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STEG-BEI : une convention majeure pour booster le projet ELMED

03. Oktober 2025 um 08:01

Un accord de don financé par l’Union européenne, d’une valeur de 12 millions d’euros (environ 41 millions de dinars), a été signé jeudi 2 octobre entre la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) et la Banque européenne d’investissement (BEI).

Cet appui technique s’inscrit dans le cadre de la réalisation du projet d’interconnexion électrique entre la Tunisie et l’Italie (ELMED), dont le coût global est estimé à environ 1 milliard d’euros, selon la STEG. Ce projet vise à établir une interconnexion directe entre les réseaux électriques tunisien et italien, à renforcer le réseau national de l’électricité, à encourager l’investissement dans les énergies renouvelables et à contribuer à la sécurité énergétique.

L’accord a été signé par le PDG de la STEG, Faycel Trifa, le chef de division de la BEI pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Ulrich Brunnhube. Et ce, en présence de l’ambassadeur de l’Union européenne en Tunisie, Giuseppe Perrone, de la commissaire européenne pour la Méditerranée, Dubravka Suica, du directeur du bureau de la BEI, Jean-Luc Revereault, ainsi que de représentants de la délégation de l’UE à Tunis, du bureau de la BEI, du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie et de la STEG.

Avec TAP

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A son tour, le Kenya relance son projet de barrage sur la rivière Tana

02. Oktober 2025 um 17:45

Avec le soutien de la compagnie d’électricité publique du Kenya, Kenjin, et de potentiels partenaires chinois, le Kenya relance son ambitieux projet hydroélectrique de 700 mégawatts sur le barrage de High Grand Falls sur la rivière Tana. Ce qui en fera le troisième plus grand projet d’Afrique de l’Est, après le barrage de la Renaissance (Ethiopie) et le projet Nyerere en Tanzanie.

Bien que sa taille ne représente qu’un cinquième de celle du Grand Barrage de la Renaissance éthiopienne; le projet représente une étape stratégique vers le renforcement de la sécurité énergétique du pays.

Alors que la concurrence régionale s’intensifie, le Kenya cherche à réduire sa dépendance aux importations d’électricité, notamment d’Éthiopie. Et ce, grâce à ce projet de barrage qui pourrait avoir une capacité de 1 000 mégawatts, selon la presse locale.

Le projet, qui comprend également un volet d’irrigation, devrait être achevé d’ici cinq ans et son coût est estimé à environ 2,75 milliards de dollars.

Suite à l’annulation du contrat de la société britannique GBM Limited en juillet 2025 en raison de son incapacité à financer, Kingin travaille à la création d’une entité de financement privée pour reprendre le projet, au milieu de spéculations sur une collaboration avec des entreprises chinoises qui dominent le financement des infrastructures dans la région.

Les partenaires chinois en première ligne

Alex Wachira, sous-secrétaire à l’Energie du Kenya, a déclaré que son pays cherchait à s’associer à des entreprises chinoises qui ont la « capacité financière », citant leur rôle dans la construction de barrages en Éthiopie et en Tanzanie.

Il a ajouté : « Nous ne voulons pas de l’entreprise britannique, car elle n’a pas réussi à mettre en œuvre ses plans et n’a pas eu suffisamment de financement. »

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Tunisie – Sécurité énergétique : L’État lance son plan d’action

Le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie a donné ce mardi le coup d’envoi aux travaux du comité transversal pour la sécurité énergétique, un nouvel organe chargé de coordonner les orientations nationales en matière d’énergie dans le cadre de l’élaboration du plan de développement 2026-2030.

Cette première réunion, tenue au siège du ministère, a été présidée par la ministre Fatma Thabet Chiboub, en présence du secrétaire d’État à la transition énergétique, Wael Chouchane, et de la cheffe de cabinet, Afef Chechi Tayari. Y ont également participé des représentants des ministères des Finances, de l’Économie et du Plan, ainsi que des responsables d’institutions publiques et d’experts de l’Institut tunisien de la compétitivité et des études quantitatives.

À l’ordre du jour : présentation de la composition du comité, définition de sa méthodologie de travail et premières discussions sur les axes de renforcement du secteur énergétique, considéré comme un pilier stratégique de l’économie nationale.

Dans son intervention, la ministre a insisté sur la nécessité de construire une vision énergétique intégrée, en harmonie avec l’approche préconisée par le président de la République, axée sur un développement de proximité, centré sur le citoyen. Elle a appelé à une synergie renforcée entre les institutions concernées pour accélérer la transition vers un nouveau modèle énergétique fondé sur la diversification des sources.

Mme Thabet Chiboub a également souligné l’importance d’un plan capable de répondre aux défis actuels, tout en assurant la durabilité des entreprises publiques. Elle a plaidé pour la stimulation des investissements dans les hydrocarbures et les énergies alternatives, et pour une mise en œuvre rapide des réformes législatives permettant d’atteindre les objectifs du prochain quinquennat.

Créé dans le cadre de la préparation du plan 2026-2030, le comité transversal est chargé d’élaborer des recommandations concrètes pour garantir la sécurité énergétique à moyen et long terme. Il évaluera notamment l’état du système énergétique, anticipera les besoins futurs en matière d’offre et de demande, et proposera des politiques publiques favorisant l’efficacité énergétique et le recours accru aux énergies renouvelables, dans une logique de souveraineté nationale.

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