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Peut-on moderniser la santé tunisienne sans freiner l’innovation locale ?

25. Mai 2025 um 20:29

DocNetDepuis 2022, une équipe de jeunes talents tunisiens travaille avec passion et détermination sur DocNet, une plateforme numérique visant à transformer l’expérience de santé en Tunisie. L’objectif est clair : offrir un accès aux soins plus rapide, plus proche et plus flexible, en connectant médecins et patients à distance grâce aux technologies numériques.

Après des mois de développement intensif et de tests rigoureux, DocNet est prête à être déployée. La plateforme est conforme aux exigences du Décret Présidentiel n° 2022-318 du 8 avril 2022 et de l’Arrêté du ministre de la Santé du 13 juin 2024. Cependant, malgré cette conformité réglementaire, l’équipe attend toujours l’autorisation finale du ministère de la Santé pour pouvoir lancer officiellement ses services.

Cette attente représente une entrave majeure au développement de DocNet. Elle retarde la mise en œuvre d’une solution innovante qui pourrait améliorer significativement l’accès aux soins pour de nombreux Tunisiens, en particulier dans les zones où l’offre médicale est limitée. De plus, elle freine la dynamique entrepreneuriale de jeunes talents locaux, désireux de contribuer activement à la modernisation du système de santé national.

L’équipe de DocNet reste néanmoins optimiste et déterminée. Elle continue de collaborer étroitement avec les autorités compétentes pour obtenir l’autorisation nécessaire. Les médecins partenaires, déjà convaincus par le potentiel de la plateforme, sont également impatients de commencer cette nouvelle aventure.

DocNet incarne l’innovation et l’engagement des jeunes entrepreneurs tunisiens dans le domaine de la santé numérique. Son lancement officiel dépend désormais de la réactivité des instances réglementaires. Une fois l’autorisation obtenue, la start-up pourra enfin concrétiser sa vision et offrir aux citoyens tunisiens un service de santé moderne, accessible et efficace.

A.B.A

EN BREF

  • DocNet est une plateforme tunisienne de santé numérique développée depuis 2022.
  • Elle permet de connecter médecins et patients à distance pour un accès plus rapide aux soins.
  • Malgré sa conformité aux règlements en vigueur, elle attend l’autorisation finale du ministère.
  • Ce blocage freine l’innovation et l’entrepreneuriat tunisien dans le secteur médical.
  • L’équipe reste déterminée à faire aboutir ce projet au service de la modernisation du système de santé.

 

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Les défis commerciaux ne remettront pas en cause l’intégration économique mondiale

25. Mai 2025 um 10:00

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les économies avancées ont poursuivi la libéralisation des échanges, considérant les marchés ouverts et la réduction des tarifs douaniers comme des piliers essentiels de la paix, de la prospérité et de l’intégration économique mondiale. L’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), puis l’Organisation mondiale du commerce (OMC), ont institutionnalisé cet agenda, contribuant à faire baisser les tarifs moyens mondiaux de niveaux à deux chiffres à des niveaux à un chiffre relativement bas. Ce mouvement s’est intensifié dans les années 1980 et 1990, avec l’essor de la pensée économique de l’offre favorable au libre marché, la chute du rideau de fer, et une nouvelle vague de mondialisation.

Le monde a assisté à une expansion rapide des chaînes d’approvisionnement mondiales, à l’intégration des marchés émergents, et à l’érosion progressive des barrières commerciales – perçues comme des forces positives pour la croissance, l’efficacité et la stabilité des prix. Durant cette période, le commerce extérieur a vu son importance passer de 14,4 % à 25,2 % du PIB mondial.

Cette évolution a commencé à se fissurer avec la crise financière mondiale de 2008 et l’élection de Donald Trump en 2016, dont la doctrine « America First » a réintroduit le protectionnisme au cœur de la politique économique américaine. Pourtant, bien que son premier mandat ait comporté des droits de douane ciblés et des escarmouches commerciales – notamment avec la Chine –, la dernière version de la politique commerciale de Trump marque une rupture bien plus radicale. Le 2 avril, jour désormais surnommé « Jour de la Libération », Trump a dévoilé un vaste ensemble de droits de douane qui a choqué les marchés mondiaux : les taux de droits de douane effectifs (ETR) des États-Unis sont passés de 2,9 % à 27,99 %, avant d’être modérés à 14 % après plusieurs séries d’exemptions. Cela représente tout de même une augmentation considérable, rapprochant les tarifs américains de ceux des années 1930.

Pour certains analystes et investisseurs, l’ampleur et la brutalité de cette hausse tarifaire américaine ne signifient pas seulement un arrêt de la libéralisation du commerce, mais peut-être la première tentative systématique de la renverser. Toutefois, selon nous, malgré les défis extraordinaires posés par la hausse des tarifs américains, plusieurs raisons nous incitent à l’optimisme et à croire que l’intégration économique mondiale restera résiliente face aux menaces actuelles de démondialisation. Trois facteurs principaux soutiennent cette position.

Premièrement, les objectifs et le mandat du nouveau paquet de droits de douane américains restent flous, augmentant les chances de résistance de la part des principaux acteurs du marché et des institutions. Si la rhétorique met en avant la réindustrialisation et le nationalisme économique, les cibles réelles de ces nouveaux tarifs sont ambiguës. Veut-on réduire le déficit commercial, relancer l’industrie locale, isoler les rivaux stratégiques ou simplement augmenter les recettes fédérales ? Ces objectifs ne sont pas toujours compatibles. Par exemple, des droits de douane généralisés qui augmentent les coûts des intrants peuvent nuire aux fabricants et consommateurs américains, contredisant ainsi le discours de relocalisation. Par ailleurs, cibler les alliés risque d’entraîner des représailles diplomatiques et de compliquer la coordination sur des dossiers tels que l’isolement des concurrents stratégiques ou l’accès aux matières premières critiques.

Les marchés ont vivement réagi à l’annonce des droits de douane du « Jour de la Libération » : les rendements des bons du Trésor américain ont grimpé, en raison des craintes d’un désancrage des anticipations d’inflation et d’une perte de crédibilité de la politique économique. Cela reflète non seulement le scepticisme des investisseurs, mais crée aussi des contraintes économiques réelles, car des coûts d’emprunt plus élevés freinent la croissance et compliquent la politique budgétaire. À l’inverse, les marchés ont fortement rebondi lorsque la nouvelle administration américaine a fait preuve de plus de souplesse et de pragmatisme en accordant des exemptions. En outre, la base juridique de ces droits de douane massifs pourrait être remise en question, la politique commerciale relevant traditionnellement du Congrès, et l’usage extensif de justifications fondées sur la sécurité nationale pouvant être contesté devant les tribunaux. Combinées à une probable opposition judiciaire, parlementaire et du monde économique, ces pressions renforcent la probabilité d’un retour à une approche plus pragmatique, avec davantage d’exemptions, de suppressions et d’accords bilatéraux rapides pour limiter les effets négatifs.

Deuxièmement, les droits de douane sont des instruments relativement grossiers dans un monde défini par des chaînes d’approvisionnement complexes, le commerce numérique et la mobilité fluide des capitaux. Contrairement au milieu du XXe siècle, où les échanges étaient largement bilatéraux et où les produits étaient fabriqués de bout en bout dans un seul pays, les réseaux de production actuels sont profondément fragmentés et mondiaux. Un seul produit peut traverser plusieurs frontières au cours de son assemblage, diluant ainsi l’effet économique visé par des tarifs spécifiques à un pays. Les entreprises multinationales savent s’adapter rapidement, en réorganisant leurs approvisionnements, en redirigeant leurs expéditions ou en absorbant les coûts via des stratégies de prix internes. Le résultat : les droits de douane échouent souvent à relocaliser réellement la production, tout en augmentant potentiellement les coûts pour les consommateurs et entreprises locaux.

En outre, des outils de gestion comme les prix de transfert, les montages fiscaux et l’arbitrage juridictionnel permettent aux multinationales de réduire l’impact financier des droits de douane. En pratique, les entreprises trouvent des solutions plus rapidement que les décideurs politiques ne peuvent faire appliquer les règles. Plus l’économie mondiale est interconnectée, plus il est difficile d’imposer un protectionnisme sans provoquer de lourds dommages collatéraux.

Troisièmement, si les États-Unis érigent des barrières, le reste du monde va globalement dans la direction opposée. De l’Union européenne (UE) à l’Asie en passant par l’Amérique latine, la plupart des grandes économies continuent de considérer le commerce ouvert comme essentiel à leur modèle de croissance – et poursuivent activement une intégration plus poussée. Des exemples récents incluent le Partenariat régional économique global (RCEP) en Asie, les accords commerciaux en expansion de l’UE avec les partenaires sud-américains (Mercosur) et indo-pacifiques, ainsi que la Zone de libre-échange continentale africaine. Ces activités hors États-Unis représentent 73 % du PIB mondial et 87 % des flux commerciaux, renforçant un système commercial multipolaire capable de rester dynamique même sans leadership américain.

Le retrait des États-Unis pourrait même accélérer la coopération entre autres pays, ceux-ci cherchant à se prémunir contre les chocs protectionnistes et à préserver l’accès aux marchés. Par conséquent, les entreprises mondiales pourraient de plus en plus s’orienter vers des pôles alternatifs disposant de cadres commerciaux plus stables, réduisant l’attraction exercée par les tarifs américains.

En résumé, bien que l’ampleur des mesures tarifaires américaines récentes soit sans précédent – même après plusieurs séries d’exemptions – les forces qui soutiennent l’intégration économique mondiale demeurent solides. La pression des marchés, les contraintes juridiques, la capacité d’adaptation des entreprises, ainsi que l’engagement continu des grandes économies à maintenir l’ouverture, suggèrent que la mondialisation n’est pas en train de reculer, mais plutôt de se redéployer géographiquement et de se réorienter.

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Gestern — 24. Mai 2025Haupt-Feeds

La Tunisienne Mayssa El Kouni remporte le tournoi international des jeunes chefs à Kazan

24. Mai 2025 um 14:46

Mayssa El Kouni, une djerbienne de 24 ans a remporté le prix du “Tournoi international des jeunes chefs cuisiniers” qui s’est tenu du 14 au 16 mai courant, en marge du XVIe Forum économique international “Russie – monde islamique”, “KazanForum”, dans la capitale de la république du Tatarstan, en Russie.

Seize jeunes chefs ont été en lice dans cette compétition, que Mayssa a gagné, en présentant trois plats nationaux, soit un “plat tunisien” revisité avec diverses salaisons comme entrée, ensuite une “charmoula” sfaxienne en tant que repas principal, avec de nouveaux ingrédients: poulet au lieu du poisson, dattes et praliné de noisettes et enfin, un tiramisu avec une crème de dattes et de l’eau de rose, comme dessert.

Diplômée de l’Académie des chefs, Mayssa exerce son métier depuis trois ans d’abord dans des restaurants et maintenant dans un hôtel 4 étoiles, à Sfax.

En juillet 2024, elle avait remporté le premier prix à la compétition nationale des jeunes talents à la foire du Kram, ce qui lui a permis de participer au tournoi à Kazan, où elle a, aussi, remporté le prix des “techniques du futur”, avec une présentation des plats tunisiens inspirée de sa maîtrise des “spécialités françaises”.

Mayssa, a un avenir prometteur devant elle et ne manque pas d’ambition, son rêve c’est d’ouvrir son propre restaurant à Tunis, dont elle a déjà choisi le nom “L’ozé”.

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Tunisie : le chiffre d’affaires de la RNTA atteint 607,6 MD en 2024 malgré la baisse des bénéfices

24. Mai 2025 um 14:33

Le chiffre d’affaires de la Régie nationale des tabacs et des allumettes (RNTA) a atteint 607,6 millions de dinars (MD) en 2024 augmentant de 21,8 MD par rapport à 2023, d’après les données publiées, samedi, par l’Assemblée des représentants du peuple suite à une visite effectuée, le 22 mai 2025, par des députés de la Commission des Finances et du Budget à cette entreprise.

D’après un exposé présenté par le directeur général de la Régie, Anis El-Ahwak lors de cette visite, la régie a également réalisé un résultat comptable net positif de 61,6 MD contre 110,8 MD en 2023. Une baisse expliquée par la hausse du prix d’achat du tabac et des matières premières, la non-augmentation du prix de vente des produits de spécialité en 2024, l’augmentation du coût de production et la diminution des marges bénéficiaires.

“La Régie réalise des bénéfices financiers depuis 2020, en particulier après l’ajustement des prix de vente des produits de spécialité, mais qu’elle éprouve des difficultés à fournir les liquidités nécessaires pour payer les fournisseurs dans les délais impartis”, a souligné le responsable.

S’agissant de la régression du rythme de production enregistrée ces dernières années, le responsable a indiqué que la Régie se penche sur le diagnostic de son parc industriel dans le but d’augmenter le rendement des machines de production qui nécessitent une maintenance continue en raison de leur vétusté.

Sur le plan commercial, le directeur général a déclaré que les principaux objectifs stratégiques de la Régie consistent en la création de centres de distribution dans tous les gouvernorats et l’augmentation de la capacité de production pour limiter les pratiques monopolistiques. Il a, à ce titre, mis l’accent sur la nécessité de coordonner avec les autorités compétentes pour intensifier le contrôle des circuits de distribution afin de réduire le phénomène du marché parallèle.

Evoquant l’activité agricole de la Régie, le responsable a fait savoir que le volume de production de tabac pour l’année 2023 a atteint 280 tonnes. Il a expliqué que la Régie importe les semences, fournit les plants et les pesticides ainsi que les équipements nécessaires à la culture du tabac aux tabaculteurs et assume le coût des salaires du personnel des centres de développement de la culture du tabac, précisant que le coût global d’un kilogramme de tabac local est d’environ 27 dinars.

L’agence coordonne également avec le ministère de l’Agriculture pour développer la tabaculture, a-t-il indiqué, expliquant que ce type de culture nécessite une qualité de sol et un climat spécifiques pour obtenir un tabac de qualité, d’où l’importance de développer la recherche dans ce cadre en partenariat avec les ministères de l’Agriculture et de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

Il a ajouté que l’agence a entamé des sessions de formation pour les tabaculteurs en coordination avec le ministère de l’agriculture pour développer la culture du tabac à l’échelle nationale dans l’objectif de réduire les importations de cette matière.

Les députés ont à cette occasion souligné que la réhabilitation de la RNTA est devenue une nécessité étant donné son rôle dans le financement du trésor public. Ils ont également mis l’accent sur l’impératif de limiter l’importation des matières premières du tabac et d’encourager la culture de ces matières en assouplissant les procédures appliquées, en créant tous les mécanismes d’appui nécessaires et révisant le système des marchés publics.

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Tunisie : 23,8 milliards de dinars en billets et pièces, une hausse stimulée par la loi sur les chèques

24. Mai 2025 um 14:01

Les billets et monnaies en circulation ont augmenté de 13%, passant de 21 milliards DT, à la date de 22 mai 2024, à 23,8 milliards DT, actuellement, d’après les indicateurs monétaires et financiers publiés, vendredi, par la Banque Centrale de Tunisie (BCT).

L’ancien Directeur Général de la politique monétaire à la BCT, Mohamed Salah Souilem, avait indiqué, dans une interview accordée à l’agence TAP, que la hausse des billets et monnaies en circulation  est un « résultat évident de la nouvelle loi sur chèques », ajoutant que les tunisiens ont recours massivement, aux liquidités « en substitution à l’utilisation des chèques qui constituent le moyen de paiement le plus utilisé dans le pays».

Les données de la BCT ont montré, aussi, une légère baisse des avoirs nets en devises de 0,1%, à 22,6 milliards DT (l’équivalent de 98 jours d’importation), contre 22,9 milliards DT (105 jours d’importation), une année auparavant.

En revanche, les revenus du travail et les recettes touristiques ont évolué respectivement de 8,5% (à 3 milliards DT), et de 7,1% (à 2,3 milliards DT), à la date du 20 mai 2025. Pour ce qui est des services de la dette extérieure, ils demeurent stables au niveau de 7 milliards de dinars, durant la période mai 2024 – mai 2025.

Pour rappel, l’encours de la dette publique s’est situé au niveau de 81,2%, durant l’exercice 2024, contre 84,6%, au cours de l’exercice 2023.

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“Ennejma Ezzahra dévoile ses trésors” : un livre hommage aux archives musicales du CMAM

24. Mai 2025 um 13:56

“Ennejma Ezzahra dévoile ses trésors” est le titre d’un nouvel ouvrage de référence publié par le Centre des Musiques Arabes et Méditerranéennes (CMAM) en mai 2025.

Fruit d’un travail collectif, cet opus réunit une série d’articles scientifiques, rédigés en arabe et en français, mettant en lumière diverses facettes de la mémoire culturelle liée aux activités et aux archives du CMAM, l’ancien palais du baron d’Erlanger.

Une partie de l’ouvrage est consacrée à des études approfondies sur les archives historiques du baron Rodolphe d’Erlanger, révélant des documents rares et des pièces uniques qui reflètent la vision du baron et de son équipe en matière de sauvegarde, de conservation et de transcription du patrimoine musical.

Ces archives permettent également de retracer l’évolution des théories musicales en Tunisie et dans le monde arabe, tout en dévoilant certains événements marquants de l’histoire musicale nationale et régionale.

Un autre chapitre du livre présente une sélection de documents sonores conservés à la Phonothèque nationale, perçus comme la mémoire vivante d’un patrimoine musical, et constituant un champ d’étude prometteur pour les chercheurs de demain.

La dernière partie de l’ouvrage est dédiée aux objets patrimoniaux et aux œuvres picturales conservés au sein du palais d’Ennejma Ezzahra, mettant en valeur leur richesse esthétique et leur portée civilisationnelle. A travers ces pièces se dessine un témoignage vivant de la rencontre des arts et de la diversité des influences culturelles ayant traversé ce lieu d’histoire et de mémoire.

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Projet “5/5” : une initiative pour donner une nouvelle vie aux courts-métrages tunisiens

24. Mai 2025 um 13:51

Une sélection de cinq courts-métrages tunisiens a été dévoilée lors d’une première projection réservée à la presse vendredi soir à la Cité de la Culture Chedly Klibi à Tunis, dans le cadre d’un nouveau projet cinématographique intitulé “5/5”, qui se veut une expérience novatrice pour la diffusion des courts-métrages en dehors des manifestations et événements habituels tels que les festivals.

L’initiative s’inscrit dans une démarche de rapprochement entre ce format cinématographique et le grand public, à travers des projections régulières dans plusieurs salles de cinéma. Ces séances qui débuteront dès ce samedi 24 mai pour se poursuivre jusqu’au 10 juin 2025, se dérouleront dans les cinémas Alhambra Zéphyr à La Marsa, Le Majestic à Bizerte et Amilcar à El Manar.

Le cycle qui propose cinq courts-métrages tunisiens, entre fiction et documentaire, qui explorent à travers cinq histoires des enjeux sociaux et culturels contemporains à travers des styles narratifs variés, s’ouvre avec “Frida” (20 minutes), réalisé par Mohamed Bouhjar, qui raconte l’histoire d’une institutrice subissant une pression croissante pour avoir voulu instaurer la mixité en classe, malgré le refus des parents d’élèves.

Le deuxième film, “Nhar El Keratin” (11 minutes), signé Sami Tlili, se déroule dans un salon de coiffure pour hommes. Un jour consacré au soin à la kératine va bouleverser la routine.

Avec “Braquage” (21 minutes), Bilel Bali aborde la quête de l’argent à travers des personnages aux trajectoires croisées.

Le documentaire “Le Casino” (11 minutes), réalisé par Wala Eddine Tlili et Rouaa Tlili, propose une reconstitution visuelle et sonore de la mémoire du Casino de Hammam-Lif, lieu emblématique de la banlieue sud de Tunis, qui fut longtemps le coeur d’une vie culturelle et sociale effervescente, aujourd’hui révolue.

La séance se clôt avec “Rehla” (26 minutes) de Jamil Najjar, où la caméra suit une famille tunisienne en route vers le sud du pays pour les vacances d’été.

Le projet “5/5” marque une initiative originale pour soutenir le court-métrage tunisien, en lui ouvrant enfin les portes des circuits commerciaux. Malgré la richesse de ses thématiques et de son langage cinématographique, ce format peine encore à trouver son public, freiné par des difficultés de diffusion. Les porteurs du projet ambitionnent ainsi de l’inscrire sur la scène culturelle et de lui offrir la place qu’il mérite dans les salles de cinéma.

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“Je veux vivre” : la société civile de Gabès réclame le démantèlement des unités polluantes du GCT

24. Mai 2025 um 13:42

Une importante mobilisation citoyenne, rassemblant des habitants du gouvernorat de Gabès, des activistes de la société civile et des groupes sportifs, s’est tenue vendredi en fin d’après-midi devant le siège du gouvernorat pour dénoncer la dégradation alarmante de la situation environnementale dans la région.

Les protestataires ont exigé le démantèlement des unités industrielles du Groupe chimique tunisien (GCT), ainsi que leur relocalisation loin des zones d’habitation.

Ils ont également exprimé leur opposition à l’implantation de projets liés à l’ammoniac vert et à l’hydrogène vert dans la région, qu’ils jugent menaçants pour les ressources hydriques et dangereux sur le plan écologique. Des slogans ont été brandis en faveur du droit des habitants à vivre dans un environnement sain, à l’abri de la pollution et des risques industriels.

Ce rassemblement avait été convoqué par le collectif « Je veux vivre… Stop à la pollution », qui avait lancé, le 14 mai courant, un appel à toutes les forces vives, citoyens, associations, coordinations et syndicats, à se mobiliser le 23 mai pour réclamer, de manière urgente, le démantèlement des unités polluantes du GCT et l’abandon du projet d’ammoniac vert, tout en exigeant une révision en profondeur de l’ensemble de la stratégie nationale sur l’hydrogène vert.

Le collectif dénonce les récentes décisions gouvernementales annoncées le 5 mars dernier, perçues comme une “renonciation implicite à l’engagement pris le 29 juin 2017 en faveur du démantèlement des installations industrielles polluantes”.

Il dénonce notamment le déclassement du phosphogypse radioactif de la liste des substances dangereuses, une mesure jugée incompatible avec les standards internationaux de précaution, ainsi que la promotion de filières industrielles dites “énergivores”, accusées de puiser massivement dans les ressources naturelles, au mépris des impératifs de souveraineté énergétique et d’équité territoriale.

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Sofiane Tekaya : un label officiel pour valoriser l’artisanat tunisien à l’international

24. Mai 2025 um 13:30

Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Sofiane Tekaya, a réaffirmé, vendredi lors de l’ouverture du 41ème Salon de la Création Artisanale, la volonté de la Tunisie de protéger son patrimoine artisanal contre toute forme de contrefaçon, aussi bien sur le plan national qu’à l’échelle internationale, annonçant dans ce cadre l’attribution prochaine d’un label officiel à plus de 60 produits emblématiques.

Organisée par l’Office National de l’Artisanat Tunisien (ONAT) au Parc des Expositions du Kram (du 23 mai au 1er juin), cette édition met en lumière un programme national ambitieux visant à encadrer la protection juridique des créations artisanales, élaboré en étroite collaboration avec le ministère des Affaires culturelles.

Rassemblant près de 1 000 exposants répartis sur une vingtaine de pavillons thématiques, cette manifestation témoigne de la richesse et de la diversité du patrimoine immatériel tunisien. Les visiteurs y découvrent des espaces consacrés à la décoration intérieure et extérieure, à l’art de la table, aux textiles traditionnels ou encore à la céramique, sans omettre les stands spécifiquement aménagés pour les artisans en situation de handicap.

Le salon accueille également un espace consacré aux réalisations issues des programmes de coopération internationale, permettant de valoriser les actions menées en matière d’encadrement et d’amélioration de l’offre produit dans le cadre de projets tels que « Tunisie créative » ou encore « PAMPAT », dédié à l’accès aux marchés des produits agroalimentaires et de terroir.

Tekaya a souligné que cette rencontre annuelle constitue un rendez-vous annuel incontournable pour les artisans, les acteurs économiques, les étudiants, les visiteurs et les structures d’accompagnement, qui viennent y présenter les dispositifs de soutien, les mesures incitatives et les mécanismes publics mis à disposition pour renforcer la compétitivité du secteur.

Le ministre a également mis en exergue l’importance de l’espace dédié aux jeunes créateurs, conçu pour faciliter l’insertion des diplômés dans les métiers de l’artisanat. Ces jeunes exposent des créations originales et de qualité et réinterprètent avec audace et finesse les codes du patrimoine tunisien..

La participation des jeunes et des diplômés de l’enseignement supérieur atteint près de 60%, tandis que celle des femmes s’élève à 70%, des indicateurs révélateurs du dynamisme et de l’attractivité du secteur.

Ce dernier joue un rôle structurant dans l’économie nationale, contribuant à hauteur de 5 % au produit intérieur brut, avec des exportations ayant généré quelque 150 millions de dinars en 2024, selon les chiffres avancés par le ministre.

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Tunisie-Jort : Parution de la nouvelle loi sur les contrats de travail

24. Mai 2025 um 12:57

La loi relative à l’organisation des contrats de travail et à l’interdiction du recours à la sous-traitance a été publiée, vendredi 23 mai 2025, au Journal officiel de la République tunisienne (JORT), dans son édition n°61, sous la référence législative n°9/2025.

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Mare Nostrum 2025 : les Tunisiens Jaouadi et Rahmouni brillent en qualifications à Canet

24. Mai 2025 um 12:42

Les nageurs tunisiens Ahmed Jaouadi et Rami Rahmouni se sont qualifiés pour la finale du 400m Nage Libre, lors du meeting de Canet-en-Roussillon comptant pour le Mare Nostrum Swim Tour (bassin 50 m), à l’issue des qualifications en séries, disputées samedi matin.

Le champion du monde tunisien a terminé en tête de la série 3 avec un chrono de 03:53.38, devançant son compatriote Rami Rahmouni, 2e avec 03:53.93.

La finale aura lieu cet après-midi à partir de 17h00.

Pour rappel, Jaouadi a décroché, jeudi, la médaille d’or du 400 m NL, lors de l’étape barcelonaise du Mare Nostrum (3:47.58), après avoir obtenu l’argent du 800 m NL (7:46.37).

 

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Naples sacré champion 2025 devant l’Inter, la Juve hors podium

Von: Raja
24. Mai 2025 um 13:05
Naples sacré champion 2025 devant l’Inter, la Juve hors podium

Naples a été sacré champion d’Italie pour la quatrième fois de son histoire après sa victoire 2 à 0 face à Cagliari vendredi lors de la 38e et dernière journée. Le Napoli, déjà titré en 1987, 1990 et 2023, devance d’un point l’Inter Milan, champion sortant vainqueur à Côme (2-0), qui peut toutefois se consoler […]

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Ronaldo vend le Real Valladolid à un groupe nord-américain après une saison catastrophique

Von: Raja
24. Mai 2025 um 13:01
Ronaldo vend le Real Valladolid à un groupe nord-américain après une saison catastrophique

L’ancien attaquant vedette de la Seleção, Ronaldo, a cédé ses parts majoritaires dans le Real Valladolid à “un groupe d’investisseurs nord-américains soutenus financièrement par un fonds européen”, a annoncé vendredi le club espagnol. Dans un communiqué, la direction du club, relégué en deuxième division, précise qu’elle détaillera dans les prochains jours les contours de ce […]

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Natation – Mare Nostrum : doublé tunisien en séries du 400m NL avec Jaouadi et Rahmouni

Von: Raja
24. Mai 2025 um 12:41
Natation – Mare Nostrum : doublé tunisien en séries du 400m NL avec Jaouadi et Rahmouni

Les nageurs tunisiens Ahmed Jaouadi et Rami Rahmouni se sont qualifiés pour la finale du 400m Nage Libre, lors du meeting de Canet-en-Roussillon comptant pour le Mare Nostrum Swim Tour (bassin 50 m), à l’issue des qualifications en séries, disputées samedi matin. Le champion du monde tunisien a terminé en tête de la série 3 […]

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Météo Tunisie : baisse des températures et orages attendus ce 24 mai

Von: Raja
24. Mai 2025 um 12:33
Météo Tunisie : baisse des températures et orages attendus ce 24 mai

Nuages parfois denses avec pluies éparses, temporairement orageuses et localement intenses sur les régions ouest du centre et du sud. Les pluies concerneront progressivement les régions est et l’extrême nord, avec possibilité de chutes de grêles par endroits. Vent de secteur nord, fort prés des côtes et sur les hauteurs et le sud avec phénomènes […]

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Safa Sadki – Docnet : “Prendre conscience du rôle essentiel de la télémédecine pour rapprocher les soins, n’est pas un luxe, c’est une nécessité.”

24. Mai 2025 um 08:05

Safa SADKI - DocNetDans un contexte où la télémédecine gagne en popularité, Docnet se positionne comme un acteur innovant du secteur de la santé numérique en Tunisie. Lancée par un entrepreneur motivé par des expériences personnelles marquantes, la plateforme vise à transformer l’accès aux soins à travers des solutions digitales de qualité. Dans cet entretien, Safa Sadki, une fondatrice de Docnet nous dévoile les ambitions à long terme de la plateforme, son modèle économique et les défis à relever pour faire de la Tunisie un leader en matière de télémédecine dans la région.

Comment vous est venue l’idée de lancer la plateforme Docnet ?

L’idée est née pendant la pandémie de COVID-19, lorsque j’ai rencontré des difficultés pour accéder aux soins pour ma fille atteinte d’eczéma et ma sœur à mobilité réduite. Les consultations, examens et traitements nécessitent des déplacements pénibles et répétés.

Ces expériences m’ont fait prendre conscience du rôle essentiel que la télémédecine peut jouer pour rapprocher les soins. Prendre conscience du rôle essentiel de cette discipline pour rapprocher les soins, n’est pas un luxe, c’est une nécessité. Avec une bonne capacité d’observation et d’imagination en tant qu’entrepreneur, Docnet est née de cette vision.

Quelle est votre vision à long terme pour la médecine en ligne ?

Nous voulons accompagner pleinement la transformation digitale du secteur de la santé tunisien, aussi bien public que privé. Nous misons fortement sur l’intelligence artificielle pour développer des modules prédictifs capables d’assurer le suivi des maladies chroniques, la prévention personnalisée et l’aide au diagnostic et aspirons à positionner la Tunisie en tant que hub régional de la santé numérique, en exportant nos technologies vers d’autres pays africains et maghrébins confrontés aux mêmes défis.

Nous ambitionnons aussi d’attirer des patients étrangers pour des soins à distance ou en présentiel, faisant de la Tunisie une destination de tourisme médical compétitive, sûre et digitalement avancée.

Pourquoi estimez-vous ce moment opportun pour lancer votre solution ?

Le marché de la santé numérique en Tunisie a connu une forte croissance durant les dernières années, comme dans le reste du monde, accéléré par la pandémie de Covid 19, et tiré par une évolution des attentes et des modes de vie des patients qui recherchent de plus en plus de commodité, de flexibilité, et d’efficacité.

Une augmentation des maladies, notamment les maladies chroniques, et une préoccupation croissante des gens pour leur santé et bien-être physique et mental, un essor des technologies et une propension croissante à l’utilisation du digital dans la vie quotidienne.

Aujourd’hui, la population est de plus en plus technophile, et donc prête pour l’aventure de la télémédecine.

Comment assurez-vous la qualité de l’expérience utilisateur pour les patients et les médecins ?

Une interface simple et intuitive que ce soit pour les patients et les médecins. Nous travaillons sur la qualité de la consultation à distance (Vidéo et audio de haute qualité et stable), un dossier médical accessible et sécurisé, une assistance humaine et un support client (Chat et ligne d’assistance), la protection des données qui sont chiffrées de bout en bout. Nous proposons aussi la prescription électronique.

Il est, comme vous devez vous en douter que nous avons pris toutes nos précautions pour un paiement sécurisé et une protection maximale des données confidentielle. Nous avons également prévu la synchronisation avec les outils de gestion de cabinet si besoin pour les médecins.

Où sont hébergées les données de santé ? Sont-elles cryptées ?

Les données sont hébergées en Tunisie. Oui, toutes les communications (texte, audio, vidéo) sont chiffrées de bout en bout. Les dossiers médicaux sont protégés par un chiffrement asymétrique.

Toutes les données sont hébergées sur des serveurs privés et sécurisés en Tunisie, conformément aux lois locales. La localisation des données a été vérifiée via AFRINIC, le registre officiel des adresses Internet en Afrique, assurant ainsi le respect des exigences légales tunisiennes

Avez-vous des partenariats avec des autorités ou organismes de santé ?

Des partenariats concrétisés non, mais des négociations sont en cours avec des assurances santé.

Quel est votre modèle de revenus (abonnement, paiement à l’acte…)

Nos revenus proviennent d’une commission de 5% sur chaque consultation, payée par les médecins. Cela évite de dissuader les patients et offre aux médecins une clientèle plus importante sans barrières géographiques.

Comment rémunérez-vous les médecins ?

Étant rémunéré à la commission, le solde de la consultation réglé par le patient est automatiquement versé sur le compte du médecin, qui peut en suivre le détail en temps réel via son application.

Avez-vous une stratégie de remboursement via la sécurité sociale, les assurances ou les mutuelles ?

Des négociations de partenariats avec des assurances santé sont en cours, dans le but de mettre en place des stratégies de remboursement.

Quelle est votre stratégie d’acquisition client ?

C’est une stratégie biface (two-sided), progressive, et adaptée au contexte du marché local. Côté médecin : Campagne ciblée LinkedIn, Facebook, Ads, Webinaires et poadcast pour expliquer les bénéfices de la téléconsultation (efficacité, confort, revenus).

Nous offrons aussi une commission aux premiers médecins qui parrainent de nouveaux praticiens. Côté patient, nous investissons dans les Campagnes Facebook, Instagram ciblées contenus éducatifs (blog, vidéos, infographies) pour expliquer comment profiter de la téléconsultation et ses avantages.

Quelles technologies utilisez-vous (téléconsultation vidéo, chatbot médical, IA, objets connectés…) ? Comment garantissez-vous la fiabilité des diagnostics ou recommandations ?

Avec l’utilisation des technologies telles que la téléconsultation vidéo, les montres connectées, les dossiers électroniques, garantir la fiabilité des diagnostics et les recommandations est de fait, un enjeu majeur dans notre domaine. C’est pourquoi nos outils numériques sont conçus pour assister les médecins, jamais pour les remplacer.

Chaque recommandation s’appuie sur des données médicales fiables, toujours validées par un professionnel de santé.

Qui sont vos principaux concurrents ?

Doqtoor, Tobba.tn, telemedecine.tn, WIC.Dr 24.

Quels sont les plus grands défis que vous anticipez ?

Les principaux défis que nous anticipons concernent d’abord l’adoption du service, à la fois par les patients et les professionnels de santé. Il y a encore une certaine résistance au changement, notamment liée à la confiance, à la réglementation ou à l’usage du numérique. Ensuite, l’encadrement juridique de la télémédecine en Tunisie évolue, ce qui demande une veille constante et une adaptation continue.

Quels sont vos objectifs pour les 6 à 12 prochains mois ?

Nos objectifs sur les 6 à 12 prochains mois sont de lancer une grande campagne marketing afin d’atteindre efficacement notre cible, de finaliser l’onboarding de notre premier noyau de médecins, de lancer officiellement la plateforme auprès du public, d’atteindre nos premiers 1.000 utilisateurs médecins, d’établir des partenariats stratégiques dans le secteur de la santé (à titre d’exemple, les assurances) et de renforcer notre présence digitale pour construire une base utilisateur solide et engagée.

Entretien conduit par Amel Belhadj Ali

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29ème édition des prix littéraires COMAR D’OR : Les romans primés en langue française

23. Mai 2025 um 22:47

Prix COMAR D’OR 2025 : « Ecris, tu seras aimé des dieux » de Mahdi Hizaoui   

Commentaire du jury pour le roman en langue française

« Le narrateur, alter ego de l’auteur, traîne un regard désabusé sur les êtres, les phénomènes et les choses. Sa vision du monde, aux accents philosophiques et aux tons ternes, donne lieu à réflexion d’ordre existentiel et ontologique, tout à la fois sévère, insolente et drôle. »

Édition : ARABESQUES

Prix Spécial du Jury 2025 : « LE VERT ET E BLEU » de Abdellatif Mrabet 

Commentaire du jury pour le roman en langue française

« Ce roman, structuré selon la technique de la mise abyme, met en scène un militant écologiste qui rentre au pays pour réaliser son projet et son rêve : entretenir avec passion la terre de ses parents située au cœur de l’oasis maritime de Gabès, pour la sauvegarde de laquelle il se dévoue corps et âme. »

Édition : Contraste Éditions

Prix Découverte 2025: « Écoute-moi ma fille » de Houda Mejdoub 

Commentaire du jury pour le roman en langue française

« À travers les récits entrecroisés de plusieurs personnages appartenant à trois générations, l’auteure analyse les relations complexes au sein de la famille, où les malentendus, les secrets et les non-dits n’interdisent pas l’amour qui triomphe. »

Édition : ARABESQUES

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“Le livre face au numérique” : auteurs et experts réunis par l’OIF à Ennejma Ezzahra

23. Mai 2025 um 16:50

La Représentation de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) pour l’Afrique du Nord (REPAN) organise le 30 mai 2025 de 16H30 à 18H30 au palais Ennejma Ezzahra à Sidi Bou Said une conférence-débat sur “Le livre face au numérique : Quel rôle dans une société connectée?” en vue de débattre de l’avenir du livre à l’ère du numérique, notamment son rôle dans une société de plus en plus connectée.

Quatre panélistes prendront part : Wafa Ghorbel, universitaire, écrivaine, autrice-compositrice-interprète, Mourad Boubaker co-fondateur de Hkeyet Edition, Thouraya Daouas, experte en intelligence artificielle (IA) et en digital learning et Raja Sabta El Amri, autrice et fondatrice de “Dis maman, dis papa”, un projet innovant de livres pour enfants visant à offrir aux parents et aux professionnels de l’éducation un support afin de les aider à sensibiliser les enfants tunisiens à des thématiques sociales et sociétales complexes.

Cette conférence s’inscrit dans le cadre des actions de l’OIF en faveur notamment du livre et des auteurs francophones pour la construction d’un savoir-faire francophone, ancré dans les spécificités locales mais ouvert aux innovations globales ainsi que de son engagement à accompagner les dynamiques collectives œuvrant en vue de promouvoir le secteur du livre.

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“Création pour Tous” célèbre l’art participatif à Sidi Daouad

23. Mai 2025 um 16:41

Une rencontre artistique et participative intitulée « Création pour Tous » sera organisée demain samedi 24 mai 2025 à la Maison des Jeunes de Sidi Daouad à La Marsa, en collaboration avec l’Association du Développement Culturel de La Marsa (ACDMA).

L’événement, qui se déroulera au sein de la Maison des Jeunes de Sidi Daouad, vise à mettre en valeur les talents locaux, renforcer le lien social et sensibiliser à l’importance de l’art comme vecteur d’inclusion et de développement personnel, selon la présidente de l’ACDMA, Soumaya Khammar.

Au programme de cette journée : une fresque collective permettant de peindre ensemble, un atelier “Recycl’Art” utilisant des matériaux recyclés, un espace de dessin libre et des activités intergénérationnelles permettant aux familles de créer ensemble. Des animations musicales viendront agrémenter l’événement dans une ambiance conviviale.

“Cette manifestation constitue une opportunité pour encourager la créativité spontanée et célébrer les couleurs de l’art sous toutes ses formes”, a déclaré Khammar à l’Agence Tunis-Afrique-Presse (TAP) vendredi.

Elle a également fait état de l’engagement de l’association dans l’accompagnement des jeunes par des ateliers artistiques et des rencontres avec des professionnels de différentes régions tunisiennes. L’objectif est de les encadrer et de les sensibiliser au rôle de la culture dans la vie sociale, a-t-elle ajouté.

L’ACDMA, active depuis sa création dans le domaine culturel, se positionne comme un levier de valorisation des talents et de promotion de la créativité en Tunisie. À travers ses activités variées, elle offre un espace dynamique d’expression artistique, sociale et éducative.

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