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Khaled Khiari (SG adjoint de l’ONU) : impératif d’un cessez-le-feu immédiat à Gaza

24. Juli 2025 um 21:19

Le secrétaire général adjoint pour le Moyen-Orient de l’ONU, le Tunisien Khaled Khiari, exhorte le Conseil de sécurité à pousser en faveur d’un cessez-le-feu immédiat à Gaza et de la libération de tous les otages, avertissant que la guerre est devenue « un cauchemar d’une ampleur historique » et qu’« il est grand temps » de mettre fin aux combats et de permettre le retour des otages.

Il a déclaré aux ministres et aux ambassadeurs que les discussions en cours doivent aboutir à une fin permanente des hostilités, à l’entrée sans enclave de l’aide humanitaire, ainsi qu’au début de la reconstruction et du redressement.

Au passage, il a dressé un tableau extrêmement sombre de la situation sur le terrain, citant l’intensification des opérations militaires israéliennes, notamment à Deir Al-Balah, entraînant de nouveaux déplacements massifs.

Des locaux de l’ONU ont également été touchés, entravant les opérations humanitaires et aggravant une situation déjà catastrophique.

 

Le bilan humanitaire s’aggrave

Selon les chiffres des autorités sanitaires locales, au moins 1 891 Palestiniens ont été tués à Gaza depuis le 30 juin, dont 294 auraient été tués en tentant de récupérer de l’aide près de points de distribution militarisés.

Les ordres d’évacuation continuent de provoquer des déplacements répétés, tandis que l’insécurité alimentaire et la malnutrition s’aggravent, malgré une légère augmentation de l’entrée de l’aide humanitaire.

Côté israélien, 13 soldats ont été tués durant la même période. Les groupes armés palestiniens poursuivent des tirs sporadiques de roquettes vers Israël. Selon des sources israéliennes, 50 otages – dont 28 seraient morts – sont toujours détenus par le Hamas et d’autres groupes.

 

Lieux de culte frappés

Dans son discours, M. Khiari a également souligné les préoccupations croissantes concernant les victimes civiles et les attaques contre des sites protégés.

Il a par ailleurs condamné une frappe survenue le 17 juillet contre l’église catholique de la Sainte-Famille à Gaza, qui a tué trois personnes et en a blessé plusieurs autres. La frappe a forcé l’évacuation d’environ 600 Palestiniens, dont des enfants et des personnes handicapées, qui y avaient trouvé refuge.

Le bureau du Premier ministre israélien a exprimé ses regrets, qualifiant la frappe de « tir égaré » et a annoncé l’ouverture d’une enquête, selon M. Khiari.

Graves pénuries de carburant

Depuis le 9 juillet, Israël a autorisé des livraisons limitées de carburant via le point de passage de Kerem Shalom/Karim Abu Salem après 130 jours de blocus total.

Cependant, la quantité autorisée est « une infime partie de ce qui est nécessaire pour faire fonctionner les services vitaux à Gaza, où presque tous les aspects de la vie dépendent du carburant », a averti M. Khiari.

Cisjordanie occupée

Concernant la Cisjordanie occupée, M. Khiari a fait état de niveaux de violence élevés, notamment des opérations militaires israéliennes meurtrières, des attaques de colons contre des Palestiniens et des représailles palestiniennes contre des Israéliens.

Il a également souligné que l’Autorité palestinienne traverse une grave crise budgétaire, avec 2,7 milliards de dollars de recettes douanières retenues, l’empêchant de payer les salaires et d’assurer les services de base.

« Si elle n’est pas traitée de toute urgence, la dégradation de la situation budgétaire et institutionnelle de l’Autorité palestinienne pourrait avoir des conséquences catastrophiques, compromettant les progrès réalisés depuis des années dans la construction des institutions palestiniennes », a-t-il mis en garde, appelant à un soutien international immédiat.

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Italie – Algérie : la coopération énergétique, sécuritaire et migratoire au sommet

24. Juli 2025 um 14:05

À l’occasion d’un sommet bilatéral à Rome, jeudi 24 juillet 2025, la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, et le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, ont affiché une entente renforcée autour de la coopération énergétique, sécuritaire et migratoire.

Mme Meloni a saisi l’occasion pour saluer une relation « d’un niveau jamais atteint ». Laquelle est consolidée par la signature de nouveaux accords, notamment dans les secteurs du gaz, du pétrole et du numérique. Alors que par ailleurs les entreprises Sonatrach et ENI poursuivent leur rapprochement stratégique, comme le souligne l’AFP.

En effet, l’Italie, qui s’est tournée vers l’Algérie pour réduire sa dépendance au gaz russe, en a fait son premier fournisseur énergétique en Afrique, ajoute l’agence.

Et ce n’est pas tout, les deux pays ont aussi signé des accords dans plusieurs autres domaines, dont la défense, la lutte contre le terrorisme et contre l’immigration illégale.

Ainsi, l’agence française établit un parallèle entre cette coopération étroite entre Algériens et Italiens à l’inverse des relations entre l’Algérie et la France qui restent gelées, « sur fond de crise diplomatique persistante ».

A noter que le président algérien aura une rencontre avec le pape Léon XIV, d’origine augustinienne, un symbole fortement apprécié en Algérie, rappelle l’AFP.

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Les transferts des TRE et les recettes touristiques se sont élevés à plus de 8,5 milliards de dinars en 2024

24. Juli 2025 um 13:39

Les recettes touristiques sont en hausse de 8,1 % et les transferts des Tunisiens à l’étranger de 8,2 %. Tandis que le service de la dette extérieure recule légèrement. C’est ce qu’indiquent les derniers indicateurs monétaires et financiers de la Banque centrale de Tunisie, arrêtés au 20 juillet 2024.

Les recettes touristiques cumulées ont atteint 3 899,1 millions de dinars, enregistrant une hausse de 8,1 % par rapport à la même période de 2023. Les revenus du travail, principalement les transferts des Tunisiens résidents à l’étranger (TRE), ont également progressé de 8,2 %. Ils passent ainsi de 4 286,2 millions de dinars (MDT) en 2023 à 4640,5 MDT en 2024.

En parallèle, le service de la dette extérieure a légèrement diminué de près de 3 %, se situant à 8890,9 millions de dinars.

Ces chiffres confirment une dynamique positive dans les secteurs du tourisme et de la diaspora, deux sources essentielles de devises pour le pays.

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Energie : un forage très prometteur à Kébili reçoit l’appui des autorités publiques

24. Juli 2025 um 11:31

Le déficit énergétique est devenu une préoccupation majeure en Tunisie, et ce depuis de nombreuses années, pesant lourdement sur l’économie nationale. D’où l’importance d’encourage l’exploration et le forage de puits. Pour vous donner une idée, rien qu’en 2024, le déficit en énergie de la Tunisie a représenté 57 % du déficit commercial total du pays.

Durant les cinq premiers mois de l’année 2025, le pays a enregistré un déficit significatif de sa balance commerciale, estimé à 8,4 milliards de dinars. Plus de la moitié de ce déséquilibre, soit 4,3 milliards de dinars, provient du déficit de la balance énergétique.

Cette situation préoccupante s’explique essentiellement par une baisse continue de la production nationale d’hydrocarbures, en recul de 16 % en 2024 par rapport à 2023. Alors que la demande énergétique ne cesse de croître. Depuis 2010, la consommation a augmenté en moyenne de 3 % par an pour l’électricité et de 1,4 % pour les produits pétroliers.

Cette dynamique a entraîné une hausse constante des importations de pétrole et de gaz, accentuant la dépendance énergétique du pays. Les conséquences sont multiples : recours accru à l’endettement extérieur pour financer ces importations; baisse des réserves en devises; risque de dépréciation du dinar face au dollar et à l’euro; et hausse de l’inflation.

Comment le réduire le déficit énergétique?

Face à la lente progression du développement des énergies renouvelables – développement freiné notamment par des difficultés de financement – et à l’impossibilité de recourir à l’énergie nucléaire à moyen terme, la seule solution viable à court terme reste l’exploitation optimale des ressources nationales.

Dans ce contexte, chaque projet de forage de pétrole et de gaz revêt donc un caractère stratégique. Ainsi, les récents travaux de forage en cours dans la région de Kébili effectués par la société Mazarine Energy sont à même de constituer une bonne nouvelle pour l’économie tunisienne. Surtout que les premières estimations font état d’un potentiel de production important en pétrole et en gaz.

La prise de conscience des autorités quant à l’impact économique d’une meilleure valorisation des ressources nationales a permis de mobiliser un soutien institutionnel total en faveur de ce projet.

Cette orientation des autorités à tous les niveaux constitue une étape essentielle vers la réduction de la dépendance énergétique du pays.

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Un avion de ligne avec 49 personnes à son bord s’écrase en Russie

24. Juli 2025 um 10:57

Un avion de ligne transportant à son bord 49 personnes – dont cinq enfants – « a disparu des radars » en Russie ce jeudi 24 juillet. Le fuselage en flammes de l’appareil a été découvert par des secouristes, rapporte la chaîne de télévision BFMTV reprenant une dépêche de l’Agence France-Presse.

L’avion de ligne a disparu des radars dans la région de l’Amour (Extrême-Orient russe), a déclaré le gouverneur de la région, Vassili Orlov, cité par l’AFP. « Les services d’urgence ont annoncé qu’un avion de ligne Antonov-24 qui effectuait un vol entre Blagovechtchensk et Tynda avait disparu des radars aujourd’hui », a-t-il affirmé sur Telegram.

Selon le communiqué de presse du parquet des transports d’Extrême-Orient, l’avion a disparu du radar après avoir effectué une deuxième approche pour atterrir à l’aéroport de Tynda.

L’avion An-24 d’Angara Airlines, qui n’a fait part d’aucun signal concernant d’éventuels problèmes dans les airs, « n’a pas répondu à la communication à un point de contrôle situé à plusieurs kilomètres de l’aéroport de Tynda », indique pour sa part l’agence de presse russe TASS dans un communiqué.

Par conséquent, « la version envisagée par les autorités est celle d’une erreur de l’équipage, qui a heurté une colline lors de l’atterrissage par mauvais temps. D’autres versions seront également étudiées », selon une autre source citée par l’agence.

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L’incendie sur l’autoroute entre Hammamet et Tunis maîtrisé

24. Juli 2025 um 10:25

Un important incendie s’est déclaré dans la soirée de mercredi 23 juillet 2025 en bordure de l’autoroute A1, dans le sens Hammamet–Tunis aux abords d’une station d’essence, se propageant sur un terrain agricole dans la région de Grombalia.

C’est en tout cas ce que montrent des vidéos postées sur Facebook mettant en lumière – sans jeu de mot –  les dégâts du sinistre : des flammes imposantes ont ravagé la végétation sèche le long de l’autoroute; tandis qu’un épais nuage de fumée noire s’élevait dans le ciel, réduisant fortement la visibilité sur cet axe stratégique reliant le nord au centre du pays, écrit un site de la place.

A noter que cet incendie, aussi spectaculaire qu’il paraisse, semble pas avoir intéressé les médias en ligne. A se demander!

Cependant, après la peur des usagers, les unités de la protection civile sont parvenues très rapidement à maîtriser les flammes et empêcher ainsi leur propagation à d’autres zones.

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Tunisie – Météo : avec 47 degrés, Tozeur a été la région la plus chaude mercredi 23 juillet

24. Juli 2025 um 07:48

Le gouvernorat de Tozeur a été la région ayant enregistré la température la plus élevée, le mercredi 23 juillet 2025, quelque 47 degrés, selon les données de l’Institut national de météorologie (INM) publiées dans la soirée du 23 juillet. Mais les gouvernorats de Kébili et Kairouan ont eux aussi été très touchés, avec des températures qui ont atteint les 46 degrés.

Cette vague de chaleur a également affecté d’autres gouvernorats à l’instar de Siliana, Jendouba et Gafsa (près de 45 degrés), Sidi Bouzid, Béja et Le Kef (44 degrés), selon les mêmes données.

L’INM avait déjà averti d’une hausse des températures ce mercredi, dans le cadre d’une vague de chaleur qui devrait se poursuivre jeudi et vendredi.

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Crise de la dette : la révolution blockchain peut-elle sauver les États ?

23. Juli 2025 um 14:02

« SOS Économie en détresse… Les chiffres sont là. La dette publique américaine s’élève aujourd’hui à près de 37 000 milliards de dollars. Un chiffre vertigineux, qui ne surprend plus vraiment tant il est devenu une constante du paysage économique global. Pourtant, derrière cette inertie apparente se cache un poids structurel considérable, qui ne freine pas seulement les finances publiques, mais étouffe aussi l’innovation du secteur privé ».

Voilà l’entame d’un article intitulé “Bitcoin et blockchain : Les solutions à la crise de la dette des Etats ?“ qui à la fois alerte et éclaire. Il est paru dans le site du Journal Du Coin.

C’est un autre article publié par Forbes qui aurait attiré l’auteure – une certaine Magali Bourdou – dudit article. En effet, Brian Domitrovic, historien et auteur du livre “Free Money“, suggère l’hypothèse suivante : « Et si la blockchain, et plus précisément le Bitcoin, pouvait contribuer à sortir de cette impasse ? (entendez la “… crise de la dette des Etats“, ndlr). Non pas en annulant magiquement les dettes, mais en ouvrant une brèche dans le monopole des obligations d’État comme référence “sans risque“ ».

 

La dette publique américaine a atteint un niveau vertigineux de près de 37 000 milliards de dollars, exerçant une pression considérable sur l’innovation financière. Le Bitcoin et la blockchain pourraient offrir une alternative au monopole des obligations d’État en créant des instruments financiers décentralisés, traçables et programmables.

 

Pour rentrer dans le vif du sujet, Magali Bourdou présente deux idées-forces de son article, à savoir : la dette publique américaine a atteint un niveau vertigineux de près de 37 000 milliards de dollars, exerçant une pression considérable sur l’innovation financière; le Bitcoin et la blockchain pourraient offrir une alternative au monopole des obligations d’État en créant des instruments financiers décentralisés, traçables et programmables.

Selon notre consœur, Brian Domitrovic s’inquiète moins du «… montant astronomique de la dette », que du «… fait qu’elle soit devenue la norme mondiale de la sécurité financière ». Pour étayer ses propos, elle rappelle que « les obligations du Trésor américain sont utilisées comme étalon dans le calcul des taux d’intérêt. Cette domination empêche l’émergence de véritables alternatives privées », ajoute-t-elle.

Et elle poursuit l’explication. « Depuis des décennies, le gouvernement américain pousse les banques à intégrer ces obligations dans leurs bilans, souvent au détriment de produits financiers innovants. Le marché privé est ainsi dans l’incapacité de développer ses propres titres “sans risque”, pourtant nécessaires à une diversification saine de l’économie ».

 

Lire aussi : Le GENIUS Act marque un tournant majeur pour la crypto aux États-Unis

 

Cependant, tout n’est pas perdu, notamment avec le développement technologique. Ainsi, sous l’intertitre Blockchain : Des titres financiers décentralisés à portée de clic“, Magali Bourdou pense que «… grâce à la technologie blockchain, il devient techniquement possible de créer des instruments financiers décentralisés, traçables, transparents et programmables. On parle déjà de smart bonds, ces obligations intelligentes dont le cycle de vie est entièrement automatisé par des contrats intelligents ».

Et ce qui paraissait ou était de la science-fiction il y a de cela quelques années, ne l’est pas aujourd’hui. La preuve? « En 2018, la Banque mondiale lançait le projet Bond-i pour émettre des obligations sur une infrastructure blockchain », rappelle l’auteure. Six ans plus part, en février 2024, Hong Kong franchissait une nouvelle étape avec l’émission de 750 millions de dollars via une blockchain privée développée par HSBC. « La transaction, d’une efficacité redoutable, s’est réglée en une journée, contre cinq habituellement ». Sans doute, cela avait poussé la BEI (Banque européenne d’investissement) à s’engouffrer elle aussi dans la brèche, toujours selon Magali Bourdou.

 

« En 2018, la Banque mondiale lançait le projet Bond-i pour émettre des obligations sur une infrastructure blockchain », rappelle l’auteure. Six ans plus part, en février 2024, Hong Kong franchissait une nouvelle étape avec l’émission de 750 millions de dollars via une blockchain privée développée par HSBC.

 

En tout cas, toutes études montrent que « la blockchain offre une réduction de coûts, une accélération des règlements (T+1), une meilleure traçabilité et une transparence accrue. Bref, tout ce que la finance traditionnelle réclame depuis des années ».

Comment desserrer les freins politiques et juridiques?

Toutefois, cette avancée technologique se heurte à des entraves réelles, tient à le rappeler Mme Bourdou. « D’abord, les systèmes bancaires actuels, dits legacy, sont rarement compatibles avec les blockchains. Ensuite, il n’existe pas encore de cadre juridique harmonisé pour reconnaître et encadrer ces nouveaux instruments. Quel statut donner à une obligation entièrement gérée par code? Comment l’intégrer dans le droit financier classique? », s’interroge-t-elle.

Mais quid des intérêts géopolitiques? « Car admettre que le privé, via des protocoles décentralisés comme Ethereum ou Bitcoin, puisse émettre des actifs sûrs revient à remettre en cause le monopole implicite des États sur la confiance ».

Dans ce sens, notre consœur rappelle une citation de l’ancien président de la Fed, Alan Greenspan : « Il serait poignant que les titres de la dette fédérale mordent la poussière, alors que l’innovation des titres privés prendrait le relais ».

A partir de là, on arrive à la “nouvelle hiérarchie de la confiance“, à savoir la crypto et la blockchain.

Notre journaliste-analyste souligne : « La blockchain propose de reconstruire la confiance autrement. Non plus en s’appuyant sur la parole de l’État, mais sur la rigueur d’un protocole informatique, immuable et transparent. À condition, bien sûr, que cette confiance soit partagée, comprise et adoptée ».

 

« La blockchain propose de reconstruire la confiance autrement. Non plus en s’appuyant sur la parole de l’État, mais sur la rigueur d’un protocole informatique, immuable et transparent. À condition, bien sûr, que cette confiance soit partagée, comprise et adoptée ».

 

Dans ce cadre, elle rappelle que de nombreuses initiatives émergent ici et là pour construire ce pont entre finance traditionnelle et finance décentralisée. L’International Capital Market Association (ICMA) travaillerait sur des standards pour l’émission de titres blockchain. Dans la même optique, des banques centrales testent actuellement des émissions pilotes. Et de son côté, le Trésor britannique a même évoqué la possibilité de lancer ses propres gilts tokenisés, précise Mme Bourdou.

Cependant, «… ce mouvement reste lent, fragmenté et parfois freiné par des réticences idéologiques ou corporatistes. Pour que la promesse devienne réalité, il faudra une impulsion coordonnée : des régulateurs audacieux, des institutions bancaires prêtes à évoluer et des investisseurs convaincus que la confiance ne réside plus uniquement dans le drapeau imprimé sur un bon du Trésor ».

 

« Bitcoin et la blockchain ne règleront pas la crise de la dette d’un coup de baguette magique. Mais ils offrent une opportunité : celle de désétatiser partiellement la sécurité financière… »

 

Voici la conclusion qui mérite d’être considérée dans sa juste valeur : « Bitcoin et la blockchain ne règleront pas la crise de la dette d’un coup de baguette magique. Mais ils offrent une opportunité : celle de désétatiser partiellement la sécurité financière. En laissant au privé la capacité de créer des titres alternatifs crédibles, adossés à des mécanismes technologiques robustes, on pourrait enfin sortir d’un système hypertrophié et redonner à l’innovation financière l’espace qu’elle mérite.

La blockchain ne sauvera pas les États. Mais elle pourrait bien sauver la finance de ceux-ci ».

A bon entendeur, salut !

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Autosuffisance alimentaire : la Tunisie au 6ème rang africain

23. Juli 2025 um 09:15

Selon une étude parue en mai 2025 dans la revue Nature Food, la Tunisie occupe le 6ᵉ rang en Afrique pour l’autosuffisance alimentaire.

Elle atteint 188 % pour les fruits et 170 % pour les produits laitiers. Par contre, notre pays reste dépendant des importations de céréales, avec un taux d’autosuffisance de seulement 18 %.

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Passeport ou visa contre cryptomonnaies: ces 4 pays ont franchi le pas

23. Juli 2025 um 08:56

Pour ceux qui ont encore peur des cryptomonnaies, voici quatre exemples édifiants à même de faire changer d’opinion ou conviction plus d’un.

C’est en tout cas ce que révèle le site Le Journal du Coin. « Et si vos bitcoins vous ouvraient les portes d’un second passeport ou d’un visa de résidence ? Plusieurs pays proposent aujourd’hui des programmes d’immigration par investissement… et certains acceptent les paiements en cryptomonnaies ». Oui, vous avez bien lu : paiement en cryptomonnaies.

Dans une analyse récente, Cointelegraph dresse la liste des destinations qui misent sur la blockchain pour attirer les investisseurs du monde entier. Tour d’horizon des opportunités.

Vanuatu : Le passeport express

Le Vanuatu se distingue avec l’un des programmes de citoyenneté les plus rapides du monde : entre 30 et 60 jours. Pour une contribution de 130 000 dollars (ou 180 000 $ pour une famille), vous pouvez obtenir la nationalité vanuataise. Le gouvernement n’accepte pas directement les cryptos, mais des agents agréés peuvent convertir vos actifs numériques en monnaie fiduciaire pour finaliser la procédure.

Pourquoi c’est intéressant :

  • Processus 100 % à distance;

  • Pas de test de langue ni d’obligation de résidence;

  • Double nationalité autorisée;

  • Exonération d’impôts sur les revenus, les plus-values, l’héritage;

  • Accès sans visa à plus de 90 pays.

Un choix populaire pour les nomades numériques et les entrepreneurs cryptos en quête de flexibilité et de sécurité.

Caraïbes : passeports rapides à la Dominique et à Sainte-Lucie

Ces deux États insulaires proposent des citoyennetés économiques attractives, accessibles en quelques mois. Les dons requis sont de 200 000 $ (Dominique) et 240 000 $ (Sainte-Lucie). Plusieurs agences agréées acceptent les cryptomonnaies — notamment Bitcoin et USDT — qu’elles convertissent ensuite pour respecter les conditions gouvernementales.

Les plus :

  • Traitement rapide (moins d’un an);

  • Passeports puissants (voyages sans visa vers l’UE, le Royaume-Uni, Singapour…);

  • Inclusion de toute la famille;

  • Aucune obligation de résidence ou de test linguistique;

Ces programmes séduisent ceux qui cherchent une citoyenneté secondaire stable, avec des démarches simples et compatibles avec les actifs numériques.

Portugal : le visa doré crypto-friendly

Le Portugal continue d’attirer les investisseurs avec son visa doré, offrant un droit de résidence en échange d’un investissement de 500 000 € dans des fonds qualifiés. Depuis 2023, les investissements doivent cibler l’innovation, les sciences ou les entreprises locales. Bien que les cryptos ne soient pas directement acceptées, certains fonds agréés offrent une exposition au secteur blockchain.

Ce qu’on y gagne :

  • Droits de résidence dans toute l’UE:

  • Voie vers la citoyenneté après cinq ans;

  • Aucune obligation de résidence permanente:

  • Environnement fiscal avantageux pour les cryptos;

  • Inclusion de la famille.

Une option solide pour les investisseurs cryptos cherchant à s’installer au cœur de l’Europe, dans un cadre légal structuré.

Salvador : le premier visa 100 % crypto

Pionnier dans l’adoption du Bitcoin, le Salvador a lancé en 2023 le Visa Liberté, un programme d’immigration inédit, entièrement basé sur les cryptomonnaies. Moyennant un investissement d’un million de dollars en BTC ou USDT, les candidats peuvent obtenir à la fois la résidence et une naturalisation accélérée.

Ce qui le rend unique :

  • Processus rapide : environ six semaines;

  • Pas d’obligation de résidence physique;

  • Aucun intermédiaire fiduciaire : paiement direct en crypto;

  • Contribution au développement économique du pays.

C’est la première offre gouvernementale qui permet d’acheter une citoyenneté uniquement avec des cryptomonnaies.

In fine, que vous visiez un passeport rapide dans les Caraïbes, une résidence européenne au Portugal ou une citoyenneté 100 % crypto au Salvador, votre portefeuille numérique peut désormais devenir votre meilleur allié pour franchir les frontières.

Alors… Prêt à transformer vos bitcoins en liberté de mouvement ?

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Massad Boulos, émissaire de Trump, en visite officielle en Tunisie

22. Juli 2025 um 18:32

L’administration Trump semble porter une attention croissante à l’Afrique du Nord, notamment à l’Algérie, au Maroc, à la Libye et à la Tunisie. Dernier signe en date : l’arrivée à Tunis, ce mardi 22 juillet, de Massad Boulos, principal conseiller de Donald Trump et membre influent de son entourage.

Selon The Libyan Express, Massad Boulos devrait s’entretenir avec le président de la République Kaïs Saïed, ainsi qu’avec le ministre des Affaires étrangères Mohamed Ali Nafti. Ces rencontres devraient porter sur divers sujets d’intérêt commun, allant des questions bilatérales aux enjeux régionaux.

D’après d’autres sources locales, cette visite s’inscrit dans un contexte diplomatique particulièrement chargé. L’Afrique du Nord est aujourd’hui au cœur de plusieurs tensions, notamment le dossier du Sahara occidental qui oppose Rabat à Alger, la problématique de la migration irrégulière, ou encore l’activisme renouvelé de la diplomatie américaine sur le continent. Rappelons, à ce titre, les récents efforts de médiation à l’est de la RD Congo, ou encore la réception de cinq chefs d’État africains à la Maison Blanche.

Ce déplacement de Massad Boulos intervient également alors que Washington a récemment imposé une taxe de 25 % sur certains produits tunisiens exportés vers les États-Unis — un sujet qui ne manquera pas d’être abordé lors des discussions.

Le choix de dépêcher Massad Boulos n’est pas anodin. Homme d’affaires d’origine libanaise bien connu dans les milieux économiques, il est aussi le gendre du président Trump, ce qui renforce le poids symbolique et stratégique de sa mission.

Faut-il y voir une tentative des États-Unis de réaffirmer leur présence dans une région désormais disputée par d’autres puissances comme l’Union européenne, la Russie, la Chine, ou encore, dans une moindre mesure, la Turquie ?

L’avenir nous le dira.

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Business du Foot : AC Prato dans l’escarcelle d’une Marocaine

22. Juli 2025 um 14:27

Le club italien AC Prato, évoluant en Série D, change de mains. Il a été officiellement racheté par Finres S.p.A., une société d’investissement basée à Florence et détenue par Asmaa Gacem, une entrepreneure marocaine âgée seulement de 31 ans.

Dans un communiqué publié récemment, le club a annoncé que le groupe Humanativa a cédé 100 % des parts du club biancazzurro à Finres S.p.A. pour un montant de plus de 800 000 euros, rapporte le site marocain bladi.net. L’accord prévoit que la nouvelle propriétaire prendra en charge l’intégralité des dettes du club, y compris le paiement des salaires en retard des joueurs et du staff technique. Une condition essentielle pour valider l’inscription du club au championnat de Série D avant la date butoir du 21 juillet.

Le président actuel, Stefano Commini, restera en poste le temps de finaliser les démarches administratives nécessaires à l’enregistrement du club pour la saison 2025/2026.

« Ma joie est immense car le club est sauvé, et c’est ce qui compte », a réagi le vice-président de la FIGC Toscane. Tout en appelant à observer avec attention les intentions de la nouvelle direction. Il a également souligné que Commini a « agi en entrepreneur » en vendant le club à un prix élevé, mais que les investisseurs locaux peuvent nourrir des regrets : « C’est une occasion manquée. Le fait que ce soit Finres qui intervienne pour sauver le Prato doit faire réfléchir », relate bladi.net.

A noter que Finres S.p.A. est une holding industrielle qui détient notamment Alpha General Contractor, entreprise active dans le secteur du BTP et des grands travaux. Alpha figure à la troisième place du classement « Leaders de la croissance 2025 » établi par Il Sole 24 Ore et Statista.

Sous la direction d’Asmaa Gacem, qui a fondé Finres en 2019, la société a connu une ascension fulgurante : 60 millions d’euros de chiffre d’affaires et 3,7 millions de bénéfices en 2023; contre seulement 658 000 euros de chiffre d’affaires et aucun bénéfice en 2020.

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L’Unesco perd les Etats-Unis d’Amérique

22. Juli 2025 um 14:05

Après l’OMS, l’OMC, l’Accord de Paris sur le climat, et bien d’autres, Donald Trump vient d’annoncer le retrait des Etats-Unis de l’Unesco, pour les « tendances anti-américaines et anti-israéliennes de l’Organisation des Nations unies ainsi que son programme woke », accuse-t-il.

A rappeler que Trump avait déjà retiré son pays de l’Unesco en 2017, lors de son premier mandat. C’est désormais autour de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture d’enregistrer le retrait de la première puissance économique du monde.

Dans un communiqué, la porte-parole du département d’État, Tammy Bruce, écrit : « La poursuite de la participation des États-Unis à l’Unesco n’est pas dans l’intérêt national ». Selon Le figaro, Mme Bruce accuse l’agence « de parti pris contre Israël et promeut des causes clivantes ».

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Le GENIUS Act marque un tournant majeur pour la crypto aux États-Unis

20. Juli 2025 um 20:11

Les Etats-Unis viennent de franchir un pas important dans le domaine des cryptomonnaies, avec l’adoption par la Chambre des représentants américaine, le 17 juillet 2025, et signée par Donald Trump. Celle-ci impose des règles claires sur le secteur des cryptomonnaies. Cette loi établit un cadre réglementaire pour les émetteurs de stablecoins.

Les trois idées principales à retenir :

  • La loi GENIUS, signée par Trump, établit pour la première fois un cadre réglementaire majeur pour les stablecoins, soutenu par un large vote bipartite.
  • Elle vise à renforcer la confiance des consommateurs dans la cryptomonnaie, tandis que Trump ambitionne de faire des États-Unis la capitale mondiale du secteur.
  • En parallèle, la Chambre des représentants a également adopté deux autres lois, le CLARITY Act et l’Anti-CBDC, pour soutenir davantage l’industrie crypto.

Baptisée GENIUS ACT, cette loi constitue « la première loi majeure régissant les monnaies numériques et établit un cadre réglementaire pour le marché des stablecoins », lit-on dans coinspeaker.com. Ils pèsent 250 milliards de dollars.

Considérés comme des cryptomonnaies relativement sûres, les stablecoins ont leur valeur adossée à d’autres actifs, notamment le dollar.

Selon notre source, plusieurs personnalités étaient présentes lors de la cérémonie de signature. Parmi elles, des membres du Congrès et des dirigeants de Robinhood, Tether, Gemini et d’autres sociétés cryptographiques et financières.

Mais tout n’était pas gagné, et « le sort du GENIUS Act était incertain en début de semaine », parce qu’une douzaine de conservateurs avaient bloqué un vote de procédure. Mais « en fin de compte, les opposants ont fait un compromis, et c’est ainsi que la législation a pu avancer.

L’objectif principal du GENIUS ACT est d’accroître la confiance des consommateurs dans le domaine de la cryptomonnaie. Son adoption arrive à point nommé pour Trump qui avait promis à plusieurs reprises de faire des États-Unis la capitale mondiale des cryptomonnaies, explique coinspeaker.com.

Le vote du GENIUS ACT vient en quelque sorte récompenser le locataire de la Maison Blanche qui avait bénéficié des sommes astronomiques pour l’aider Trump à remporter les élections de 2024.

De ce point de vue, il y a des craintes que certaines dispositions de la loi GENIUS ne soient pas respectées. En effet, l’une de ces dispositions « interdit aux membres du Congrès et à leurs familles de tirer profit des stablecoins. Or, cette interdiction ne s’étend pas au président et à sa famille ». 

D’ailleurs, « à l’heure actuelle, Donald Trump bâtit un empire cryptographique depuis la Maison Blanche. Sa famille détient une participation importante dans World Liberty Financial. C’est un projet cryptographique qui a lancé son propre stablecoin au début de l’année. La crypto a bénéficié d’un fonds d’investissement initial des Émirats arabes unis ».

Deux autres projets de loi ont été adoptés par la Chambre des représentants jeudi 17 courant, en l’occurrence le CLARITY Act et le Anti-CBDC. Leur objectif essentiel est d’aider l’industrie de la cryptomonnaie.

« L’un crée une nouvelle structure de marché pour la cryptomonnaie. L’autre interdit à la Réserve fédérale d’émettre une nouvelle monnaie numérique. Les deux mesures sont désormais transmises au Sénat ».

Maintenant, que feront les autres pays pour être dans le train du développement de la cryptomonnaie ?

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Japon – Elections: le PLD et Komeito perdent le Sénat

20. Juli 2025 um 17:24

Lors des élections sénatoriales du dimanche 20 juillet au Japon, la coalition gouvernementale du Premier ministre Shigeru Ishiba – composée du Parti libéral-démocrate (PLD, droite conservatrice) et de son allié centriste Komeito – a perdu sa majorité absolue à la chambre haute du Parlement (Sénat).

Selon nos confrères de RFI, « après avoir déjà perdu le contrôle de la chambre basse en octobre 2024, la coalition est créditée de 41 sièges selon des projections des médias, loin des 50 nécessaires pour maintenir sa majorité. Un revers sur fond de forte inflation et de poussée du parti anti-immigration Sanseito ».

A l’inverse, le parti populiste anti-immigration, Sanseito, a réalisé une percée spectaculaire lors de ces élections sénatoriales qui concernaient le renouvellement 125 des 248 sièges de la chambre haute. En effet, le Sanseito – Le Japon d’abord » -, qui ne comptait jusque-là que deux sièges, en a remporté entre 10 et 22, selon les projections des médias nippons. Cependant, loin de pouvoir gouverner.

Il s’agit donc d’un revers historique pour la coalition gouvernementale du Premier ministre Shigeru Ishiba, qui ne serait crédité que de 41 sièges, loin des 50 nécessaires pour conserver la majorité absolue. « Déjà minoritaire à la chambre basse depuis les élections anticipées de l’automne 2024, le gouvernement perd ainsi le contrôle des deux chambres du Parlement ». Et c’est une situation inédite depuis la Seconde Guerre mondiale, comme l’avait prévenu, quelques jours avant l’élection, Toru Yoshida, Pr de sciences politiques à l’Université Doshisha.

Causes

Certains analystes expliquent cette défaite par le refus du PLD de baisser les impôts pour lutter contre l’inflation, baisse pourtant réclamée par de nombreux ménages japonais.

Ainsi, « l’échec du PLD et de Komeito, au pouvoir presque sans interruption depuis 1955, s’explique par une conjoncture économique : inflation persistante (+3,3 % en juin hors produits frais), flambée des prix du riz et tension commerciale avec les États-Unis. Les ventes automobiles vers ce pays ont chuté d’un quart en raison de surtaxes imposées par Washington, qui menace d’étendre ces droits de douane à 25 % au 1er août », écrit TFI.

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Sahel: attention, la distribution de l’eau sera perturbée ce dimanche

20. Juli 2025 um 16:29

La Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (SONEDE) annonce la perturbation de la distribution de l’eau potable dans plusieurs zones du Sahel, dans la soirée de ce dimanche 20 juillet 2025.

La SONEDE explique cette perturbation par une coupure de courant survenue à la station de surpression SS3 de Boumerdes, dans la région de Bembla, intervenue entre 1h29 et 2h39 du matin. Du coup, cette panne électrique a impacté le fonctionnement normal du système de pompage et de distribution de l’eau.

Voici les zones concernées par cette interruption de la distribution de l’eau potable :

  • Les hauteurs des villes de Salakta et Ksour Essef (gouvernorat de Mahdia)

  • Les hauteurs de Oued Béja, Sakiet El Khadem et de la ville de Sidi Alouane (gouvernorat de Mahdia)

  • Les hauteurs de la ville de Mahdia

  • Les hauteurs de la ville de Ksar Hellal

  • Les hauteurs de la ville de El Moknine

  • Les hauteurs de la ville de Jemmel

La Sonede assure que le rétablissement du service est en cours et que ses équipes techniques œuvrent à rétablir une distribution normale dans les meilleurs délais.

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Arabie saoudite : Décès du prince Walid ben Khaled, après 20 ans dans le coma

20. Juli 2025 um 09:02

Surnommé “le prince endormi”, le prince saoudien Walid ben Khaled ben Talal Al Saoud, neveu de l’actuel souverain Salmane, est décédé dans la nuit de samedi 19 juillet après avoir passé vingt ans dans le coma, annonce la cour royale saoudienne.

En effet, il était plongé dans cet état comateux depuis 2005 à la suite d’un grave accident de la route survenu à Londres alors qu’il poursuivait ses études dans une académie militaire. On se rappelle que son cas avait profondément ému l’opinion publique aussi bien en Arabie saoudite que dans plusieurs autres Etats arabes.

Son décès marque la fin d’un long et poignant combat silencieux contre la fatalité. Car, comme l’écrit un site tunisien, « la famille de Walid ben Khaled avait toujours refusé de débrancher les appareils, car elle espérait un miracle, et partageait régulièrement des nouvelles de son état, suscitant compassion et prières sur les réseaux sociaux ».

Paix à son âme.

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Tireurs d’élite: la Garde nationale tunisienne au 2ᵉ rang mondial

20. Juli 2025 um 08:45

L’Unité spéciale de la Garde nationale tunisienne (USGN) a remporté la 2ᵉ place mondiale, lors de la compétition internationale des tireurs d’élite dénommée « Sharp Blade 2025 », organisée à Urumqi, dans la région du Xinjiang (Chine), du 15 au 19 juillet 2025.

A noter au passage que cette compétition a réuni quelque  50 équipes venue d’une vingtaine de pays.

L’équipe tunisienne, qui était composée de trois membres d’élite de l’USGN, s’est distinguée par des performances exceptionnelles, tout au long des 12 épreuves mêlant précision, combat tactique et situations complexes.

Grâce à leur discipline, leur sang-froid et leur maîtrise technique, les tireurs d’élite tunisiens ont décroché cette seconde place ; ce qui constitue un résultat honorable qui souligne le haut niveau de préparation et d’efficacité de cette unité plus que centenaire, écrit un confrère de la place

« Cette performance illustre clairement la capacité opérationnelle et la préparation avancée de l’USGN. Elle renforce, également, la réputation internationale de la Tunisie dans le domaine des interventions tactiques et de la lutte contre le terrorisme ».

Bravo!

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Corruption et drogues : Saïed tire la sonnette d’alarme sur les maisons de jeunes

18. Juli 2025 um 23:13

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, vendredi 18 juillet au Palais de Carthage, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Sadok Mourali. L’entretien a porté sur le projet de loi organique relatif aux structures sportives.

Le chef de l’État a insisté sur l’urgence de mettre fin à l’ambiguïté juridique qui entoure le secteur, tiraillé entre un professionnalisme mal défini et un amateurisme sans cadre clair. Il a également dénoncé la prolifération des réseaux de courtage et de corruption dans le milieu sportif.

Rappelant les textes fondateurs de ce secteur, Saïed a souligné que l’éducation physique et sportive doit contribuer à la formation des citoyens, à leur intégration sociale et à leur épanouissement physique et intellectuel.

Il a saisi l’occasion pour saluer les exploits des athlètes tunisiens sur la scène internationale, portés par leur compétence et leur patriotisme.

Cependant, il a déploré le recul des performances nationales, notamment dans les disciplines collectives, en raison de choix « non innocents » et de la dégradation des infrastructures sportives. L’urbanisation rapide a aussi contribué à la disparition des espaces de jeu et d’activités pour les jeunes, au détriment de leur bien-être et de leur développement.

S’agissant des maisons de jeunes, le président a dressé un constat sévère : autrefois foyers de culture, de sport et d’éducation, beaucoup sont aujourd’hui laissées à l’abandon.

Pire encore, certaines sont devenues des lieux marqués par la corruption et la consommation de drogues.

Kaïs Saïed a souligné la nécessité d’une refonte législative profonde, non seulement dans le domaine sportif, mais dans tous les secteurs, afin de redonner aux institutions publiques leur rôle central et de mettre un terme aux dérives qui minent la société tunisienne.

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