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Heute — 14. März 2025Haupt-Feeds

Le réarmement de l’Europe pourrait prendre plus d’une décennie

14. März 2025 um 14:06

Il faudra peut-être plus d’une décennie aux États membres européens de l’OTAN pour renforcer leurs secteurs de défense. Alors que l’Europe s’empresse d’inverser des décennies de faible investissement et de dissuader les futures menaces de la Russie. C’est ce que révèle une analyse de Bloomberg Intelligence publiée jeudi 13 mars 2025.

Les 15 plus grands membres européens de l’OTAN pourraient devoir augmenter leurs investissements de 340 milliards d’euros jusqu’à 720 milliards dollars par an, comme l’ont indiqué les analystes de Bloomberg Intelligence dans leur rapport.

« Sur la base des leçons tirées de la guerre en Ukraine, les besoins de l’OTAN européenne comprennent au moins 200 milliards de dollars en blindés et en avions provenant d’entreprises telles que BAE Systems, Airbus, Boeing, Saab et General Dynamics », a déclaré l’analyste principal George Ferguson.

Lire : Donald Trump somme les pays de l‘Otan de passer à la caisse

Le président américain Donald Trump a signalé son intention de soutenir les engagements sécuritaires des États-Unis en Europe. Mais il appelle les Alliés à augmenter leurs dépenses de défense à 5 % du PIB. Le soutien américain à la sécurité de l’Europe est si important que les défenses européennes risquent de s’effondrer en quelques semaines seulement sans lui, souligne Bloomberg.

Selon le même rapport, la réorganisation à grande échelle sera retardée. Car les chaînes d’approvisionnement sont déjà mises à rude épreuve par la demande existante.

L’industrie de défense européenne, plus petite, ne sera probablement pas en mesure de fournir tout ce qui est nécessaire à court et moyen terme. C’est encore ce qu’joute le rapport. Tout en concluant que le secteur est également confronté à une pénurie de personnel qualifié pour répondre aux besoins futurs.

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L’Egypte lance une plateforme en ligne de vente de biens immobiliers aux étrangers

14. März 2025 um 12:22

Le gouvernement égyptien se prépare à lancer une plateforme électronique pour faciliter l’acquisition et l’enregistrement de biens immobiliers pour les étrangers en Egypte. C’est ce qu’on peut lire dans un communiqué publié le 13 mars 2025 par le Cabinet égyptien.

Le porte-parole du gouvernement égyptien, Mohamed El-Homsani, a déclaré que les recommandations du Comité consultatif pour le développement urbain et les exportations immobilières comprenaient la création d’une plateforme mondiale pour le marketing immobilier égyptien. Elle comprendrait une gamme complète de services et d’installations pour les investisseurs.

La plateforme devrait être disponible en plusieurs langues et proposera une carte interactive des projets immobiliers disponibles pour l’investissement étranger. Ainsi qu’une explication du système de réservation et de paiement électronique. De même que d’autres procédures qui aideront les investisseurs à comprendre le processus d’acquisition de biens immobiliers.

Lire aussi: Egypte : initiative parlementaire pour vendre des biens immobiliers en dollars

M. El-Homsani a ajouté que le Comité consultatif avait recommandé la délivrance d’un certificat d’enregistrement préliminaire qui permettrait aux investisseurs de commencer à enregistrer leur propriété et à obtenir la résidence. Les procédures d’enregistrement définitives devant être complétées en parallèle sans perturber l’utilisation par l’investisseur.

Le Comité a également recommandé la création d’un registre électronique temporaire et reconnu jusqu’à l’enregistrement définitif, ainsi que le développement du système de documentation. Il a également souligné l’importance de la reconnaissance des signatures électroniques.

Selon le communiqué, la plateforme expérimentale « Egypt Real Estate » a été lancée et des travaux sont actuellement en cours pour l’alimenter avec diverses données et offres. Et ce, en préparation de son activation, de la commercialisation de biens immobiliers égyptiens au niveau national et international et du soutien aux efforts d’exportation de biens immobiliers.

Un bâtiment de la nouvelle capitale administrative a également été équipé de deux unités ; l’un pour la propriété étrangère, l’autre pour le mariage étranger. Et tous les services nécessaires aux étrangers seront disponibles.

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Trump menace l’UE de droits de douane de 200 % sur les vins, champagnes et spiritueux européens 

14. März 2025 um 10:21

Le président américain Donald Trump a menacé, jeudi 13 mars 2025, l’Union européenne (UE) de droits de douane de 200 % sur les vins, les champagnes et les produits alcoolisés. A noter que la guerre commerciale du président américain s’est intensifiée avec la mise en œuvre de droits de douane américains accrus sur l’aluminium et l’acier et de contre-mesures d’une valeur de 26 milliards d’euros.

« L’Union européenne, l’une des autorités fiscales et douanières les plus hostiles et abusives au monde, créée dans le seul but d’exploiter les États-Unis, vient d’imposer un tarif dérisoire de 50 % sur le whisky. Si ce tarif n’est pas supprimé immédiatement, les États-Unis imposeront bientôt un tarif de 200 % sur tous les vins, champagnes et spiritueux en provenance de France et des autres pays représentés dans l’UE. Ce sera une excellente nouvelle pour les entreprises vinicoles et champenoises américaines », a souligné M. Trump dans un message publié sur Truth Social, jeudi 13 mars.

Quelques heures après l’entrée en vigueur des tarifs douaniers américains sur l’acier et l’aluminium, Trump a mis en garde contre une nouvelle escalade de la guerre commerciale. Tout en notant que les États-Unis imposeraient des mesures supplémentaires contre l’UE si l’Europe poursuivait son plan d’activation des tarifs sur les produits américains le mois prochain. « Tout ce qu’ils nous facturent, nous le leur facturons », a déclaré le président américain, s’adressant aux journalistes à la Maison Blanche, indique Reuters.

A cet égard, la réponse de l’UE est intervenue après que le président américain Donald Trump a imposé des droits de douane accrus de 25 % sur toutes les importations d’aluminium et d’acier. Les tarifs douaniers européens devraient entrer pleinement en vigueur à la mi-avril.

Pour sa part, le ministre français du Commerce, Laurent Saint-Martin, a souligné que la France et ses partenaires, comme l’Union européenne, ne céderont pas aux menaces américaines, ajoutant que la France protégera ses industries. « Donald Trump intensifie la guerre commerciale qu’il a choisi de déclencher. La France reste déterminée à y répondre avec la Commission européenne et nos partenaires », a-t-il souligné sur X.

Dans le même temps, le commissaire européen au Commerce, Maroš Šefković, devrait s’entretenir avec ses homologues américains, dans l’ombre de la guerre commerciale, a annoncé hier soir la Commission.

« Le commissaire Šefković a contacté ses homologues américains immédiatement après les annonces d’hier et les appels sont en cours de préparation », a rapporté Bruxelles.

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Cessez-le-feu en Ukraine : Poutine pose ses conditions

14. März 2025 um 09:23

Concernant l’accord de cessez-le-feu entre les États-Unis et l’Ukraine, Poutine semble avoir trouvé les faiblesses de la proposition pour les exploiter habilement, et ainsi renvoyer la « balle » à Trump. Poutine a déclaré le jeudi 13 mars 2025, lors d’une conférence de presse, que sa position est qu’un cessez-le-feu « immédiat » ne peut être obtenu sans un accord préalable sur les conditions. Ce qui en fait contredit la demande de Trump de « cessez-le-feu d’abord, puis négociation ».

Poutine a également déclaré qu’il soutenait en principe la fin de la guerre pour éviter d’être accusé de saper le processus de paix. Mais il a proposé un « cessez-le-feu aux conditions de la Russie » et a posé à Trump une série de questions sur la nature du cessez-le-feu, en particulier le retrait des troupes ukrainiennes.

Lors de la conférence de presse, Poutine a d’abord remercié Trump pour avoir « accordé autant d’attention » à la question de la réconciliation ukrainienne, puis il a déclaré accepter la proposition de cessez-le-feu, mais que le processus devrait conduire à une « paix durable ».

En outre, Poutine a affirmé que l’armée ukrainienne « a perdu le contrôle », que son équipement « a été abandonné », et que dans de telles circonstances, ce serait « une bonne chose » pour l’Ukraine de parvenir à un cessez-le-feu de 30 jours et « nous soutenons cette proposition ».

Le oui « mais » de Poutine

De plus, il a précisé que l’idée d’un cessez-le-feu était « très bonne. « Nous la soutenons pleinement, mais il reste des points à discuter […] Nous devons négocier avec nos collègues et partenaires américains. Et « peut-être » appeler Trump […] Nous soutenons une solution pacifique pour mettre fin à ce conflit ».

Par ailleurs, Poutine a également ajouté de nombreuses questions sur les détails. Il a demandé : « Que signifie le cessez-le-feu pour les combats dans la région de Koursk? Comment cela s’appliquera-t-il à un front de 1 000 kilomètres? Comment les violations sont-elles évaluées et par qui? L’Ukraine sera-t-elle autorisée à réarmer et à entraîner son armée? »

Il a déclaré que tous ces détails nécessitent une étude minutieuse de la part de toutes les parties. Mais cela ne ressemble pas à un soutien à un cessez-le-feu immédiat.

Diplomatie habile

La position de Poutine sur un cessez-le-feu en Ukraine montre qu’après trois ans de guerre, le Kremlin est bien placé pour exercer une diplomatie habile. D’un côté, il semble avoir répondu positivement à la proposition américaine d’une cessation immédiate des hostilités. Dire « non » catégoriquement exacerberait les tensions entre le Kremlin et la Maison Blanche, qui se sont améliorées principalement en faveur de Moscou ces dernières semaines.

D’un autre côté, du point de vue du Kremlin, accepter un cessez-le-feu inconditionnel pourrait affaiblir la position de la Russie sur le champ de bataille.

Les commentaires de Poutine, associés à sa visite surprise dans la région de Koursk mercredi – au cours de laquelle il a fait une rare apparition en uniforme militaire – ont réitéré que le succès sur le champ de bataille reste la priorité absolue de Moscou.

Quid des conditions de Poutine?

En fait, les conditions posées par Poutine auront un impact dévastateur sur l’Ukraine : plus de livraisons d’armes, plus de mobilisation de troupes, la reddition des troupes ukrainiennes dans la région de Koursk au lieu d’une retraite, et, surtout, l’élimination des « causes profondes de cette crise ».

L’histoire récente suggère que pour Poutine, ces « causes profondes » incluent l’existence de l’Ukraine en tant qu’État souverain doté de politiques étrangères et intérieures indépendantes.

Daniel Friedman, ancien diplomate américain de haut rang pour l’Europe, a déclaré que certains commentaires de Poutine aujourd’hui « suggèrent qu’il n’a aucune intention d’accepter un quelconque cessez-le-feu ».

Menace de Trump en cas refus de Poutine

Trump a averti que le rejet d’un cessez-le-feu aurait des « conséquences dévastatrices » pour la Russie. Ce que cela signifie exactement – ​​et quel levier les États-Unis sont prêts à utiliser dans les négociations avec la Russie – reste un mystère. Après tout, Trump menace souvent les ennemis et les amis de l’Amérique de cette manière.

Jusqu’à présent, Trump a déclaré qu’il pensait que « les choses allaient bien avec la Russie » et a mentionné que des « discussions très sérieuses » étaient en cours avec Poutine et d’autres.

À propos de l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, Trump a déclaré : « Tout le monde connaît la réponse ».

Quid de l’accord minier américano-ukrainien?

Concernant l’accord minier entre les États-Unis et l’Ukraine, Trump a déclaré qu’il l’avait fait non pas pour compenser les États-Unis pour leurs pertes économiques dans la guerre, mais pour « mettre fin à la guerre ».

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Gestern — 13. März 2025Haupt-Feeds

Musk : Tesla va doubler sa production américaine d’ici deux ans

13. März 2025 um 13:21

Elon Musk, PDG du constructeur de voitures électriques Tesla, a annoncé, mardi 11 mars 2025, devant la Maison Blanche, en présence du président américain Donald Trump, que son entreprise comptait « doubler » sa production aux États-Unis d’ici deux ans.

Musk, un proche conseiller du président républicain, a déclaré : « Dans le cadre des politiques plus larges du président Trump et de son administration, et comme acte de foi en l’Amérique, Tesla doublera sa production aux États-Unis au cours des deux prochaines années ».

Mardi, la Maison Blanche a été transformée en salle d’exposition Tesla à l’initiative de Trump, qui a fait une déclaration exprimant clairement son soutien à Musk. « Je vais en acheter un » parce que c’est « un très bon produit » et parce que Musk a été « traité très injustement », a-t-il dit. Faisant référence aux troubles que Tesla a connus depuis que son propriétaire a rejoint la campagne présidentielle du milliardaire républicain.

Le soutien de Musk à Trump a eu un impact négatif sur certains acheteurs potentiels de Tesla. Même s’il reste difficile d’évaluer dans quelle mesure les choix politiques de l’homme le plus riche du monde, notamment son soutien à l’extrême droite en Europe.

Ces dernières semaines, des appels au boycott des voitures Tesla ont été lancés. En effet, les actions Tesla ont chuté de 15 % à la Bourse de New York au cours de la seule séance de lundi 10 mars, soit leur pire performance quotidienne depuis 2020. La valeur des actions de la société a chuté de moitié depuis décembre, pour atteindre environ 700 milliards de dollars.

Tesla reste le plus grand constructeur de véhicules électriques au monde, mais cette avance est fortement contestée par la société chinoise BYD.

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États-Unis : l’inflation tombe à 2,8 % en février

13. März 2025 um 12:55

Les dernières données sur l’inflation américaine publiées mercredi 12 mars 2025 montrent que l’inflation a ralenti légèrement en février plus que prévu par les analystes. Et ce, tant au niveau des chiffres qu’en termes de pressions sous-jacentes.

Plus précisément, l’indice des prix à la consommation (IPC) aux États-Unis a atteint un taux annuel de 2,8 % le mois dernier, contre 3 % en janvier. L’estimation moyenne du marché prévoyait une baisse marginale de 2,9 %.

Dans la comparaison janvier-février, l’indice a augmenté de 0,2 % après la hausse de 0,5 % dans la comparaison mensuelle précédente, légèrement inférieure à l’estimation d’une hausse de 0,3 %.

La tendance était similaire dans la mesure plus étroite de l’inflation dite de base, qui ne prend pas en compte la volatilité des prix de l’énergie et des denrées alimentaires et sur laquelle les banques centrales se concentrent davantage lorsqu’elles examinent l’évolution future des prix.

L’IPC de base aux États-Unis est tombé à 3,1 % sur un an en février. L’estimation médiane prévoyant ici également un ralentissement marginal à 3,2 %.

Sur une base mensuelle, les prix au niveau structurel ont augmenté à un rythme de 0,2 % contre une prévision de 0,3 %. Et ce, après une hausse mensuelle de 0,4 % en janvier.

Dans les données individuelles du rapport, les prix des logements ont augmenté plus modérément, de 0,3 % par rapport à janvier. Mais ils ont néanmoins représenté environ la moitié de la hausse mensuelle globale.

Les indices de l’alimentation et de l’énergie ont tous deux augmenté de 0,2 %, les prix des biens d’occasion ont bondi de 0,9 % et les prix des vêtements ont augmenté de 0,6 %. Dans le secteur alimentaire, les prix des œufs ont encore augmenté de 10,4 %, portant la hausse annuelle à +58,8 %.

Dans la première réaction des marchés, les contrats à terme sur indices de Wall Street prolongent les gains réalisés depuis hier matin. Tandis que les rendements obligataires ont changé de tendance et évoluent à la hausse.

Plus précisément, les futures sur le Dow Jones se négocient à +0,75 %, le S&P 500 à +1,1 % et le Nasdaq à +1,65 %.

Du côté des obligations, le rendement du bon du Trésor américain à 10 ans ajoute plus de quatre points de base à 4,329 % et celui à deux ans est en hausse de 6,2 pb. à 4,003 %.

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Khamenei rejette l’offre de négociations des États-Unis sur un accord nucléaire

13. März 2025 um 12:29

Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a rejeté mercredi 12 mars toute négociation avec les Etats-Unis sur un accord nucléaire, après avoir reçu une lettre du président américain Donald Trump appelant à de telles discussions.

La semaine dernière, Trump a déclaré avoir envoyé une lettre à Khamenei proposant des négociations nucléaires. Mais a également averti qu’il y avait « deux manières de gérer l’Iran : militairement ou par un accord ».

La lettre a été remise mercredi au ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, par le conseiller diplomatique du président des Émirats arabes unis, Anwar Gargash.

Alors qu’Araqchi et Gargash se rencontraient, Khamenei a déclaré à un groupe d’étudiants universitaires que l’offre de négociations de Trump était « une tromperie », ont rapporté les médias d’État.

« Si nous savons qu’ils ne l’honoreront pas, à quoi bon négocier? Par conséquent, l’invitation à négocier […] est une tromperie de l’opinion publique », a déclaré Khamenei, cité par les médias d’État. Il a précisé ne pas avoir encore vu la lettre.

Khamenei a déclaré que négocier avec l’administration Trump, qui, selon lui, avait des exigences excessives, « resserrerait le nœud des sanctions et augmenterait la pression sur l’Iran ».

En 2018, Trump avait retiré les États-Unis de l’accord nucléaire de 2015 conclu par Téhéran avec les puissances mondiales. De même qu’il avait réimposé des sanctions qui avaient paralysé l’économie iranienne. Un an plus tard, Téhéran a réagi en violant les restrictions nucléaires prévues par l’accord.

Ainsi, tout en laissant la porte ouverte à un pacte nucléaire avec Téhéran, Trump a rétabli la campagne de « pression maximale » qu’il avait appliquée lors de son premier mandat pour isoler l’Iran de l’économie mondiale et ramener ses exportations de pétrole vers zéro.

Les Émirats arabes unis, l’un des principaux partenaires de Washington en matière de sécurité au Moyen-Orient et pays hôte de troupes américaines, entretiennent également des relations chaleureuses avec Téhéran. Malgré les tensions passées, les liens commerciaux entre les deux pays sont restés forts. Et Dubaï est une plaque tournante commerciale essentielle pour l’Iran depuis plus d’un siècle.

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La guerre tarifaire fait chuter les prix du pétrole

13. März 2025 um 11:11

Les prix du pétrole ont chuté ce jeudi 13 mars 2025 après avoir augmenté la veille, les inquiétudes concernant l’impact de l’escalade de la guerre tarifaire sur la croissance économique mondiale et la demande énergétique ayant éclipsé le sentiment positif découlant d’une baisse plus importante que prévu des stocks d’essence aux États-Unis.

Les contrats à terme sur le brut Brent étaient en baisse de 7 cents, soit 0,1 %, à 70,88 dollars le baril, ce matin, tandis que les contrats à terme sur le brut américain West Texas Intermediate (WTI) étaient en baisse de 11 cents, soit 0,2 %, à 67,57 dollars le baril.

A noter que les deux pétroles bruts ont augmenté d’environ 2 % mercredi, alors que les données du gouvernement américain ont montré une baisse plus importante que prévu des stocks de pétrole et de carburant. Ces données ont montré que les stocks américains de pétrole brut ont augmenté de 1,4 million de barils la semaine dernière, contre une augmentation de 2 millions de barils attendue.

Les stocks d’essence aux États-Unis ont diminué de 5,7 millions de barils, contre une baisse attendue de 1,9 million de barils.

Les données de l’administration américaine d’information sur l’énergie ont également montré que les stocks de pétrole brut de la réserve stratégique de pétrole des États-Unis ont atteint leur plus haut niveau depuis 2022. « La baisse des stocks d’essence aux États-Unis a fait naître des attentes d’une augmentation saisonnière de la demande au printemps, mais les inquiétudes concernant l’impact économique mondial des guerres tarifaires ont pesé sur le marché », a déclaré Hiroyuki Kikukawa, stratège en chef chez Nissan Investment Securities.

Il a ajouté : « Avec la convergence de facteurs forts et faibles, il est devenu difficile pour le marché d’évoluer de manière décisive dans une direction ou une autre ».

Le président américain Donald Trump a menacé mercredi d’intensifier une guerre commerciale mondiale en imposant des droits de douane supplémentaires sur les produits de l’Union européenne, tandis que les principaux partenaires commerciaux des États-Unis se sont engagés à riposter aux mesures de Trump.

L’accent excessif mis par Trump sur les tarifs douaniers a miné la confiance des investisseurs, des consommateurs et des entreprises, et a fait craindre une récession de l’économie américaine.

L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a maintenu mercredi ses prévisions d’une croissance relativement forte de la demande mondiale de pétrole en 2025, soulignant que les voyages aériens et routiers soutiendront la consommation.

« Les inquiétudes commerciales devraient contribuer à la volatilité à mesure que la politique commerciale se poursuit. Cependant, l’économie mondiale devrait s’ajuster », a déclaré l’organisation dans son rapport mensuel.

L’organisation a publié des chiffres montrant une augmentation de 363 000 barils par jour de la production de l’alliance plus large OPEP+ en février, tirée par une augmentation de la production du Kazakhstan, qui reste en retard sur son engagement envers les quotas de production de l’OPEP+.

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La Russie demande des négociations avec les États-Unis sur l’Ukraine

13. März 2025 um 11:06

La Russie a présenté mercredi 12 mars aux Etats-Unis une liste d’exigences pour un accord visant à mettre fin à sa guerre contre l’Ukraine et à rétablir ses relations avec Washington, selon des sources proches du dossier.

On ignore ce que Moscou a exactement inclus dans sa liste, ni si elle est disposée à engager des négociations de paix avec Kiev avant leur acceptation. Des responsables russes et américains ont discuté des conditions lors de conversations en personne et virtuelles au cours des trois dernières semaines, ont indiqué ces sources.

Ils ont décrit les conditions du Kremlin comme étant larges et similaires aux exigences qu’il avait précédemment présentées à l’Ukraine, aux États-Unis et à l’OTAN.

Lire aussi: Les pertes de l’Ukraine s’alourdissent en raison du gel des renseignements américains

Ces conditions antérieures comprenaient l’absence d’adhésion de Kiev à l’OTAN, un accord de ne pas déployer de troupes étrangères en Ukraine et la reconnaissance internationale de la revendication du président Vladimir Poutine selon laquelle la Crimée et quatre provinces appartiennent à la Russie.

Ces dernières années, la Russie a également exigé des États-Unis et de l’OTAN qu’ils s’attaquent à ce qu’elle appelle les « causes profondes » de la guerre, notamment l’expansion de l’OTAN vers l’Est.

Le président américain Donald Trump attend une réponse de Poutine pour savoir s’il accepte une trêve de 30 jours que le président ukrainien VolodymyrZelenskiy a déclaré mardi

L’engagement de Poutine envers un éventuel accord de cessez-le-feu est encore incertain, les détails n’ayant pas encore été finalisés. Certains responsables, législateurs et experts américains craignent que Poutine, ancien officier du KGB, n’utilise une trêve pour intensifier ce qu’ils considèrent comme un effort visant à diviser les États-Unis, l’Ukraine et l’Europe et à saper toute négociation. L’ambassade de Russie à Washington et la Maison Blanche n’ont pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.

À Kiev, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué la réunion de cette semaine en Arabie saoudite entre des responsables américains et ukrainiens comme étant constructive, et a déclaré qu’un éventuel cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie pourrait être utilisé pour rédiger un accord de paix plus large.

Moscou en a discuté avec l’administration Biden lors d’une série de réunions fin 2021 et début 2022, alors que des dizaines de milliers de soldats russes étaient stationnés à la frontière de l’Ukraine, attendant l’ordre d’envahir le pays.

Elles incluaient des exigences visant à limiter les opérations militaires des États-Unis et de l’OTAN de l’Europe de l’Est à l’Asie centrale.

Tout en rejetant certaines conditions, l’administration Biden avait cherché à s’engager avec la Russie sur plusieurs d’entre elles, selon des documents du gouvernement américain examinés par Reuters et plusieurs anciens responsables américains. L’effort a échoué et la Russie a attaqué le 24 février 2022.

Ces dernières semaines, des responsables américains et russes ont déclaré qu’un projet d’accord, discuté par Washington, Kiev et Moscou à Istanbul en 2022, pourrait servir de point de départ à des négociations de paix. Cet accord n’a jamais été conclu.

L’administration Trump n’a pas expliqué comment elle envisageait ses négociations avec Moscou. Les deux parties mènent deux discussions distinctes : l’une sur la relance des relations américano-russes, l’autre sur un accord de paix en Ukraine.

L’administration semble divisée sur la manière de procéder

L’envoyé américain au Moyen-Orient, Steve Witkoff, qui contribue à diriger les discussions avec Moscou, a décrit le mois dernier sur CNN les pourparlers d’Istanbul comme des « négociations convaincantes et substantielles » et a déclaré qu’elles pourraient être « un guide pour parvenir à un accord de paix ».

Mais le principal envoyé de Trump pour l’Ukraine et la Russie, le général à la retraite Keith Kellogg, a déclaré la semaine dernière devant le Council on Foreign Relations qu’il ne considérait pas l’accord d’Istanbul comme un point de départ. « Je pense que nous devons développer quelque chose d’entièrement nouveau ».

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Le prix de l’or augmente avant la publication des données sur l’inflation aux États-Unis

12. März 2025 um 13:31

Les prix de l’or ont augmenté mardi 11 mars 2025, soutenus par la demande d’actifs refuges. Les investisseurs évitant le risque en raison des inquiétudes concernant une guerre commerciale. Et l’accent étant mis sur les données d’inflation américaines.

L’or au comptant était en hausse, mardi 11 mars de 0,7 % à 2 908,94 $ l’once. Et ce, après avoir atteint son plus bas niveau depuis le 3 mars lors de la séance précédente. Tandis que les contrats à terme sur l’or américain étaient en hausse de 0,5 % à 2 913,70 $.

L’indice du dollar est tombé à son plus bas niveau en quatre mois, rendant le métal jaune moins cher pour les acheteurs étrangers. De même que les rendements des bons du Trésor américain à 10 ans ont également chuté.

Par ailleurs, les politiques commerciales erratiques du président américain Donald Trump – imposant des droits de douane sur les importations en provenance du Canada et du Mexique, puis les reportant et les augmentant sur les importations en provenance de Chine – ont perturbé les marchés financiers mondiaux. La Chine et le Canada ont réagi en imposant des contre-tarifs.

Lire aussi : Trump impose des droits de douane tous azimuts, quitte à fâcher le marché

Les données de l’IPC américain pour février

« Nous nous attendons à ce que l’attention des investisseurs à court terme reste portée sur l’impact des changements de politique, en particulier les tarifs douaniers, sur les perspectives de croissance et d’inflation aux États-Unis et sur la manière dont ils affecteront les prix réels et déclencheront des achats par les banques centrales mondiales », a déclaré Trevor Yates, analyste chez GlobalX.

De son côté, le président américain a refusé de spéculer lors d’une interview accordée à Fox News dimanche sur la question de savoir si les tarifs douaniers qu’il a imposés entraîneraient une récession aux États-Unis, faisant chuter les actions mondiales.

« Tous les regards seront tournés vers les données de l’IPC américain pour février, qui doivent être publiées ce mercredi 12 mars, et nous nous attendons à ce que l’inflation ralentisse au cours du mois », a ajouté M. Yates.

L’or est considéré comme une protection contre le risque politique et l’inflation, mais si des prix plus élevés forcent la Réserve fédérale américaine à maintenir des taux d’intérêt élevés, le métal jaune non productif pourrait perdre son attrait.

Parmi les autres métaux précieux, l’argent au comptant a augmenté de 0,8 % à 32,35 $ l’once, le platine a augmenté de 0,5 % à 962,40 $ et le palladium a gagné 0,3 % à 945,43 $.

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Les exportations alimentaires russes vers l’Afrique augmentent de 19 % en 2024

12. März 2025 um 11:34

Les exportations agricoles russes vers les pays africains ont dépassé les 7 milliards de dollars en 2024. Soit une augmentation de 19 % par rapport à l’année précédente. C’est ce qu’a rapporté le 11 mars 2025 le département des exportations du ministère russe de l’Agriculture.

En 2024, les produits alimentaires russes ont été exportés vers 45 pays africains, l’Égypte restant le plus grand importateur de blé russe. En outre, la Russie a exporté vers le pays de l’huile de tournesol et de soja, des légumineuses, des graines de lin, de la levure et d’autres produits.

L’Algérie se classe au deuxième rang des importations alimentaires russes, suivie par la Libye, le Kenya et la Tunisie, selon les données d’Agroexport.

Les céréales – principalement le blé, l’orge et le maïs – ont représenté 87 % de toutes les expéditions alimentaires vers le continent africain. Les exportations de produits laitiers ont également connu une croissance significative l’année dernière.

« Au cours de la saison 2023/2024, les pays africains ont importé 21,2 millions de tonnes de blé, soit 38 % des exportations totales de blé de la Russie. À titre de comparaison, 17,6 millions de tonnes ont été importées au cours de la saison 2022/2023 et 10,6 millions de tonnes au cours de la saison 2021/2022. Au cours des cinq dernières années, la part de l’Afrique est restée stable autour de 40 %, à l’exception de la saison 2022/2023, où elle est tombée à 35 % », a déclaré Igor Pavensky, chef du département d’analyse de Rusagrotrans, une société d’exploitation d’infrastructures ferroviaires.

Les pays africains représentent déjà plus de 50 % des exportations totales de blé russe pour la saison en cours, avec 18 millions de tonnes expédiées de juillet à février. Cette augmentation est due à la hausse des exportations vers l’Égypte, l’Algérie, la Libye et le Maroc, ainsi que vers le Kenya, le Nigéria, la Tanzanie, le Mozambique, l’Éthiopie et d’autres pays, a noté M. Pavensky.

En janvier, Eduard Zernin, président de l’Union russe des exportateurs de céréales, a souligné la demande croissante de l’Afrique pour les céréales russes, l’attribuant à la haute qualité et aux prix compétitifs.

« Au cours de la saison 2024-25 en cours, les exportations [russes] vers le Maroc et le Nigeria ont déjà augmenté de manière significative. Le Kenya, qui est déjà l’un des principaux importateurs de céréales russes, augmente également ses volumes », a-t-il indiqué.

Selon Ruslan Khasanov, directeur du Centre d’assurance qualité des céréales, l’organisme russe de surveillance de la qualité des céréales, la Russie a dépassé la France en tant que premier fournisseur de céréales du Maroc à la fin de l’année dernière, en raison de prix compétitifs et de l’offre limitée de la France.

Omar Yacoubi, directeur de la Fédération nationale marocaine des négociants en céréales et légumineuses, a déclaré à Reuters en octobre que la France ne disposait pas d’une offre suffisante. Tandis que les prix compétitifs de la Russie la positionnaient comme le principal « teneur de marché ».

En avril 2024, le président russe Vladimir Poutine a appelé à une augmentation de 50 % des exportations agricoles d’ici 2030 par rapport aux niveaux de 2021, qui ont totalisé 37 milliards de dollars.

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Le Japon échoue à obtenir une exemption des droits de douane américains

12. März 2025 um 10:14

Le ministre japonais du Commerce, Yoji Muto, a déclaré mardi soir 11 mars 2025 qu’il n’avait pas réussi à obtenir des assurances de la part des responsables américains que Tokyo serait exempté des droits de douane, qui doivent entrer en vigueur mercredi 12 mars.

Muto était à Washington pour des négociations de dernière minute sur l’imposition de droits de douane sur une série d’exportations japonaises, notamment des voitures, de l’acier et de l’aluminium.

Il a expliqué que le Japon, qui contribue à l’économie américaine en investissant massivement et en créant des emplois aux États-Unis, « ne peut pas être soumis à des droits de douane de 25 pour cent » sur les exportations d’acier, d’aluminium et d’automobiles vers l’Amérique, selon Associated Press.

Le ministre nippon du Commerce a déclaré que les responsables américains avaient reconnu les contributions du Japon et accepté de poursuivre les négociations, mais n’avaient pas accédé à sa demande d’exempter le Japon des droits de douane sur les importations d’acier.

La réunion du ministre avec le secrétaire américain au Commerce, Howard Lutnick, le représentant américain au Commerce, Jamison Greer, et le conseiller économique de la Maison Blanche, Kevin Hassett, lundi, a eu lieu deux jours avant l’entrée en vigueur des tarifs sur l’acier et l’aluminium.

Le président américain Donald Trump a déclaré qu’un tarif potentiel de 25 % sur les importations de voitures étrangères pourrait entrer en vigueur dès avril.

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L’Ukraine accepte la proposition américaine d’un cessez-le-feu immédiat de 30 jours

12. März 2025 um 09:11

Les Etats-Unis ont accepté, mardi 11 mars 2025, de reprendre l’aide militaire et le partage de renseignements avec l’Ukraine. Et ce, après des discussions au cours desquelles Kiev a déclaré accepter la proposition américaine pour un cessez-le-feu de 30 jours dans son conflit avec la Russie. C’est ce qu’ont indiqué les deux pays dans un communiqué conjoint.

Le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, a déclaré que les Etats-Unis allaient désormais soumettre l’offre à la Russie, et que la balle était dans le camp de Moscou.

« Notre espoir est que les Russes répondront ‘oui’ le plus rapidement possible, afin que nous puissions passer à la deuxième phase, qui est celle des véritables négociations », a déclaré Rubio aux journalistes, en référence au président américain Donald Trump, après plus de huit heures de discussions à Djeddah, en Arabie saoudite.

La réaction de Moscou est loin d’être certaine

Le président russe Vladimir Poutine s’est dit ouvert à la discussion d’un accord de paix, mais lui et ses diplomates ont déclaré à plusieurs reprises qu’ils étaient contre un cessez-le-feu et qu’ils chercheraient à conclure un accord qui garantisse la « sécurité à long terme » de la Russie. Poutine a exclu toute concession territoriale et a déclaré que l’Ukraine devait se retirer complètement de quatre régions ukrainiennes revendiquées et partiellement contrôlées par la Russie.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui était en Arabie saoudite mais n’a pas participé aux pourparlers, a déclaré que le cessez-le-feu était une « proposition positive », qui couvre la ligne de front du conflit, et pas seulement les combats aériens et maritimes. « Lorsque les accords entreront en vigueur, pendant ces 30 jours de ‘silence’, nous aurons le temps de préparer avec nos partenaires au niveau des documents de travail tous les aspects pour une paix fiable et une sécurité à long terme », a souligné Zelensky.

Pour sa part, Rubio a déclaré que le plan serait transmis aux Russes par plusieurs canaux. Le conseiller à la sécurité nationale de Trump, Mike Waltz, devait rencontrer son homologue russe dans les prochains jours, et l’envoyé spécial de Trump, Steve Witkoff, prévoit de se rendre à Moscou cette semaine pour rencontrer Poutine.

L’accord entre les États-Unis et l’Ukraine marque un tournant radical par rapport à la réunion acrimonieuse du 28 février à la Maison Blanche entre le président républicain américain, qui est depuis longtemps sceptique à l’égard de l‘aide à l’Ukraine, et Zelensky.

Dans une déclaration conjointe publiée mardi soir, les deux pays ont indiqué qu’ils étaient convenus de conclure dès que possible un accord global pour le développement des ressources minérales essentielles de l’Ukraine, qui était en préparation et a été mis en suspens par cette réunion.

À la suite de cette rencontre houleuse, les États-Unis avait interrompu le partage de renseignements et les livraisons d’armes à l’Ukraine, soulignant la volonté de Trump de faire pression sur un allié des États-Unis alors qu’il s’oriente vers une approche plus conciliante envers Moscou.

Au final, Trump a déclaré qu’il inviterait Zelensky à revenir à la Maison Blanche.

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Trump augmente à 50 % les droits de douane sur l’acier et l’aluminium du Canada

12. März 2025 um 08:00

Donald Trump a doublé mardi 11 mars 2025 les tarifs prévus sur tous les produits en acier et en aluminium importés aux États-Unis en provenance du Canada, les tarifs s’élevant désormais à 50 %, en réponse à l’imposition par la province de l’Ontario d’un tarif de 25 % sur l’électricité importée des États-Unis.

Trump, dans un message publié sur Truth Social, a déclaré qu’il avait demandé au secrétaire américain au Commerce d’imposer des droits de douane supplémentaires de 25 % sur ces produits à partir de mercredi 12 mars.

« Le Canada doit également éliminer les droits de douane de 250 à 390 % sur divers produits laitiers américains, qui sont considérés comme scandaleux. Je vais bientôt déclarer l’état d’urgence énergétique national dans la région menacée », a écrit M. Trump.

Il a également menacé d’augmenter « de manière significative » les tarifs sur les voitures entrant aux États-Unis le 2 avril si le pays voisin ne supprime pas les tarifs.

Le président américain a étendu l’application des tarifs douaniers sur l’aluminium et l’acier à une large gamme de produits dérivés d’une valeur de près de 150 milliards de dollars fabriquée à partir des deux métaux. Les droits de douane touchent tout, des écrous et boulons aux excavatrices et aux bulldozers.

De son côté, le nouveau Premier ministre du Canada, Mark Carney, a déclaré que les tarifs douaniers du président américain Donald Trump constituent une « attaque » contre les travailleurs, les familles et les entreprises du pays. « Mon administration maintiendra les tarifs [sur les produits américains] jusqu’à ce que les Américains nous respectent et prennent des engagements crédibles et valables en faveur d’un commerce libre et équitable avec le Canada », a-t-il souligné dans un message.

Mais selon plusieurs médias citant un conseiller de la Maison Blanche, le doublement des droits de douane sur l’acier et l’aluminium canadiens, annoncé en début de journée (mardi), ne deviendra pas réalité.

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Les tarifs douaniers font chuter les actions américaines 

11. März 2025 um 13:07

Les actions américaines ont clôturé en baisse lundi 10 mars 2025. Les inquiétudes concernant les tarifs douaniers et une éventuelle fermeture du gouvernement fédéral faisant craindre que l’économie américaine ne glisse vers la récession.

Le président américain Donald Trump a refusé dimanche 9 mars de commenter la réaction négative du marché à ses changements de mesures tarifaires contre les principaux partenaires commerciaux des États-Unis. De même qu’il ne s’est pas prononcé pour savoir si les inquiétudes concernant ses changements de politique erratiques pourraient faire basculer l’économie dans la récession.

A souligner au passage que HSBC a dégradé la note des actions américaines, invoquant l’incertitude liée aux tarifs douaniers.

« Si vous voulez savoir ce qu’il se passe sur le marché américain, arrêtez de vous soucier des tarifs douaniers et commencez à vous préoccuper des rendements des obligations d’État japonaises », a déclaré Thomas Hayes, président de Great Hill Capital à New York. « Le carry trade est en baisse, et tout cet argent chaud était dans le groupe des Sept (Microsoft, Apple, Nvidia, Alphabet, Meta Platforms, Amazon, Tesla). C’est pourquoi les actions technologiques sont en baisse ».

Dans ce cas, le carry trade consiste à emprunter des yens à faible coût pour investir dans d’autres devises et actifs offrant un rendement plus élevé, comme le dollar et les obligations du Trésor américain.

Fermeture du gouvernement

Pour ajouter à l’instabilité, les législateurs du Congrès s’efforcent d’adopter un projet de loi de dépenses pour éviter une fermeture du gouvernement.

Par ailleurs, les contre-tarifs chinois sur certaines importations américaines devraient entrer en vigueur lundi 17 mars. Tandis que les tarifs américains sur certains métaux essentiels devraient entrer en vigueur plus tard dans la semaine.

Selon les données préliminaires, le Standard &Poor’s 500 a perdu 155,21 points, soit 2,69 %, pour clôturer à 5 614,99 points. Alors que le Nasdaq Composite a perdu 726,01 points, soit 3,99 %, pour clôturer à 17 470,21 points. Enregistrant ainsi sa pire journée depuis 2022. Le Dow Jones Industrial Average a chuté de 890,63 points, soit 2,08 %, pour clôturer à 41 911,09 points.

Le groupe des « Sept Magnifiques » — autrefois les stars de ce marché haussier — a mené les baisses lundi. Les investisseurs ayant abandonné le groupe au profit d’actions plus sûres. Les actions de Tesla ont chuté de 13 %, se dirigeant vers leur pire journée depuis 2020. Tandis qu’Alphabet, Meta et le chouchou de l’IA Nvidia ont perdu environ 5 %. Palantir, une autre action appréciée des détaillants, a chuté de plus de 10 %.

Données faibles

Les inquiétudes concernant l’économie se sont accrues au cours du mois dernier, initialement suscitées par des données faibles qui semblaient être une réaction à la politique tarifaire de va-et-vient, puis alimentées par certains commentaires récents de la Maison Blanche.

Le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, a déclaré vendredi 7 mars à CNBC qu’il pourrait y avoir une « période de détoxification » pour l’économie; alors que la nouvelle administration réduit les dépenses publiques. Dans une interview diffusée dimanche sur Fox News, Trump a répondu à une question sur la possibilité d’une récession en déclarant que l’économie était dans une « période de transition. Ce que je dois faire, c’est construire un pays fort. On ne peut pas vraiment surveiller le marché boursier ».

Les prévisions de croissance économique sont revues à la baisse

De son côté, Goldman Sachs Group Inc. a réduit ses prévisions de croissance économique ces derniers jours en raison de l’impact potentiel des tarifs douaniers. « Nous sommes au milieu d’une correction artificielle », a déclaré Sam Stovall, stratège en chef des investissements chez CFRA Research. « Je dis que c’est fabriqué parce que c’est en fait basé sur la réponse aux programmes de tarifs douaniers de la nouvelle administration, ou du moins aux menaces de tarifs douaniers, et sur le type d’impact que cela pourrait avoir sur l’économie. »

Les signes d’aversion au risque des investisseurs étaient évidents partout à Wall Street. L’indice de volatilité du Chicago Mercantile Exchange, un indicateur des craintes des traders, a atteint son plus haut niveau depuis décembre. Le Bitcoin est tombé en dessous de 80 000 dollars et les rendements du Trésor ont chuté.

La baisse du S&P 500 aurait été pire sans le pivot vers certains secteurs plus défensifs du marché qui génèrent des revenus stables et versent des dividendes.

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Baisse des échanges commerciaux entre l’Algérie et la France

11. März 2025 um 11:36

La poursuite de la crise politique entre l’Algérie et la France a affecté les relations économiques, puisque les échanges commerciaux entre les deux pays ont diminué de 4,3 % en 2024, atteignant 11,1 milliards d’euros, selon les derniers chiffres publiés le 10 mars 2025 par la Direction générale du trésor, relevant du ministère français de l’Economie.

Bien que la même source ait justifié la baisse enregistrée par la diminution des prix du pétrole, au motif qu’elle a entraîné une contraction des importations françaises en provenance d’Algérie, l’impact des tensions politiques et diplomatiques entre l’axe Alger-Paris, qui a connu une tendance à la hausse au second semestre de l’année dernière après que le président français a reconnu le « plan d’autonomie » pour le Sahara occidental, jette une ombre sur le secteur économique, à un moment où les deux parties n’excluent pas d’utiliser les cartes de pression à leur disposition.

A cet égard, les chiffres de la Direction générale du trésor français indiquent une baisse des importations françaises en provenance d’Algérie de 11,2 % en 2024 à 6,3 milliards d’euros contre 7,1 milliards d’euros en 2023. Le document du Trésor français précise que « cette baisse est principalement due à la baisse des prix mondiaux du pétrole, un secteur qui représente 79,4 % des exportations algériennes vers la France ». Les ventes de carburants à la France ont enregistré une baisse de 14 %, passant de 5,8 milliards d’euros en 2023 à 5 milliards d’euros en 2024.

« Malgré ce recul, certains secteurs ont montré une grande résilience », a indiqué la source, notant que les produits pétroliers raffinés ont progressé de 3,7 % à 789 millions d’euros.

En revanche, les importations françaises de produits industriels algériens, hors secteur des hydrocarbures, ont légèrement diminué de 2,6 % pour atteindre 414 millions d’euros.

Au cours de la même période, les exportations françaises de biens vers l’Algérie ont progressé de 6,6 % sur un an pour atteindre 4,8 milliards d’euros, après une légère baisse de 0,5 % en 2023.

Ventes agricoles françaises à l’Algérie

La crise actuelle entre Paris et Alger a affecté les ventes du secteur agricole français vers l’Algérie, un secteur qui a longtemps été un pilier des échanges franco-algériens, qui se hisse désormais à la quatrième place des exportations malgré la forte reprise des ventes de céréales françaises au premier semestre, qui ont bondi de 105,6 %, atteignant 329 millions d’euros sur un an après une forte contraction de 80,7 % en 2023.

En revanche, les exportations de produits de l’industrie agroalimentaire, à la cinquième place des exportations, ont fortement chuté à 21,9 %, passant de 408 millions d’euros en 2023 à 319 millions d’euros en 2024.

Malgré toutes ces circonstances, l’Algérie maintient sa position de deuxième marché des exportations françaises en Afrique, après le Maroc (7,4 milliards d’euros) et devant la Tunisie (3,4 milliards d’euros), selon le même document.

La même publication a également évoqué le solde des investissements directs étrangers français en Algérie, selon les données de la Banque de France, où la valeur des projets d’investissement des entreprises françaises en Algérie (c’est-à-dire les flux totaux, ajustés du taux de change) s’élevait à 2,8 milliards d’euros en 2023. Ce qui place également la France à la troisième place des investisseurs en Algérie, derrière les États-Unis et l’Italie. Les investissements directs étrangers français se concentrent dans trois secteurs : les services financiers, l’industrie manufacturière et les industries extractives.

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L’Ukraine veut obtenir un cessez-le-feu lors des pourparlers en Arabie saoudite

11. März 2025 um 10:16

L’Ukraine devrait faire pression pour un cessez-le-feu en mer et dans les airs lors des prochains pourparlers de paix en Arabie saoudite, a rapporté lundi 10 mars 2025 la BBC, citant un responsable. 

Des responsables ukrainiens et américains discuteront des moyens d’apporter la paix, même si ni le président américain Donald Trump ni son homologue russe ne seront présents.

Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré que la Russie se trouvait à « une étape initiale de restauration des relations bilatérales » avec les États-Unis. Il a également souligné qu’il est « important de comprendre si les autorités ukrainiennes veulent la paix ou non ».

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a pour sa part déclaré que « l’Ukraine se bat pour la paix depuis la première seconde de la guerre » lors de sa rencontre lundi avec le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane à Djeddah

Les États-Unis constatent des progrès dans les négociations et espèrent un accord sur les minéraux

Les Etats-Unis s’attendent à des progrès substantiels dans les négociations sur l’Ukraine cette semaine, espérant qu’un accord pourra être signé sur des minéraux clés, a déclaré l’envoyé du président américain Donald Trump au Moyen-Orient, Steve Witkoff. « Je pense que nous y allons avec l’espoir de réaliser des progrès substantiels », a-t-il déclaré dans une interview à Fox News.

Interrogé sur son intention de voir le président ukrainien Volodymyr Zelensky revenir aux Etats-Unis pour signer l’accord sur les minéraux cette semaine, il a répondu : « Je suis effectivement optimiste. Toutes les indications sont très, très positives ».

Witkoff a également noté que parmi les questions importantes sur la table figureront les protocoles de sécurité pour les Ukrainiens et les questions territoriales. En outre, le partage d’informations sera également abordé lors des réunions de cette semaine.

Marco Rubio s’est montré quant à lui optimiste sur la rencontre prévue ce mardi entre responsables américains et ukrainiens en Arabie saoudite. Cependant, comme il l’a noté, « il reste encore quelques détails à régler concernant l’accord entre Washington et Kiev sur les terres rares ».

S’adressant aux journalistes en route vers Djeddah, en Arabie saoudite, Rubio a déclaré que « Washington doit comprendre la position de l’Ukraine et avoir une idée générale des concessions que les Ukrainiens peuvent faire ».

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L’escalade de la violence en Syrie inquiète l’ONU

11. März 2025 um 09:53

« Le secrétaire général exprime sa profonde préoccupation suite à l’escalade de la violence dans les zones côtières de la Syrie, où des exécutions sommaires généralisées ont eu lieu, y compris de familles entières, et où notre collègue de l’UNRWA – l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient – a perdu la vie ». C’est ce qu’a déclaré, lundi 10 mars 2025, le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, Stéphane Dujarric, lors d’un point de presse au siège de l’organisation à New York.

Le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres exprime ses sincères condoléances aux Syriens qui pleurent la perte de leurs proches et souhaite un prompt rétablissement aux blessés. Il appelle toutes les parties à protéger les civils et à cesser toute rhétorique et action incendiaires, alors que la Syrie est confrontée aux conséquences de 14 années de conflit et de plus de cinq décennies de régime autoritaire.

« L’effusion de sang en Syrie doit cesser immédiatement et les auteurs de violations doivent être tenus pour responsables. Les préoccupations des communautés syriennes doivent être prises en compte de manière significative », a souligné Stéphane Dujarric.

Il a également déclaré que l’escalade de la violence en Syrie avait de graves répercussions sur les civils et les infrastructures civiles. Ces derniers, des centaines de personnes – dont des femmes, des enfants et du personnel médical – auraient été tuées. Des milliers de personnes auraient été déplacées dans la région et des milliers d’autres auraient traversé la frontière vers le Liban pour chercher sécurité.

« Nos collègues humanitaires nous indiquent que les coupures de courant dans la province de Lattaquié ont perturbé le pompage de l’eau. Les écoles de Lattaquié et de Tartous ont été fermées hier et aujourd’hui. L’autoroute Homs-Lattaquié reste bloquée, ce qui restreint encore davantage l’accès humanitaire … Les infrastructures civiles ont été gravement endommagées, notamment les hôpitaux et de nombreuses ambulances », a déclaré Dujarric.

Le Haut-Commissaire aux droits de l’homme, Volker Türk, a appelé à une enquête immédiate, transparente et impartiale sur tous les meurtres et autres violations, tout en soulignant que les responsables doivent être tenus responsables, conformément aux règles et normes du droit international.

Le coordinateur humanitaire des Nations unies pour la Syrie, Adam Abdelmoula, a appelé conjointement toutes les parties à « protéger les personnes et les infrastructures et à permettre l’acheminement sûr et sans entrave de l’aide humanitaire ».

Il assure que les Nations unies restent déterminées à répondre aux besoins humanitaires avec transparence et précision et exhorte tous les acteurs à se fier à des informations vérifiées lorsqu’ils rendent compte de leurs activités.

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Les pertes de l’Ukraine s’alourdissent en raison du gel des renseignements américains

10. März 2025 um 13:07

La récente suspension du partage de renseignements américains avec l’Ukraine a considérablement affaibli les capacités de défense de Kiev, entraînant des pertes importantes, des pertes territoriales – en particulier dans la partie occupée de la région russe de Koursk – et une chute du moral. C’est en tout cas ce que rapporte le magazine Time, citant des responsables occidentaux et ukrainiens au courant de la situation.

Un responsable anonyme a affirmé que le manque de renseignements américains avait directement entraîné « des centaines de morts ukrainiens ». Tout en ajoutant que « le plus gros problème est le moral ». Car Kiev est incapable d’utiliser efficacement certaines de ses armes les plus puissantes fournies par l’Occident.

Selon Time, l’arrêt brutal des échanges de renseignements a affecté la présence ukrainienne dans la région frontalière russe de Koursk, que le dirigeant ukrainien Vladimir Zelensky considère comme un atout dans les négociations de paix potentielles avec la Russie.

Selon les médias ukrainiens citant le site de surveillance Deep State, les forces russes ont presque coupé la base de Kiev dans la région de Koursk de la frontière.

Pénuries d’approvisionnement

Le New York Post, citant des sources, rapporte que les forces ukrainiennes dans la région pourraient mettre un terme à leur incursion d’ici deux semaines en raison de pénuries d’approvisionnement et de la détérioration des conditions sur le champ de bataille. Samedi 8 mars, le ministère russe de la Défense a confirmé des gains dans la région, affirmant que les troupes russes avaient « libéré » trois villages.

L’Ukraine a envahi la région de Koursk en août dernier et, même si elle a d’abord réalisé quelques gains, son avancée a été stoppée rapidement.

Vulnérabilité et perte de capacité…

Une source au sein du gouvernement de Zelensky a déclaré que la perte des renseignements américains avait eu des conséquences majeures au-delà de Koursk. L’Ukraine a perdu sa capacité à traquer les bombardiers et les avions de chasse russes. Ce qui rend la pays vulnérable aux attaques surprises. « C’est très dangereux pour notre peuple », a déclaré la source. « Cela doit être changé immédiatement. »

L’arrêt du partage de renseignements a également affaibli la capacité de l’Ukraine à lancer des frappes à longue et moyenne portée contre des positions militaires russes, car ces opérations dépendent fortement des informations de ciblage précises provenant des données de reconnaissance américaines, a ajouté Time.

Les États-Unis ont gelé l’aide militaire et le soutien au renseignement à l’Ukraine à la suite d’un échange houleux entre Zelensky et le président américain Donald Trump le 28 février à la Maison Blanche.

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