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Les réalisations et ambitions marocaines vues par Bpifrance

21. Februar 2025 um 17:13

Le Maroc, acteur incontournable de l’économie africaine, renforce continuellement sa position stratégique grâce à des investissements ciblés dans des secteurs en forte croissance.

Selon une étude de Bpifrance, la Banque publique d’investissement française, le Royaume chérifien a su s’imposer comme un véritable pôle économique dynamique et novateur en Afrique. L’étude porte sur l’évolution de l’économie marocaine, mettant en lumière les grands projets structurants et les initiatives prises pour attirer les investisseurs internationaux.

L’enquête se focalise sur l’ensemble des transformations économiques du royaume chérifien, mettant en exergue son engagement vers une transition énergétique ambitieuse, ainsi que le développement de secteurs clés comme l’industrie automobile, l’agriculture, le tourisme, l’énergie renouvelable, et l’innovation numérique. Ces secteurs, soutenus par des politiques publiques incitatives et des investissements étrangers croissants, permettent au Maroc de se positionner comme un leader régional, voire mondial, dans certains domaines.

Une transformation économique soutenue par des investissements ciblés

L’un des moteurs principaux de cette transformation concerne la stabilité politique et la position géographique stratégique du Maroc, qui lui permet d’attirer des entreprises, notamment françaises, désireuses de développer leurs activités en Afrique. Dans cette perspective, le pays a fait le choix de se concentrer sur certains secteurs porteurs pour stimuler son développement économique.

Selon l’étude de Bpifrance, le Maroc a su capitaliser sur ses atouts naturels et géographiques pour attirer des investissements massifs dans les énergies renouvelables. En effet, le royaume s’est fixé un objectif ambitieux de produire 52% de son électricité à partir d’énergies renouvelables d’ici 2030.

Un des projets emblématiques du royaume dans ce domaine est la centrale solaire Noor Ouarzazate, l’un des plus grands complexes solaires au monde, qui joue un rôle clé dans la transition énergétique du pays. Ce projet, tout comme d’autres initiatives similaires, permet au Maroc de se positionner comme un leader de l’énergie solaire en Afrique et d’offrir des solutions durables à l’Europe, notamment dans le cadre de la production et de l’exportation d’hydrogène vert. Cette position stratégique est renforcée par la volonté du pays de diversifier ses investissements dans des technologies de pointe.

Lire aussi: Maroc : le parc solaire d’Ouarzazate fournira de l’électricité à un million de foyers

Au-delà de l’énergie, le secteur automobile représente un autre pilier fondamental de l’économie marocaine. Le Maroc est aujourd’hui l’un des plus grands producteurs de véhicules en Afrique, avec plus de 700 000 véhicules produits chaque année. L’industrie automobile marocaine se transforme en profondeur, avec un virage vers l’électromobilité. Ce changement ouvre de nouvelles perspectives pour le pays, notamment dans la fabrication de batteries pour véhicules électriques et le développement des infrastructures de recharge.

Des objectifs ambitieux pour 2030 : vers un Maroc innovant et durable

Le Maroc affiche des ambitions considérables pour 2030, d’après cette étude, non seulement en matière d’énergie et d’industrie, mais aussi dans le domaine du tourisme, de l’agriculture et de l’immobilier. L’objectif de produire 1 million de véhicules par an d’ici 2030 s’inscrit dans une volonté de renforcer sa place parmi les grandes puissances mondiales de l’automobile, mais aussi de répondre à une demande croissante pour des solutions durables et respectueuses de l’environnement.

Le secteur touristique l’un des domaines sur lesquels l’étude s’est focalisée, lui aussi, connaît une dynamique de croissance significative. Le Maroc ambitionne d’accueillir 26 millions de visiteurs d’ici 2030, en profitant notamment de l’organisation conjointe de la Coupe du Monde 2030 avec l’Espagne et le Portugal. Cet événement phare constitue une occasion unique pour dynamiser l’économie, notamment dans les domaines de l’infrastructure, de l’hôtellerie et des services. Bpifrance souligne dans son étude que la Coupe du Monde devrait générer plusieurs milliards d’euros d’investissements dans ces secteurs, renforçant ainsi l’attractivité du Maroc comme destination touristique incontournable.

L’enquête se focalise également sur le secteur agricole, où des efforts considérables ont été déployés pour moderniser et diversifier la production. Le Maroc se positionne comme un leader régional de l’agriculture durable, en mettant en œuvre des politiques de soutien à l’agritech et à l’innovation dans ce domaine. Le pays bénéficie de financements favorables pour les entreprises innovantes, ce qui permet de moderniser les infrastructures agricoles et d’améliorer la productivité. La mise en place de pratiques agricoles intelligentes et durables permet au Maroc de répondre efficacement à la demande croissante en matière de sécurité alimentaire tout en renforçant ses capacités d’exportation.

Le secteur immobilier, lui aussi, connaît un essor considérable, soutenu par la croissance démographique et l’urbanisation rapide. La demande en logements résidentiels, en infrastructures touristiques et en zones industrielles continue d’augmenter. Cependant, une transformation plus profonde est en cours, avec un développement de l’écoconstruction et l’utilisation de matériaux biosourcés, en phase avec les objectifs de transition énergétique du pays. Le Maroc s’engage ainsi à offrir des bâtiments plus durables et économes en énergie, contribuant à la lutte contre le changement climatique tout en répondant aux besoins croissants de ses citoyens.

Enfin, l’essor du numérique et de l’innovation est un autre levier important pour le développement économique du Maroc. Le pays s’impose comme un pôle attractif pour les startups, soutenu par un écosystème dynamique d’incubateurs et de fonds d’investissement, notamment dans les secteurs de la fintech, de l’e-commerce et de l’intelligence artificielle. Cette montée en puissance du numérique contribue à diversifier l’économie et à la rendre plus compétitive sur la scène internationale.

Ainsi, grâce à des réformes audacieuses et des investissements dans des secteurs stratégiques, le Maroc se positionne comme un modèle de développement économique durable et innovant en Afrique, attirant des investisseurs du monde entier.

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ECLAIRAGES – Le salut par une politique social-responsable

19. Februar 2025 um 06:16
  • L’économie tunisienne a enregistré une croissance de 1.4% au cours de l’année 2024
  • Les échanges commerciaux ont atteint au mois de janvier 2025 5 025,8 MDT à l’exportation et 6 791,3 MDT à l’importation. Au niveau des exportations (-2,4 %) et des importations (+18,6 %), le déficit commercial s’établit à un niveau de (-1 765,5 MDT) contre (-577,6 MDT) en janvier 2024. Le taux de couverture s’est établit à un niveau de (74 %) contre 89,9 % en janvier 2024.
  • L’inflation au mois de janvier 2025 se replie à 6 %.
  • Taux de chômage stable à 16,0 %, mais légère augmentation du nombre de chômeurs.

Sources : https://www.ins.tn/communique-de-presse

 

 

La problématique particulière de la transition politique, ainsi que celle de notre époque récente en général, peut être résumée par une diminution inévitable de la capacité industrielle de l’ensemble des économies, y compris celle de la Tunisie.

En d’autres termes, la capacité d’offre, en amont, en déclin, est fondamentalement responsable de notre croissance économique atone, souvent masquée par l’augmentation des endettements.

Peut-on espérer que l’accélération des dépenses sur les marchés émergents ou l’accroissement de nos dettes puisse vraiment nous sauver ?

Ces facteurs pourront-ils relancer la croissance tunisienne ?

L’environnement économique et financier actuel est-il réellement propice à une croissance saine et stable à long terme ? Quelles sont les vulnérabilités qui en découlent ?

Il ne faut pas se tromper sur les véritables causes de la stagnation et des difficultés économiques rencontrées par des pays comme la Tunisie, notamment depuis les changements de 2011. La chute des coûts de financement a favorisé le développement de projets soutenus par la dette, mais cette dynamique optimiste a pris fin avec la crise économique endémique, qui a gravement affecté l’État, les collectivités locales et le secteur privé.

Parallèlement, l’accumulation des déficits a fonctionné comme un anesthésiant, empêchant ainsi de poser les bonnes questions, encore aujourd’hui, concernant le modèle socioéconomique, où la problématique de la répartition équitable des bénéfices de la croissance économique est négligée…

La croissance est à l’arrêt… La productivité stagne… Elle n’a pas été améliorée malgré les apports financiers, car l’argent facile a masqué les lacunes, entraînant une détérioration de la compétitivité dans de nombreux secteurs.

Contrairement à d’autres nations, la Tunisie a vu ses opportunités se réduire, et le coût de financement a souvent été élevé, freinant ainsi la relance économique. La vague d’endettement privé, notamment dans un secteur immobilier spéculatif, a provoqué une perte de confiance généralisée.

C’est dans ce contexte que l’intervention des banques centrales en général et de la BCT en particulier, prend une importance capitale. Or, si ces banques centrales ont su répondre aux attentes des marchés en facilitant l’accès aux liquidités, il est légitime de se demander si ces mesures massives n’ont pas, justement, accentué les vulnérabilités du système économique en général et l’économie tunisienne en particulier.

Par ailleurs, il est difficile de ne pas s’inquiéter de la chute continue de la part des revenus du travail dans la richesse nationale et dans le produit intérieur brut (PIB). Ce lien entre la part du travail et le coût d’accès au capital est évident. Il semblerait que les politiques peu conventionnelles adoptées afin de lutter contre le chômage se soient retournées contre l’emploi lui-même. En surinvestissant dans des secteurs sensibles aux taux d’intérêt bas, ces mesures pourraient créer un climat où l’emploi devient peu rentable.

Devant cette situation, il est important de se demander pourquoi les décideurs politiques se sont souvent montrés hésitants à prendre des mesures audacieuses face à ces défis économiques. La crainte des répercussions politiques les pousse à éviter des décisions difficiles et à laisser les banques centrales jouer un rôle de premier plan.

Dans un pays comme la Tunisie, où les débats publics sont souvent limités, il est impératif de restaurer le rôle du politique pour atténuer les vulnérabilités de notre économie.

En somme, si les banques centrales jouent un rôle décisif pour maintenir l’économie à flot, cela ne doit pas se faire au détriment de la responsabilité politique.

Seul un retour à un véritable débat public et à une gouvernance efficace permettra de traiter les inégalités et de canaliser le système financier de manière durable.

Le « politique socialement responsable » doit redevenir le moteur de notre développement inclusif.

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

 

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Croissance 2024: des chiffres en demi-teinte

17. Februar 2025 um 09:20

Alors que le taux de croissance estimé par le gouvernement était de 1,6% pour 2024, les réalisations font état d’un taux de 1,4%. Le dernier trimestre était relativement bon, avec une hausse de 2,4% de la valeur ajoutée en glissement annuel. Néanmoins, il faut tenir compte d’un effet de base favorable du moment que le dernier quart de 2023 a enregistré un repli du PIB de -0,6%. D’ailleurs, en rythme séquentiel, le PIB du quatrième trimestre 2024 a évolué de 0,9%.

Le dernier trimestre a tiré profit de la consommation locale et de la formation brute de capital fixe, qui a évolué de 7,1% en rythme annuel et de 2,9% en rythme séquentiel. Par secteur, l’agriculture a surperformé avec une progression de 12,5% par rapport à la même période en 2023. La construction et les services ont affiché des améliorations respectives de leurs valeurs ajoutées de 2,5% et 1,9% en glissement annuel. Seul le secteur industriel a montré des signes de faiblesse, reculant de 0,9%. La baisse provient des industries extractives et de traitement des déchets, qui ont reculé de 7,9%. Les problèmes du bassin minier continuent à peser lourdement sur l’économie tunisienne et il est temps de trouver une solution définitive pour dépasser ce blocage. L’industrie manufacturière s’est bien comportée, surtout celles chimiques (+8,1%) et mécaniques et électriques (+2,5%).

A la lumière de ces chiffres, nous pensons que 2025 sera une année difficile. En premier lieu, les 3,2% de croissance ciblée seront difficiles à atteindre. Il y a des doutes qui planent sur la demande locale, fortement impactée par la nouvelle réglementation des chèques et l’inflation. L’investissement est toujours asphyxié par le niveau des taux d’intérêt et la taille réduite du marché. L’agriculture pourrait continuer sa relance avec la saison satisfaisante des pluies jusqu’à aujourd’hui, mais les prix en chute de l’huile d’olive poseraient un défi à l’industrie agroalimentaire. Bref, que des défis nous attendent pour le nouvel an.

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L’économie tunisienne a enregistré une progression de 1,4% en 2024

15. Februar 2025 um 15:00

L’économie tunisienne a enregistré une croissance de 1,4% au cours de l’année 2024, selon l’Institut national de la statistique (INS), samedi 15 février 2025.

Au cours du quatrième trimestre de l’année 2024, « les estimations issues des comptes nationaux trimestriels montrent que le Produit Intérieur Brut (PIB) en volume, corrigé des variations saisonnières, a enregistré une croissance au taux de 2,4 % sur un an. En glissement trimestriel, c’est-à-dire par rapport au troisième trimestre de l’année 2024, le PIB en volume aura progressé de 0,9 % ».

Agriculture, moteur essentiel de la croissance

L’INS a également fait état d’une hausse de 7,1% de la demande intérieure en volume, affichant une contribution positive de 7,5%  à la croissance économique du quatrième trimestre de 2024 (2,4%). A contrario, le solde des échanges extérieurs de biens et services a affiché une contribution négative à hauteur de -5%, du fait de la baisse du volume des exportations des biens et services (-0,2%) et de la hausse de 9,7% du volume des importations.
Les activités agricoles restent le moteur essentiel de la croissance. La valeur ajoutée du secteur a évolué de 12,1% en glissement annuel au cours du quatrième trimestre de 2024. Le secteur agricole a contribué à hauteur de 0,97%, au taux de croissance de 2,4 % enregistré au cours du dernier trimestre de l’année précédente.
La valeur ajoutée du secteur des industries manufacturières a, également, progressé de 1,5%  en raison de la hausse de 2,1% de la valeur ajoutée des industries agroalimentaires, de 8,1% de celle des industries chimiques et de 2,5% de la VA des industries mécaniques et électriques.
En revanche, la VA du secteur de l’énergie, des mines, de la production et distribution d’eau, d’assainissement et de gestion des déchets  a régressé de 7,9% au cours du quatrième trimestre de 2024, par rapport à la même période de 2023, en raison de la baisse de 16,9% de la VA du secteur d’extraction du pétrole et de gaz naturel.
Au total, la valeur ajoutée du secteur industriel s’est repliée de 0,9% au cours du quatrième trimestre de 2024, alors que celle du secteur de la construction et du bâtiment a progressé de 2,5%.
Le secteur des services a maintenu un rythme d’activité positif au cours du quatrième trimestre de 2024. Sa valeur ajoutée a connu une croissance de 1,9% en raison de l’évolution de 5,7% de la VA du secteur des hôtels, restaurants et cafés, de 5% de celle du secteur des transports et de 1,3% de celle du secteur informatique et de la communication.

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Tunisie : Le PIB progresse de 1,4 % en 2024, avec une forte contribution du secteur agricole

15. Februar 2025 um 12:54

L’économie tunisienne a enregistré une croissance de 1,4% au cours de l’année 2024, a fait savoir samedi, l’Institut national de la statistique (INS).

Au cours du quatrième trimestre de l’année 2024, “les estimations issues des comptes nationaux trimestriels montrent que le Produit Intérieur Brut (PIB) en volume, corrigé des variations saisonnières, a enregistré une croissance au taux de 2,4 % sur un an. En glissement trimestriel, c’est-à-dire par rapport au troisième trimestre de l’année 2024, le PIB en volume aura progressé de 0,9 %”.

Agriculture, moteur essentiel de la croissance

L’INS a, également, fait état d’une hausse de 7,1% de la demande intérieure en volume, affichant une contribution positive de 7,5% à la croissance économique du quatrième trimestre de 2024 (2,4%). A contrario, le solde des échanges extérieurs de biens et services a affiché une contribution négative à hauteur de -5%, du fait de la baisse du volume des exportations des biens et services (-0,2%) et de la hausse de 9,7% du volume des importations.

Les activités agricoles restent le moteur essentiel de la croissance. La valeur ajoutée du secteur a évolué de 12,1% en glissement annuel au cours du quatrième trimestre de 2024. Le secteur agricole a contribué à hauteur de 0,97%, au taux de croissance de 2,4 % enregistré au cours du dernier trimestre de l’année précédente.

La valeur ajoutée du secteur des industries manufacturières a, également, progressé de 1,5% en raison de la hausse de 2,1% de la valeur ajoutée des industries agroalimentaires, de 8,1% de celle des industries chimiques et de 2,5% de la VA des industries mécaniques et électriques.

En revanche, la VA du secteur de l’énergie, des mines, de la production et distribution d’eau, d’assainissement et de gestion des déchets a régressé de 7,9% au cours du quatrième trimestre de 2024, par rapport à la même période de 2023, en raison de la baisse de 16,9% de la VA du secteur d’extraction du pétrole et de gaz naturel.

Au total, la valeur ajoutée du secteur industriel s’est repliée de 0,9% au cours du quatrième trimestre de 2024, alors que celle du secteur de la construction et du bâtiment a progressé de 2,5%.

Le secteur des services a maintenu un rythme d’activité positif au cours du quatrième trimestre de 2024. Sa valeur ajoutée a connu une croissance de 1,9% en raison de l’évolution de 5,7% de la VA du secteur des hôtels, restaurants et cafés, de 5% de celle du secteur des transports et de 1,3% de celle du secteur informatique et de la communication.

 

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Tunisie : L’économie affiche une croissance de 1,4 % en 2024

15. Februar 2025 um 10:57

L’économie tunisienne a enregistré une croissance de 1,4% au cours de l’année 2024, a fait savoir samedi, l’Institut national de la statistique.

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