Le Hamas exige la libération de sept leaders palestiniens
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Le tennisman tunisien Moez Echargui participera la semaine prochaine au tournoi d’Olbia, en Italie. Cette compétition fait partie du Challenger Tour et se joue sur surface dure, avec un prize money total de 181 250 euros.
Un premier tour déjà connu
Le tirage au sort a opposé Echargui, 145e joueur mondial, au Lituanien Edas Butvilas, classé 291e. Le match est prévu lundi. Les deux joueurs se sont déjà affrontés en quart de finale du Challenger de Porto, début août, où Echargui l’avait emporté 2 sets à 1.
Une année riche en succès
Moez Echargui a connu plusieurs succès en 2025. Il a remporté le Challenger d’Hersonissos en Grèce, le Challenger de Porto au Portugal, ainsi que le tournoi Future international de Monastir. Ces performances soulignent sa montée régulière dans le classement mondial et son retour en forme sur les surfaces dures.
Objectifs et enjeux
Le tournoi d’Olbia constitue une étape importante pour Echargui dans le circuit Challenger, lui permettant de consolider son classement et d’engranger de nouvelles expériences face à des adversaires européens. Ce match contre Butvilas sera une première étape cruciale pour ses ambitions cette saison.
L’article Tennis: Moez Echargui ouvre le tournoi d’Olbia face à Edas Butvilas est apparu en premier sur WMC.
La région continue de naviguer entre signes de reprise et défis structurels persistants. Les dernières prévisions macroéconomiques, les initiatives régionales et les grands projets d’infrastructures dominent l’actualité.
La Banque mondiale a revu à la hausse ses prévisions pour l’Afrique subsaharienne : 3,8 % de croissance en 2025, soutenue par la baisse de l’inflation et une plus grande stabilité des changes.
Selon le rapport Africa’s Pulse, la croissance attendue atteindrait 3,8 % en 2025, après 3,5 % en 2024, avec une accélération possible à 4,4 % les années suivantes.
Pourtant, la Banque africaine de développement (AfDB) ajuste à la baisse ses propres estimations pour 2025 (3,9 %) en raison de l’incertitude liée aux tarifs commerciaux mondiaux.
L’AfDB prévoit d’octroyer 500 millions USD à la Nigeria en soutien budgétaire, dans le cadre d’un programme de 1 milliard sur deux ans.
Le bloc COMESA (marché commun d’Afrique orientale et australe) a lancé une plateforme de paiements numériques inter-États, favorisant les transactions dans les monnaies locales pour réduire les coûts liés au dollar.
En Mozambique, un projet hydroélectrique de 6 milliards USD – le plus ambitieux de l’ère récente dans la région – vise à renforcer l’accès à l’électricité.
L’accès à l’électricité demeure un frein majeur : le nombre de personnes sans électricité stagne, en grande partie à cause d’une croissance démographique rapide qui annule les progrès.
De plus, l’accent est désormais mis sur la production industrielle et la viabilité économique des réseaux (et non uniquement sur l’accès rural immédiat).
Sur le plan du financement, l’AfDB prévoit dès 2027 de lever 5 milliards USD tous les trois ans sur les marchés de capitaux pour alimenter ses prêts aux pays à faibles revenus.
Enfin, la dépendance aux flux commerciaux externes et aux marchés étrangers rend la région vulnérable aux chocs tarifaires mondiaux, incitant des ajustements prudents.
Chiffres clés de la semaine
L’article Afrique subsaharienne : croissance revue à la hausse en 2025 est apparu en premier sur WMC.
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L’économie mondiale présente des tensions marquées entre relance post-crise, défis géopolitiques et déséquilibres commerciaux. Les institutions internationales et les grandes puissances redéfinissent leurs prévisions face à l’incertitude.
Le Fonds monétaire international (FMI) a ajusté ses perspectives : pour 2025, la croissance mondiale passerait de 3,3 % à 2,8 %, suivie de 3 % en 2026.
Cette révision s’explique par des tensions commerciales accrues, notamment entre les États-Unis et la Chine, et une incertitude pesant sur les investissements.
De nouvelles mesures protectionnistes relancent les craintes d’un ralentissement global.
Les États-Unis ont menacé d’imposer des droits de douane de 100 % sur certains produits importés dès novembre, en réaction à des restrictions chinoises sur les terres rares.
Résultat : perturbation des chaînes d’approvisionnement, recul des anticipations de croissance et montée des risques de stagflation dans certains secteurs.
Le secteur technologique est particulièrement exposé aux restrictions sur les exportations de semi-conducteurs et matériaux stratégiques.
L’inflation reste un défi, en particulier dans les pays développés où les pressions sur les prix des services se maintiennent.
La relance de certains accords commerciaux et discussions multilatérales pourraient atténuer certains effets négatifs si les tensions commerciales sont contenues.
La semaine écoulée est marquée par un net resserrement des perspectives économiques mondiales. Les institutions internationales mettent l’accent sur la coordination des politiques et la stabilité du commerce. L’équilibre reste fragile : tout nouveau choc commercial ou monétaire pourrait peser lourdement sur la dynamique globale.
L’article Revue de Presse Internationale : Croissance mondiale revu à la baisse est apparu en premier sur WMC.
Le rapport général 2022-2023 de la Cour des comptes a été remis au président de la République, exposant des pratiques de mauvaise gouvernance dans plusieurs secteurs publics. Le document pointe des lacunes dans l’exécution budgétaire, des retards dans les marchés publics et des déficiences dans le contrôle interne des ministères.
Cette révélation intervient dans un contexte où le gouvernement cherche à rassurer les bailleurs de fonds internationaux sur la rigueur de ses finances publiques.
Mauritanie a officiellement inauguré en mai 2025 son premier centre national de données (« Nouakchott Data Hub »).
Ce datacenter vise à renforcer la souveraineté numérique, l’hébergement local des données, et à fournir des services cloud sécurisés au niveau national, en lien avec les dorsales fibre optique et les câbles sous-marins.
À moyen terme, cela devrait stimuler le secteur numérique, l’innovation locale et réduire la dépendance aux services étrangers.
Sous la pression de l’Union européenne, la Mauritanie a renforcé ses politiques migratoires, multipliant les expulsions et démantèlement de réseaux de passeurs.
Cette évolution a un impact concret sur l’économie informelle : de nombreuses entreprises (BTP, pêche artisanale, services domestiques) dépendent de la main-d’œuvre étrangère. Certaines sont contraintes de fermer, faute de personnel.
Les observateurs dénoncent aussi des abus (détentions arbitraires, extorsions), ce qui crée un climat d’incertitude pour les investisseurs et acteurs du secteur informel.
Selon la Banque mondiale, la croissance économique mauritanienne a ralenti : elle aurait été de 5,2 % en 2024, contre 6,4 % en 2023, du fait d’un recul de l’activité extractive et d’une consommation publique affaiblie.
Toutefois, l’inflation a diminué, passant à 2,5 % en 2024 contre environ 5 % en 2023, grâce à la baisse des prix alimentaires et énergétiques à l’échelle internationale.
La Banque africaine de développement anticipe une reprise, avec une croissance du PIB de 5,5 % prévue pour 2025.
La dépendance aux secteurs extractifs (minerai de fer, or) et aux ressources halieutiques reste forte, ce qui rend l’économie vulnérable aux chocs externes.
L’article Mauritanie : gouvernance, numérique, main-d’œuvre est apparu en premier sur WMC.
La Banque centrale de Libye (BCL) a communiqué sur le niveau de ses réserves de change, qu’elle juge stable, et sur le maintien de ses taux de change officiels. L’institution poursuit une politique monétaire prudente afin de préserver la valeur du dinar libyen dans un contexte économique encore fragile.
Le taux de change officiel s’est inscrit autour de 5,44 LYD/USD et 6,32 LYD/EUR le 12/10 selon la CBL.
Au 31/08, la CBL indique des actifs étrangers d’environ 97,3 Mds$ et un déficit devises de 5,9 Mds$ sur 8 mois, financé par des revenus d’investissement et un tirage de 400 M$. La CBL a, le 08/10, réuni son comité Risques/Investissement et évoqué le suivi des réserves et de nouveaux instruments d’investissement pour les banques ; des médias locaux ont rapporté un total proche de 98,8 Mds$ fin septembre.
Sur le marché parallèle à Tripoli, des sources locales ont relevé un recul ponctuel du USD/LYD vers ~6,9 autour du 04/10, après la fin du délai de retrait d’anciens billets. Indication de marché, non officielle.
L’OPEP+ a opté le 05/10 pour une hausse modérée de 137.000 b/j en novembre, décision qui a soutenu brièvement les prix et reste un repère externe pour les recettes libyennes.
Parallèlement, la Banque mondiale a relevé le 07/10 sa prévision 2025 pour la région MENA, tout en notant un risque baissier pour 2026 lié notamment aux réductions de production en Libye.
L’article Réserves de change en Libye : la BCL confirme leur stabilité à plus de 97 milliards de $ est apparu en premier sur WMC.
Deux jours après l’annonce d’un cessez-le-feu historique à Gaza, le président ukrainien Volodymyr Zelensky multiplie les gestes diplomatiques. Dans un appel téléphonique avec Donald Trump, il a exhorté le président américain à « faire pression sur Vladimir Poutine » pour engager des pourparlers et mettre fin à la guerre qui ravage l’Ukraine depuis plus de trois ans.
« Si une guerre peut être arrêtée au Moyen-Orient, d’autres peuvent l’être aussi », a déclaré Zelensky, saluant le rôle « exceptionnel » de Trump dans la médiation entre Israël et le Hamas. L’appel intervient au lendemain d’une attaque massive russe contre le réseau énergétique ukrainien, plongeant Kyiv et plusieurs régions dans le noir avant un rétablissement partiel du courant.
Depuis plusieurs semaines, l’attention internationale s’est déplacée vers le conflit israélo-palestinien, reléguant le front ukrainien à l’arrière-plan. Kiev redoute que cette focalisation mondiale n’offre à Moscou un espace stratégique pour intensifier ses frappes, notamment sur les infrastructures civiles.
Trump, désormais auréolé d’un succès diplomatique inattendu au Moyen-Orient, a déjà rencontré Vladimir Poutine en août sans parvenir à une percée en Europe. Mais la donne pourrait changer : selon Zelensky, « les mêmes leviers de pression » peuvent désormais s’appliquer au Kremlin.
Pendant ce temps, la guerre continue de frapper les civils. Cinq personnes ont été tuées samedi, dont deux dans une église bombardée à Kostyantynivka. À Odessa, les coupures d’électricité se multiplient, tandis que l’entreprise DTEK annonce « un rétablissement partiel » du réseau.
Dans son allocution nocturne, Zelensky a dénoncé « l’opportunisme russe » profitant d’un monde « absorbé par la paix au Moyen-Orient » et appelé à utiliser les « avoirs russes gelés » pour renforcer la défense ukrainienne.
Son appel à Trump, empreint d’espoir autant que de réalisme, résume l’état d’esprit d’un pays épuisé : si la paix est possible à Gaza, pourquoi resterait-elle impossible à Kyiv ?
L’article Zelensky appelle Trump à étendre la paix de Gaza à l’Ukraine est apparu en premier sur webdo.
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Le Maroc progresse sur le plan économique. Parallèlement, la société manifeste son mécontentement. Le roi Mohammed VI a pris la parole. Il demande d’accélérer les réformes. Il veut renforcer la cohésion sociale et réduire les inégalités territoriales.
Le souverain a exhorté le gouvernement. Il demande une application plus rapide des programmes de développement local. Il faut aussi mieux coordonner les grands chantiers et les politiques sociales.
Cet appel arrive dans un contexte social tendu. Le mouvement citoyen « Gen Z 212 » multiplie les manifestations. Il dénonce les inégalités. Il proteste contre les difficultés d’accès à la santé et à l’éducation.
Des incidents ont éclaté à Leqliaa, près d’Agadir. Deux manifestants ont perdu la vie, selon Associated Press.
Le PIB a progressé de 5,5 % au deuxième trimestre 2025. C’est le chiffre du Haut-Commissariat au Plan. L’agriculture et les services soutiennent cette croissance.
La Bank Al-Maghrib maintient son taux directeur à 2,25 %. Elle juge l’inflation maîtrisée malgré l’incertitude mondiale.
Le tourisme tire toujours la croissance. Ses revenus ont atteint 9,6 milliards USD sur les huit premiers mois de l’année. Cela représente une hausse de 14 % par rapport à 2024.
Enfin, S&P Global Ratings a relevé la note souveraine du Maroc à BBB-/A-3. L’agence salue la solidité des fondamentaux et la continuité des réformes.
Côté entreprises, Taqa Morocco voit son résultat net baisser de 17 % au premier semestre. C’est une conséquence des fluctuations des prix de l’énergie.
Le groupe hôtelier Risma a finalisé l’acquisition de deux actifs. Il s’agit du Radisson Blu Marrakech Carré Eden et du centre commercial voisin. Risma consolide sa position haut de gamme.
Un projet agroalimentaire important avance dans la région de Casablanca-Settat. La signature d’une convention d’investissement marque une étape clé, selon Médias24.
Le marché de l’or reste stable. Le gramme se négocie autour de 900 dirhams. Ce niveau élevé freine la demande locale.
Le Maroc doit désormais trouver un équilibre. Il lui faut concilier stabilité macroéconomique et cohésion sociale. La réussite de cette équation sera un défi majeur des prochains mois.
Croissance soutenue (+5,5 %), inflation maîtrisée, tourisme en forte hausse et note souveraine relevée : les indicateurs économiques du Maroc sont solides. Mais les tensions sociales montent, et le roi appelle à accélérer les réformes pour que la prospérité devienne perceptible sur le terrain.
L’article Maroc : Croissance soutenue et tensions sociales, entre réformes et attentes est apparu en premier sur WMC.
Steven Cheung a accusé le comité Nobel norvégien de faire preuve de partialité politique en n’attribuant pas le prix Nobel de la paix de cette année au président américain, Donald Trump.
Dans une déclaration publiée sur X vendredi, quelques heures après l’attribution du prix, Cheung a estimé que « le président Trump continuera de conclure des accords de paix, de mettre fin aux guerres et de sauver des vies. Il a l’âme d’un humanitaire, et personne ne pourra, par sa seule volonté, déplacer des montagnes comme lui ».
À rappeler que le prix de cette année a été décerné à la dirigeante de l’opposition vénézuélienne Maria Corina Machado. L’ancienne députée, bénéficiant de solides relations à Washington, a été accusée par le président vénézuélien Nicolas Maduro d’avoir canalisé des fonds américains vers des groupes antigouvernementaux « fascistes ».
Selon le comité, plusieurs raisons expliquent sa décision. Premièrement, il explique avoir choisi son lauréat depuis lundi, soit plusieurs jours avant la signature de l’accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. Ensuite, Donald Trump s’est montré particulièrement belliqueux depuis le début de son mandat : guerre commerciale, déploiement de l’armée dans plusieurs villes américaines, volonté d’annexer le Canada… Enfin, les nominations pour le Nobel de 2025 sont closes depuis le 31 janvier, soit onze jours après le début de son mandat. Les chances du président américain d’obtenir le prix cette année étaient donc compromises…
L’article La Maison Blanche méprise la sélection du prix Nobel de la paix est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Le Parlement algérien va voter le budget 2026. Le pays fait face à un équilibre délicat. Le gouvernement veut relancer l’économie hors hydrocarbures. Il assume aussi un déficit budgétaire historique et des dépenses militaires record. L’Algérie doit manœuvrer entre ambition et contrainte.
Le projet de loi de finances prévoit un déficit de 40 milliards de dollars. Cela représente 12,4 % du PIB. Le gouvernement assume ce déficit. Il le présente comme un investissement nécessaire pour stimuler la croissance.
Les autorités misent sur l’agriculture, l’industrie et la construction. Elles veulent ainsi diversifier les revenus nationaux. Cette stratégie doit réduire la dépendance au pétrole. Cependant, ce déficit pèse lourdement sur les finances publiques. Il pourrait aussi augmenter la dette si la croissance n’est pas au rendez-vous.
La défense absorbe une part sans précédent du budget. Elle représente 25 milliards de dollars, soit plus de 20 % des dépenses totales. Ce montant dépasse les budgets combinés de plusieurs ministères civils.
Le gouvernement veut moderniser l’armée. Il agit dans un contexte régional instable. Mais cette priorité budgétaire laisse peu de marge pour d’autres secteurs essentiels. La santé, l’éducation ou les infrastructures manquent de fonds. Ce choix nourrit le débat sur les priorités nationales.
Le dinar algérien souffre sur le front monétaire. Officiellement, un dollar s’échange autour de 129 à 130 dinars. Sur le marché parallèle, le taux dépasse parfois le cours officiel de plus de 60 %.
Cette situation montre une défiance persistante envers la monnaie nationale. Cette différence réduit directement le pouvoir d’achat des ménages. Elle rend aussi l’inflation plus difficile à maîtriser.
Le gouvernement mise sur son atout majeur pour rééquilibrer la balance : l’énergie. Le secteur recevra 60 milliards de dollars d’investissement entre 2025 et 2029. 80 % de cette somme ira à l’exploration et à la production.
L’État veut aussi accélérer la transition vers les énergies renouvelables. Il prévoit 3 200 MW de projets solaires. L’objectif est double. Il vise à renforcer les recettes. Il cherche également à réduire la dépendance au pétrole brut.
Le budget 2026 reflète les dilemmes de l’économie algérienne. Le pays avance sur une ligne de crête. Il gère un déficit assumé, la pression sur le dinar et de fortes ambitions énergétiques. La diversification offre des perspectives claires. Mais la confiance économique et sociale reste un facteur clé pour réussir ce pari.
L’article Algérie 2026 : Équilibre Fragile entre Déficit, Armée et Diversification est apparu en premier sur WMC.
Quatre jours après sa démission, Sébastien Lecornu est reconduit à Matignon. L’Élysée mise sur la « continuité » pour arracher un budget 2026 dès lundi 13 octobre. Les oppositions promettent une censure immédiate. Le pays reste en impasse parlementaire.
À la suite d’une série d’entretiens à l’Élysée, Emmanuel Macron reconduit Sébastien Lecornu comme Premier ministre. L’annonce tombe en fin de journée ; Lecornu dit accepter «par devoir » et promet de livrer un budget d’ici la fin de l’année. Les premières réactions fusent : le RN parle de « mauvaise plaisanterie », la gauche refuse tout « chèque en blanc».
À l’aube, Lecornu entame son second passage à Matignon « sous un nuage d’incertitudes ». Il doit constituer en urgence une équipe (Finances, Budget, Sécu) et présenter lundi le projet de loi de finances 2026 en Conseil puis au Parlement. Son premier passage n’aura duré que 27 jours, un record de brièveté sous la Ve République.
Pour rallier des voix, la piste d’un débat parlementaire sur la réforme des retraites 2023 est remise à l’agenda ; les socialistes réclament aussi un impôt « milliardaires ». Lecornu promet un cabinet de « renouvellement et diversité » et demande aux entrants de renoncer à toute ambition présidentielle 2027. Rien n’est tranché sur les demandes de la gauche ; la droite demeure sceptique.
RN, LFI et alliés annoncent vouloir censurer le prochain gouvernement ; le PS laisse planer son choix tactique. Dans la majorité, des réserves émergent. Le pari de l’Élysée : trouver une majorité de circonstance pour éviter à la fois dissolution et blocage budgétaire.
Chronique d’une bataille parlementaire sous haute tension.
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Le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a indiqué que 673 millions de personnes continuent de souffrir de la faim dans le monde, insistant sur l’urgence de mettre en place des systèmes alimentaires durables. Son message a été diffusé à l’occasion de la Journée mondiale de l’alimentation, célébrée chaque 16 octobre.
« Aujourd’hui, dans le monde, 673 millions de personnes continuent de se coucher chaque soir le ventre vide », a déploré Antonio Guterres, appelant à une mobilisation globale pour garantir un accès universel à des aliments sains et nutritifs.
Le chef de l’ONU a rappelé qu’il y a 80 ans, dans un contexte marqué par la guerre, les pays avaient uni leurs efforts pour vaincre la faim. Depuis, des progrès significatifs ont été enregistrés dans la lutte contre la malnutrition.
Cependant, ces acquis sont aujourd’hui menacés par de nouvelles crises. Les chocs climatiques, les conflits et l’augmentation rapide de l’obésité représentent autant de défis à la sécurité alimentaire mondiale. Selon Guterres, il est impératif de mettre à profit les connaissances et les outils disponibles pour ne pas sacrifier les avancées obtenues au fil des décennies.
La Journée mondiale de l’alimentation constitue, selon le Secrétaire général, un appel à la solidarité au-delà des frontières, des secteurs et des communautés. « Il est crucial de construire des systèmes alimentaires qui nourrissent les populations et protègent la planète », a-t-il ajouté, insistant sur la nécessité d’agir de manière coordonnée et durable.
Guterres a également souligné l’importance d’assurer l’accès à des aliments de qualité, capables de soutenir la santé humaine tout en respectant les écosystèmes. Le message de l’ONU rappelle que l’alimentation est un droit fondamental et que chaque effort collectif peut contribuer à éradiquer la faim dans le monde.
L’article Journée mondiale de l’alimentation 2025 : Antonio Guterres alerte sur 673 millions de personnes souffrant de la faim est apparu en premier sur WMC.