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Heute — 14. Oktober 2025Haupt-Feeds

Bourse de Tunis : le TUNINDEX termine quasi stable à 12 346 points, TUNISIE LEASING en forte hausse

14. Oktober 2025 um 17:20

Le marché boursier a terminé la séance de mardi proche de l’équilibre (-0,03 %) à 12346 points, dans un modeste volume de 4,7 millions de dinars (MD), d’après l’analyse quotidienne de l’intermédiaire en bourse Tunisie Valeurs.

Analyse des valeurs :

Le titre TUNISIE LEASING & FACTORING s’est offert la palme des hausses. L’action du leader du secteur du leasing en Tunisie s’est envolée de 6% à 32,840 dinars. La valeur a drainé des échanges de 352 mille dinars sur la séance.

Après une longue période d’hibernation en bourse, le titre SIAME a retrouvé des couleurs. L’action du spécialiste des appareillages électriques s’est adjugée une embellie de 4,7% à 2,240 dinars. La valeur a été échangée à hauteur de 8 mille dinars, seulement, sur la séance.

Le titre STIP a affiché la moins bonne performance de la séance. L’action de l’unique producteur de pneus en Tunisie a reculé de -3,4% à 3,100 dinars, sans mobiliser de flux.

Le titre ATB a figuré parmi les plus fortes baisses de la séance. L’action de la filiale du groupe ARAB BANK a abandonné -1,5% à 3,350 dinars. La valeur a brassé un volume relativement limité de 137 mille dinars sur la séance.

SFBT a été la valeur la plus convoitée par les investisseurs sur la séance. L’action du champion national des boissons gazeuses et alcoolisées a terminé la séance en territoire positif (+0,8% à 12,840 dinars), en alimentant le marché avec des capitaux de 1,4 MD.

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Tunisia Investment Authority : nouvelles stratégies pour renforcer l’écosystème d’investissement et le secteur des data centers

14. Oktober 2025 um 17:10

La Tunisia Investment Authority (TIA) a réaffirme, mardi, son engagement “à faciliter l’émergence d’un écosystème favorable à l’investissement, en Tunisie, en s’appuyant sur des partenariats public-privé inspirants et des niches à fort potentiel comme les data centers”, et ce, lors de sa 22ème session du Conseil stratégique, organisée mardi.

Selon un communiqué, publié par la TIA, cette session s’est focalisée sur deux principaux thématiques, à savoir « Le rôle du secteur privé dans l’élaboration des réformes et législations », et « L’analyse des opportunités d’investissement dans les data centers ».

Exposant l’expérience de Dubaï, la directrice principale du département de Plaidoyer politique à la Chambre de commerce de Dubaï, Nadin Chami, a présenté, à cette occasion, les mécanismes de collaboration public-privé mis en place, soulignant l’importance d’une implication structurée des entreprises dans l’élaboration des politiques publiques.

La responsable a fait savoir, dans ce cadre, que 107 textes législatifs ont été révisés, à Dubaï, en 2024, avec un taux d’acceptation de 58% des propositions formulées par les entreprises ; outre la réalisation d’études ciblées (coût de la gouvernance des entreprises familiales, protection des mineurs, soutien aux entrepreneurs nationaux, etc.) ; la coordination avec 17 organismes gouvernementaux…

D’après la TIA, “ce modèle inspirant ouvre la voie à une meilleure intégration du secteur privé tunisien dans la conception des réformes”.

La deuxième partie de la session a été consacrée à une veille stratégique sur les data centers, réalisée par l’équipe de la TIA sur la base de données sectorielles et d’analyses comparatives internationales.

Faisant état d’une accélération des investissements, au niveau mondial, avec des montants investis multipliés par vingt depuis 2016, les participants à cette rencontre ont recommandé de moderniser le cadre juridique sur la protection des données, de développer les énergies renouvelables pour alimenter les data centers, de renforcer la connectivité internationale par de nouveaux câbles sous-marins, et de créer une zone économique spéciale dédiée au cloud et aux data centers. L’objectif est de renforcer l’attractivité de la Tunisie dans ce secteur.

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Tunisie à Kampala : participation à la réunion ministérielle du Mouvement des Non-Alignés 2025

14. Oktober 2025 um 17:01

La Tunisie participe à la réunion ministérielle du Mouvement des Non-Alignés qui se tiendra à Kampala, en Ouganda, les 15 et 16 octobre courant, sous le slogan « Approfondir la coopération pour une prospérité mondiale partagée ».

Le ministre des Affaires étrangères, de la migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, conduira la délégation tunisienne participant à cette réunion, mandaté par le président de la République, Kais Saied.

Le département des Affaires étrangères précise, dans un communiqué publié mardi, que cette réunion sera l’occasion d’examiner les progrès réalisés dans la mise en œuvre des résultats du 19e Sommet des chefs d’État et de gouvernement du Mouvement des non-alignés, tenu à Kampala, en juin dernier, du 15 au 20..

Elle permettra également de discuter des moyens de relever les défis mondiaux communs auxquels sont confrontés les pays du Sud et des solutions garantissant le développement durable pour tous.

Elle va, en outre, permettre d’élaborer une nouvelle vision pour renforcer le multilatéralisme, la coopération et la solidarité internationale, indique le communiqué.

Le ministère précise encore que cette participation représente une nouvelle occasion de rappeler les principes de Bandung et de Belgrade, qui reposent sur le renforcement des fondements de l’indépendance, de la souveraineté, du respect mutuel, de la non-ingérence dans les affaires des autres États et de la coopération internationale équitable pour faire face aux défis politiques et économiques actuels, soulignant que ceux-ci sont « l’une des constantes de la politique étrangère de la Tunisie ».

Nafti tiendra, en marge de cette réunion ministérielle, des rencontres avec nombre de ses homologues afin de renforcer la concertation, examiner les moyens de promouvoir la coopération bilatérale et nouer de nouveaux partenariats, notamment au niveau des organisations régionales et internationales.

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Tunis : présentation de l’ouvrage “La Conquête de la Palestine” par le Pr Rachad Antonius à Beït al-Hikma

14. Oktober 2025 um 16:56

Le Pr canadien Rachad Antonius présentera son dernier ouvrage ”La Conquête de la Palestine: une guerre de cent ans”, le lundi prochain 20 octobre, au Palais de l’Académie tunisienne des sciences, des lettres et des arts, Beït al-Hikma, à Carthage-Hannibal, à Tunis.

”La Conquête de la Palestine” est un essai paru au mois d’août 2024, aux éditions Écosociété, une maison d’édition indépendante basée À Montréal au Canada.  Fondée en 1992 par un groupe de militants indépendants faisant le pari sur la circulation des idées, Écosociété est membre de l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL) et de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants.

Dans cet ouvrage, l’auteur et sociologue analyse l’histoire du conflit dans les territoires palestiniens occupés depuis plus de cent ans : de la déclaration de Balfour jusqu’à la guerre contre Gaza déclenchée en octobre 2023. « Pour comprendre l’horreur de Gaza, il faut rappeler l’histoire de la mainmise graduelle du mouvement sioniste sur la terre de Palestine et remettre les pendules à l’heure, écrit l’auteur sur le site de son éditeur.

Selon le Pr Antonius : « La conquête de la Palestine nous permet de jeter un regard différent de celui véhiculé par les grands médias et les élites politiques occidentales…». La présentation de son ouvrage à Beït al-Hikma sera suivie d’une séance débat avec Rachad Antonius, professeur titulaire retraité du département de sociologie de l’Université du Québec à Montréal.

Cet évènement intervient suite à la signature du plan de paix, ce lundi 13 octobre, à Charm Cheikh, en Egypte, et la déclaration pour garantir la fin de la guerre à Gaza qui était assiégée pendant près de deux ans. Cette nouvelle page dans l’histoire de la région devra permettre d’ouvrir le débat chez les académiciens autour des issues possibles du conflit dans les territoires palestiniens occupés.

Résumé de ”La Conquête de la Palestine : une guerre de cent ans” :

« Car le conflit israélo-palestinien n’a pas commencé avec l’attaque du Hamas du 7 octobre. Pour comprendre ce qui s’est passé ce jour-là, et ce qui a suivi, il faut prendre en considération tout ce qui a précédé cette date fatidique. Rachad Antonius présente la conquête de la Palestine à partir de trois moments structurants : la Déclaration Balfour et le Mandat britannique (1917-1922), la création de l’Etat d’Israël (1947-1949) et les accords d’Oslo (1993-1995). Il aborde ensuite des questions délicates qui ont été exacerbées depuis la guerre de Gaza. L’opposition au projet sioniste est-elle une forme d’antisémitisme ? Quelle est la place de la violence de part et d’autre dans le conflit ? Pourquoi les divers plans de paix ont-ils échoué?

Le droit international peut-il indiquer une voie à suivre pour une solution pacifique et équitable ? Quelle est la responsabilité des pays occidentaux à l’égard de la situation au Proche-Orient ? La conquête de la Palestine nous permet de jeter un regard différent de celui véhiculé par les grands médias et les élites politiques occidentales. Seul un renversement de cette dynamique de conquête permettra d’en arriver à une solution durable et d’éviter des catastrophes encore plus coûteuses, tant pour les Palestiniens que pour les Israéliens. »

« Rachad Antonius est Professeur associé au département de sociologie de l’UQAM. Il a été Professeur titulaire de sociologie à l’Université du Québec à Montréal jusqu’à sa retraite en décembre 2020. Il a une formation en sociologie (Ph.D., UQAM) et en mathématiques (M.Sc., Université du Manitoba), peut-on lire sur le site de l’Institut d’études internationales de Montréal (IEIM-UQAM).

Il est également membre associé du CELAT – UQAM, Centre interuniversitaire d’études sur les lettres, les arts et les traditions.  Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur les méthodes quantitatives appliquées aux sciences humaines.

Ses recherches récentes ont porté sur la définition théorique des notions de minorités et de majorités, sur le conflit israélo-palestinien, sur les rapports à la terre et à l’eau dans l’agriculture libanaise, sur les minorités arabes au Québec et enfin sur certains aspects idéologiques dans l’islam politique.

Des publications antérieures ont porté, sur la représentation des Arabes et des musulmans dans les médias québécois, sur les relations ethniques au Québec, sur le racisme et les discriminations, sur la mesure des inégalités, sur les conflits politiques au Proche-Orient, sur les sociétés arabes contemporaines et en particulier sur les révoltes arabes, sur les rapports État/société civile dans le monde arabe et sur la société rurale égyptienne.

Il a travaillé avec des ONG de développement dans le monde arabe et a été consultant pour l’ONU, l’UNICEF, et d’autres agences internationales ou canadiennes. Il a souvent été invité à commenter l’actualité locale ou internationale dans les médias écrits ou électroniques, et il est actif comme personne-ressource dans les milieux de la solidarité ».

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Afrique : l’économie circulaire pourrait générer 546 milliards de dollars et 11 millions d’emplois d’ici 2030

14. Oktober 2025 um 16:50

La réunion annuelle de l’Alliance africaine pour l’économie circulaire (AAEC) a ouvert ses travaux, mardi, à Addis-Abeba, sous le thème “Alignement continental pour la transformation vers l’économie circulaire en Afrique”.

Organisée en partenariat avec le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), cette rencontre rassemble un large éventail de parties prenantes, notamment des représentants de gouvernements africains, d’organisations régionales, des acteurs du secteur privé, des investisseurs ainsi que des partenaires régionaux et internationaux du développement.

Cette réunion vise à instaurer une approche continentale “cohésive” en matière d’économie circulaire en alignant et harmonisant les initiatives et politiques nationales déjà existantes mais souvent fragmentées, a déclaré Charles Nyandiga, responsable des affaires environnementales au PNUD, à l’ouverture des travaux.

Selon lui, cette fragmentation limite la capacité des pays africains à accéder à des marchés régionaux intégrés et à réaliser des économies d’échelle. Ce conclave, a-t-il dit, constitue une occasion privilégiée pour discuter des moyens à même de mobiliser les financements nécessaires et identifier les opportunités d’investissement afin d’accélérer la transition vers un modèle d’économie circulaire en Afrique.

Pour Bonmwa Fwangkwal, responsable de programme au sein de l’AAEC, cette rencontre favorisera la coopération Sud-Sud, permettant aux pays membres de partager leurs expériences, de mettre en avant des partenariats impactantes et de collaborer pour promouvoir des solutions d’économie circulaire à travers le continent.

Harmoniser les politiques avec le plan d’action continental pour l’économie circulaire 

Cette réunion, a-t-elle dit, entend harmoniser les politiques et les priorités nationales avec le Plan d’action continental pour l’économie circulaire (CEAP) pour 2024-2034, récemment lancé par la Commission de l’Union africain, avec pour objectif de transformer les économies africaines vers un modèle plus durable, en réduisant les déchets et en réutilisant les ressources.
Ce plan constitue une feuille de route continentale pour la promotion de solutions d’économie circulaire, en mettant l’accent sur l’importance de l’intégration régionale et de la collaboration multipartite.

Bonmwa Fwangkwal a appelé à une adhésion plus large des pays africains, y compris de la Tunisie, à l’Alliance, qui ne regroupe encore que 21 des 54 pays du continent.

Créée en 2016, lors du Forum économique mondial sur l’Afrique à Kigali (Rwanda), l’Alliance africaine pour l’économie circulaire est une coalition dirigée par les gouvernements africains, fondée par le Rwanda, le Nigéria et l’Afrique du Sud, avec un Secrétariat basé à la Banque africaine de développement (BAD). Sa mission est de stimuler la transformation du continent vers un modèle économique circulaire générateur de croissance, d’emplois et d’effets positifs sur l’environnement, en développant l’écosystème africain de la circularité et en exploitant les opportunités offertes par ce modèle de développement.

L’alliance a identifié cinq domaines prioritaires, appelés les « 5 Paris Gagnants », dans lesquels l’économie circulaire peut générer d’importants bénéfices économiques, sociaux et environnementaux, à savoir les systèmes alimentaires, les emballages, l’environnement bâti, la mode et le textile, ainsi que l’électronique.

Selon la BAD, la transition vers l’économie circulaire pourrait générer 546 milliards de dollars d’opportunités de marché et créer 11 millions d’emplois en Afrique d’ici 2030.

Le secteur de la gestion des déchets, quant à lui, représente à lui seul une opportunité de marché estimée à 21,7 milliards de dollars en 2024 sur le continent, selon Research and Markets, une société spécialisée dans les études et analyses de marché à l’échelle mondiale.

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Tunisie : 400 millions de dinars mobilisés pour la réhabilitation des établissements scolaires

14. Oktober 2025 um 16:41

Le ministère de l’Éducation a mobilisé une enveloppe de 400 millions de dinars (MD) pour la réhabilitation des établissements scolaires et l’amélioration de leurs infrastructures, a affirmé le ministre de l’Éducation, Noureddine Nouri, lors de la séance plénière tenue mardi en présence du président du Conseil national des régions et des districts, Imed Derbali.

Nouri a précisé que ces crédits ont été mobilisés pour la réalisation de projets de construction, d’entretien et d’équipement dans différentes régions, dans le but d’améliorer les conditions d’apprentissage et d’assurer la sécurité des élèves.

Il a souligné, dans ce contexte, la création de 17 nouveaux établissements (8 écoles primaires, 7 collèges et un lycée), ainsi que la construction de 66 espaces préparatoires et la réhabilitation de 325 établissements scolaires, sans oublier l’installation de 71 salles de classe préfabriquées et la construction de 106 nouvelles clôtures jusqu’à la fin du mois de septembre dernier. Des systèmes de surveillance numérique ont également été installés dans 500 établissements afin de renforcer la sécurité au sein des écoles.

Le ministre a indiqué que le programme spécifique d’interventions d’urgence lancé en mai 2025 avait atteint des stades avancés, avec 134 interventions effectives sur le terrain dans 20 délégations régionales, dont 106 interventions de démolition et de reconstruction de clôtures pour un coût de 10,7 millions de dinars, tandis que 300 interventions sont en cours de finalisation et 129 en cours d’appel d’offres estimés à un montant de 13 millions de dinars, auxquelles s’ajoutent 72 interventions en cours d’étude estimées à 8 millions de dinars.

Il a aussi mentionné la poursuite du partenariat avec le ministère des Transports pour fournir des bus scolaires, surtout dans les zones rurales, en plus de la numérisation des services de transport et du suivi de l’approvisionnement en eau potable dans tous les établissements scolaires.

En ce qui concerne les équipements, le ministre a indiqué que le ministère a fourni à tous les collèges et lycées des laboratoires informatiques mobiles et sophistiqués, comprenant 2 260 laboratoires, 29 380 ordinateurs et 2 260 projecteurs, ainsi que 17 550 ordinateurs de bureau, 4 600 photocopieurs et 4 500 projecteurs numériques supplémentaires. En outre, 85 000 tables doubles ont été achetées pour équiper plus de 700 salles de classe, ainsi que 1 500 nouveaux laboratoires pédagogiques pour les écoles primaires.

Sur le plan social, Nouri a annoncé la régularisation de la situation d’environ 24 000 professeurs suppléants, agents d’encadrement scolaire et des assistants de laboratoires dans le cadre de la décision présidentielle visant à mettre fin à la précarité de l’emploi.

Le ministre a estimé que la rentrée scolaire de cette année a été réussie et calme malgré les défis, les établissements d’enseignement ayant accueilli 2 625 434 élèves répartis entre le cycle préparatoire (61 000), le cycle primaire (1 161 638), du collège (570 655) et du lycée (532 150), et sont encadrés par près de 160 000 enseignants dans 6 164 établissements scolaires.

Le ministre a souligné que ces chiffres reflètent un véritable changement dans l’approche de l’État en matière d’investissement dans l’éducation, grâce à la construction d’écoles modernes et sûres qui incarnent le principe de l’égalité des chances et répondent aux aspirations des générations futures.

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Plan Éducation 2026-2030 : vers une école tunisienne plus équitable, innovante et performante

14. Oktober 2025 um 16:35

Le ministre de l’Éducation, Noureddine Nouri, a dévoilé mardi, lors d’une séance plénière organisée en présence du président du Conseil national des régions et des districts, Imed Derbali, les grandes lignes du nouveau plan stratégique du ministère de l’Éducation pour la période 2026-2030.

Il a confirmé que le document avait été finalisé afin de constituer une « référence nationale globale » qui redéfinirait l’avenir de l’école tunisienne sur des bases scientifiques et participatives.

Nouri a expliqué que ce plan s’inscrit dans le contexte de « défis structurels» auxquels le système éducatif reste confronté, malgré les progrès réalisés en matière de gratuité de l’enseignement et d’augmentation des taux de scolarisation. Il a souligné que la détérioration de la qualité de l’enseignement, la persistance des disparités régionales et l’augmentation des taux d’abandon scolaire constituent des motivations principales pour une réforme radicale qui anticipe l’avenir et redonne à l’école son rôle dans la formation des générations futures.

Nouri a souligné que le plan stratégique a été élaboré selon une approche garantissant la participation des différents acteurs des conseils locaux et régionaux et des directions centrales, conformément aux orientations du plan de développement national 2026-2030.

Il a indiqué que les étapes de l’élaboration du plan ont consisté à évaluer les réalisations de la période précédente (2021-2025), à identifier les problèmes structurels et à anticiper les changements éducatifs et technologiques à venir, puis à formuler la vision, les priorités et les principaux programmes. Les conseils locaux et régionaux ont proposé des projets éducatifs répondant aux besoins des citoyens, reflétant ainsi, selon lui, « l’orientation sociale de l’État et sa volonté de parvenir à l’équité régionale ».

Le ministre de l’Éducation a indiqué que le ministère avait reçu 419 projets éducatifs répartis entre les créations, les extensions, les travaux d’entretien et de réaménagement, dont 5 projets achevés et 51 en cours de réalisation, tandis que 177 projets ont été inscrits au budget de l’année 2026 et 186 ont été programmés pour une période ultérieure.

Il a révélé à cet égard les trois principaux objectifs du plan, à savoir réaliser une amélioration qualitative de l’éducation, renforcer l’innovation, consolider l’équité et l’égalité des chances entre les différentes catégories et parties prenantes, développer les performances de l’administration éducative et améliorer la gouvernance, soulignant que la réalisation de ces objectifs repose sur quatre piliers fondamentaux, à savoir des établissements éducatifs attractifs et sûrs, des programmes éducatifs renouvelés, des ressources humaines qualifiées et une administration éducative bien organisée.

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HCCAF : vers la numérisation du contrôle et de l’audit dans le secteur public tunisien

14. Oktober 2025 um 16:27

Le président du Haut comité du contrôle administratif et financier (HCCAF) Imed Hazgui, a affirmé que le comité œuvre à la numérisation du dispositif de contrôle, d’inspection et d’audit dans le secteur public, ainsi qu’à la mise en place d’un système de gestion électronique de son fonds d’archives.

Intervenant à l’ouverture du 7e Forum arabe sur « Le rôle de la numérisation dans le renforcement de l’efficacité du système de contrôle des performances institutionnelles et administratives », organisé par l’École nationale d’administration en partenariat avec l’Organisation arabe pour le développement administratif (13-14 octobre, Tunis), Hazgui a souligné l’importance d’accompagner les évolutions des technologies de l’information et l’usage de l’intelligence artificielle.

Selon lui, ces outils offrent des opportunités pour moderniser les méthodes d’audit, améliorer le contrôle, réduire les délais d’exécution et détecter de manière préventive les risques liés à la gestion publique.

Un exposé sur la « Numérisation du dispositif de contrôle, d’inspection et d’audit dans le secteur public » ainsi que sur la plateforme « Nasif » a été présenté lors de la rencontre.

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Digitalisation du commerce : la CCI de Sfax lance une plateforme pour simplifier les certificats d’origine

14. Oktober 2025 um 16:15

Une plateforme numérique pour la délivrance des certificats d’origine sera prochainement mise en service. Cet outil vise à simplifier et à accélérer les démarches pour les opérateurs économiques.

La Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Sfax s’apprête en effet à finaliser ce projet, dont les tests expérimentaux ont été au cœur d’un atelier de travail organisé récemment dans ses locaux.

Cette initiative, qui s’inscrit dans le cadre d’un programme d’assistance technique, a pour objectif de développer les services administratifs, d’améliorer l’efficacité des procédures commerciales et de garantir la transparence des transactions grâce à l’adoption de solutions numériques modernes.

L’atelier a été l’occasion de présenter les différentes composantes de la plateforme et de procéder à des tests de ses fonctionnalités techniques.

La réunion s’est tenue en présence de représentants du ministère du Commerce et du Développement des exportations, de la Chambre de commerce de Sfax, de la Chambre de commerce du Sud-Est, ainsi que d’un représentant de la Douane tunisienne et d’une représentante de l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ).

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Projet “Himayetna” : la Suisse et la Tunisie unies pour moderniser la gestion des catastrophes à Tataouine

14. Oktober 2025 um 15:58

Une délégation suisse a effectué, mardi, une visite à la direction régionale de la Protection civile de Tataouine pour le suivi du projet tuniso-suisse « Himayetna » (Notre protection).

Le projet vise à renforcer les capacités de la Protection civile dans la gestion des catastrophes naturelles, précise le porte-parole de la Protection civile.

La délégation s’est rendue dans la localité de Ghomrassen pour inspecter le siège de l’unité modèle et prendre connaissance du plan d’aménagement et du nouveau bâtiment, dont les travaux devraient démarrer prochainement.

Selon la même source, cette visite s’inscrit dans la volonté conjointe de la Tunisie et de la Suisse de soutenir les capacités locales et d’accroître la préparation des unités régionales de la Protection civile, conformément aux standards modernes d’intervention et d’efficacité.

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L’Université Centrale annonce l’accréditation de son École de Santé et de son programme de License en Sciences Infirmières par l’ACESI

14. Oktober 2025 um 15:52

L’Université Centrale, membre d’Honoris United Universities, premier réseau panafricain d’enseignement supérieur privé, a franchi une nouvelle étape dans sa quête d’excellence académique. En effet, l’École de santé ainsi que le programme de Licence en Sciences Infirmières viennent d’obtenir une accréditation pour une durée de sept ans, délivrée par l’Association Canadienne des Écoles de Sciences Infirmières (ACESI), l’un des organismes de référence en matière d’accréditation en soins infirmiers en Amérique du Nord.

Le Canada est reconnu à l’échelle mondiale comme un pays de référence en matière de santé et de bien-être, où la profession infirmière occupe une place centrale et bénéficie d’une forte valorisation. Cette reconnaissance confère ainsi à notre programme une crédibilité internationale et ouvre de nouvelles perspectives à nos étudiants.

Dans ce cadre, une cérémonie célébrant cette accréditation a été organisée en présence de Mme Houbeb Ajmi, Directrice Générale du Groupe Université Centrale, de Dr Wafa Troudi, Directrice de l’École de santé, de Dr Jean Daniel Jacob, CEO de l’ACESI, ainsi que d’experts issus du monde de la santé.

À cette occasion, Dr Jean Daniel Jacob, CEO de l’ACESI, a déclaré :
« Je voudrais féliciter l’Université Centrale pour avoir obtenu sept ans d’accréditation, surtout dès une première évaluation — c’est excellent. Il s’agit d’un agrément international qui permet de se mesurer aux standards et normes canadiennes. C’est un engagement vers l’excellence, avec pour objectif d’offrir de meilleurs soins aux niveaux régional, national et international. »

Une reconnaissance académique majeure

En recevant cette accréditation, l’École paramédicale de l’Université Centrale devient la première école paramédicale en Afrique à être accréditée par l’ACESI, consacrant ainsi son rôle pionnier dans l’alignement de l’enseignement supérieur tunisien sur les standards internationaux les plus exigeants. Cette reconnaissance illustre la rigueur de son cadre académique, la qualité de son pilotage, ainsi que son engagement envers l’amélioration continue, à travers des rapports intérimaires intégrant des recommandations d’évolution.

L’évaluation menée par l’ACESI a salué les performances de l’École sur des axes essentiels : leadership et gouvernance, qualité des partenariats académiques et professionnels, ressources humaines et matérielles, environnement d’apprentissage et innovation pédagogique. Cette distinction témoigne d’une vision stratégique ambitieuse, portée par une organisation inclusive et structurée, résolument orientée vers la réussite et l’épanouissement des étudiants.

Une formation conforme aux normes internationales

Parallèlement, le programme de Licence en Sciences Infirmières a également été accrédité pour une durée de sept ans, renforçant ainsi la reconnaissance de l’excellence de l’offre de formation de l’Université Centrale dans le domaine de la santé. L’évaluation rigoureuse menée par l’ACESI a mis en lumière la solidité du cadre pédagogique du programme, pleinement conforme aux normes internationales en matière de formation infirmière.

Ont notamment été salués la structuration cohérente du cursus, l’intégration des pratiques fondées sur les données probantes, le soutien constant à la croissance professionnelle des étudiants, ainsi que l’efficacité des dispositifs d’évaluation des acquis. Autant d’éléments qui inscrivent ce programme dans une dynamique durable d’innovation, de professionnalisation et d’ouverture à l’international.

Une avancée stratégique pour l’enseignement supérieur en santé en Tunisie

Cette double accréditation, décernée par un organisme international de premier plan mobilisant des experts issus notamment des universités de Moncton, Laval et Ottawa, marque une étape majeure pour le renforcement de la qualité de la formation en sciences infirmières en Tunisie.

Elle vient consacrer la vision de l’Université Centrale, celle d’un enseignement ancré dans les standards internationaux, fondé sur l’innovation pédagogique, l’excellence académique et la responsabilité sociétale.

À travers cette reconnaissance, l’Université réaffirme son engagement à former une nouvelle génération de professionnels de santé hautement qualifiés, capables de répondre aux enjeux complexes des systèmes de soins contemporains, en Tunisie comme à l’international.

Cette étape ne constitue pas un aboutissement, mais un levier pour aller encore plus loin dans l’amélioration continue, l’ouverture à la recherche, et le rayonnement de la formation en santé tant à l’échelle nationale, qu’internationale.

A propos de l’Ecole de Santé : Fondée en 2005 par l’Université Centrale, la formation paramédicale a rapidement évolué pour devenir une école indépendante en 2010. Spécialisée et reconnue pour son expertise, l’École de Santé offre aux étudiants un parcours d’excellence dans le domaine paramédical. Forte de ses 20 ans d’existence, l’école se distingue par la qualité de ses programmes, son corps professoral engagé, et sa volonté constante d’innover pour répondre aux besoins du système de santé national et international.

A propos de l’ACESI : Association Canadienne des Écoles de Sciences Infirmières est le porte-parole national pour l’enseignement et la recherche en sciences infirmières et représente le baccalauréat et les études graduées des programmes de sciences infirmières au Canada.

L’objectif est d’orienter la formation infirmière et l’avancement des connaissances en sciences infirmières dans l’intérêt d’une meilleure santé des Canadiennes et des Canadiens.

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Tunisie : la 7e édition du Forum arabe sur la gouvernance met en avant l’intelligence artificielle et la transparence

14. Oktober 2025 um 15:33

La digitalisation, outil fondamental pour réformer la gouvernance et moderniser les systèmes de contrôle, était au cœur des interventions ce mardi lors de la deuxième journée de la 7e édition du Forum arabe sur la gouvernance, qui se tient à Tunis.

Lors de la séance d’ouverture lundi, les intervenants ont unanimement souligné le rôle central de la transformation numérique. Le président du Haut comité de contrôle administratif et financier (HCCAF), Imed Hazgui a mis en avant l’importance de la digitalisation pour développer le contrôle et renforcer la transparence, évoquant des projets stratégiques du HCCAF pour une approche proactive des risques.

La directrice générale de l’École nationale d’administration (ENA), Khaoula Abidi, a pour sa part présenté la digitalisation comme un « instrument fondamental de toute réforme institutionnelle ».

Elle a précisé que le contrôle numérique est un « outil proactif pour améliorer la qualité de la décision administrative » et a insisté sur le fait que cette transformation dépasse la simple modernisation technique pour englober un « changement culturel et intellectuel ».

Le directeur général de l’Organisation arabe pour le développement administratif (OADA), Nasser Al-Hatlan Al-Qahtani, a appelé à la mise en place de « systèmes de contrôle intelligents » s’appuyant sur l’intelligence artificielle, le Big Data et la blockchain pour garantir l’intégrité et la protection des deniers publics. Il a qualifié le forum de « plateforme arabe d’échange d’expériences » pour anticiper l’avenir de la gouvernance numérique.

Organisé par l’OADA en collaboration avec l’ENA et l’Académie internationale de la bonne gouvernance, le forum aborde pendant deux jours des thèmes tels que l’impact de la transformation numérique sur le contrôle, la protection des données, le rôle de l’IA et l’utilisation des systèmes ERP pour le contrôle financier.

Cet événement, organisé pour la quatrième année consécutive en Tunisie, est l’une des principales plateformes arabes dédiées aux concepts de gouvernance et à leur rôle dans l’amélioration de la performance administrative.

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ZLECAf et COMESA : la CCIT organise un atelier à Tunis pour renforcer la présence des entreprises tunisiennes en Afrique

14. Oktober 2025 um 15:06

La Chambre de commerce et d’industrie de Tunis (CCIT) organise, le 21 octobre 2025 à Tunis, un atelier technique consacré aux défis et opportunités liés à la mise en œuvre de l’Accord sur la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) et du Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA).

Cet événement vise à outiller les entreprises tunisiennes afin qu’elles puissent mieux saisir les mécanismes de ces deux cadres d’intégration régionale et renforcer leur présence sur les marchés africains. Il s’inscrit dans la stratégie de la CCIT en faveur de l’intégration économique africaine et du renforcement de la compétitivité des opérateurs économiques nationaux.

L’atelier réunira des experts en commerce régional et intégration africaine, qui échangeront avec les participants sur les aspects juridiques, logistiques et financiers de la mise en œuvre effective de la ZLECAf et du COMESA. Les débats porteront également sur les stratégies à adopter pour permettre aux entreprises tunisiennes de tirer profit des opportunités offertes par ces accords.

La ZLECAf, entrée en vigueur en janvier 2021, couvre plus de 54 pays africains et vise à créer un marché unique de plus de 1,3 milliard de consommateurs. Le COMESA, quant à lui, regroupe 21 pays engagés dans une intégration économique approfondie. Dans un contexte de dynamique croissante d’ouverture des frontières économiques en Afrique, cet atelier intervient comme une opportunité unique pour les acteurs tunisiens de s’adapter aux nouvelles réalités commerciales du continent.

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GITEX Global 2025 à Dubaï : 6 800 exposants et 2 000 startups réunis

14. Oktober 2025 um 14:02

La 45ᵉ édition du salon “GITEX Global 2025 s’est ouverte lundi à Dubaï, réunissant plus de 6 800 exposants et 2 000 startups venus de 180 pays.

Organisé par le Centre mondial de commerce de Dubaï (DWTC), cet événement figure parmi les plus importants rendez-vous internationaux consacrés à l’innovation numérique et aux technologies de pointe.

Intelligence artificielle, fintech et villes intelligentes à l’honneur

Le salon offre une plateforme mondiale pour présenter les dernières avancées dans des domaines clés : intelligence artificielle (IA), technologies financières, cloud computing, santé numérique, villes intelligentes et innovation des startups.

Les organisateurs annoncent également la présence de 1 200 investisseurs représentant plus d’un trillion de dollars d’actifs, témoignant de l’intérêt stratégique du secteur pour l’économie numérique mondiale.

Un hub pour les partenariats et les tendances futures

Jusqu’au 17 octobre, GITEX Global 2025 proposera une série de conférences, ateliers et rencontres bilatérales destinés à explorer les défis et opportunités liés à la transformation numérique.

Les discussions porteront sur l’avenir de l’IA, la cybersécurité, l’Internet des objets et d’autres technologies émergentes qui redéfinissent les modèles économiques à l’échelle mondiale.

L’événement ambitionne de renforcer la coopération entre les secteurs public et privé, tout en stimulant la création de partenariats durables et le financement des innovations technologiques.

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Corée : les exportations TIC bondissent de 14 % en septembre

14. Oktober 2025 um 13:00

Les exportations sud-coréennes de technologies de l’information et de la communication (TIC) ont atteint 25,43 milliards de dollars en septembre 2025, enregistrant une hausse de 14 % sur un an, selon le ministère des Sciences et des Technologies de l’Information et de la Communication.

Le secteur des semi-conducteurs reste le principal moteur de cette progression, avec des ventes extérieures s’élevant à 16,62 milliards de dollars, soit +21,9 % par rapport à septembre 2024. Il s’agit du deuxième record mensuel consécutif pour cette industrie stratégique.

Excédent commercial technologique en hausse

Les importations de produits TIC ont également progressé, totalisant 13,78 milliards de dollars, soit une augmentation de 10,4 % sur un an.
La balance commerciale du secteur affiche ainsi un excédent de 11,65 milliards de dollars, confirmant la solidité de la filière technologique coréenne face à la demande mondiale en composants électroniques.

Samsung et SK Hynix, moteurs de la domination coréenne

La Corée du Sud consolide sa position dominante sur le marché mondial des technologies, notamment grâce à ses deux géants Samsung Electronics et SK Hynix, acteurs clés du secteur des semi-conducteurs. Ces entreprises contribuent largement à la performance globale des exportations, dans un contexte de forte demande internationale pour les puces avancées et les solutions d’intelligence artificielle.

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 14 octobre 2025

14. Oktober 2025 um 12:44

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.056 2.133
Euro EUR 1 3.367 3.445
Yen Japonais JPY 1000 19.028 19.745
Livre Sterling GBP 13 3.835 3.980
Franc Suisse CHF 10 35.798 37.336

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Forum sur la Gouvernance 2025 à Tunis : Bilan et Perspectives de la Loi sur la Transparence Financière

14. Oktober 2025 um 12:38

La septième édition du Forum sur la Gouvernance se tiendra le 18 octobre 2025 à Tunis, annonce le Centre Tunisien de Gouvernance d’Entreprise (CTGE) relevant de l’Institut Arabe des Chefs d’Entreprise (IACE). Elle aura pour objectif central d’évaluer l’application de la loi n° 2005-96 sur la transparence des relations financières, vingt ans après son adoption.

Le Forum réunira universitaires, professionnels du secteur bancaire et financier, ainsi que décideurs institutionnels. L’objectif est de dresser un bilan critique du cadre juridique tunisien en matière de gouvernance financière, d’en évaluer la mise en œuvre effective, de recenser les avancées réalisées et les obstacles persistants, tout en confrontant l’expérience nationale à des références internationales.

Selon une page Facebook consacrée par l’IACE à cet événement, les débats porteront notamment sur l’évolution du système de gouvernance financière en Tunisie, les meilleures pratiques identifiées, ainsi que les lacunes à combler. Une attention particulière sera accordée à la comparaison avec des expériences internationales, afin d’inspirer des réformes adaptées au contexte national.

Face aux enjeux contemporains, tels que la digitalisation accélérée des services financiers, l’inclusion financière, la gestion des risques systémiques et la lutte contre la criminalité financière, les participants formuleront des recommandations concrètes pour moderniser le cadre juridique et institutionnel tunisien.

Ce forum constitue une opportunité unique de réfléchir collectivement à l’avenir de la gouvernance financière en Tunisie. Il s’agit non seulement de tirer les leçons du passé, mais aussi de mettre en place un cadre plus résilient, transparent et aligné sur les standards internationaux.

Fondé en 1984, l’Institut Arabe des Chefs d’Entreprises (IACE) est un think tank économique tunisien, dont la mission principale est de promouvoir le secteur privé et d’améliorer l’environnement des affaires. Véritable laboratoire d’idées, l’IACE réunit chefs d’entreprises, experts, chercheurs et politiciens pour produire des analyses et des recommandations innovantes.

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ONU-Habitat, la Banque de Tunisie et des Emirats et la FTED signent un protocole d’accord pour la résilience et le développement durable à Kerkennah

14. Oktober 2025 um 12:29

Tunis – 13 octobre 2025 ONU-Habitat Tunisie, la Fédération Tunisienne de l’Environnement et du Développement (FTED) et la Banque de Tunisie et des Emirats (BTE) ont signé un protocole d’accord, le lundi 13 octobre 2025, pour unir leurs efforts autour d’une ambition commune : promouvoir un développement urbain local durable, résilient et inclusif à travers l’innovation sociale et la valorisation du capital naturel, culturel et humain de l’archipel de Kerkennah.

Ce partenariat est le fruit d’une collaboration initiée dans le cadre du projet Résilience climatique et inclusion à Kerkennah, intitulé SOUMOUD, et mis en œuvre par ONU-Habitat Tunisie avec le soutien de l’Agence espagnole de coopération internationale pour le développement (AECID). L’initiative vise à renforcer la résilience des communautés face aux effets du changement climatique, à travers des actions concrètes basées sur la nature et co-construites avec les habitants. La signature du protocole d’accord marque une étape structurante, en réunissant des partenaires publics, privés et associatifs engagés dans le développement urbain durable du territoire, dans le cadre de la mise en œuvre de l’ODD 11 pour la Tunisie.

L’archipel de Kerkennah constitue une zone sensible, un « Hotspot », non seulement en Tunisie mais également dans toute la région de la Méditerranée. Il fait partie des zones les plus affectées par les impacts des changements climatiques.

Cet archipel, riche par ses caractéristiques naturelles variées et sa biodiversité terrestre et marine, subit aujourd’hui d’importantes et graves perturbations climatiques susceptibles de menacer ces atouts précieux. Cette situation se répercute négativement sur la vie des habitants, tant sur le plan économique que social.

Il devient dès lors indispensable pour tous les acteurs locaux, en particulier les résidents de l’île, d’adopter de nouveaux comportements tenant compte de ces risques émergents, afin de renforcer l’adaptation et la résilience face aux changements climatiques. L’appui et l’assistance de l’UN-HABITAT Tunisie et de la BTE pour soutenir l’initiative de la FTED entrent dans ce cadre.

Le Programme des Nations Unies pour les établissements humains (ONU-Habitat) œuvre à promouvoir des villes et des communautés durables, inclusives et résilientes. En Tunisie, ONU-Habitat accompagne les acteurs nationaux et locaux dans la planification urbaine, la gestion des risques climatiques et la promotion de l’inclusion sociale. À travers le projet SOUMOUD, l’organisation soutient la municipalité de Kerkennah dans la mise en œuvre de solutions durables adaptées aux spécificités locales, tout en veillant à ce qu’aucune communauté ne soit laissée pour compte.

La Banque de Tunisie et des Émirats (BTE), acteur clé du secteur bancaire tunisien, s’engage à soutenir le développement territorial à travers des partenariats stratégiques alignés sur les priorités nationales de durabilité. Par sa participation à cet accord, la BTE affirme sa volonté d’intégrer la finance responsable et verte dans son modèle économique, en appuyant les initiatives locales génératrices d’impact positif sur les plans social, économique et environnemental. Son implication illustre le rôle essentiel du secteur privé dans la transition écologique et dans la dynamisation des territoires.

La Fédération Tunisienne de l’Environnement et du Développement (FTED) est un réseau associatif national œuvrant pour la préservation de l’environnement et la promotion du développement durable en harmonie avec les droits humains et les conventions internationales. La FTED promeut la coopération entre les associations environnementales, renforce leurs capacités à travers une approche participative, et encourage une meilleure intégration des questions environnementales dans les politiques publiques. Elle contribue activement à la sensibilisation, à la gouvernance participative et au renforcement du rôle des associations dans les projets de développement durable à l’échelle locale, régionale et nationale.

L’approche adoptée repose sur la création de synergies entre les acteurs locaux, les institutions publiques, la société civile et le secteur privé, avec une attention particulière portée à l’inclusion des groupes les plus vulnérables, notamment les femmes, les jeunes, les personnes migrantes et les pêcheurs traditionnels. Ensemble, les partenaires ambitionnent de faire de Kerkennah un laboratoire d’innovation territoriale, capable d’inspirer d’autres villes et îles de la Méditerranée.

Site web : BTE

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Tunis accueille le forum Get Entrepreneurial 3.0 pour booster l’écosystème des startups tunisiennes

14. Oktober 2025 um 12:17

La troisième édition du forum Get Entrepreneurial 3.0 (GET E 3.0) se tiendra le 22 octobre 2025 à Tunis, sous l’égide de l’ENSI Junior Entreprise, avec pour objectif de renforcer l’écosystème entrepreneurial tunisien à travers des synergies entre les secteurs public, privé et académique.

Placé sous le thème « Startup Horizons et Solutions : Vision des Jeunes », l’événement interrogera la capacité de la Tunisie à tirer pleinement parti du Startup Act 1.0 tout en anticipant les défis des PME innovantes. Il s’articulera autour de trois axes : Business to Business (ateliers, panels, networking), Business to Client (stands, démonstrations, acquisition de clients) et Business to Stakeholders (pitching privé, tables rondes avec décideurs politiques et investisseurs).

Le programme comprendra des panels stratégiques sur la rétrospective et l’avenir du Startup Act, les secteurs prioritaires à l’horizon 2035, l’accès aux marchés publics et internationaux, ainsi que les nouveaux leviers de financement (SAFE Notes, diaspora, scale-up). Trois workshops interactifs seront également proposés aux étudiants et jeunes entrepreneurs : « Build Your Startup from Scratch », « Étudiant et Startups : Développez les compétences pour réussir demain » et « AI ERA : Nouvelle Cartographie des Métiers ».

En rassemblant startups, investisseurs, institutions publiques, grandes entreprises et talents émergents, GET E 3.0 vise à tracer une feuille de route concrète pour une Tunisie innovante et compétitive.

Fondée en 2006, ENSI Junior Entreprise est une association étudiante de l’École Nationale des Sciences de l’Informatique, engagée dans la promotion de l’entrepreneuriat et l’insertion professionnelle des jeunes talents tunisiens via la formation, les événements et les projets TIC.

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