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Heute — 08. Januar 2025Haupt-Feeds

Microsoft investit 3 milliards de dollars dans l’IA en Inde

08. Januar 2025 um 15:00

Le PDG de Microsoft, Satya Nadella, a annoncé mardi 7 janvier 2025 que le géant américain de l’informatique investirait 3 milliards de dollars en Inde dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA), des infrastructures cloud et de la formation au cours des deux prochaines années.

Ces dernières années, le pays le plus peuplé de la planète est devenu l’objet d’une concurrence intense dans le domaine de l’IA, alors que les géants américains de la technologie cherchent à trouver de nouveaux utilisateurs pour leurs services et à puiser dans des réservoirs de nouveaux talents qualifiés.

Ces derniers mois, des dirigeants, dont le président du géant américain NVIDIA, Jensen Huang, et le directeur du laboratoire d’intelligence artificielle Meta, Yan Licon, se sont rendus en Inde, selon ce que rapporte l’Agence France-Presse.

Nadella a déclaré mardi que l’investissement de 3 milliards de dollars comprendra l’ouverture de nouveaux centres de données.

« L’Inde est en train de devenir rapidement un leader en matière d’innovation dans l’IA, créant de nouvelles opportunités à travers le pays », a-t-il ajouté.

Cette annonce intervient moins d’une semaine après que le président de Microsoft, Brad Smith, a annoncé que son entreprise prévoyait d’investir 80 milliards de dollars dans l’intelligence artificielle cette année à l’échelle mondiale, notamment dans la construction de centres de données.

Smith a annoncé dans son blog : « Les États-Unis sont prêts à se placer à l’avant-garde de cette nouvelle vague technologique, surtout s’ils s’appuient sur leurs atouts et établissent des partenariats efficaces à l’échelle internationale ».

 

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Les exportations mondiales de pétrole en baisse de 2 % en 2024

08. Januar 2025 um 12:02

Selon les données publiées le 7 janvier 2025 par la plateforme de suivi des navires, Kpler Research, les exportations mondiales de pétrole brut ont chuté de 2 % en 2024. Marquant ainsi la première baisse depuis la pandémie de Covid-19. Cette contraction s’explique par une demande atone, une restructuration des routes commerciales et des perturbations géopolitiques persistantes, notamment liées à la guerre en Ukraine et aux tensions au Moyen-Orient.

Les conflits en Ukraine et au Moyen-Orient ont profondément perturbé les approvisionnements mondiaux en pétrole brut pour la deuxième année consécutive. Les exportations de pétrole du Moyen-Orient vers l’Europe ont chuté de 22 % en 2024. Tandis que les États-Unis et l’Amérique du Sud ont accru leurs livraisons vers le Vieux Continent.

Parallèlement, le pétrole russe, autrefois destiné à l’Europe, a été redirigé vers l’Inde et la Chine.

Adi Emserovich, consultant en énergie et ancien négociant en pétrole, souligne un rapprochement stratégique entre la Russie, l’Inde, la Chine et l’Iran, qui redéfinit les dynamiques du commerce pétrolier mondial.

Avec une production croissante de pétrole de schiste, les États-Unis ont renforcé leur position sur le marché mondial, exportant désormais 4 millions de barils par jour. Leur part dans le commerce mondial du brut atteint ainsi 9,5 %.

Plusieurs développements infrastructurels et géopolitiques ont également remodelé les routes commerciales :

  • Le lancement de la méga-raffinerie de Dangote au Nigeria a réduit les exportations du pays de 13 %, tout en augmentant ses importations de brut américain.
  • L’expansion du pipeline Trans Mountain au Canada a accru les approvisionnements vers la côte ouest, réduisant la dépendance au pétrole latino-américain.
  • Les attaques en mer Rouge ont augmenté les coûts de transport, poussant les raffineries européennes à se tourner davantage vers les États-Unis et la Guyane.

Baisse de la demande dans les principaux marchés

La demande de pétrole a reculé dans les grands centres de consommation, notamment en Chine (-3 %) et en Europe (-1 %). Cette tendance s’explique par l’essor des véhicules électriques, l’adoption croissante du gaz naturel liquéfié (GNL) et les politiques de réduction des émissions de carbone.

En Chine, la montée en puissance des énergies renouvelables et des véhicules hybrides rechargeables a réduit la dépendance au pétrole. En Europe, la fermeture de raffineries et les objectifs climatiques ont également contribué à la baisse des importations.

Perspectives incertaines pour 2025

Les analystes prévoient une volatilité persistante sur le marché pétrolier, avec des facteurs tels que les sanctions américaines potentielles contre l’Iran et les droits de douane proposés par le président élu Donald Trump sur le pétrole canadien et mexicain. Ces mesures pourraient encore modifier les flux commerciaux et influencer les prix à l’échelle mondiale.

Erik Broekwegen, directeur de la recherche chez Boutin & Partners, résume la situation : « Ce type d’incertitude et de volatilité est la nouvelle norme. 2019 a été la dernière année « normale » ».

En conclusion, le marché pétrolier mondial traverse une période de transformation majeure, marquée par des défis géopolitiques, des changements structurels et une transition énergétique accélérée. Les acteurs du secteur devront s’adapter à cette nouvelle réalité pour maintenir leur compétitivité.

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Le salaire minimum de retraite augmente de 16 % en Turquie

08. Januar 2025 um 11:30

Le ministre turc du Travail, Widad Isik Han, a déclaré mardi 7 janvier 2025 que la Turquie augmenterait le salaire mensuel minimum de retraite de 15,75 %, à 14 469 lires (409,32 dollars), selon Reuters.

Le 25 décembre, la Turquie a annoncé une augmentation de 30 % du salaire minimum pour 2025, donnant ainsi une trêve aux investisseurs qui recherchent des mesures concrètes pour réduire les politiques populistes et s’engager à freiner l’un des taux d’inflation les plus élevés au monde.

Ce salaire est passé de 17 002 lires à 22 104 lires, soit 627 dollars, pour l’année 2025. Cette hausse est conforme aux attentes du marché. Il est à noter que plus d’un tiers de la main-d’œuvre reçoit le salaire minimum, rapporte Bloomberg.

Les investisseurs avaient prévenu que toute augmentation des salaires de plus de 30 % entraverait les prévisions d’inflation de la Banque centrale et compliquerait le processus de détermination du calendrier de la première baisse possible des taux d’intérêt depuis février 2023. Le niveau de ce salaire est l’un des principaux facteurs de l’économie turque.

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Royaume-Uni : le coût de la dette au plus haut depuis 1998

08. Januar 2025 um 10:45

Les coûts d’emprunt à long terme au Royaume-Uni ont atteint leur plus haut niveau depuis 1998. Alors que les investisseurs sont confrontés à une vague de ventes d’obligations cette année.

Le rendement des obligations d’État à 30 ans au Royaume-Uni a grimpé de quatre points de base à 5,22 % mardi 7 janvier 2025. Et ce, après une vente massive des obligations de même durée. Cela a donné des signaux mitigés, avec des rendements moyens non loin du niveau le plus élevé accepté mais du niveau le plus faible depuis 2023. Ce qui montre que l’anxiété liée à l’offre demeure.

La hausse des coûts d’emprunt exerce une pression accrue sur la ministre des Finances, Rachel Reeves, pour qu’elle maintienne le marché de son côté avant une série de ventes d’obligations.

Les projets du gouvernement travailliste de vendre 297 milliards de livres d’obligations au cours de l’exercice en cours – le deuxième plus élevé jamais enregistré – maintiennent les obligations d’État sous pression alors que les investisseurs s’inquiètent des perspectives d’endettement croissant du pays.

Selon Bloomberg, le UK Debt Management Office a vendu 2,25 milliards d’euros mardi (2,8 milliards de dollars) en obligations à 30 ans avec un rendement de 5,198 %. Le ratio offre/couverture était de 2,75, le plus bas depuis décembre 2023.

Dans le même temps, la différence entre le rendement moyen et le rendement acceptable le plus bas – connu sous le nom de queue – n’était que de 0,3 point de base. Ce qui indique une demande constante pour ces obligations.

La perspective de réductions de taux moindres que prévu initialement de la part de la Banque d’Angleterre a également pesé sur les obligations. Les traders parient que la banque centrale britannique ne procédera qu’à deux réductions d’un quart de point cette année; contre plus de trois points au début du mois dernier.

Les mouvements du marché montrent à quel point le gouvernement marche sur une ligne ténue. Alors qu’il tente de garder les investisseurs de son côté et d’abandonner le mini-budget 2022 de l’ancienne Première ministre conservatrice Liz Truss.

D’ailleurs, Mme Reeves avait déjà été prévenue en octobre, lorsque les rendements ont grimpé en réponse à la perspective d’adjudications de dette plus importantes.

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L’inflation persiste à 2,4 % dans la zone euro en décembre

08. Januar 2025 um 10:12

L’inflation dans la zone euro en décembre a suivi les tendances à la hausse prévues par les analystes.

En particulier, les données préliminaires d’Eurostat, publiées le 7 janvier 2025, montrent que l’indice des prix à la consommation (IPC) a atteint un taux annuel de 2,4 %, comme prévu par l’estimation moyenne des analystes, en accélération par rapport aux 2,2 % de novembre.

Dans la comparaison décembre-novembre, l’IPC dans la zone euro a montré une augmentation de 0,4 %. Tandis que lors de la dernière comparaison mensuelle, il avait montré une baisse de 0,3 %.

Au niveau des pressions inflationnistes sous-jacentes, l’IPC dit structurel, qui exclut les prix volatiles de l’énergie et des produits alimentaires, est resté inchangé, comme l’avaient également prédit les économistes.

En particulier, le DKT structurel a enregistré une augmentation au rythme annuel de 2,7 % en décembre ainsi qu’en novembre.

Cependant, l’accélération de l’indice au niveau mensuel a été notable avec +0,5 % dans la comparaison décembre-novembre, après la précédente baisse mensuelle de 0,6%.

Dans les différentes composantes de la mesure, les pressions inflationnistes dans le secteur des services essentiels se sont renforcées, à 4 % sur un an, contre 3,9 % en novembre.

Dans l’alimentation, l’IPC est resté stable à 2,7 % par an; dans la catégorie des produits non énergétiques, les prix ont augmenté à +0,5 % par an, en léger ralentissement par rapport à +0,6 % en novembre, tandis que la grande différence a été enregistrée dans les prix de l’énergie, qui ont même légèrement augmenté de 0,1 % sur un an après -2 % en novembre, pour la première fois depuis juillet.

Dans les mesures pays par pays, le taux d’inflation annuel le plus élevé a été observé en Croatie avec 4,5 %, suivie par la Belgique avec 4,4 % et l’Estonie avec 4,1 %.

En revanche, en Irlande, le PIB s’est élevé à seulement 1 % par an, en Italie à 1,4 % et en Finlande à 1,7 %.

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L’Egypte a accueilli 15,7 millions de touristes en 2024

08. Januar 2025 um 09:15

Le ministre égyptien du Tourisme et des Antiquités, Chérif Fathi, a annoncé, mardi 7 janvier 2025, que son pays a atteint un nombre record de trafic touristique entrant au cours de l’année 2024. Il s’agit de 15,7 millions de touristes en provenance de divers marchés touristiques, malgré les conditions géopolitiques dans la région.

Cité dans un communiqué, Fathi a fait état de la stratégie et les objectifs actuels de son ministère pour développer le secteur du tourisme et des antiquités, qui reposent sur la mise en évidence de la diversité des capacités des composantes et des modèles touristiques et archéologiques en Égypte, ce qui la qualifie comme la première destination touristique dans le monde en termes de diversité touristique.

Par ailleurs, il a assuré qu’une banque sera créée pour préparer une carte d’investissement unifiée dans toutes les opportunités d’investissement touristique disponibles et leur commercialisation à l’intérieur et à l’extérieur de l’Égypte.

Il a souligné les efforts visant à développer tous les produits et modèles touristiques en Égypte, à créer de nouveaux modèles touristiques, à lier certains produits les uns aux autres et à travailler à la mise en œuvre d’un plan de commercialisation intégré pour ces produits.

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Gestern — 07. Januar 2025Haupt-Feeds

Allemagne : l’inflation a atteint 2,9 % en décembre

07. Januar 2025 um 13:09

L’inflation en Allemagne a augmenté plus que prévu en décembre, atteignant 2,9 %. C’est ce qu’il ressort des données préliminaires de l’Office fédéral des statistiques (Statistisches Bundesamt), telles que publiées lundi 6 janvier 2025.

Les analystes interrogés par Reuters tablaient sur une inflation en Allemagne de 2,6 % en décembre. Et ce, après une hausse annuelle des prix à la consommation de 2,4 % en novembre.

Ainsi, l’inflation dite sous-jacente, qui exclut les prix volatiles des produits alimentaires et de l’énergie, a augmenté à 3,1 % contre 3,0 % en novembre.

Dans le secteur de l’énergie, les prix ont chuté de 1,7 % par rapport à l’année précédente. Tandis que les prix des produits alimentaires ont augmenté de 2,0% sur un an en décembre, toujours selon les données de l’Office des statistiques.

Par ailleurs, les analystes de marché accordent une attention particulière à ces chiffres alors que l’Allemagne publie ses données un jour avant celles sur l’inflation de la zone euro. Laquelle devrait atteindre 2,4 % en décembre contre 2,2 % en novembre.

Au final, la Banque centrale européenne (BCE) s’attend à ce que l’inflation tombe à son objectif de 2 % cette année.

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La France vise un déficit de 5 à 5,5 % en 2025

07. Januar 2025 um 12:46

Le ministre français des Finances, Eric Lombard, a déclaré, lundi 6 janvier 2025, que la situation budgétaire de la France était « grave », ajoutant qu’il visait un déficit de l’ordre de 5 à 5,5 % du produit intérieur brut (PIB) en 2025.

M. Lombard a également déclaré à Radio France Inter que le déficit budgétaire serait « probablement » d’environ 6,1 % en 2024.

Le budget 2025 vise désormais 50 milliards d’euros d’économies, a-t-il dit. Tout en rappelant que les chefs d’entreprise français s’inquiètent du fait que la France ne dispose toujours pas d’un budget pour 2025.

En effet, a France espère parvenir à un accord sur le budget le mois prochain, a déclaré plus tôt Amélie de Montchalin, la ministre chargée des Comptes publics. « L’objectif est d’avoir un budget au cours du mois de février, pour que les citoyens français puissent sortir de cette incertitude et de cette impasse… ».

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L’Autriche aura son premier gouvernement d’extrême droite depuis la Seconde Guerre mondiale

07. Januar 2025 um 11:03

Le chef du Parti de la Liberté d’Autriche a reçu, lundi 6 janvier 2025, le mandat de former un nouveau gouvernement. Il serait, s’il se concrétisait, le premier dirigé par l’extrême droite depuis la Seconde Guerre mondiale.

Le Parti de la Liberté, dirigé par Herbert Kickl, a remporté les élections parlementaires autrichiennes de septembre 2024, recueillant 28,8 % des voix. Battant ainsi le Parti populaire autrichien (conservateur) du chancelier sortant, Karl Nehammer, qui est arrivé deuxième.

Mais en octobre, le président Alexander Van der Bellen a donné à Nehammer la première chance de former un nouveau gouvernement après que son parti a déclaré qu’il ne voulait pas former un gouvernement avec le Parti de la liberté de Kickl et que d’autres avaient refusé de collaborer avec le Parti de la Liberté. Ces efforts pour former une alliance gouvernementale sans l’extrême droite ont échoué dans les premiers jours de la nouvelle année et Nehammer a annoncé samedi 4 janvier qu’il démissionne.

Lire aussi : Autriche : le chancelier Karl Nehammer jette l’éponge

L’extrême droite et les conservateurs ont déjà gouverné ensemble, mais à plusieurs reprises avec le FPÖ comme partenaire minoritaire. Plus récemment, ils ont dirigé l’Autriche de 2017 à 2019 dans un gouvernement dans lequel Kickl, un homme de 56 ans au goût prononcé pour la provocation, était ministre de l’Intérieur. Ce gouvernement s’était effondré à la suite d’un scandale entourant le chef du FPÖ à l’époque.

Les négociations de coalition entre l’extrême droite et les conservateurs ne sont pas garanties de réussir, mais il n’y a plus d’autres options réalistes dans le Parlement actuel et les sondages suggèrent qu’une nouvelle élection prochaine pourrait renforcer davantage le Parti de la Liberté.

Dans son programme électoral intitulé « Forteresse Autriche », le Parti de la Liberté appelle à la « réimmigration des étrangers non invités ». De même qu’à la réalisation d’une nation plus « homogène » en contrôlant étroitement les frontières et en suspendant le droit d’asile par une loi d’urgence.

Il réclame également la fin des sanctions contre la Russie, critique vivement l’aide militaire occidentale à l’Ukraine et souhaite se retirer de l’initiative européenne Sky Shield, un projet de défense antimissile lancé par l’Allemagne.

Enfin, M. Kickl a critiqué les « élites » de Bruxelles et a appelé à rapatrier en Autriche certaines compétences de l’Union européenne.

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Démission de Trudeau : Trump appelle le Canada à devenir le 51ème État des USA

07. Januar 2025 um 10:34

Dans la foulée de l’annonce faite lundi 6 janvier 2024 par Justin Trudeau de sa démission en tant que Premier ministre du Canada et chef du Parti libéral, le nouveau président américain, Donald Trump, a réaffirmé que de nombreux Canadiens souhaitent voir leur pays devenir un État américain.

Dans un message publié sur sa plateforme de médias sociaux Truth Social, Trump a écrit : « De nombreuses personnes au Canada ADORENT être le 51ème État ».

« Les États-Unis ne peuvent plus supporter les déficits commerciaux massifs et les subventions dont le Canada a besoin pour rester à flot. Justin Trudeau le savait et a démissionné », a-t-il poursuivi. Tout en ajoutant que si le Canada « fusionnait » avec les États-Unis, « il n’y aurait plus de tarifs douaniers, les taxes diminueraient considérablement et ils seraient TOTALEMENT SÉCURISÉS contre la menace des navires russes et chinois qui les entourent constamment ».

Il s’agit de la dernière d’une série de piques récentes de Trump au sujet de l’adhésion du Canada aux États-Unis. Avant que Trudeau n’annonce sa démission, Trump l’a appelé « gouverneur Trudeau » à plusieurs reprises.

À la mi-décembre 2024, après la démission choc de Chrystia Freeland du cabinet, il a déclaré que l’adhésion du Canada aux États-Unis en tant qu’État permettrait d’économiser sur les impôts et la protection militaire et a qualifié cela d’« excellente idée ».

Les détails de leur discussion sont rares, mais Trump a déclaré qu’il s’agissait d’une « réunion très productive » et Trudeau l’a qualifiée d’« excellente conversation ».

Après leur dîner, Fox News, citant des sources anonymes, a rapporté que Trump avait suggéré à Trudeau que si les tarifs douaniers devaient tuer l’économie canadienne, alors peut-être que le pays devrait devenir le 51ème État.

Le ministre de la Sécurité publique, Dominic LeBlanc, qui était également présent au dîner, a rejeté la suggestion de Trump. Tout en affirmant qu’il ne s’agissait « en aucun cas d’un commentaire sérieux ».

A cet égard, soulignons que Trump a menacé d’imposer des droits de douane massifs sur toutes les marchandises en provenance du Canada lorsqu’il deviendra président ce mois-ci, pour que cela mette fin au flux de migrants et de drogues illégales vers les États-Unis.

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Le Maroc intensifie ses importations de riz pour stabiliser les prix face à la sécheresse

07. Januar 2025 um 09:43

Face à une sécheresse persistante qui a gravement affecté la production agricole locale, le Maroc a décidé d’augmenter ses importations de riz pour répondre à la demande intérieure et freiner la hausse des prix. Cette mesure intervient dans un contexte où les rendements céréaliers, y compris ceux du riz, ont considérablement diminué, exacerbant les tensions sur le marché alimentaire.

Abdelhamid Bahi, président de l’Association des commerçants de produits alimentaires, a expliqué, le 6 janvier, aux médias locaux que les prix du riz ont augmenté de manière significative ces dernières années. Par exemple, le prix du riz importé d’Inde est passé de 60 cents à 95 cents le kilogramme en gros, et se vend désormais à 1,3 dollar au détail. Certaines variétés ont même vu leur prix doubler, atteignant près de 2 dollars le kilogramme pour les consommateurs.

Bahi souligne que la consommation de riz au Maroc, bien que modérée (2,2 kg par habitant), est en hausse, ce qui accroît la pression sur les prix. Pour y remédier, le gouvernement a décidé d’exonérer les droits de douane et la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) pour les importations de riz, une mesure visant à stabiliser les prix et à protéger le pouvoir d’achat des ménages.

La culture du riz au Maroc, qui s’étend habituellement sur une superficie de 8 000 à 9 000 hectares, a été durement touchée par le manque de pluies. La superficie cultivée a chuté de 85 % lors de la dernière saison agricole, entraînant une baisse drastique de la production, passée de 69 000 tonnes à seulement 7 000 tonnes.

En temps normal, la production locale couvre environ 72 % de la demande, le reste étant assuré par des importations en provenance de pays comme l’Inde, la Thaïlande, les États-Unis et l’Europe.

Une stratégie d’importation renforcée

Le ministère de l’Industrie et du Commerce a récemment incité les entreprises à importer 55 000 tonnes de riz supplémentaires, bénéficiant de la suspension des taxes jusqu’à la fin de l’année 2025. Cette initiative vise à garantir un approvisionnement suffisant en riz, alors que les usines locales peinent à répondre à la demande en raison de la baisse de la production.

Les données de l’Office des changes montrent que les importations de riz ont déjà augmenté, passant de 81 400 tonnes sur les onze premiers mois de 2023 à 86 700 tonnes sur la même période en 2024. La facture d’importation a également bondi, atteignant 79 millions de dollars contre 52 millions l’année 2022.

Contexte mondial et défis locaux

La hausse des prix du riz sur le marché mondial, influencée par les conséquences de la pandémie de Covid-19 et les perturbations climatiques, a également impacté le Maroc. En 2023, l’Inde, l’un des principaux exportateurs, a interdit les exportations de certains types de riz, ce qui a encore accru les tensions sur les marchés internationaux.

Outre le riz, le Maroc a également intensifié ses importations d’autres produits de base tels que le blé, l’orge, le sucre, les viandes et l’huile d’olive, afin de compenser les pertes agricoles dues à la sécheresse.

Alors que le Maroc s’efforce de stabiliser son marché intérieur, les défis restent importants. La sécheresse, couplée à la volatilité des prix mondiaux, continue de peser sur l’économie et la sécurité alimentaire du pays. Les mesures prises par le gouvernement, bien que nécessaires, devront être accompagnées de stratégies à long terme pour renforcer la résilience agricole et réduire la dépendance aux importations.

En attendant, les consommateurs marocains espèrent que ces efforts permettront de contenir la flambée des prix et de garantir un accès abordable à des produits de base essentiels comme le riz.

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Musk assimile Soros à un méchant de Star Wars

06. Januar 2025 um 14:36

Le magnat de la technologie, Elon Musk, a réagi à la remise de la Médaille de la Liberté par le président américain Joe Biden au milliardaire libéral, George Soros.

Le magnat américain de la technologie, Elon Musk, a comparé le milliardaire libéral George Soros à l’empereur Palpatine, également connu sous le nom de Dark Sidious, le principal méchant de la série de films Star Wars. Cette remarque fait suite à la décision de Joe Biden de décerner la médaille présidentielle de la liberté au puissant financier.

Ces derniers mois, Musk est devenu un partisan de plus en plus virulent et un proche allié du président élu Donald Trump, qui l’a nommé à la tête du nouveau département de l’Efficacité gouvernementale (DOGE).

Dans un message publié sur X samedi 4 janvier 2025, Elon Musk a posté un collage montrant le président Biden remettant la décoration à l’antihéros de Star Wars, avec la légende suivante : « George Soros a l’air plutôt en forme ici. Ça doit être l’éclairage ».

Commentant la publication d’un autre utilisateur, dans laquelle il comparait le milliardaire de 94 ans à Magneto, le principal méchant de la série de bandes dessinées X-Men de Marvel, le magnat de la technologie sud-africain, qui détient également la nationalité américaine, a déclaré que la décoration de Soros était une « parodie ».

En effet, samedi 4 janvier 2025, le président Biden a nommé dix-neuf récipiendaires de la Médaille présidentielle de la liberté, la plus haute distinction civile américaine, « décernée à des personnes qui ont apporté une contribution exemplaire à la prospérité, aux valeurs ou à la sécurité des États-Unis, à la paix mondiale ou à d’autres initiatives sociétales, publiques ou privées importantes ». Le démocrate a salué ces personnes comme de « bonnes personnes » qui « ont fait de l’Amérique et du monde un endroit meilleur ».

Soros, dont le réseau de propagande et de médias a soutenu des coups d’État et des révolutions dans de nombreux pays, n’a pas assisté à la cérémonie, c’est son fils Alex qui reçu le prix en son nom.

Selon un communiqué publié par la Maison Blanche, « grâce à son réseau de fondations, de partenaires et de projets dans plus de 120 pays, Soros s’est concentré sur des initiatives mondiales qui renforcent la démocratie, les droits de l’Homme, l’éducation et la justice sociale ».

Parmi les personnes distinguées par Biden pour leurs contributions figurait également l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton, qui « a marqué l’histoire à de nombreuses reprises au cours des décennies passées au service public ».

Dans un message publié sur X, Soros a écrit : « En tant qu’immigrant qui a trouvé la liberté et la prospérité en Amérique, je suis profondément ému par cet honneur ».

Le milliardaire a été accusé par les critiques d’avoir joué un rôle dans l’effondrement de la livre sterling en 1992 et dans la crise financière thaïlandaise cinq ans plus tard. Par le biais de son réseau Open Society Foundations, l’homme d’affaires a activement tenté d’influencer les processus politiques dans plusieurs pays du monde. Ses activités ont été interdites dans plusieurs pays, dont la Russie, le Pakistan et les Philippines.

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Le World Gold Council dévoile ses prévisions de prix en 2025

06. Januar 2025 um 12:01

Le chef du département Moyen-Orient et politiques publiques du World Gold Council (Conseil mondial de l’or en français), Andrew Naylor, a déclaré le 5 janvier 2025 que l’année 2024 a été marquée par de nombreux records des prix de l’or. Ajoutant que les performances du premier semestre 2024 ont été dominées par ce qui se passe sur les marchés émergents, spécifiquement en Chine et en Inde.

Andrew Naylor a affirmé, dans une interview, que ces accords ont changé au cours du second semestre de l’année dernière, car les principaux moteurs étaient la demande d’investissement, en particulier de la part des institutions des marchés occidentaux. En septembre, lorsque la Réserve fédérale américaine a abaissé ses taux d’intérêt, elle a créé une mesure de relance supplémentaire pour soutenir l’achat d’or. Parce que c’est une histoire en deux parties.

Il a poursuivi : « La seule chose qui a été constante tout au long de l’année 2024 est que l’intérêt des banques centrales pour l’or n’a pas été aussi bon que l’année 2023, qui a connu une augmentation de l’intérêt des banques centrales », considérant que l’année 2024 a été très bonne, et les banques centrales ont été un moteur majeur de la performance de l’or tout au long de l’année.

Achats des Banques centrales

Concernant les banques centrales qui ont acheté le plus d’or en 2024, Andrew Naylor a indiqué que le tableau était quelque peu mitigé tout au long de 2024. Au cours de la première partie de l’année, les achats étaient menés par la Banque populaire de Chine, et d’autres banques centrales y ont participé; et au troisième trimestre, par exemple, la Pologne, la Hongrie et la Banque de réserve de l’Inde sont toutes acheté de l’or.

Andrew Naylor a expliqué que l’intérêt des banques centrales à acheter de l’or est dû à plusieurs raisons, dont l’une est que l’or est un actif tangible.

Il a poursuivi : « Les tensions géopolitiques sont considérées comme l’un des éléments affectant la demande d’or et poussent les individus ou les institutions à acheter de l’or… Il existe une relation entre les risques géopolitiques et la performance de l’or. Mais ce n’est pas la seule raison d’investir dans l’or.

L’impact de la future administration Trump

Concernant l’impact attendu de l’administration du président élu américain Donald Trump sur les prix de l’or, il a déclaré que la politique de la nouvelle administration devrait être quelque peu inflationniste, en particulier les tarifs douaniers et d’autres mesures, et que l’or est considéré comme un moyen de couverture contre l’inflation. « Par conséquent, lorsque l’inflation est élevée, c’est-à-dire supérieure à 3 % historiquement, l’or augmente d’environ 13 % ».

Le chef du département Moyen-Orient et politiques publiques du Conseil mondial de l’or a ajouté qu’à la suite des résultats des élections américaines de novembre 2024, l’or a en réalité diminué.

Beaucoup de gens s’attendent à ce que la nouvelle administration Trump soit plus favorable aux crypto-monnaies et règle peut-être la controverse réglementaire autour des crypto-monnaies, et cela a eu peu d’impact sur l’or, considérant que cela est injustifié, car l’or et les crypto-monnaies présentent des différences significatives.

Andrew Naylor a expliqué que l’or est un élément tangible. La demande d’or vient de la technologie, des bijoux, des banques centrales et des activités commerciales et individuelles, tandis que l’intérêt pour investir dans le Bitcoin vient principalement de la spéculation, et investir dans les cryptomonnaies n’est pas sans risques.

Réduire les taux d’intérêt

Concernant les attentes de baisse des taux d’intérêt en 2025, il a déclaré que les baisses de taux d’intérêt ont toujours soutenu la demande d’or, principalement parce que les taux d’intérêt sont considérés comme un coût d’opportunité. Historiquement, l’environnement de faibles taux d’intérêt soutient la demande d’or.

Le chef du département Moyen-Orient et politiques publiques du World Gold Council a souligné que les ETF sur l’or représentent une petite composante de la demande d’or, soit environ 3 % de la demande du métal jaune, mais qu’en réalité ils sont considérés comme une part importante de ce que pensent les institutions d’investissement et de ce qui les motive.

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Egypte : contraction du secteur privé non pétrolier en décembre

06. Januar 2025 um 11:21

Standard & Poor’s Global a rapporté, lundi 6 janvier 2025, que les conditions d’exploitation se sont détériorées dans le secteur privé non pétrolier égyptien en décembre, la production et les nouvelles commandes ayant diminué au rythme le plus rapide en huit mois dans un contexte de pressions croissantes sur les coûts.

L’indice des principaux directeurs d’achat de Standard & Poor’s Global pour l’Égypte est tombé à 48,1 points en décembre contre 49,2 points en novembre. Tout en enregistrant une contraction pour le quatrième mois consécutif. Sachant qu’une lecture inférieure à 50 points indique une baisse d’activité.

Cette baisse est due à la faiblesse de la demande des clients et à l’augmentation des pressions inflationnistes, exacerbées par la faiblesse de la livre égyptienne par rapport au dollar.

David Owen, économiste en chef chez Standard & Poor’s Global Market Intelligence, a déclaré : « Les dernières données de l’indice des directeurs d’achat égyptiens ont montré que la reprise attendue du secteur privé non pétrolier ne se fera probablement pas sans contretemps en 2025 ».

Il a ajouté que les entreprises étaient confrontées à une hausse des prix et de la demande. Ce qui a entraîné la baisse des conditions d’exploitation la plus rapide depuis avril dernier.

Les niveaux d’emploi ont diminué pour le deuxième mois consécutif, même si la baisse a été légère. La hausse des charges salariales, liée aux défis liés au coût de la vie, a contribué à la baisse du nombre d’emplois.

Le rythme de l’inflation des coûts des intrants s’est accéléré, sous l’effet de la hausse des prix des matériaux et de l’appréciation du dollar. Malgré cela, les entreprises étaient moins enclines à augmenter leurs prix et ont donc réduit leurs marges bénéficiaires pour maintenir les commandes.

Les sociétés non pétrolières se sont montrées plus optimistes quant à l’activité future, espérant une amélioration des conditions intérieures et géopolitiques en 2025.

Le sous-indice de la production future est passé à 53,8 contre 50,5 en novembre. Toutefois, les inquiétudes concernant les fluctuations des taux de change et l’instabilité des prix pourraient freiner la demande à court terme.

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L’Italie envisage d’augmenter ses importations de gaz algérien

06. Januar 2025 um 09:53

Le journal italien La Stampa rapporte que le gouvernement italien envisage d’augmenter les importations de gaz naturel liquéfié en provenance des États-Unis et d’Algérie, avec la possibilité d’en commander également en Libye.

La même source précise que le gouvernement italien entend intensifier ses achats de gaz naturel liquéfié algérien dans le cadre de contrats spot à court terme, afin de faire face à la pénurie des approvisionnements russes et à ses effets sur les prix.

Dans ce contexte, dixit La Stampa, l’Italie pourrait présenter une demande supplémentaire pour obtenir du gaz naturel liquéfié des États-Unis pour compenser la perte de la part qui arrivait de Russie via l’Ukraine.

Cela fait suite à l’arrêt définitif des livraisons de gaz russe vers l’Europe, ce qui appelle de nouvelles mesures pour sécuriser des sources alternatives.

Le journal cite Davide Tabarelli, président de Nomisma Energia, un institut de recherche indépendant dans le domaine de l’énergie et de l’environnement. Celui-ci estime que l’Italie devra compenser 5 milliards de mètres cubes de gaz en provenance de Russie via l’Ukraine en 2025.

C’est pourquoi l’Italie a élargi ses capacités de stockage et diversifié ses approvisionnements grâce à des contrats avec l’Algérie, les États-Unis, l’Azerbaïdjan et le Qatar.

D’autre part, le ministre italien de l’Environnement, Gilberto Pichetto Fratin, a souligné l’importance d’augmenter la capacité d’importation de gaz naturel liquéfié dans le réseau italien.

Algérie : principal fournisseur de gaz de l’Italie

L’Algérie est le principal fournisseur de gaz de l’Italie depuis le début de la guerre russe contre l’Ukraine, qui a bouleversé l’équilibre des marchés gaziers mondiaux.

A cet égard, le chef de l’Autorité italienne de régulation de l’énergie (ARERA), Stefano Besseghini, avait précédemment confirmé que l’Italie avait importé 25,5 milliards de mètres cubes de gaz algérien en 2023.

M. Besseghini a expliqué que les pays de l’Union européenne ont importé 24 % du gaz d’Algérie. Tandis que 155 milliards de mètres cubes de gaz ont été récupérés par des gazoducs en provenance de la Méditerranée. Soit une baisse de 48 % par rapport aux périodes précédentes.

Il a ajouté que l’augmentation des recettes gazières en provenance de l’Algérie et des pays méditerranéens est due à la diminution des importations en provenance de Russie et de Norvège.

Augmenter les importations de gaz via les navires

En outre, M. Besseghini a souligné que l’Italie a importé environ 20,23 milliards de mètres cubes de gaz en 2023 par voie maritime. Ce qui représente 14,5 % du total du gaz naturel liquéfié importé du Qatar, de l’Algérie et des États-Unis.

Enfin, l’agence de presse italienne Nova a confirmé que le remplacement du gaz russe s’est fait progressivement en augmentant les quantités de gaz arrivant en Italie via des gazoducs en provenance d’autres pays liés à l’Italie, notamment l’Algérie et l’Azerbaïdjan.

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Les ventes de voitures purement électriques pourraient augmenter de 30% en 2025

04. Januar 2025 um 14:13

Les ventes de voitures purement électriques – alimentées par batterie – devraient croître à un rythme soutenu en 2025, après un fort ralentissement en 2024 sur certains marchés majeurs comme l’Europe.

Une étude publiée le 3 janvier 2025 par l’Unité de recherche énergétique, basée à Washington, prévoit que les ventes de véhicules électriques alimentés par batterie augmenteront de 30%, pour atteindre 15,1 millions unités en 2025.

Les ventes de voitures purement électriques ont enregistré 11,6 millions d’unités en 2024, tandis que leurs ventes, outre celles des voitures hybrides, se sont élevées à environ 16,6 millions de voitures, selon les estimations de l’Agence internationale de l’énergie (AIE).

Certaines agences et sociétés de recherche s’appuient sur la séparation des données de vente de voitures électriques à batterie et de voitures hybrides, comme Standard & Poor’s et la société de recherche japonaise Fuji Keizai…

Part des ventes de véhicules purement électriques

Standard & Poor’s s’attend à ce que la part des ventes de véhicules purement électriques atteigne 16,7% des ventes totales de voitures en 2025, contre une part estimée à 13,2% en 2024.

Ces attentes surviennent malgré le fait que certains constructeurs automobiles ont abandonné leurs projets de modèles électriques au profit de modèles hybrides dont la demande a augmenté en raison de la faible confiance des consommateurs et des inquiétudes croissantes concernant le manque d’infrastructures de recharge.

En termes de régions, l’Inde devrait connaître une énorme augmentation des ventes de véhicules purement électriques de 117%, doublant sa part pour atteindre 7,5% des ventes totales de voitures en 2025.

Les ventes de voitures purement électriques aux États-Unis devraient croître de 36%, occupant une part de marché pouvant atteindre 11,2% des ventes totales en 2025.

On s’attend également à ce que les ventes de voitures à batterie en Chine augmentent de 20% sur une base annuelle, portant leur part à 29,7% des ventes totales de voitures en 2025.

Les analystes de Standard & Poor’s s’attendent à ce que les ventes de voitures électriques dépassent celles des véhicules à essence et diesel en Chine pour la première fois en 2025.

Ventes de VE en Europe

Les ventes de véhicules électriques (VE) en Europe sont confrontées à un ralentissement notable depuis 2024, avec une forte baisse sur certains marchés majeurs comme l’Allemagne dont les ventes sont restées faibles tout au long de l’année et ont chuté de 61% en août 2024.

Ce ralentissement est expliqué par plusieurs raisons, notamment le fait que plusieurs constructeurs ont reporté le lancement de nouveaux modèles électriques de 2024 à 2025, pour pouvoir respecter les objectifs d’émissions plus stricts entrés en vigueur à partir de janvier 2025.

Sur cette base, les ventes de véhicules électriques à batterie en Europe devraient augmenter de 43% en 2025, occupant une part de marché pouvant atteindre 20,4% des ventes totales.

Si le ralentissement des ventes allemandes se poursuit en raison de l’annulation des programmes de soutien, on s’attend à ce que d’autres marchés d’Europe occidentale et centrale le compensent, estime le rapport.

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Turquie : inflation annuelle à 44,4% en décembre

04. Januar 2025 um 12:02

L’inflation turque a ralenti plus que prévu en décembre 2024, ce qui pourrait permettre à la Banque centrale turque de réduire à nouveau plus facilement ses taux d’intérêt.

En particulier, l’indice annuel a augmenté de 44,4% en décembre contre 47,1% en novembre, a annoncé vendredi 3 janvier 2025 l’Office statistique de Turquie. L’estimation moyenne des analystes interrogés par Bloomberg situe l’inflation annuelle à 45,2%.

Sur une base mensuelle, l’inflation s’est établie à 1,03% contre 2,24% en novembre. Il s’agit du chiffre le plus bas depuis mai 2023…

Les derniers chiffres font suite à la décision de la Banque centrale turque, le 26 décembre, de réduire les taux d’intérêt. Il s’agit de la première baisse depuis près de deux ans. La banque a réduit son taux de pension à une semaine de 250 points de base, tout en signalant qu’elle resterait prudente quant à ses prochaines actions.

Le gouverneur de la Banque centrale, Fatih Karahan, s’attend à ce que l’inflation tombe à 21% fin 2025, tandis que le gouvernement turc prévoit un ralentissement encore plus important, à 17,5% d’ici la fin de l’année.

Peu de temps après l’annonce des données, le ministre des Finances de la Turquie, Mehmet Simsek, a exprimé dans un article sur X son optimisme quant au fait que l’inflation atteindra l’objectif du gouvernement en 2025, guidée par les politiques budgétaires les plus strictes, la baisse de l’inflation dans les services et l’amélioration des attentes du marché.

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L’euro tombe à son plus bas niveau depuis deux ans face au dollar

04. Januar 2025 um 10:32

L’euro a atteint son plus bas niveau face au dollar américain depuis plus de deux ans, atteignant 1,03 EUR/USD. Cette chute intervient dans un contexte de stagnation économique persistante en Allemagne et de crise énergétique à l’échelle de l’UE.

L’euro a chuté de 0,4% face au billet vert jeudi 2 janvier 2025, atteignant 1,032 à la mi-journée en Europe. La monnaie européenne n’a pas été aussi basse face au dollar depuis novembre 2022, lorsque la majeure partie de l’UE se préparait à des pénuries de gaz hivernales après l’embargo imposé par le bloc sur les combustibles fossiles russes.

L’économie allemande subit encore les effets de cet embargo. Elle s’est contractée en 2023 et 2024, alors que la Banque centrale du pays prévoit une croissance modeste de 0,2% cette année. Autrefois puissance industrielle de l’Europe, l’Allemagne est confrontée à une flambée des coûts de l’énergie depuis qu’elle s’est coupée du pétrole et du gaz russes. Les principaux constructeurs allemands, comme Volkswagen et Bosch, ont annoncé des réductions de leurs dépenses en 2024.

L’instabilité économique et politique frappe la zone euro

L’instabilité politique a également exacerbé les difficultés de l’euro, avec l’effondrement des gouvernements allemand et français à la fin de l’année 2024, et l’ensemble de l’UE se préparant aux tarifs douaniers promis par le président américain élu, Donald Trump.

La Banque centrale européenne a réduit ses taux d’intérêt à quatre reprises l’année dernière et devrait annoncer de nouvelles baisses en 2025.

Selon Bloomberg, cette combinaison de facteurs a conduit les analystes à penser que l’euro pourrait glisser vers la parité avec le dollar cette année. La dernière fois que l’euro s’est négocié en dessous de la parité avec le dollar remonte au début de 2022, peu après l’agression de l’Ukraine par la Russie.

Cette chute est survenue un jour après que la Grande-Bretagne a enregistré sa plus forte baisse de la production manufacturière en 11 mois, et moins de deux semaines après qu’une nouvelle prévision du gouvernement a estimé la croissance à 0% pour le dernier trimestre de 2024.

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La Slovaquie promet des représailles après le « sabotage » du gaz par Kiev

04. Januar 2025 um 10:10

La Slovaquie envisage de couper l’électricité à l’Ukraine et de limiter l’aide aux réfugiés pour compenser les pertes dues à l’interruption du transit du gaz russe.

La Slovaquie prépare des mesures de rétorsion contre l’Ukraine pour avoir interrompu le transit du gaz russe via son territoire vers les pays de l’UE le 1er janvier 2025, selon le Premier ministre Robert Fico, qui a dénoncé, le 3 janvier 2025, cette décision comme un acte de « sabotage » du dirigeant ukrainien Vladimir Zelensky.

Kiev a refusé de prolonger le contrat avec le groupe russe Gazprom au-delà de fin 2024, coupant ainsi de fait l’approvisionnement en gaz naturel des États membres de l’UE comme l’Autriche, la Hongrie et la Slovaquie.

La situation est « extrêmement grave et mérite une réponse souveraine de la part de la Slovaquie », a déclaré M. Fico dans un message vidéo sur Facebook. Il a fait valoir que l’arrêt du gaz entraînerait des pertes annuelles pour la Slovaquie de plusieurs centaines de millions d’euros. Trouver un remplaçant au gaz russe cette année seulement pourrait entraîner des coûts supplémentaires d’au moins 90 millions d’euros, selon l’importateur public de gaz slovaque, SPP.

« La seule alternative pour une Slovaquie souveraine est la reprise du transit ou l’exigence de mécanismes de compensation qui remplaceront la perte pour les finances publiques de près de 500 millions d’euros », a déclaré le Premier ministre.

« Je déclare que [le parti SMER-SSD] est prêt à débattre et à se mettre d’accord au sein de la coalition sur l’arrêt de l’approvisionnement en électricité et sur la réduction significative du soutien aux citoyens ukrainiens en Slovaquie », a-t-il ajouté. Environ 140 000 réfugiés ukrainiens bénéficient de divers programmes d’aide. Le pays a également exporté 2,4 millions de mégawattheures d’électricité vers l’Ukraine au cours des 11 premiers mois de 2024, selon les données de l’opérateur de réseau slovaque.

Fico a souligné que seuls les États-Unis, qui ont augmenté leurs exportations de gaz vers l’Europe, bénéficient de l’acte de « sabotage » de Zelensky, tandis que la Russie ne subit aucun préjudice significatif et que la Slovaquie subit des coûts énergétiques plus élevés.

Zelensky avait auparavant accusé Fico de s’aligner sur Moscou, décrivant la position du gouvernement slovaque comme l’ouverture d’un « deuxième front énergétique » contre l’Ukraine. Le ministère slovaque des Affaires étrangères a rejeté ces propos, les qualifiant d’« absurdités » sans fondement.

La Commission européenne a tenté de minimiser l’impact de l’expiration de l’accord gazier, affirmant que les infrastructures gazières de l’UE étaient suffisamment flexibles pour accueillir des approvisionnements en gaz non russe par des voies alternatives. Malgré ces assurances, l’arrêt soudain a entraîné une flambée des prix de l’énergie en Europe, atteignant 50 euros par mégawattheure pour la première fois depuis plus d’un an.

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