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Le SNJT condamne l’assassinat de l’équipe de la chaîne Al Jazeera à Gaza

Von: walid
11. August 2025 um 14:17
nouvelle Constitution

Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a condamné, lundi, l’assassinat de l’équipe de la chaîne Al Jazeera dans une frappe aérienne israélienne à Gaza. Il a, dans ce contexte, appelé à une protection internationale effective des journalistes palestiniens. Dans un communiqué publié sur sa page officielle facebook, le SNJT a appelé à l’ouverture immédiate […]

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Bagarre impliquant des rappeurs à La Soukra : les autorités ouvrent une enquête

07. August 2025 um 16:57
Bagarre impliquant des rappeurs à La Soukra : les autorités ouvrent une enquête

La justice tunisienne a ouvert une enquête à la suite d’une violente rixe survenue dans la nuit d’hier à La Soukra, dans le gouvernorat de l’Ariana, impliquant notamment plusieurs rappeurs tunisiens, selon des informations relayées par la radio Mosaïque FM. Alertées par des publications sur les réseaux sociaux faisant état d’un affrontement entre un grand […]

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Kaïs Saïed | «Les Tunisiens giflent les traitres»

07. August 2025 um 10:10

Les Tunisiens et les Tunisiennes donnent chaque jour leçon sur leçon et gifle sur gifle aux traîtres, aux agents et à leurs laquais à l’intérieur du pays. Ils giflent et donnent des leçons, et ils ont le droit d’exiger des comptes. C’est leur droit légitime, compte tenu de l’ampleur des souffrances qu’ils ont endurées», a déclaré Kaïs Saïed, lors de sa rencontre, mercredi 6 août 2025, au palais de Carthage, avec la Première ministre, Sarra Zaâfrani Zenzeri, pour discuter de plusieurs sujets liés au fonctionnement de plusieurs établissements publics.

Le président de la république a ajouté : «Nous devons œuvrer pour soulager les citoyens de leurs souffrances, jour et nuit, à toute heure, afin qu’ils puissent vivre comme ils l’entendent, dans la dignité.»

Saïed, toujours dans ses bottes, et se considérant en pleine guerre de libération nationale, selon une expression qui lui est chère, a affirmé que le peuple tunisien recouvrera pleinement, si Dieu le veut, tous ses droits.

Quant à ceux qui choisissent de s’opposer à cette voie, qu’ils se sachent qu’ils s’engagent dans une impasse, une voie qui ne les mènera jamais à leurs objectifs. Ces derniers, qu’il n’a pas nommément désignés sont, selon lui, «alliés à des forces extérieures, dont la seule ambition est de réduire cette nation à l’asservissement et au contrôle colonial.»

Qui n’a rien, se sert gratuitement

Pour le chef de l’État, les Tunisiens ont deux options : soit ils continuent à vivre comme ils le font, en ne se souciant que d’eux-mêmes, de leur ego et de leurs intérêts, sachant que cette voie est vouée à l’échec et que le peuple n’a pas choisie, soit ils optent pour une nouvelle vie, comme celle qu’ils ont connue au lendemain du 14 janvier 2011, fondée sur la solidarité, la coopération et l’élimination des inégalités entre riches et pauvres, entre personnes en bonne santé et malades, se soutenant mutuellement face à l’adversité et aux difficultés jusqu’à ce qu’elles soient surmontées.

Soulignant l’importance de la solidarité nationale, Kaïs Saïed a rappelé à Sarra Zaâfrani Zenzeri la scène historique et immortelle où un vendeur de légumes, lors des événements de janvier 2011, avait écrit sur son camion : «Qui n’a rien, se sert gratuitement.» Ce même esprit de soutien mutuel et de solidarité a été observé, ces derniers jours, chez des propriétaires de voitures particulières qui ont inscrit leur numéro de téléphone portable sur leurs véhicules et invité les citoyens ayant besoin d’un transport à leur envoyer des demandes par téléphone afin qu’ils puissent le leur assurer. C’était lors de la grève, la semaine dernière, des agents du transport public.

I. B.

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Sra Ouertane | Veillons à ce que le sel de la terre ne devienne un poison !

27. Juli 2025 um 09:49

Dans les entrailles de la Tunisie, là où la roche sédimente des millénaires de mémoire, le Kef abrite le gisement de Sra Ouertane : une promesse de richesse mais aussi possible répétition d’un traumatisme collectif. Alors que le projet d’exploitation du phosphate dans cette région du nord-ouest tunisien a refait surface, il convient d’ouvrir les yeux… et les archives. 

Manel Albouchi

Le vice-président de la société chinoise Asia-Potash International Investment Guangzhou, Zheng Youye, en visite à Sra Ouertane le 27 juin 2025, a exprimé la volonté de son groupe d’accélérer les démarches pour obtenir les autorisations nécessaires au lancement du projet d’exploitation du gisement de phosphate de Sra Ouertane, au sud du gouvernorat du Kef.

Les Chinois, tout comme les Tunisiens, n’étant pas particulièrement regardants sur les impacts environnementaux de leurs activités industrielles, on pourrait avoir du souci à se faire à propos de ce projet. Et pour cause…     

Pendant des décennies, le Sud a été exploité, au prix de troubles sociaux, psychiques et environnementaux (Gafsa en porte encore les cicatrices), tandis que le Nord restait dans une dissociation silencieuse. Un oubli structurel, presque volontaire. 

Découvert dans les années 1970, le gisement de Sra Ouertane contiendrait 1 milliard de tonnes de réserves estimées, avec 12 % de teneur en P2O5, soit l’un des plus importants gisements encore inexploités du pays. Pourtant, plus de 50 ans après sa découverte, son activation reste en suspens, balançant entre rêve de développement et cauchemar environnemental. 

Les derniers rapports évoquent une relance du projet, avec à la clé un investissement initial chinois estimé à 800 millions de dinars, une capacité de transformation annuelle d’un million de tonnes de phosphate dès sa première phase de mise en œuvre, et à terme, plus de 1500 emplois directs. Mais à quel prix ? 

L’ombre de Gafsa plane encore 

Les habitants du Kef observent Gafsa comme on regarde un miroir brisé. Dans cette région minière, le phosphate a laissé des stigmates profonds : maladies respiratoires, cancers, infertilité, anxiété chronique, stress post-traumatique. La dépression s’y est propagée comme un nuage de poussière. Les chiffres parlent : selon une étude de l’Institut national de la statistique (INS) en 2016, 1 habitant sur 3 dans le bassin minier souffre de troubles anxieux ou dépressifs. 

Le phosphate n’épuise pas que les sols. Il érode les corps, rompt les liens sociaux, fragilise les structures psychiques. Les enfants nés dans ces zones portent, souvent à leur insu, une mémoire traumatique transgénérationnelle. 

Des responsables de la société chinoise Asia-Potash International Investment Guangzhou en visite à Sra Ouertane.

Ce que le corps retient 

Nous sommes en présence d’un projet probablement rentable sur le plan économique mais stratégiquement risqué : car tout développement qui nie le symbolique et le lien au vivant court à sa propre destruction. Le mauvais exemple de Gabès meurtri par les impacts catastrophiques des industries chimiques en est une autre preuve. Et la République ne peut pas fonder sa modernité sur l’extractivisme, l’oubli et la dissociation collective. 

En effet, le corps qui il soit individuel ou social est une archive vivante. Il se souvient de l’injustice, de l’humiliation, de la dépossession. A Sra Ouertane, le corps social est pris en tenaille entre promesse d’emploi et menace d’effondrement.  

Dans cette perspective, ignorer les effets psychosomatiques d’un tel projet est une forme de violence symbolique.  

Ce que le projet oublie 

Le projet Sra Ouertane est riche en promesses… mais pauvre en études d’impact indépendantes. Les risques hydriques (le phosphate étant très consommateur en eau), les pollutions de l’air et du sol, les risques pour la santé mentale et physique, ainsi que les mouvements migratoires induits n’ont pas été suffisamment étudiés. 

Aucune enquête psychosociale sérieuse n’a été menée auprès des populations locales. Il n’y a pas eu de dialogue éthique ni de protocole de suivi psychologique anticipé. On a oublié que l’aménagement du territoire ne peut se faire sans soin du territoire psychique. 

Une République du soin ou de l’oubli ? 

On vient de célébrer, avant-hier, 25 juillet 2025, la fête de la République, osons poser la question fondamentale : quelle souveraineté exercera-t-on si l’on sacrifie une partie de sa population sur l’autel de la rentabilité ? Le développement ne peut être fondé sur le déni. Une véritable stratégie républicaine impliquerait : 

– des études d’impact pluridisciplinaires; 

– un accompagnement psychologique des populations concernées; 

– des mécanismes de réparation pour les victimes des erreurs passées (comme à Gafsa); 

– et un débat citoyen, éthique et transparent, car la Tunisie mérite une écologie de la justice. 

Le sel de la terre 

Le phosphate est le sel de la terre. Il peut fertiliser… ou brûler. À nous de choisir si nous voulons en faire une graine ou une cendre. Mais souvenons-nous que le sol parle, que le corps parle, et que la République n’est pas qu’un régime politique. Elle est aussi une promesse : celle de la dignité pour tous les citoyens, de la justice, de l’écoute et de la reconnaissance. Un État qui creuse la terre doit d’abord sonder les âmes. Car la terre, elle, hurle déjà en silence. 

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Iran : La communauté tunisienne saine et sauve

19. Juni 2025 um 11:11

Alors que le conflit entre Israël et l’Iran s’intensifie depuis une semaine, les autorités tunisiennes ont affirmé ce jeudi matin que tous les membres de l’ambassade tunisienne à Téhéran sont sains et saufs. Aucun ressortissant tunisien n’a, pour l’heure, été signalé en danger.

Selon une source officielle du ministère des Affaires étrangères tunisien citée par l’agence TAP, « l’ambassade n’a reçu aucune information faisant état de la mise en danger d’un citoyen tunisien », malgré le climat tendu provoqué par l’escalade militaire en cours.

Le directeur de l’information et de la communication du ministère, Mohamed Loumi, a déclaré à l’agence TAP qu’en raison de la fermeture de l’espace aérien iranien, « toute éventuelle opération de rapatriement ne pourrait se faire que par voie terrestre ».

Il a précisé que 72 Tunisiens sont officiellement enregistrés auprès de l’ambassade à Téhéran, et qu’ils sont tous en sécurité.
« L’ambassade est en contact personnel et constant avec eux depuis le début des événements », a-t-il ajouté, tout en précisant que des recommandations ont été émises pour limiter leurs déplacements durant cette période.

Pour rappel, le conflit a connu un tournant critique vendredi dernier, lorsque l’armée israélienne a lancé une attaque surprise sur plusieurs installations iraniennes, entraînant la mort de hauts responsables militaires iraniens. L’Iran a promis de riposter, alimentant les craintes d’un embrasement régional.

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Entrées touristiques: combien de visiteurs au 30 novembre

Les arrivées de non-résidents en Tunisie vont certainement franchir cette année un nouveau palier.

9.238.313 entrées de non-résidents ont été comptabilisées aux différentes frontières du pays au cours des 11 premiers mois de l’année 2024.

Ce chiffre est quasiment égal à celui enregistré à la date du 31 décembre 2023. Autrement dit, les réalisations de 2024 vont enregistrer un record.

Il est à noter que ces entrées prennent en considération les Tunisiens résidents à l’étranger qui ont représenté 12,8% du total avec 1.190.641 entrées.

Le total des entrées au 30 novembre est quant à lui en progression de 8,3% si l’on se réfère aux statistiques de la période correspondante de l’année dernière.

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