Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 22. Juli 2025Haupt-Feeds

Plan de développement 2026–2030 : réflexion stratégique sur les politiques en faveur de la famille

22. Juli 2025 um 08:42

Une séance de travail s’est tenue, le lundi 21 juillet, au siège du ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes âgées. Elle s’est consacrée à l’examen du rapport sectoriel relatif aux orientations de la politique publique dans ces domaines. Et ce, dans le cadre de l’élaboration du plan de développement 2026–2030, indique un communiqué du ministère.

À cette occasion, la ministre de la Famille, de l’Enfance et des Personnes âgées, Asma Jebri, a souligné l’importance d’harmoniser les objectifs stratégiques du ministère avec les principes constitutionnels. Et en particulier les articles 12, 51, 52 et 53, qui consacrent les droits des femmes et de la famille, tout en affirmant le rôle social de l’État.

A cet égard, la ministre plaide pour la consolidation des parcours d’accompagnement des femmes et des jeunes filles bénéficiaires des programmes d’intégration économique. Mais aussi pour la promotion de l’initiative privée, ainsi que l’amélioration du climat entrepreneurial.

Elle a également mis l’accent sur la nécessité de renforcer la gouvernance des programmes destinés aux populations vulnérables, notamment dans les zones rurales et prioritaires. Elle a enfin appelé à enrichir le rapport sectoriel par des indicateurs d’impact clairs. Lesquels permettent d’évaluer l’efficacité des politiques mises en œuvre dans les différentes régions du pays.

L’article Plan de développement 2026–2030 : réflexion stratégique sur les politiques en faveur de la famille est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Tunisie | Ces «responsables» que Kaïs Saïed désigne à la vindicte populaire

10. Juli 2025 um 10:36

En recevant hier, mercredi 9 juillet 2025, au Palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzeri, le Président de la République, Kaïs Saïed, est revenu à sa grande idée du moment : débarrasser l’administration publique des éléments réfractaires au projet de libération nationale qu’il mène depuis la proclamation de l’état d’exception le 25 juillet 2021 et les remplacer par des jeunes compétences patriotes et responsables.

Selon un communiqué de la présidence de la République, l’entretien a porté sur plusieurs thèmes, dont le rapport synthétique qui sera élaboré pour mettre en place le projet de loi du plan de développement pour la période 2026-2030 devant servir de référentiel à l’ensemble des législations économiques et sociales.

Le Chef de l’État a souligné que des efforts sont en cours pour ouvrir de larges perspectives dans tous les domaines et dans toutes les régions, afin que chaque Tunisien puisse jouir de sa dignité et de ses droits légitimes.

«Il est temps que les jeunes compétences prennent la place de ceux qui n’ont pas tiré les leçons du passé ni compris que la responsabilité, à quel niveau que ce soit, est un fardeau lourd à porter», a-t-il dit, en évoquant, dans ce contexte, le mauvais fonctionnement de plusieurs services publics et en insistant sur la nécessité de sanctionner chaque manquement.

Les responsables des services publics sont payés par l’argent des contribuables, lesquels doivent recevoir de bons services en retour, a rappelé Saïed, en soulignant que «les budgets importants alloués à des institutions inefficaces devraient être versés à d’autres qui remplissent réellement les objectifs pour lesquels elles ont été créées».

Comme à son habitude, le locataire du Palais de Carthage n’a pas désigné nommément les responsables défaillants ni les institutions budgétivores et inutiles qu’il va falloir supprimer ou intégrer à d’autres.

La cheffe de gouvernement, qui se contente souvent d’opiner de la tête, en signe d’accord, n’a pas cru devoir communiquer sur ce sujet qui revient sans cesse lors de ses rencontres avec le président de la république ni nous expliquer ce que son gouvernement compte faire pour mettre en œuvre de si insistantes instructions présidentielles.

Quant à nous autres, journalistes, analystes, commentateurs ou simples citoyens, nous en sommes réduits à supputer sur l’identité des prochains fusibles qui vont sauter.

Cela dit, on n’aimerait pas être à la place des ministres, secrétaires d’Etat, PDG, directeurs généraux et autres hauts responsables dont le président de la république dénonce l’incompétente ou qu’il désigne à la vindicte populaire.

I. B.

L’article Tunisie | Ces «responsables» que Kaïs Saïed désigne à la vindicte populaire est apparu en premier sur Kapitalis.

❌
❌