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Qair Tunisie : moteur de la transition énergétique durable et innovante

17. Oktober 2025 um 21:24

Qui dit transition énergétique, dit une dynamique alliant innovation technologique et préservation environnementale. C’est dans ce contexte que le navire-laboratoire Energy Observer fait escale à Tunis, organisée par Qair Tunisie.

Ce projet inédit illustre la volonté d’instaurer un modèle durable, conciliant énergies renouvelables performantes et sauvegarde des écosystèmes marins méditerranéens, notamment les herbiers de posidonie, essentiels à la séquestration du carbone bleu.

A cet effet, Qair Tunisie, acteur majeur des énergies propres, développe plusieurs initiatives phares qui répondent à l’objectif national de 30% d’énergies renouvelables à l’horizon 2035.
Trois experts contribuent à éclairer ces enjeux : Frans Schuman, Directeur de la Communication du Groupe Qair, Simon Marilleau, Chef de Projets chez Qair Tunisie, et Vincent Reynaud, Ingénieur Système à bord d’Energy Observer.

Frans Schuman, Directeur de la Communication du Groupe Qair,

Frans Schuman, Directeur de la Communication du Groupe Qair revient sur l’importance de  l’investissement  dans les énergies renouvelables. Car l’inaction coûterait bien plus cher à long terme.

 

Il convient de noter que le groupe Qair est implanté dans une vingtaine de pays, dont plusieurs en Afrique, avec une capacité installée actuelle de 85 MW sur le continent et une ambition forte d’atteindre 500 MW dans les cinq prochaines années, notamment en Tunisie, au Maroc, au Tchad, au Burkina Faso et à l’île Maurice. Cette croissance rapide s’inscrit dans un objectif global de 3 GW installés dans le monde d’ici 2030, contre 1,7 GW aujourd’hui.

 

Pour Qair, la transition énergétique n’est pas seulement une nécessité environnementale, mais aussi un levier économique.

Le groupe mise sur l’innovation, en développant des solutions de stockage par batteries lithium (BESS) et par hydrogène, pour pallier le caractère intermittent du solaire et de l’éolien, et stabiliser l’électricité destinée aux grands consommateurs industriels via des contrats à long terme. Cette expertise, déjà éprouvée en Europe, accompagne désormais la stratégie énergétique tunisienne dans le cadre d’appels d’offres publics qui favorisent l’injection d’électricité renouvelable au réseau national.

Simon Marilleau : une expertise locale pour valoriser le potentiel solaire tunisien

Présent en Tunisie depuis 2015, Simon Marilleau, Chef de Projets chez Qair Tunisie, met en lumière les réalisations concrètes sur le terrain. Responsable de la réalisation de deux centrales photovoltaïques dans la région de Kasserine, totalisant 20 MW capables d’alimenter environ 30 000 personnes, il évoque également les projets à venir dans les régions de Gafsa et Sidi Bouzid.

Le choix de ces zones s’appuie sur un fort potentiel solaire et la disponibilité de terrains adéquats : terrains privés pour Gafsa, terrains publics mis à disposition par le ministère de l’Énergie à Sidi Bouzid.

Selon Simon Marilleau, la Tunisie, encore largement dépendante à 97% du gaz naturel pour sa production d’électricité, vise une transition ambitieuse avec un objectif de 30% d’énergies renouvelables à l’horizon 2030-2035. Qair ambitionne de jouer un rôle clé en produisant près de 4,5% de l’électricité nationale dès fin 2027, avec une montée en puissance prévue pour atteindre 7% d’ici 2029 et potentiellement près de 10% en 2030.
Ces projets illustrent la contribution active de Qair au développement d’un mix énergétique propre, nécessaire pour réduire l’empreinte carbone tunisienne tout en créant des emplois locaux et en renforçant les compétences techniques du pays.

Vincent Reynaud, ingénieur système du navire Energy Observer

Pour sa part, Vincent Reynaud, ingénieur système du navire Energy Observer, apporte un témoignage personnel sur l’escale tunisienne de ce bateau innovant. Depuis 2021, il est responsable de la maintenance et de l’évolution technologique du navire. Bien qu’entrant dans le milieu marin avec un profil de montagnard, il souligne les défis techniques liés à l’environnement marin, particulièrement agressif pour les équipements en raison de l’humidité et de la salinité. Le bateau offre un véritable banc d’essai à ces technologies, combinant hydrogène produit à bord, panneaux solaires intégrés à la coque, et énergie éolienne.

L’escale à Tunis a également marqué une étape cruciale pour le projet scientifique mené à Bizerte, où Energy Observer collabore avec des chercheurs de l’Université de Tunis et des pêcheurs locaux afin d’étudier le carbone bleu séquestré par les herbiers de posidonie. Ces écosystèmes marins jouent un rôle vital dans la lutte contre le réchauffement climatique en stockant le CO₂, ce qui fait de leur protection une priorité dans la stratégie de transition énergétique méditerranéenne.

L’événement regroupant ces acteurs, en présence de hauts responsables comme Manel Akremi (STEG – ER), Anne Gueguen (Ambassadrice de France en Tunisie), et des représentants des institutions tunisiennes et européennes, symbolise un tournant concret pour la Tunisie.

Photo de groupe prise sur le bateau avec, de gauche à droite : Manel Akremi, Directrice Administrative et Financière STEG , Anne Gueguen, Ambassadrice de France en Tunisie, Clément Arbib, Responsable du Développement Qair Tunisie, Khélil Chaïbi, Président CCI Tuniso-Française, Marie Colonna Renucci, Chancellerie Ambassade de France en Tunisie, Titouan Garnerin, Adjoint au Chef du Service économique régional de Tunis, Dario Trombetta, Chargé de Programmes Energie Climat Délégation de l’Union Européenne, Artus Precheur, Stagiaire Service économique régional de Tunis, Eric Boutemy, Directeur Qair Tunisie, Anne Persicke, Cheffe du secrétariat GIZ, Gilles Suzanne, Attaché de coopération universitaire Ambassade de France, Arnaud Guigné, Chef du Service économique régional de Tunis

En soutenant la transition énergétique via des appels d’offres compétitifs et en favorisant l’implication des communautés locales, Qair Tunisie affirme son rôle clé dans la construction d’un modèle énergétique méditerranéen durable, intelligent et respectueux des écosystèmes.

Cette démarche innovante, intégrant la création d’emplois, le renforcement des compétences locales et la collaboration scientifique, ambitionne de faire de la Tunisie un exemple de résilience climatique en Méditerranée.

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La Berd finance l’économie verte en Tunisie

17. Oktober 2025 um 10:41

La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd) a annoncé, le 14 octobre 2025, le lancement, en collaboration avec l’Union européenne (UE), du Mécanisme de financement de l’économie verte (MFEV) en Tunisie, afin de «renforcer la compétitivité du secteur privé et de soutenir la transition du pays vers une économie verte».

Selon la Berd, «cette initiative historique, la première du genre en Tunisie, permettra d’octroyer 59 millions d’euros de prêts senior non garantis à un maximum de six institutions financières locales, qui les accorderont aux micro, petites et moyennes entreprises.»

«Ce financement sera destiné aux investissements dans l’efficacité énergétique, les énergies renouvelables, l’adaptation au changement climatique et l’économie circulaire», ajoute la banque.

Ce nouveau programme bénéficie également du soutien du TCX Fund, qui fournit des produits de couverture de change aux emprunteurs des marchés émergents et frontaliers, et offrira aux banques tunisiennes un mécanisme de couverture de change à taux réduit, soutenu par l’UE.

Au cours des trois dernières décennies, la Tunisie a connu une augmentation des émissions de gaz à effet de serre, en grande partie due à une croissance industrielle à forte intensité énergétique.

Conscient de l’importance du développement durable, le pays a mis à jour ses Contributions déterminées au niveau national (CDN) en 2021, fixant l’objectif ambitieux de réduire l’intensité carbone de 45 % d’ici 2030. Le nouveau cadre du GEFF(Green Economy Financing Facilities) soutiendra cet objectif en permettant à davantage de PME d’investir dans les technologies d’adaptation et d’atténuation du changement climatique, contribuant ainsi à réduire significativement la consommation d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre. Ces investissements devraient permettre de réduire les émissions de CO2 de plus de 26 296 tonnes par an.

Ce mécanisme sera complété par un programme complet de coopération technique de la Berd et de l’UE, qui comprendra également des programmes de renforcement des capacités des institutions financières partenaires, l’accent étant mis sur la promotion de l’égalité d’accès au financement vert pour les femmes et les hommes. De plus, ce programme offrira des incitations aux investissements financés par l’UE aux sous-emprunteurs ayant mené à bien et vérifié l’adoption de technologies à haute performance.

À l’échelle mondiale, le programme GEFF opère à travers un réseau de 191 institutions financières locales dans 29 pays, soutenu par un financement de la Berd de 6,3 milliards d’euros.

Cela a permis à plus de 231 000 clients d’éviter conjointement plus de 10 millions de tonnes d’émissions de CO2 par an.

Depuis le début de ses opérations en Tunisie en 2012, la Berd a investi plus de 2,78 milliards d’euros dans 83 projets à travers le pays, dont 66 % dans le secteur privé.

D’après communiqué.

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Tunisie | Mesures en faveur de la transition énergétique (LF2026)

16. Oktober 2025 um 12:50

Le projet de loi de finances pour l’année 2026 comprend une série de mesures destinées à renforcer la transition énergétique et écologique, à travers le soutien aux investissements dans les énergies renouvelables, l’amélioration de l’efficacité énergétique, et la promotion de l’usage des véhicules électriques et hybrides.

L’article 46 prévoit que le Fonds de transition énergétique prendra en charge l’écart entre le taux d’intérêt appliqué aux prêts d’investissement et le taux moyen du marché, dans la limite de trois points, sans dépasser une marge de 3,5% et ce, pour la période allant du 1er janvier 2026 au 31 décembre 2028.

Cette mesure s’appliquera aux prêts destinés à l’investissement dans l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables, ainsi qu’aux crédits octroyés par la Banque tunisienne de solidarité (BTS Bank) pour l’acquisition de voitures électriques par les chauffeurs de taxi et les centres de formation en conduite automobile.

L’article 47 prévoit la réduction des droits de douane applicables à l’importation des panneaux solaires (code tarifaire 85.41) à 15%, afin d’encourager la production et l’installation d’équipements photovoltaïques sur le territoire.

L’article 49 introduit, lui, une série de mesures incitatives en faveur des véhicules équipés à la fois d’un moteur thermique et d’un moteur électrique rechargeable par une source d’énergie externe, dans le but de favoriser leur adoption et de réduire progressivement la dépendance du pays aux énergies fossiles.

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LEONI Tunisie lance un projet national d’énergie solaire avec Empower New Energy

13. Oktober 2025 um 16:22

Le directeur général de LEONI Tunisie, Mohamed Larbi Rouis, a signé un accord de partenariat avec la société norvégienne Empower New Energy, en présence de l’ambassadrice de Norvège en Tunisie et de représentants de l’ambassade de Chine. L’accord vise à lancer un projet national d’énergie solaire couvrant 10 sites industriels de LEONI Tunisie, dont Menzel Hayet, Ksar El Kebir, Mateur et Msaken, en partenariat avec AR Solaire, spécialisée dans les systèmes photovoltaïques.

Réduction de la facture d’électricité et durabilité

Le projet constitue une étape clé dans le processus de transition énergétique durable de LEONI Tunisie. Il permettra de réduire la facture d’électricité de 40 %, soit environ 9,1 millions de dollars par an, pour un investissement total de 86 millions de dollars. La capacité de production totale est de 7,5 MW crête, avec une production annuelle estimée à 12,4 GWh, équivalant à l’absorption du CO₂ de milliers d’arbres par an ou à la plantation d’une forêt de 400 000 arbres sur 25 ans.

Engagement environnemental et réduction de l’empreinte carbone

Lors de la cérémonie de signature, Mohamed Larbi Rouis a déclaré :

« Nous sommes très fiers d’être les premiers à signer un tel accord en Tunisie. C’est une véritable concrétisation de notre engagement vers les énergies renouvelables et de notre conscience de l’importance de protéger l’environnement et de réduire notre empreinte carbone. »

Leadership national en énergie durable

Avec ce projet, LEONI Tunisie confirme son rôle de leader national en matière de durabilité énergétique, son engagement à réduire les émissions de carbone et à améliorer l’efficacité énergétique de ses sites de production à travers le pays.

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À l’African ESG Summit, Wael Chouchène plaide pour une voie africaine

09. Oktober 2025 um 11:05

Le secrétaire d’État chargé de la Transition énergétique auprès du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Wael Chouchène, est intervenu lors de l’African ESG Summit, organisé par nos confrères de Managers et centré cette année sur le thème « AI X ESG : From Insight to Impact ».

Dans son intervention à l’African ESG Summit, M. Chouchène a souligné que le continent africain se trouve à un moment décisif où il doit transformer ses défis en opportunités et faire de la durabilité non pas un simple sauveur, mais un moteur de croissance, d’innovation et de souveraineté.

Le secrétaire d’Etat a insisté sur le fait que l’Afrique doit affirmer sa place dans la dynamique mondiale en tant que simple importateur de modèles, mais plutôt comme un acteur souverain porteur de solutions ancrées dans sa réalité et dans sa jeunesse. Le continent dispose des ressources naturelles, humaines et intellectuelles nécessaires pour tracer sa propre voie, dit-il. Car, l’Afrique représente notamment 60 % du potentiel solaire mondial, détient une quantité considérable de ressources critiques et bénéficie d’une population jeune et créative, fait-il savoir. Ces atouts doivent servir une vision de développement fondée sur la durabilité, la responsabilité et la confiance en ses propres capacités.

La Tunisie, pour sa part, s’inscrit pleinement dans cette dynamique, tient à souligner M. Chouchène. Sa stratégie industrielle et énergétique à l’horizon 2035 démontre un engagement clair pour une économie verte, la croissance inclusive et la préservation de l’environnement; ainsi qu’une participation active aux initiatives africaines et méditerranéennes.

Tunisie, pôle africain et euro-méditerranéen dans des secteurs stratégiques

Sur le plan industriel, la Tunisie s’est imposée comme un pôle africain et euro-méditerranéen dans plusieurs secteurs stratégiques. En effet, le pays compte plus de 6 000 entreprises industrielles, dont 2 000 sont totalement exportatrices et intégrées aux chaînes de valeur africaines et européennes.

La Tunisie bénéficie d’une main-d’œuvre hautement qualifiée, avec plus de 10 000 ingénieurs diplômés chaque année, dont environ 300 sont spécialisés dans la digitalisation.

Grâce à ses partenariats historiques avec l’Union européenne et son ancrage africain, la Tunisie est considérée comme un pont naturel entre l’Afrique et l’Europe, offrant une plateforme stratégique pour les investissements technologiques et la coopération industrielle. Ces réalisations traduisent une volonté claire d’être non seulement un acteur national engagé, mais aussi un partenaire africain de confiance et un centre continental de compétence.

Le thème du sommet, consacré à l’intelligence artificielle (IA) responsable, notamment dans le contexte de l’Industrie 4.0, résonne particulièrement avec les priorités nationales et régionales.

L’IA, si elle est bien encadrée, peut devenir un levier exceptionnel pour accélérer la transition énergétique, moderniser les industries et renforcer la transparence. Elle peut optimiser la gestion des réseaux électriques, améliorer la maintenance prédictive des infrastructures et renforcer l’efficacité énergétique.

Cependant, cette transformation numérique doit être responsable : elle doit respecter les principes éthiques, garantir la protection des données et, surtout, servir l’humain et le bien commun.

L’Industrie 4.0 ouvre la voie à une nouvelle ère de compétitivité en combinant numérisation, automatisation et énergie propre. L’objectif est de bâtir des modèles industriels sobres, résilients et inclusifs, capables de créer de la valeur localement tout en renforçant la souveraineté énergétique et technologique des pays africains.

Le secrétaire d’État a rappelé lors de l’African ESG Summit qu’aucune stratégie ESG ni aucun modèle de croissance durable ne peut réussir sans énergie. L’énergie étant la condition de toute transformation, la transition énergétique constitue la colonne vertébrale de la politique nationale tunisienne.

En Tunisie, une transformation structurelle a été engagée pour accélérer le déploiement des énergies renouvelables, moderniser les infrastructures électriques et mobiliser l’investissement, qu’il soit public ou privé.

M. Chouchène a affirmé que l’énergie verte est un choix de souveraineté, de compétitivité et d’avenir. Elle crée de l’emploi, soutient l’innovation industrielle et offre aux jeunes ingénieurs des perspectives concrètes dans leur propre pays. Dans ce contexte, des cadres réglementaires sont développés pour favoriser l’investissement durable, la transparence et la responsabilité totale. Alignant ainsi les politiques économiques nationales sur les objectifs de durabilité.

En outre, il exhorte l’Afrique à écrire sa propre transition, fondée sur la solidarité régionale, l’innovation partagée et l’exploitation de ses ressources. Il a insisté sur le fait que l’Afrique doit être un espace d’investissement durable, de technologie et de compétence, conditions essentielles pour s’imposer comme un acteur stratégique dans la construction de l’ordre mondial.

La responsabilité collective est de bâtir une Afrique qui produit son énergie, valorise ses données et forme ses talents. Tout en conjuguant intelligence artificielle, industrie innovante et énergie verte pour une croissance souveraine et responsable.

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Tunisie – Transition énergétique : 25 experts formés à la norme ISO 50001

11. August 2025 um 18:59

Ce lundi 11 août, la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a remis des certificats aux experts formés à la gestion de l’énergie. Cette formation suit la norme internationale ISO 50001.

La cérémonie s’est tenue au ministère, en présence du secrétaire d’État Wael Chouchane, de la cheffe de cabinet Afaf Chachi Tayari et des représentants de l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ).

Ce programme fait partie du projet « Croissance Qualitative pour l’Emploi » (CQE). Lancé en février 2022, il vise à moderniser l’industrie tunisienne. Le projet aide les entreprises à devenir plus compétitives et à mieux gérer leur consommation d’énergie.

Au total, 45 personnes du secteur public et privé ont suivi cette formation. Parmi elles, 25 ont obtenu une certification officielle. De plus, 22 entreprises industrielles ont reçu un soutien pour mettre en place un système de gestion de l’énergie conforme à la norme ISO 50001.

La ministre a souligné l’importance de former des experts nationaux. Ces experts aideront les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique. Elle a aussi salué l’effort de tous pour construire un avenir industriel durable et respectueux de l’environnement.

La norme internationale ISO 50001 est un cadre volontaire de management de l’énergie qui aide les organisations à améliorer leur performance énergétique, réduire leurs coûts et leurs émissions de gaz à effet de serre (GES).

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ANME : Qui est Nafaa Baccari, le nouveau visage de la transition énergétique en Tunisie ?

06. August 2025 um 08:45

Le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie a annoncé, dans un communiqué publié ce mardi, la nomination de Nafaa Baccari au poste de directeur général de l’Agence nationale pour la maîtrise de l’énergie (ANME), en remplacement de Fethi Hanchi.

Cette décision intervient dans le cadre d’une série de changements à la tête de certaines institutions relevant du ministère, visant à insuffler une nouvelle dynamique dans le secteur de l’énergie, notamment en matière de transition énergétique et d’efficacité énergétique.

La nomination de Nafaa Bakkari, qui possède une solide expérience dans le domaine énergétique, s’inscrit dans une volonté de renforcer le rôle stratégique de l’ANME dans la mise en œuvre des politiques nationales en matière d’énergies renouvelables, de rationalisation de la consommation énergétique et de développement durable.

Nafaa Baccari, ingénieur diplômé de l’École nationale d’ingénieurs de Monastir (ENIM), possède plus de 27 ans d’expérience au sein de l’Agence nationale pour la maîtrise de l’énergie (ANME), qu’il a intégrée en 1997.

Spécialiste reconnu dans le domaine des énergies renouvelables, il a occupé plusieurs postes de responsabilité, dont ceux de directeur de l’énergie solaire puis de directeur des énergies renouvelables entre 2018 et 2021.

Il a notamment piloté le programme stratégique Tunisian Wind Energy Development (TWED), financé par le Global Environment Facility (GEF), visant à structurer le secteur éolien privé en Tunisie. Cofondateur et président de l’Association tunisienne de l’énergie éolienne (TWEA) depuis 2012, Nafaa Baccari s’est imposé comme l’un des acteurs clés de la transition énergétique en Tunisie.

Sa nomination à la tête de l’ANME traduit la volonté des autorités de renforcer la stratégie nationale en matière d’efficacité énergétique et de développement durable.

Lire aussi : L’hydrogène vert : une stratégie tunisienne axée sur le partenariat

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