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Heute — 30. Juni 2025Haupt-Feeds

Ultra Mirage El Djerid 2025 : le désert prêt pour la 9e édition

Le compte à rebours est lancé pour l’Ultra Mirage El Djerid (UMED), l’événement touristico-sportif désormais incontournable du sud tunisien.

Sa 9e édition se tiendra le 27 septembre 2025, en plein cœur du désert majestueux de Tozeur, marquant symboliquement le coup d’envoi de la haute saison touristique dans la région.

Porté par l’énergie d’Amir Ben Gacem, son fondateur et organisateur, l’événement attire chaque année des passionnés de trail venus des quatre coins du monde : ils étaient issus de 27 nationalités lors de la dernière édition.

Plus qu’une simple compétition sportive, UMED s’inscrit dans une vision durable et inclusive du tourisme : plantation d’arbres, recyclage des déchets générés par la course, mise en avant des produits du terroir… autant d’actions concrètes qui renforcent l’impact positif de l’événement sur son territoire d’accueil.

Côté performance, l’édition 2025 promet de belles émotions avec trois formats de course : 100 km, 50 km et 25 km, ouverts aux amateurs comme aux coureurs aguerris, prêts à défier les étendues sablonneuses du Djérid.

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 30 Juin 2025

30. Juni 2025 um 13:38

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.895 2.972
Euro EUR 1 3.385 3.464
Yen Japonais JPY 1000 19.896 20.645
Livre Sterling GBP 13 3.932 4.080
Franc Suisse CHF 10 35.710 37.244

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Naufrage d’un bateau de migrants dans la zone de sauvetage tuniso-maltaise

30. Juni 2025 um 13:48

Une femme trentenaire s’est noyée pendant la nuit du dimanche 29 et lundi 30 juin 2025 à environ 72 kilomètres de la plus grande des îles Pélages, dans la zone de recherche et de sauvetage tuniso-maltaise. Elle faisait partie d’un groupe de migrants secourus par un bateau de pêche tunisien, puis emmenés sur l’île par un patrouilleur des garde-côtes.

L’opération a débuté dimanche soir à 2 heures du matin, lorsque la salle des opérations de l’Autorité portuaire a reçu un signalement, établi par l’équipage d’un bateau de pêche tunisien, signalant le naufrage d’une embarcation chargée de migrants.

Les pêcheurs tunisiens ont secouru, en les hissant à bord, 87 personnes originaires du Cameroun, de Côte d’Ivoire, de Guinée, de Guinée-Conakry, du Mali, du Sénégal et du Soudan.

Le corps de la femme a également été repêché et a déjà été transporté à la morgue du cimetière de Cala Pisana. Cinq, peut-être six migrants, seraient portés disparus dans le naufrage, selon les déclarations de nombreux survivants aux garde-côtes qui les ont emmenés à Lampedusa. Parmi les migrants transférés vers le hotspot, on compte 23 femmes et 10 mineurs.

Les survivants ont déclaré avoir quitté La Louza, près de Jebeniana (Sfax) en Tunisie, la nuit dernière, à bord d’une embarcation métallique d’environ 12 mètres, payant entre 1 000 et 2 000 dinars chacun.

Au centre d’accueil, la police et la Croix-Rouge tenteront, en interrogeant les naufragés, d’obtenir davantage d’informations sur le nombre de disparus et de personnes décédées.

I. B. (avec Ansamed).

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Disparition d’une fillette à Kélibia : les recherches se poursuivent en mer et sur la côte

Von: walid
30. Juni 2025 um 12:23
Disparition d’une fillette à Kélibia : les recherches se poursuivent en mer et sur la côte

Les équipes de la Protection civile, de la Garde maritime et de la Marine nationale poursuivent, lundi, une opération de recherche conjointe pour retrouver la fillette de trois ans disparue samedi sur la plage de Kélibia (gouvernorat de Nabeul). Le porte-parole de la Protection civile, Moez Triaa, a indiqué dans une déclaration accordée à l’agence […]

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Le G7 s’accorde sur l’exemption des multinationales américaines de certains impôts à l’étranger

30. Juni 2025 um 11:16

Le Groupe des Sept pays les plus industrialisés (G7) a convenu de soutenir une proposition qui exempterait les entreprises américaines de certains éléments d’un accord mondial existant, lit-on dans un communiqué du groupe.

Le groupe du G7 a créé un système « côte-à-côte » en réponse à l’accord de l’administration américaine de supprimer la proposition de taxe de rétorsion de l’article 899 du projet de loi sur les impôts et les dépenses du président Donald Trump, a-t-il déclaré dans un communiqué du Canada, chef de la présidence tournante du G7.

Le G7 souligne que le plan reconnaît les lois américaines existantes sur l’impôt minimum et vise à apporter plus de stabilité au système fiscal international.

Le département du Trésor américain a déclaré qu’à la suite de la suppression de l’article 899 de la version du Sénat américain du projet de loi sur les impôts et les dépenses, il existe une compréhension commune selon laquelle un système parallèle pourrait préserver les gains importants réalisés par les juridictions au sein du Cadre inclusif dans la lutte contre l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices.

« Nous sommes impatients de discuter et de développer cette compréhension au sein du Cadre inclusif », a déclaré le département dans un message publié sur X samedi.

Les entreprises britanniques sont également épargnées par des impôts plus élevés après la suppression de l’article 899 du projet de loi sur les impôts et les dépenses du président Trump.

La Grande-Bretagne a déclaré que les entreprises bénéficieraient d’une plus grande sécurité et d’une plus grande stabilité suite à l’accord. A rappeler que ces dernières semaines, certaines entreprises britanniques avaient exprimé leur inquiétude quant au paiement d’impôts supplémentaires substantiels liés à l’inclusion de l’article 899, désormais supprimé.

« L’accord apporte une certitude et une stabilité indispensables à ces entreprises après qu’elles ont exprimé leurs inquiétudes », a souligné la ministre britannique des Finances, Rachel Reeves, dans un communiqué. Tout en ajoutant que davantage de travail était nécessaire pour lutter contre la planification et l’évasion fiscales agressives.

Les responsables du G7 ont indiqué être impatients de discuter d’une solution « acceptable et applicable par tous ».

En janvier 2025, par décret, Trump a déclaré que l’accord mondial sur l’impôt minimum sur les sociétés n’était pas applicable aux États-Unis, se retirant de fait de l’accord historique de 2021 négocié par l’administration Biden avec près de 140 pays.

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Tunisie : Le taux de remplissage des barrages atteint 38,1 % au 27 juin 2025

Von: walid
30. Juni 2025 um 10:55

Le taux de remplissage des barrages tunisiens s’élève à 38,1%, à la date du 27 juin courant, en hausse considérable de 27,4%, par rapport à la même période de l’année écoulée, d’après des données statistiques publiées par l’Observatoire national de l’agriculture (ONAGRI).

Les réserves en eau ont atteint 902 millions de mètres cubes à cette même date.

Comparée à la moyenne des trois dernières années (850,3 millions m3), cette augmentation reste modeste, de l’ordre de 6

Les barrages du nord affichent un taux de remplissage plus important de l’ordre de 44,5%, avec des réserves en eau, à hauteur de 826,4 millions de m3, ce qui représente une augmentation de 25% par rapport à la même période de l’année écoulée.

S’agissant des barrages du centre et du Cap-Bon, leur niveau de remplissage a atteint respectivement 12,9 % (58,2 millions de m3) et 28% (17,2 millions de m3).

Pour ce qui est des apports en eau enregistrés pour la seule journée du 27 juin 2025, ils s’élèvent à 0,230 millions m3, dont la quasi-totalité provient des barrages du Nord. L’utilisation totale de ces ressources hydriques a été estimée à 2,388 million m3.

Les apports cumulés se sont élevés, à 965,9 millions de m3, durant la saison actuelle (Du 1er septembre 2024 au 26 juin 2025), soit une hausse de 48% par rapport à la saison écoulée.

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Tunisie : La directrice de Watania 2, Rostom Cherif démise de ses fonctions

Un changement majeur vient d’être opéré à la direction de la deuxième chaîne nationale, Watania 2. Le président-directeur général de l’Établissement de la Télévision Tunisienne, Chokri Ben Nessir, a annoncé hier, la fin des fonctions de Rostom Cherif à la tête de la chaîne publique.

Cette décision a été rendue publique par une note officielle émise ce 29 juin, dans laquelle il est également précisé que Majid Meraïhi assurera désormais la direction de Watania 2. Ce dernier cumule cette nouvelle responsabilité avec ses fonctions actuelles.

Aucune justification officielle n’a été donnée pour le limogeage de Rostom Cherif, qui dirigeait la chaîne depuis plusieurs mois.

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Risque de noyade : le ministère de la Santé appelle à la vigilance

Von: walid
29. Juni 2025 um 16:15
Risque de noyade : le ministère de la Santé appelle à la vigilance

Le ministère de la Santé a appelé, dimanche, à faire preuve de vigilance et à adopter les bons réflexes pour éviter les risques de noyade. Soulignant que la noyade n’est pas toujours bruyante et visible, le ministère a appelé à la surveillance permanente et rapprochée des enfants, que ce soit dans la mer ou dans […]

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Carthage: Qui se souvient de la Cité de l’air ?

28. Juni 2025 um 10:46

Plusieurs immeubles se trouvaient sur l’emplacement de la grande mosquée de Carthage.

Nos amis du groupe Carthage au XXe siècle ont ravivé avec ces photos, la mémoire de la Cité de l’Air et de sa barre d’immeubles qui se trouvaient sur l’emplacement actuel de la mosquée Imam Malek (El Abidine) à Carthage.

Le coup d’envoi du chantier de la mosquée avait commencé par la destruction de ces immeubles alors livrés au pic des démolisseurs.

Aujourd’hui, seules de rares photographies témoignent de l’ancienne présence de ces immeubles où ont longtemps vécu des militaires.

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Dr Kgothatso Motumi : L’Afrique affiche les taux de mortalité, par cancer du sein, les plus élevés au monde

27. Juni 2025 um 17:07

Le Conseil africain du cancer du sein (ABCC), créé en 2024, œuvre en faveur des objectifs de l’OMS.

Il élabore et défend des politiques concrètes et évolutives qui améliorent la lutte contre le cancer du sein. En se connectant et en réunissant des dirigeant.e.s, des décideurs politiques et des expert.e.s du continent, le Conseil soutient les efforts des gouvernements pour faire du cancer du sein une priorité nationale de santé et s’efforce de soutenir la collaboration entre les parties prenantes.

Dr Kgothatso Motumi, Coprésidente de ce Conseil africain et directrice générale de Roche Products, expose ici la situation alarmante en Afrique et les perspectives de la lutte.

D’après l’analyse scientifique des données actuelles, quelles sont les principales causes du cancer du sein dans le monde ?

Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent dans le monde. Il est la principale cause de décès par cancer chez les femmes, touchant de manière disproportionnée les pays à revenu faible et intermédiaire. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), certains facteurs augmentent le risque de cancer du sein, notamment l’âge avancé, l’obésité, la consommation nocive d’alcool, les antécédents familiaux, l’exposition aux radiations, le tabagisme et les aspects reproductifs (comme l’âge du début des règles et l’âge de la première grossesse). Environ la moitié des cancers du sein se développent chez des femmes qui ne présentent aucun facteur de risque identifiable autre que le sexe (féminin) et l’âge (plus de 40 ans).

Pourquoi l’Afrique enregistre-t-elle des taux élevés de cancer du sein ?

L’Afrique détient le taux le plus élevé du cancer de sein dans le monde. En Afrique Subsaharienne, par exemple, l’incidence a augmenté de 247% entre 1990 et 2019. D’ici 2045, l’OMS prévoit que le nombre de cas doublera dans cette région pour atteindre 400 000. Cette tendance est due à l’augmentation de l’espérance de vie sur le continent, combinée à des changements de mode de vie, dont nous citons cinq facteurs principaux de risques : le tabagisme, la consommation d’alcool, un poids corporel élevé, une glycémie élevée et le manque d’exercice physique.

Comment expliquez-vous les faibles taux de survie des patientes en Afrique ?

 Le continent africain affiche aussi les taux de mortalité par cancer du sein les plus élevés au monde : seulement 50 % des femmes devraient survivre cinq ans après le diagnostic, contre 90% dans les pays à revenu élevé. Ces faibles taux de survie sont dus à un diagnostic tardif : 77 % des femmes ne sont diagnostiquées qu’au stade 3 ou 4 de la maladie, alors que le traitement est beaucoup plus difficile. Les systèmes de santé africains doivent investir davantage pour offrir à toutes les femmes une prise en charge complète du cancer du sein qui permettra d’enrayer cette hausse des taux. Nous devons mettre en place des programmes de sensibilisation de grande envergure pour apprendre aux femmes à identifier les symptômes du cancer du sein et à prendre les mesures nécessaires. Ensuite, nous devons bien sûr garantir l’accès à des soins de meilleure qualité là où elles se trouvent, afin qu’elles puissent être diagnostiquées rapidement et orientées vers les traitements appropriés. Les pays africains doivent donner la priorité au renforcement du personnel de santé spécialisé dans la cancérologie et au développement des infrastructures pour offrir les soins que toutes les femmes méritent.

Pourquoi le Conseil africain du cancer du sein a-t-il été créé ?

Le Conseil africain du cancer du sein Africa Breast Cancer Council a été créé l’année dernière (2024) en réponse à cette tendance alarmante et à l’aggravation des taux de mortalité due au cancer du sein. Ce Conseil rassemble des femmes africaines de premier plan – notamment des économistes, des professionnelles de la santé, des oncologues, des Premières dames et d’anciennes ministres – qui s’engagent à faire progresser la prise en charge du cancer du sein en Afrique. S’appuyant sur l’expérience et les connaissances de ses membres, le Conseil partage des données probantes avec les gouvernements africains et plaide en faveur de changements systémiques susceptibles d’accroître les taux de survie des femmes.

Quelles sont les principales initiatives de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et du Conseil africain du cancer du sein (ABCC) pour lutter contre le phénomène actuel des infections par le cancer du sein ?

L’Organisation mondiale de la Santé a lancé son Initiative mondiale contre le cancer du sein en 2021, qui a défini trois piliers pour la lutte ainsi que des objectifs régionaux à atteindre par les pays d’ici 2040.

Ces objectifs sont axés sur :

  • Le dépistage précoce : augmenter la proportion de cancers du sein détectés aux stades précoces (I et II) de 30% à 60%.
  • L’accélération du diagnostic : réduire le délai moyen entre la reconnaissance des symptômes et le traitement de 183 jours à 60 jours.
  • L’amélioration des résultats thérapeutiques : améliorer les taux de survie afin que huit femmes sur dix diagnostiquées avec un cancer du sein survivent, contre cinq sur dix actuellement.

Le Conseil africain du cancer du sein (ABCC) œuvre en faveur des objectifs de l’OMS en élaborant et en défendant des politiques concrètes et évolutives qui améliorent les résultats de lutte. En se connectant et en réunissant des dirigeant.e.s, des décideurs politiques et des expert.e.s, le Conseil soutient les efforts des gouvernements pour faire du cancer du sein une priorité nationale de santé et s’efforce de soutenir la collaboration entre les différentes parties prenantes.

Comment le Conseil africain du cancer du sein compte-t-il collaborer avec les institutions de santé publique des pays africains pour lutter contre le cancer du sein ?

Un aspect essentiel du travail du Conseil africain du cancer du sein consiste à réunir des acteurs des secteurs public et privé. Notre rôle n’est pas de mettre en œuvre la lutte, mais de servir de canal de collecte et de partage d’idées et de données probantes sur les solutions efficaces sur le continent. Les institutions de santé publique ont un rôle essentiel à jouer dans ces discussions, et les partenariats public-privé s’avèrent précieux dans de nombreux pays africains, où ils ont permis la création de centres de cancérologie plus spécialisés.

Comment le Conseil travaille-t-il pour développer et promouvoir des initiatives visant à atteindre les objectifs fixés ?

Le Conseil (ABCC) s’efforce d’identifier et de mettre en lumière les lacunes critiques que les pays africains doivent combler pour accélérer le diagnostic et le traitement efficace du cancer du sein, en sensibilisant à cette maladie en tant que priorité nationale de santé. Nous œuvrons à favoriser le dialogue politique et à soutenir les changements de politiques dans les pays prioritaires, en mettant l’accent sur le financement public et l’allocation de ressources pour l’éducation, le traitement et les soins liés au cancer du sein. Nous plaidons également en faveur des ressources nécessaires pour améliorer l’accès aux soins et explorer des solutions innovantes pour la lutte, en mettant l’accent sur la création de partenariats stratégiques et en facilitant la collaboration entre les secteurs public et privé.

Qui sont les personnes et les partenaires clés du Conseil africain du cancer du sein ?

Je suis très fière de coprésider un groupe de femmes pionnières venues de tout le continent africain. Au Ghana, nous accueillons Dr Verna Vanderpuye, consultante principale au Centre national ghanéen de radiothérapie, d’oncologie et de médecine nucléaire. Verna a reçu le Prix international de mentorat « Femmes qui conquièrent le cancer » en 2019 et est également trésorière de l’Organisation africaine pour la recherche et le traitement du cancer. Parmi nos autres membres ouest-africains, on compte, du Nigéria, S.E. Dr Zainab Shinkafi-Bagudu, présidente de l’Initiative des Premières dames contre le cancer et présidente élue de l’Union internationale contre le cancer (UICC). De Guinée-Bissau, nous accueillons Dr Magda Robalo, ancienne ministre de la Santé, actuellement présidente et cofondatrice de l’Institut pour la santé mondiale et le développement.

Le Conseil bénéficie aussi du soutien de Roche. Pour plus d’informations, visitez le site : https://africa.roche.com/stories/africa-breast-cancer-council.

La dernière conférence du Conseil africain du cancer du sein à Kigali en mars 2025 a été un succès. Comment de tels événements peuvent rassembler les meilleur.e.s expert.e.s pour trouver des solutions au problème en Afrique ?

L’événement que nous avons organisé à Kigali (Rwanda), en mars 2025, portait sur le thème « Combler les disparités : faire progresser la prise en charge du cancer du sein chez les femmes africaines ». Il s’est tenu dans le cadre de la Conférence internationale de l’Agenda africain pour la santé, un important rassemblement biennal de leaders de la santé. Nous avons eu le plaisir d’accueillir des ministres et de hauts fonctionnaires de plusieurs pays africains qui ont échangé des idées, des témoignages et des expériences réussies. Nous avons aussi l’intention d’organiser davantage d’événements de ce type en partageant des preuves d’impact et en amplifiant les exemples de réussite.

Quelles sont les principales attentes du Conseil africain en matière de prévention et de prise en charge du cancer du sein au cours de la prochaine décennie ?

Les membres du Conseil africain du cancer du sein sont animé.e.s par une vision commune : un avenir où chaque femme africaine aura accès à des soins rapides, équitables et vitaux. Dans un premier temps, nous intervenons dans dix pays identifiés comme étant à l’origine de progrès transformateurs dans la prise en charge du cancer du sein et inspirant des actions sur tout le continent. Ces pays prioritaires sont : l’Algérie, la Côte d’Ivoire, l’Égypte, le Ghana, le Kenya, le Maroc, le Nigéria, le Rwanda, l’Afrique du Sud et la Tunisie. Le Conseil ne met pas en œuvre ni ne finance les soins contre le cancer. Mais en nous réunissant, en nous connectant, en recueillant des informations et en les partageant, nous offrons des orientations politiques pour soutenir les gouvernements dans leur démarche visant à transformer la prise en charge du cancer du sein pour les femmes. En travaillant à la réalisation des objectifs de l’OMS, nous sommes convaincus que le Conseil peut impulser des changements politiques significatifs et coordonnés, alignés sur les objectifs régionaux existants.

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 27 Juin 2025

27. Juni 2025 um 13:49

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.901 2.978
Euro EUR 1 3.382 3.461
Yen Japonais JPY 1000 19.889 20.638
Livre Sterling GBP 13 3.941 4.089
Franc Suisse CHF 10 35.670 37.203

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ZOOM – Dollar en chute libre, devises en ébullition – le marché des changes à l’ère du chaos monétaire

27. Juni 2025 um 06:00

À l’heure où la politique monétaire américaine vacille sous les coups d’un président en campagne, le dollar recule, les devises alternatives s’emballent, et l’équilibre du marché des changes mondial bascule.

Derrière les variations de taux et les courbes de change, se dessine une remise en cause historique de l’ordre monétaire fondé sur l’hégémonie du billet vert.

L’indépendance de la Fed en sursis

La Réserve fédérale des États-Unis, institution longtemps considérée comme un rempart de stabilité, est désormais au centre d’une tempête politique. Donald Trump, dans une offensive sans précédent, multiplie les attaques contre son président, Jerome Powell, lui reprochant son refus de baisser les taux d’intérêt au rythme souhaité. L’hypothèse d’une révocation anticipée, relayée par la presse américaine, ébranle la confiance des marchés dans l’indépendance de la Banque centrale.

En quelques jours, l’indice du dollar a chuté à son plus bas niveau depuis trois ans, précipitant un glissement généralisé sur le marché des devises.

 

Lire aussi : USA : À cause de sa militarisation, craintes d’une « dédollarisation » de l’économie mondiale

 

La perspective d’une Fed soumise aux intérêts politiques de la Maison-Blanche installe un climat d’incertitude, transformant ce qui relevait du pilotage technique en bras de fer institutionnel. Pour les investisseurs, le doute n’est plus permis : la boussole de la politique monétaire américaine perd le nord.

Une remise en cause du leadership du billet vert

L’érosion de la crédibilité de la Fed se conjugue à des fragilités structurelles de l’économie américaine. L’endettement public dépasse les 37 000 milliards de dollars, la stabilité fiscale est menacée, et les tensions commerciales relancées par les tarifs douaniers de Trump accentuent les risques inflationnistes. Dans ce contexte, la perte d’attractivité du dollar n’est plus conjoncturelle, mais potentiellement structurelle.

 

Chaos monétaire

 

Les marchés, désormais, envisagent ouvertement un monde où le dollar ne jouerait plus seul le rôle de monnaie de réserve. Ainsi, l’euro, malgré une conjoncture européenne atone, grimpe face au billet vert, atteignant son plus haut niveau depuis 2021. La livre sterling, elle aussi, regagne du terrain, tandis que le yen japonais et le franc suisse profitent de leur statut de valeurs refuges.

La défiance envers le dollar redonne de la vigueur à des monnaies longtemps éclipsées par sa domination.

L’Asie en embuscade, le yuan en progression

Le recul du dollar profite aussi aux devises asiatiques. Le yuan chinois s’apprécie, dopé par les annonces de nouvelles mesures de relance à Pékin. Dans un contexte où la Chine renforce sa stratégie de dédollarisation, le renforcement de sa monnaie est autant économique que politique. Le yen japonais se raffermit, soutenu par des anticipations de hausse des taux de la Banque du Japon face à une inflation persistante. Le won sud-coréen, le dollar taïwanais, la roupie indienne et le dollar australien affichent tous des gains notables.

 

Lire également : ZOOM – Dédollarisation – l’Afrique redéfinit ses règles du jeu — Une voie stratégique pour le Maghreb

 

Cette dynamique suggère une recomposition en profondeur de l’équilibre monétaire mondial, avec un déplacement progressif du centre de gravité vers l’Asie. Le dollar n’est plus l’unique repère, et l’idée d’un marché multipolaire des devises n’est plus une vue de l’esprit.

Le change, reflet des désordres géopolitiques

À cette crise monétaire s’ajoute une incertitude géopolitique persistante. Si le cessez-le-feu entre Israël et l’Iran, obtenu sous médiation américaine, a momentanément stabilisé les marchés, il souligne la fragilité d’un environnement international sous tension. Les devises ne réagissent plus seulement aux chiffres de l’inflation ou de l’emploi, mais aux fluctuations d’un ordre mondial instable. Le marché des changes devient le baromètre immédiat des crispations géopolitiques, des offensives commerciales et des ruptures institutionnelles.

Vers un nouvel ordre monétaire ou un désordre globalisé ?

L’actuelle dépréciation du dollar marque peut-être la fin d’une époque. Celle d’une domination monétaire sans partage, adossée à une banque centrale indépendante et à une économie puissante. L’avenir pourrait voir émerger un monde plus fragmenté, où plusieurs devises fortes coexisteraient sans qu’aucune ne parvienne à s’imposer totalement.

Mais cette transition n’est pas sans risques : instabilité accrue, arbitrages complexes, tensions sur les flux de capitaux. À court terme, l’absence de repères clairs sur le marché des changes alimente la volatilité. À long terme, elle pose la question du pilier sur lequel reposera le futur système monétaire international.

In fine, un basculement historique en marche

Le marché des changes est à la dérive, non pas par déséquilibre macroéconomique classique, mais parce que les fondements institutionnels et politiques qui garantissaient la stabilité du dollar sont remis en cause. Dans ce contexte, chaque devise devient le reflet d’un rapport de force, d’une stratégie nationale, ou d’une incertitude géopolitique. Le chaos monétaire actuel n’est pas un simple épisode conjoncturel : c’est le signal d’une recomposition stratégique en cours, où l’économie mondiale cherche une nouvelle boussole.

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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Campagne antirabique | Vaccination gratuite des chats et des chiens à Monastir

Von: Yusra NY
26. Juni 2025 um 23:52

Une campagne régionale de vaccination gratuite contre la rage a été lancée ce jeudi 26 juin 2025 à Monastir et se poursuivra également demain.

Destinée aux chiens et aux chats a été lancée ce jour par la municipalité de Téboulba, où des stands ont été placés devant le stade du club Aigle Sportif de Téboulba.

La campagne de lutte contre la rage se poursuivra demain vendredi 27 juin, à Sahline, à l’initiative de la cellule locale de vulgarisation agricole, en coordination avec le gouvernorat.

Y. N.

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Marokko – Startschuss für Batteriematerialien-Megafabrik mit globaler Ausstrahlung

Von: maghreb
26. Juni 2025 um 16:48

BatterieCOBCO nimmt in Jorf Lasfar erste große Produktionsanlage für Lithium-Ionen-Batteriematerialien in Betrieb – Ein Gemeinschaftsprojekt von Al Mada und CNGR soll Marokko als strategischen Standort der grünen Industrialisierung etablieren Casablanca – Am 25. Juni 2025 wurde in Jorf Lasfar offiziell eine der größten Produktionsstätten für Batteriematerialien auf dem afrikanischen Kontinent eröffnet. Die von COBCO betriebene […]

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Handicap : une proposition de loi pour une aide mensuelle de 300 dinars

26. Juni 2025 um 14:59

Un projet de loi visant à amender la loi d’orientation de 2005 relative à la promotion et à la protection des personnes en situation de handicap a été récemment présenté par plusieurs députés de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), rapporte Mosaïque Fm.

Le texte mentionné ci-dessus propose une série de mesures pour améliorer l’inclusion sociale et économique de cette catégorie de citoyens.

La création d’un fonds spécial dédié aux personnes en situation de handicap, placé sous tutelle de l’État, figure parmi les principales dispositions du projet de loi. Ce fonds serait destiné à financer l’achat d’équipements médicaux, de fauteuils roulants si nécessaires, à soutenir les projets économiques portés par les personnes concernées, et à leur offrir un appui matériel.

Il serait alimenté par des contributions publiques, une taxe spécifique imposée aux grandes entreprises, ainsi que par des dons issus du secteur privé et des organisations caritatives.

Le texte recommande également la mise en place d’un organe de contrôle pour garantir une gestion transparente et équitable des fonds récoltés.

Le projet prévoit en outre l’instauration d’une allocation de chômage d’un montant minimum de 300 dinars pour les personnes en situation de handicap à la recherche d’emploi, titulaires de diplômes supérieurs ou professionnels, et une allocation de 450 dinars pour celles incapables de travailler.

Autre mesure phare : l’augmentation du quota de recrutement dans la fonction publique, qui passerait de 2 % à 5 %, avec l’organisation de concours annuels spécifiquement dédiés à cette catégorie.

Le projet propose également d’exonérer les personnes handicapées des droits de douane pour l’importation de matériel médical et de véhicules, tout en supprimant la limite d’âge légal pour l’accès à la fonction publique.

Enfin, le texte appelle à l’harmonisation des législations existantes en faveur des personnes en situation de handicap et à la gratuité des soins de santé, du transport public et de l’assistance judiciaire obligatoire pour les détenteurs de la carte de handicap.

Cette initiative législative s’inscrit dans une volonté plus large de renforcer les droits et la dignité des personnes en situation de handicap en Tunisie, en leur assurant une meilleure intégration dans la vie économique et sociale.

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Siliana : 47% de la récolte céréalière achevée avec 790 000 quintaux collectés

26. Juni 2025 um 14:40

Le taux d’avancement de la récolte céréalière dans le gouvernorat de Siliana a atteint 47%, après la collecte de 790 mille quintaux.

Le chef du service des grandes cultures au commissariat régional au développement agricole, Mohamed Taher Azzouz a indiqué, jeudi, à l’Agence TAP, que les quantités de céréales collectés s’élèvent jusqu’à présent à 511 mille quintaux d’orge, 52 mille quintaux de blé tendre et 227 mille quintaux de blé dur.

Il a ajouté que certains centres de collecte ont connu un volume de stockage dépassant leur capacité, soulignant que 160 mille quintaux de céréales sont déjà stockés dans les silos de l’Office des céréales dans la région.

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Tunisie : coopération entre Culture et Protection civile pour préserver les trésors patrimoniaux

26. Juni 2025 um 14:33

Dans le cadre du renforcement des efforts du ministère des affaires culturelles pour la protection et la préservation du patrimoine national, et dans le but de mieux se préparer face aux risques menaçant les biens culturels, une deuxième session de formation consacrée à l’élaboration d’un Plan de Sauvegarde des Biens Culturels (PSBC) s’est tenue au musée de Carthage, du 17 au 20 juin 2025, en collaboration avec l’Office national de la protection civile et avec la participation de plusieurs experts du domaine.

Cette session, informe le ministère des affaires culturelles sur sa page officielle, a permis de se familiariser avec les principes de gestion des risques dans les institutions culturelles, en particulier dans les réserves et les espaces d’exposition des musées. Les participants ont pu approfondir leur compréhension du cadre juridique, tant national qu’international, de la protection du patrimoine en situation d’urgence, et développer une méthodologie adaptée pour sa sauvegarde, notamment à travers les techniques d’évacuation et d’intervention en cas de catastrophe.

Les différents types de menaces pesant sur les biens culturels ont été analysés (séismes, incendies, inondations, actes de vandalisme ou de vol…), et un plan précis d’inventaire des biens culturels nationaux classés et exposés au risque a été établi, outre l’organisation des procédures opérationnelles nécessaires à leur sauvegarde.

L’objectif de cette formation est de renforcer la coopération entre les structures culturelles et les unités de la protection civile, ainsi que de consolider les compétences des spécialistes du patrimoine, en leur fournissant les outils et méthodes pratiques nécessaires à l’élaboration, pour la première fois en Tunisie, d’un plan opérationnel global et rigoureux pour la protection des biens culturels conservés dans les réserves et les ateliers de restauration, dans le cadre des travaux de rénovation du musée de Carthage. Ces plans seront également intégrés aux systèmes de sécurité et de prévention propres aux futurs espaces d’exposition et de stockage du musée, ajoute la même source.

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Coopération entre institutions culturelles et protection civile pour un PSCBC

26. Juni 2025 um 12:45

Dans le cadre de ses efforts pour préserver le patrimoine national, le ministère des Affaires culturelles a organisé, du 17 au 20 juin 2025 au musée de Carthage, une deuxième session de formation dédiée à l’élaboration d’un Plan de Sauvegarde des Biens Culturels (PSBC). Cette initiative, en partenariat avec l’Office national de la protection civile (ONPC), a réuni plusieurs experts du secteur.

Selon un communiqué officiel, cette formation a permis aux participants de se familiariser avec la gestion des risques au sein des institutions culturelles, en particulier dans les réserves et espaces d’exposition des musées. Un accent particulier a été mis sur le cadre juridique national et international relatif à la protection du patrimoine en situation d’urgence.

Les différents scénarios de menace – séismes, incendies, inondations, actes de vandalisme ou vols – ont été analysés, permettant l’élaboration d’un inventaire précis des biens culturels exposés à ces risques. Ont également été définies des procédures opérationnelles claires pour assurer leur sauvegarde.

L’objectif est double : renforcer la coopération entre les structures culturelles et la protection civile, et doter les spécialistes du patrimoine des outils nécessaires pour créer, pour la première fois en Tunisie, un plan global et opérationnel de protection des biens culturels. Ce dispositif sera intégré aux systèmes de sécurité des réserves, ateliers de restauration et futurs espaces d’exposition dans le cadre des travaux de rénovation du musée de Carthage.

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Plage interdite à la baignade en Tunisie : Qu’est-ce que cela signifie vraiment ?

25. Juni 2025 um 18:27

Chaque été, à l’approche de la saison balnéaire, les autorités tunisiennes publient une liste des plages interdites à la baignade. Si le terme peut inquiéter les vacanciers, il soulève surtout une question légitime : pourquoi certaines plages deviennent-elles non-conformes à la baignade ? Et que signifie concrètement cette interdiction ?

En Tunisie, c’est le Ministère de la Santé, à travers l’Observatoire National de la Santé Publique et ses laboratoires régionaux, qui est chargé d’évaluer la qualité des eaux de mer destinées à la baignade. Chaque année, entre mai et septembre, des prélèvements sont effectués régulièrement sur plus de 500 points de surveillance répartis sur tout le littoral tunisien.

Ces prélèvements permettent de mesurer le niveau de pollution microbiologique, notamment la concentration de colibacilles fécaux et d’entérocoques intestinaux, deux indicateurs de la présence de matières fécales dans l’eau. Lorsque les résultats dépassent les seuils tolérés définis par les normes internationales de l’OMS, la plage concernée est classée comme non conforme.

Pourquoi certaines plages deviennent-elles interdites ?

Les plages interdites à la baignade ne le sont pas par hasard. En général, plusieurs facteurs expliquent ce classement :

  • Rejets d’eaux usées non traitées ou partiellement traitées, souvent en raison de stations d’épuration défectueuses ou surchargées ;
  • Pollution urbaine due à des déchets ménagers, plastiques ou résidus industriels qui se déversent dans la mer via les oueds ou les canaux d’évacuation ;
  • Absence de surveillance ou de mesures correctives dans des zones sensibles proches de quartiers densément peuplés.
  • Certaines plages se trouvent aussi à proximité immédiate de ports, de zones industrielles ou de dépotoirs, ce qui augmente les risques de contamination.

Un classement préventif pour protéger la santé publique

L’interdiction de baignade n’a pas pour but de pénaliser les baigneurs, mais de les protéger contre les risques sanitaires. Nager dans une eau polluée peut entraîner des infections cutanées, gastro-intestinales, voire des pathologies plus graves, notamment pour les enfants, les personnes âgées ou les individus immunodéprimés.

Ainsi, le classement des plages interdites est un outil de prévention, et non une simple mesure administrative. Il est mis à jour chaque année à l’issue des campagnes de surveillance menées au printemps et au début de l’été.

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