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Heute — 11. August 2025Haupt-Feeds

Le pétrole chute en prévision de la rencontre Trump-Poutine

11. August 2025 um 11:52

Les prix du pétrole ont chuté, lundi 11 août 2025, dans les échanges asiatiques, prolongeant leurs pertes de plus de 4 % la semaine dernière. Et ce, alors que les investisseurs attendent l’issue des discussions entre les États-Unis et la Russie prévues le 15 août en Alaska.

Les contrats à terme sur le brut Brent ont chuté de 33 cents, soit 0,5 %, à 66,26 dollars le baril. Tandis que les contrats à terme sur le brut américain West Texas Intermediate (WTI) ont chuté de 39 cents à 63,49 dollars le baril.

Les attentes d’une éventuelle fin des sanctions qui ont restreint l’approvisionnement en pétrole russe sur les marchés mondiaux ont augmenté. Et ce, après que le président américain Donald Trump a déclaré qu’il rencontrerait son homologue russe, Vladimir Poutine.

Cette décision intervient alors que les États-Unis intensifient leur pression sur la Russie, évoquant la possibilité de nouvelles sanctions contre Moscou si un accord de paix n’est pas conclu.

« Si les pourparlers de paix échouent et que le conflit s’éternise, le marché pourrait rapidement monter en flèche. Ce qui pourrait entraîner de fortes augmentations des prix du pétrole ». C’est ce qu’a déclaré Sugandha Sachdeva, fondateur de SS Wealth Street, un cabinet de recherche basé à New Delhi.

Sous l’influence de prévisions économiques sombres, le brut Brent a chuté de 4,4 % au cours de la semaine se terminant vendredi. Tandis que le brut West Texas Intermediate a chuté de 5,1 %.

« L’orientation à court terme dépendra de plusieurs événements clés. Avec notamment la rencontre entre les présidents américain et russe le 15 août. Mis aussi les déclarations des responsables de la Réserve fédérale et la publication des données de l’IPC américain », conclut M. Sachdeva.

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Le pétrole rebondit après son plus bas niveau en 5 semaines

06. August 2025 um 10:31

Les prix du pétrole rebondissent après un plus bas de cinq semaines, en raison des inquiétudes concernant les perturbations de l’approvisionnement suite aux menaces du président américain Donald Trump d’imposer des tarifs douaniers à l’Inde pour ses achats de brut russe. 

Les contrats à terme sur le brut Brent ont augmenté de 29 cents, soit 0,4 %, à 67,93 dollars le baril, tandis que le brut américain West Texas Intermediate a augmenté de 28 cents, soit 0,4 %, à 65,44 dollars le baril.

Les deux contrats à terme sur le pétrole brut ont chuté de plus de 1 dollar mardi 5 août, atteignant un plus bas de cinq semaines et subissant des pertes pour une quatrième séance, en raison des inquiétudes concernant une surabondance de l’offre causée par une augmentation de la production de l’OPEP+ prévue pour septembre.

« Les investisseurs évaluent si l’Inde réduira ses achats de brut russe en réponse aux menaces de Trump, ce qui pourrait conduire à une réduction de l’offre, mais il reste à voir si cela se produira réellement », a déclaré Yuki Takashima, économiste chez Nomura Securities. « Si les importations de l’Inde restent stables, le WTI devrait probablement rester dans la fourchette de 60 à 70 dollars pour le reste du mois », a ajouté Takashima.

L’alliance OPEP+, qui comprend l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et ses alliés, a convenu dimanche 3 août d’augmenter la production de pétrole de 548 000 barils par jour en septembre, une décision qui mettra fin à la dernière réduction de production plus tôt que prévu.

L’OPEP+ pompe environ la moitié du pétrole mondial et réduit sa production depuis plusieurs années pour soutenir le marché, mais a entrepris une série d’augmentations rapides de sa production cette année pour regagner des parts de marché.

Les flux d’approvisionnement pourraient être perturbés par les exigences américaines visant à ce que l’Inde cesse d’acheter du pétrole russe, alors que Washington tente de pousser Moscou à conclure un accord de paix avec l’Ukraine. Ces exigences pourraient inciter les raffineurs indiens à rechercher des alternatives et à réorienter le brut russe vers d’autres acheteurs.

A noter que Trump a de nouveau menacé,le 5 courant, d’imposer des droits de douane plus élevés sur les produits indiens dans les prochaines 24 heures en raison des achats de pétrole russe par le pays. Il a également déclaré que la baisse des prix de l’énergie pourrait inciter le président russe Vladimir Poutine à mettre fin à la guerre en Ukraine.

New Delhi a qualifié la menace de Trump d’« injustifiée » et s’est engagé à protéger ses intérêts économiques…

Par ailleurs, des sources, citant des chiffres de l’American Petroleum Institute, indiquent que les stocks de brut américains avaient diminué de 4,2 millions de barils la semaine dernière…

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Pétrole : le Brent et le WTI en baisse après l’annonce d’une hausse de production par l’Opep+

04. August 2025 um 14:28

Le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en octobre, reculait de 1,15% à 68,87 dollars lundi, tandis que son équivalent américain, le West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en septembre, cédait 1,22% à 66,51 dollars.

Les analystes évoquent un rééquilibrage du marché en prévision d’une offre plus soutenue au quatrième trimestre, à la faveur de la hausse de production annoncée dimanche par l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+).

Les membres de l’OPEP+ ont annoncé une hausse de leur production de 547.000 barils par jour en septembre 2025.

 

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L’OPEP+ va augmenter sa production quotidienne de pétrole

04. August 2025 um 09:44

L’OPEP+ a accepté le principe d’augmenter sa production quotidienne de pétrole de 548 000 barils en septembre, selon deux sources de l’organisation. Et ce, alors qu’elle achève l’assouplissement de son plus important programme de réduction de la production de pétrole, suite aux craintes de nouveaux problèmes d’approvisionnement en pétrole de la part de la Russie.

Une décision pertinente devrait être prise lors d’une réunion prévue dans l’après-midi du lundi 4 août.

Cette évolution intervient après que les États-Unis ont demandé à l’Inde de mettre fin à ses achats de pétrole russe, en vue de faire pression sur Moscou pour parvenir à un accord de paix en Ukraine.

A rappeler que l’imposition de nouvelles sanctions par l’Union européenne a poussé certains raffineurs publics indiens à suspendre leurs achats de pétrole russe.

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Les incohérences des politiques énergétiques de la Tunisie

31. Juli 2025 um 11:20

La nécessité de développer des modes de transport alternatifs et de renforcer les transports en commun a été soulignée par l’Observatoire tunisien de l’économie (OTE) dans une étude intitulée «Le secteur des transports : le chaînon manquant de la transition énergétique». (Ph. Bus de la Transtu : le transport public est le principal consommateur d’énergie finale en Tunisie).

Dans ce document, l’OTE souligne que la Tunisie souffre depuis plusieurs années d’un important déficit énergétique, qui a quadruplé entre 2016 et 2024, passant de -2 505 millions de dinars tunisiens (MDT) à -10 718 MDT.

Les produits pétroliers représentent la plus grande charge et le plus grand coût énergétique pour l’État, a également indiqué l’Observatoire, précisant que le secteur des transports était le principal consommateur d’énergie finale (carburants consommés pour les besoins du transport routier) en 2023, avec une part de 32%.

De plus, les produits pétroliers représentaient la moitié de la demande d’énergie primaire en 2024.

Malgré ces données, l’OTE estime que «les autorités restent impassibles, continuant de mettre en œuvre des politiques énergétiques parfois importées et déconnectées de la réalité et des besoins du pays. Elles agissent comme si la consommation de pétrole était inévitable, avec très peu d’alternatives viables.»

L’Observatoire appelle donc à revoir les priorités, à mettre en œuvre des politiques visant à réduire la dépendance aux produits pétroliers, à développer les modes de transport alternatifs et les transports publics, et à accroître les investissements dans le raffinage du pétrole afin d’améliorer le taux de couverture de la consommation intérieure.

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Le pétrole dévisse après la réponse mesurée de l’Iran aux frappes américaines

Les prix du pétrole poursuivent leur repli ce mardi, portés par l’accalmie relative dans les tensions entre l’Iran et les États-Unis. La riposte iranienne aux récentes frappes américaines, jugée symbolique, semble avoir éloigné le spectre d’une fermeture du détroit d’Ormuz, passage stratégique pour l’approvisionnement mondial en brut.

Lundi, l’Iran a tiré des missiles sur la base militaire américaine d’Al-Udeid, au Qatar – la plus importante du Moyen-Orient – en représailles aux frappes américaines menées ce week-end contre trois sites nucléaires iraniens. Toutefois, cette attaque n’a causé ni blessés ni pertes humaines, selon les autorités américaines.

Le président américain Donald Trump a qualifié cette riposte de « très faible » et a même remercié Téhéran d’avoir prévenu Washington « à temps », permettant d’éviter toute victime. Une réaction qui a contribué à détendre les marchés.

« Les frappes iraniennes étaient plus symboliques que destructrices », explique Ole Hvalbye, analyste chez SEB. Une lecture partagée par Jorge Leon, de Rystad Energy : « Le risque de fermeture du détroit d’Ormuz a nettement diminué, les tensions s’étant apaisées. »

Chaque jour, environ 20 millions de barils de pétrole – soit près de 20 % du commerce mondial – transitent par ce détroit, considéré comme l’un des points névralgiques du marché énergétique.

À 09h20 GMT,, le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en août, chutait de 3,30 %, à 69,12 dollars. Le WTI américain, pour la même échéance, perdait 3,28 %, à 66,26 dollars.

Malgré l’annonce par Donald Trump d’un cessez-le-feu accepté par les deux parties – confirmé par Israël –, le ministre israélien de la Défense a rapidement déclaré avoir ordonné une riposte à ce qu’il considère comme une « violation » de l’accord par l’Iran. Un flou persiste donc sur la suite des événements.

En attendant, la prime de risque géopolitique, qui avait alimenté la hausse des prix depuis la première frappe israélienne contre l’Iran il y a deux semaines, s’est « totalement évaporée », constate Tamas Varga, analyste chez PVM Energy.

Pour les analystes, un blocage total du détroit d’Ormuz reste improbable. Deux oléoducs stratégiques – l’un en Arabie saoudite, l’autre aux Émirats arabes unis – permettent déjà de détourner environ 6,5 millions de barils par jour de cette voie maritime, selon Sumit Ritolia, analyste chez Kpler.

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Fermeture du détroit d’Hormuz : un risque réel pour la Tunisie et l’économie mondiale

23. Juni 2025 um 17:46

Alors que les tensions militaires s’aggravent entre Téhéran et Washington, la menace d’une fermeture du détroit d’Hormuz inquiète les marchés. Intervenant ce lundi 23 juin 2025 dans l’émission Midi Show sur les onde de Mosaïque FM, l’économiste Ridha Chkoundali a mis en lumière les possibles répercussions de ce scénario sur les échanges internationaux, mais aussi sur la situation économique tunisienne.

Une zone clé sous pression

Chaque jour, environ un cinquième du pétrole et du gaz mondial passe par le détroit d’Hormuz. Ce couloir maritime est donc vital pour l’approvisionnement en énergie. L’Iran menace de le fermer pour répondre aux attaques américaines contre ses installations nucléaires. Selon Chkoundali, ce geste s’inscrit dans une montée des tensions. L’Iran pourrait aussi viser des bases américaines dans la région.

Des prix du pétrole en forte hausse

Si l’Iran bloque le détroit, les prix du pétrole grimperont vite. Les assurances maritimes coûteront plus cher à cause du risque. Les compagnies devront revoir leurs routes, ce qui augmentera les coûts. Plusieurs pays voisins de l’Iran, comme l’Arabie saoudite, l’Irak ou le Koweït, enverront moins de pétrole. Cela réduira l’offre mondiale et fera monter les prix.

Une situation difficile pour la Tunisie

La Tunisie achète presque toute son énergie à l’étranger. Une hausse du pétrole aura donc un impact direct. Les prix des produits augmenteront, ce qui réduira le pouvoir d’achat. Le gouvernement ne pourra sans doute pas atteindre son objectif de croissance de 3,2 %.

En réponse à l’inflation, la Banque centrale pourrait encore augmenter son taux directeur. Cela rendrait les crédits plus chers pour les entreprises et les ménages. Le déficit commercial, qui s’était amélioré, repartira à la hausse. Le dinar tunisien risque alors de perdre de sa valeur face à l’euro et au dollar. La politique d’autonomie économique pourrait aussi en souffrir.

Une réponse collective nécessaire

Ridha Chkoundali appelle le gouvernement à agir vite. Il recommande à tous les acteurs économiques de travailler ensemble. Une bonne coordination permettra de limiter les dégâts. Il faut aussi chercher des solutions adaptées à la situation.

En résumé, une fermeture du détroit d’Hormuz aurait des effets en chaîne. La Tunisie, comme d’autres pays, devra s’adapter pour faire face à cette crise.


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Tunisie : La production de pétrole brut recule de 5%

La production nationale de pétrole brut a enregistré un repli de 5% sur un an, selon les dernières données de l’Observatoire national de l’énergie et des mines. Plusieurs champs pétroliers clés sont en nette baisse, malgré quelques hausses localisées.

La production tunisienne de pétrole brut a atteint 438 kilotonnes (kt) à fin avril 2025, soit une diminution de 5% par rapport à la même période en 2024, selon le rapport de conjoncture énergétique publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Cette baisse résulte principalement d’un repli de la production sur la majorité des principaux champs pétroliers, notamment : Nawara (-42%), El Hajeb/Guebiba (-29%), Ashtart (-16%), Cherouq (-14%), Miskar (-11%), Hasdrubal (-9%), Gherib (-21%) et Barka (-67%).

Malgré cette tendance générale à la baisse, quelques champs ont enregistré une hausse notable de leur production, dont Ezzaouia (+242%), D.S.T. (+66%), M.L.D. (+20%) et El Borma (+4%).

Ces progressions, bien que significatives pour certains sites, n’ont pas suffi à compenser le recul global de la production nationale.

Le rapport indique également une baisse de la production journalière moyenne, qui est passée de 29,8 mille barils/jour à fin avril 2024 à 27,3 mille barils/jour un an plus tard. Ce niveau reste bien en dessous des seuils historiques et souligne les défis structurels auxquels fait face le secteur pétrolier tunisien.

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