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Heute — 30. Januar 2025Haupt-Feeds

Crash d’un avion d’American Airlines avec 64 personnes à bord

30. Januar 2025 um 07:47

Un avion régional d’American Airlines et un hélicoptère Black Hawk de l’armée américaine se sont écrasés ce 30 janvier 2025 (04:57 heure de Tunis) dans le fleuve Potomac après une collision en vol près de l’aéroport Reagan de Washington.

Le Washington Post rapporte que plusieurs corps avaient été retirés de l’eau. Le sénateur du Texas, Ted Cruz, a déclaré sur les réseaux sociaux que « nous savons qu’il y a des morts », sans toutefois préciser combien.

Une source d’American Airlines citée par Reuters indique que 60 passagers, ainsi que deux pilotes et deux membres d’équipage, devaient prendre part à l’avion. Trois militaires étaient à bord de l’hélicoptère, a précisé un responsable américain.

Une caméra Web filmée depuis le Kennedy Center à Washington a montré une explosion en plein vol au-dessus du Potomac avec un avion en flammes s’écrasant rapidement.

Des dizaines de policiers, d’ambulanciers et d’unités de secours, dont certains transportaient des bateaux, se sont déployés le long du fleuve et se sont précipités vers des positions le long du tarmac de l’aéroport Reagan.

L’aéroport a déclaré ce matin que tous les décollages et atterrissages avaient été interrompus alors que le personnel d’urgence répondait à un incident d’avion.

Au cours des deux dernières années, une série d’incidents évités de justesse ont suscité des inquiétudes quant à la sécurité de l’aviation américaine et à la pression exercée sur les opérations de contrôle du trafic aérien en sous-effectif.

A noter que l’administrateur de la FAA, Mike Whitaker, a démissionné le 20 janvier et l’administration Trump n’a pas nommé de remplaçant – ni même révélé qui dirige l’agence par intérim.

Le dernier accident majeur mortel impliquant un avion commercial aux États-Unis remonte à 2009, lorsque 49 personnes à bord d’un vol de Colgan Air s’est écrasé dans l’État de New York. Une personne est également décédée au sol.

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Gestern — 29. Januar 2025Haupt-Feeds

Détérioration de la confiance des consommateurs américains

29. Januar 2025 um 16:39

La confiance des consommateurs américains s’est affaiblie pour le deuxième mois consécutif en janvier, en raison de nouvelles inquiétudes concernant le marché du travail et l’inflation.

Le Conference Board, un groupe de réflexion mondial à but non lucratif et une organisation d’adhésion commerciale, a annoncé mardi 28 janvier 2025 que son indice de confiance des consommateurs américains était tombé à 104,1 ce mois-ci, contre 109,5 en décembre, après une révision à la hausse.

Les économistes interrogés par Reuters tablaient sur une hausse de l’indice à 105,6, contre 104,7 précédemment annoncé.

« Les opinions sur les conditions actuelles du marché du travail ont chuté pour la première fois depuis septembre, tandis que les évaluations des conditions économiques ont fléchi pour le deuxième mois consécutif », a déclaré Dana Peterson, économiste en chef du Conference Board.

 

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La livre turque volatile à son plus bas niveau en 10 mois

29. Januar 2025 um 15:26

La volatilité attendue du prix de la livre turque à court terme est tombée ce 29 janvier 2025 à son plus bas niveau en 10 mois, à la suite de l’adoption par les décideurs de la politique monétaire de la stratégie dite de valeur réelle pour la livre turque.

L’agence de presse Bloomberg rapporte que l’indice mesurant la volatilité du prix de la livre turque sur 3 mois est tombé lundi à son plus bas niveau depuis le 19 mars 2024, mais il est resté aux mêmes niveaux aujourd’hui, mercredi.

La livre s’échangeait ce matin à 35,7554 lires pour un dollar, soit une baisse de 0,1 % par rapport au prix de mardi.

Cela survient alors que les dirigeants économiques turcs adoptent une politique de valeur réelle de la monnaie, dans laquelle la valeur de la livre diminue en dessous du taux d’inflation, pour soutenir leurs efforts visant à réduire le taux d’inflation. Les dirigeants économiques visent à réduire les pressions exercées par la faiblesse de la monnaie sur les prix à la consommation en Turquie.

Cette stratégie a contribué à renforcer la stabilité de la lire face à de fortes fluctuations, en particulier lorsque les monnaies émergentes subissaient de fortes pressions dues aux menaces du président américain d’imposer des droits de douane sur toutes les importations de son pays.

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Trump interrompt la livraison de médicaments contre le VIH et le paludisme aux pays pauvres

29. Januar 2025 um 15:00

L’administration Trump a décidé de stopper mardi 28 janvier 2025 la fourniture de médicaments vitaux contre le VIH, le paludisme et la tuberculose, ainsi que de fournitures médicales pour les nouveau-nés, dans les pays soutenus par l’USAID à travers le monde.

Les entrepreneurs et partenaires qui travaillent avec l’Agence américaine pour le développement international (USAID) ont commencé mardi à recevoir des notes leur demandant de cesser immédiatement les travaux, ont indiqué des sources. Cette mesure s’inscrit dans le cadre d’un gel plus large de l’aide et du financement américains mis en place depuis l’arrivée de Trump au pouvoir le 20 janvier, le temps que les programmes soient réexaminés.

Un de ces mémos a été adressé à Chemonics, une grande société de conseil américaine qui travaille avec l’USAID sur la fourniture de médicaments pour toute une série de maladies dans le monde entier.

La note couvre le travail de l’entreprise sur le VIH, le paludisme et la tuberculose ainsi que sur la contraception et les fournitures de santé maternelle et infantile, ont déclaré à Reuters une source de l’USAID et un ancien responsable de celle-ci.

« C’est une catastrophe », a déclaré Atul Gawande, ancien responsable de la santé mondiale à l’USAID, qui a quitté l’agence ce mois-ci. « Les dons de médicaments permettent de maintenir en vie 20 millions de personnes vivant avec le VIH. Cela prend fin aujourd’hui ».

Les interruptions de traitement peuvent entraîner des risques de contamination et, dans le cas du VIH en particulier, de transmission du virus à d’autres. Cela peut également entraîner l’apparition de souches résistantes aux médicaments, a souligné M. Gawande.

Il a déclaré que d’autres partenaires avaient également reçu des notifications signifiant qu’ils ne pourraient pas livrer de médicaments aux cliniques même s’ils en avaient en stock, ou ouvrir les cliniques si elles sont financées par les États-Unis.

Cela inclut les organisations travaillant avec 6,5 millions d’orphelins et d’enfants vulnérables atteints du VIH dans 23 pays, a-t-il déclaré.

Le 20 janvier, jour de sa prestation de serment, Trump a ordonné une pause de 90 jours dans l’aide au développement étranger, dans l’attente d’évaluations de l’efficacité et de la cohérence avec la politique étrangère américaine.

Son administration a également mis en congé une soixantaine de hauts fonctionnaires de l’USAID, ont déclaré lundi à Reuters des sources proches du dossier.

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Le FMI finalise la quatrième revue du programme de financement égyptien

29. Januar 2025 um 13:13

Le directeur exécutif et membre du Conseil des administrateurs du Fonds monétaire international (FMI), Dr. Mohamed Maait, a déclaré, le 29 janvier 2025, que le quatrième examen des négociations de l’Egypte avec le Fonds était terminé et qu’un accord avait été obtenu au niveau des experts.

« Il ne reste plus qu’à déterminer la date de la réunion, et celle-ci aura lieu prochainement, concluant ainsi une fois pour toutes la quatrième revue », a-t-il déclaré. Et de poursuivre : « Le programme a une période qui se termine à la fin de l’année prochaine. A chaque période il y a une révision. Et avec la révision, il y a un paiement du montant requis ». Ces perspectives positives s’expliquent par les défis auxquels est confrontée l’économie égyptienne, notamment à la lumière de la situation géopolitique et de son impact négatif important en Egypte. M. Maait a déclaré : « Je crois que les institutions internationales de classification et de financement ont actuellement une vision de l’économie égyptienne ».

« Ces institutions regardent toujours les défis et les influences qui affectent le programme ou le plan établi. Par exemple, tout le monde est pleinement conscient que le canal de Suez, qui a perdu plus de 60 % de ses revenus en devises fortes, a des effets négatifs et donc la capacité de l’économie à relever ces défis, depuis le début de la pandémie de Corona jusqu’à la guerre à Gaza et dans la région », a souligné Maait.

Le porte-parole officiel du Conseil des ministres égyptien, Mohamed Al-Homsani, a déclaré pour sa part que le gouvernement étudiait le paquet social dont le Premier ministre Dr. Mustafa Madbouli a parlé, avec ses détails et son calendrier à déterminer.

Il a expliqué qu’une fois que le paquet social sera approuvé dans les semaines à venir, il sera annoncé. Et la date de sa mise en œuvre sera déterminée et les détails qui s’y rapportent seront annoncés.

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Les rebelles du M23 contrôlent de l’aéroport de Goma en RD Congo

29. Januar 2025 um 12:13

Les rebelles du M23 ont pris le contrôle, mardi 28 janvier 2025, de l’aéroport de Goma, la plus grande ville de l’est de la République démocratique du Congo, coupant potentiellement la principale route d’aide humanitaire pour atteindre des centaines de milliers de personnes déplacées.

Les combattants du M23 sont entrés lundi 27 janvier à Goma, dans la pire escalade depuis 2012 d’un conflit de trois décennies enraciné dans les longues retombées du génocide rwandais et la lutte pour le contrôle des ressources minérales du Congo.

Les Nations unies ont entendu dire que les rebelles contrôlent l’aéroport et sont à l’intérieur de Goma, a déclaré le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric, lors d’un point de presse, décrivant la situation comme « tendue et fluide ». « Il existe de réels risques d’effondrement de l’ordre public dans la ville, compte tenu de la prolifération des armes », a-t-il ajouté.

La RDC et le chef des forces de maintien de la paix de l’ONU ont affirmé que des troupes rwandaises étaient présentes à Goma, en renfort de leurs alliés du M23. Le Rwanda a déclaré se défendre contre la menace des milices congolaises, sans dire si ses troupes avaient traversé la frontière.

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’est entretenu séparément mardi avec les présidents congolais et rwandais et a exhorté le Rwanda à protéger les civils, a déclaré M. Dujarric.

Goma est un important centre de déplacement des personnes déplacées par les combats dans l’est du Congo et des groupes d’aide qui cherchent à les aider. Les combats ont poussé des milliers de personnes à quitter la ville, y compris certaines qui y avaient récemment cherché refuge pour échapper à l’offensive du M23 depuis le début de l’année.

Lire aussi : La guerre perpétuelle en RDC est un mépris pour la souveraineté de l’Afrique

Des habitants de Goma et des sources onusiennes ont indiqué que des dizaines de soldats s’étaient rendus. Mais que certains soldats et miliciens pro-gouvernementaux résistaient. Des habitants de plusieurs quartiers ont signalé des tirs d’armes légères et de fortes explosions mardi matin.

Mardi après-midi, plusieurs sources diplomatiques et sécuritaires ont déclaré que les rebelles du M23 avaient pris le contrôle total de l’aéroport, leur donnant ainsi la responsabilité d’un lien vital avec le monde extérieur.

Rapports de viols et de pillages

Jens Laerke, porte-parole du bureau humanitaire de l’ONU OCHA, a déclaré lors d’un point de presse que ses collègues avaient signalé « de nombreux cadavres dans les rues ».

« Nous avons des informations faisant état de viols commis par des combattants, de pillages de biens […] et de dégâts causés à des structures de santé humanitaires », a-t-il ajouté. D’autres responsables de l’aide internationale ont décrit des hôpitaux submergés de blessés soignés dans les couloirs.

Peur d’un conflit plus large

Le M23 est le dernier d’une série d’insurrections dirigées par des Tutsis et soutenues par le Rwanda qui ont semé le trouble au Congo depuis le génocide au Rwanda il y a 30 ans. Et ce, lorsque des extrémistes hutus ont tué des Tutsis et des Hutus modérés, puis ont été renversés par les forces dirigées par les Tutsis qui gouvernent toujours le Rwanda.

Le Rwanda affirme que certains des auteurs déchus du génocide se sont réfugiés au Congo depuis le début du génocide, ont formé des milices alliées au gouvernement congolais et constituent une menace pour les Tutsis congolais et pour le Rwanda lui-même.

Le Congo rejette les plaintes du Rwanda et affirme que ce dernier a utilisé ses milices mandataires pour contrôler et piller des minéraux lucratifs tels que le coltan, utilisé dans la fabrication des smartphones.

L’ONU et les puissances mondiales craignent que le conflit ne dégénère en une guerre régionale, semblable à celles de 1996-1997 et de 1998-2003, qui ont tué des millions de personnes, principalement de faim et de maladie.

Les Casques bleus de l’ONU ont été pris dans les combats. L’Afrique du Sud a déclaré que trois de ses soldats avaient été tués dans des échanges de tirs entre les troupes gouvernementales et les rebelles et qu’un quatrième avait succombé à ses blessures lors de combats antérieurs, portant à 13 le nombre de ses soldats tués au cours de la semaine écoulée.

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L’indépendance des Banques centrales vis-à-vis du pouvoir politique est en danger, s’inquiète Lagarde

28. Januar 2025 um 14:04

L’indépendance des Banques centrales est remise en question dans certaines régions du monde, et une plus grande influence politique sur la politique monétaire pourrait accroître l’instabilité économique. C’est ce qu’a déclaré, lundi 27 janvier 2025, la présidente de la Banque centrale européenne (BCE), Christine Lagarde.

« Même si des recherches récentes montrent que l’indépendance de jure des Banques centrales n’a jamais été aussi répandue qu’aujourd’hui, il ne fait aucun doute que leur indépendance de facto est remise en question dans de nombreuses régions du monde ». Ainsi alerte Mme Lagarde, lors d’une conférence organisée par la Banque centrale de Hongrie.

Le président américain Donald Trump a récemment déclaré qu’il demanderait à la Réserve fédérale (la Banque centrale américaine) de réduire les coûts d’emprunt. Tout en affirmant qu’il connaissait les taux d’intérêt « bien mieux que ceux qui sont les principaux responsables de cette décision ».

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L’UE renouvelle ses sanctions contre la Russie pour six mois supplémentaires

28. Januar 2025 um 12:42

Le renouvellement et la prolongation des mesures économiques restrictives contre la Russie pour six mois supplémentaires, jusqu’au 31 juillet 2025, ont été décidés par le Conseil de l’UE, lundi 27 janvier 2025.

« La décision unanime de prolonger les sanctions de l’UE contre la Russie est vitale. Une pression accrue reste nécessaire aussi longtemps que la Russie poursuit sa guerre d’agression brutale contre l’Ukraine », a déclaré via « X » le président du Conseil européen, Antonio Costa.

« Cette décision continuera à priver Moscou des revenus nécessaires pour financer sa guerre. La Russie doit payer pour les dégâts qu’elle cause », a déclaré la haute représentante de l’UE, Kaya Kallas.

La déclaration pertinente du Conseil rappelle que les mesures économiques à l’encontre de la Russie, introduites pour la première fois en 2014, ont été considérablement prolongées à partir de février 2022 en réponse à « l’agression militaire non provoquée, injustifiée et illégale de la Russie contre l’Ukraine ».

Lire aussi : L’agression contre l’Ukraine : le tacle appuyé de Guterres à Poutine

Il s’agit d’un large éventail de mesures sectorielles qui incluent des restrictions sur le commerce, le secteur financier, l’énergie, la technologie et les biens à double usage, l’industrie, les transports et les produits de luxe.

Elles couvrent également les points suivants : l’interdiction d’importer ou de transporter du pétrole brut et certains produits pétroliers par voie maritime depuis la Russie vers l’UE, l’exclusion de plusieurs banques russes du système SWIFT et la suspension au sein de l’Union européenne des activités de diffusion et les licences de divers médias de désinformation soutenus par le Kremlin. En outre, des mesures spéciales permettent à l’UE de lutter contre le contournement des sanctions.

La décision a été adoptée à l’unanimité, après que la Hongrie a levé sa menace de veto. Le Premier ministre hongrois Viktor Orban menace depuis des semaines de s’opposer au renouvellement des sanctions contre la Russie.

Dans un premier temps, Orban avait déclaré attendre l’investiture de Donald Trump et la position de Washington sur les sanctions contre la Russie. Puis, il avait appelé à la réouverture du gazoduc reliant l’Ukraine à l’Europe centrale. Selon des sources diplomatiques, pour que la Hongrie lève ses objections, l’UE a fait une déclaration sur la sécurité énergétique de la Hongrie.

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L’IA chinoise, DeepSeek, fait chuter les valeurs technologiques

28. Januar 2025 um 11:20

Le secteur technologique a chuté après que la Chine a publié un rival gratuit de ChatGPT fonctionnant sur des puces moins chères et moins avancées.

La start-up chinoise d’IA, DeepSeek, a provoqué une onde de choc sur les actions technologiques mondiales, lundi 27 janvier 2025, entraînant une chute de plus de 3 % des contrats à terme du Nasdaq au Japon. Tout en suscitant des inquiétudes parmi les acteurs du marché quant à la domination technologique des États-Unis.

Les contrats à terme sur le Nasdaq 100 ont ainsi chuté de 3,2 % et les contrats sur le S&P 500 de 1,9 % à New York. Dans les premiers échanges européens, les actions Nvidia cotées à Francfort ont chuté d’environ 7 %, tandis que Tesla, Amazon et Meta ont enregistré des baisses de plus de 2 %. Les actions du fabricant néerlandais de puces informatiques ASML Holding NV ont, de leur côté, chuté de plus de 8 %.

Lire aussi : La Chine accuse les États-Unis de « harcèlement économique »

Les contrats à terme sur actions ont chuté après que DeepSeek a déployé son nouveau modèle d’IA, qui serait rentable et capable de fonctionner sur des puces moins avancées que des outils tels que ChatGPT d’OpenAI.

Le lancement récent de l’assistant gratuit a jeté le doute sur les valorisations élevées d’entreprises comme Nvidia, leader du boom mondial des actions de l’IA, dont les puces sont considérées comme essentielles à la croissance de la technologie.

« DeepSeek montre qu’il est possible de développer des modèles d’IA puissants et moins coûteux », a déclaré Vey-Sern Ling, directeur général de l’Union bancaire privée, à Bloomberg. « Cela peut potentiellement faire dérailler l’investissement dans l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement de l’IA, qui est alimentée par les dépenses élevées d’une petite poignée d’hyperscalers ».

Le modèle d’intelligence artificielle de la start-up chinoise, fondée par le directeur du fonds quantitatif Liang Wenfeng, est de plus en plus reconnu comme un concurrent sérieux des dernières offres d’OpenAI et de Meta Platforms. Son assistant a surpassé ChatGPT pour devenir lundi l’application gratuite la mieux notée sur l’App Store d’Apple aux États-Unis.

Lire également: Les États-Unis resserrent leur emprise sur les flux de puces IA

Le nouvel assistant est sur le point de défier la domination de la Silicon Valley, perturbant potentiellement le paysage technologique mondial et changeant le cours de la « course aux armements de l’IA », a déclaré Nigel Green, PDG du cabinet de conseil financier de Vere Group, cité par CNBC.

Les chercheurs de DeepSeek ont ​​révélé que leur modèle DeepSeek-V3, lancé le 10 janvier, a été formé à l’aide de puces H800 de Nvidia, coûtant moins de 6 millions de dollars, selon Reuters. Les puces H800, bien que n’étant pas de premier ordre, auraient été développées comme une option de moindre capacité pour contourner les restrictions de vente à la Chine, avant d’être interdites par les sanctions américaines.

« L’idée selon laquelle les technologies les plus avancées en Amérique, comme Nvida et ChatGPT, sont les plus supérieures au niveau mondial, fait craindre que cette perspective commence à changer », a déclaré à Reuters Masahiro Ichikawa, stratège en chef du marché chez Sumitomo Mitsui DS Asset Management.

Les experts affirment que l’émergence de DeepSeek signale une intensification de la concurrence dans le secteur de l’IA, les futurs concurrents étant susceptibles d’évoluer rapidement, présentant de plus grands défis aux entreprises établies.

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L’Algérie veut renégocier l’accord d’association avec l’UE

28. Januar 2025 um 10:05

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a annoncé, lors d’un conseil des ministres, que l’Algérie exigeait une révision de l’accord d’association avec l’Union européenne, fondée sur le « principe gagnant-gagnant », sans intention d’entrer en conflit avec les Européens.

« La révision de l’accord avec l’Union européenne ne s’inscrit pas dans un contexte de différend, mais plutôt dans le cadre du soutien aux bonnes relations entre l’Algérie et l’Union européenne en tant que partenaire économique fondé sur le gagnant-gagnant », indique un communiqué publié dimanche 26 janvier 2025.

« La tendance à la révision de cet accord est dictée par des données économiques réalistes, car depuis son entrée en vigueur en 2005, les exportations de l’Algérie dépendent essentiellement des hydrocarbures« , a-t-il ajouté. Et ce, alors qu’aujourd’hui nos exportations se sont diversifiées et développées en dehors du carburant, notamment dans le domaine de la production agricole, des minéraux, du ciment, des produits alimentaires et autres.

Mi-juin 2024, Bruxelles a annoncé avoir ouvert une procédure de règlement des différends avec l’Algérie, accusée de restreindre les exportations et les investissements de l’Union européenne dans ce pays d’Afrique du Nord depuis 2021, et a appelé à des consultations avec les autorités.

L’Union européenne a considéré que les mesures restrictives prises par l’Algérie violaient ses obligations au titre de l’accord d’association entre les deux parties.

L’accord a été signé en 2002 et est entré en vigueur en 2005. Il établit un cadre de coopération dans tous les domaines, y compris le commerce.

L’Union européenne est le premier partenaire de l’Algérie, représentant environ 50,6 % du commerce international du pays en 2023.

Ces dernières années, la valeur totale des exportations de l’Union européenne vers l’Algérie a diminué régulièrement, passant de 22,3 milliards d’euros (23,4 milliards de dollars) en 2015 à 14,9 milliards de dollars (15,6 milliards de dollars) en 2023, selon la Commission européenne.

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Les cryptocrimes dépassent les 41 milliards de dollars en un an!

27. Januar 2025 um 10:39

L’année 2024 pourrait être l’une des années où l’on a vu le plus grand flux de fonds vers des partis illégaux, via les cryptomonnaies. C’est ce que révèle un rapport de la Fondation d’analyse des cryptomonnaies Chainalysis publié le 26 janvier 2025. Ces flux pourraient atteindre les 51,3 milliards de dollars, dépassant au cours des cinq dernières années environ 189 milliards de dollars.

Ceci en dépit du fait que ses estimations jusqu’à présent des montants envoyés vers des comptes illégaux au cours de l’année écoulée se limitent à 40,9 milliards de dollars, car elles ne suivent que les adresses illégales qu’elles ont pu identifier jusqu’à présent.

Sur ces montants prouvés, 10,8 milliards de dollars ont été transférés vers des portefeuilles appartenant à des services et à des individus qui commettent directement des cybercrimes, tels que le piratage informatique, l’extorsion et la fraude; ainsi qu’à ceux qui facilitent ces activités en vendant l’infrastructure et les outils nécessaires.

L’organisation a déclaré dans un rapport, qu’au cours des dernières années, les crypto-monnaies sont devenues plus répandues et plus courantes, et que même si l’activité illégale dans les chaînes de blocs était auparavant largement axée sur la cybercriminalité, les crypto-monnaies sont désormais utilisées également pour financer et faciliter tous types de menaces, de la sécurité nationale à la protection des consommateurs.

À mesure que les crypto-monnaies sont de plus en plus acceptées, les activités illégales sur les blockchains sont devenues plus diversifiées, certains acteurs illégaux opérant essentiellement hors chaîne mais y transférant des fonds à des fins de blanchiment.

En outre, Chainalysis a indiqué que le pourcentage de transactions illégales par rapport au nombre total d’opérations sur la chaîne de blocs est tombé à 0,14 % contre 0,61 % en 2023. Mais elle s’attend à ce que ces pourcentages augmentent avec la révision des valeurs des transactions illégales. Tout s’attendant à ce qu’ils restent inférieurs à 1 %, comme cela a été en  le cas historiquement.

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Boeing devrait perdre 4 milliards de dollars au quatrième trimestre 2024

27. Januar 2025 um 10:37

Les prévisions indiquent que Boeing enregistrera des pertes d’une valeur de 4 milliards de dollars au dernier trimestre de 2024, à la suite d’une grève qui a conduit à l’arrêt de la production, en plus d’augmenter les pertes dans des projets gouvernementaux chancelants.

Le chiffre d’affaires trimestriel de la société Boeing devrait atteindre 15,2 milliards de dollars. Soit en baisse par rapport aux estimations de Wall Street de 16,6 milliards de dollars. C’est ce qu’à rapporté le 26 janvier 2025 Reuters.

En effet, Boeing est confronté à des problèmes de qualité de production et à des retards dans ses secteurs commercial et de défense. Ce qui pourrait entraîner des pertes estimées à 1,7 milliard de dollars dans les projets de défense, tels que les avions de ravitaillement militaire, et des pertes d’une valeur de 1,1 milliard de dollars dans sa division de l’aviation commerciale.

L’entreprise devrait également devoir supporter des coûts supplémentaires en raison d’un nouvel accord de travail qui prévoit d’importantes primes et avantages sociaux pour les employés.

Ainsi, on estime que les pertes totales de Boeing pour 2024 pourraient atteindre 12 milliards de dollars. Ce qui mettrait l’entreprise sous une pression intense pour améliorer ses performances, dans un contexte d’avertissements croissants des agences de notation concernant sa situation financière.

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L’USAID va suspendre son aide sous l’ordre de Trump

27. Januar 2025 um 10:03

Une note de l’administration Trump demande à l’USAID de donner la priorité à « l’Amérique » dans l’examen de l’aide étrangère.

L’administration Trump a exhorté les employés de l’Agence américaine pour le développement international (USAID) à se joindre à l’effort visant à transformer la manière dont Washington répartit l’aide dans le monde, conformément à la politique de Trump, « America First« . Elle a menacé de « mesures disciplinaires » tout membre du personnel qui ignorerait les ordres de l’administration.

Une note très claire envoyée samedi 25 janvier 2025 à plus de 10 000 employés de l’USAID a fourni des orientations supplémentaires à la directive de « stop work » de vendredi, qui a effectivement mis en place un gel généralisé de l’aide étrangère américaine dans le monde. La note a exposé les attentes des employés sur la manière d’atteindre les objectifs de Trump.

« Nous avons la responsabilité d’aider le président à réaliser sa vision », a écrit Ken Jackson, assistant de l’administrateur chargé de la gestion et des ressources, dans une note interne intitulée « Message et attentes à l’intention des effectifs ».

« Le président nous a donné une formidable opportunité de transformer la manière dont nous abordons l’aide étrangère pour les décennies à venir », peut-on lire dans le mémo dont l’authenticité a été confirmée par Reuters.

Depuis son entrée en fonction 20 janvier 2025, Donald Trump a pris des mesures pour honorer sa promesse de remodeler une bureaucratie fédérale qu’il estime lui être hostile pendant sa présidence de 2017 à 2021. Il a réaffecté ou licencié des centaines d’employés fédéraux dans le cadre de mesures simultanées contre un grand nombre d’agences.

Trump a ordonné une pause de 90 jours dans l’aide étrangère afin de vérifier si elle était conforme à ses priorités en matière de politique étrangère. Vendredi, dernier le département d’État a émis un ordre de suspension des activités dans le monde entier, y compris pour l’aide existante et allouée, remettant en question des milliards de dollars d’aide vitale.

Les États-Unis sont le plus grand donateur d’aide humanitaire au monde. Au cours de l’exercice 2023, ils ont déboursé 72 milliards de dollars d’aide. Ils ont fourni 42 % de toute l’aide humanitaire des Nations unies en 2024.

Alors, la note du 24 courant a choqué les groupes humanitaires et les communautés qui mènent des actions d’aide au développement à travers le monde. Si la portée de la directive semble vaste, des incertitudes subsistent quant à la manière dont elle sera mise en œuvre.

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Canal de Suez : retour des porte-conteneurs à tarifs réduits

27. Januar 2025 um 09:21

Le retour des porte-conteneurs du canal de Suez suite à la trêve entre Israël et le Hamas et la fin temporaire des attaques des Houthis contre le transport maritime international sur la route maritime critique de la mer Rouge entraîneront également une réduction des tonnes-miles parcourues, faisant baisser considérablement les tarifs des conteneurs, principalement en transport Asie-Europe. 

La route de la mer Rouge est la route la plus courte de l’Asie vers l’Europe grâce au canal de Suez avec une route alternative vers la pointe sud de l’Afrique. Le voyage transatlantique d’un navire autour de l’Afrique est de 11 800 milles marins (21 830 km) contre 8 500 milles marins (15 725 km) via Suez. Tandis que la route autour du Cap de Bonne-Espérance ajoute environ 10 jours au temps de transit.

Reuters a rapporté dimanche 26 janvier 2025 que le directeur général adjoint de DP World, Yuvraj Narayan, a déclaré en marge de la réunion du Forum économique mondial à Davos (WEF), en Suisse, que les taux de fret maritime pourraient chuter « d’au moins 20 %, jusqu’à 25 % » et que cela pourrait se produire sur une période donnée. de deux à trois mois.

Il convient de noter que l’analyste maritime Drewry a estimé que l’acheminement des porte-conteneurs autour du Cap de Bonne-Espérance a réduit le tonnage réel d’environ 9 %. Ce qui a permis aux paquebots d’afficher à nouveau de très forts bénéfices au cours des 12 derniers mois.

De son côté, l’analyste en chef de Xeneta, Peter Sand, estime que le retour des porte-conteneurs sera progressif, en commençant par les porte-conteneurs de moins de 10 000 evp, suivis par les navires de 18 000 à 24 000 evp.

Selon Clarksons, les traversées de Suez sont en baisse de 70 % en termes de GT par rapport aux niveaux moyens de 2023, les traversées de porte-conteneurs en particulier sont désormais en baisse de 90 % ou plus.

Par ailleurs, dans le commerce Shanghai-New York, les prix au comptant moyens ont diminué par rapport aux sommets atteints en juillet de l’année dernière, mais sont toujours 14 % plus élevés qu’il y a un an, à 6 590 $ US par FEU.

Un problème, auquel sont également confrontés les affréteurs à l’heure actuelle, concerne les nouveaux contrats et tarifs de fret qui devront être définis pour l’utilisation du canal de Suez.

Les compagnies maritimes de conteneurs n’excluent pas un contrat à deux prix couvrant soit la route de Suez, soit la route transafricaine, afin de permettre aux deux parties de confirmer leurs engagements pour la haute saison 2025, en sachant quels seront les coûts et les revenus correspondants à chaque scénario de crise possible.

En outre, l’indice mondial des conteneurs de Drewry a chuté cette semaine de 11 % à 3 445 $ par conteneur de 40 pieds.

Quant à l’indice composite Drewry WCI, il a chuté de 11 % à 3 445 $ par conteneur de 40 pieds, soit 67 % de moins que le précédent pic pandémique de 10 377 $ en septembre 2021. Mais il était 143 % supérieur à la moyenne de 1 420 $ en 2019 (avant la pandémie).

Pour sa part, le fret de Shanghai à Rotterdam a chuté de 19 % ou 797 $ à 3 434 $ par conteneur de 40 pieds. Tandis que le fret de Shanghai à Gênes a chuté de 10 % ou de 524 $ à 4 562 $ par conteneur de 40 pieds.

De même, les prix de Shanghai à Los Angeles ont chuté de 8 % ou 415 $ à 4 813 $ par conteneur de 40 pieds, suivis par les prix de Shanghai à New York qui ont chuté de 7 % ou 448 $ à 6 377 $ par conteneur de 40 pieds.

Enfin, les prix de Rotterdam à Shanghai, de Los Angeles à Shanghai, de New York à Rotterdam et de Rotterdam à New York ont ​​chuté de 1 % à 515 $, 721 $, 821 $ et 2 778 $ par conteneur de 40 pieds respectivement.

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Des milliers de déplacés retournent dans le nord de Gaza … en ruines

27. Januar 2025 um 08:38

À l’aube de ce 27 janvier 2025, des milliers de personnes déplacées ont afflué à pied du sud vers le nord de la bande de Gaza, transportant tous les bagages qu’elles pouvaient. La rue côtière d’Al-Rashid était bondée de longues files d’habitants de Gaza désireux de regagner ce qui restait de leurs maisons détruites dans le nord du secteur le plus touché par la guerre dévastatrice qui a duré plus de 15 mois.

Israël a annoncé autoriser, dès ce matin 27 janvier, « le passage des Gazaouis vers le nord ». Selon le ministère de l’Intérieur du Hamas, les Palestiniens ont pris le chemin du retour. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a indiqué pour sa part que les négociations avec le Hamas étaient débloquées, permettant la libération de trois otages jeudi 30 janvier, trois autres samedi 1er février.

Dans le même temps, le ministère de l’Intérieur de Gaza a annoncé qu’aucun véhicule ne serait autorisé à traverser la rue Al-Rashid Al-Sahili, comme stipulé dans l’accord de cessez-le-feu avec la partie israélienne.

Cependant, il a expliqué dans un communiqué ce lundi que la rue Salah al-Din sera ouverte aux véhicules dans une direction du sud vers le nord plus tard dans la journée.

Il a ajouté que tous les véhicules seront soumis à un examen au moyen de dispositifs de contrôle avant de traverser la rue Salah Al-Din.

D’autre part, les forces de l’armée israélienne ont commencé à se retirer de l’axe Netzarim, qui divise la bande de Gaza en deux moitiés, rapportent les correspondants locaux.

Au cours des deux derniers jours, Israël a refusé d’ouvrir ce couloir aux déplacés vers le nord, à moins que le Hamas ne libère le détenu israélien, Erbil Yehud.

Cependant, de récentes négociations entre les parties concernées, avec la participation de médiateurs (Égypte, Qatar et États-Unis), ont permis de résoudre cette situation.

80 % des bâtiments sont détruits

On ne sait pas comment ces personnes déplacées vivront sur les ruines de leurs maisons, d’autant plus que les Nations unies estiment la destruction de 80 % des bâtiments au nord de la bande de Gaza.

Tandis que le correspondant d’Al-Arabiya/Al-Hadath a indiqué que des tentes et des « caravanes » étaient préparées pour abriter certains d’entre eux.

Le chef du Programme des Nations unies pour le développement, Achim Steiner, a expliqué précédemment que « les deux tiers des bâtiments de la bande palestinienne ont été détruits ou endommagés à la suite des bombardements israéliens ».

Il a également ajouté qu’« entre 65 et 70 % des bâtiments de Gaza ont été complètement détruits ou endommagés ». Il a souligné que la guerre « a anéanti 60 années de développement », ajoutant que l’enlèvement de 42 millions de tonnes de décombres serait un processus dangereux et complexe.

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Eurostat : Excédent des exportations de biens de l’UE vers les États-Unis

25. Januar 2025 um 15:03

Immédiatement après son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a menacé d’imposer des droits de douane sur les produits en provenance de l’Union européenne, principal partenaire économique de Washington.

Voici quelques chiffres commerciaux des deux côtés, révélés par Eurostat jeudi 23 janvier 2025, les Européens enregistrant un excédent commercial dans les exportations de biens et les Américains bénéficiant d’un excédent commercial dans les services.

En 2023, les exportations de marchandises de l’ensemble des pays de l’UE vers les États-Unis ont atteint 503,8 milliards de dollars et leurs importations 347,1 milliards, selon les données d’Eurostat. Il existe un excédent commercial d’environ 157 milliards d’euros en faveur des 27 Etats membres de l’UE.

Selon le Département américain du Commerce, l’excédent s’élève à 201,6 milliards de dollars ou 193,5 milliards d’euros pour 2024 (les statistiques de décembre ne sont pas incluses).

Au total, les « 27 » vendent plus de produits aux États-Unis qu’ils n’en importent, dans tous les secteurs sauf les matières premières et les hydrocarbures.

Devant la Grande-Bretagne et la Chine, les États-Unis sont ainsi de loin le premier client de marchandises de l’UE : 20 % des exportations du bloc étaient destinées aux États-Unis en 2023, soit une augmentation de 6 points par rapport à 2013.

En ce qui concerne les importations vers l’UE, les États-Unis arrivent en deuxième position, derrière la Chine : environ 14 % des importations du bloc proviennent des États-Unis et, selon Eurostat, les trois quarts de ces importations seraient en franchise de droits en 2023.

L’Allemagne est de loin le pays avec le plus grand excédent commercial avec les États-Unis, en grande partie grâce aux ventes d’automobiles outre-Atlantique mais aussi aux géants chimiques et pharmaceutiques comme Bayer et BASF. Viennent ensuite l’Italie (exportations de voitures et d’équipements) et l’Irlande (l’un des plus grands producteurs pharmaceutiques mondiaux).

Selon les douanes françaises, la France a enregistré un déficit commercial (-6,6 milliards d’euros) par rapport aux États-Unis en 2023. Cependant, Eurostat rapporte que la France, qui exporte des avions, des bateaux de croisière et du vin, a enregistré un très faible excédent commercial.

Seuls sept pays de l’UE enregistrent un déficit commercial (selon Eurostat), les Pays-Bas étant le plus important, ce qui s’explique par son rôle de hub énergétique grâce à ses infrastructures portuaires et ses terminaux pétroliers.

Cependant, contrairement aux biens, la balance penche clairement en faveur des États-Unis en ce qui concerne les services. Cet indice comprend le transport aérien, les compagnies maritimes, les télécommunications, les consultants en entreprise et les services financiers.

En 2023, l’UE a enregistré un déficit de 104 milliards d’euros par rapport aux États-Unis, selon les données provisoires d’Eurostat. Selon les calculs du Département américain du Commerce, l’excédent commercial américain s’élève à 76,5 milliards de dollars ou 73,4 milliards d’euros.

Ce déséquilibre dans les services est alimenté par le déficit colossal de l’Irlande, où se trouvent les sièges européens des grandes entreprises numériques américaines (Apple, Google, Meta), qui versent d’énormes redevances et droits de licence à leurs sociétés mères américaines.

Le commerce des services entre l’UE et les États-Unis, tout comme celui des marchandises, connaît une dynamique croissante. Selon Eurostat, les exportations de services de l’UE vers les États-Unis ont bondi entre 2012 et 2022, passant de 18,5 % à 22 %. Les importations de services des États-Unis vers l’UE ont également augmenté, passant de 24,6 % à 34,3 %.

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L’activité industrielle américaine au plus bas en janvier

25. Januar 2025 um 13:41

L’activité industrielle américaine est tombée à son plus bas niveau depuis neuf mois en janvier dans un contexte de pression sur les prix. Mais les embauches ont augmenté, renforçant la méfiance de la Réserve fédérale à l’égard d’une baisse des taux d’intérêt en 2025.

Comme annoncé par S&P Global vendredi 24 janvier 2025, l’indice PMI (Purchasing Manager’s Index) composite est tombé à 52,4 en janvier contre 55,4 le mois précédent, soit le niveau le plus bas depuis avril 2024.

L’indice PMI a été plombé par le secteur des services, tandis que l’activité manufacturière a connu une croissance pour la première fois en sept mois en raison des attentes d’une « réglementation plus souple, d’une baisse des impôts et d’un protectionnisme accru » sous la nouvelle administration de Donald Trump. Mais certains craignent que d’éventuels droits de douane « perturbent la chaîne d’approvisionnement et affectent les ventes ou alimentent l’inflation ».

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La Banque du Japon relève son taux d’intérêt à son plus haut niveau depuis 17 ans

25. Januar 2025 um 11:04

La Banque du Japon (BoJ) a relevé, vendredi 24 janvier 2025, ses taux d’intérêt au plus haut niveau depuis 2008, tout en révisant à la hausse ses prévisions d’inflation, rapportent les agences étrangères. 

En particulier, la Banque du Japon a relevé son taux d’intérêt à 0,5 % contre 0,25 % auparavant. Il s’agit de la première augmentation depuis juillet 2024.

« L’inflation sous-jacente se renforce vers l’objectif de 2 % », a indiqué la Banque centrale dans un communiqué, ajoutant que les marchés financiers restaient globalement stables.

Dans le même temps, elle note que de nombreuses entreprises indiquent qu’elles continueront à augmenter les salaires dans le cadre des négociations collectives en 2025, ce qui contribuera à atteindre l’objectif de 2 %.

Dans ce contexte, elle a réitéré qu’elle continuera à augmenter ses taux d’intérêt aussi longtemps que ses prévisions concernant l’économie et l’évolution des prix continueront à se confirmer.

La banque a révisé à la hausse ses prévisions d’inflation et a averti que les risques pesant sur l’évolution des prix étaient à la hausse. Le conseil d’administration la banque s’attend à ce que l’inflation sous-jacente atteigne 2,4 % en 2025 avant de ralentir à 2,0 % en 2026. Dans ses prévisions précédentes, elle tablait sur une inflation de 1,9 % en 2025 et 2026.

Le yen s’est renforcé vendredi d’environ 0,5 % à 155,32 pour un dollar suite aux décisions de la banque.

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L’OPEP n’a pas encore répondu à l’appel de Trump à réduire les prix du pétrole

25. Januar 2025 um 11:03

Le groupe OPEP+ n’a pas encore répondu à l’appel du président américain Donald Trump à réduire les prix du pétrole, tandis que les délégués du groupe ont indiqué qu’il existe déjà un plan pour commencer à augmenter la production à partir d’avril.

Trump a déclaré jeudi 24 janvier 2025 qu’il demanderait à l’Arabie saoudite et à l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) de réduire les prix du pétrole, un appel qu’il avait lancé à plusieurs reprises au cours de son premier mandat.

Le ministre saoudien de l’Economie, Faysal Al-Ibrahim, a déclaré vendredi 24 janvier 2025, au Forum économique mondial de Davos, que la position de l’Arabie saoudite et de l’OPEP était la stabilité du marché pétrolier à long terme, lorsqu’il a été interrogé sur les déclarations de Trump.

L’OPEP+, qui comprend l’OPEP, la Russie et d’autres producteurs de pétrole indépendants, a déjà prévu de commencer à augmenter sa production à partir d’avril 2025, après avoir reporté cette augmentation à plusieurs reprises en raison de la faiblesse de la demande.

Un délégué du groupe a déclaré, se référant aux déclarations de Trump, « je pense que cela est en fait conforme à la politique que l’OPEP poursuivra en avril pour augmenter la production ».

Les prix du pétrole ont augmenté cette année et le brut Brent a atteint son plus haut niveau depuis août, lorsqu’il a approché les 83 dollars le baril le 15 janvier, soutenu par les inquiétudes concernant l’offre suite aux sanctions américaines contre la Russie. Les prix sont depuis tombés à moins de 79 dollars vendredi 24 janvier.

Trump a également déclaré que la guerre entre la Russie et l’Ukraine prendrait fin immédiatement si les prix baissaient. En réponse, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré vendredi que le conflit était lié à la sécurité nationale et non au pétrole.

Les déclarations du président américain affectent parfois davantage les prix du pétrole que les déclarations de l’OPEP elles-mêmes. L’OPEP+ a l’occasion de revoir sa politique lors de la réunion du Comité ministériel conjoint de surveillance le 3 février.

Sur la base des pratiques précédentes de l’OPEP+, le groupe devrait prendre début mars la décision d’augmenter sa production en avril.

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