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Gestern — 20. November 2024Haupt-Feeds

Les spectacles tunisiens de la 25e édition des JTC 2024 (Vidéo)

Von: Yusra NY
20. November 2024 um 20:59

La 25e édition des Journées Théâtrales de Carthage (JTC 2024) se déroulera du 23 au 30 novembre 2024, sous le slogan «Le théâtre de toutes les résistances… l’art de la vie» avec une sélection de 125 spectacles issus de 32 pays arabes, africains et d’ailleurs.

Deux spectacles tunisiens figurent parmi 12 arabes et africains dans la course aux Tanits de cette 25e édition, dont la cérémonie officielle d’ouverture est prévue au Théâtre de l’Opéra à la Cité de la Culture.

Ci-dessous les spectacles tunisiens programmés dans le cadre de la 25e édition des Journées Théâtrales de Carthage :

  • Innocence – Houcem Sehli
  • Confessions – Mohamed Ali Said
  • Othello et après – Hammadi Ouhaibi
  • Le paradis des amoureux – Moez Achouri
  • Mère des Pays – Hafedh Khalifa
  • Kert – Mohamed Bousaidi
  • Portail 52 – Dalila Meftahi
  • Quelqu’un… – Marouen Missaoui
  • Pellicule – Nedra Toumi & Med chawki Khouja
  • Le Chemin – Saber Hammi
  • Vacarme – Kamel Alaoui
  • Poupées – Hatem Maroub
  • Impasse – Karim Achouri
  • Alinéation – Intissar Issaoui
  • Gona – Salle d’attente – Farhat Debbech
  • Untitled – Marwa Manai
  • MHAYER SIKA – Bechir Drissi
  • Comme quoi ! – Nasreddine Hajjaj
  • Atyef – Habiba Jendoubi
  • Au bord du délire – Walid Daghsni
  • Malédiction – Taoufik Jebali
  • Au violon – Mohamed Fadhel Jaziri
  • 21.24 – Youssef Bouajaja
  • Et Si – Fethi Akkari

Communiqué

Vidéo

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Ouverture de comptes en devises : une nouvelle opportunité pour les Tunisiens

19. November 2024 um 19:50

La Commission des finances, en collaboration avec la Commission des finances et du budget du Conseil national des régions et des districts, a tenu une séance le 18 novembre 2024 pour examiner les propositions d’articles supplémentaires au projet de loi de finances pour l’année 2025.

Parmi les projets discutés, un a été proposé pour permettre aux citoyens tunisiens d’ouvrir des comptes en devises. Cette initiative offrirait aux Tunisiens la possibilité d’accéder à des comptes bancaires en devises, générant ainsi un potentiel revenu fiscal supplémentaire grâce aux intérêts perçus. Cependant, le ministère des Finances a précisé que cette mesure relevait davantage du code des changes que du projet de loi de finances. Malgré cela, la commission a décidé d’inclure cet article dans le projet.

 

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Les retraits d’argent en tête des opérations par carte bancaire en Tunisie

Von: hechmi
19. November 2024 um 18:46

MonétiqueA fin septembre 2024, 121,2 millions d’opérations ont été effectuées par cartes bancaires, en Tunisie, mobilisant une enveloppe globale de l’ordre de 20,9 milliards de dinars (MD), en hausse de 8,1% en nombre de transactions et de 9,9% en valeur, par rapport à la même période de 2023, selon le bulletin sur « Les paiements en chiffres en Tunisie », publié mardi, par la Banque Centrale de Tunisie (BCT).

  • Ces opérations, en nombre, ont servi pour le retrait d’argent (62%), en premier lieu, et le paiement (38%), en second lieu. En valeur le retrait représente 77% du total.
  • La BCT a, également, fait état d’une baisse du nombre de cartes bancaires de 9,8%, à 6,36 millions de cartes, par rapport à fin 2023, contre un accroissement du nombre des DAB (distributeurs automatiques de billets), et des GAB (guichets automatiques de banque) de 2,5%, à 3.287 DAB/GAB.

 

Forum à Paris sur l’intégration des jeunes Tunisiens en France

06. November 2024 um 13:21

Insertion professionnelle, formation, citoyenneté et droit de vote, accès à la culture… Les jeunes Tunisiens qui vivent en France ou ailleurs sont confrontés à des défis majeurs pour leur intégration. Ces enjeux sont aujourd’hui au cœur des préoccupations de la diaspora tunisienne.

Très engagée à travers de nombreux projets de développement, sur les deux rives de la Méditerranée, celle-ci est elle-aussi confrontée à des questionnements tels que le renouvellement générationnel, ou encore le montage de projets, l’accès aux financements, les partenariats, l’évaluation de l’impact des actions réalisées.

C’est pour débattre de ces questions qu’un forum d’une journée intitulé «Jeunesses et diasporas», organisé par la Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR) et GRDR (Migration-Citoyenneté-Développement), se tiendra le 16 novembre 2024 à partir de 9 heures aux Amarres (24 quai d’Austerlitz – Paris 13e), sur le thème «Les défis de l’insertion des jeunes tunisiens d’ici et de là-bas».

Tout au long de cette journée, à travers des tables-rondes, des ateliers, des projections de films mais aussi des temps festifs, les organisateurs échangeront avec des ressortissants de la diaspora, des partenaires, des représentants des autorités centrales et locales pour partager les expériences et faire émerger de nouvelles pistes d’action collectives pour accompagner au mieux ces jeunesses très dynamiques.

Ce forum est organisé par l’association Jeunesses et Diasporas, dans le cadre du programme «Jeunesse et pouvoir d’agir en Algérie et en Tunisie», financé par l’Agence française de développement (AFD), qui consiste à créer des synergies d’actions et une convergence des acteurs (OSC de jeunes, autorités locales, professionnels de l’insertion, entreprises du tissu économique local) autour du concept d’«insertion intégrale des jeunes».

Celles et ceux qui ne peuvent pas se déplacer peuvent s’inscrire en ligne.

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Hébergement touristique alternatif : les promoteurs ne savent plus où donner de la tête

Maisons d’hôtes, hôtels de charme et gîtes ruraux sont de plus en plus la nouvelle tendance de l’hébergement touristique qui attire de nouvelles niches de touristes tunisiens et étrangers. Or, les investisseurs dans ce genre d’hébergement touristique alternatif sont souvent bloqués à cause d’une législation contraignante.

Entre ambigüités juridiques, multiplicité des vis-à-vis, absence d’un cahier des charges régissant l’activité et complexité des procédures administratives, l’investisseur dans l’hébergement touristique alternatif ne sait plus où donner de la tête. Sur plus de 2000 maisons d’hôtes, hôtels de charme et gîtes ruraux environ en Tunisie, seule une centaine est en règle. Ce maigre bilan ne reflète ni la réalité, ni les perspectives de la filière qui gagne progressivement en notoriété et attire de plus en plus de clients tunisiens et étrangers.

Pour débattre des principaux obstacles auxquels sont confrontés les professionnels de l’hébergement touristique alternatif et des contraintes bloquant aujourd’hui les investissements dans ce domaine, une table ronde sous le thème : «La situation des hébergements alternatifs en Tunisie» a été organisée le 23 avril par la Fédération interprofessionnelle du tourisme tunisien (FI2T) en partenariat avec l’Office national du tourisme tunisien (ONTT) et avec la participation des représentants des établissements d’hébergement touristique alternatif.

Vide ou flou juridique ?

« Y a-t-il un vide et un flou juridiques par rapport à l’octroi des agréments et l’exploitation des projets ? » C’est la première question posée lors de ce débat.  À cela, l’avocate Olfa Hachicha, représentante juridique de la FI2T, a tranché : «J’ai pu constater qu’il n’y a réellement pas de vide juridique étant donné que l’administration applique toujours le décret de 2013 et elle continue à octroyer des agréments. Toutefois, il y a bel et bien un flou juridique sur plusieurs niveaux et concernant plusieurs volets de l’application de la loi ». Ce flou s’est amplifié avec le décret de 2022 annonçant la suppression future des autorisations et son article 8 qui a évoqué une éventuelle élaboration d’un cahier des charges. «Cette situation a laissé les professionnels dans l’expectative depuis 2 ans».

Les investisseurs dans l’hébergement touristique alternatif sont confrontés à de nombreux problèmes au quotidien, que ce soit au niveau de la mise en place ou de l’exploitation du projet ; complexité des procédures administratives, multitude de vis-à-vis, (l’ONTT, le patrimoine, ministères de l’Agriculture, de l’Equipement, de l’Intérieur, des Affaires culturelles, des municipalités), lenteur administrative, etc. « Certains dossiers sont bloqués depuis 2 ans alors que l’accord préalable a un délai d’un an », a-t-elle indiqué.

L’administration n’est pas la seule responsable

Cependant, l’administration n’est pas la seule responsable de ces problèmes, toujours selon Olfa Hachicha, étant donné que le professionnel assume parfois une part de la responsabilité en se compliquant la tâche et en se créant des obstacles. «Certains entrepreneurs installent leurs projets sans consulter ni avoir les autorisations nécessaires, en se mettant ainsi hors des normes et des conditions exigées par la loi», a-t-elle ajouté.

Manque d’information

Le manque d’information et de clarification est un autre problème devant la création et l’exploitation d’un projet dans le tourisme alternatif soulevé par les professionnels. Il expose le propriétaire souvent à des sanctions. Outre donc un blocage à cause de l’indisponibilité de l’information, les opérateurs ont déploré le fait que de nombreux investisseurs faisaient l’objet de poursuites juridiques ou ont été arrêtés à cause d’une incompréhension du texte juridique ou de l’absence de coordination entre les ministères. Dans certains cas, l’entrepreneur se voit interdit de recevoir des étrangers dans sa maison d’hôtes alors que Hédi Chabâane, directeur central du Développement des Investissements à l’ONTT, soutient qu’aucun texte juridique ne le dit clairement. A cela s’ajoutent d’autres contraintes comme l’autorisation pour servir et vendre de l’alcool ou concernant les gîtes ruraux où la loi impose une superficie minimale de 20 ha, ce qui est jugé énorme par certains entrepreneurs.

Un vis-à-vis unique

Face à ce flou juridique, les professionnels ont fait valoir plusieurs propositions susceptibles de solutionner les différentes problématiques freinant l’investissement dans l’hébergement touristique alternatif. Pour le président de la Fi2T, Houssem Ben Azouz, la sortie de cette situation compliquée passe nécessairement par un partenariat public-privé afin d’éviter les mésententes. Toutefois, la principale revendication de tous les professionnels est de rester sous la tutelle du ministère du Tourisme et de l’avoir en tant que vis-à-vis unique.

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Houssem Ben Azouz, président de la Fi2T, et Olfa Hachicha, avocate.

Un contrôle en aval

Les intervenants ont également appelé à réviser le zonage du territoire (zones forestières, agricoles irriguées), qui bloque souvent l’octroi des agréments par le ministère de l’Agriculture, pour qu’il suive les évolutions mondiales et ne constitue plus un obstacle devant l’investissement dans l’hébergement alternatif. L’assouplissement des procédures est l’autre revendication des opérateurs pour encourager l’investissement dans la filière. Il s’agirait, par exemple, d’opter pour un contrôle en aval et non plus en amont pour la création des projets.

Cahier des charges commun

Ils ont revendiqué d’élaborer un cahier des charges commun qui serait signé par tous les ministères et les parties impliquées dans l’octroi des agréments, lequel permettra à tout nouvel investisseur d’entreprendre son projet sans avoir besoin d’autorisations préalables.

Quoi qu’il en soit, les représentants des hébergements alternatifs présents à la table ronde étaient d’accord pour dire que le blocage ne vient pas de l’ONTT qui a toutes les structures nécessaires pour accompagner et encadrer les investisseurs. D’ailleurs, Hédi Chabâane a rassuré les présents que l’ONTT œuvre pour changer les procédures et les simplifier. En ce qui concerne l’avancement dans le projet du cahier des charges, Mehdi Haloui, directeur de l’Investissement à l’ONTT a, de son côté, fait savoir que le gouvernement avait renvoyé au mois de novembre dernier le projet à l’ONTT pour d’autres observations. A cet effet, l’Office est actuellement en train de le réviser pour y introduire d’autres changements avant qu’il soit transféré de nouveau au gouvernement pour l’adopter.

Etude : état des lieux de l’hébergement alternatif

L’événement était également une occasion pour présenter une étude quantitative et qualitative de l’état des lieux de l’hébergement alternatif en Tunisie élaborée par le cabinet Emrhod Consulting. Il en ressort que la filière affiche un taux de pénétration de 9% des hébergements touristiques alternatifs et durables sur le marché local, qui lui-même représente plus de 30% du tourisme tunisien global. Cela démontre d’ailleurs la notoriété grandissante de la filière et la diversité de son offre.

L’enquête a permis également de sonder la perception des Tunisiens à l’égard de ces hébergements, en comprenant leurs motivations et les outils de réservations qu’ils utilisent afin d’évaluer les perspectives de croissance du marché. Les acteurs (propriétaires et gestionnaires), dont plus de 35% sont dans le secteur depuis plus de 4 ans, se sont aussi exprimés pour révéler que 78% de leurs clients sont des touristes et 71% de leurs clientèles des familles.

D’après cette étude, 39% des Tunisiens pensent que le prix d’une nuitée dans les maisons d’hôtes est abordable alors que 22% pensent que les prix sont relativement chers. D’autre part, 43% des Tunisiens s’orientent vers ce genre d’hébergement pour fêter leurs mariages et fiançailles alors que 44% préfèrent les hébergements alternatifs pour se retrouver entre amis et 52% pour se reposer.

Sur un autre plus, l’étude a révélé que 70% environ des propriétaires et des gestionnaires d’hébergement alternatifs ne veulent pas s’engager dans une démarche administrative étant donné la complexité de la tâche et la multitude des vis-à-vis.

Kemel CHEBBI

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