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La production tunisienne de pétrole poursuit sa chute

19. November 2024 um 12:16

La production nationale tunisienne de pétrole brut s’est située à 1 016 tonnes (kt), à fin septembre 2024, enregistrant, ainsi, une baisse de 14% par rapport à la même période de l’année écoulée, ce qui va accroître le déficit énergétique du pays et ses besoins d’importation d’énergie. (Ph. Champ pétrolier Nawara).

Selon le rapport sur la conjoncture énergétique pour septembre 2024, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines (Onem), cette baisse a touché plusieurs champs, à savoir Ashtart (-26%), El Hajeb/Guebiba (-35), Gherib (-33), Maamoura (-87), Barraka (37), Halk El-Manzel (-20), Miskar (-20), Hasdrubal (-11), M.L.D. (-15), Cercina (-10), Nawara (-9) et Dorra (-29).

Par contre, d’autres champs ont enregistré une augmentation de leur production comme Adam (+8%), Ouedzar (+19), Bir Ben Tartar (+86), Sidi Litayem (+33) et Ch. Essaida (+14).

Selon le rapport de l’observatoire, la moyenne journalière de la production de pétrole est passée de 33 900 barils/j à fin septembre 2023, à 29 200, à fin septembre 2024.

 D’après Tap.

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Baisse des ressources en gaz naturel en Tunisie : -18 % à fin septembre 2024

19. November 2024 um 11:24

Les ressources en gaz naturel (production nationale et forfait fiscal) ont atteint 1 649 mille tonnes équivalent pétrole (ktep) à fin septembre 2024. Elles enregistrent ainsi une baisse de 18 % par rapport à la même période de l’année précédente. C’est ce qu’indique le rapport sur la conjoncture énergétique publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Baisse de la production de gaz commercial sec de 25 %

La production de gaz commercial sec a diminué de 25 %. En parallèle, la redevance sur le passage du gaz algérien a enregistré une baisse de 8 %, atteignant 711 ktep à fin septembre 2024.

Champs Hasdrubal et Nawara : une baisse significative de la production

Les champs de gaz Hasdrubal et Nawara ont vu leur production baisser respectivement de 12 % et 39 %. Le champ de Miskar a également enregistré une diminution de 19 % de sa production.

Gaz commercial du sud : hausse de la production de 12 %

En revanche, la production de gaz commercial du sud a connu une hausse de 12 % à fin septembre 2024 par rapport à la même période de l’année 2023.

Forfait fiscal et transit de gaz algérien en baisse de 8 %

L’Observatoire a également indiqué une baisse de 8 % du forfait fiscal sur le transit du gaz algérien, atteignant 711 ktep à fin septembre 2024.

Prélèvements STEG : dépassement enregistré à fin septembre 2024

Un dépassement des prélèvements de la STEG sur la redevance revenant à l’État tunisien a été enregistré. Il s’élèe à 152 millions de cm³ à fin septembre 2024 et est en cours de régularisation.

Achats de gaz algérien : baisse de 2 % en 2024

Les achats de gaz algérien ont diminué de 2 % entre fin septembre 2023 et fin septembre 2024, se chiffrant à 1 810 ktep.

Approvisionnement en gaz naturel en Tunisie : baisse de 3 %

Enfin, l’approvisionnement national en gaz naturel a également enregistré une baisse de 3 %, se situant à 3 526 ktep.

Avec TAP

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8,7 milliards de dinars de déficit de la balance commerciale énergétique à fin septembre 2024

18. November 2024 um 12:43

Le déficit de la balance commerciale énergétique (en tenant compte de la redevance du gaz algérien exportée) a enregistré, à fin septembre 2024, une hausse de 29 %; et ce, par rapport à la même période de l’année écoulée, pour se situer à 8 725 millions de dinars (ou 8,725 milliards de dinars). C’est ce qu’il ressort du rapport sur la conjoncture énergétique du mois de septembre 2024, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Les exportations des produits énergétiques ont enregistré une baisse en valeur de 7 % accompagnée par une hausse des importations en valeur de 18 %.

Selon l’observatoire, les échanges commerciaux dans le secteur de l’énergie sont très sensibles à trois facteurs. A savoir : les quantités échangées; le taux de change dollar/dinar ($/DT) et les cours du Brent, qualité de référence sur laquelle sont indexés les prix du brut importé et exporté; ainsi que les produits pétroliers.

En effet, durant les neuf premiers mois de 2024, le cours moyen du Brent a légèrement augmenté de 1 %. Bien qu’il ait enregistré, au cours du mois de septembre 2024, une baisse de 20$/bbl par rapport à la même période de l’année 2023. A noter que bbl est une mesure de capacité américaine valant environ 158,98 litres.

Toujours selon l’observatoire, le dinar tunisien a enregistré, à fin septembre 2024, une légère dégradation de 0,3 % par rapport au dollar américain. Lequel est la principale devise d’échange des produits énergétiques; et ce, en comparaison avec la même période de l’année dernière.

Avec TAP

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Taux d’indépendance énergétique de la Tunisie en baisse à 41% à fin septembre 2024

18. November 2024 um 12:05

Le taux d’indépendance énergétique, qui représente le ratio des ressources d’énergie primaire par la consommation primaire, s’est situé à 41% à fin septembre 2024 contre 49% à fin septembre 2023, selon le rapport sur la conjoncture énergétique pour septembre 2024, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.
Alors que, sans comptabilisation de la redevance, le taux d’indépendance énergétique se limiterait à 31% à fin septembre 2024 contre 38% durant la même période de 2023.

Le bilan d’énergie primaire fait apparaître à fin septembre 2024, un déficit de 4,1 Mtep enregistrant, ainsi, une hausse de 13% par rapport à la même période 2023, et ce, en comptabilisant la redevance.

Selon l’observatoire, les ressources d’énergie primaire se sont situées à 2,9 Mtep à fin septembre 2024, enregistrant ainsi une baisse de 16% par rapport à la même période de l’année précédente.

Et d’expliquer que cette baisse est due principalement à la diminution de la production nationale du pétrole brut et du gaz naturel.

Les ressources d’énergie primaire restent dominées par la production nationale de pétrole et du gaz qui participent tous les deux à hauteur de 69% de la totalité des ressources d’énergie primaire, a indiqué le rapport sur la conjoncture énergétique pour septembre 2024.

La part de l’électricité renouvelable (production STEG et privée et autoproduction) représente 2% des ressources primaires à fin septembre 2024.

A signaler que la redevance sur le transit du gaz algérien a enregistré une baisse de 8% à fin septembre 2024 par rapport à fin septembre 2023.

Légère baisse de 1% de la demande d’énergie primaire

Pour la demande d’énergie primaire, elle a enregistré une légère baisse de 1% entre fin septembre 2023 et fin septembre 2024.

En effet, la demande du gaz naturel a diminué de 3% et celle des produits pétroliers, par contre, a enregistré une légère hausse de 1%. L’observatoire a noté que la demande du gaz naturel a diminué de 3% suite à la limitation des achats du gaz algérien.

Et pour faire face et couvrir la totalité de la demande nationale en électricité, la STEG s’est orientée vers l’importation d’électricité.

La structure de la demande des énergies primaires est restée quasiment stable entre fin septembre 2024 et la même période en 2023. La part des produits pétroliers dans la demande s’établit à 48%, tandis que celle du gaz naturel atteint 51 %.

Tunisie – Importation d’électricité : 14 % des besoins locaux couverts par l’Algérie et la Libye à fin septembre 2024

18. November 2024 um 11:41

La production totale d’électricité a enregistré une légère baisse de 1 % à fin septembre 2024 par rapport à la même période de l’année précédente, s’établissant à 15.270 GWh (y compris l’autoproduction renouvelable), selon le rapport sur la conjoncture énergétique de septembre 2024, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

La production destinée au marché local a, quant à elle, enregistré une hausse de 2 %. Ainsi, les achats d’électricité en provenance de l’Algérie et de la Libye ont couvert 14 % des besoins du marché local à fin septembre 2024.

La Steg conserve toujours la part majoritaire dans la production électrique avec 96 % de la production nationale à fin septembre 2024. La production d’électricité à partir du gaz naturel a enregistré une baisse de 2 %.

En ce qui concerne la production d’électricité à partir des énergies renouvelables, elle a atteint 5 % du total.

Par ailleurs, 267 MW de toitures photovoltaïques ont été installées dans le secteur résidentiel, et 314 autorisations ont été octroyées pour une puissance totale de 112 MW dans les secteurs industriel, tertiaire et agricole.

D’après le rapport, la pointe électrique a augmenté de 1,3 % pour se situer à 4.888 MW à fin septembre 2024, contre 4.825 MW à fin septembre 2023, enregistrant ainsi un nouveau record (le 14 août 2024 à 15 h 41).

Concernant les ventes d’électricité, l’Observatoire a signalé une légère diminution de 1 % entre fin septembre 2023 et fin septembre 2024. Les ventes aux clients de haute tension ont diminué de 9 %, tandis que celles des clients de moyenne tension sont restées quasi stables.

Il convient de noter que pour les ventes en basse tension, destinées majoritairement au secteur résidentiel (près de 75 % en moyenne), les statistiques basées sur la facturation bimestrielle, dont près de la moitié est estimée, ne permettent pas de donner une idée exacte de la consommation réelle.

Les industriels restent les plus grands consommateurs d’électricité, représentant 57 % de la demande totale des clients haute tension et moyenne tension à fin septembre 2024.

La majorité des secteurs ont enregistré une baisse des ventes, principalement les industries métallurgiques de base (-11 %), les industries IMCCV (-9 %), l’industrie du papier et de l’édition (-4 %) et l’industrie alimentaire et du tabac (-5 %). En revanche, les ventes des industries extractives ont enregistré une hausse de +7 %.

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Tunisie – Conjoncture énergétique 2024 : Le déficit commercial énergétique se creuse de 29%

18. November 2024 um 11:40

Le déficit de la balance commerciale énergétique (en tenant compte de la redevance du gaz algérien exportée) a enregistré, à fin septembre 2024, une hausse de 29% par rapport à la même période de l’année écoulée, pour se situer à 8.725 millions de dinars (MD), selon le rapport sur la conjoncture énergétique du mois de septembre 2024, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Les exportations des produits énergétiques ont enregistré une baisse en valeur de 7% accompagnée par une hausse des importations en valeur de 18%.

Selon l’observatoire, les échanges commerciaux dans le secteur de l’énergie sont très sensibles à trois facteurs à savoir les quantités échangées, le taux de change dollar/dinar ($/DT) et les cours du Brent, qualité de référence sur laquelle sont indexés les prix du brut importé et exporté ainsi que les produits pétroliers.

En effet, durant les 9 premiers mois de 2024, le cours moyen du Brent a légèrement augmenté de 1% bien qu’il a enregistré, au cours de mois de septembre 2024, une baisse de 20$/bbl par rapport à la même période de l’année 2023. A noter que bbl est une mesure de capacité américaine valant environ 158,98 litres.

Toujours selon l’observatoire, le dinar tunisien a enregistré, à fin septembre 2024, une légère dégradation de 0,3% par rapport au dollar américain, principale devise d’échange des produits énergétiques en comparaison avec la même période de l’année dernière.

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Tunisie : Un taux d’indépendance énergétique de 41% contre 49% l’année dernière

Von: La Presse
18. November 2024 um 11:19

Le taux d’indépendance énergétique, qui représente le ratio des ressources d’énergie primaire par la consommation primaire, s’est situé à 41% à fin septembre 2024 contre 49% à fin septembre 2023, selon le rapport sur la conjoncture énergétique pour septembre 2024, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Alors que, sans comptabilisation de la redevance, le taux d’indépendance énergétique se limiterait à 31% à fin septembre 2024 contre 38% durant la même période de 2023. Le bilan d’énergie primaire fait apparaître à fin septembre 2024, un déficit de 4,1 Mtep enregistrant, ainsi, une hausse de 13% par rapport à la même période 2023, et ce, en comptabilisant la redevance.

Selon l’observatoire, les ressources d’énergie primaire se sont situées à 2,9 Mtep à fin septembre 2024, enregistrant ainsi une baisse de 16% par rapport à la même période de l’année précédente. Et d’expliquer que cette baisse est due principalement à la diminution de la production nationale du pétrole brut et du gaz naturel.

Les ressources d’énergie primaire restent dominées par la production nationale de pétrole et du gaz qui participent tous les deux à hauteur de 69% de la totalité des ressources d’énergie primaire, a indiqué le rapport sur la conjoncture énergétique pour septembre 2024. La part de l’électricité renouvelable (production Steg et privée et autoproduction) représente 2% des ressources primaires à fin septembre 2024.

À signaler que la redevance sur le transit du gaz algérien a enregistré une baisse de 8% à fin septembre 2024 par rapport à fin septembre 2023. Pour la demande d’énergie primaire, elle a enregistré une légère baisse de 1% entre fin septembre 2023 et fin septembre 2024. En effet, la demande du gaz naturel a diminué de 3% et celle des produits pétroliers, par contre, a enregistré une légère hausse de 1%.

L’observatoire a noté que la demande du gaz naturel a diminué de 3% suite à la limitation des achats du gaz algérien. Et pour faire face et couvrir la totalité de la demande nationale en électricité, la Steg s’est orientée vers l’importation d’électricité. La structure de la demande des énergies primaires est restée quasiment stable entre fin septembre 2024 et la même période en 2023. La part des produits pétroliers dans la demande s’établit à 48%, tandis que celle du gaz naturel atteint 51 %.

L’article Tunisie : Un taux d’indépendance énergétique de 41% contre 49% l’année dernière est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Les achats d’électricité d’Algérie et de Libye couvrent 14 % des besoins tunisiens

18. November 2024 um 11:45

La production totale d’électricité a enregistré une légère baisse de 1 %, à fin septembre 2024 par rapport à la même période de l’année écoulée. Et ce, pour se situer à 15270 GWh (y compris autoproduction renouvelable). C’est ce que relève le rapport sur la conjoncture énergétique pour septembre 2024, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

La production destinée au marché local a enregistré une hausse de 2 %. Ainsi, les achats d’électricité de l’Algérie et de la Libye ont couvert 14 % des besoins du marché local à fin septembre 2024.

La STEG conserve toujours la part du lion dans la production électrique, avec 96 % de la production nationale à fin septembre 2024. L’électricité produite à partir du gaz naturel a enregistré une baisse de 2 %.

Pour la production d’électricité à partir des énergies renouvelables, elle s’est située à 5 %.

Par ailleurs, 267 MW de toitures photovoltaïques ont été installées dans le secteur résidentiel et 314 autorisations ont été octroyées pour une puissance totale de 112MW dans les secteurs industriel, tertiaire et agriculture.

La pointe électrique a augmenté de 1,3 % pour se situer à 4888 MW

D’après le rapport, la pointe électrique a augmenté de 1,3 % pour se situer à 4888 MW, à fin septembre 2024; contre 4825 MW à fin septembre 2023. Enregistrant ainsi un nouveau record (le 14 aôut 2024, à 15h41min).

S’agissant des ventes d’électricité, l’observatoire a fait état d’une légère diminution de 1 % entre fin septembre 2023 et fin septembre 2024.

Et d’expliquer que les ventes des clients de la haute tension ont enregistré une diminution de 9 %. Celles des clients de la moyenne tension ont enregistré, par contre, une quasi stabilité.

A noter que pour les ventes, basse tension, destinées majoritairement au secteur résidentiel (près de 75 % en moyenne), les statistiques basées sur la facturation bimestrielle, dont près de la moitié est estimée, ne permettent pas d’avoir une idée exacte sur la consommation réelle.

Les industriels restent les plus grands consommateurs d’électricité avec 57 % de la totalité de la demande des clients haute tension et moyenne tension, à fin septembre 2024.

La majorité des secteurs a enregistré une baisse des ventes, principalement : les industries métallurgiques de base (-11 %); les industries IMCCV (-9 %); l’industrie du papier et de l’édition (-4 %); et l’industrie alimentaire et de Tabac (-5 %); contre une hausse des ventes des industries extractives (+7 %).

Avec TAP

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La Russie restreint ses exportations d’uranium vers les États-Unis

18. November 2024 um 11:30

Le gouvernement russe a annoncé, samedi 16 novembre 2024, une limitation temporaire des exportations d’uranium enrichi vers les Etats-Unis. Cette mesure fait suite à l’interdiction par Washington d’acheter du combustible nucléaire russe.

Selon un document publié en ligne samedi par le gouvernement russe, la mesure concerne également les exportations dans le cadre d’accords de commerce extérieur avec des personnes enregistrées sur le territoire américain. Une exception a été faite pour les livraisons dans le cadre de licences uniques délivrées par le Service fédéral de contrôle technique et d’exportation. La décision a été prise sur instruction du président russe, indique encore le document.

En septembre, Vladimir Poutine a proposé de limiter les exportations de certaines matières premières d’importance stratégique, dont l’uranium, vers le marché mondial. Et ce, en réponse aux tentatives occidentales de bloquer l’accès de la Russie à certains produits fabriqués à l’étranger. Poutine a ensuite déclaré, lors d’une réunion du gouvernement, que malgré les restrictions occidentales, la Russie continuerait de fournir certains types de biens au marché mondial « en grandes quantités ». Et que dans certains cas, les acheteurs accumulaient volontiers des produits russes.

De son côté, en mai, le président américain Joe Biden a signé un projet de loi interdisant les importations d’uranium enrichi russe. Malgré les avertissements selon lesquels cette mesure pourrait se retourner contre l’économie américaine. La loi a néanmoins permis la poursuite des expéditions dans le cadre d’un système de dérogations.

A cet égard, le ministère américain de l’Énergie a été autorisé à accorder des dérogations jusqu’en 2028, dans les cas où il n’existe pas d’alternative à l’uranium faiblement enrichi russe ou si les expéditions sont dans l’intérêt national. L’interdiction prévoit également un financement fédéral de 2,7 milliards de dollars pour construire de nouvelles capacités d’enrichissement aux États-Unis, afin de stimuler son industrie nucléaire civile.

En somme, la Russie a fourni près d’un quart de l’uranium enrichi qui a alimenté les réacteurs nucléaires commerciaux américains en 2022. Ce qui en fait le premier fournisseur étranger de combustible des États-Unis cette année-là, selon l’Administration américaine d’information sur l’énergie.

Quant aux Etats-Unis, ils disposent certes de leurs propres réserves d’uranium, mais elles ne suffisent pas à satisfaire la demande. La Russie abrite quant à elle le plus grand complexe d’enrichissement d’uranium au monde, qui représente près de la moitié de la capacité mondiale. Le combustible est essentiel à la production d’énergie nucléaire civile et aux armes nucléaires militaires.

La part de la Russie sur le marché de l’uranium enrichi est estimée à environ 40 %, avec une valeur d’exportation de 2,7 milliards de dollars.

Enfin, notons que les prix de l’uranium ont bondi samedi 16 courant suite à l’annonce des restrictions russes à l’exportation. Les offres pour une livraison en novembre 2025 augmentant de 4 dollars à 84 dollars la livre, selon le cabinet d’études de marché UxC.

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Energie : un taux d’indépendance énergétique de 41 % à fin septembre 2024 (Rapport)

18. November 2024 um 11:30

Le taux d’indépendance énergétique, qui représente le ratio des ressources d’énergie primaire par la consommation primaire, s’est situé à 41 % à fin septembre 2024; contre 49 % à fin septembre 2023. C’est ce que relève le rapport sur la conjoncture énergétique pour septembre 2024, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Alors que, sans comptabilisation de la redevance, le taux d’indépendance énergétique se limiterait à 31 % à fin septembre 2024, contre 38% durant la même période de 2023.

Le bilan d’énergie primaire fait apparaître à fin septembre 2024, un déficit de 4,1 Mtep. Enregistrant, ainsi, une hausse de 13 % par rapport à la même période 2023; et ce, en comptabilisant la redevance.

Selon l’observatoire, les ressources d’énergie primaire se sont situées à 2,9 Mtep à fin septembre 2024. Soit une baisse de 16 % par rapport à la même période de l’année précédente.

Et d’expliquer que cette baisse est due principalement à la diminution de la production nationale de pétrole brut et de gaz naturel.

De ce fait, les ressources d’énergie primaire restent dominées par la production nationale de pétrole et de gaz. Lesquels participent tous les deux à hauteur de 69 % de la totalité des ressources d’énergie primaire. C’est encore ce que souligne le rapport sur la conjoncture énergétique pour septembre 2024.

La part de l’électricité renouvelable (production STEG,  privée et autoproduction) représente 2 % des ressources primaires à fin septembre 2024.

A signaler que la redevance sur le transit du gaz algérien a enregistré une baisse de 8 % à fin septembre 2024, par rapport à fin septembre 2023.

Légère baisse de 1 % de la demande d’énergie primaire

Par ailleurs, concernant la demande d’énergie primaire, elle a enregistré une légère baisse de 1 % entre fin septembre 2023 et fin septembre 2024.

En effet, la demande du gaz naturel a diminué de 3 % et celle des produits pétroliers, par contre, a enregistré une légère hausse de 1 %. L’observatoire note aussi que la demande de gaz naturel a diminué de 3 % suite à la limitation des achats du gaz algérien.

Et pour faire face et couvrir la totalité de la demande nationale en électricité, la STEG s’est orientée vers l’importation d’électricité.

La structure de la demande des énergies primaires est restée quasiment stable entre fin septembre 2024 et la même période en 2023. La part des produits pétroliers dans la demande s’établit à 48 %; tandis que celle du gaz naturel atteint 51 %.

Avec TAP

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Energie : baisse de la production nationale de pétrole de 14 % à fin septembre 2024 (Rapport)

18. November 2024 um 11:07

La production nationale de pétrole brut s’est située à 1016 mille tonne (kt), à fin septembre 2024. Enregistrant, ainsi, une baisse de 14 % par rapport à la même période de l’année écoulée. C’est ce qu’il ressort du rapport sur la conjoncture énergétique pour septembre 2024, tel que publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Cette baisse a touché plusieurs champs à savoir : Ashtart (-26 %), El Hajeb/Guebiba (-35 %), Gherib (-33 %), Maamoura (-87 %), Baraka (37%), Halk el Manzel (-20 %), Miskar (-20 %), Hasdrubal (-11 %), M.L.D (-15 %), Cercina (-10 %), Nawara (-9 %) et Dorra (-29 %).

Par contre, d’autres champs ont enregistré une augmentation de leur production. Il s’agit des champs Adam (+8 %), Ouedzar (+19 %), Bir Ben Tartar (+86 %), Sidi Litayem (+33 %) et Ch.Essaida (+14 %).

Selon le rapport de l’observatoire, la moyenne journalière de la production de pétrole est passée de 33,9 mille barils/j à fin septembre 2023 à 29,2 mille barils/j à fin septembre 2024, en Tunisie.

Avec TAP

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Ateliers à Tunis sur l’eau, l’énergie et la sécurité alimentaire

17. November 2024 um 14:04

L’eau, l’énergie et la sécurité alimentaire sont étroitement liées et leur développement contribue directement à l’augmentation des taux de croissance.

C’est ce qu’ont souligné les experts du secteur lors d’un atelier organisé le 14 novembre 2024 à Tunis à l’initiative du Bureau pour l’Afrique du Nord de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (Uneca) et du bureau d’Onu-Habitat en Tunisie.

«Le stress hydrique a un impact sur l’agriculture et par conséquent sur la sécurité alimentaire et la croissance économique», a expliqué l’économiste Samia Hamouda du bureau sous-régional Afrique du Nord de l’Uneca, soulignant que la Tunisie dépend des importations car 93% de sa consommation est constituée de blé tendre, d’orge et de blé dur.

«La Tunisie a toujours été dépendante de la consommation de céréales, mais avec la dernière crise entre la Russie et l’Ukraine et avec les problèmes de changement climatique et de stress hydrique, il devient urgent de penser de manière intégrée et d’associer l’eau, l’énergie et la sécurité alimentaire dans tous les processus de planification aux niveaux national et local», a-t-elle souligné ? Et d’ajouter : «Nous devons maintenant proposer des politiques et des réformes qui nous aideront à surmonter cette crise», comme il est urgent de revoir la politique agricole pour la rendre plus durable.

L’expert en développement durable Belgacem Ayed a déclaré à l’agence Tap que la sécurité alimentaire est étroitement liée à l’agriculture, qui dépend elle-même de l’eau, ajoutant que le changement climatique rend la situation de plus en plus difficile. «Utiliser de l’eau non conventionnelle signifie dépenser encore plus d’énergie, d’où l’importance d’une approche intégrée du lien entre l’eau, l’énergie et la sécurité alimentaire», a-t-il soutenu.

L’eau saumâtre et l’eau de mer devraient être dessalées et autant d’eau de ruissellement et d’eau purifiée que possible devraient être récupérées pour être utilisées dans l’agriculture et l’irrigation, a déclaré l’expert.

Concernant l’énergie, Ayed a souligné que le taux de dépendance énergétique de la Tunisie est de 53%, préconisant le recours à des solutions nationales et locales pour exploiter les ressources propres du pays (soleil, eau, biomasse, etc.).

La directrice du bureau d’Onu-Habitat en Tunisie, Aida Robbana, a indiqué que son organisation travaille actuellement sur un projet visant à promouvoir la sécurité alimentaire des personnes vulnérables au niveau local, notamment les migrants et les sans-abri, en utilisant une approche communautaire généralement dans deux municipalités. : Tunis et La Marsa. Deux jardins urbains à Tunis et à la Marsa ont déjà été créés dans le cadre du projet, a déclaré Robbana : «Les premiers produits de ces jardins ont été reversés à un restaurant solidaire».

Des experts dans les domaines de l’eau, de l’énergie, de la sécurité alimentaire et du développement, ainsi que des représentants de structures gouvernementales et d’organisations internationales, participent à l’atelier dont le but est de discuter des défis et de présenter des solutions et réformes possibles pour améliorer la sécurité énergétique en Tunisie.

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Énergie renouvelable : numérisation des services du Fonds de transition énergétique

15. November 2024 um 13:42

Les activités et services du Fonds de transition énergétiques (FTE) sont désormais numérisés. C’est ce qu’annonce l’Agence nationale pour la maîtrise de l’énergie (ANME), précisant que cette action visant à simplifier les procédures administratives est en vigueur depuis le 11 novembre 2024.

La mesure vise également à améliorer la qualité de ses services et à rendre plus efficace le traitement des différentes demandes émises par les institutions et les entreprises actives dans le domaine des énergies renouvelables, a ajouté l’agence dans un communiqué.

À travers cette procédure, l’ANME projette de délivrer des certificats relatifs à l’accréditation des entreprises dans le domaine de l’installation de centrales solaires photovoltaïques pour la production d’électricité raccordée au réseau et hors réseau, l’accréditation des centres de formation pour les centrales solaires photovoltaïques, l’accréditation des prestataires techniques dans le domaine de l’énergie photovoltaïque (bureau d’études/ingénieur conseil) en plus des certificats de conformité technique des panneaux photovoltaïques et des avantages fiscaux pour les équipements photovoltaïques.

Tous les organismes et entreprises concernés sont ainsi appelés à accéder à la plateforme numérique via le site web www.fte.nat.tn pour télécharger les différents documents soumis aux exigences susmentionnées, indique la même source.

Les entreprises et organismes disposant d’une accréditation valide recevront, quant à eux, un mot de passe et un compte de connexion à la plateforme numérique via leur adresse e-mail.

Pour les entreprises souhaitant obtenir une nouvelle accréditation (même si elles ont déposé un dossier de demande auprès du bureau central de contrôle de l’agence avant l’émission de cette communication) ou les fournisseurs de panneaux photovoltaïques n’intervenant pas dans l’installation de centrales solaires photovoltaïques et souhaitant obtenir des certificats de conformité technique, sont tenus de s’inscrire sur la plateforme pour obtenir leurs identifiants de connexion.

Avec TAP

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L’Allemagne interdit le gaz russe dans ses ports

15. November 2024 um 11:30

Le ministère allemand de l’Economie a ordonné aux terminaux gaziers publics de refuser les cargaisons russes de gaz naturel liquéfié (GNL). C’est ce que rapporte, jeudi 14 novembre 2024, le Financial Times. A noter que l’UE a interdit les opérations de réexportation de GNL russe via l’Union. Mais les livraisons destinées à être utilisées au sein de l’UE ne sont pas affectées.

La commande est intervenue après que Deutsche Energy Terminal a informé le gouvernement de Berlin que son unité flottante de regazéification et de stockage à Brunsbuttel devait recevoir une livraison de GNL russe, selon le rapport.

Dans une lettre du ministère datée du 6 novembre, le ministère allemand de l’Économie a demandé à Deutsche Energy Terminal « de n’accepter aucune livraison de GNL russe », écrit le média, citant le document.

Le ministère a attribué l’ordre à la nécessité de protéger « les intérêts publics primordiaux » du pays. De même qu’il a exhorté l’opérateur « à refuser les livraisons de GNL en provenance de Russie jusqu’à nouvel ordre ».

La lettre souligne également que l’acceptation du GNL russe serait en contradiction avec la raison première pour laquelle le terminal GNL a été construit, à savoir rendre l’Allemagne et l’UE « indépendantes du gaz russe ».

L’Allemagne a bénéficié de l’énergie russe bon marché pendant plus de deux décennies. Ainsi, avant l’invasion ukrainienne par la Russie en 2022, la première économie de l’UE dépendait de la Russie pour 40 % de ses importations de gaz et fut l’une des plus durement touchées par les réductions d’approvisionnement.

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Energie renouvelable: Les services du Fonds de Transition énergétique désormais numérisés

15. November 2024 um 09:22

Les activités et services du Fonds de Transition énergétiques (FTE) sont désormais numérisés a annoncé, jeudi, l’Agence nationale de maîtrise de l’énergie, précisant que cette action visant à simplifier les procédures administratives est en vigueur depuis le 11 novembre 2024. Cette mesure vise également à améliorer la qualité de ses services et à rendre plus efficace le traitement des différentes demandes émises par les institutions et les entreprises actives dans le domaine des énergies renouvelables, a ajouté l’agence dans un communiqué.

A travers cette procédure, l’ANME projette de délivrer des certificats relatifs à l’accréditation des entreprises dans le domaine de l’installation de centrales solaires photovoltaïques pour la production d’électricité raccordée au réseau et hors réseau, l’accréditation des centres de formation pour les centrales solaires photovoltaïques, l’accréditation des prestataires techniques dans le domaine de l’énergie photovoltaïque (bureau d’étude/ingénieur conseil) en plus des certificats de conformité technique des panneaux photovoltaïques et des avantages fiscaux pour les équipements photovoltaïques.

Toutes les entreprises et organismes concernés sont ainsi appelés à accéder à la plateforme numérique via le site web www.fte.nat.tn pour télécharger les différents documents soumis aux exigences susmentionnées, indique la même source.

Les entreprises et organismes disposant d’une accréditation valide recevront, quant à eux, un mot de passe et un compte de connexion à la plateforme numérique via leur adresse e-mail.

Pour les entreprises souhaitant obtenir une nouvelle accréditation (même si elles ont déposé un dossier de demande auprès du bureau central de contrôle de l’agence avant l’émission de cette communication) ou les fournisseurs de panneaux photovoltaïques n’intervenant pas dans l’installation de centrales solaires photovoltaïques et souhaitant obtenir des certificats de conformité technique, sont tenus de s’inscrire sur la plateforme pour obtenir leurs identifiants de connexion.

Avec TAP

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ARP – Budget du ministère de l’Industrie: nécessité d’améliorer la production de phosphate

15. November 2024 um 08:30

La ministre Fatma Thabet Chiboub a présenté les priorités stratégiques du ministère de l’industrie, mettant l’accent sur la sécurité énergétique, la décarbonation, l’équité et le développement économique.

Les principaux axes comprennent l’amélioration du climat de l’investissement, la transition numérique, l’internationalisation et la relance de la production de phosphates. Les discussions ont porté sur des enjeux cruciaux tels que les fermetures d’usines, le chômage régional, les difficultés de création de zones industrielles et la gestion des déchets.

En outre, la ministre a souligné l’importance du soutien aux entreprises en difficulté, de l’aménagement de zones industrielles, de la restructuration d’entreprises publiques et du développement des énergies renouvelables. L’amélioration des services de la société d’électricité et de gaz figure également parmi les priorités présentées devant l’ARP.

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Algérie – Turquie : Murat Ozcelik chez Mohamed Arkab

14. November 2024 um 15:21

Le ministre algérien de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab, a reçu, jeudi 14 novembre, Murat Ozcelik, président de la société minière turque « Has Ozcelik ».

Ils ont discuté xploré ensemble les possibilités de partenariat entre l’entreprise turque et les acteurs algériens du secteur minier. Cette nouvelle a été annoncée dans un communiqué posté le ministère algérien de l’l’Énergie et des Mines.

Selon la même source, « les deux parties ont abordé les possibilités de coopération et d’investissement entre les entreprises du secteur minier. Telles que celles entre le Groupe Sonarim et la société turque Has Ozcelik, dans les domaines de l’exploitation et de la transformation des matières premières minières et minérales en Algérie », en présence de ses cadres.

D’après le communiqué mentionné ci-dessus, le ministre Mohamed Arkab a souligné à cette occasion les « importantes » possibilités d’investissement et de partenariat en Algérie. Et ce, dans la recherche, l’exploration, l’exploitation, ainsi que la transformation des ressources minières ferreuses et non ferreuses. A la faveur du climat d’investissement propice offert par la nouvelle loi sur l’investissement et les bonnes relations existant entre les entreprises du secteur et les entreprises turques dans le domaine de l’énergie et des mines ».

Murat Ozcelik a, quant à lui, mis en avant « le grand intérêt que sa société porte à l’investissement en Algérie, notamment dans l’exploitation et la transformation des ressources minières telles que le phosphate, l’or, le feldspath et l’aluminium. Outre la réalisation d’infrastructures et la fabrication locale d’équipements à travers des projets de partenariat mutuellement bénéfiques ».

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Marokko – Ministerin erläutert Planungen für Energiesicherheit

Von: maghreb
09. November 2024 um 10:01

EnergieLeila Benali erläutert Haushaltsplanungen ihres Ministers und nennt neue Zahlungen zum Energiemix und Lagerbestände. Grüne Energie hat einen Anteil von 44,3% am Energiemix. Rabat – Marokkos Energieministerin Leila Benali stellte kürzlich vor dem Parlament die Pläne für eine nachhaltige Energiezukunft des Landes vor. Dabei betonte sie den Ausbau erneuerbarer Energien und die Schaffung zusätzlicher Lagerkapazitäten […]

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Tunisie : l’inflation se stabilise à 6,7%

06. November 2024 um 11:53

Le taux d’inflation en Tunisie est resté stable à 6,7%, en octobre 2024, a annoncé l’Institut National de la Statistique (INS), mardi 5 novembre 2024.

Cette relative stabilité, l’INS l’explique d’une part, par l’accélération du rythme d’augmentation des prix du groupe restaurants, cafés et hôtels en glissement annuel (11,1% en octobre 2024, contre 8,8% en septembre) et des prix des produits alimentaires (9,3% en octobre contre 9,2% en septembre), et d’autre part par le ralentissement du rythme d’augmentation des prix de l’habillement et chaussures (9,5% en octobre contre 9,7% en septembre).

En fait, les prix des produits alimentaires ont augmenté, en glissement annuel, de 9,3%, en raison de l’augmentation des prix des viandes ovines de 21,4%, des fruits secs de 15,2%, des volailles de 14,1%, des poissons frais de 13,9%, des légumes de 13,1%, des viandes bovines de 11% et des fruits 6,8%. En revanche, ceux des œufs ont diminué de 5,7%.

Pour ce qui est des prix des produits manufacturés, ils ont augmenté de 6%, sur un an, suite à la hausse des prix des produits de l’habillement et chaussures de 9,5% et des produits d’entretien courant du foyer de 8,1%.

Pour les services, l’augmentation des prix est de 5,4% sur un an. Elle est principalement due à la hausse des prix du groupe restaurant, cafés et hôtels de 11,1%.

En ce qui concerne le taux d’inflation sous-jacente (hors produits alimentaires et énergie), il a augmenté, en octobre 2024, à 6,3% contre 6,2% le mois précédent.

Les prix des produits libres (non encadrés) ont évolué de 7,7% sur un an, tandis que les prix des produits encadrés sont accrus, quant à eux, de 3,5%. Les produits alimentaires libres ont connu une hausse de 10,3% contre 2,4% pour les produits alimentaires à prix encadrés.

Les prix à la consommation + 0,8% sur un mois

Au mois d’octobre 2024, les prix à la consommation ont augmenté de 0,8% par rapport au mois de septembre 2024, suite à la hausse des prix du groupe habillement et chaussures de 6,2%, des prix du groupe restaurants, cafés et hôtels de 2,5% et des prix des produits alimentaires de 0,2%.

Il convient de noter que la hausse des prix des produits alimentaires (+ 0,2%), sur un mois est due à l’accroissement des prix des volailles de 1,1%, des œufs de 1,1%, des légumes frais de 1%, des fruits frais de 0,5% et des poissons frais de 0,5%. En revanche, les prix des huiles alimentaires ont diminué de 2,1%.

Quant à l’augmentation des prix du groupe restaurants, cafés et hôtels (+2,5%), elle est attribuée à la hausse des prix de service restaurants et cafés de 3,2%.

S’agissant de la hausse des prix des produits du groupe habillement et chaussures (+6,2%), elle est expliquée par la fin des soldes d’été. Ainsi les prix des articles d’habillement ont augmenté de 6,1%, ceux des chaussures de 7,3%, ceux des tissus de 1% et ceux des accessoires divers de 2%.

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