Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Gestern — 13. Juni 2025Haupt-Feeds

L’Iran riposte : Tel-Aviv touchée par des frappes directes !

13. Juni 2025 um 19:21

Dans une escalade sans précédent, l’Iran vient de lancer une salve de missiles balistiques en direction d’Israël, touchant directement la région de Tel-Aviv.

Cette riposte survient après une série d’attaques israéliennes sur des cibles militaires et nucléaires iraniennes, notamment dans la région d’Ispahan et près des installations nucléaires sensibles.

Selon des images en direct diffusées par Al Jazeera, plusieurs impacts ont été enregistrés. Des explosions ont été signalées à Tel-Aviv, provoquant visiblement des dégâts matériels.

« Des images filmées à Tel-Aviv montrent des missiles être interceptés par le bouclier anti-missiles israélien Dôme de fer. On peut voir la ville être touchée par une explosion et de la fumée s’en dégager », rapporte dans ce sens BFM TV.

L’article L’Iran riposte : Tel-Aviv touchée par des frappes directes ! est apparu en premier sur webdo.

Trump met en garde l’Iran : « Il faut conclure un accord avant qu’il ne reste plus rien »

Alors que les frappes israéliennes contre l’Iran provoquent une flambée des tensions au Moyen-Orient, Donald Trump appelle Téhéran à conclure rapidement un accord diplomatique. L’ex-président américain avertit que sans compromis, les prochaines attaques seront « encore plus brutales », et que l’Iran pourrait être détruit.

Dans un message publié ce vendredi 13 juin sur sa plateforme Truth Social, le président américain Donald Trump a lancé un avertissement ferme à l’Iran, au moment où les frappes israéliennes visant des sites militaires et nucléaires iraniens se poursuivent. Il estime qu’un accord diplomatique est encore possible, mais que le temps presse.

    « L’Iran doit conclure un accord avant qu’il ne reste plus rien », a écrit Trump, ajoutant que les prochaines attaques israéliennes pourraient être « encore plus brutales ».

Le dirigeant républicain affirme avoir donné « chance après chance » à Téhéran pour renégocier un accord sur le nucléaire, et accuse les dirigeants iraniens d’avoir ignoré ces opportunités. Il a salué la puissance de feu d’Israël, soulignant que l’État hébreu dispose « d’armes létales fabriquées aux États-Unis » et « sait s’en servir ».

Tout en dénonçant les « nombreuses pertes humaines et destructions » déjà causées, Trump assure qu’il est encore temps d’« arrêter ce massacre », avant que l’Iran ne subisse des dégâts irréversibles.

Frappes massives et riposte iranienne

L’opération israélienne, baptisée Operation Rising Lion, aurait ciblé plus de cent installations stratégiques en Iran, notamment les sites nucléaires de Natanz et d’Ispahan. Les médias internationaux rapportent des frappes aériennes massives et l’élimination de plusieurs hauts responsables des Gardiens de la Révolution, dont les généraux Hossein Salami et Mohammad Bagheri.

En réaction, Téhéran a lancé une centaine de drones armés en direction du territoire israélien, provoquant une alerte régionale et la fermeture de plusieurs espaces aériens au Moyen-Orient.

Washington en retrait, mais attentif

Selon l’agence Reuters, l’administration Trump aurait signifié à Israël qu’aucune assistance militaire offensive ne serait fournie pour ces opérations, tout en maintenant un appui en matière de renseignement et de défense, notamment en cas de représailles iraniennes.

Donald Trump a insisté sur le fait que les États-Unis n’étaient pas impliqués dans l’offensive israélienne, tout en profitant de la situation pour renouveler son appel à une résolution diplomatique. En février dernier, il avait réactivé sa stratégie de « pression maximale » contre l’Iran, combinant sanctions économiques renforcées et menaces militaires.

L’article Trump met en garde l’Iran : « Il faut conclure un accord avant qu’il ne reste plus rien » est apparu en premier sur webdo.

Israël bombarde l’Iran, Trump s’abstient : la région au bord du précipice

13. Juni 2025 um 05:58

Tel-Aviv a mené dans la nuit du 12 au 13 juin une série de frappes ciblées contre plusieurs sites stratégiques en Iran, provoquant la mort de hauts gradés du Corps des Gardiens de la Révolution. Téhéran promet une réponse “stratégique”. Washington, dirigé par Donald Trump, se dit non impliqué mais reste silencieux.

Dans un coup de force qui pourrait faire basculer le Moyen-Orient dans une nouvelle phase de confrontation ouverte, Israël a visé dans la nuit de jeudi à vendredi plusieurs infrastructures militaires et nucléaires iraniennes. L’opération, nommée Rising Lion, a notamment ciblé le site d’enrichissement d’uranium de Natanz, des centres de commandement du Corps des Gardiens de la Révolution à Téhéran, et des bases de missiles dans les villes de Khorramabad, Tabriz et Ispahan. Le général Hossein Salami, ancien chef du CGRI, aurait été tué dans les frappes, ce qui confère à cette offensive une portée politique aussi forte que militaire.

Le gouvernement iranien a immédiatement dénoncé une “agression planifiée” et a convoqué une réunion de crise du Conseil suprême de sécurité nationale. Dans un communiqué, le ministère iranien de la Défense a promis que cette attaque “ne resterait pas sans réponse” et a laissé entendre que les intérêts américains dans la région pourraient être considérés comme des cibles légitimes, au même titre qu’Israël.

Trump en retrait… ou complice ?

Cette attaque, bien que revendiquée unilatéralement par Tel-Aviv, s’inscrit dans un contexte stratégique où les États-Unis, depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche en janvier, ont clairement resserré leurs liens avec le gouvernement israélien de Benyamin Nétanyahou. Si la Maison-Blanche affirme n’avoir été ni informée ni associée à l’opération, le président Trump n’a formulé aucune condamnation, se contentant d’appeler à la “vigilance” tout en réaffirmant le droit d’Israël à se défendre.

Sur le terrain, la tension est palpable. Les forces américaines stationnées en Irak, au Koweït et au Qatar sont en alerte maximale. L’état-major américain redoute une réponse indirecte de l’Iran par l’intermédiaire de ses réseaux régionaux : Hezbollah au Liban, milices chiites en Irak et en Syrie, ou encore attaques navales sur les lignes de fret dans le détroit d’Ormuz et la mer Rouge. Un scénario d’embrasement fragmenté et prolongé, bien plus complexe qu’un affrontement direct.

En parallèle, l’attaque israélienne enterre de fait toute possibilité de reprise du dialogue sur le nucléaire iranien. Des discussions secrètes entre émissaires américains et iraniens, prévues à Oman dans les prochains jours, ont été suspendues sine die. L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), qui suivait de près le site de Natanz, n’a pas encore pu évaluer l’étendue des dégâts.

Ce raid soulève une série de questions sur l’efficacité à long terme d’une stratégie israélienne fondée sur la dissuasion par la force. En s’attaquant au territoire iranien, Tel-Aviv rompt un tabou stratégique et place Téhéran dans une position où l’absence de réponse affaiblirait considérablement son autorité régionale. Mais une réponse trop massive risquerait d’ouvrir un conflit de grande ampleur.

Le silence prudent de Donald Trump, qui depuis son retour au pouvoir se montre favorable à une ligne dure contre l’Iran, est interprété à Téhéran comme un aval implicite. Une position qui isole davantage les États-Unis sur la scène internationale, alors que l’Union européenne appelle à la désescalade et que la Russie et la Chine exigent une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU.

Au lendemain des frappes, la région semble suspendue à la décision que prendra Téhéran. Frappes ciblées, cyberattaques, ou attaques via des groupes armés ? Quelle que soit la forme, la riposte semble désormais inévitable. Et avec elle, le risque d’un engrenage qui pourrait redessiner durablement l’équilibre stratégique du Moyen-Orient.

L’article Israël bombarde l’Iran, Trump s’abstient : la région au bord du précipice est apparu en premier sur webdo.

❌
❌