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La reconnaissance de l’État de Palestine | Un pas vers la solution à deux États

04. August 2025 um 08:20

Le système international connaît des transformations rapides dans son approche du conflit israélo‑palestinien, notamment après des déclarations successives appelant à la reconnaissance de l’État de Palestine – la plus récente étant celle de la France annonçant son intention de franchir ce pas historique.

Colonel Mohsen Ben Aissa *

Cette orientation répond à l’impasse des négociations, à l’expansion croissante des colonies israéliennes et à la détérioration des conditions humanitaires dans les territoires occupés. Elle remet de nouveau en avant la solution à deux États comme seule voie réaliste pour parvenir à la paix.

Cette évolution ne constitue pas un simple geste diplomatique : elle reflète une reconfiguration des rapports de force, avec la montée en puissance du rôle européen au Moyen‑Orient, le recul relatif de l’hégémonie américaine traditionnelle et l’intérêt d’une Europe soucieuse de stabilité en Méditerranée.

I. Cadre juridique et politique

La reconnaissance de l’État de Palestine par la communauté internationale s’appuie sur les critères établis par la Convention de Montevideo (1933) :

  • Une population permanente, incarnée par la présence historique du peuple palestinien, y compris les réfugiés protégés par la résolution 194 ;
  • Un territoire défini, englobant la Cisjordanie, la bande de Gaza et Jérusalem‑Est selon les frontières de 1967, reconnues par la résolution 242 ;
  • Un gouvernement effectif, à travers l’Autorité palestinienne qui exerce un pouvoir administratif, judiciaire et institutionnel en dépit des défis liés à l’occupation et à la division interne ;
  • La capacité à entretenir des relations internationales, attestée par la participation de la Palestine à plus de 100 organisations internationales (dont l’Unesco) et son statut d’«État observateur non-membre» auprès de l’Onu depuis 2012. Le débat israélien sur cette capacité représente, selon l’analyse, de la «mauvaise foi», dans la mesure où la Palestine est déjà partie à de nombreuses instances et cultive des relations bilatérales avec des États du monde entier.

La légitimité juridique de la reconnaissance est renforcée par plusieurs résolutions onusiennes successives confirmant les droits des Palestiniens :

  • La résolution 181 (1947), qui est le premier acte de reconnaissance internationale du droit des Palestiniens à disposer d’un État sur environ 44 % de la Palestine historique ;
  • La résolution 242 (1967), imposant à Israël de se retirer des territoires occupés ;
  • L’avis consultatif de la Cour internationale de justice (2004), condamnant le mur de séparation israélien sur le territoire palestinien, le qualifiant de violation du droit international.

A cette date, plus de 147 États à travers le monde reconnaissent officiellement l’État de Palestine, notamment dans les régions d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine. Parmi les pays européens les plus récemment concernés : l’Espagne, l’Irlande et la Norvège (mai 2024), et bientôt la France (prévue en septembre 2025). Ces initiatives sont porteuses d’espoir pour encourager une position européenne unifiée.

À l’opposé, bien que l’ensemble des États arabes et musulmans reconnaisse la Palestine, certains alliés traditionnels d’Israël comme les États-Unis, le Royaume‑Uni, l’Allemagne ou l’Australie restent hésitants ou opposés à une reconnaissance formelle, malgré leur soutien verbal apparent à la solution à deux États. Il existe une opportunité de tracer un horizon nouveau vers une paix fondée sur le droit international plutôt que sur la force.

II. Dimensions politiques et diplomatiques

La reconnaissance constitue indéniablement un outil d’équilibrage dans un contexte de supériorité israélienne diplomatique et territoriale. Elle modifie la donne et remet en cause l’hégémonie américaine en tentant de réveiller un pôle diplomatique européen parallèle :

  • Elle confère à la Palestine une posture de droit international crédible, contrecarrant l’argument de «l’ennemi non représenté», utilisé pour entraver les négociations, malgré le fait que l’OLP est le représentant palestinien légitime depuis 1974 ;
  • Ce n’est pas un acte unilatéral contre-productif, mais une base légale pour des négociations équitables, égalisant les deux parties, surtout après la reconnaissance historique faite par l’OLP d’Israël en 1993.

La reconnaissance devient ainsi une nécessité pour corriger l’échec des négociations traditionnelles qui souffrent d’un déséquilibre flagrant des forces. Les négociations de Madrid (1991) n’ont offert aucune garantie sérieuse aux Palestiniens ; Oslo (1993) a introduit une reconnaissance réciproque, mais sans garantir la création d’un État palestinien; Annapolis (2007) a échoué par manque de mécanismes contraignants et de pression internationale. En trente ans, aucune avancée concrète n’a permis l’établissement d’un État, et la colonisation a progressé – le nombre de colons est passé de 100 000 à 700 000 depuis 1993.

Assujettir la reconnaissance à des négociations préalables revient à entraver les droits palestiniens sous une façade diplomatique. Reconnaître l’existence de la Palestine est une condition préalable à toute négociation équitable. Demander d’abord de négocier est comme exiger qu’un prisonnier négocie la légitimité de sa propre liberté avec son geôlier. Ceci va à l’encontre du droit international : la reconnaissance des États ne nécessite pas l’accord des États voisins (comme en témoigne le cas du Kosovo en 2008, malgré l’opposition de la Serbie).

Je ne souscris pas à un pessimisme affirmant que la reconnaissance restera lettre morte : au contraire, je la vois comme un levier de pression international capable de contraindre l’isolement grandissant d’Israël et sa crainte de poursuites judiciaires, pour l’amener à des négociations sérieuses. Il est urgent de décrédibiliser les justifications de la colonisation et de contenir la politique expansionniste israélienne. Le monde a besoin d’une diplomatie nouvelle, fondée sur des valeurs éthiques et promotrice d’une culture de la négociation positive, intra- et interculturelle, reposant sur des principes humains universels, indispensables pour réguler les relations humaines et instaurer un dialogue interreligieux véritable, vecteur de paix justice.

III. Implications géopolitiques et stratégiques

La conséquence la plus importante du repositionnement géopolitique est la transformation de la reconnaissance de l’État de Palestine non comme simple geste symbolique, mais comme un levier politique et moral :

  • Elle consolide la légitimité de la direction palestinienne, transformant l’Autorité de statut d’autonomie en État de fait disposant d’outils juridiques pour traduire Israël devant les tribunaux internationaux ;
  • Elle réoriente les dynamiques populaires vers des voies politiques légitimes et légales, contribuant à protéger la société palestinienne contre la dérive vers la radicalisation ou la violence désespérée.

L’impact de la reconnaissance va au‑delà du juridique et du politique : il engage la stabilité sécuritaire régionale et internationale. En effet, l’impasse politique persistante sans perspective réelle favorise :

  • Un sentiment collectif de frustration, particulièrement chez les jeunes générations, qui perçoivent l’absence de justice comme un abandon international ;
  • L’exploitationde ce désespoir par les groupes extrémistes, locaux ou transnationaux, en les instrumentalisant pour recruter, radicaliser et légitimer la violence ;
  • L’aggravationdes menaces sécuritaires, non seulement dans les territoires palestiniens, mais aussi dans des pays voisins (Jordanie, Liban, Égypte) et même en Europe, où la cause palestinienne peut alimenter des tensions sociales et des formes de violence importée.

De ce point de vue, la reconnaissance de l’État de Palestine n’est pas seulement un impératif légal et moral, mais une mesure préventive et proactive pour préserver la sécurité collective : elle chasse les prétextes des extrémistes en ravivant l’espoir d’une solution politique pacifique.

Conclusion et perspectives

Le changement de posture des pays européens traduit une prise de conscience croissante : la “neutralité passive” n’est plus acceptable et la reconnaissance de l’État de Palestine est non un obstacle à la paix, mais un prérequis à sa réalisation. Si cette dynamique perdure, accompagnée d’actions concrètes pour appuyer la construction de l’État palestinien et tenir Israël responsable de ses pratiques, nous pourrions observer un tournant historique dans le conflit.

Un tel tournant ouvrirait la voie à une solution juste, intégrale, fondée sur le droit international et les résolutions de l’Onu, offrant aux peuples de la région l’opportunité tant attendue de vivre dans la sécurité et la paix.

* Officier de la Garde nationale à la retraite.

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Gestern — 03. August 2025Haupt-Feeds

Football : la Supercoupe de Tunisie pour l’EST qui réalise un triplé historique

03. August 2025 um 19:20

L’Espérance Sportive de Tunis (EST) a remporté, dimanche 3 août 2025, la Supercoupe de Tunisie de football pour la saison 2024-2025 en s’imposant face au Stade Tunisien (1-0), au stade Hammadi Agrebi de Radès. Un penalty transformé par l’Algérien Youcef Belaïli à la 39e minute a suffi aux « Sang et Or » pour sceller le sort de cette finale.

Avec ce huitième sacre dans la compétition (après 1960, 1993, 2001, 2019, 2020, 2021 et 2024), l’Espérance boucle un triplé mémorable cette saison, après avoir déjà remporté le championnat et la Coupe de Tunisie. Ce succès confirme également la domination des hommes de Maher Kanzari sur le Stade Tunisien, battu pour la troisième fois en finale cette année, après la Supercoupe 2023-2024 en février (2-0) et la Coupe de Tunisie en juin dernier (1-0).

Disputée à une semaine du coup d’envoi de la Ligue 1, cette Supercoupe a permis aux deux formations de faire valoir leur potentiel technique. Les titulaires confirmés comme les nouvelles recrues ont montré de belles choses, malgré une efficacité offensive parfois absente.

L’Espérance s’est procurée la première vraie occasion du match à la 12e minute : Achraf Jabri a servi une passe en or à l’Ivoirien Abdulramane Konaté, dont la frappe a frôlé le poteau. En face, les Stadistes ont répliqué avec une belle incursion de Khalil Ayari sur le flanc droit, puis une occasion franche de Youssef Touré, qui a tiré au-dessus alors qu’il était idéalement placé.

Le tournant est survenu à la 37e minute, lorsque le gardien stadiste Noureddine Farhati a raté une relance, permettant à Youcef Belaïli d’intercepter le ballon et de tirer au but. Le ballon a été dégagé in extremis par Adem Arous, mais l’arbitre Houssem Boularès a estimé qu’il y avait main dans la surface. Malgré la protestation des joueurs du Bardo, le penalty a été confirmé et transformé avec sang-froid par Belaïli (39e).

Mené au score, le Stade Tunisien est revenu des vestiaires avec plus d’audace offensive, tentant de mettre en difficulté la défense bien organisée de l’Espérance. A la 66e minute, les Stadistes ont réclamé un penalty après un contact litigieux entre Amine Jaouadi et Haïthem Dhaou, mais l’arbitre a laissé jouer.

L’Espérance, de son côté, a géré prudemment son avance, procédant par contres rapides. Maher Kanzari a effectué deux changements à la 70e minute : Jabri a cédé sa place à Aboubacar Diakité, et Konaté a été remplacé par Houssem Tka. Des remplacements qui ont failli porter leurs fruits.

A la 80e minute, Belaïli a offert une passe millimétrée à Tka, qui a buté sur Farhati. Trois minutes plus tard, Ben Hamida a centré parfaitement pour Diakité au second poteau, mais ce dernier a manqué sa tête devant les cages vides (83e). Enfin, à la 85e, Belaïli a failli doubler la mise sur coup franc, mais sa frappe est passée juste à côté du poteau.

Les dernières minutes n’ont rien changé au score. L’Espérance a su gérer la pression et contenir les offensives stadistes, décrochant ainsi un nouveau trophée qui lui permet de démarrer la saison 2025-2026 sous les meilleurs auspices.

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Dernière ligne droite pour l’absorption de Techniplast par OTH

01. August 2025 um 20:33

Le processus de rachat par OTH (OneTech Holding ) de la totalité des parts détenues par Tavernier Benoit et Industrie (TBI) dans le capital de Techniplast touche à sa fin. C’est en tout cas ce qu’indique notre confrère Managers, qui rappelle que « l’accord conclu prévoit l’acquisition progressive des 20 % détenus par TBI dans le capital de Techniplast, spécialiste de l’injection plastique ».

Explication : OTH a déjà repris 7,3 % du capital correspondant à 36,5 % de la participation de TBI dans le capital de Techniplast, et s’engage à finaliser le rachat des 12,7% restants d’ici fin décembre 2025, conformément au protocole d’accord signé entre les deux sociétés, ajoute la même source.

Au final, l’opération va permettre à OTH de consolider sa position majoritaire, qui s’élève actuellement à 80%, dans Techniplast.

« Ce rachat total s’inscrit dans la stratégie d’OTH visant à renforcer son contrôle opérationnel et stratégique sur Techniplast, dont la croissance commerciale dynamique et la contribution à la chaîne de valeur du groupe sont particulièrement importantes », selon Managers.

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ECLAIRAGE – L’alliance Maroc-France face au prisme africain

31. Juli 2025 um 06:02

Dans un contexte de recomposition accélérée des alliances internationales sur le continent africain, l’alliance entre le Maroc et la France suscite des perceptions contrastées au sein des pays africains. Ce tandem, historiquement enraciné dans une relation postcoloniale à multiples facettes, est aujourd’hui réinterprété à l’aune de nouvelles dynamiques régionales, d’une montée des souverainismes africains et d’un recul relatif de l’influence française au sud du Sahara.

 

Le partenariat entre Rabat et Paris repose sur des bases anciennes : une forte coopération économique, des intérêts sécuritaires communs au Sahel, et une proximité culturelle renforcée par la francophonie. Pourtant, les dernières années ont été marquées par une relative tension, avant une tentative de relance diplomatique. Ce « recalibrage » des relations a été perçu, dans plusieurs chancelleries africaines, comme une tentative française de se repositionner indirectement sur le continent à travers une puissance régionale stable et influente : le Maroc.

Ce choix suscite la méfiance dans certains cercles panafricanistes, notamment en Afrique de l’Ouest et centrale, où la France est souvent accusée d’ingérence et de néocolonialisme. L’idée d’un retour de l’influence française par procuration via le Maroc est interprétée, par certains acteurs, comme une stratégie d’enracinement par alliances intermédiaire.

Le Maroc, une puissance africaine… ?

La montée en puissance diplomatique et économique du Maroc en Afrique – notamment en Afrique subsaharienne – est indéniable. Depuis son retour au sein de l’Union africaine en 2017, Rabat mène une diplomatie proactive fondée sur des partenariats Sud-Sud, des investissements bancaires, agricoles et énergétiques, et une image d’État stable et réformiste. Dans ce cadre, son rapprochement avec la France est vu, par certains pays africains, comme une stratégie d’influence réciproque : Rabat tire profit de son rôle d’interface crédible avec l’Occident, tandis que Paris cherche à redéployer son agenda africain sous une forme plus indirecte.

Mais cette perception n’est pas partagée unanimement. Des pays comme le Sénégal, la Côte d’Ivoire ou le Gabon perçoivent positivement ce type de coopération triangulaire, y voyant une opportunité de bénéficier de relais d’investissements et de savoir-faire conjoints. À l’inverse, dans des États en rupture avec Paris – Mali, Burkina Faso, Niger – cette alliance est considérée comme suspecte, voire instrumentale à une reconquête d’influence sur les anciennes zones d’influence française.

Entre rivalités maghrébines et fractures continentales

Il faut aussi replacer cette alliance dans le contexte des rivalités régionales. L’Algérie, engagée dans une stratégie d’émancipation géopolitique et économique du giron occidental, voit d’un œil critique cette convergence franco-marocaine, perçue comme un affront à sa posture de non-alignement. Cette rivalité se projette sur l’ensemble du continent, notamment en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale, où Alger tente aussi d’imposer ses réseaux diplomatiques et énergétiques.

Par ailleurs, l’émergence des puissances non-occidentales – Russie, Chine, Turquie, Iran – redessine les équilibres africains et pousse certains pays à adopter des postures de rejet vis-à-vis des anciennes puissances coloniales, y compris celles soupçonnées de leur servir de relais.

Entre méfiance, pragmatisme et recompositions silencieuses

L’alliance Maroc-France, dans sa dimension africaine, n’est ni unanimement saluée ni systématiquement rejetée. Elle est observée avec une lucidité stratégique croissante dans les capitales africaines. Pour certains, elle constitue un levier pragmatique de coopération Nord-Sud à travers un acteur africain légitime. Pour d’autres, elle s’apparente à une forme raffinée de néo-impérialisme.

Pour autant, cette perception dépend moins des intentions affichées que des bénéfices concrets perçus localement, et du degré de souveraineté réelle dont disposent les États africains pour orienter leur propre voie. Dans une Afrique en pleine affirmation géopolitique, l’heure est moins à l’alignement qu’à la diversification stratégique – un message que Rabat et Paris devront entendre s’ils veulent inscrire leur alliance dans une dynamique durablement acceptée sur le continent.

 

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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Marokko – König ruft zu gerechterer Entwicklung in seiner Rede auf

Von: maghreb
30. Juli 2025 um 07:53

KönigZum 26. Thronjubiläum betont König Mohammed VI. wirtschaftliche Fortschritte, mahnt aber zu sozialem Ausgleich, regionaler Gerechtigkeit und erneuter Dialogbereitschaft mit Algerien Tétouan – Anlässlich des 26. Jahrestags seiner Thronbesteigung hat König Mohammed VI. von Marokko eine Rede an die Nation gehalten, die sich sowohl mit den erreichten Fortschritten als auch mit bestehenden Herausforderungen beschäftigt. Die […]

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Marokko – König hält Rede anlässlich des Thronjubiläums 2025 (vollständiger Text)

Von: maghreb
30. Juli 2025 um 07:31

KönigKönig spricht Reformen, die Entwicklung in den Regionen, die Anstehenden Parlamentswahlen und das Verhältnis zu Algerien an. Tétouan – Seine Majestät König Mohammed VI., hielt am gestrigen Dienstagabend eine Rede an die Nation anlässlich des 26. Jahrestags der Thronbesteigung des Souveräns. Es folgt der vollständige Text der königlichen Rede in einer deutschen Übersetzung. Die Übersetzung […]

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JORT : convocation des électeurs d’El Gouassem Ouest pour le retrait d’un élu

28. Juli 2025 um 14:29

Le Journal Officiel de la République Tunisienne (JORT) a publié, lundi 28 juillet, le décret n°363 du 24 juillet 2025, portant convocation des électeurs inscrits dans la circonscription locale d’Imada « El Gouassem Ouest », relevant de la délégation de Chorbane (gouvernorat de Mahdia), en vue du retrait du mandat d’un élu local.

À noter que le président de l’Instance Supérieure Indépendante pour les Élections (ISIE), Farouk Bouasker, a déclaré lors d’une conférence de presse tenue le 11 juillet que le Conseil de l’Instance s’était saisi d’une pétition visant le retrait du mandat d’un membre d’un conseil élu, et avait décidé de l’accepter, celle-ci remplissant les conditions légales de forme.

Il a précisé que cette première pétition remplissait toutes les conditions prévues par la loi, notamment le fait d’avoir été déposée par un dixième (1/10) des électeurs et après un an d’exercice du conseil concerné.

Farouk Bouasker n’a pas révélé l’identité du membre visé par la procédure, mais a indiqué que le vote sur la pétition se tiendra le dimanche 28 septembre prochain, dans la circonscription concernée.

Il a expliqué que le mandat du conseiller local sera révoqué si la pétition est approuvée par la majorité absolue (50 % plus un) des électeurs inscrits. Dans ce cas, le siège deviendra vacant et un scrutin partiel sera organisé pour le pourvoir.

En revanche, si la pétition est rejetée par la majorité des électeurs, le mandat de l’élu sera confirmé et ne pourra plus être remis en cause pour le reste de la durée du mandat du conseil local.

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IDR 2024 : Béja, Kasserine et Sidi Bouzid en bas du classement du développement régional

Von: walid
26. Juli 2025 um 13:33

«Les régions du nord-ouest et du centre-ouest, et précisément Béja, Jendouba, Sidi Bouzid, Kasserine et Kairouan occupent les derniers rangs dans la grille du développement régional», c’est ce qui ressort du rapport sur l’«Indice du développement régional- IDR- 2024», publié récemment par l’Institut Tunisien de la Compétitivité et des Etudes Quantitatives (ITCEQ).

Ce rapport s’attèle à établir un diagnostic et à mesurer le niveau de développement de chaque région, dans le but de dresser une classification des régions selon le niveau de développement et de discerner les éventuelles défaillances et inégalités régionales ; ce qui s’avère essentiel pour orienter les actions publiques sur des bases objectives et rigoureusement fondées.

S’agissant du Top 5 des gouvernorats occupant les premiers rangs du classement, il est chapeauté par Tunis (au 1er rang), suivi par Monastir, Ben Arous, Ariana et Sousse.

L’ITCEQ a fait état, dans ce cadre, de la stabilité relative dans le classement des gouvernorats occupant les premiers rangs ainsi que ceux figurant en bas de la liste, en comparaison avec le rapport IDR 2021.Toutefois, les scores ont connu des évolutions différenciées, et les résultats de l’analyse par gouvernorat montrent que le territoire national peut être divisé en deux zones : les gouvernorats côtiers qui font partie des zones les mieux développées, et les gouvernorats de l’intérieur qui représentent les zones des plus retardataires.

Pour rappel, l’indicateur de développement régional est généralement calculé sur une échelle de 0 à 1, en fonction de plusieurs facteurs. Au niveau global, l’IDR continue sa tendance baissière, au cours de la dernière décennie, passant de 0,502 en 2015, à 0,484 en 2018, à 0,462 en 2021, pour se situer au niveau de 0,461 en 2024 ; ce qui reflète la persistance des difficultés conjoncturelles internes et externes au cours des dernières années, notamment la faiblesse relative de la croissance économique, des tensions sur les finances publiques, de l’atonie de l’investissement privé…, selon l’ITCEQ.

Ainsi, le rapport a expliqué que la dimension « sociale » s’est davantage détériorée suite aux effets des difficultés économiques et des pressions inflationnistes touchant le pouvoir d’achat, ce qui a entrainé l’augmentation du nombre de familles nécessiteuses, dont la moyenne nationale a passée de 915 en 2021 à plus de 979 en 2024.

De même, le score relatif au facteur « accès aux services de santé » s’est détérioré suite à la diminution continue du nombre de médecins (10 en 2021 contre 9 en 2024) et du nombre de pharmacies (8,1 en 2021 contre 7,3 en 2024).

Pour ce qui est du facteur « capacité d’absorption et étendue du marché de l’emploi », il a régressé, en raison du recul de l’activité économique en général, la faiblesse du taux de placement et la hausse du taux de chômage dans certaines régions.

Dans le même contexte, le score relatif au facteur « tension du marché du travail » a baissé, suite à la diminution de la taille moyenne des entreprises (1,7 en 2024 contre 2 en 2021) et l’inadéquation entre le rythme de création des entreprises et l’offre de travail, qui s’est manifestée par une accentuation de la pression sur la demande d’emploi.

Partant, l’ITCEQ appelle à adopter une série de mesures prioritaires afin de palier à ces défaillances. Il s’agit, surtout, de mener des travaux d’entretien des infrastructures de base ; de renforcer l’investissement dans l’infrastructure et la connectivité des différentes régions du pays ; d’améliorer les conditions de travail pour les métiers clés dans les régions (médecins, enseignants…); de renforcer les structures d’accompagnement et de soutien aux entreprises dans les régions de l’intérieur…

Finalement, l’Institut n’a pas manqué de réitérer que « les disparités régionales figurent toujours parmi les multiples défis auxquels la Tunisie doit faire face dans le cadre de sa stratégie de développement durable. L’objet ultime des politiques de développement est, en effet, la promotion des conditions garantissant une vie décente sur tout le territoire».

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Marokko – Hafenprojekt Nador West Med nimmt globale Perspektive ein

Von: maghreb
26. Juli 2025 um 10:35

HafenGroßprojekt mit strategischem Anspruch – Neuer Tiefseehafen soll ab 2026 wirtschaftliche Dynamik in der Region Ostmarokkos entfalten und Marokkos Stellung als Logistikdrehscheibe stärken Nador – Mit dem Bau des Tiefseehafens Nador West Med verfolgt Marokko das Ziel, seine wirtschaftliche Wettbewerbsfähigkeit auf globaler Ebene zu steigern und gleichzeitig die sozioökonomische Entwicklung in der orientalischen Region des […]

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Incendie maîtrisé à l’usine de friperie de Djbel-Ouest à Zaghouan

25. Juli 2025 um 17:36

Les équipes de la protection civile de Zaghouan ont réussi, vendredi 25 juillet, à maîtriser totalement l’incendie qui s’était déclaré, dimanche 27 juillet, dans une usine de vêtements usagés, située dans la zone industrielle de Djebel-Oust.

Le sinistre a ravagé d’importantes quantités de textiles usagés et de déchets, ainsi que plusieurs équipements et installations, sur une superficie de 6 500 m², sur les 20 000 m² que compte le site. Le volume exact des pertes n’a pas encore été évalué.

Selon Hatem Rezgui, directeur régional de la protection civile, contacté par l’Agence TAP, douze camions-citernes ont été mobilisés pour lutter contre les flammes, attisées par la nature hautement inflammable des matériaux entreposés. Les opérations ont duré cinq jours.

Elles ont réussi à empêcher la propagation de l’incendie aux établissements industriels voisins, en sécurisant une zone de 3 500 m² comprenant les bureaux administratifs de l’usine, un entrepôt d’équipements, ainsi qu’un camion transportant un conteneur rempli de vêtements.

Selon la même source, tous les moyens d’intervention ont été retirés du site après confirmation de la maîtrise totale de l’incendie et de la disparition de tout danger.

Il a insisté sur la nécessité pour les industriels de se conformer aux normes de sécurité, en obtenant notamment un certificat de prévention des risques d’incendie et d’explosion, conformément à l’article 46 de la loi n°2009-11 du 2 mars 2009.

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Algerien – Präsident Tebboune stärkt Partnerschaften in Italien und beim Heiligen Stuhl

Von: maghreb
25. Juli 2025 um 09:53

PräsidentMehr als 20 neue Abkommen mit Italien unterzeichnet – Gespräche mit Papst Leo XIV. zu Dialog, Frieden und möglichem Papstbesuch in Algerien Rom – Mit dem Staatsbesuch von Präsident Abdelmadjid Tebboune in Italien hat Algerien die historische Partnerschaft mit dem Mittelmeeranrainer deutlich vertieft. Im Mittelpunkt stand die fünfte Sitzung des algerisch-italienischen Regierungsgipfels, die Tebboune gemeinsam […]

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Tunis | La nuit des étoiles le 1er août 2025 à la Cité des sciences

Von: Yusra NY
23. Juli 2025 um 22:31

Au croisement des approches artistiques et scientifiques, où science et culture seront côte à côte dans une ambiance riche et décontractée, la Cité des Sciences à Tunis (CST) organise, en collaboration avec ses partenaires, la 22e édition de la nuit des étoiles qui aura lieu au cœur des espaces de plein air de la CST vendredi 1er août 2025 de 20h à minuit.

Cette rencontre estivale et nocturne est généralement attendue par l’ensemble du grand public particulièrement par les professionnels et tous les amateurs d’Astronomie passionnés par les sciences et les technologies.

Explorer, admirer, décrypter le spectacle que nous offre la voûte céleste, est une véritable reconnexion ludique pour promouvoir la culture scientifique, technologique et de l’innovation, notamment l’astronomie et l’espace.

A l’heure où le retour à la Lune se concrétise avec un premier quartier lunaire, le ciel profond sera à la portée des télescopes motorisés de la CST. Un véritable spectacle céleste sera animé grâce au tourisme stellaire.

La CST propose à son public d’observer la Lune, la planète Saturne et les constellations du triangle d’été : la Lyre, le Cygne et l’Aigle.

Au programme :

Du côté de la scène du site archéologique Abou Fehr
Des interventions scientifiques
« Quand la lumière devient clé : la révolution quantique depuis Abou Dhabi »
Donnée par Dr. Sana Amairi Pyka, Physicienne et Responsable scientifique principale des communications quantiques spatiales à l’Institut d’Innovation Technologique d’Abou Dhabi, Émirats Arabes unis.
« De la conception à la fin de vie d’un satellite : comment gérer les débris spatiaux »
Donnée par Ing. Sadok Abbaki, Ingénieur de recherche en électronique CNRS, Responsable AIT, Chargé design et suivi réalisation & tests harnais interne de l’instrument et gestion composants EEE, CNES/NASA, Strasbourg, France.
Un défilé commenté des images de James Web Space Télescope (JWST).
Un quiz spécial la nuit des étoiles, avec des cadeaux pour les gagnants.
Des spectacles artistiques; théâtre scientifique sur le système solaire, des interludes musicaux de saxophone et de Quanoûn, spectacle son et lumière.
Du côté de la place de la Noria
Des observations par les télescopes permettant de découvrir la Lune, la planète Saturne qui est d’une telle beauté qu’elle est souvent le clou de la soirée.
Tourisme du ciel permettant de décrypter le ciel profond et de cheminer de constellation en constellation tout au long de la soirée.
Une session parallèle d’interventions scientifiques sur les thèmes de l’astronomie et de l’espace.
Du côté de la Cour d’Honneur
Des stands d’animations de la CST et de ses partenaires avec un contenu scientifique et ludique à portée de main, interactif et vulgarisé.

Communiqué

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Marokko – Nächste Hitzewelle erfasst weite Teile des Königreichs

Von: maghreb
14. Juli 2025 um 11:21

HitzewelleMeteorologen warnen vor extremen Temperaturen von Dienstag bis Freitag in zahlreichen Provinzen Marokkos Marokko bereitet sich auf eine intensive Hitzewelle vor, die von Dienstag, dem 15. Juli, bis Freitag, den 18. Juli 2025, weite Teile des Landes erfassen wird. Die Generaldirektion für Meteorologie (DGM) hat ein Warnmeldung der Stufe Orang herausgegeben und warnt vor Temperaturen, […]

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Tunesien: Erfolgreicher Anbau der Drachenfrucht in mehreren Regionen

Von: Redaktion
09. Juli 2025 um 20:32

Der tunesische Landwirt Mohamed Ben Dhaw, Spezialist für den Anbau tropischer Früchte, bestätigte den erfolgreichen Anbau der Drachenfrucht (Pitaya) in mehreren Regionen des Landes. Zu Mehr

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Chelsea, trop puissant pour l’Espérance

Dans le temple américain du Lincoln Financial Field, où se jouait ce mercredi 25 juin 2025 le dernier match du groupe D, l’Espérance sportive de Tunis a fini par plier face à une armada anglaise bien rodée. Score final : 0-3. Une défaite lourde, logique, mais cruelle pour les Sang et Or qui ont longtemps tenu tête aux Londoniens.

Durant une première mi-temps courageuse, les hommes de Maher Kanzari ont montré du caractère. Jusqu’au temps additionnel, le score restait vierge et l’Espérance rêvait encore. Mais le haut niveau, lui, ne pardonne pas : deux buts coup sur coup (Adarabioyo 45+3e, Delap 45+5e) ont assommé les Tunisiens en une poignée de secondes.

Le réalisme anglais, la différence de niveau
Le coup franc d’Adarabioyo, puis le slalom de Delap, ont illustré le fossé physique et technique entre les deux formations. Sonnés, les joueurs tunisiens n’ont jamais retrouvé l’élan du début de match. La seconde période ? Un siège contrôlé par Chelsea, une défense tunisienne valeureuse mais résignée, et un troisième but signé Tyrique George dans les arrêts de jeu (90+7e).

Le film du match : de l’espoir à la déroute
Dès les premières minutes, l’Espérance s’est montrée volontaire : tentative de Sassi (15e), percussion de Mokwana (4e), bloc défensif solidaire autour de Mriyah et Ben Saïd. Mais trop peu d’occasions franches, trop d’efforts sans efficacité. Chelsea, sans briller, a maîtrisé son sujet.

Les changements (Derbali, Rodriguez, Bouchniba) n’ont rien changé. Même l’annulation d’un penalty sur intervention du VAR (79e) n’a pas suffi à relancer les Sang et Or. Au final, troisième du groupe D avec 3 petits points, l’Espérance quitte la compétition, tandis que Chelsea affrontera Benfica en quarts, et Flamengo, premier, défiera le Bayern.

Le bilan : une élimination sans honte
Pas de miracle pour le club de Bab Souika, mais un parcours honorable dans une compétition relevée. L’Espérance aura montré des séquences intéressantes, sans pouvoir tenir la cadence. Face à Chelsea, la lucidité et la fraîcheur ont manqué. Un rappel brutal des standards du football mondial.

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Tunesien: 133 Selbstmorde im Jahr 2024

Von: Redaktion
14. Januar 2025 um 15:12

Das tunesische Forum für wirtschaftliche und soziale Rechte (FTDES) hat den digitalen Bericht des tunesischen sozialen Observatoriums (OST) für das vierte Quartal 2024 veröffentlicht. Daraus Mehr

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Exportmengen und Wert der Obstausfuhren 2024 gesunken

Von: Redaktion
16. Juli 2024 um 20:18

Der Wert und die Exportmengen der tunesischen Obstausfuhren 2024 bis zum 3. Juli 2024 sind im Vergleich zum Vorjahreszeitraum mengenmäßig um 22,1% auf 12.748 Tonnen Mehr

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