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Heute — 29. Juni 2025Leconomiste Maghrebin

Accord de Mourabaha entre la STEG et la SIIFC discuté au Parlement

29. Juni 2025 um 19:36

Le Parlement tunisien s’apprête à examiner un projet de loi visant à approuver l’accord de garantie signé le 12 mars 2025 entre la Tunisie et la Société Internationale Islamique de Financement du Commerce (SIIFC).

Cet accord est lié à une opération de financement islamique de type « Mourabaha » conclue avec la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG), portant sur un montant de 70 millions de dollars (environ 217 millions de dinars).

Un financement pour l’importation de gaz naturel

Selon un document émis par la présidence de la République, ces fonds permettront à la STEG de financer l’importation de gaz naturel, essentiel pour répondre à la hausse de la demande en électricité durant la période estivale.

A noter que la formule de Mourabaha – un contrat de vente à prix coûtant, majoré d’une marge bénéficiaire convenue à l’avance – est couramment utilisée dans le cadre de la finance islamique. Ce mécanisme permet à la Tunisie de diversifier ses sources de financement tout en respectant les principes de la finance participative.

Ce partenariat s’inscrit dans une stratégie visant à garantir la sécurité énergétique du pays. En mobilisant ces ressources, la STEG pourra honorer ses engagements contractuels avec ses fournisseurs internationaux et maintenir une production électrique stable durant les pics de consommation.

L’accord traduit aussi une volonté claire des autorités tunisiennes de recourir à des solutions alternatives et innovantes de financement, face aux tensions budgétaires et à la volatilité des marchés énergétiques.

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Le coût du microcrédit s’envole : le TEG atteint 25,7 % fin 2024

29. Juni 2025 um 18:56

Le taux effectif global (TEG) appliqué aux emprunteurs auprès des institutions de microfinance en Tunisie a atteint 25,7 % à la fin de l’année 2024, selon les dernières données publiées par l’Autorité de Contrôle de la Microfinance (ACM).

Ce taux inclut l’ensemble des coûts liés à un crédit, notamment les intérêts, frais de dossier et primes d’assurance. Il représente ainsi le coût réel du crédit pour l’emprunteur.

L’ACM, instance indépendante créée par le décret-loi n° 2011-117 du 5 novembre 2011, est chargée de superviser les activités des institutions de microfinance. Elle est composée d’une direction générale et d’un conseil d’administration, réunissant des représentants du ministère des Finances, de la Banque centrale de Tunisie, et d’autres acteurs institutionnels.

D’après ses statistiques, plus de 800 000 clients ont bénéficié de microcrédits en 2024, pour un montant global de 2 562,5 millions de dinars. À titre de comparaison, en 2023, 769 150 clients avaient accédé au microcrédit, pour un total de 2 211,3 millions de dinars.

Ces chiffres traduisent à la fois une croissance du nombre de bénéficiaires et une augmentation des flux financiers mobilisés par le secteur. Néanmoins, l’ACM met en garde contre la hausse du TEG, qui pourrait freiner l’objectif central de la microfinance : favoriser l’inclusion financière des populations vulnérables.

Face à cette problématique, les autorités tunisiennes renforcent leurs programmes d’appui à l’inclusion financière. L’ambition est claire : faciliter l’accès au financement pour les personnes à faibles revenus, stimuler la croissance économique et encourager la création d’emplois.

Dans ce cadre, une ligne de crédit de 20 MDT a été mise en place dans la loi de finances 2025, pour soutenir les catégories les plus fragiles sur le plan économique et social.

Le paysage de la microfinance en Tunisie comprend actuellement 7 institutions agréées, opérant via 232 agences réparties à l’échelle nationale, ainsi qu’une huitième structure associative et 289 associations de microfinance actives selon le cadre réglementaire du décret-loi de 2011.

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Guinée – Révolution à la CNSS : bienvenue aux retraites numériques !

29. Juni 2025 um 17:27

« Dès juillet 2025, la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) tournera une page de son histoire : fini les longues files d’attente pour récupérer des espèces, place à une nouvelle ère – celle du paiement 100 % dématérialisé des pensions ».

C’est ce que rapporte le site guinéen guineenews.org, avec cette phrase en préambule : « C’est une petite révolution qui se prépare dans le quotidien de milliers de retraités guinéens ».

Il ne s’agit pas d’une révolution brutale, mais d’un processus certes audacieux mais mené en douce, réfléchi depuis plusieurs. En effet, la CNSS « a patiemment semé les graines de sa transformation digitale. Aujourd’hui, elle accélère, portée par un double impératif : moderniser ses services et renforcer l’inclusion financière, surtout auprès de ses populations les plus vulnérables ».

En fait, il s’agit davantage d’une “évolution humaine“ qu’un changement technique, explique la direction de l’institution. Car « derrière cette réforme, il y a des visages, des histoires, des habitudes à bousculer », écrit guineenews.org. C’est donc consciente de ces enjeux que la CNSS a formé toutes ses directions afin de pouvoir accompagner, rassurer, guider…

Ainsi, « dans les quartiers de Conakry comme dans les villages reculés du pays, des agents sillonnent le terrain, expliquent les nouvelles procédures, aident à créer un compte mobile ou bancaire, montrent comment recevoir sa pension sur un téléphone. Un vrai travail de proximité, humain, patient, pédagogique ».

Et le résultat est déjà là, comme le témoigne un retraité : « Je ne savais même pas qu’on pouvait toucher sa retraite sur un téléphone. Maintenant, je reçois un SMS et l’argent est là, plus besoin d’attendre sous le soleil », confie Sory, 67 ans, ancien cheminot à la retraite, désormais converti au portefeuille électronique.

Du virement bancaire au mobile money : à chacun sa solution

L’un des grands avantages de la réforme de la CNSS, c’est inévitablement sa souplesse. « Pas question d’imposer un modèle unique. Virements bancaires, cartes rechargeables, portefeuilles mobiles (type Orange Money, MTN MoMo, etc.)… : chacun peut choisir le canal qui lui convient. Une attention particulière est portée aux retraités sans compte bancaire, pour qui des solutions adaptées sont proposées, y compris dans les zones rurales ».

Bien entendu, l’institution ne laisse rien au hasard. En effet, pour garantir une transition fluide, des campagnes d’information massives sont en cours dans toutes les préfectures, selon notre source. Dans ce cadre, « la CNSS renforce ses partenariats avec les banques, les institutions de microfinance, les opérateurs mobiles, et surtout, reste à l’écoute des retraités. Des guichets d’assistance seront déployés pour éviter toute rupture de service ».

Pour ceux qui l’ignorent encore, le paiement mobile est très répandu dans les pays d’Afrique subsaharienne, pas besoin de TPE ou d’un compte bancaire, vous pouvez tout acheter – et même retirer – à travers votre téléphone. Et cette solution facilite la vie des populations. Comme quoi, parfois le manque de développement – bancaire – constitue un atout.

Un symbole de respect et de modernité

Ce passage au tout numérique est bien plus qu’une réforme administrative. Il reflète une vision : celle d’un État qui respecte ses aînés, qui valorise leur temps, leur sécurité et leur dignité. Moins de files d’attente, moins de risques liés au transport d’argent liquide, plus de rapidité, plus de transparence.

« Nous voulons que nos retraités touchent leur pension avec facilité et fierté, où qu’ils soient », résume un cadre de la CNSS.

Qui dit et fait mieux !

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Risques de noyade : appel à la vigilance

29. Juni 2025 um 15:53

Le ministère de la Santé a appelé, dimanche 29 juin, à faire preuve de vigilance et à adopter les bons réflexes pour prévenir les risques de noyade.

Rappelant que la noyade n’est pas toujours bruyante ni visible, le ministère insiste sur la nécessité d’une surveillance permanente et rapprochée des enfants, que ce soit en mer ou en piscine, et recommande de leur apprendre à nager dès le plus jeune âge.

Le département de la Santé souligne également l’importance de respecter les consignes de sécurité et les interdictions de baignade, de privilégier les zones surveillées et sécurisées, d’installer des barrières de protection autour des piscines privées, et de veiller à ce qu’elles soient systématiquement fermées.

Cet appel à la prudence intervient après la noyade, samedi, de trois jeunes filles originaires de Khanga El Hajjej au large de Soliman (gouvernorat de Nabeul), ainsi que la disparition d’une fillette de trois ans sur la plage d’Aïn Gharnez, à Kélibia.

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Classement WTA : Ons Jabeur 59e, Sabalenka en tête, Swiatek 4e

29. Juni 2025 um 15:41

La Tunisienne Ons Jabeur reste stable au 59e rang mondial pour la deuxième semaine consécutive, selon le classement WTA publié dimanche 29 juin.

Après une élimination précoce au premier tour du WTA 250 d’Eastbourne, où elle s’est inclinée, lundi 23 juin, face à l’Australienne Maya Joint (51e) en deux sets (5-7, 2-6), la numéro un tunisienne se tourne désormais vers Wimbledon, le troisième tournoi du Grand Chelem de la saison.

Ons Jabeur débutera sa campagne londonienne le 30 juin contre la Bulgare Viktoriya Tomova (81e mondiale). En cas de succès, elle pourrait affronter la gagnante du duel entre la Lettonne Jelena Ostapenko (20e) et la Britannique Sonay Kartal (49e), une rencontre qui promet d’être très disputée.

Dans le Top 10, la Bélarusse Aryna Sabalenka conserve sa place de numéro un mondiale, tandis que la Polonaise Iga Swiatek, finaliste, samedi 28 juin, sur le gazon de Bad Homburg, progresse de quatre rangs pour se hisser à la 4e position.

Swiatek, déchue de son trône de N.1 en octobre dernier au profit de Sabalenka, n’a pas réussi à décrocher son premier titre sur gazon, battue par Jessica Pegula, qui reste solidement installée à la 3e place mondiale.

Cette remontée de la Polonaise se fait au détriment de Jasmine Paolini (-1, 5e), finaliste surprise à Wimbledon l’an passé, et de Zheng Qinwen (-1, 6e), qui perdent quelques places.

Classement WTA au 30 juin 2025 :

  1. Aryna Sabalenka (BLR) – 11 640 pts

  2. Coco Gauff (USA) – 7 899 pts

  3. Jessica Pegula (USA) – 6 483 pts

  4. Iga Swiatek (POL) – 4 943 pts (+4)

  5. Jasmine Paolini (ITA) – 4 806 pts (-1)

  6. Zheng Qinwen (CHN) – 4 803 pts (-1)

  7. Mirra Andreeva (RUS) – 4 743 pts

  8. Madison Keys (USA) – 4 484 pts (-2)

  9. Paula Badosa (ESP) – 3 684 pts

  10. Emma Navarro (USA) – 3 610 pts

  11. Ons Jabeur (TUN) – 1 023 pts

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Météo : Vigilance jaune à Nabeul, Sousse, Monastir, Mahdia et Sfax

29. Juni 2025 um 15:19

L’Institut national de la météorologie (INM) a actualisé, dimanche 29 juin, sa carte de vigilance, plaçant les gouvernorats de Nabeul, Sousse, Monastir, Mahdia et Sfax en vigilance jaune.

Selon l’INM, des vents assez forts à localement forts souffleront en rafales près des côtes Est, dépassant temporairement les 60 km/h.

L’institut appelle à la prudence, notamment lors de la pratique d’activités sensibles aux conditions météorologiques.

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ARP : examen du prêt pour moderniser la Protection civile

29. Juni 2025 um 14:52

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) entamera, mardi 1er juillet, à 10h, l’examen du projet de loi portant approbation de l’accord de prêt signé le 24 septembre 2024 entre la République tunisienne et l’Agence française de développement (AFD), destiné à financer le projet de modernisation de l’Office national de la protection civile (ONPC). Ce projet de loi a reçu un avis favorable de la commission des finances lors de sa réunion du 19 juin dernier.

Lors des discussions au sein de cette commission, le représentant du ministère de l’Économie et de la Planification a indiqué que le montant du prêt a été déterminé sur la base d’une étude de faisabilité, identifiant les besoins prioritaires pouvant être mis en œuvre immédiatement.

Il a également précisé que ce prêt direct bénéficie de la garantie de l’État, ajoutant que la diversification des sources de financement de l’Office contribuerait à répondre à ses besoins croissants.

Intervenant à son tour, le directeur général de l’Office national de la protection civile a expliqué que les fonds seront utilisés pour construire un bâtiment comprenant notamment un centre de gestion des appels d’urgence, des équipements pour la modernisation numérique, ainsi qu’un centre national de gestion des catastrophes.

Il a en outre souligné que l’Office bénéficie d’une réputation solide à l’échelle régionale.

Au cours de la réunion, les représentants de l’Office National de la Protection Civile nt présenté un exposé sur leur stratégie de développement, axée sur le renforcement des capacités opérationnelles et l’amélioration de la qualité des services d’urgence.

Ils ont appelé à un soutien accru, tant en ressources matérielles qu’humaines, en plaidant pour une augmentation du budget alloué et la mise en place d’un programme exceptionnel de recrutement, afin d’optimiser la qualité des services rendus aux citoyens.

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La cheffe du gouvernement à Séville pour la Conférence onusienne sur le financement

29. Juni 2025 um 13:25

La Cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, est arrivée ce dimanche 29 juin, à Séville (Espagne) pour participer aux travaux de la quatrième Conférence internationale des Nations unies sur le financement du développement (FfD4), prévue du 30 juin au 1er juillet 2025.

Accueillie à l’aéroport international de Séville par l’ambassadrice de Tunisie en Espagne, Fatma Omrani Chargui, la Cheffe du gouvernement prendra part à une série de panels portant sur diverses questions économiques.

Elle s’entretiendra également avec des chefs d’État et de gouvernement, ainsi qu’avec des responsables d’institutions financières internationales et de grands groupes internationaux.

Cette quatrième édition de la Conférence sur le financement du développement vise à réformer les mécanismes de financement à tous les niveaux, notamment en donnant un nouvel élan à la réforme de l’architecture financière internationale, et à relever les obstacles qui freinent l’investissement.

La FfD4 réunit de nombreux dirigeants gouvernementaux, ainsi que des représentants d’organisations internationales et régionales, d’institutions financières et commerciales, d’entreprises, de la société civile et du système des Nations unies, afin de repenser les modalités de financement du développement durable.

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La plage de Soliman a fait trois victimes ce week-end

29. Juni 2025 um 13:16

Les unités de la protection civile ont repêché, dimanche 29 juin, les corps de deux jeunes décédés par noyade la veille, sur la plage de Soliman, dans le gouvernorat de Nabeul. Ils étaient originaires de la région de Khanga El-Hajjaj (délégation de Grombalia).

Ce repêchage est intervenu après plusieurs heures de recherche par les unités de la garde nationale et de la protection civile, dans des conditions difficiles dues à de forts vents, selon la radio Diwan FM.

A noter également qu’une jeune fille de 17 ans est morte, samedi, par noyade sur la plage de Soliman après avoir été emportée par les courants marins amplifiés par les vents.

Les trois corps ont été transférés à l’hôpital universitaire Tahar Maamouri de Nabeul pour y être autopsiés afin de déterminer les causes du décès.

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Le retour triomphal de l’or

29. Juni 2025 um 12:57

Plusieurs Banques centrales renforcent leurs réserves en or, une évolution liée aux incertitudes qui pèsent sur le système monétaire mondial, rapporte « Courrier international ».

Longtemps qualifié de « relique barbare », selon l’expression de l’économiste John Maynard Keynes, le métal jaune a perdu son rôle central avec la fin du système monétaire international basé sur l’étalon-or dans les années 1970. Ainsi, les Banques centrales ont, pendant des décennies, vendu leurs réserves, considérant que l’or n’avait plus sa place dans l’économie moderne.

Ceci étant, l’or a toujours été considéré comme une valeur refuse pendant les périodes troubles ou incertaines, comme c’est le cas actuellement, avec les tarifs douaniers de Trump et sa guerre commerciale. D’où son retour spectaculaire, au point de constituer le deuxième actif de réserve des banques centrales.

Le cours de l’or a grimpé à des sommets historiques, attirant de plus en plus d’investisseurs prudents en quête d’un refuge face aux incertitudes politiques et économiques.

Contrairement à d’autres actifs, l’or ne présente pas de risque de contrepartie, il est difficile à sanctionner et constitue une réserve de valeur apolitique…

Toutefois, certains économistes rappellent que l’étalon-or a souvent été source d’instabilité, notamment durant la Grande Dépression, car il limite la capacité des États à ajuster leur masse monétaire en période de crise.

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Algérie Poste : 500 000 DA/jour dans votre téléphone portable !

29. Juni 2025 um 12:40

500 000 dinars algériens. C’est notre chiffre du jour. Et c’est le plafond journalier maximal fixé par Algérie Poste pour le paiement électronique via le code QR.

Pour vous donner une idée sur ces 500 000 dinars algériens, ce montant est l’équivalent de 11 350 dinars tunisiens, ou environ 3 310 euros journaliers.

Et l’institution financière publique algérienne d’expliquer dans un communiqué : « Ce plafond élevé permet aux utilisateurs d’effectuer des achats de manière sécurisée et fluide via leur téléphone portable, sans avoir à transporter d’argent liquide ni à utiliser directement leur carte bancaire ». Vous avez saisi la différence avec d’autres pays de la région.

D’ailleurs, en Algérie la mesure est qualifiée de « bond qualitatif dans la modernisation des moyens de paiement et l’amélioration du niveau d’inclusion financière », relaie algerie360.com.

L’institution assure que « ce service sera progressivement généralisé à l’échelle nationale, dans le cadre du déploiement du service BaridPay, qui permet aux commerçants d’accepter les paiements via le code QR ». A noter que ce processus a effectivement débuté le 14 juin 2025.

Pour l’heure, la généralisation du service dans sa première phase se concentre sur les petits commerces, tels que les pharmacies et les points de vente locaux, considérés comme « la colonne vertébrale du commerce quotidien dans les quartiers et les zones résidentielles ».

Dans une deuxième phase, l’utilisation de ce service d’Algérie Poste sera étendue progressivement à divers secteurs commerciaux, y compris les grandes surfaces, les restaurants et les prestataires de services.

A souligner que cette initiative s’inscrit dans le contexte de la transformation numérique entreprise en Algérie, « qui comprend la modernisation des infrastructures financières et la facilitation de l’utilisation des moyens de paiement modernes pour les citoyens et les commerçants », écrit Algerie360.com.

Voilà un exemple qui pourrait inspirer d’autres institutions financières au Maghreb et ailleurs en Afrique.

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COP30 : les négociations bloquent sur l’argent du Nord vers le Sud

29. Juni 2025 um 11:34

Les négociations climat organisées à Bonn en amont de la COP30, prévue en novembre à Belém (Brésil), se sont récemment achevées sur un constat amer : peu d’avancées, beaucoup de frustrations. Alors que l’urgence climatique s’aggrave, les discussions piétinent, en décalage flagrant avec les besoins du terrain, selon Le Monde.

Les 196 délégations présentes n’ont pas réussi à progresser sur l’ensemble des points à l’ordre du jour. Si des ébauches de textes ont été adoptées pour préserver le processus multilatéral, les avancées concrètes restent limitées. Les engagements pris à la COP28 de Dubaï, notamment sur la sortie des énergies fossiles, peinent à se traduire en actes. Seuls 25 pays – dont la Norvège, la Somalie et Belize – ont soumis à ce jour à l’ONU leur plan climatique mis à jour, pourtant attendu depuis février. La date limite a, ainsi, été repoussée à septembre prochain.

Les grandes puissances émettrices comme la Chine, l’Inde et l’Union européenne (UE) manquent toujours à l’appel – cette dernière étant divisée sur une cible de réduction des émissions de 90 % d’ici 2040.

Autre sujet de discorde : les financements climatiques

Les pays du Sud réclament plus de fonds publics pour faire face aux effets du réchauffement, dénonçant l’insuffisance des 300 milliards de dollars promis d’ici 2035 à la COP29 de Bakou. La demande de l’Inde d’inscrire à l’agenda de la COP30 un point sur les obligations financières des pays riches a tout simplement été rejetée par ces derniers.

Dans ce climat de blocage, ONG et pays vulnérables lancent un cri d’alarme : ils estiment qu’il est urgent de reconnecter ces débats à la réalité des populations. « Le climat ne répond pas aux discours mais aux réductions d’émissions », a rappelé Alden Meyer, expert du think tank E3G.

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Sarra Zaafrani Zenzeri à la conférence internationale sur le financement du développement (Espagne)

29. Juni 2025 um 11:25

La présidence du gouvernement a annoncé, dans un communiqué sur sa page officielle, que la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzeri, effectue une visite officielle en Espagne pour participer à la quatrième Conférence internationale sur le financement du développement.

La cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzeri, effectue, du 29 juin au 1er juillet 2025, une visite officielle à Séville, en Espagne, pour participer aux travaux de la quatrième Conférence internationale sur le financement du du développement organisée par le Royaume d’Espagne et l’Organisation des Nations unies.

Sarra Zaafrani Zenzeri effectue ce déplacement au nom du président de la République, Kaïs Saïed, qui a reçu une invitation du Roi d’Espagne Felipe VI.

De nombreux chefs d’État et de gouvernement du monde entier, ainsi que des représentants d’institutions financières internationales majeures, participent à cette conférence.

Cette rencontre a pour objectif de débattre des enjeux liés au développement sous toutes ses dimensions, en particulier économiques et sociales, ainsi que de la réforme du système mondial de financement.

La cheffe du gouvernement est accompagnée par la ministre des Finances, Mechket Slama Al Khaldi, ainsi que par plusieurs responsables de la présidence du gouvernement et des ministères des Affaires étrangères, des Finances, de l’Économie.

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Les fondamentaux de la croissance restent solides pour l’Indonésie

29. Juni 2025 um 10:09

Au cours des dernières décennies, l’Indonésie s’est distinguée par ses performances exceptionnelles en matière de croissance économique et de stabilité. Entre 2000 et 2024, l’économie indonésienne a enregistré un taux de croissance moyen de 5 %. Il s’agit là d’une performance remarquable pour le quatrième pays le plus peuplé du monde, qui a su faire face à une période difficile marquée par la crise financière mondiale et la pandémie de Covid-19.

À la fin de l’année dernière, un ralentissement de l’activité économique a commencé à se manifester, dans un contexte d’incertitude post-électorale, de baisse des prix des matières premières et d’un resserrement de la politique monétaire. Cette année, le « Jour de la Libération » proclamé par le président Trump a imposé des droits de douane généralisés à ses partenaires commerciaux dans le monde entier, menaçant de provoquer d’importantes perturbations dans l’économie mondiale. Les États-Unis ont imposé un tarif de 32 % sur les produits indonésiens, ce qui constitue une menace significative pour son secteur exportateur. Ces tarifs ont ensuite été « suspendus », alors que la nation d’Asie du Sud-Est travaille à un accord incluant des tarifs préférentiels sur les produits américains, un meilleur accès à ses minéraux critiques et des importations de carburant américain plus importantes.

L’Indonesia Activity Tracker (IAT) est un baromètre opportun qui permet de mesurer l’élan de l’économie indonésienne, en résumant les informations issues des principaux indicateurs d’activité à haute fréquence. Après avoir atteint un pic de croissance de 5,3 % en glissement annuel en octobre, le rythme de croissance a commencé à se modérer, jusqu’à se stabiliser autour du taux moyen de long terme de 5 %.

Malgré cette stabilisation apparente, une incertitude importante demeure sur la scène mondiale. À notre avis, en dépit de vents contraires considérables, les perspectives macroéconomiques restent positives pour l’Indonésie. Dans cet article, nous examinons les trois principaux facteurs qui soutiennent nos perspectives.

Premièrement, la consommation restera un moteur robuste de la croissance cette année. La consommation représente 55 % de l’économie indonésienne et constitue donc un facteur majeur déterminant la performance économique du pays. La vigueur de la consommation est soutenue par un marché du travail résilient, qui a connu une reprise remarquable depuis la pandémie de Covid-19. Le taux de chômage est passé d’un pic de 7,1 % en 2020 à 4,8 % selon les dernières données de 2025, atteignant son niveau le plus bas depuis 1998. Pour soutenir les dépenses des ménages, le gouvernement indonésien a annoncé ces derniers mois une série de mesures de relance, notamment des réductions substantielles des tarifs d’électricité pour 79 millions de foyers, une aide alimentaire pour 18,3 millions de familles à faible revenu, ainsi que des transferts d’argent pour les travailleurs à faible revenu. La résilience du marché du travail, associée aux politiques de soutien du gouvernement, apportera un appui considérable à la consommation cette année.

Indicateur d’Activité de l’Indonésie

(% de variation en glissement annuel)Source: Capital Economics, QNB analysis


Source: Capital Economics, QNB analysis

Deuxièmement, une inflation maîtrisée et la stabilisation de la roupie indonésienne (IDR) ont permis à la Banque d’Indonésie de mettre en œuvre des mesures monétaires expansionnistes. Le taux d’inflation annuel est resté confortablement contenu cette année, proche de la limite inférieure de la fourchette cible de 1,5 à 3,5 % définie par la politique monétaire.

De plus, la roupie a retrouvé une certaine stabilité, s’appréciant d’environ 3,5 % depuis son point le plus bas historique enregistré le 9 avril. Une faible inflation et une IDR plus stable ont permis à la Banque d’Indonésie de réduire son taux directeur de 25 points de base en mai pour le fixer à 5,5 %, soit la troisième baisse depuis septembre dernier. En outre, la banque centrale a mis en œuvre une série de mesures destinées à stimuler le crédit dans l’économie, notamment la réduction des exigences de réserves, l’augmentation des plafonds de financement externe pour les banques locales, l’engagement à acheter pour 9,3 milliards USD d’obligations gouvernementales sur le marché secondaire, ainsi que l’allocation de 7,9 milliards USD pour le programme de logements abordables de l’État, entre autres. Ainsi, les conditions monétaires sont réunies pour stimuler l’élan économique.

Troisièmement, l’Indonésie continue de développer un portefeuille solide de projets d’infrastructure à grande échelle et d’investissement en capital (CAPEX) qui soutiendra les flux d’investissements et renforcera la capacité de production. L’investissement dans les infrastructures devrait rester l’une des principales priorités de la nouvelle administration. D’importants projets sont en cours dans des secteurs tels que les transports (routes, chemins de fer, aéroports et ports), l’énergie (y compris les énergies renouvelables et une grande raffinerie), ainsi que les infrastructures nécessaires au fonctionnement de nouvelles usines de fabrication. De plus, le fonds souverain nouvellement lancé, Danantara, a reçu le mandat de cibler des projets dans le traitement des ressources naturelles et le développement de l’intelligence artificielle. L’investissement public viendra renforcer le maintien d’un niveau sain d’investissement global, qui devrait rester supérieur à 30 % du PIB et contribuer à un rythme de croissance économique soutenu.

 

Dans l’ensemble, bien que des vents contraires significatifs devraient entraîner un ralentissement non négligeable de la croissance économique, les fondamentaux macroéconomiques de l’Indonésie demeurent solides, portés par une consommation résiliente, des mesures de relance monétaire, et un portefeuille robuste de projets d’infrastructure et d’investissement.

Source: IMF World Economic Outlook, QNB analysis

D’après analyse QNB

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Deux étrangers condamnés à 40 ans de prison pour trafic de drogue

29. Juni 2025 um 09:53

La chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis a condamné deux ressortissants étrangers à 40 ans de réclusion.

Ces derniers ont été reconnus coupables d’avoir introduit des stupéfiants sur le territoire tunisien dans le but de les revendre, notamment dans des boîtes de nuit et à des jeunes, moyennant rémunération, rapporte un média de la place. Cette condamnation est aussi assortie d’une amende de 200 000 dinars.

Ils ont été poursuivis pour appartenance à un réseau de trafic de drogue et pour détention de substances classées dans le tableau B, en vue de leur commercialisation.

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L’APAL à la tâche dans 46 plages de Nabeul

29. Juni 2025 um 09:23

L’Agence de protection et d’aménagement du littoral (APAL) poursuit ses interventions estivales sur 46 plages du gouvernorat de Nabeul, dans le cadre de son programme national de nettoyage lancé le 15 mai et prévu jusqu’à fin septembre 2025.

Un programme national pour des plages propres

Sous le slogan « Profite de l’été et garde la plage propre », l’initiative vise à renforcer les efforts des municipalités côtières en matière d’hygiène et à préserver l’attrait touristique du littoral tunisien.
Selon Nabil Mokhtar, coordinateur du programme et chef du service des études et de l’aménagement des plages à l’APAL, 46 plages sont concernées à Nabeul : 23 plages touristiques et 23 plages publiques, sur un total de 133 plages réparties le long des 192 km de côtes tunisiennes.

Des actions coordonnées et régulières

Les opérations de nettoyage et de tamisage sont menées en collaboration avec les municipalités locales et le commissariat régional au tourisme, et financées conjointement par l’APAL et le Fonds de protection des zones côtières (FPZC).

Une commission spécialisée se réunit avant chaque saison estivale pour identifier les plages les plus fréquentées, afin de cibler les interventions. Les plages touristiques bénéficient ainsi de 17 à 23 interventions par été, contre 9 à 11 pour les plages publiques.

Des déchets en majorité plastiques

Chaque intervention permet de ramasser d’importantes quantités de déchets, dont environ 85 % sont en plastique — une menace sérieuse pour la biodiversité marine, mais aussi pour la santé des citoyens.

En parallèle, l’APAL mène des campagnes de sensibilisation pour encourager les estivants à adopter des comportements respectueux de l’environnement : jeter ses déchets dans les conteneurs prévus, éviter de les abandonner sur le sable, et prendre conscience que tout détritus laissé sur la plage finit souvent… dans la mer.

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Un Tunisien au Conseil des Sages de SOS Villages d’Enfants

29. Juni 2025 um 09:00

Mohamed Megdiche, président de SOS Villages d’Enfants Tunisie, a été élu membre du Conseil des Sages de la Fédération internationale SOS Villages d’Enfants, représentant la région Afrique de l’Ouest, du Centre et du Nord. L’élection s’est tenue lors de l’Assemblée générale élective à Vienne (Autriche), du 26 au 28 juin 2025.

Selon une publication officielle de l’association tunisienne, cette élection marque une avancée significative pour la Tunisie : « Cette présence permettra de faire entendre la voix du modèle tunisien dans le domaine de la protection des enfants sans soutien familial ».

Le Conseil des Sages est un organe stratégique de la Fédération, composé de 13 membres représentant différentes régions du monde. Il joue un rôle consultatif et d’orientation auprès de l’organisation.

La Fédération internationale SOS Villages d’Enfants est présente dans 138 pays et vient en aide, chaque année, à environ 2,9 millions d’enfants, à travers des programmes de soutien familial, d’éducation et de protection.

En Tunisie, l’association a connu un développement rapide : de 900 enfants pris en charge en 2019, elle soutient aujourd’hui près de 6 000 bénéficiaires en 2025. Cette progression est le fruit de réformes structurelles majeures dans les domaines de la prise en charge, de la réinsertion et du suivi familial.

Avec TAP

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Hammamet : 36 spectacles pour la 59e édition du Festival international

29. Juni 2025 um 08:46

Du 11 juillet au 13 août 2025, le Centre Culturel International de Hammamet accueillera la 59e édition du Festival International de Hammamet (FIH), sous le slogan évocateur « Continuous Vibes ». Cette nouvelle édition promet un véritable voyage artistique à travers 33 soirées et 36 spectacles issus de 15 pays, mêlant musique, théâtre et danse dans un cadre emblématique : la Maison de la Méditerranée pour la Culture et les Arts.

Une ouverture vibrante et un hommage poignant

Le festival s’ouvrira avec « Ragouj – Le Spectacle », adaptation scénique de la série ramadanesque à succès. Mis en scène par Abdelhamid Bouchnak et accompagné des compositions de Hamza Bouchnak, ce spectacle mêlera musique live — interprétée par un orchestre de 40 musiciens — et chorégraphies signées Oumaima Manai. Ce moment inaugural sera également un hommage au rappeur tunisien Ahmed Laabidi, alias Kafon, disparu le 10 mai 2025.

Une programmation éclectique et internationale

Porté par la diversité, le FIH 2025 fera dialoguer les genres et les cultures : tarab, flamenco, raï, gnawa, jazz, électro, salsa, musiques africaines, mais aussi musique symphonique et classique. Parmi les têtes d’affiche, citons Lotfi Bouchnak, Saber Rebai, Balti, Ghazi Ayadi (Tunisie), Wael Jassar (Liban), Cheb Mami (Algérie), Naïka (Haïti/France), Noël Kharman (Palestine), Nass El Ghiwane (Maroc), Yuri Buenaventura (Colombie), ou encore Bassekou Kouyaté (Mali).

Des projets innovants viendront enrichir cette offre musicale, à l’image de « Sinouj Odyssey » de Benjemy, « Osool » de Yacine Boularès, ou « 24 Parfums – Les Étoiles Symphoniques » de Mohamed Ali Kammoun.

Théâtre, danse et mémoire collective

Le théâtre tunisien sera à l’honneur avec quatre créations majeures, dont « Mère des pays » de Hafedh Khalifa, fresque historique sur Abou Zakaria El Hafsi, et « Ad Vitam » de Leila Toubel, performance engagée et personnelle. Fadhel Jaziri, pour sa part, signera « Au violon », une plongée dans la mémoire musicale tunisienne, tandis que « La Dame de Kerkoine », pièce historique aux accents punico-phéniciens, évoquera les guerres antiques entre Carthage et Rome.

La danse ne sera pas en reste, avec notamment « Arboune » d’Imed Jemaa, un spectacle introspectif sur la condition de l’artiste tunisien dans l’ère post-Covid.

Un clin d’œil à la chanson française

La soirée « Symphonica » fera la part belle au patrimoine musical français, rendant hommage à Dalida, Charles Aznavour et Édith Piaf, avec les interprétations de la chanteuse tunisienne Zeineb Oueslati et du Français Philippe Cavaillé, connu pour ses reprises d’Aznavour.

Une clôture symbolique et féminine

Le festival s’achèvera le 13 août, date coïncidant avec la Journée nationale de la femme tunisienne, par un concert de tarab dédié à la femme, signé par Nabiha Karaouli.

Billetterie en ligne

Cette année, l’accès au festival se fait exclusivement via la billetterie en ligne, accessible sur le site officiel : festivaldehammamet.com


Programme complet :

  • 11 juillet : « Ragouj – Le Spectacle » (Tunisie)

  • 12 juillet : « La Nuit des Chefs » – Orchestre Symphonique Tunisien (Tunisie)

  • 13 juillet : Hind Ennaira (Maroc), Djazia Satour (Algérie)

  • 14 juillet : Naïka (Haïti / France)

  • 15 juillet : RUST (Syrie/Liban), Alsarah and The Nubatones (Soudan)

  • 16 juillet : « Mère des pays » – Hafedh Khalifa (Tunisie)

  • 17 juillet : « Jathb », Soudeni (Tunisie)

  • 18 juillet : « Ad Vitam » – Leila Toubel (Tunisie)

  • 19 juillet : Yuri Buenaventura (Colombie)

  • 20 juillet : Noël Kharman (Palestine)

  • 21 juillet : « Sinouj – Odyssey » – Benjemy (Tunisie)

  • 22 juillet : « Dialogue des cordes 2 » – Kamel Ferjani (Tunisie)

  • 23 juillet : Addict Ameba (Italie)

  • 24 juillet : Siilawy (Jordanie)

  • 25 juillet : « 24 Parfums » – Mohamed Ali Kammoun (Tunisie)

  • 26 juillet : Wael Jassar (Liban)

  • 27 juillet : Nass El Ghiwane (Maroc)

  • 28 juillet : « La Dame de Kerkoine » – Wajdi Gaidi et Houssem Sahli (Tunisie)

  • 29 juillet : Al Shami (Syrie)

  • 30 juillet : Las Migas (Espagne)

  • 31 juillet : Lotfi Bouchnak (Tunisie)

  • 1er août : « Habit Zamani » – Ghazi Ayadi (Tunisie)

  • 2 août : Saber Rebai (Tunisie)

  • 3 août : Robyn Bennett (USA / France)

  • 4 août : Balti (Tunisie)

  • 5 août : Koum Tara (Algérie / France)

  • 6 août : « Arboune » – Imed Jemaa (Tunisie)

  • 8 août : Cheb Mami (Algérie)

  • 9 août : « Sinfonica – Spécial Tubes Français » (Tunisie / France)

  • 10 août : « Au violon » – Fadhel Jaziri (Tunisie)

  • 11 août : Bassekou Kouyaté and Ngoni Ba (Mali)

  • 12 août : « Osool » (Tunisie / France)

  • 13 août : Nabiha Karaouli (Tunisie)

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Kerkennah : possibles perturbations ce week-end

29. Juni 2025 um 08:26

La Société Nouvelle de Transport Kerkennah (SONOTRAK) a annoncé ce vendredi 28 juin, d’éventuelles perturbations dans les traversées maritimes entre Sfax et l’archipel de Kerkennah, à compter de la soirée du samedi 28 juin, et durant toute la journée du dimanche 29 juin.

Dans un communiqué, l’entreprise évoque des « conditions météorologiques défavorables » susceptibles d’entraîner des modifications dans les horaires prévus. Cette alerte fait suite au bulletin météorologique spécial n°119, émis par l’Institut national de la météorologie (INM), signalant des vents violents et une mer agitée près des côtes.

SONOTRAK appelle les usagers à rester attentifs aux mises à jour, précisant que tout changement sera communiqué en temps réel.

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