Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 24. Juni 2025Haupt-Feeds

36 % des postes diplomatiques occupés par des femmes en Tunisie

24. Juni 2025 um 18:27

Les femmes occupent 36 % des postes diplomatiques en Tunisie, avec 11 d’entre elles à la tête de consulats et d’ambassades à travers le monde, notamment aux États-Unis, en Inde, à Oman, à Belgrade et à Helsinki, a déclaré, mardi 24 juin, le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti.

Il s’exprimait lors d’une rencontre organisée à l’Académie diplomatique à l’occasion de la Journée internationale de la femme dans la diplomatie.

En Tunisie, les femmes diplomates ont su s’imposer dans un domaine longtemps réservé aux hommes, grâce au principe de l’égalité des chances prôné par l’État tunisien, a-t-il souligné.

Face aux défis sécuritaires mondiaux, la diplomate tunisienne est appelée à jouer un rôle clé dans la recherche de solutions et le développement de la diplomatie nationale, en s’appuyant sur une approche fondée sur l’innovation, le dévouement et les valeurs humaines pour instaurer la paix et la sécurité dans le monde. La femme tunisienne, a-t-il ajouté, a prouvé sa compétence dans ce secteur et mérite une reconnaissance à l’échelle internationale.

Des organisations onusiennes engagées sur la question ont participé à cette rencontre, axée sur la situation de la femme diplomate en Tunisie et dans le monde.

La coordinatrice des Nations unies en Tunisie, Rana Taha, a souligné que l’ONU traverse actuellement l’une des périodes les plus critiques depuis sa création il y a près de 80 ans, et que les femmes diplomates joueront un rôle essentiel dans les processus de paix à venir.

Elle a salué la longue tradition diplomatique tunisienne depuis l’indépendance, rappelant que la Tunisie compte parmi ses rangs des pionnières reconnues par les Nations unies, à l’image de l’activiste diplomatique Radhia Mestiri.

De son côté, Florence Basty, représentante de l’ONU chargée des affaires des femmes tunisiennes et libyennes, a affirmé que la femme tunisienne jouit depuis plusieurs décennies d’une reconnaissance internationale pour ses grandes capacités de négociation en diplomatie, fruit de l’engagement précoce de l’État tunisien indépendant en faveur du modernisme.

Elle a souligné que la célébration des femmes dans la diplomatie est l’occasion de valoriser leurs réalisations et de réfléchir aux moyens de renforcer leur rôle dans l’action diplomatique.

La rencontre s’est clôturée par la projection d’un documentaire intitulé « La femme tunisienne et la diplomatie », rassemblant les témoignages de diplomates tunisiennes évoquant leurs parcours professionnels.

L’article 36 % des postes diplomatiques occupés par des femmes en Tunisie est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Noureddine Nouri visite le centre de correction du collège Ibn Khaldoun

24. Juni 2025 um 18:12

Le ministre de l’Éducation, Noureddine Nouri, a visité, mardi 24 juin, le centre de correction des épreuves de l’examen du diplôme de fin de l’enseignement de base, général et technique, au collège Ibn Khaldoun, dans le gouvernorat de l’Ariana.

Lors de cette visite, il s’est informé des conditions de correction des épreuves, du déroulement des différentes étapes, ainsi que du respect des procédures par toutes les parties concernées.

À noter que les épreuves écrites se sont déroulées du 19 au 21 juin 2025, et que les résultats seront publiés le 7 juillet 2025.

L’article Noureddine Nouri visite le centre de correction du collège Ibn Khaldoun est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Pomme de terre : UTAP demande d’activer le plan national des semences locales

24. Juni 2025 um 18:01

Le président de l’Union Tunisienne de l’Agriculture et de la Pêche (UTAP), Moez Ben Zaghdane, a appelé, mardi 24 juin, à activer le plan national de production des semences locales de pommes de terre afin de réduire la dépendance à l’égard des semences importées qui représentent entre 80% et 90% et de consacrer la sécurité alimentaire.

Lors d’une journée portes ouvertes tenue sur le thème « Les variétés de pomme de terre les plus résilientes au changement climatique », le responsable a déclaré que les conditions sont propices à la production de la pomme de terre en Tunisie, devenue aujourd’hui possible pendant cinq saisons, grâce notamment aux recherches, à l’orientation, l’encadrement et l’accompagnement.

Selon lui, différentes variétés de semences dont la variété d’origine néerlandaise  » La Spunta », ont pu s’adapter au climat et sol locaux, soulignant l’impératif d’intensifier davantage la multiplication de ses graines afin de préserver les terres contre les maladies qui ont entravé la production de cette variété.

De son côté, le directeur du Centre Technique de la Pomme de Terre, Rachid Khalifa, a fait savoir que quarante trois variétés de pommes de terre ( 29 néerlandaises, 11 françaises, deux allemandes, et une tunisienne ) ont été expérimentées depuis le début de cette année.

Et d’ajouter que les changements climatiques requièrent de diversifier les variétés de pomme de terre, d’exploiter les superficies cultivées qui s’étalent du Nord au sud et de miser sur les variétés les plus résilientes au climat et les plus rentables.

L’objectif étant de développer la production dont la moyenne dépasse les 350 mille tonnes sur une surface estimée à 25 mille hectares durant toutes les saisons.

L’article Pomme de terre : UTAP demande d’activer le plan national des semences locales est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tunisie : pari sur le social et le compter sur soi pour son plan quinquennal

24. Juni 2025 um 17:49

La Tunisie qui parie sur la dimension sociale du plan quinquennal de développement et sur le principe du compter sur soi, demeurera ouverte sur toutes les formes de coopération constructives et compte de nombreux partenaires actifs. C’est ce qu’a affirmé le secrétaire général du ministère de l’Economie et de la Planification, Fawzi Ghrab.

Dans une interview réalisée au studio de l’agence TAP, le responsable a indiqué que le plan quinquennal de développement, visant à augmenter davantage la croissance économique, à améliorer les performances de nombreux secteurs stratégiques et à prêter attention aux dossiers de l’éducation, la santé, l’enseignement et l’emploi, fait face à des défis financiers et climatiques.

M. Ghrab a souligné que la Tunisie œuvre à réaliser des projets qui nécessitent des ressources propres, en développant les ressources de la Trésorerie générale pour qu’elle puisse être une source de financement pour les projets publics. Mais en contrepartie, elle entretient des partenariats solides avec de nombreux partenaires financiers internationaux. La plupart des bailleurs de fonds sont prêts à soutenir le développement en Tunisie, a-t-il encore fait savoir.

Et d’ajouter que le rôle du secteur privé reste nécessaire pour impulser le processus du développement en Tunisie.

En clair, l’investissement privé permet la création de richesse et d’opportunités d’emplois. Mais la Tunisie s’appuie plus sur le principe du compter sur soi que sur l’emprunt.

M. Ghrab a noté que les défis les plus importants auxquels fait face le plan de développement quinquennal 2026-2030 consistent à miser sur des mécanismes pour la reprise de la croissance économique et l’impulsion des secteurs vitaux tels que le phosphate, le textile, les industries mécaniques et électriques, le tourisme et le secteur du tourisme alternatif.

Dans sa réponse à une question liée à l’ampleur de l’intérêt pour l’économie circulaire et la transition énergétique, M. Ghrab a souligné que la Tunisie accorde une grande attention aux transitions numériques et technologiques.

Cette transition numérique, a-t-il dit, est un axe fondamental dans le prochain plan, outre les efforts déployés en en vue de fournir de nouveaux outils pour réduire le déficit énergétique et encourager les énergies alternatives.

Pour le responsable, la Tunisie, consciente de l’importance des défis climatiques, notamment son impact sur les ressources en eau dont la rareté a affecté de nombreux secteurs et la vie des citoyens, œuvre à mettre en place des politiques pour assurer la sécurité hydraulique et l’adaptation au changement climatique.

Il a, dans ce contexte, souligné que le département ministériel de l’Economie œuvre à accompagner le Conseil des régions et des districts. Tout en fournissant une formation sur la planification territoriale. Soulevant ainsi de nombreuses questions liées à la rationalisation de la consommation des richesses en eau.

L’article Tunisie : pari sur le social et le compter sur soi pour son plan quinquennal est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Banques publiques : les créances douteuses pèsent autant que la réconciliation pénale

24. Juni 2025 um 17:49

Les créances douteuses des banques publiques — à savoir la Société Tunisienne de Banque (STB), la BH BANK et la Banque Nationale Agricole (BNA) — sont estimées à 50,9 % de la valeur des revenus attendus de la réconciliation pénale, laquelle est évaluée à 13 500 millions de dinars (MD).

Ainsi, la valeur totale des créances douteuses s’élève à 6 874,4 MD, selon les indicateurs figurant dans les rapports d’activité de ces banques au titre de l’exercice 2024, publiés sur le site du Conseil du Marché Financier (CMF).

Cette estimation repose sur plusieurs références juridiques, notamment la circulaire de la Banque Centrale n° 91-2024 du 17 décembre 1991 relative à la division, à la couverture des risques et au suivi des engagements, ainsi que la circulaire n° 06 du 28 novembre 2006 relative à la gestion des systèmes de contrôle interne.

Dans le cadre de la récupération des fonds acquis de manière illégale, la loi n° 3 du 18 janvier 2024, modifiant le décret n° 13 du 20 mars 2022, encadre les mécanismes de la réconciliation pénale et l’affectation de ses produits.

Conformément à cette loi, 80 % des produits de la réconciliation pénale sont destinés à financer des projets de développement dans les délégations, classées par ordre de pauvreté, tandis que 20 % sont alloués aux collectivités locales pour renforcer le capital des entreprises locales ou régionales à vocation citoyenne, conformément à la législation en vigueur. Le recouvrement des créances douteuses des trois banques publiques pourrait donc renforcer cette dynamique.

Parmi ces créances, les montants les plus élevés sont enregistrés par la STB (3 159 MD), suivie de la BH (2 048,4 MD) et de la BNA (1 667 MD).

Il convient de rappeler que le président de la République, Kaïs Saïed, a régulièrement insisté, lors de ses réunions avec les responsables gouvernementaux, sur la nécessité de poursuivre une politique d’autonomie et de restitution des fonds spoliés au peuple tunisien. Cela implique la mobilisation de toutes les institutions de l’État, notamment les banques et les structures financières, afin de soutenir l’effort de développement et de renforcer le rôle social de l’État.

L’article Banques publiques : les créances douteuses pèsent autant que la réconciliation pénale est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Plan quinquennal : document préliminaire attendu fin 2025

24. Juni 2025 um 17:37

Le secrétaire général du ministère de l’Économie et de la Planification, Fawzi Ghrab, a indiqué que le document préliminaire du plan quinquennal de développement 2026-2030 sera finalisé d’ici la fin de l’année 2025. Ce document devrait ensuite être soumis à l’examen des deux chambres législatives au début de l’année suivante, en l’absence de délai constitutionnel contraignant.

Dans une interview accordée au studio de l’agence TAP, Ghrab a précisé que la priorité, à ce stade, sera accordée à l’examen du budget de l’État pour l’année 2026, qui sera débattu à l’Assemblée des représentants du peuple et au Conseil national des régions et des districts (CNRD). Le plan de développement sera quant à lui examiné dans un second temps.

Toujours selon Ghrab, le document préliminaire du plan pourrait être présenté au Conseil des ministres avant la fin de l’année en cours, puis adopté conformément aux dispositions de la circulaire n°10 du chef du gouvernement, datée du 22 avril 2025, relative à l’élaboration du plan quinquennal 2026-2030.

« Contrairement au budget de l’État, le plan de développement n’est pas soumis à un calendrier constitutionnel strict. Il pourra donc être débattu par le Conseil national des régions et des districts, ainsi que par l’Assemblée des représentants du peuple, durant la première partie de l’année 2026 », a-t-il souligné.

Le responsable a par ailleurs évoqué une certaine souplesse dans l’articulation entre le budget de l’État et le plan de développement. « Il est possible d’intégrer certaines propositions de projets dans le projet de budget de 2026, à condition que leur niveau de maturité le permette », a-t-il précisé.

Enfin, Ghrab a estimé que l’introduction, pour la première fois, d’un niveau interrégional structuré autour de cinq grands districts dans le prochain plan contribuera à renforcer les liens entre les régions et à stimuler leur compétitivité.

L’article Plan quinquennal : document préliminaire attendu fin 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Plan de développement 2026-2030 : financement et hypothèses à définir après synthèse

24. Juni 2025 um 17:08

Jusqu’à présent, il n’est pas possible de fixer ni les hypothèses du plan de développement 2026-2030, ni le coût total de son financement. Mais ceci sera possible, dès l’achèvement de toutes les étapes de synthèse et la formulation du document préliminaire, a déclaré le secrétaire général du ministère de l’Economie et de la Planification, Faouzi Ghrab.

Dans une interview télévisée réalisée au studio de l’agence TAP, M. Ghrab a précisé que le plan quinquennal de développement est élaboré de manière participative et progressive dans le cadre d’une relation partant du niveau local pour atteindre le central.

Il a souligné que les institutions de l’Etat ont fourni uniquement l’accompagnement et la formation, ainsi que les documents nécessaires pour aider ces conseils. Le plan de développement, a-t-il dit, devrait traduire les aspirations des citoyens et répondre aux orientations qui seront appliquées par les politiques publiques, précisant qu’il s’appuie principalement sur la planification du territoire.

Les structures du ministère de l’Economie et de la planification, les offices de développement, les directions régionales au développement, et le réseau des coordinateurs des bureaux du programme de développement intégré ont participé au processus d’accompagnement et à l’organisation. Sachant que le ministère a indiqué avoir assuré environ 1200 opérations d’accompagnement des sessions tenues au niveau des conseils locaux jusqu’au 10 juin 2025.

Il a souligné que les grandes orientations et les axes de développement seront mis en œuvre d’abord au niveau local puis au niveau régional, en passant par le niveau régional. Précisant à cet égard que les ministères ne proposeront plus de projets au niveau local, comme c’était le cas auparavant.

Il a, par ailleurs, ajouté que chaque ministère, dans le cadre des orientations du nouveau plan, fournira un rapport sur les politiques publiques. Etant donné que chaque ministère dispose d’études prospectives et de politiques publiques approuvées et que les ministères proposeront quelques grands projets uniquement dans le cadre du plan.

Et d’ajouter qu’à cette phase, commence l’opération de synthèse entre les rapports locaux, régionaux et des districts, ainsi que les politiques publiques issues des ministères. Ce qui permettra d’identifier les grands thèmes du plan de développement et d’élaborer un draft de projet d’un document complémentaire.

L’article Plan de développement 2026-2030 : financement et hypothèses à définir après synthèse est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Plan de développement 2026-2030 : Les conseils locaux ont finalisé leurs rapports

24. Juni 2025 um 16:54

Le plan de développement 2026/2030, élaboré dans un nouveau cadre institutionnel, a été achevé dans sa phase locale, tandis que le volet régional devrait être finalisé d’ici un mois, a indiqué le secrétaire général du ministère de l’Economie et de la Planification, Faouzi Ghrab.

Dans une interview réalisée au studio TV de l’agence TAP, Ghrab a rappelé que le plan en question est élaboré dans le cadre d’une relation partant du niveau local pour atteindre le central. Cette approche n’était pas adoptée dans les plans précédents qui ont été axés sur un système central présentant des propositions et des orientations de développement, a-t-il encore précisé.

Le responsable a souligné que le plan 2026/2030 intervient dans un cadre politique et institutionnel basé sous le signe « construction et édification » et basé sur la concrétisation des objectifs de la constitution, notamment, le rôle social de l’Etat et du compter sur soi tout en accordant une importance aux volets local et régional dans la proposition des politiques de développement.

Il a rappelé que le Conseil national des régions et des districts qui constitue la deuxième chambre parlementaire, est doté de prérogatives en termes d’élaboration et d’adoption de plans de développement.

Et d’ajouter que le rôle des ministères et des autorités publiques dans l’élaboration du plan porte sur l’accompagnement, la formation et la mise à disposition des outils nécessaires.

Au sujet de l’état d’avancement de l’élaboration dudit plan, le responsable a souligné que le ministère œuvre à respecter les délais du circulaire de la présidence du gouvernement.

Il a fait savoir que le plan 2026/2030 est basé sur un processus ascendant accordant aux conseils locaux et régionaux un rôle important dans la proposition des projets de développement, vu que ces structures reflètent la voix du citoyen et transmettent ses avis.

Dans sa contribution à l’élaboration du plan, chaque conseil passe par trois étapes; à savoir le diagnostic de la situation de développement, l’identification des problématiques et la mise en place des listes des priorités ou des projets, a-t-il précisé.

Des rapports sont par la suite soumis aux conseils régionaux qui devront à leur tour présenter un rapport de synthèse à la date du 22 juillet, a-t-il encore expliqué.

Il fait remarquer que l’accent est mis sur la proposition de projets réalisables en s’appuyant sur des donnés et des études techniques, ajoutant que le ministère fournit des fiches techniques de projets pour faciliter l’opération de proposition par les conseils locaux.

L’article Plan de développement 2026-2030 : Les conseils locaux ont finalisé leurs rapports est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

M. Nafti réaffirme la position constante de la Tunisie en faveur de la cause palestinienne

24. Juni 2025 um 15:50

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a réitéré, mardi 24 juin, la position diplomatique constante de la Tunisie, fondée sur la condamnation de toutes les agressions dirigées contre les pays islamiques. Lors d’une conférence organisée à l’Académie diplomatique, le ministre a souligné que la Tunisie mène une diplomatie de rupture avec la violence, qui défend les causes justes, en particulier la cause palestinienne.

Mohamed Ali Nafti a insisté sur l’importance de maintenir la cause palestinienne au cœur de l’action diplomatique tunisienne. Et ce, afin que le peuple palestinien puisse recouvrer ses droits légitimes sur l’ensemble de ses terres historiques, avec Al Qods comme capitale.

Par ailleurs, dans un communiqué publié dans la nuit de lundi à mardi, le ministère des Affaires étrangères a condamné fermement toute agression portant atteinte aux ressources, à l’intégrité et à la souveraineté nationale de l’Iran. Tout en exprimant en outre sa solidarité avec l’État frère du Qatar.

De son côté, la Tunisie a appelé toutes les parties concernées à s’unir pour déjouer les manœuvres de l’entité sioniste, qui cherche à semer la discorde entre les pays de la région et à déstabiliser leur sécurité et leur stabilité.

L’article M. Nafti réaffirme la position constante de la Tunisie en faveur de la cause palestinienne est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Salon du Bourget 2025 : Tunisiens et Français renforcent leur partenariat dans l’aéronautique

24. Juni 2025 um 15:46

À l’occasion du Salon international de l’aéronautique et de l’espace “Le Bourget 2025 » qui s’est tenu à Paris, le GITAS (Groupement des industries tunisiennes aéronautiques et spatiales) et le GIFAS (Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales) ont officialisé une nouvelle étape dans leur coopération en signant un mémorandum d’entente (MoU) stratégique. C’est ce que nous apprend un communiqué du GITAS.

Ce partenariat vise à accélérer le développement de la supply chain aéronautique franco-tunisienne, à travers plusieurs axes structurants :

  • Le déploiement du programme AeroExcellence, dédié à la montée en compétences et en performance industrielle;
  • La mise en œuvre du programme Air Cyber, pour renforcer la cybersécurité au sein des chaînes de valeur aéronautiques;
  • Le développement de la formation professionnelle et universitaire, afin de mieux répondre aux besoins croissants en compétences et main-d’œuvre qualifiée.

Toujours selon le document, cette initiative commune marque une volonté claire de renforcer la compétitivité, la résilience et l’intégration régionale de la filière aéronautique. Elle s’inscrit dans un contexte de forte dynamique industrielle, sachant que la France est aujourd’hui le principal investisseur aéronautique en Tunisie, et les entreprises françaises présentes sur le territoire tunisien poursuivent leur croissance pour accompagner les augmentations de cadences des grands donneurs d’ordres, détaille le GITAS.

Ce rapprochement stratégique entre le GIFAS et le GITAS illustre également l’importance des coopérations industrielles euro-méditerranéennes pour répondre aux enjeux de souveraineté, d’innovation et de durabilité du secteur aéronautique.

Avec communiqué

L’article Salon du Bourget 2025 : Tunisiens et Français renforcent leur partenariat dans l’aéronautique est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Protection civile : 139 incendies maîtrisés en 24 heures

24. Juni 2025 um 15:06

Les unités de la Protection Civile ont effectué 139 interventions pour éteindre des incendies dans différentes régions du pays au cours des dernières vingt-quatre heures.

C’est ce qu’a annoncé ce mardi 24 juin, le porte-parole de la Protection Civile sur sa page Facebook.

Le nombre total d’interventions menées par les agents de l’Office National de la Protection Civile (ONPC), du 23 juin 2025 à 6h00 au 24 juin à 6h00, s’élève à 592.

Parmi celles-ci, on compte 139 interventions pour éteindre des incendies, 122 interventions de secours et d’assistance routière, ainsi que 296 interventions pour des incidents sans lien avec des accidents de la circulation.

L’article Protection civile : 139 incendies maîtrisés en 24 heures est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Lancement de l’étude stratégique pour le développement du lac de Sijoumi

24. Juni 2025 um 14:54

Le ministre de l’Équipement et de l’Habitat, Slah Zouari, a annoncé, mardi 24 juin, le lancement de l’étude stratégique pour le développement intégré des rives du lac de Sijoumi.

Prévue sur une durée de 24 mois, cette étude sera élaborée sous la supervision d’un bureau d’études tunisien. Elle constitue une étape clé dans la démarche engagée par la Tunisie pour améliorer la situation environnementale, sociale et économique de la région, a précisé le ministre lors d’une journée d’information organisée à Tunis.

Cette étude définira les grandes orientations à moyen et long termes, en s’appuyant sur une vision prospective visant à exploiter de manière optimale le potentiel du lac de Sijoumi. Elle associera les acteurs publics locaux, les représentants de la société civile et bénéficiera de l’encadrement d’un groupe d’experts.

Le ministre a souligné que la zone humide de Sijoumi constitue une composante majeure de la banlieue ouest du Grand Tunis. Elle s’étend sur environ 3 000 hectares, en bordure de plusieurs quartiers abritant près de 600 000 habitants. Le site est d’ailleurs classé zone humide d’importance internationale dans le cadre de la convention de Ramsar.

M. Zouari a précisé que l’État ambitionne d’aménager un plan d’eau intégré dans le tissu urbain, afin de favoriser une cohabitation harmonieuse entre la ville et la nature. L’objectif est de créer un espace attractif, accessible à toutes les catégories sociales, avec des infrastructures de loisirs et de bien-être, pour une meilleure qualité de vie.

Il a rappelé que le ministère avait auparavant été chargé d’élaborer une étude de valorisation et d’aménagement de la sebkha de Sijoumi. Celle-ci a abouti à une stratégie visant à renforcer la capacité du milieu naturel à absorber les eaux pluviales provenant de différents bassins versants, afin de réduire les risques d’inondation.

Cette approche inclut également la dépollution de la zone humide, la suppression des rejets anarchiques, ainsi que la promotion de la biodiversité et de l’équilibre écologique en faveur d’un environnement sain.

De son côté, Nadia Gouider Trabelsi, directrice générale des services aériens et maritimes au sein du ministère, a indiqué que le projet de développement intégré nécessitera des investissements importants, estimés à près de 400 millions de dinars. Cela impliquera la mobilisation de partenaires et le recours à des mécanismes de partenariat public-privé.

Elle a ajouté que l’étude permettra de définir une vision claire pour remédier à la pollution dans la région de Sijoumi et promouvoir des projets résidentiels et industriels respectueux de l’environnement.

L’objectif final est de rendre les rives du lac attractives, de dynamiser les services, de créer des emplois et d’améliorer les conditions de vie des habitants de la région.

L’article Lancement de l’étude stratégique pour le développement du lac de Sijoumi est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Bizerte : 12 infractions pour occupation illégale du domaine maritime

24. Juni 2025 um 14:27

Douze procès-verbaux pour exploitation du domaine maritime sans autorisation ont été rédigés lors de la campagne de contrôle menée sur la plage de Ras Angela à Bizerte-sud.

Le chef régional de l’Agence de protection et d’aménagement du littoral, Mahder Kcherem a indiqué à l’Agence TAP que plusieurs tables, chaises, parasols et cabanes ont été saisis. Il ajoute que ces campagnes de contrôle se poursuivront durant la période estivale pour lutter contre l’occupation abusive du domaine public maritime dans la région.

L’article Bizerte : 12 infractions pour occupation illégale du domaine maritime est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Repos d’un jour pour le Nouvel An de l’Hégire

24. Juni 2025 um 14:14

À l’occasion du Nouvel An de l’Hégire, les agents de l’État, des collectivités locales ainsi que des établissements publics à caractère administratif bénéficieront d’un jour de congé, a annoncé la présidence du gouvernement.

Ce jour de congé sera accordé soit le jeudi 26 juin, soit le vendredi 27 juin 2025, en fonction de l’observation lunaire. Et ce, conformément au communiqué qui sera publié par le Mufti de la République.

L’article Repos d’un jour pour le Nouvel An de l’Hégire est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Rencontres Médicales des Deux Rives à Gammarth le 19 juillet

24. Juni 2025 um 13:57

Pour la première fois en Tunisie, des médecins et professionnels de santé et ceux issus de la diaspora se réuniront lors des Rencontres Médicales des Deux Rives, prévues le 19 juillet 2025 à Gammarth, banlieue nord de Tunis.

Soutenu par un large réseau de médecins tunisiens établis à l’étranger (TRE), cet événement inédit a pour ambition de tisser des liens durables entre des compétences dispersées géographiquement mais unies par une origine commune.

Des praticiens venus de France, du Canada, d’Allemagne, d’Italie, du Qatar et des Émirats arabes unis mais aussi ceux résidant en Tunisie sont attendus pour renforcer les synergies médicales entre les deux rives.

Cette rencontre vise à encourager le partage d’expériences, à valoriser les expertises et à initier des coopérations scientifiques, pédagogiques et institutionnelles.

Au programme : des tables rondes thématiques sur la santé publique et l’innovation, des témoignages croisés de praticiens; ainsi que des ateliers pratiques destinés à élaborer une feuille de route commune pour une coopération médicale renforcée. La journée sera également un temps fort de réseautage et de réflexion stratégique sur l’avenir du système de santé tunisien, au service d’une médecine d’excellence, fondée sur les valeurs de progrès et d’engagement collectif.

Portée par Medi Connect Event, cette première édition réunira médecins hospitaliers, praticiens libéraux, experts en santé publique et décideurs institutionnels autour d’un objectif commun : construire ensemble une Tunisie médicale forte, moderne et inclusive.

L’article Rencontres Médicales des Deux Rives à Gammarth le 19 juillet est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Iran Vs Israël : match nul, victoire stratégique?

24. Juni 2025 um 12:39

Le récent affrontement militaire entre Israël et l’Iran n’a pas seulement été une démonstration de puissance : il a révélé une nouvelle architecture de la guerre moderne. Un conflit mené sur plusieurs plans- militaire, psychologique, technologique et médiatique- où les objectifs flous d’un camp ont rencontré la résilience et l’adaptation tactique de l’autre.

Résultat : une guerre sans vainqueur déclaré, mais dont les dividendes stratégiques penchent, contre toute attente, en faveur de Téhéran.

Objectifs changeants, stratégie confuse : le faux départ israélien

Dès les premières heures de l’offensive, Israël a présenté un discours brouillé. Était-il question de neutraliser les capacités nucléaires de l’Iran? D’éliminer ses missiles balistiques? Ou de faire tomber le régime? Cette succession d’objectifs contradictoires a semé le doute non seulement chez ses alliés, mais également au sein de ses propres cercles décisionnels.

Une guerre déclenchée sans vision claire produit rarement les résultats escomptés. Et celle-ci n’a pas fait exception.

Supériorité militaire israélienne… mais vulnérabilité stratégique

Israël dispose d’un avantage technologique considérable : des systèmes de renseignement redoutablement efficaces, une domination aérienne quasi absolue, des capacités de frappe chirurgicale testées et éprouvées. Pourtant, ces atouts n’ont pas empêché l’Iran d’infliger des coups d’une intensité inédite au cœur même du territoire israélien. Des infrastructures militaires, économiques et sécuritaires majeures ont été atteintes, mettant à nu une réalité que Tel-Aviv peine à admettre : la dissuasion classique ne fonctionne plus face à un ennemi capable de mêler drones, missiles de saturation et guerre de l’information.

L’ADN d’une guerre hybride et asymétrique

Ce conflit n’a rien eu de conventionnel. Il a été mené à la fois sur le terrain, dans les airs, dans le cyberespace et dans l’espace symbolique. L’Iran a montré qu’il pouvait transformer son infériorité technologique en une force tactique en combinant la dispersion stratégique, l’opacité de ses installations et une guerre psychologique maîtrisée. Nous sommes entrés dans l’ère des conflits multidimensionnels : asymétriques dans les moyens, hybrides dans les méthodes, flous dans les lignes rouges. Le champ de bataille est désormais sans frontières.

Un programme nucléaire intact? La grande inconnue

Israël a martelé avoir visé les sites de centrifugeuses et les stocks d’uranium hautement enrichi. Mais jusqu’à présent, aucun élément tangible ne permet de conclure que les capacités nucléaires iraniennes ont été significativement entamées. Au contraire, de nombreuses sources suggèrent que Téhéran aurait pu anticiper l’attaque, disperser ses matériaux sensibles et préparer des installations de repli dans des zones souterraines. Si cela est confirmé, le cœur du programme nucléaire iranien aurait survécu. Ce qui rend l’objectif israélien initial doublement manqué.

Une guerre gagnée… sur le terrain du récit?

Le rôle de la narration dans cette guerre est central. Si Israël a mené la guerre avec des armes, l’Iran l’a aussi menée avec des symboles : se présenter comme la victime d’un axe américano-israélien, rallier l’opinion publique régionale à sa cause, et revendiquer la capacité de riposter avec une efficacité stratégique. L’intervention militaire américaine, modérée et limitée, a paradoxalement renforcé la posture de résistance du régime iranien. En sauvant la face d’un allié, Washington a peut-être offert à l’ennemi commun un levier de légitimité intérieure.

La fin du mythe de la guerre décisive

Ce conflit marque aussi la fin d’un modèle hérité : celui de la guerre aux contours clairs avec un gagnant et un perdant. Ni Israël, ni l’Iran n’ont remporté une victoire totale. Pourtant, l’Iran, en parvenant à encaisser l’assaut, à riposter, à maintenir sa structure étatique et, peut-être, à protéger l’essentiel de ses capacités stratégiques, a transformé une guerre défensive en succès psychopolitique. « Ne pas perdre », dans ce nouveau paradigme, devient une forme de victoire absolue.

Tout compte fait, ce que révèle la guerre irano-israélienne, c’est une transformation radicale du concept même de conflit armé. La supériorité technologique ne garantit plus la sécurité. L’ambiguïté stratégique est un piège pour ses auteurs. Et la capacité de nuisance, plus que la conquête, redéfinit le rapport de force.

Dans ce duel où personne n’a triomphé, c’est l’Iran qui ressort renforcé. Non pas pour avoir gagné la guerre, mais pour avoir survécu à celle que tout annonçait comme perdue.

 

——————–

Du même auteur:

Site nucléaire Fordo : Sésame, ouvre-toi !

Le droit international est mort, « vive » le droit international inhumain !

Guerre Iran/Israël : l’IA, nouveau centre de gravité stratégique

—————–

* Mahjoub Lotfi Belhedi

Chercheur en réflexion stratégique & digitale // Data scientist & Aiguilleur d’IA

L’article Iran Vs Israël : match nul, victoire stratégique? est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Ouverture du festival de l’ASBU à Carthage avec un spectacle du chanteur Saber Rebai

24. Juni 2025 um 12:05

L’amphithéâtre romain de Carthage a abrité, lundi soir 23 juin, un spectacle de Saber Rebai à l’occasion de la cérémonie d’ouverture de la 25ème édition du Festival arabe de la radio et de la télévision organisé par l’Union des radios et télévisions arabes (ASBU).

La cérémonie a été marquée par la présence de Amina Srarfi, ministre des Affaires culturelles, et de Mohammed Fahd Al-Harthi et Abderrahim Souleimen, respectivement président et directeur général de l’Union des radios et télévisions arabes (ASBU), en plus de plusieurs diplomates et ambassadeurs accrédités en Tunisie.
A cette occasion, Mohammed Fahd Al-Harthi – qui est également le président directeur général de l’Autorité de Radiodiffusion saoudienne (SBA) -, a rendu un hommage à certaines figures emblématiques du paysage audiovisuel arabe dont la Tunisienne Donia Chaouch, la Yémenite Sonia Mrissi, l’Algérienne Rania Sirouti et le Somalien Abderrachid Moheddine Kalmoy.
Le chanteur égyptien Hamada Helal, l’acteur, metteur en scène, compositeur et chanteur irakien Sami Kaftan, en plus d’actrices l’Egyptienne May Omar, la Syrienne Jiana Aneed, la Jordanienne Rania Ismail et la Libanaise Julia Kassar étaient également à l’honneur.
La soirée s’est poursuivie avec un spectacle de la chanson arabe de Saber Rebai accompagné par l’Orchestre dirigé par le maestro Kais Melliti. Un public assez nombreux était présent à ce concert au cours duquel Saber Rebai a interprété un cocktail de ses anciennes et nouvelles chansons avec notamment « Chayek », un tube sorti il y a un mois.

La Palestine en hommage

En hommage à la Palestine, l’artiste s’est enveloppé des drapeaux tunisien et palestinien avant d’interpréter une fusion du patrimoine musical palestinien et tunisien. Il s’agit d’une chanson d’après les paroles du poète tunisien Ridha Chair. A l’issue du spectacle, un hommage a été rendu à Saber Rebai par les organisateurs du festival de l’ASBU.
Le festival se poursuit mardi 24 juin à la Médina Yasmine Hammamet qui abrite, sur deux jours, le Salon de la technologie et qui constitue un rendez-vous annuel pour les dernières innovations, notamment dans le domaine de l’équipement audiovisuel. 80 exposants arabes et étrangers répartis sur 100 stands prennent part à ce salon et au marché des programmes radiophoniques et télévisés qui constitue un espace pour présenter les productions des instances et sociétés de productions.

L’avenir des médias à l’ère de l’IA en débat

Des séminaires autour de la production dramatique arabe, l’avenir des médias à l’ère de l’IA et les médias pour enfants sont également au menu de la programmation du festival de l’ASBU à Hammamet.
Le Théâtre de l’Opéra de Tunis, à la Cité de la culture, accueillera la cérémonie de clôture qui sera marquée par un concert de Karim Thlibi et l’annonce des lauréats.
Une sélection de 299 œuvres dont 145 œuvres radiophoniques et 154 œuvres télévisuelles figure également dans le programme de la 25ème édition.
Ainsi, dans la compétition radiophonique, 109 chaînes sont dans la compétition officielle et 36 autres dans la compétition parallèle. Parmi les chaînes de radios participantes, 14 chaines membres de l’ASBU dans la compétition officielle et 14 autres chaines privées internationales, diffusant ses programmes en arabe, dans la compétition parallèle.
Sur les 154 œuvres télévisuelles participantes, 107 dans la compétition officielle et 47 autres dans la compétition parallèle. La liste des chaînes de télé participantes comprend 17 établissements télévisuels membres de l’ASBU, neuf chaînes par satellite et 20 sociétés de production.
A noter que le Festival arabe de la radio et de la télévision est organisé par l’Union des radios et télévisions arabes (ASBU- Arab state Broadcasting Union) en partenariat avec le ministère des Affaires Culturelles, les Établissements de la Radio et de la Télévision tunisiennes et l’organisation arabe des satellites de communication (Arabsat).
Organisé du 23 au 26 juin 2025, entre Tunis et Hammamet, le festival fête son 44ème anniversaire dans une édition spéciale ayant pour thème “L’espace de convergence et de créativité”.

Un peu d’histoire

Depuis sa création en 1981, le Festival est organisé à Tunis qui abrite le siège de l’ASBU – une organisation professionnelle arabe fondée en 1969, en vue de renforcer la coopération interarabe dans le secteur de l’audiovisuel, radio et télévision.
Devenu un évènement annuel en 2015, le festival vise à promouvoir la production radiophonique et télévisée arabe et à présenter les dernières innovations technologiques dans la production audiovisuelle. Il œuvre à contribuer au développement de la production radiophonique et télévisée arabes et à améliorer la qualité des contenus audiovisuels.
Chaque année, le festival accueille les instances membres de l’ASBU parmi les chaines de télévision et stations de radio arabes publiques et celles des radions et télévisions privées, les sociétés de productions et les agences de presse arabes. Les sociétés de production et les chaines et les stations de radio, non arabes, qui produisent et diffusent en langue arabe y sont également invitées.
Tous les ans, les cérémonies d’ouverture et de clôture du festival de l’ASBU sont retransmises en direct sur différentes chaînes de télévision et stations de radio arabes, publiques et privées.
Avec TAP

L’article Ouverture du festival de l’ASBU à Carthage avec un spectacle du chanteur Saber Rebai est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Le CETTEX et le CFI-Sfax, la main dans la main pour dynamiser le secteur du textile

24. Juni 2025 um 11:00

Le Centre Technique du Textile (CETTEX) et le Centre de Formation Interentreprises de Textile (CFI-Sfax) ont conclu, lundi 23 juin, un accord de partenariat. Il vise à soutenir la nouvelle génération de professionnels du textile et à impulser le développement du secteur en Tunisie.

Ce partenariat stratégique ambitionne d’offrir de nouvelles opportunités aux étudiants et jeunes diplômés tunisiens dans le domaine du textile et de l’habillement. Et ce, en renforçant leurs compétences techniques et pratiques, grâce à une coopération étroite entre les deux institutions, indique le CETTEX.

Parmi les axes majeurs de cette collaboration figurent : la formation et le perfectionnement des compétences; l’accès aux laboratoires du CETTEX pour des activités de test et d’analyse; la participation conjointe à des événements professionnels; ainsi que l’implication dans des projets collaboratifs pour favoriser l’innovation et relever les défis du secteur.

L’article Le CETTEX et le CFI-Sfax, la main dans la main pour dynamiser le secteur du textile est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Météo : jusqu’à 40 degrés attendus ce mardi 24 juin

24. Juni 2025 um 08:21
L’INM (Institut national de la météorologie) annonce, pour mardi 24 juin 2025, un temps généralement nuageux.
Mais les températures connaîtront une légère hausse, avec des maximales comprises entre 31 et 35 °C sur les régions côtières et les hauteurs, et entre 36 et 40 °C ailleurs dans le pays.

L’article Météo : jusqu’à 40 degrés attendus ce mardi 24 juin est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

❌
❌