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TEREG et ELMED réussiront-ils à attirer de nouveaux investissements en Tunisie ?

04. Dezember 2025 um 15:13

Selon PV Magazine, la reprise du secteur tunisien des énergies renouvelables pourrait-elle raviver la confiance des bailleurs internationaux après plusieurs années de stagnation ? Le regain de dynamisme récent repose sur deux chantiers majeurs qui attirent les financements et l’expertise étrangers : le programme TEREG*, soutenu par la Banque mondiale, et l’interconnexion électrique ELMED, portée par l’Union européenne et la Banque européenne d’investissement.

Début novembre, la Tunisie et la Banque mondiale ont signé le programme TEREG, doté de 430 millions de dollars, dont 26 millions en financement concessionnel. Le programme vise à : améliorer la fiabilité et l’accessibilité de l’électricité; accélérer le déploiement des projets renouvelables; renforcer les performances de la Société tunisienne d’électricité et de gaz; et à moderniser le secteur électrique. Grâce à ce dispositif, la Tunisie mobilisera 2,4 milliards d’euros d’investissements privés pour ajouter 2,8 GW de capacités solaires et éoliennes d’ici 2028.

Lire aussi — STEG-BEI : une convention majeure pour booster le projet ELMED

Le programme devrait également créer plus de 30 000 emplois pendant la phase de construction, réduire de 23 % les coûts d’approvisionnement en électricité, améliorer le taux de recouvrement de la STEG et diminuer les subventions publiques. La Banque mondiale soutient ce projet via son nouveau Cadre d’incitations financières. Et ce, en raison de son fort potentiel de réduction des émissions. Le pari étant d’attirer plusieurs investissements.

Parallèlement, le projet d’interconnexion ELMED avance. Ce câble sous-marin de 224 kilomètres, avec une capacité d’environ 600 MW, relie la Tunisie à l’Italie. La STEG et le gestionnaire italien Terna portent ensemble cet investissement de 921 millions d’euros. Déjà, en début novembre, l’Union européenne et la BEI ont accordé une subvention de 12 millions d’euros pour financer l’expertise nécessaire à la supervision et à la gestion du chantier. Cette aide complète les 472,6 millions d’euros que l’Union européenne et plusieurs institutions financières européennes avaient mobilisés en juin 2024 lors du Tunisia Investment Forum.

ELMED doit faciliter l’intégration des énergies renouvelables locales et ouvrir progressivement la Tunisie au marché européen de l’électricité. Selon la Commissaire européenne pour la Méditerranée, le projet pourrait déclencher jusqu’à trois milliards d’euros d’investissements supplémentaires dans l’éolien et le solaire.

La Tunisie vise à porter la part des énergies renouvelables à 35 % de son mix électrique en 2030; contre 6 % actuellement, dont 4 % provenant du photovoltaïque. Les quelque 2 200 MW de projets privés déjà lancés pourraient faire passer cette part à 17 % dès leur mise en service effective. Cette dynamique renforce la crédibilité de la Tunisie comme terrain d’investissement, démontre sa capacité à mener des réformes et à concrétiser des projets structurants, et pourrait consolider la confiance des bailleurs internationaux.

Lire également — Mix énergétique : La Tunisie mobilise 900MD par an pour un objectif révisé à 35% d’ER en 2030

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* Tunisia – Energy Reliability, Efficiency, and Governance Improvement Program (TEREG)

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Tunisie – PLF 2026 : comment la fiscalité pénalise la filière photovoltaïque

04. Dezember 2025 um 10:00

Alors que la facture énergétique pèse près de 10 milliards de dinars sur les finances publiques, soit 15% du budget de l’État, et que la dépendance au gaz algérien demeure criante, le pays vient peut-être de manquer une occasion d’accélérer sa transition vers les énergies renouvelables.

C’est l’amer constat dressé par Ali Kanzari, président de la Chambre nationale de l’énergie photovoltaïque relevant de l’UTICA. Et ce, au lendemain du rejet en session plénière de l’article 47 du PLF 2026 visant à réduire la taxation sur les panneaux solaires.

Dans l’entretien exclusif accordé à leconomistemaghrebin.com, Kanzari tire la sonnette d’alarme sur les conséquences de ce blocage législatif. Lequel pénalisera les consommateurs, étouffera un secteur dynamique et compromettra au passage la sécurité énergétique du pays.

Tout d’abord, un rappel s’impose sur les réalisations de la Tunisie en matière d’énergies renouvelables et ses objectifs, dont l’atteinte exige théoriquement une mobilisation législative, technique et administrative.

Ainsi, le pays vise à porter la part des énergies renouvelables dans la production d’électricité à 35% d’ici 2030. Or, en 2023, cette part (éolien, solaire, biogaz) n’avait atteint que 4% de la production totale d’électricité.

Kyrielle d’obstacles

Par ailleurs, les obstacles ne manquent pas : retards administratifs, difficultés de financement, contraintes sur le réseau de transport électrique. À ce tableau peu réjouissant s’ajoute désormais le rejet en session plénière de l’article 47 du projet de loi de finances 2026. Un fait face auquel notre interlocuteur ne mâche pas ses mots.

 

Lire aussi: PLF 2026 : une dizaine d’articles retoqués par les députés

 

Ali Kanzari confie avoir placé beaucoup d’espoir dans cette proposition, expliquant que tous les partenaires, opérateurs économiques et la structure patronale elle-même étaient alignés avec le gouvernement sur la nécessité de faciliter cette mutation énergétique. L’objectif initial était d’éliminer les barrières fiscales, à commencer par la taxation des composants photovoltaïques, identifiée comme un obstacle majeur.

En effet, selon une étude comparative citant l’Europe, le Maroc, l’Algérie, l’Égypte ou la Jordanie, les panneaux photovoltaïques sont taxés à 0% dans la plupart de ces pays. Tandis qu’en Tunisie ils font l’objet d’un prélèvement de 30%, une situation que notre interlocuteur qualifie de bloquante. Cette taxation, ajoutée à la TVA de 19%, porte le prélèvement global à près de 50% sur un bien qu’il considère comme un bien d’équipement et de production, et non un produit de luxe.

Le consommateur et l’industriel pénalisés

Le consommateur final et l’industriel supportent cette charge. Alors que les foyers et les industries tunisiens peinent déjà à payer des factures d’électricité en constante augmentation, l’alternative photovoltaïque devient financièrement hors de portée. Preuve de la sensibilité des Tunisiens à cette économie, le président de la Chambre indique qu’en décembre 2024, lorsque la rumeur d’une hausse de la taxe de 10% à 30% s’était répandue, les ventes de systèmes photovoltaïques avaient quadruplé, avant de retomber avec l’entrée en vigueur de la nouvelle fiscalité en janvier 2025. Aujourd’hui, de nombreux consommateurs et industriels qui attendaient une baisse des taxes sur le photovoltaïque sont désormais inquiets.

 

Lire également : Mix énergétique: La Tunisie mobilise 900MD par an pour un objectif révisé à 35% d’ER en 2030

 

Pourtant, le secteur du photovoltaïque représente un véritable moteur de développement économique. La Chambre syndicale fédère aujourd’hui 800 entreprises qui installent et entretiennent les systèmes, des petits projets résidentiels aux grandes concessions. Même sur les grands projets exécutés par des multinationales, 70 à 80% de la main-d’œuvre et des ingénieurs sont tunisiens. Ali Kanzari avertit qu’il s’agit d’un secteur dynamique qu’il ne faut pas freiner par ce rejet législatif…

Espoir … quand même

Malgré la déception, un espoir subsiste. Le responsable révèle que des parlementaires préparent une nouvelle proposition de loi pour réviser la taxe sur les modules photovoltaïques. Il espère qu’ils tiendront compte de la proposition de l’UTICA, qui préconise un taux de 0% de droits de douane, et se dit prêt à retourner discuter avec les commissions parlementaires concernées pour sensibiliser et défendre ce dossier.

En adressant un dernier message aux autorités, le président de la Chambre nationale de l’énergie photovoltaïque distingue l’exécutif du législatif. Il reconnaît que le gouvernement, directement concerné par le poids de la facture énergétique, était convaincu et à l’origine du projet. Son appel se tourne donc principalement vers l’Assemblée, demandant aux parlementaires de faire preuve de sagesse et de revoir leur position pour l’avenir et la sécurité énergétique du pays. Il réaffirme que seule une taxe zéro pourrait permettre cette mutation énergétique dans les meilleurs délais. Dans un contexte de stress hydrique et de déficit énergétique abyssal, la balle est désormais dans le camp des parlementaires pour déverrouiller, par la fiscalité, le potentiel solaire tunisien.

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Énergie: 13 millions de dinars seront investis dans ces 3 institutions publiques

03. Dezember 2025 um 14:19

Dans le cadre de la transition énergétique, trois établissements publics en Tunisie vont se doter de systèmes photovoltaïques pour produire leur propre électricité et améliorer l’efficacité énergétique de leurs bâtiments.

L’initiative vise à diminuer la consommation d’énergie et à limiter les subventions publiques sur les produits énergétiques.

Cette mesure a été officialisée par un arrêté conjoint publié au Journal officiel le 27 novembre 2025 par la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie et le ministre des Transports. Elle s’inscrit dans le cadre du programme de transition énergétique, qui regroupe le «Photovoltaïque connecté au réseau» et le «Programme d’efficacité énergétique dans les bâtiments publics», financés par un prêt et une subvention de la Banque allemande de développement (KfW) ainsi que par le Fonds de transition énergétique, pour un montant total de 13 millions de dinars.

Les bénéficiaires de cette phase sont l’Imprimerie officielle à Ben Arous, l’Office de l’aviation civile et des aéroports (OACA) à Tozeur et le bâtiment de la présidence du gouvernement à Bab Laassal, à Tunis. L’Agence nationale pour la maîtrise de l’énergie (Anme) supervisera la mise en œuvre du programme, dont l’exécution est prévue sur six mois à compter de la publication de l’arrêté.

ANNEXE MINIST INDUS ET TRANSPORT

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Tunisie : Trois institutions publiques passent au solaire pour réduire la facture énergétique

03. Dezember 2025 um 11:55

Dans le cadre de la poursuite du programme national d’atténuation de la consommation énergétique dans les institutions publiques, trois établissements tunisiens s’apprêtent à être équipés de systèmes photovoltaïques destinés à l’autoconsommation, en plus d’opérations d’amélioration de l’efficacité énergétique de leurs bâtiments.

L’objectif, réduire la demande en énergie et alléger progressivement la charge du soutien étatique aux produits énergétiques.

Cette mesure a été officialisée dans le Journal officiel du 27 novembre 2027, à travers un arrêté conjoint de la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie et du ministre des Transports, daté du 27 novembre 2025.

Le programme visé regroupe deux volets complémentaires :

  • Le photovoltaïque connecté au réseau ;
  • L’amélioration de la performance énergétique des bâtiments publics.

Ces initiatives s’inscrivent dans le cadre des accords de prêt entre la Tunisie et la KfW – Banque allemande de développement, qui finance conjointement ces actions avec le Fonds de transition énergétique.

Les institutions concernées

Selon l’arrêté, les institutions bénéficiaires de cette phase sont :

  • L’Imprimerie officielle de la République tunisienne à Rades,
  • L’Office de l’aviation civile et des aéroports (OACA) à Tozeur,
  • Le bâtiment de la Présidence du Gouvernement à la Kasbah (Bab El Assal), Tunis.

Ces sites seront dotés d’installations solaires et de dispositifs visant à optimiser leur performance énergétique. La coût prévisionnel de cette étape s’élève à 13 millions de dinars, financés par :

  • un prêt et une subvention de la KfW,
  • des crédits du Fonds de transition énergétique.

La mise en œuvre sera poursuivie par l’Agence nationale pour la maîtrise de l’énergie (ANME), en sa qualité de maître d’ouvrage délégué, conformément aux accords contractuels en vigueur.

Un délai d’exécution fixé à six mois

Le texte précise que la durée d’exécution du programme est de six mois, à compter de la date de publication de l’arrêté au Journal officiel.

Ce projet s’inscrit dans la stratégie nationale visant à renforcer la souveraineté énergétique, à encourager la production d’énergie propre et à soulager progressivement le budget de l’État, fortement impacté par le coût des subventions énergétiques.

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Comment l’IA peut électriser l’avenir énergétique de la Tunisie

03. Dezember 2025 um 11:16

Une étude de l’Institut tunisien des études stratégiques (ITES), intitulée « L’intelligence artificielle, un levier du rôle social de l’État », montre l’importance stratégique de l’IA pour le secteur énergétique. Ce dernier vise une transition vers un système intelligent, résilient et durable. Il doit pour cela surmonter des défis structurels et réglementaires complexes. Traditionnellement tributaire des prix des hydrocarbures et de l’intermittence des énergies renouvelables, le secteur connaît une profonde transformation numérique.

Le document souligne le potentiel considérable de l’IA. Celle-ci permet notamment l’analyse massive et automatisée des données. Cela optimise la gestion des systèmes énergétiques. Les applications phares incluent la prédiction de la production solaire et éolienne. Cette fonction, jugée hautement pertinente et prioritaire, utilise des données météorologiques et des modèles de deep learning. Elle contribue à stabiliser le réseau électrique national.

L’IA est aussi cruciale pour la maintenance prédictive des infrastructures. Cela réduit les coûts et améliore la fiabilité des équipements. Une telle application anticipe les défaillances des turbines ou des transformateurs. Elle vise jusqu’à 25 % de réduction des arrêts imprévus. La gestion intelligente de la demande et l’optimisation de la consommation dans les bâtiments ont aussi un fort impact. Elles réduisent les pics de consommation et améliorent l’efficacité énergétique globale.

Plusieurs startups tunisiennes se positionnent sur ce créneau porteur. Elles proposent des solutions de Smart Grid, d’optimisation de flottes de véhicules électriques (Baker Motors), de maintenance prédictive (InstaDeep, SmarDac) et de gestion de la consommation (4inA Technologie). L’écosystème entrepreneurial souffre cependant encore d’un manque de visibilité et de coordination.

Néanmoins, le déploiement de l’IA  rencontre des contraintes majeures. Le secteur manque d’un cadre réglementaire clair pour la gouvernance de l’IA et la protection des données. Cette absence complique l’application des tarifs dynamiques et la gestion des fraudes. Une pénurie notable de ressources humaines qualifiées en ingénierie et en IA constitue un autre frein structurel. Elle aggrave la dépendance technologique envers les solutions étrangères. Enfin, des infrastructures numériques insuffisantes, des données énergétiques de qualité hétérogène et des investissements initiaux coûteux entravent l’interopérabilité des systèmes. Ils limitent aussi la généralisation des bénéfices de l’IA. Le gouvernement tunisien doit donc mettre en place des politiques et des projets pilotes. Il doit notamment favoriser un accès équitable aux solutions d’IA dans les zones rurales. L’objectif est de garantir que les avantages de la transition énergétique profitent à toute la population.

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La Ctici distingue 4 entreprises italiennes opérant en Tunisie

02. Dezember 2025 um 12:01

La Tunisie et l’Italie ont célébré le 40e anniversaire de la chambre de commerce et d’industrie tuniso-italienne (Ctici) lors d’une cérémonie officielle à Gammarth, le 1er décembre 2025, présidée par le secrétaire d’État à la Transition énergétique, Wael Chouchane, qui a qualifié cet anniversaire d’étape «symbolique et stratégique», soulignant la solidité des relations bilatérales et le rôle de ladite chambre comme plateforme d’investissements conjoints, de soutien aux entreprises et de facilitation des échanges.

M. Chouchane a indiqué que l’objectif est d’aider les entreprises tunisiennes à accéder au marché italien et à renforcer l’écosystème des affaires, en mettant l’accent sur les retombées en matière d’emploi.

Parmi les dossiers abordés, M. Chouchane a mis l’accent sur l’énergie et les infrastructures, citant notamment l’interconnexion électrique sous-marine tuniso-italienne (Elemed), présentée comme un pilier de la sécurité énergétique et un accélérateur d’investissements dans les énergies renouvelables.

Le projet Elmed, porté par Terna et Steg, est conçu comme une liaison à courant continu entre l’Italie et la Tunisie, d’une longueur d’environ 200 km et d’une capacité estimée à 600 MW, et bénéficie également de financements européens.

Fondée en 1984, la Ctici se présente comme une association à but non lucratif de droit tunisien et membre d’un réseau international de chambres de commerce italiennes à l’étranger.

Parmi les invités figuraient le président d’Assocamerestero, Mario Pozza, accompagné du secrétaire général, Domenico Mauriello, et le président de l’Institut arabe des chefs d’entreprises (IACE), Amine Ben Ayed.

Au cours de la soirée, l’attention s’est portée sur les entreprises italiennes implantées en Tunisie, avec la mise à l’honneur de quatre sociétés qui se sont distinguées par leur investissement, leur vision et leur engagement envers la communauté locale.

La première entreprise récompensée, Cat Colacem, représentée par son directeur général, Giuseppe Colaiacovo, est présente dans le pays depuis 2000. Avec plus de 200 millions d’euros investis, le groupe se distingue par ses certifications internationales de qualité et de développement durable.

Seconde entreprise distinguée, Tunicotex, fondée par Giorgio Capanna en 1993. Cette entreprise textile de premier plan a adopté un modèle de production innovant et durable, axé sur l’autoproduction d’énergie à partir de sources renouvelables.

La troisième est Chiesi Farmaceutici, représentée par son DG Khaled Chaffar. L’entreprise, déjà reconnue pour son engagement dans le traitement des maladies rares, a reçu une mention spéciale pour une initiative humanitaire qui assure une prise en charge complète et à vie à deux jeunes patients atteints d’une maladie rare et extrêmement coûteuse.

Enfin, Terna, représentée par Luigi Giorgi, a été distinguée pour son rôle clé dans les relations énergétiques entre l’Italie et la Tunisie. Le projet Elmed et la récente Zone d’Innovation Terna témoignent d’une vision d’avenir, fondée sur l’innovation, le développement numérique et la collaboration stratégique.

Commentaire de l’ambassade d’Italie sur sa page Facebook : «Un partenariat en constante expansion, grâce à plus de 1 000 entreprises italiennes actives dans le pays, des flux commerciaux soutenus et parfaitement équilibrés, et des projets stratégiques comme Elmed, destinés à révolutionner l’avenir de la région méditerranéenne !»

I. B.

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Batteries au lithium : La Tunisie attire un nouvel investissement chinois

28. November 2025 um 15:06

La Tunisie s’apprête à franchir une nouvelle étape dans le développement de son industrie énergétique. La société chinoise YJC Power, spécialisée dans les systèmes de stockage d’énergie, a exprimé son intention de créer une unité de production de batteries au lithium destinée au marché local et régional, en partenariat avec un investisseur tunisien.

L’annonce est intervenue lors d’une réunion tenue vendredi 28 novembre au ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, sous la présidence de la ministre Fatma Thabet Chiboub, et en présence du secrétaire d’État chargé de la transition énergétique, Waël Chouchane, ainsi que de hauts cadres et représentants d’organismes sous tutelle.

Ce projet s’inscrit dans la stratégie nationale visant à renforcer la production locale de batteries et de solutions électroniques, dans un contexte mondial marqué par l’essor du transport électrique et par la nécessité d’améliorer les capacités de stockage d’énergie. L’installation de cette unité devrait contribuer à stimuler la compétitivité de l’industrie tunisienne tout en soutenant sa transition énergétique.

Atouts industriels

Le groupe chinois a salué les atouts industriels du pays, la qualité de ses compétences humaines et la position stratégique de la Tunisie comme plateforme de fabrication et d’exportation vers les marchés européens et africains.

Fondée en 2016, YJC Power est spécialisée dans les solutions intelligentes pour les énergies renouvelables et dans le développement de systèmes de stockage d’énergie multi-usages.

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SONEDE: Gigantischer Plan zur Erneuerung der Wassernetze für 2026-2030

Von: Redaktion
24. November 2025 um 18:27

Angesichts eines alternden Netzes und steigender Anforderungen bereitet SONEDE ein nationales Modernisierungsprogramm der Wassernetze vor. Betroffen sind mehr als 59.000 km Leitungen, mit erheblichen Investitionen Mehr

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Parc éolien de 75 MW à Bizerte : Un projet qui prend forme

24. November 2025 um 18:16

Un nouveau pas vient d’être franchi vers la réalisation d’un des projets énergétiques les plus prometteurs dans le nord du pays. Une séance de travail s’est tenue lundi au siège du gouvernorat de Bizerte autour du projet de production de 75 mégawatts d’électricité grâce à l’énergie éolienne, initié par la société ABO Energy Tunisie.

La réunion a été présidée par le gouverneur Salem Ben Yaacoub, en présence des représentants de l’entreprise, Wissam Dkhil et Mejdi El Mazni, ainsi que du secrétaire général du gouvernorat, Abdelatif Hamid.

Selon Wissam Dkhil, le projet permettra de générer 75 MW, soit l’équivalent de la consommation électrique d’environ 75 mille habitants. L’investissement initial est estimé à près de 270 millions de dinars. Outre sa contribution à la transition énergétique, le projet créera des emplois directs et indirects et devrait participer à la dynamique de développement local, notamment par l’amélioration de certaines infrastructures et l’ouverture de nouvelles perspectives économiques pour la zone concernée.

Respect des cadres réglementaires

Le gouverneur de Bizerte a assuré du soutien total des autorités régionales à ce type d’initiatives stratégiques, en phase avec les orientations nationales visant à porter la part des énergies renouvelables à 35 % du mix énergétique tunisien à l’horizon 2030. Il a insisté sur la nécessité d’un strict respect des cadres réglementaires et d’une coordination fluide entre les différentes parties prenantes afin de garantir les meilleures conditions de réussite du projet, tant sur le plan environnemental qu’économique.

ABO Energy Tunisie, filiale du groupe allemand ABO Energy, est active en Tunisie depuis 2018. Spécialisée dans le développement de projets d’énergie renouvelable – éolien, solaire et stockage – elle s’est dotée d’une équipe dédiée pour accompagner la montée en puissance du secteur dans le pays. Le projet de Bizerte marque une étape importante dans la consolidation de sa présence et dans la diversification du paysage énergétique national.

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Kairouan: Solarkraftwerk Sbikha geht Ende November 2025 ans Netz

Von: Redaktion
07. November 2025 um 14:18

Im Herzen des Gouvernorates Kairouan steht Tunesien kurz vor einem wichtigen Schritt in seiner Energiewende. Die 230 Megawatt-Photovoltaikanlage von Sbikha, die größte des Landes, wird Mehr

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Hydrocarbures et énergies vertes : Le plan de relance du gouvernement

06. November 2025 um 08:58

La cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, a annoncé que l’État entend revitaliser le secteur des hydrocarbures en adoptant des législations favorables à l’investissement et en révisant le code des hydrocarbures. L’objectif : renforcer la souveraineté énergétique et combler le déficit croissant provoqué par la baisse de la production nationale.

Un secteur en recul et des réformes en préparation

Présentant le projet de budget de l’État et le budget économique 2026 devant une séance plénière conjointe de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et du Conseil national des régions et des districts (CNRD), Sarra Zaafrani Zenzri a indiqué que la production d’hydrocarbures a chuté de près de 30% entre 2021 et 2025.

Cette baisse s’explique par la diminution de la rentabilité de plusieurs champs pétroliers, notamment ceux d’El Borma et d’Achtrat, mais aussi par le désengagement des grandes compagnies internationales. Résultat : le taux d’indépendance énergétique du pays a reculé de 93% en 2010 à seulement 41% en 2024.

Pour inverser cette tendance, le gouvernement prévoit, dès 2026, de relancer les activités de recherche, d’exploration et de développement des gisements. Des mesures seront prises pour « rétablir la confiance des investisseurs », notamment par la simplification et l’accélération des procédures d’autorisation et la mise en avant des sites les plus rentables.

Cap sur les énergies renouvelables

Parallèlement, l’exécutif compte intensifier les efforts de transition énergétique, avec l’ambition de produire 35 % de l’électricité nationale à partir des énergies renouvelables.

Selon la cheffe du gouvernement, plusieurs projets solaires, totalisant 800 mégawatts, ont été attribués au premier semestre 2025. Parmi eux figurent une centrale photovoltaïque de 100 MW à Matbasta (Kairouan), ainsi que deux stations de 50 MW à Sidi Bouzid et Tozeur, dont trois entreront en service d’ici la fin de l’année.

De nouvelles licences ont également été octroyées pour quatre unités solaires supplémentaires, tandis que deux centrales électriques à cycle combiné sont opérationnelles à Sfax. Ces initiatives s’ajoutent aux projets menés dans le cadre de la production sous licence et de l’autoproduction.

La cheffe du gouvernement a souligné que les énergies renouvelables représentent aujourd’hui un pôle d’attraction majeur pour les investisseurs. Entre janvier et septembre 2025, les investissements déclarés dans ce domaine ont atteint environ 1,66 milliard de dinars, soit 28% du total national.

Elle a rappelé que ces résultats s’inscrivent dans la mise en œuvre de la stratégie nationale de transition énergétique, appuyée par des partenariats solides avec des opérateurs expérimentés et un cadre juridique modernisé, incluant le système de concession.

Une vision à long terme

Sarra Zaafrani Zenzri a également évoqué deux projets structurants. L’interconnexion électrique Tunisie-Italie (ELMED), qui fera du pays un hub régional des énergies propres ; et le programme national de transition énergétique, doté d’un financement de 343 millions de dinars, destiné à développer davantage la production issue de ressources renouvelables.

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Tunisie : La paralysie du secteur énergétique fait chuter les exportations de 34%

24. Oktober 2025 um 20:24

Les exportations tunisiennes d’énergie ont reculé de 34% à fin septembre 2025, selon une note de l’Institut arabe des chefs d’entreprises (IACE). L’organisation tire la sonnette d’alarme sur une crise énergétique structurelle, marquée par l’effondrement de la production nationale de pétrole et de gaz, et une dépendance croissante aux importations.

Un effondrement de la production nationale

La note intitulée « Importations : les dessous d’un trend contrasté » dresse un constat préoccupant : la production quotidienne de pétrole est passée de 77 000 barils en 2010 à seulement 27 000 barils en 2025. Cette chute drastique traduit, selon l’IACE, « une dégradation pluriannuelle et continue » du secteur.

L’institut souligne que même les espoirs placés dans le champ gazier de Nawara, longtemps présenté comme une bouffée d’oxygène pour l’économie tunisienne, se sont « bien volatilisés ». Les chiffres le confirment : la production de pétrole de Nawara a reculé de 47%, passant de 54,2 Ktep à fin août 2024 à 28,7 Ktep en août 2025. La production de gaz naturel a elle aussi chuté de 25%, pour s’établir à 169 Ktep.

Un déficit commercial énergétique toujours lourd

Cette paralysie du secteur continue de peser lourdement sur le déficit commercial, dont la part liée à l’énergie représente désormais 48%. Sans la baisse des cours mondiaux, la situation aurait été encore plus critique. En effet, le prix moyen du baril de pétrole a diminué de 84 dollars à 72 dollars entre juin 2024 et juin 2025, soit une baisse de 15%, atténuant partiellement la facture énergétique.

Grâce à cet essoufflement des prix, les importations de produits énergétiques ont légèrement reculé de 11,8% à fin septembre 2025, alors qu’elles avaient bondi de 14,5% sur la même période un an plus tôt.

Une alerte sur la dépendance énergétique du pays

Pour l’IACE, ces indicateurs traduisent une crise systémique : chute des capacités de production, sous-investissement dans la prospection, lenteur des réformes et désengagement progressif des investisseurs étrangers. L’institut estime qu’un nouveau modèle énergétique s’impose, fondé sur la diversification des sources et le développement des énergies renouvelables.

« Sans une refonte profonde de la gouvernance du secteur, la Tunisie continuera à importer la majorité de ses besoins énergétiques », avertit le rapport.

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Tunisie : L’indépendance énergétique recule à 36%

18. Oktober 2025 um 11:30

Le taux d’indépendance énergétique de la Tunisie, qui mesure le ratio des ressources d’énergie primaire par rapport à la consommation primaire, s’est établi à 36% à fin août 2025, contre 41% un an plus tôt, selon le dernier rapport de l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Un déficit énergétique en hausse

Le bilan d’énergie primaire fait état d’un déficit de 4,1 millions de tonnes équivalent pétrole (Mtep), soit une hausse de 14% par rapport à fin août 2024. Cette situation tient notamment compte de la redevance sur le transit du gaz algérien, qui a diminué de 11% sur la période.

Sans comptabiliser cette redevance, le taux d’indépendance énergétique tombe à 27%, contre 31% à fin août 2024. Les ressources d’énergie primaire se sont situées à 2,4 Mtep, enregistrant une baisse de 8% par rapport à la même période de l’an dernier, principalement à cause de la diminution de la production nationale de pétrole brut et de gaz naturel.

La production nationale de pétrole et de gaz reste dominante, représentant 68% des ressources primaires totales. L’électricité renouvelable (production STEG et privée, autoproduction) demeure marginale, avec seulement 3% des ressources primaires.

Une demande en énergie en légère progression

Entre fin août 2024 et fin août 2025, la demande d’énergie primaire a augmenté de 5%, avec un gaz naturel en hausse de 8% et des produits pétroliers en légère progression (+1%). La structure de la consommation a également évolué : la part des produits pétroliers a diminué de 49% à 47%, tandis que celle du gaz naturel est passée de 50% à 52%.

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600-Megawatt-Verbindung “Elmed”: Prysmian-Gruppe gewinnt Ausschreibung

Von: Redaktion
29. September 2025 um 13:40

Die Prysmian-Gruppe hat am Freitag, 26. September 2025, bekannt gegeben, dass sie die Ausschreibung von Terna S.p.A., dem Betreiber des italienischen Stromübertragungsnetzes, und Steg für Mehr

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Production énergétique : le pétrole et le gaz tunisien en repli, importations en croissance

13. September 2025 um 13:00

La Tunisie connaît un repli marqué de sa production énergétique nationale, selon le rapport sur la conjoncture énergétique publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines le 12 septembre 2025. La production de pétrole brut et de gaz naturel accuse une baisse respective de 10% et 9% par rapport à la même période de l’an dernier.

Pétrole : la production nationale en recul

La production nationale de pétrole brut s’est établie à 724 kilotonnes (kt) à fin juillet 2025, soit 10% de moins que fin juillet 2024. La moyenne journalière est passée de 29,6 mille barils/jour à 26,3 mille barils/jour.

La baisse touche majoritairement les principaux champs :

  • Nawara : -48%
  • Ashtart : -14%
  • Barka : -85%
  • El Hajeb/Guebiba : -21%
  • Gherib : -22%
  • Halk el Manzel : -13%
  • Hasdrubal : -9%
  • Sidi Marzoug : -2%

À l’inverse, certains champs ont vu leur production augmenter :

  • Ezzaouia : +69%
  • Gremda/El Ain : +223%
  • D.S.T : +65%
  • M.L.D : +10%
  • Bir Ben Tartar : +9%

Ces variations reflètent des performances hétérogènes selon les gisements et les opérations de maintenance ou d’exploitation.

Gaz naturel : repli des ressources et dépendance accrue

Les ressources en gaz naturel (production nationale + forfait fiscal) ont diminué de 9%, s’établissant à 1175 ktep-pci.

La production nationale de gaz commercial sec recule de 6%, avec des baisses dans les principaux champs :

  • Hasdrubal : -13%
  • Nawara : -28%
  • Miskar : -4%

À l’inverse, le gaz commercial du sud enregistre une hausse de 6%.

Redevances et approvisionnement

  • La redevance sur le passage du gaz algérien a diminué de 13%, s’établissant à 502 ktep-pci, avec une répartition entièrement cédée à la STEG en juillet 2025.
  • Un dépassement de prélèvements STEG de 234 millions de m³ est en cours de régularisation.
  • Les achats de gaz algérien ont augmenté de 21%, passant à 1608 ktep-pci.

L’approvisionnement national total en gaz naturel atteint 2879 ktep, avec une évolution notable de la répartition par source :

  • Part du gaz national : baisse de 27% à 23%
  • Part de la redevance cédée à la STEG : baisse de 22% à 21%
  • Part des achats de gaz algérien : hausse de 51% à 56%

Ces chiffres mettent en lumière une dépendance croissante aux importations, en particulier au gaz algérien, une performance énergétique nationale hétérogène, avec certains champs en forte progression mais d’autres en net recul et des enjeux de régularisation et de gestion des redevances, notamment pour la STEG et l’État.

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Tunisie : Les investissements étrangers bondissent de 20,8 % au premier semestre 2025

29. August 2025 um 08:35

La Tunisie a enregistré une nette progression de ses investissements directs étrangers (IDE) au premier semestre 2025. Selon les données publiées par l’Agence de Promotion des Investissements Extérieurs (FIPA-Tunisie), les flux ont atteint 1650,3 millions de dinars, soit une hausse de 20,8% par rapport à la même période de 2024. Cette dynamique a permis la création de près de 4700 emplois et confirme l’attrait du pays, notamment dans l’industrie et l’énergie.

Entre janvier et juin 2025, les investissements étrangers se sont élevés à 1650,3 millions de dinars, contre 1366 millions un an auparavant. Exprimés en devises, ces flux représentent 537,2 millions de dollars et 492,7 millions d’euros, avec une progression respective de 22% et 21,7%.

En dehors du secteur énergétique, les IDE ont contribué directement à la création de 4677 nouveaux postes. Au total, 623 opérations d’investissement ont été recensées sur cette période, pour une valeur globale de 1242,5 millions de dinars.

L’industrie et l’énergie en tête

L’industrie manufacturière reste la locomotive des IDE, attirant 1031,3 millions de dinars, soit une hausse de 22,9% et représentant 62,9% du total.

Le secteur énergétique a également connu un bond remarquable de 60%, passant de 248,3 à 398 millions de dinars, grâce notamment aux projets liés aux énergies renouvelables et à la reprise de l’exploration pétrolière, avec onze puits forés depuis le début de l’année.

En revanche, les services ont reculé de 24,6%, à 191 millions de dinars, et les investissements de portefeuille ont chuté de 28,3%, à seulement 9,7 millions de dinars.

Le secteur agricole, à l’inverse, a progressé, doublant presque ses entrées pour atteindre 20,1 millions de dinars.

Qui investit en Tunisie ?

Sur le plan géographique, la France demeure le premier partenaire, avec 421 millions de dinars injectés. Elle est suivie par l’Italie (159,4 MD), l’Allemagne (124,2 MD), les Pays-Bas (91 MD) et les États-Unis (88,4 MD).

Du côté arabe, le Qatar s’impose en tête, avec 66,5 millions de dinars d’investissements au premier semestre. Cette diversification des sources reflète l’intérêt persistant de plusieurs régions du monde pour l’économie tunisienne.

Objectifs et perspectives

Ces résultats s’inscrivent dans une stratégie nationale visant à relancer l’attractivité de la Tunisie. Le pays ambitionne d’atteindre 3400 millions de dinars d’investissements étrangers d’ici la fin de 2025 et 4 milliards de dinars en 2026, première année du plan de développement 2023-2026.

Le gouvernement mise sur le renforcement des secteurs stratégiques et sur une meilleure intégration dans les chaînes de valeur mondiales, en particulier dans l’industrie manufacturière et les énergies renouvelables.

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STEG: Stabile Stromerzeugung… mit 6 % erneuerbaren Energien

Von: Redaktion
20. Juli 2025 um 15:41

Die nationale Stromerzeugung blieb Ende Mai 2025 mit 7.065 GWh (einschließlich erneuerbarer Eigenproduktion) nahezu stabil, gegenüber 7.039 GWh Ende Mai 2024. Die für den lokalen Mehr

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Kumulus Water erhält 3,1 Mio. Euro Startkapital für die Ausweitung nachhaltiger Trinkwasserlösungen

Von: Redaktion
03. Juni 2025 um 15:35

Kumulus Water, das WaterTech-Startup, das Luft in sauberes Trinkwasser verwandelt, hat erfolgreich eine Startfinanzierung in Höhe von 3,1 Millionen Euro erhalten. Die Runde wurde von Mehr

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Kairouan: Solarkraftwerk Sbikha soll Ende 2025 fertiggestellt sein

Von: Redaktion
31. Mai 2025 um 14:20

Laut Wael Chouchane, Staatssekretär im Ministerium für Industrie, Bergbau und Energie, zuständig für den Energiewandel, soll das Solarkraftwerk Sbikha im Gouvernorat Kairouan gegen Ende des Mehr

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