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La Tunisie au Sommet Mondial de la Gastronomie à Barcelone

La Tunisie a pris part au 1er Sommet Mondial de la Gastronomie qui s’est tenu le 27 septembre 2025 au Palais royal de Pedralbes à Barcelone.

Organisé par l’Institut international de la gastronomie, de la culture, des arts et du tourisme (IGCAT) et accueilli par la Gouvernance de la Catalogne, cet événement s’inscrivait en parallèle de MONDIACULT 2025, initiative de l’UNESCO.

Le sommet a rassemblé experts, institutions internationales, chefs et représentants de Régions Gastronomiques du Monde, autour de la reconnaissance de la gastronomie comme culture, patrimoine et vecteur d’identité. Il a abouti à l’adoption d’une déclaration appelant à intégrer la gastronomie dans les agendas culturels mondiaux et à promouvoir un avenir alimentaire durable, inclusif et culturellement ancré.

Mourad Belhassen, directeur général de la Diplomatie économique et culturelle auprès du ministère des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Etranger, et Lamia Temimi, cofondatrice et CEO de Sawa Taste of Tunisia, ainsi qu’initiatrice de la candidature du Cap Bon au titre de Région du Monde de la Gastronomie 2028, ont représenté la Tunisie à cet événement.

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Lamia Temimi et Mourad Belhassen à Barcelone

Les échanges ont porté sur des pistes de collaboration autour de la valorisation des patrimoines culinaires et culturels, tout en soutenant la candidature du Cap Bon au titre de Région du Monde de la Gastronomie 2028, avec l’objectif d’accueillir le sommet et de stimuler un tourisme durable dans la région.

Dans un contexte mondial où les enjeux alimentaires restent cruciaux, la Tunisie a réaffirmé l’importance de faire de la gastronomie un vecteur de dialogue et de solidarité entre les peuples, exprimant sa préoccupation face à la famine à Gaza et appelant à un engagement collectif pour garantir le droit fondamental à l’alimentation.

Région mondiale de la gastronomie

Le Cap Bon a officiellement été accueilli comme candidat au titre de Région mondiale de la gastronomie 2028. L’annonce avait été confirmée lors de la 12ᵉ Assemblée générale et du 36ᵉ Forum consultatif de l’IGCAT, le 18 juin 2025, marquant une étape majeure pour la région.

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Le Cap Bon devient ainsi la première région africaine — et la deuxième de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord — à rejoindre la Plateforme des Régions Mondiales de la Gastronomie, réaffirmant l’engagement mondial de l’IGCAT en faveur de la diversité, de la richesse culturelle et d’un développement inclusif par la gastronomie.

« Nous sommes profondément honorés d’accueillir le Cap Bon, première région africaine et puissant représentant de la région MENA, au sein de la Plateforme des Régions Mondiales de la Gastronomie. Les traditions culinaires uniques, le riche paysage agricole et l’héritage culturel dynamique du Cap Bon en font un candidat inspirant. Cette étape témoigne d’une forte volonté de résilience culturelle et de fierté régionale » avait déclaré Dr Diane Dodd, présidente de l’IGCAT.

De son côté, Lamia Temimi, cofondatrice de Sawa Taste of Tunisia avait expliqué que « le Cap Bon a accueilli mes ancêtres siciliens au début du siècle dernier, leur offrant des années à la fois laborieuses et pleines de joie. Après une décennie vécue au coeur de cette région, il est temps pour moi de rendre hommage à la terre, à la culture et à la cuisine qui ont façonné l’enfance de ma mère. Je suis fière d’avoir initié la candidature du Cap Bon comme Région mondiale de la gastronomie et profondément encouragée de voir les secteurs public et privé unis, main dans la main, pour faire rayonner le Cap Bon sur la scène internationale. »

 

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Ne reproduisons pas l’exemple de Coco Beach à Takelsa !

30. September 2025 um 09:14

A Takelsa, une petite ville du Cap Bon (nord-est de la Tunisie), les effets du changement climatique, dont l’érosion marine, se font déjà sentir sur des plages peu fréquentées et jalousement gardées secrètes par les randonneurs professionnels. L’empreinte humaine se manifeste par l’accumulation de déchets de tous genres et surtout le plastique.

Sur la plage d’El Mangaa et un peu plus loin sur la côte, des lagons ont gardé leur aspect naturel sauvage, où les vagues, le vent, le sable et le temps ont sculpté des rochers fantastiques offrant un paysage spectaculaire. Hélas, les déchets rejetés par la mer incluant des plastiques finissent sur le sable et entre les rochers. Près de 80% de ces déchets proviennent de la terre, en témoignage d’un cercle vicieux provoqué par l’homme.

Sur cette partie du littoral tunisien, des criques enclavées qui n’étaient accessibles que par des sentiers de randonnée ou par bateau, reçoivent désormais, environ 1000 visiteurs par jour, selon Mohamed Temimi, fondateur de la start-up d’aventures éco-responsables Tunisian Campers. Faire découvrir la nature sauvage, généreuse et encore méconnue de la Tunisie, est l’un des objectifs de la jeune pousse. Le plus difficile, toujours d’après lui, c’est d’inculquer aux férus de la nature les pratiques de sa préservation.

L’intervention humaine : malheur ou aubaine ? 

Sur la piste qui mène à la plage El Mangaa, il n’y a aucun panneau de signalisation, ni pancarte pour sensibiliser les visiteurs à respecter l’environnement et la propreté des lieux. En l’absence de la municipalité, les seules actions de nettoyage des plages sont menées, quatre fois par mois, par l’Agence de protection et d’aménagement du littoral (Apal) du 18 mai au 15 septembre. Aussi, pour toute la zone, une seule personne est chargée de collecter les déchets recyclables. Kaïs Habchi sillonne les lieux à pied et ramasse ce qu’il trouve sur son chemin avec des moyens artisanaux. «Les quantités de déchets en plastique augmentent d’année en année», déplore-t-il, espérant obtenir les autorisations nécessaires pour créer son point de collecte à Takelsa et employer au moins deux autres personnes.

Pour Yassine-Ramzi Sghaier, expert en biodiversité marine et cofondateur de l’ONG de conservation marine TunSea, les plages ne sont pas seulement des espaces où on peut profiter du sable et du soleil; ce sont aussi des écosystèmes complexes. «Ce que nous devons tous comprendre, c’est que les plages sont les récepteurs de tous ce que nous produisons comme déchets pendant toute l’année. Si tu jettes une bouteille en plastique à Oued Medjerda, tu la trouveras six mois après sur les plages de à Bizerte».

Un désenclavement risqué!

Une première piste vicinale vers la plage d’El Mangaa est en train d’être créée, pas loin de quelques villas de luxe surplombant les eaux turquoises. Elles appartiennent à des hommes d’affaires connus, selon les locaux rencontrés lors d’une visite organisée, dimanche 28 septembre 2025, au profit de journalistes spécialistes de l’environnement.
Cette visite est organisée par la GIZ, à travers son Projet d’appui à la gouvernance environnementale et climatique pour une transition écologique en Tunisie (Pagecte) en collaboration avec le Projet d’appui aux médias tunisiens (Pamt2), projets financés par l’Union européenne (UE), en collaboration avec l’Apal, sous l’égide du ministère de l’Environnement,  la start-up d’aventures éco-responsables Tunisian Campers et l’ONG de conservation marine TunSea.

L’accès difficile à certaines plages de Takelsa a empêché la dégradation de leurs écosystèmes et a allégé les effets de l’érosion marine, de l’aménagement urbain et de la pollution. «Nous voulons anticiper et préserver ces rivages, en leur épargnant la pression subie par le reste des plages de Nabeul et du Cap Bon, région à forte vocation touristique, principalement axée sur le tourisme balnéaire», a déclaré le représentant régional de l’Apal à Nabeul, Karim Boulifa.

L’Apal, qui avait intégré la plage d’El Mangaa au marché-cadre entre les ministères de l’Environnement et du Tourisme, puisqu’elle répond désormais au critère de densité, y a organisé une action de nettoyage à l’occasion de cette visite. Au total, 47 plages dans la région de Nabeul et du Cap-bon sont concernées par ses interventions.

Préserver les plages de Takelsa

«Nous ne voulons pas reproduire l’exemple de Coco Beach à Takelsa», a lancé l’expert en conservation de la nature, Faouzi Maamouri, en allusion à l’Île de Coco ou Chatt Coco, une destination touristique très prisée jusqu’à la surexploitation, à Ghar El Melh. Une ruée, non écoresponsable, vers de belles zones enclavées du littoral pourraient mener à la dégradation des écosystèmes et de la biodiversité et à la destruction des habitats.

L’idéal, d’après lui, serait de profiter de la beauté des plages, mais d’une manière durable. «Si le citoyen adopte un comportement civique, on n’aura pas besoin de poubelles sur les plages», a ajouté Maamouri, qui appelle à la création d’une réserve naturelle à Takelsa intégrant le micro-climat et l’écosystème autour de la plage El Mangaa, où se trouve une source d’eau douce à 20 mètres et un couvert végétal très intéressant.

Les plages de Takelsa ne font pas partie, par ailleurs, du projet de protection du littoral contre l’érosion marine couvrant la zone de Béni-Khiar à Yasmine Hammamet. Ce projet, l’un des plus ambitieux sur le littoral tunisien, prévoit la protection d’un linéaire de 32 kilomètres.

D’un coût global estimé à environ 300 millions de dinars, le projet, dont le démarrage est prévu début 2026, «va changer la donne environnementale, touristique et économique dans la région de Nabeul et dans tout le pays», espère Karim Boulifa.

D’après Tap.

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600-Megawatt-Verbindung “Elmed”: Prysmian-Gruppe gewinnt Ausschreibung

Von: Redaktion
29. September 2025 um 13:40

Die Prysmian-Gruppe hat am Freitag, 26. September 2025, bekannt gegeben, dass sie die Ausschreibung von Terna S.p.A., dem Betreiber des italienischen Stromübertragungsnetzes, und Steg für Mehr

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Touristische Route Harissa Diari: Auf der Harissa-Tour am Cap Bon

Von: Redaktion
20. Juli 2024 um 16:29

Das von der Organisation Green Compass durchgeführte Projekt „Harissa Diari“ will das Know-how rund um die Harissa, die zum UNESCO-Weltkulturerbe gehört, fördern und eine Dynamik Mehr

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600-Megawatt-Verbindung „Elmed“: Grünes Licht vom italienischen Umweltministerium

Von: Redaktion
15. Mai 2024 um 14:46

Das italienische Ministerium für Umwelt und Energiesicherheit hat mit einem Dekret vom 10. Mai 2024 Elmed, die Stromverbindung zwischen Italien und Tunesien, die von Terna Mehr

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Erdbeerernte 2024 auf der Halbinsel Cap Bon auf 20.000 Tonnen geschätzt

Von: Redaktion
11. Februar 2024 um 19:01

Die Erdbeerernte 2024 im Gouvernorat Nabeul, wo fast 90% der nationalen Produktion geerntet werden, wird in dieser Saison voraussichtlich 20.000 Tonnen erreichen, verglichen mit 16.000 Mehr

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