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Heute — 20. Oktober 2025Haupt-Feeds

La Russie occupe la première place en Europe pour la cryptographie

20. Oktober 2025 um 17:49

Le pays a enregistré plus de 370 milliards de dollars de transactions cryptographiques au cours de l’année écoulée, surpassant le Royaume-Uni et l’Allemagne.

La Russie a dépassé ses pairs pour devenir le plus grand marché de crypto-monnaie d’Europe en termes de volume de transactions. C’est ce qu’il ressort des données de la société d’analyse de blockchain Chainalysis, publiées samedi 18 octobre.

Dans son rapport, l’entreprise indique qu’entre juillet 2024 et juin 2025, la Russie a reçu 376 milliards de dollars en cryptomonnaies. Et ce, contre 256,5 milliards de dollars un an plus tôt. Dépassant ainsi les 273 milliards de dollars du Royaume-Uni. Ces deux pays sont considérés comme les principaux marchés cryptographiques d’Europe. L’Allemagne suit avec 219 milliards de dollars, l’Ukraine avec 206,3 milliards de dollars et la France avec 180,1 milliards de dollars.

Ainsi, Chainalysis attribue l’essor de la Russie à une forte augmentation des transferts institutionnels et à l’adoption rapide de la DeFi (un terme générique qui désigne les services financiers de pair à pair « P2P » sur les blockchains publiques, principalement l’Ethereum). Les transactions supérieures à 10 millions de dollars ont bondi de 86 % sur un an. Soit près du double de la croissance européenne de 44 %. Tandis que l’activité de détail a également dépassé la moyenne régionale.

Le stablecoin russe A7A5, libellé en roubles, a contribué à améliorer le classement du pays, devenant un « véhicule essentiel pour les paiements transfrontaliers ». Lancé en février, il est devenu le mois dernier le premier en Russie à être qualifié d’actif financier numérique (DFA). Ce qui confère aux importateurs et exportateurs le droit légal de l’utiliser pour les règlements internationaux.

La Russie a adopté une position prudente, mais évolutive, concernant les cryptomonnaies. Les actifs numériques ne sont pas reconnus comme monnaie légale. Et la loi sur les actifs financiers numériques interdit leur utilisation sur le territoire national, tout en les classant comme biens imposables. Cependant, les cryptomonnaies sont autorisées pour les transactions transfrontalières. Et la Banque centrale a créé un cadre expérimental permettant aux investisseurs qualifiés d’échanger des actifs numériques.

Le président Vladimir Poutine a qualifié la réglementation des cryptomonnaies de « domaine prometteur ». Tout en appelant à la création de cadres juridiques et technologiques pour son utilisation nationale et transfrontalière.

La Banque centrale reste toutefois prudente. Lors du forum Finopolis organisé plus tôt ce mois-ci, le premier vice-gouverneur Vladimir Chistyukhin a déclaré qu’une nouvelle législation réglementant les investissements en cryptomonnaies était attendue pour 2026, instaurant des sanctions administratives et pénales en cas de circulation illégale. Il a ajouté que les investissements devraient être limités aux investisseurs qualifiés et que les intermédiaires devraient être agréés.

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Une page d’histoire : Qui était Richard Wood, consul britannique en Tunisie ?

03. Oktober 2025 um 10:43

M’étant retrouvé devant un portrait de Sir Richard Wood – une peinture à l’huile réalisée en 1877 par un artiste dont seules les initiales L.M sont connues -, je me suis souvenu que cet homme qui fut un consul général britannique à Tunis, était aussi le premier à avoir habité l’actuelle résidence des ambassadeurs du Royaume-Uni en Tunisie.

Ce tableau a longtemps accompagné Richard Wood. Réalisé deux ans avant son départ de Tunis, il le suivit à Nice puis à Livourne où il a vécu après sa retraite. À sa mort en 1900 à Bagni di Lucca en Toscane, ses héritiers se transmirent ce portrait et finirent en 1957, par l’offrir aux ambassadeurs britanniques à Tunis pour que le tableau retrouve son berceau et peut-être son emplacement original dans la salle à manger du palais Ben Ayed à la Marsa.

Aujourd’hui, près d’un siècle et demi après, l’œuvre est toujours sur les murs ornés de céramiques de la résidence. Mystérieux et profond, le regard de Richard Wood est toujours bien présent, nimbé d’un halo de lumière et semblant réfléchir au temps imperturbable et rêver aux nombreux étés à La Goulette qu’il passa en famille après sa retraite.

[Né en 1806, décédé en 1900, Richard Wood était un diplomate britannique qui après des missions à Istanbul et Damas fut consul à Tunis de 1855 à 1879.

La carrière de Wood s’étendit sur plus de quarante ans alors que l’ Empire ottoman était en déclin et que les Britanniques gagnaient en puissance au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.

Parlant couramment le turc, le français, le grec et l’italien, Wood quitta la Syrie où il se trouvait en mission, pour occuper le poste de consul britannique à Tunis . Il resta consul général dans la Régence de Tunis jusqu’en 1879.

Peu après son arrivée, Wood persuada le bey de lui accorder comme résidence une maison inachevée à La Marsa , près de Carthage, abandonnée par le trésorier Mahmoud Ben Ayed en fuite, et de financer son achèvement selon ses plans. Connue sous le nom de Bordj Ben Ayed, cette demeure se dresse sur un terrain d’environ six hectares et constitue toujours la résidence des ambassadeurs britanniques en Tunisie].

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Commerce : Des progrès importants avec le Royaume-Uni

02. Oktober 2025 um 10:15

Les importations du Royaume-Uni en provenance de Tunisie ont atteint selon des chiffres actualisés en mai 2025, le montant de 489 millions de livres sterling (environ 1,9 milliard de dinars). Quant aux exportations britanniques vers la Tunisie, elles sont de 264 millions de livres sterling (environ 1 milliard de dinars).

Ces chiffres qui gagnent en volume soulignent les progrès des échanges bilatéraux entre les deux pays. Ces échanges sont encadrés depuis 2011 par un accord d’association Tunisie-Royaume-Uni et ont atteint 753 millions de livres sterling (2952 millions de dinars), témoignant de l’importance des liens économiques entre nos deux pays.

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Liaisons aériennes : Pour booster le tourisme, 8 vols chaque jour entre la Tunisie et le Royaume-Uni

30. September 2025 um 09:09

Le tourisme britannique en Tunisie reprend des couleurs et continue à progresser. Ainsi, plus de 400.000 visiteurs britanniques ont séjourné en Tunisie durant les premiers trimestres de 2025. Ces chiffres représentent une progression de 60% par rapport à l’année précédente.

À l’heure actuelle, plus de 60 vols par semaine desservent les aéroports d’Enfidha et de Djerba avec 56 rotations pour Enfidha et 4 autres à Djerba.

Ces chiffres représentent une moyenne de 8 vols par jour en provenance du Royaume-Uni.

Cette amélioration de la connectivité aérienne conjuguées à plusieurs campagnes promotionnelles ciblées constituent de nouveaux atouts pour la progression et la diversification du tourisme britannique en Tunisie.

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Royaume-Uni, Canada et Australie reconnaissent officiellement l’État de Palestine

21. September 2025 um 15:31

Londres, Ottawa et Canberra ont annoncé ce dimanche 21 septembre leur reconnaissance officielle de l’État de Palestine. Ce geste coordonné marque un tournant historique pour trois alliés traditionnels d’Israël, dans un contexte de crise humanitaire persistante à Gaza et d’impasse dans le processus de paix.

Le Premier ministre britannique Keir Starmer a déclaré que « le moment est venu » de reconnaître l’État palestinien, estimant que cette décision constitue une étape nécessaire pour sauver la perspective d’une solution à deux États. En Australie, le Premier ministre Anthony Albanese, accompagné de la ministre des Affaires étrangères Penny Wong, a confirmé cette reconnaissance, en soulignant le droit légitime du peuple palestinien à un État indépendant et souverain. Le Canada, par la voix du Premier ministre Mark Carney, a affirmé que cette décision s’inscrivait dans la volonté de bâtir un avenir de paix durable pour Israéliens et Palestiniens.

Les trois gouvernements précisent toutefois que cette reconnaissance ne saurait bénéficier aux groupes armés et qu’elle doit s’accompagner de réformes démocratiques au sein de l’Autorité palestinienne. Ils insistent sur la nécessité d’une gouvernance responsable, tout en réaffirmant leur attachement à la sécurité d’Israël.

Cette annonce survient alors que les violences se poursuivent à Gaza et que la situation humanitaire se dégrade, mettant en péril toute perspective de règlement pacifique. Pour Londres, Ottawa et Canberra, il s’agit d’un signal fort adressé à la communauté internationale avant l’Assemblée générale des Nations unies, afin de rappeler que la coexistence de deux États demeure la seule voie crédible vers la paix.

Les réactions n’ont pas tardé : Israël a dénoncé une décision « prématurée », tandis que des voix critiques aux États-Unis estiment qu’elle pourrait fragiliser les négociations en cours. Dans les trois pays concernés, le débat politique s’annonce animé, certains partis jugeant qu’une telle reconnaissance aurait dû être conditionnée à un accord définitif.

Malgré ses limites pratiques, cette reconnaissance constitue un geste diplomatique de portée symbolique majeure. Elle pourrait inciter d’autres pays à suivre le même chemin et replacer la question palestinienne au centre des discussions internationales. Pour beaucoup, le 21 septembre 2025 restera une date clé dans l’histoire de la lutte palestinienne pour la souveraineté.

Lire aussi : Conférence de New York : Dix pays, dont la France, prêts à reconnaître l’État de Palestine

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« Créez votre État palestinien à Paris ou Londres » : La tirade choc du président de la Knesset à l’ONU

Lors d’un discours à Genève, Amir Ohana a vivement attaqué les pays européens favorables à la création d’un État palestinien, allant jusqu’à leur suggérer de « l’installer chez eux ».

Prenant la parole à la conférence internationale des présidents de parlements, organisée au siège de l’ONU à Genève, le président de la Knesset, Amir Ohana, a tenu des propos polémiques visant les pays européens ayant annoncé leur intention de reconnaître un État palestinien.

« Installez un Etat palestinien en Europe »

Il a assimilé cette reconnaissance à une « récompense pour le Hamas », accusant ces États de contribuer à l’instabilité et à l’effusion de sang.

Dans un ton sarcastique, il a déclaré : « Si vous voulez créer ce que vous appelez un État palestinien, installez-le à Londres, à Paris, dans vos pays, qui ressemblent de plus en plus au Moyen-Orient. »

Les propos d’Amir Ohana ont suscité l’indignation : les délégations de l’Iran, de la Palestine et du Yémen ont quitté la salle en signe de protestation avant même le début de son intervention.

La France, le Royaume-Uni et le Canada visés

Plusieurs pays occidentaux, dont la France, le Royaume-Uni et le Canada, ont récemment annoncé leur intention de reconnaître officiellement un État palestinien lors de la prochaine Assemblée générale des Nations unies, prévue en septembre 2025.

Ces annonces s’inscrivent dans un mouvement diplomatique croissant en faveur de la solution à deux États.

🚨⚡رئيس الكنيست الإسرائيلي أوحانا من على منصة الأمم المتحدة. يقول: "إذا أردتم دولة فلسطينية، فأقيموها في لندن وباريس"#ديوان #إسرائيل #فلسطين pic.twitter.com/JWGKdKqr7N

— ديوان (@DiwanDaily) July 30, 2025

Lire aussi :

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Londres brandit la reconnaissance de l’État palestinien comme ultimatum à Israël

Le Royaume-Uni reconnaîtra la Palestine en septembre, sauf si l’entité sioniste prend des mesures concrètes pour mettre fin à la crise à Gaza et s’engage sur la voie d’une solution à deux États, a averti mardi le Premier ministre Keir Starmer.

Une décision conditionnée par la fin du carnage à Gaza

Le Premier ministre britannique Keir Starmer a annoncé mardi à son gouvernement que le Royaume-Uni reconnaîtra l’État de Palestine en septembre 2025, à moins que l’entité sioniste ne remplisse une série de conditions politiques et humanitaires.

Parmi les exigences : mettre fin à la situation « épouvantable » dans la bande de Gaza, parvenir à un cessez-le-feu, s’engager formellement à ne pas annexer la Cisjordanie, et rejoindre un processus de paix crédible en vue d’une solution à deux États.

L’annonce a été faite lors d’un Conseil ministériel exceptionnellement convoqué en pleine pause estivale, signe de l’urgence que Starmer attache au dossier palestinien.

Relancer un processus de paix

Downing Street précise que cette position s’inscrit dans une initiative diplomatique conjointe avec d’autres capitales européennes. Elle vise à relancer un processus de paix moribond et à accroître l’acheminement d’aide humanitaire à Gaza, où la crise s’aggrave de jour en jour.

La reconnaissance de l’État palestinien interviendrait avant l’Assemblée générale des Nations unies de septembre, ce qui en ferait un signal politique fort sur la scène internationale, d’autant que plusieurs autres pays européens envisagent une démarche similaire.

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