’hommes d’affaires des deux pays ainsi qu’à la tenue d’événements économiques en Tunisie et en Australie afin d’explorer les opportunités de partenariat et développer les échanges bilatéraux, soulignant le rôle que peut jouer la communauté tunisienne établie en Australie dans le renforcement de cette coopération.

S’agissant des prochaines échéances, notamment la tenue de la troisième session des consultations politiques entre les deux pays, le ministre a insisté sur la nécessité de les organiser dans les meilleurs délais et à un haut niveau politique.

Pour sa part, le diplomate australien a exprimé, lors de cette rencontre, la volonté de son pays de développer les relations bilatérales dans divers domaines et d’explorer les meilleures voies pour renforcer la coopération et identifier de nouvelles opportunités de partenariat entre les deux pays.

Il a aussi fait part de l’intérêt manifesté par les entreprises australiennes pour l’investissement en Tunisie, notamment dans les secteurs des mines, des énergies renouvelables et de la prospection pétrolière et gazière, ainsi que pour la mise en place de programmes permettant aux compétences tunisiennes de s’inspirer de l’expérience australienne, en particulier dans le domaine de la lutte contre les changements climatiques, dans le cadre d’une initiative australienne à l’égard des pays africains confrontés à ces défis.

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Naissance du Club IA France–Tunisie

24. Oktober 2025 um 09:56

La France et la Tunisie ont officiellement lancé, ce mercredi, le Club IA France–Tunisie. Une initiative destinée à dynamiser la coopération bilatérale dans le domaine de l’intelligence artificielle et du numérique. Elle est portée conjointement par Business France, la French Tech Tunis et la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC).

Le Club IA vise à créer des synergies concrètes entre les écosystèmes des deux pays. De même qu’il cherche à favoriser les partenariats technologiques et commerciaux. Tout en accompagnant le développement international des entreprises spécialisées dans l’IA. Le lancement s’est déroulé à l’Ambassade de France en Tunisie. Etaient présents : l’ambassadrice Anne Guéguen; Philippe Garcia, directeur de la zone Afrique du Nord de Business France; Neila Benzina, présidente de la French Tech Tunis; et Nejia Gharbi, directrice générale de la CDC.

L’événement a réuni une trentaine d’acteurs majeurs de l’écosystème franco-tunisien de l’intelligence artificielle : startups, entreprises industrielles, sociétés de services numériques et multinationales.

Selon ses fondateurs, le Club IA France–Tunisie se veut un espace de dialogue, de networking et de collaboration autour des grands enjeux technologiques, industriels et sociétaux liés à l’IA. Il s’inscrit dans une dynamique de coopération renforcée entre Paris et Tunis pour soutenir l’innovation dans les deux pays.

Ce lancement constitue également une première étape vers le Forum Méditerranéen de l’IA (FMIA). Lequel se déroulera  en novembre à Tunis, après une première édition à Marseille. L’événement rassemblera environ 600 acteurs du numérique et de l’innovation. Avec un parcours business coordonné par Business France, incluant une série de rendez-vous B2B.

Au final, le modèle du Club IA France–Tunisie a vocation à être étendu à d’autres pays d’Afrique du Nord et du bassin méditerranéen. Et ce, dans la perspective de structurer un réseau régional de coopération en intelligence artificielle.

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Rana Taha et l’ARP : vers un développement durable, inclusif et axé sur le capital humain

23. Oktober 2025 um 17:39

La coordinatrice résidente de l’Organisation des Nations Unies en Tunisie, Rana Taha, a déclaré, jeudi, lors de sa rencontre avec le président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Brahim Bouderbala, que les institutions de l’organisation continueront à soutenir la Tunisie et à promouvoir les projets communs avec le pays, indique un communiqué publié par l’ARP sur sa page Facebook.

La responsable onusienne a mis en avant l’ampleur de la coopération et la concrétisation des programmes prévus, soulignant la détermination à la poursuivre dans le cadre de l’engagement des organisations onusiennes à soutenir la Tunisie dans son processus de développement, conformément aux programmes de travail et aux priorités nationales.

Elle montré la volonté d’inciter les partenaires et tous les pays donateurs à concrétiser ces objectifs.

Elle a, dans ce contexte, indiqué que la stratégie d’action jusqu’à l’année 2030 repose sur trois axes fondamentaux. Le premier concerne l’investissement dans le capital humain à travers des programmes liés notamment à l’éducation, à l’enseignement et à la santé.

Le deuxième concerne l’économie inclusive à travers l’ouverture des horizons et la création d’opportunités pour toutes les parties, a-t-elle indiqué, soulignant  l’importance de la justice sociale et saluant l’expérience de la Tunisie qu’elle a considérée comme pionnière dans ce domaine.

Quant au troisième axe, il concerne les changements climatiques et leurs impacts, mettant en avant l’importance d’instaurer une nouvelle vision pour le développement, basée sur la prise de conscience de tous les dangers environnementaux afin de protéger la société.

Rana Taha s’est aussi penchée sur la coordination dans le domaine de l’action parlementaire dont « les institutions de l’Organisation des Nations Unies accordent une grande importance », soulignant les progrès accomplis à cet égard et la nécessité de s’appuyer sur ceux-ci pour continuer à soutenir l’Assemblée des représentants du peuple, « compte tenu du rôle central qu’elle joue dans le processus de développement de la Tunisie », selon le communiqué..

Pour sa part, Brahim Bouderbala a réaffirmé l’importance que la Tunisie accorde à sa coopération avec les institutions des Nations Unies, soulignant sa profonde conviction des principes sur lesquels repose l’action de l’Organisation des Nations Unies et son engagement dans les différentes initiatives et efforts internationaux visant à renforcer la coopération entre les peuples et à soutenir la sécurité et le développement dans le monde et ce, selon une approche qui tient compte de la dimension humaine et s’adapte aux changements que connaît le monde aujourd’hui.

Il a  souligné la détermination de poursuivre la coopération commune notamment dans les domaines économique, social et environnemental, saluant le programme de travail et les objectifs fixés pour 2030.

Il a, en outre, insisté sur la nécessité de renforcer la coopération établie entre la Tunisie et les différentes organisations et institutions des Nations unies « conformément aux principes de bonne gouvernance et de transparence».

Bouderbala a, sur un autre plan, souligné l’importance de la coopération établie entre l’ARP et les différentes institutions des Nations Unies, tout particulièrement le Programme des Nations Unies pour le développement, l’Entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et le Programme des Nations Unies pour les établissements humains.

Et de souligner la nécessité de la poursuivre conformément aux objectifs et aux programmes de l’institution parlementaire visant à développer davantage le travail parlementaire à tous les niveaux.

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Rencontre annuelle KAAT 2025 : savoirs croisés et liens renforcés

23. Oktober 2025 um 13:07

La Koica Alumni Association of Tunisia (KAAT) a tenu, à l’École nationale d’administration (ENA), sa rencontre annuelle 2025, un rendez-vous placé sous le signe du partage de savoirs, de la coopération et de l’amitié tuniso-coréenne.

L’ouverture officielle a été marquée par les allocutions de Khaoula LAABIDI, directrice générale de l’ENA, Ilwoo NAM, directrice du Bureau de la KOICA en Tunisie, et IKRAM BEN ZAIED, présidente de la KAAT.

Dans son mot de bienvenue, Mme NAM a salué la vitalité du réseau des anciens boursiers tunisiens, rappelant que « la KAAT constitue un pilier essentiel pour la promotion des valeurs de coopération, de développement et d’amitié entre la République de Corée et la Tunisie ». Elle a réaffirmé la volonté de la KOICA de poursuivre son soutien aux initiatives tunisiennes en matière de partage de connaissances et de renforcement des capacités institutionnelles.

De son côté, Mme BEN ZAIED a exprimé sa gratitude envers la direction générale de l’ENA pour son appui constant, ainsi qu’à la KOICA pour son accompagnement continu. Elle a également souligné la diversité des activités menées par la KAAT en 2025, marquée par des actions à fort impact, notamment :

  • Séminaires de partage de connaissances dans les domaines de la gouvernance et du numérique.
  • Projets solidaires visant à renforcer la cohésion au sein du réseau des anciens boursiers,
  • Initiatives culturelles et éducatives, illustrant l’engagement de la KAAT à faire vivre les valeurs d’échange et de coopération.

Ces actions traduisent la mission de l’association : valoriser l’expérience coréenne au service du développement public tunisien et contribuer activement au rapprochement entre les deux pays.

Parmi les éminents invités ayant honoré l’événement de leur présence figuraient les anciens ambassadeurs de la Tunisie en République de Corée, à savoir Moncef Baati et Mustapha Khammari, ainsi que Lobna Zoghlami, directrice générale de la Formation et du perfectionnement à la présidence du gouvernement.

Partage de connaissances et échanges culturels

La première partie de la rencontre a mis en avant le partage d’expériences.

Issam BARHOUMI, ingénieur informatique à la présidence du gouvernement et bénéficiaire du programme Capacity Building on E-Training Management for Civil Servants in Tunisia (2025), mis en œuvre dans le cadre du programme CIAT (Capacity Improvement & Advancement for Tomorrow) de la KOICA, a fait une intervention sur la digitalisation de la formation et la gestion des plateformes d’e-learning.

Son témoignage a été enrichi par un échange avec Olfa LOUIHICHI, représentant la Direction générale de la Formation et du perfectionnement à la Présidence du Gouvernement, autour de la participation tunisienne aux programmes de formation de la KOICA et de l’intégration des acquis dans les politiques publiques de développement des compétences.

L’aspect culturel a ensuite été célébré à travers une prestation artistique des étudiants de l’Institut Bourguiba des Langues Vivantes, qui ont interprété la chanson coréenne, symbole d’unité et d’amitié. Ce moment a illustré la dimension humaine et culturelle qui lie les deux nations, renforcée par la présence de volontaires coréens de la KOICA au sein de l’Institut.

Assemblée générale et perspectives

La seconde partie de la journée a été consacrée à l’Assemblée générale de la KAAT, présidée par Mme IKRAM BEN ZAIED. Les membres ont adopté le rapport moral et financier, actualisé le règlement intérieur, et validé le programme d’activités pour 2026, qui s’annonce riche en projets conjoints et en nouvelles collaborations avec les institutions partenaires tunisiennes et coréennes.

Les échanges ont mis en évidence la volonté commune de renforcer le rôle de la KAAT en tant que plateforme dynamique de coopération, de partage et de valorisation de l’expertise tunisienne issue des formations de la KOICA.

L’événement s’est conclu sur une note d’optimisme et d’engagement, réaffirmant la mission de la KAAT : bâtir, dans un esprit de solidarité et de coopération, un avenir prometteur au service du développement des deux nations.

 

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Tunisie–FNUAP : un programme conjoint pour la famille et la femme en 2025

22. Oktober 2025 um 16:52

La coopération et les opportunités de partenariat dans les domaines de la famille, de la femme et des personnes âgées, a fait l’objet d’une séance de travail mercredi au siège du ministère de la famille, entre la ministre de la famille, de la femme, de l’enfance et des personnes âgées Asma Jebri et la représentante du fonds des nations unies pour la population en Tunisie (FNUAP) Rim Fayela.

La réunion a porté sur le suivi d’exécution du programme annuel conjoint pour l’année 2025 entre la Tunisie et le Fonds des nations unies pour la population, notamment en ce qui concerne le renforcement des mécanismes de sensibilisation dans les domaines y afférents, a indiqué un communiqué publié par le ministère de la famille.

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Coopération suisse en Tunisie : 7 000 bénéficiaires de formations et plus de 14 000 emplois créés

26. September 2025 um 13:01

La coopération suisse en Tunisie continue de porter ses fruits. Selon Fabrizio Poretti, directeur de la coopération suisse à Tunis, près de 7 000 personnes ont bénéficié de programmes de formation financés par la Suisse, visant principalement à renforcer l’employabilité et à favoriser la création d’emplois.

Invité vendredi 26 septembre 2025 sur les ondes de la Radio nationale, Buratti a rappelé que la Suisse compte 103 entreprises installées en Tunisie, opérant dans divers secteurs, notamment l’industrie manufacturière. Ces sociétés offrent à elles seules plus de 14 000 postes de travail.

Il a également souligné que le programme de développement et de coopération tuniso-suisse, lancé en 2014 pour une durée de dix ans, s’achève cette année. Un nouveau cycle couvrant la période 2025-2028 a été mis en place, axé sur le développement économique, tout en veillant à un équilibre entre dimensions économique et sociale.

Des investissements qui comptent

De son côté, Ahlem Haj Ammar, présidente de la Chambre de commerce et d’industrie tuniso-suisse, a précisé que les entreprises helvétiques se classent au dixième rang en Tunisie en matière d’investissements directs étrangers, mais occupent la cinquième place en termes de création d’emplois.

Elle a cité l’exemple d’une société suisse installée de longue date en Tunisie dans le secteur des matériaux de construction, qui emploie à elle seule 3 000 travailleurs.

Avec de tels chiffres, la coopération économique tuniso-suisse confirme son rôle moteur, contribuant à la fois à l’attractivité du site tunisien et au renforcement du marché de l’emploi local.

Lire aussi : Pour moderniser son transport public, la Suisse offre 200 bus à la Tunisie

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18ᵉ session de la Commission mixte tuniso-égyptienne: Signature de huit accords de coopération

11. September 2025 um 20:20

Le jeudi 11 septembre 2025, à l’issue de la 18ᵉ session de la commission supérieure mixte tuniso-égyptienne, la cheffe du gouvernement tunisien, Sara Zaafrani Zenzri, et le Premier ministre égyptien, Mostafa Madbouly, ont supervisé à la nouvelle capitale administrative du Caire la signature de plusieurs mémorandums d’entente et programmes exécutifs dans différents domaines de coopération.

Coopération dans le sport et la jeunesse

Les deux gouvernements ont signé :

  • Un programme exécutif de coopération dans le domaine sportif pour 2026-2027.
  • Un programme exécutif de coopération dans le domaine de la jeunesse pour 2026-2027.

    Ces accords visent à renforcer les échanges, la formation et les initiatives conjointes entre les jeunes et les acteurs du sport des deux pays.

    Santé, protection sociale et consommateurs

    D’autres accords portent sur :

    • La coopération dans le domaine de la santé et des sciences médicales entre les ministères tunisiens et égyptiens de la Santé.
    • Un programme exécutif de coopération en matière de jeunesse et affaires sociales.
    • Un mémorandum sur la protection des consommateurs et la régulation des marchés, afin d’harmoniser les pratiques et renforcer la confiance des citoyens.

    Développement économique et commerce

    Les deux parties ont également signé :

    • Une mémorandum pour la promotion et le développement des exportations.
    • Un mémorandum sur l’accompagnement des petites et moyennes entreprises (PME) et microentreprises, visant à stimuler l’investissement et l’entrepreneuriat entre les deux pays.

    Diplomatie et formation

    Enfin, un accord a été signé entre l’Académie diplomatique tunisienne et l’Institut d’études diplomatiques égyptien, renforçant la coopération dans la formation et les échanges d’experts diplomatiques et consulaires.

    Clôture officielle

    La cérémonie s’est conclue par la signature par Mostafa Madbouly et Sara Zafrani Zenzri du procès-verbal de la 18ᵉ session de la commission mixte tuniso-égyptienne, officialisant ainsi tous les accords adoptés lors de cette rencontre.

    Lire aussi :

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    La Tunisie et la Jordanie renforcent leur coopération sanitaire

    20. August 2025 um 19:36

    Le ministre de la Santé, Dr Mustafa Farjani, a accueilli ce mercredi 20 août 2025 Abdullah Abu Roman, ambassadeur de Jordanie en Tunisie, accompagné d’une délégation.

    Lors de leur rencontre, ils ont discuté de plusieurs domaines de coopération. Leurs échanges porteront sur les médicaments, les vaccins et les sérums. La collaboration inclura aussi les études cliniques et les essais de bioéquivalence. Les deux parties ont abordé le développement du tourisme de santé et la digitalisation du secteur sanitaire.

    Un accord a été trouvé pour organiser prochainement la visite du ministre jordanien de la Santé, Ibrahim Baddour, à Tunis. Cette visite permettra de lancer concrètement les projets communs.

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    Tunisie – Libye : Convergence de vues

    19. August 2025 um 08:28

    Le président Kaïs Saïed a reçu, lundi 18 août 2025, son homologue libyen Mohamed Younes El-Manfi à Tunis. Une rencontre placée sous le signe du renforcement des relations bilatérales et de la sécurité commune, mais aussi de la solidarité avec la cause palestinienne face aux crimes de l’occupation.

    Le chef de l’État tunisien a reçu son homologue libyen dès son arrivée à l’aéroport de Tunis-Carthage, avec les honneurs militaires, avant de tenir une séance de travail au palais présidentiel.

    Les deux dirigeants ont réaffirmé la solidité des liens historiques unissant les peuples tunisien et libyen, ainsi que leur volonté commune de développer la coopération dans tous les domaines, en insistant sur l’importance d’accélérer les projets conjoints pour surmonter les difficultés actuelles.

    Kaïs Saïed a souligné que la sécurité de la Tunisie est intrinsèquement liée à celle de la Libye, estimant que les défis communs doivent être relevés dans une approche coordonnée.

    Le président tunisien a rappelé la position constante de son pays en faveur d’une solution « libyenne-libyenne », excluant toute ingérence étrangère et reconnaissant au peuple libyen le droit exclusif de décider de son avenir.

    La rencontre a également abordé la situation en Palestine. Kaïs Saïed a dénoncé les crimes de guerre commis par l’occupation israélienne, évoquant les dizaines de milliers de victimes et la politique de famine imposée aux civils. Il a réitéré le soutien de la Tunisie au droit inaliénable du peuple palestinien à établir un État souverain avec Al Qods pour capitale.

    La visite intervient dans un contexte régional marqué par l’instabilité persistante en Libye et l’escalade des violences à Gaza. Tunis et Tripoli, liées par des relations économiques, sociales et sécuritaires profondes, cherchent à coordonner davantage leurs positions face aux défis communs.

    Lire aussi :

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    Le président du Conseil libyen Mohamed Al-Manfi en visite officielle en Tunisie

    18. August 2025 um 10:30

    La présidence tunisienne a annoncé que Mohamed Younes Al-Manfi, président du Conseil présidentiel libyen, effectue ce lundi 18 août 2025 une visite officielle en Tunisie. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations historiques et fraternelles entre les deux pays voisins.

    Selon un communiqué publié par la Présidence de la République sur sa page officielle, le président du Conseil présidentiel libyen est attendu à Tunis pour une visite officielle. Aucune précision n’a encore été donnée sur le programme de la journée, mais les discussions devraient porter sur la coopération bilatérale et la consolidation des liens tuniso-libyens.

    La présidence tunisienne a souligné le caractère fraternel et historique des relations entre la Tunisie et la Libye. Cette visite est perçue comme un nouveau signal de rapprochement entre les deux pays, dans un contexte régional où les dossiers de sécurité, de migration et d’économie sont au cœur des préoccupations.

    La Tunisie et la Libye entretiennent des liens étroits, marqués par des échanges économiques et humains constants. La Libye reste l’un des premiers partenaires commerciaux de la Tunisie, tandis que Tunis accueille régulièrement des réunions de concertation politique et diplomatique pour accompagner la transition libyenne.

    Lire aussi :

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    Damien Cazé, Directeur général de l’Aviation civile (DGAC) française : « nous entendons signer un accord de coopération avec la Tunisie qui va permettre d’ouvrir de nouvelles perspectives ».

    Rencontre avec Damien Cazé, DGAC française, en marge de la visite de travail qu’il a effectuée en Tunisie le 8 juillet 2025.

    Vous avez rencontré le ministre du Transport et le directeur général de l’aviation civile tunisienne. A la lumière de cette dernière rencontre, comment se porte aujourd’hui la coopération entre la Tunisie et la France en matière d’aviation civile ?

    La relation entre la France et la Tunisie est à l’image de la coopération bilatérale entre les deux pays. Elle est à la fois historiquement riche, très fournie, très cordiale, empreinte de confiance et surtout avec de beaux projets pour l’avenir. Nous avons effectivement des relations très denses, assez saisonnières pendant la période estivale mais également très régulières pendant la période hivernale.

    Cela montre la densité et l’intensité des relations qui existent entre les deux pays sachant qu’il y a, à la fois, un flux de Français qui vont en Tunisie comme un flux de Tunisiens qui se rendent en France.

    A mon avis, notre relation est très équilibrée. Il y a de même un équilibre en termes de relations au niveau des compagnies aériennes parce que nous avons, d’une part, les compagnies tunisiennes qui sont performantes et de l’autre côté les compagnies françaises qui sont présentes sur un créneau de la relation franco-tunisienne et elles sont autant développées en matière de flux aérien.

    Quant aux deux administrations, elles ont beaucoup en commun historiquement et partagent une même vision de l’aviation dans un monde décarboné et fait de relations économiques sur un plan d’équilibre.

    Les deux administrations veulent aussi renforcer leurs relations en matière de sécurité, de sûreté, de formation des pilotes et de management. Nous avons donc plein de projets en commun. C’est pour cela que nous entendons signer dans les mois qui viennent un accord de coopération entre les deux pays qui va permettre, de front, d’ancrer davantage ces avancées et d’ouvrir de nouvelles perspectives.

    La Tunisie ambitionne d’atteindre la barre des 2 millions de touristes français à l’horizon 2030, ce qui augmentera les besoins en capacités aériennes, en slots au départ notamment des deux principaux aéroports parisiens et probablement aussi à une révision des accords aériens actuels. Quel est votre point de vue sur le sujet ?

    Nous sommes tout à fait d’accord pour développer le tourisme et le flux aérien avec la Tunisie. Nous ferons tout pour accompagner ce projet des Tunisiens avec une relation équilibrée dans notre accord aérien.

    Nous sommes évidemment à la disposition de la partie tunisienne pour permettre cette évolution équilibrée. Après, il y a des règles qui sont propres à la répartition des créneaux et aux aéroports de Charles de Gaulle et d’Orly.

    Il faudrait donc que ce développement s’inscrive dans ces règles de droit qui ne peuvent pas aller à l’encontre des droits historiques des autres compagnies. Nous espérons également que les compagnies tunisiennes reprennent une part importante de ce marché mais aussi que les compagnies françaises puissent avoir un accroissement de ce flux entre les deux pays.

    C’est non seulement une possibilité mais un vrai enthousiasme pour la partie française.

    On évoque souvent la saturation du ciel qui provoque des perturbations dans la gestion du trafic aérien. En tant que régulateur, qu’est-ce qui est entrepris notamment par la DGAC française pour atténuer les conséquences de cette situation, je pense notamment à l’impact sur les vols entre la France et la Tunisie ?

    L’encombrement du ciel est mécanique et il est dû au développement du trafic, surtout aux moments de pointe. Ce qui fait que nous avons un encombrement des avions étant donné que nous ne pouvons pas avoir un nombre infini d’avions dans l’espace ; et en même temps, nous devons avoir les moyens au sol permettant de gérer ce trafic.

    C’est vrai que nous avons un encombrement notamment dans le ciel européen que l’on peut constater aux moments de pointe, notamment le vendredi soir, les dimanches tard et pendant les jours de grands départs, auxquels on ajoute des conditions météorologiques dégradées que nous voyons de plus en plus souvent en Europe.

    Cette situation crée, certes, des difficultés. En outre, il y a d’autres aléas comme les pannes techniques et les conflits sociaux, ce qui rend la vie de plus en plus difficile pour les compagnies aériennes et les passagers.

    Pour cette raison, nous devons nous moderniser, renforcer nos effectifs et imaginer des voies nouvelles pour faire passer ce trafic. C’est ce que nous faisons d’ailleurs en Europe avec Eurocontrol et c’est ce que nous voulons faire également avec les DGAC française et tunisienne.

    En matière d’aviation civile de manière générale, quels sont selon vous les nouveaux enjeux prioritaires pour les Etats mais aussi pour les compagnies aériennes : la décarbonation ? La sûreté et la sécurité ?

    La sécurité est un impératif absolu. Dernièrement, nous avons eu encore cet événement très triste d’Air India qui impose de se poser toujours des questions et de se remettre constamment en cause.

    Toutefois, je sais que les avionneurs, les administrations et les compagnies sont très mobilisés car c’est un vrai défi qu’il ne faut jamais oublier.

    Le deuxième défi est la décarbonation. On ne doit pas se payer des maux et attendre 2050 pour voir une aviation totalement décarbonée. Il faut déjà montrer des progrès.

    Nous le constatons avec les nouveaux avions, les carburants d’aviation durables et les nouvelles façons plus économes de piloter les avions.

    Il y a, par ailleurs, d’autres défis, notamment en matière de sûreté. La menace croît et il faut toujours se mobiliser pour ne pas se laisser distancer par cette menace. Il y a de nouvelles technologies qui vont sortir. Nous devons se les approprier et les développer davantage.

    Il y a, enfin, la connectivité où il y a de plus en plus de la concurrence qui est plutôt bonne dans un monde libéral auquel nous croyons. La concurrence est toujours un défi et une opportunité pour se remettre en question et pour aller conquérir de nouveaux marchés.

    En fait, des concurrents vont venir et d’autres qui sont déjà là. Nous tenons, en revanche, à ce qu’ils respectent un niveau d’égalité de traitement entre les compagnies aériennes européennes et d’autres parties du monde.

    Je crois que nous sommes prêts à relever ce défi et que nous sommes assez alignés avec la partie tunisienne là-dessus et notamment avec l’OACI (Organisation de l’aviation civile internationale) pour faire en sorte que cette concurrence soit loyale.

    L’article Damien Cazé, Directeur général de l’Aviation civile (DGAC) française : « nous entendons signer un accord de coopération avec la Tunisie qui va permettre d’ouvrir de nouvelles perspectives ». est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

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