La météo du mercredi 2 juillet 2025
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Orange Tunisie réaffirme son engagement en faveur de l’innovation et de l’entrepreneuriat à travers son programme d’accélération Orange Fab. Lancé en 2019, ce programme a déjà soutenu 40 start-up tunisiennes, renforçant leur croissance, grâce à un accompagnement stratégique personnalisé et à des opportunités commerciales concrètes. A ce jour, plus de 68 contrats commerciaux ont été conclus témoignant de l’impact réel du programme.
Cette année, la 7ème cohorte d’Orange Fab Tunisie a accompagné 5 nouvelles start-up à fort potentiel, sélectionnées pour leur capacité à innover dans des secteurs clés : Intelligence Artificielle, RH Tech, Ad Tech, Data, Economie circulaire. En plus du mentoring ciblé, elles ont bénéficié de connexions stratégiques avec des fonds d’investissement comme Orange Ventures, Digital Africa ou encore Flat6Labs ains qu’avec des business angels internationaux. Le programme leur a également offert une visibilité accrue lors d’événements de référence tels que VivaTech à Paris ou GITEX Africa à Marrakech.
Présentation des start-up qui composent la 7ème cohorte :
Thierry Millet, Directeur Général d’Orange Tunisie, déclare : « Orange Fab Tunisie, c’est bien plus qu’un programme : C’est un levier stratégique pour préparer les start-up tunisiennes vers le succès, en Tunisie et à l’international. Nous investissons durablement dans l’innovation locale et la tech africaine de demain. »
Restez connectés pour le prochain appel à candidatures de la 8ème saison d’Orange Fab Tunisie !
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Le lancement du projet “HASHIMORI”* pour l’amélioration du plan de gestion et d’entretien des ponts a été donné aujourd’hui avec le la tenue de la première réunion du Comité Conjoint de Coordination. Elle a été suivie par un séminaire rassemblant des acteurs du secteur public, privé, des universitaires et des experts de la JICA pour discuter des aspects opérationnels du projet.
S’étendant sur trois ans, l’objectif de ce projet est de renforcer les capacités du Ministère de l’Equipement et de l’Habitat (MEH), en appuyant l’élaboration de plans de maintenance fondés sur le transfert de technologies liées à l’inspection et au diagnostic des ouvrages.
La réunion a été organisée avec la présence de M. Ali Ben Mohamed, Directeur de l’Entretien et de l’Exploitation Routière (DEER), M. Mohamed Guesmi, Directeur Général du Centre des Essais et Techniques de Construction (CETEC), relevant du MEH, Mme JOGO Rinko, Représentante Résidente Adjointe de la JICA en Tunisie et M. Kohei Nagai, éminent expert et président de la Plateforme de Gestion des Actifs Routiers de la JICA.
“Notre objectif commun est clair : développer un Système de Gestion des Ponts (SGP) fiable et durable, renforcer les capacités institutionnelles et techniques en matière d’inspection et de diagnostic, et poser les bases d’une culture proactive de maintenance”, a indiqué Mme JOGO.
Ce système sera utilisé pour la programmation et l’exécution des opérations d’entretien et de réparation des ponts qui sont directement gérés par la Direction Générale des Ponts et Chaussées (DGPC) et ses différentes directions régionales. A citer notamment le pont Rades-La Goulette, l’un des plus grands projets d’infrastructure financés par la JICA en Tunisie. Il s’agit également de la mise en place de manuels d’inspection et de réparation afin d’assurer une gestion efficace et pertinente des ponts.
Cette assistance technique comprendra également des formations en Tunisie et au Japon sur des thèmes liés au projet, en plus de la fourniture d’équipements nécessaires pour la réussite des activités qui y sont prévues. Lors du séminaire, M. KOHEI, éminent professeur et expert dans le domaine, a présenté une conférence exhaustive sur l’expérience japonaise en matière d’entretien et de gestion des ponts.
A noter que la JICA a commencé depuis 2016 un programme de renforcement des capacités pour l’entretien du Pont Radès-La Goulette, financé par un prêt japonais, y compris une formation au Japon au profit des ingénieurs du MEH. Suite à cette formation, il a été décidé d’élaborer un plan de maintenance couvrant l’ensemble des ouvrages d’art sous la responsabilité de la DGPC, qui s’est traduit par la suite par le projet Hashimori « Projet d’amélioration du plan de gestion et d’entretien des ponts ».
*HASHIMORI : mot japonais qui signifie “Protection des ponts”.
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À la fin mars 2025, les finances publiques tunisiennes ont enregistré un excédent budgétaire d’environ 2 milliards de dinars, soit une progression de 74 % par rapport à la même période en 2024. C’est ce qu’a annoncé la ministre des Finances, Mishkat Salama Khaldi, en marge de la Conférence internationale des Nations Unies sur le […]
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Après interrogatoire à distance de plusieurs accusés, l’examen de l’affaire de « Complot contre la sûreté de l’État 2 » a de nouveau été reporté, ce mardi 1er juillet 2025.
La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme auprès du tribunal de première instance de Tunis a décidé de reporter l’examen de l’affaire au vendredi 4 juillet, sachant que la prochaine audience sera consacrée aux plaidoiries des avocats.
Ce mardi, plusieurs accusés, dont l’ancien maire de la ville d’Ezzahra (sud de Tunis), Rayen Hamzaoui, ont été entendus dans le cadre de cette affaire, d’autres ont quant à eux refusé d’être entendus à distance.
Y. N.
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L’Ordre national des avocats de Tunisie a annoncé le décès de Maître Mohamed Ali Omrani, avocat à Zarzis, survenu ce mardi 1er juillet 2025, dans un accident de la route.
Le Conseil régional des avocats de Médenine a également annoncé la triste nouvelle en présentant ses condoléances les plus attristées au nom de son président et de tous membres du Conseil ainsi que l’ensemble des avocates et avocats de la région.
Me Omrani sera accompagné à sa dernière demeure jeudi 3 juillet 2025 à Zarzis, précise la même source.
Y. N.
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La commission de législation générale de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a adopté une version consensuelle des deux propositions de loi amendantes l’article 96 du Code pénal, lors de sa réunion du lundi 30 juin. Ce texte prévoit notamment la réduction de la peine d’emprisonnement à six ans et l’introduction du critère intentionnel dans le délit d’abus de fonction.
Cette réforme, qui sera soumise au vote lors de la prochaine séance plénière, vise à corriger les lacunes de l’article en question, lequel sanctionne l’abus de fonction visant à procurer un avantage injustifié. L’amendement exige désormais la preuve d’une intention délibérée, transformant ainsi l’infraction d’un délit matériel en délit intentionnel.
L’article 96 du Code pénal, qui concerne les violations commises par les fonctionnaires publics, fait l’objet de critiques depuis 2011 pour son application excessive, ayant perturbé l’environnement administratif et découragé les investissements. Le texte actuel couvre six actes criminels liés à l’abus de fonction ou à la violation des règlements.
La version consensuelle, adoptée après consultation d’experts en droit pénal, prévoit la réduction de la peine maximale de dix à six ans de prison, avec possibilité de sursis ou d’amende, ainsi que l’introduction de la preuve de l’intention délibérée.
Les professeurs Mongi Lakhdhar, Hatem Bellahmar et Najet Brahmi, auditionnés par la commission, ont unanimement soutenu la réforme. Ils recommandent notamment l’abandon du délit de “nuire à l’administration”, jugé trop flou et relevant davantage du disciplinaire que du pénal. Ils ont également plaidé pour l’introduction d’une enquête préalable avant toute suspension d’un fonctionnaire accusé, afin d’éviter les plaintes abusives. Il est aussi question d’élargir la définition du fonctionnaire public pour couvrir davantage de cas.
Cette initiative législative s’inscrit dans une démarche de modernisation du droit pénal tunisien, visant à instaurer un climat de confiance entre citoyens et fonctionnaires, permettre aux agents publics d’exercer leur jugement sans crainte excessive, limiter les plaintes malveillantes, et se conformer aux standards internationaux en matière de restriction de la criminalisation. La réforme traduit la volonté du législateur de trouver un équilibre entre la protection des deniers publics et la préservation d’un environnement administratif fonctionnel.
Réunie le 30 juin, la Commission de législation générale de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a approuvé une version consensuelle issue de deux propositions de loi visant à amender l’article 96 du Code pénal.
En effet, ledit texte introduit plusieurs modifications notables, entre autres la réduction de la peine d’emprisonnement à six ans et la prise en compte de l’intention dans les cas d’abus de fonction.
Cette réforme, qui sera prochainement soumise au vote en plénière de l’ARP, vise à combler les lacunes de l’article en vigueur, lequel réprime l’abus de fonction destiné à procurer un avantage indu. Désormais, la commission exige la démonstration d’une intention délibérée, faisant passer cette infraction d’un délit matériel à un délit intentionnel.
Critiqué depuis 2011 pour sa portée jugée excessive, l’article 96 concerne les manquements des agents publics, et aurait, selon ses détracteurs, nui à l’efficacité de l’administration et au climat des affaires. Il incrimine actuellement six formes de violations liées à l’exercice de la fonction publique.
Fruit de consultations avec des spécialistes en droit pénal, la nouvelle mouture du texte prévoit une peine de prison réduite (de dix à six ans), avec la possibilité de sursis ou de peine pécuniaire, et introduit explicitement la nécessité de prouver l’intention coupable.
En effet, les professeurs Mongi Lakhdhar, Hatem Bellahmar et Najet Brahmi, auditionnés par la commission, ont salué ces changements. Ils ont notamment recommandé de supprimer l’incrimination de « nuisance à l’administration », jugée vague et plus proche du champ disciplinaire que pénal.
Ils ont également plaidé pour l’instauration d’une enquête préalable avant toute suspension d’un agent public, afin de prévenir les abus de procédure. L’élargissement de la définition du fonctionnaire public à d’autres catégories de personnel a également été évoqué.
A souligner que cette réforme s’inscrit dans une démarche de modernisation du droit pénal tunisien. Elle vise ni plus ni moins à restaurer la confiance entre les citoyens et l’administration, sécuriser l’action des agents publics, réduire les plaintes infondées, et aligner la législation tunisienne sur les normes internationales en matière de criminalisation. L’objectif affiché est clair: concilier la protection des deniers publics avec le bon fonctionnement de l’appareil administratif.
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La BBC fait face à une fronde interne sans précédent après avoir décidé de ne pas diffuser le documentaire Gaza : Doctors Under Attack, pourtant commandé par la chaîne il y a plus d’un an. Réalisé par deux cinéastes primés aux Emmy Awards, le film met en lumière les souffrances des équipes médicales palestiniennes sous […]
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Dans le monde exigeant du sport de haut niveau, il est rare et précieux de voir une athlète oser dire stop. C’est pourtant ce choix courageux qu’a fait Ons Jabeur, la fierté du tennis tunisien et une source d’inspiration pour des milliers de jeunes filles à travers le monde arabe. La championne a annoncé, avec […]
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Face à une pénurie persistante de main-d’œuvre, l’Italie a annoncé une mesure sans précédent : l’ouverture de 500 000 visas de travail aux ressortissants non-européens sur la période 2026-2028. Cette décision marque un tournant dans la politique migratoire du gouvernement Meloni, longtemps réputé pour sa fermeté en matière d’immigration. Confrontée à un vieillissement démographique et […]
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Le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT) a appelé, ce mardi 1er juillet 2025 à la libération de la présidente du Parti destourien libre (PDL) Abir Moussi.
Tout en pointant du doigt 637 jours de détention arbitraire, le CRLDHT a rappelé que Me Moussi emprisonnée depuis octobre 2023, a été condamnée le 12 juin à deux ans de prison ferme dans le cadre de l’affaire l’opposant à l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) en lien avec les législatives de 2022.
« Cette condamnation s’appuie sur le décret-loi 54, une loi liberticide imposée par Kaïs Saïed pour museler toute voix dissidente. Isolement, transferts abusifs, privation de soins, atteintes à sa défense : tout montre un acharnement politique pour faire taire une figure de l’opposition dans un climat de répression généralisée », lit-on dans le communiqué du CRLDHT.
Le Comité a par ailleurs appelé à l’annulation immédiate de la condamnation du 12 juin et à la libération sans condition d’Abir Moussi ainsi qu’à la garantie de ses droits fondamentaux en détention et à l’accès libre à sa famille et à ses avocats.
La même source a par ailleurs de nouveau appelé à l’abrogation du décret-loi 54 et à la fin des détentions arbitraires en Tunisie.
Y. N.
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Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement a approuvé, le 30 juin 2025 à Abidjan, une facilité de garantie de transaction pour le financement du commerce d’un montant de 50 millions de dollars américains à la Banque internationale arabe de Tunisie (BIAT) pour la promotion du commerce.
La garantie de transaction soutiendra notamment les importations d’intrants, de machines de production et d’équipements de télécommunications et d’énergie renouvelable nécessaires pour accompagner le processus d’industrialisation de la Tunisie. Bien que l’agro-industrie et l’industrie manufacturière légère soient les principaux secteurs visés par cette intervention, la garantie facilitera également les importations de produits de première nécessité pour satisfaire la demande locale à court terme.
Selon Ahmed Attout, directeur du Département du développement du secteur financier au sein du Groupe de la Banque africaine de développement, « cette facilité permettra à la Banque africaine de développement de fournir jusqu’à 100 % de garantie aux banques confirmatrices afin de faciliter la confirmation des lettres de crédit et autres instruments similaires de financement du commerce émis par la BIAT au profit des grandes entreprises locales et des petites et moyennes entreprises, y compris les entreprises dirigées par les femmes. ».
« En soutenant les importations d’intrants, d’équipements et de machines de production nécessaires à la promotion de l’industrie manufacturière, cette facilité permet de contribuer à la création d’emplois et à la diversification économique à travers le développement du secteur privé », a déclaré Malinne Blomberg, directrice générale adjointe du Groupe de la Banque pour l’Afrique du Nord et responsable du bureau pays de l’institution en Tunisie.
Le directeur général de la BIAT, Elyes Jebir, s’est félicité de cette première entrée en relation directe avec la Banque africaine de développement. « Ce partenariat s’inscrit pleinement dans la stratégie de la BIAT, qui fait du financement du commerce international l’un des piliers de son action en Tunisie. Cette facilité permettra de mieux accompagner de nombreuses entreprises tunisiennes et de renforcer leur intégration dans les échanges internationaux », a-t-il souligné.
La BIAT consolide ainsi son positionnement à l’appui des performances solides qui lui ont permis de soutenir l’économie tunisienne, grâce à une saine gouvernance, une expertise locale avérée et un large réseau de partenaires stratégiques.
La facilité, d’une durée de trois ans, bénéficiera aux grandes entreprises locales et aux PME, dont celles dirigées par des femmes.
D’après Communiqué