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Heute — 19. Juni 2025Haupt-Feeds

La Bourse a terminé la séance de jeudi 19 juin, en hausse

La Bourse de Tunis a terminĂ© la sĂ©ance de jeudi 19 juin, sur une note positive. L’indice de rĂ©fĂ©rence, le Tunindex, a progressĂ© de 0,6 % pour atteindre 11 191 points, dans un volume d’échanges limitĂ© Ă  4,5 millions de dinars (MD). Une transaction de bloc portant sur le titre AMEN BANK a dynamisĂ© la sĂ©ance, reprĂ©sentant une enveloppe de 1 MD, selon l’analyse quotidienne de l’intermĂ©diaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

Analyse des valeurs :

Le titre CELLCOM s’est illustrĂ© en tĂȘte du palmarĂšs. L’action du distributeur de « smart devices Â» a grimpĂ© de 4,3 % Ă  1,930 D, dans un volume modeste de 8 mille dinars.

MONOPRIX figure Ă©galement parmi les meilleures performances. Le titre du spĂ©cialiste de la grande distribution a gagnĂ© 4 % pour s’établir Ă  5,450 D, avec des Ă©changes s’élevant Ă  19 mille dinars.

À l’inverse, STIP a accusĂ© la plus forte baisse de la sĂ©ance. L’action du fabricant de pneus a reculĂ© de 4,1 % Ă  2,790 D, sans gĂ©nĂ©rer de volume d’échange.

Parmi les replis notables, le titre UADH a perdu 4 % à 0,480 D. Le holding automobile du groupe Loukil a enregistré un volume limité de 23 mille dinars.

Enfin, AMEN BANK a été la valeur la plus échangée de la séance, avec un volume de 1,1 MD. Malgré cette activité soutenue, le titre a cédé 0,8 % pour clÎturer à 37,600 D.

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ARP : Séance pléniÚre, lundi 7 juillet

RĂ©uni jeudi 19 juin, au palais du Bardo sous la prĂ©sidence de Brahim Bouderbala, le bureau de l’AssemblĂ©e des reprĂ©sentants du peuple (ARP) a fixĂ© au lundi 7 juillet la tenue d’une sĂ©ance plĂ©niĂšre consacrĂ©e Ă  un dĂ©bat avec le ministre de l’Enseignement supĂ©rieur et de la Recherche scientifique.

Par ailleurs, trente-neuf questions écrites adressées aux membres du gouvernement ont été transmises à leurs destinataires.

Le bureau a mandatĂ© son prĂ©sident pour fixer la date d’une sĂ©ance plĂ©niĂšre consacrĂ©e Ă  l’examen du projet de loi portant ratification de l’accord de prĂȘt conclu le 24 septembre 2024 entre la Tunisie et l’Agence française de dĂ©veloppement (AFD), destinĂ© Ă  moderniser l’Office national de la protection civile.

Le projet de loi approuvant l’accord de garantie signĂ© le 12 mars 2025 entre la Tunisie et la SociĂ©tĂ© internationale islamique de financement du commerce (ITFC) a, quant Ă  lui, Ă©tĂ© transmis Ă  la Commission des finances. Cet accord concerne un contrat conclu avec la SociĂ©tĂ© tunisienne d’électricitĂ© et de gaz (STEG) pour l’importation de gaz naturel.

Enfin, deux initiatives parlementaires ont Ă©tĂ© renvoyĂ©es Ă  la Commission de l’organisation de l’administration et de la bonne gouvernance. Il s’agit d’un projet d’amendement de la loi organique n° 2017-10 relative Ă  la protection des lanceurs d’alerte, ainsi que d’une proposition de crĂ©ation d’une nouvelle municipalitĂ© regroupant les localitĂ©s d’« El-Mansoura – Rabta – Telmine – Tennib – Tanbar » dans le gouvernorat de KĂ©bili.

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Rejets polluants à Monastir : le FTDES appelle à l’urgence environnementale

Le Forum tunisien pour les droits Ă©conomiques et sociaux (FTDES) a renouvelĂ©, jeudi 19 juin, son appel Ă  la proclamation d’un Ă©tat d’urgence environnementale dans le golfe de Monastir. L’organisation plaide en faveur de mesures urgentes, mais aussi de solutions Ă  moyen et long terme, afin de prĂ©server les Ă©cosystĂšmes menacĂ©s et de sauver les filiĂšres de production locales gravement affectĂ©es par la pollution persistante.

Constatant la persistance des rejets polluants, qu’ils soient domestiques ou industriels, issus des stations d’épuration de l’Office national de l’assainissement (ONAS) ainsi que des usines opĂ©rant dans la rĂ©gion de Sayada-Lamta-Bouhjar, le Forum tunisien pour les droits Ă©conomiques et sociaux (FTDES) a tirĂ© la sonnette d’alarme. Il dĂ©plore les nuisances olfactives Ă©manant de ces installations, la mort rĂ©currente de nombreuses espĂšces marines (poissons, crabes
) ainsi que la coloration jaunĂątre de la mer dans cette zone, symptĂŽme d’une dĂ©gradation Ă©cologique alarmante.

Le FTDES a rappelĂ© le calvaire des habitants des villes du Golfe de Monastir, notamment Ă  Ksibet El-MĂ©diouni, Lamta et Sayada, dĂ©nonçant l’inaction des autoritĂ©s face Ă  la pollution engendrĂ©e par la station d’épuration de Sayada-Lamta-Bouhjar. Hors service depuis plusieurs annĂ©es, cette station est Ă  l’origine de graves rĂ©percussions environnementales, Ă©conomiques et sociales.

Le Forum a Ă©galement pointĂ© du doigt le non-respect des engagements pris avec la sociĂ©tĂ© civile, notamment ceux portant sur la fermeture de la station et sa reconversion en station de pompage. L’absence de mise en Ɠuvre de ces accords a suscitĂ© un mĂ©contentement grandissant au sein des communautĂ©s locales.

Réaffirmant le droit des citoyens à un environnement sain, le FTDES a exhorté les autorités environnementales à assumer pleinement leurs responsabilités juridiques et morales, en mettant un terme à cette situation critique et en poursuivant les responsables des violations environnementales.

Enfin, le Forum a mis en garde contre les consĂ©quences d’une telle inertie politique : le maintien de cette pollution chronique dans le Golfe de Monastir ne fera que renforcer le malaise social, alimenter le sentiment d’injustice et d’exclusion, et Ă©roder davantage la confiance des citoyens envers les institutions de l’État et leur capacitĂ© Ă  garantir les droits fondamentaux.

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Chedly Abdelly présente MOBIDOC : 859 projets pour rapprocher recherche et entreprises

Comment faire de la science un levier de dĂ©veloppement Ă©conomique ? C’est Ă  cette question que Chedly Abdelly, directeur de l’ANPR, a tentĂ© de rĂ©pondre lors de l’évĂ©nement « Vert’Demain » qui s’est dĂ©roulĂ© le 18 juin 2025 Ă  Tunis. À travers une sĂ©rie de programmes de mobilitĂ©, de valorisation de la recherche et de partenariats internationaux, il a dĂ©fendu une stratĂ©gie ambitieuse : ancrer la recherche tunisienne dans le tissu socioĂ©conomique, en misant sur les jeunes, l’innovation et les territoires.

Depuis sa crĂ©ation, l’Agence nationale de la promotion de la recherche (ANPR) a tissĂ© de nombreux partenariats internationaux, notamment avec l’Union europĂ©enne. M. Abdelly a citĂ© plusieurs programmes structurants, dont le programme d’appui au systĂšme de recherche et d’innovation dotĂ© de 12 millions d’euros, ou encore celui consacrĂ© Ă  la mobilitĂ©, aujourd’hui dotĂ© de 115 millions d’euros.

Ces initiatives visent principalement Ă  rapprocher la recherche scientifique du tissu socioĂ©conomique tunisien, en facilitant la mobilitĂ© des jeunes chercheurs et en promouvant l’entrepreneuriat fondĂ© sur la recherche. L’un des dispositifs phares prĂ©sentĂ©s concerne le programme MOBIDOC, soutenu Ă  la fois par des fonds europĂ©ens et par le ministĂšre tunisien de l’Enseignement supĂ©rieur, Ă  hauteur de 8 millions de dinars.

Ce programme offre Ă  de jeunes doctorants et docteurs une double formation : scientifique, au sein des laboratoires, et professionnelle, en entreprise. Ce modĂšle de formation duale vise Ă  amĂ©liorer l’employabilitĂ© et Ă  encourager l’intĂ©gration des chercheurs dans l’économie rĂ©elle.

Selon M. Abdelly, la durée moyenne des projets est de 36 mois pour les doctorants et 24 mois pour les docteurs. Et chaque participant est accompagné sur les volets technologique, managérial et de propriété intellectuelle.

À ce jour, 859 projets ont Ă©tĂ© financĂ©s via ce programme, impliquant 425 partenaires issus d’entreprises, de centres de recherche et d’institutions, et mobilisant 165 structures de recherche. Les principaux secteurs ciblĂ©s sont l’agriculture, l’agroalimentaire et la santĂ©. PrĂšs de 80 % des projets sont portĂ©s par des jeunes chercheurs, avec une couverture territoriale Ă©tendue Ă  l’ensemble du pays. Bien que le Grand Tunis reste la rĂ©gion la plus reprĂ©sentĂ©e avec 47 % des projets.

L’impact du programme est notable. Plusieurs jeunes chercheurs ont créé leurs startup. Certains intĂ©grant directement le monde entrepreneurial, d’autres poursuivant leurs projets en tant que spin-offs universitaires.

Renforcement du lien entre jeunesse et science

L’ANPR soutient Ă©galement le dĂ©veloppement des bureaux de transfert technologique (BTT), aujourd’hui au nombre de 25, et prochainement 27, rĂ©partis sur tout le territoire. Ces BTT jouent un rĂŽle essentiel dans la veille technologique, la protection des actifs intellectuels et la mise en relation entre chercheurs et entreprises.

L’intervention de Chedly Abdelly a aussi mis en lumiĂšre des initiatives nouvelles visant Ă  renforcer le lien entre jeunesse et science, telles que la crĂ©ation de « villages de la science » et de plateformes de diffusion scientifique dans les 24 gouvernorats, ainsi que des conventions avec des offices universitaires et des associations locales pour sensibiliser les jeunes aux mĂ©tiers scientifiques.

Parmi les programmes internationaux mentionnĂ©s figure PROMESSE, qui a permis l’accompagnement de 20 spin-offs, dont 13 rien qu’à l’universitĂ© de Sfax. Ce programme, cofinancĂ© Ă  l’échelle internationale, propose un parcours structurĂ© depuis l’idĂ©ation jusqu’à la mise en marche, avec la formation des porteurs de projets Ă  la rĂ©daction de business plans viables.

Autre initiative : le projet PP, axĂ© sur la valorisation des rĂ©sultats de la recherche publique Ă  travers les marchĂ©s publics. Face au faible niveau de maturitĂ© technologique de certains rĂ©sultats de recherche, l’ANPR a misĂ© sur la constitution d’alliances entre laboratoires, startups et entreprises, notamment dans les domaines de la sĂ©curitĂ© alimentaire, de l’énergie et de l’eau.

M. Abdelly a Ă©galement insistĂ© sur les projets de coopĂ©ration transfrontaliĂšre, comme le programme PROMO avec la TSI, focalisĂ© sur les biotechnologies agricoles, ou le projet sur l’égalitĂ© de genre dans les structures de recherche, qui a dĂ©bouchĂ© sur la mise en Ɠuvre d’un plan d’égalitĂ© Ă  l’échelle de l’agence.

Enfin, la spĂ©cialisation intelligente rĂ©gionale a Ă©tĂ© citĂ©e comme axe stratĂ©gique pour aligner l’offre de formation et de recherche sur les besoins spĂ©cifiques des rĂ©gions. L’ANPR y voit un levier pour transformer les forces locales en projets structurants. Des masters ont Ă©tĂ© conçus sur mesure avec des partenaires maghrĂ©bins et europĂ©ens, et les chercheurs sont incitĂ©s Ă  ancrer leurs travaux dans les rĂ©alitĂ©s Ă©conomiques locales.

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RĂ©vision de lois pour stimuler l’investissement

« Plusieurs textes lĂ©gislatifs doivent ĂȘtre rĂ©visĂ©s afin de regagner la confiance des hommes d’affaires tunisiens et d’attirer de nouveaux investisseurs Ă©trangers », a dĂ©clarĂ© le dĂ©putĂ© Ă  l’AssemblĂ©e des ReprĂ©sentants du Peuple (ARP), Dhafer Seghiri, lors de la rencontre « 90 minutes avec l’IACE », organisĂ©e, mercredi 18 juin, sur le thĂšme : « Les propositions Ă©conomiques de l’ARP ».

Seghiri a, Ă  cet Ă©gard, soulignĂ© la nĂ©cessitĂ© d’adopter dans les plus brefs dĂ©lais des textes Ă  caractĂšre Ă©conomique, tels que le Code des changes, afin de s’aligner sur les Ă©volutions Ă©conomiques mondiales, de stimuler le dĂ©veloppement et de relancer l’économie nationale.

Évoquant le projet de loi sur la libertĂ© Ă©conomique et la lutte contre l’économie de rente, il a indiquĂ© que ce texte vise Ă  consacrer la libertĂ© Ă©conomique, Ă  limiter la criminalisation des activitĂ©s Ă©conomiques, Ă  garantir la libertĂ© d’investissement et Ă  protĂ©ger la concurrence loyale.

Dans ce cadre, il a estimĂ© qu’il est aujourd’hui indispensable d’accĂ©lĂ©rer la mise en place d’une lĂ©gislation favorisant l’investissement et l’initiative privĂ©e, de renforcer les mĂ©canismes d’appui financier, de parachever la transition vers une administration numĂ©rique pour lutter contre la corruption, et d’adopter des peines alternatives en cas d’infractions financiĂšres, afin de prĂ©server l’activitĂ© des entreprises concernĂ©es.

« ParallĂšlement, il faut allĂ©ger les procĂ©dures, limiter la bureaucratie administrative, activer le rĂŽle des organismes de contrĂŽle et de conseil, et revoir le rĂŽle de l’État dans l’investissement », a-t-il ajoutĂ©. Selon lui, l’État doit investir davantage dans des secteurs stratĂ©giques comme le phosphate, l’agriculture et le tourisme pour favoriser la crĂ©ation de richesses.

Le dĂ©putĂ© a Ă©galement appelĂ© Ă  une meilleure coordination entre les diffĂ©rents dĂ©partements et structures de l’État impliquĂ©s dans l’investissement, afin d’accĂ©lĂ©rer les rĂ©formes. Il a recommandĂ© de promouvoir le secteur logistique (ports, aĂ©roports
) pour soutenir les filiĂšres Ă©conomiques, notamment dans le cadre des projets de partenariat public-privĂ©.

À noter que le projet de loi sur la libertĂ© Ă©conomique et la lutte contre l’économie de rente a Ă©tĂ© dĂ©posĂ© Ă  l’ARP en novembre 2024. Il a Ă©tĂ© examinĂ© par la Commission des finances et du budget en mai 2025.

Une rĂ©union de concertation avec les diffĂ©rentes parties prenantes (patronat, ministĂšre des Finances, etc.) est prĂ©vue Ă  l’ARP au cours du mois de juillet 2025.

Pour rappel, l’IACE (Institut Arabe des Chefs d’Entreprises) est un think tank international indĂ©pendant qui Ɠuvre Ă  la promotion de l’entreprise et Ă  l’amĂ©lioration de l’environnement des affaires, en formulant des recommandations de rĂ©formes avec la contribution de chefs d’entreprise, d’universitaires et d’acteurs de la sociĂ©tĂ© civile.

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Conférence régionale sur les défis de la famille arabe

L’Organisation arabe de la famille et du dĂ©veloppement social prĂ©voit d’organiser une confĂ©rence rĂ©gionale internationale dĂ©diĂ©e aux dĂ©fis auxquels la famille arabe est confrontĂ©e. Lors de cet Ă©vĂ©nement, les grandes lignes du futur programme de l’organisation seront dĂ©finies, a annoncĂ©, jeudi 19 juin, Wafa Kilani, prĂ©sidente de l’organisation et ministre des Affaires sociales du Gouvernement d’unitĂ© nationale libyen.

Dans une dĂ©claration aux mĂ©dias, en marge d’une rĂ©union extraordinaire de l’organisation tenue Ă  Tunis, au siĂšge du ministĂšre de la Famille, de l’Enfance et des Personnes ĂągĂ©es, Kilani a expliquĂ© que cette confĂ©rence rĂ©gionale et internationale devrait aboutir Ă  un ensemble de recommandations visant Ă  renforcer le rĂŽle de la famille arabe dans la sociĂ©tĂ©. Ces recommandations seront soumises Ă  un sommet arabe consacrĂ© Ă  la famille, auquel plusieurs premiĂšres dames de pays arabes participeront.

Elle a soulignĂ© que l’Organisation arabe de la famille prĂ©voit, durant cette pĂ©riode, de mettre en Ɠuvre de nombreux accords de partenariat dĂ©jĂ  signĂ©s, afin de mieux promouvoir la famille arabe. Elle s’emploie Ă©galement Ă  conclure de nouveaux accords avec plusieurs pays et organisations arabes.

Elle a rappelĂ© que l’Organisation arabe pour la famille a rĂ©cemment obtenu le statut de membre observateur aux rĂ©unions de la Ligue des États arabes consacrĂ©es Ă  la famille et aux affaires sociales, ce qui renforcera l’efficacitĂ© des programmes de l’organisation destinĂ©s Ă  relever les dĂ©fis auxquels la famille arabe est confrontĂ©e.

De son cĂŽtĂ©, la ministre tunisienne de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes ĂągĂ©es, Asma Jebri, a indiquĂ© que cette rĂ©union extraordinaire constitue une initiative pour renforcer les opportunitĂ©s d’échange d’expĂ©riences et d’expertises arabes autour d’un sujet commun entre les pays arabes, Ă  savoir la famille, considĂ©rĂ©e comme une valeur sociale centrale pour Ă©tablir une sociĂ©tĂ© cohĂ©rente et Ă©quilibrĂ©e.

La ministre a saluĂ© l’attachement des pays arabes membres Ă  maintenir le siĂšge du secrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral de l’Organisation arabe de la famille et du dĂ©veloppement social en Tunisie, une initiative tunisienne lancĂ©e depuis 1977.

Elle a affirmĂ© que la Tunisie restera fidĂšle Ă  ses choix nationaux constants et engagĂ©e dans le rĂŽle social de l’État, Ă  travers l’attention portĂ©e aux questions familiales, et Ă  travers sa volontĂ© d’élever la place de la famille dans les politiques publiques nationales et dans les prioritĂ©s de l’action arabe commune.

Elle a prĂ©cisĂ© que les structures gouvernementales et non gouvernementales doivent s’en tenir Ă  une approche constante de protection et de prĂ©servation de la famille contre tout ce qui pourrait porter atteinte Ă  ses valeurs et nuire Ă  ses fondements. Elle a saluĂ© le rĂŽle pionnier de l’organisation dans l’enrichissement des programmes et plans d’action, ainsi que dans l’élaboration d’une vision participative contribuant Ă  mettre en place une stratĂ©gie arabe de soutien Ă  la cohĂ©sion familiale et de protection de la famille contre les diffĂ©rents risques qui la menacent, en harmonie avec les objectifs et indicateurs de dĂ©veloppement dans les diffĂ©rents pays arabes.

 

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La Jordanienne Rana Taha, nouvelle Coordonnatrice résidente des Nations unies en Tunisie

Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral des Nations unies, AntĂłnio Guterres, a dĂ©signĂ© Rana Taha, ressortissante jordanienne, au poste de Coordonnatrice rĂ©sidente de l’ONU en Tunisie. Sa nomination, approuvĂ©e par le gouvernement tunisien, prend effet Ă  compter du 19 juin 2025, indique le site officiel de l’organisation.

Mme Taha cumule plus de deux dĂ©cennies d’expĂ©rience au sein du systĂšme des Nations Unies, acquise Ă  travers divers postes dans des agences, fonds et programmes, ainsi que dans des missions de maintien de la paix et des missions politiques spĂ©ciales.

Avant sa nomination en Tunisie, elle occupait les fonctions de cheffe d’équipe et ConseillĂšre principale pour la paix et le dĂ©veloppement auprĂšs des Nations Unies au Kenya.

Entre 2015 et 2019, elle a exercĂ© Ă  New York, au siĂšge de l’ONU, dans les DĂ©partements des affaires politiques et de la consolidation de la paix (DPPA) et des opĂ©rations de paix (DPO). Elle y dirigeait le programme rĂ©gional Moyen-Orient et Afrique du Nord, couvrant les missions politiques spĂ©ciales et les opĂ©rations de maintien de la paix.

Mme Taha a Ă©galement servi dans plusieurs missions onusiennes, notamment au Liban (FINUL, UNSCOL) et au Soudan (MINUS, MINUAD), oĂč elle a Ă©tĂ© assistante spĂ©ciale et conseillĂšre auprĂšs des ReprĂ©sentants spĂ©ciaux du SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral entre 2007 et 2015.

De 2003 Ă  2007, elle a Ă©tĂ© ReprĂ©sentante d’Interpeace et responsable de programme pour le Bureau des Nations Unies pour les services d’appui aux projets (UNOPS) dans les territoires palestiniens occupĂ©s.

Au dĂ©but de sa carriĂšre, elle a travaillĂ© en tant que chercheuse Ă  l’Institut des Nations Unies pour la recherche sur le dĂ©sarmement (UNIDIR), en Suisse, entre 2001 et 2002.

Titulaire d’un master en relations internationales et politiques publiques de l’UniversitĂ© McMaster (Canada) et d’un master en sociologie de l’UniversitĂ© de Jordanie, Mme Taha est mariĂ©e et mĂšre d’un fils.

D’aprùs site ONU

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Poursuite de la rĂ©alisation d’une sĂ©rie de projets municipaux Ă  Sidi Bouzid

La municipalitĂ© de Sidi Bouzid poursuit la mise en Ɠuvre de plusieurs projets visant Ă  amĂ©liorer, moderniser et rapprocher les services municipaux des citoyens.

Le chargĂ© de la gestion de la municipalitĂ© de Sidi Bouzid, Mohamed Salah Khaskhoussi, a dĂ©clarĂ© Ă  l’Agence TAP que la municipalitĂ© poursuit la mise en Ɠuvre de la derniĂšre phase des travaux de l’abattoir municipal. Laquelle consiste en l’installation d’une station d’épuration d’un coĂ»t estimĂ© Ă  2,5 millions de dinars.

Ces travaux devraient ĂȘtre achevĂ©s d’ici la fin de l’annĂ©e, permettant Ă  l’abattoir municipal de Sidi Bouzid d’entrer en service dĂ©but 2026.

En outre, la mĂȘme source prĂ©cise que le coĂ»t total de l’abattoir, qui a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© selon des normes garantissant les conditions d’hygiĂšne, dĂ©passe les 5 MD. Il comprend deux ailes destinĂ©es Ă  l’abattage, des blocs sanitaires, ainsi que des Ă©quipements modernes rĂ©pondant Ă  toutes les exigences sanitaires et techniques.

Par ailleurs, il a indiquĂ© que, dans le but de rapprocher les services des citoyens, un nouveau siĂšge pour l’arrondissement municipal de la dĂ©lĂ©gation de Hichria sera construit. Un budget de 700 mille dinars lui a Ă©tĂ© allouĂ©, et le projet est actuellement en phase d’élaboration de l’appel d’offres.

Enfin, la mĂȘme source a annoncĂ© la construction d’un bĂątiment dĂ©diĂ© aux archives de la municipalitĂ© de Sidi Bouzid, qui regroupera tous les services municipaux. Un budget de 400 mille dinars a Ă©tĂ© allouĂ© Ă  ce projet, dont les Ă©tudes sont Ă  un stade avancĂ©; et ce, dans le but de moderniser davantage les services municipaux.

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Convention-cadre de coopĂ©ration entre l’ISIE et l’ENA

L’Instance supĂ©rieure indĂ©pendante pour les Ă©lections (ISIE) et l’École nationale d’administration (ENA) ont signĂ©, jeudi 19 juin, une convention-cadre de coopĂ©ration. Elle vise Ă  renforcer le partenariat entre les deux institutions.

SignĂ©e au siĂšge de l’autoritĂ© Ă©lectorale par son prĂ©sident, Farouk Bouasker, et la directrice gĂ©nĂ©rale de l’ENA, Khaoula Abidi, cette convention prĂ©voit l’élaboration et la mise en Ɠuvre de programmes communs de formation, en prĂ©sentiel et Ă  distance; et ce, au profit des cadres et agents de l’ISIE. C’est ce qu’indique un communiquĂ© de l’ISIE.

Ces formations porteront sur la gestion administrative moderne, la gouvernance et le leadership public. L’objectif est d’ancrer la culture de la bonne gouvernance dans les domaines administratif et financier. Tout en promouvant les meilleures pratiques comme levier de rĂ©forme de l’administration.

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L’OACA lance des cartes Ă  dĂ©compte pour le stationnement Ă  l’aĂ©roport Tunis-Carthage

L’Office de l’aviation civile et des aĂ©roports (OACA) annonce le lancement des cartes Ă  dĂ©compte pour le paiement des frais de stationnement au parking de l’aĂ©roport international de Tunis-Carthage, Ă  partir du dimanche 22 juin 2025.

L’OACA prĂ©cise que cette carte Ă  dĂ©compte peut ĂȘtre achetĂ©e auprĂšs des caisses situĂ©es au parking du terminal ou au guichet unique de l’aĂ©rogare fret.

Le coĂ»t d’achat de la carte Ă©lectronique, lors de la premiĂšre acquisition, est de 30 dinars, comprenant 15 dinars pour la carte (support) et un rechargement initial minimal de 15 dinars de crĂ©dit prĂ©payĂ©.

La carte est rechargeable et utilisable dans les trois terminaux de l’aĂ©roport Tunis-Carthage.

L’OACA souligne que l’utilisation de cette carte facilitera la circulation dans les parkings, amĂ©liorera la qualitĂ© des services Ă  l’aĂ©roport et permettra aux usagers de gagner du temps Ă  la sortie.

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Dissolution des partis politiques : précisions de la présidence du gouvernement

En rĂ©ponse Ă  une question Ă©crite d’un dĂ©putĂ© Ă  l’AssemblĂ©e des reprĂ©sentants du peuple (ARP), la prĂ©sidence du gouvernement a prĂ©cisĂ© qu’une dĂ©cision judiciaire dĂ©finitive est nĂ©cessaire avant d’engager les procĂ©dures juridiques et administratives de dissolution d’un parti politique, en cas d’infractions portant atteinte Ă  la Constitution ou relevant du dĂ©cret-loi rĂ©gissant les partis politiques.

La dĂ©putĂ©e Fatma Mseddi a en effet demandĂ© l’activation des mesures juridiques et administratives en vue de la dissolution du mouvement Ennahdha ainsi que du parti Ettahrir. Elle s’est appuyĂ©e sur l’implication d’Ennahdha dans des affaires portant atteinte Ă  la sĂ»retĂ© nationale, sur l’envoi de jeunes vers des zones de conflit, ainsi que sur ses liens avec des organisations terroristes et son non-respect du principe de transparence financiĂšre.

La dĂ©putĂ©e a dĂ©noncĂ© le non-respect des principes de la RĂ©publique ainsi que l’appel, de la part du parti Ettahrir, Ă  la crĂ©ation d’un califat et Ă  la suppression du rĂ©gime rĂ©publicain.

La prĂ©sidence du gouvernement a indiquĂ© qu’elle coordonne avec les services compĂ©tents du ministĂšre de la Justice pour obtenir des dĂ©cisions judiciaires dĂ©finitives concernant les financements interdits reçus par le mouvement Ennahdha; et ce, conformĂ©ment aux articles 29 et 30 du dĂ©cret-loi n° 87/2011 rĂ©gissant les partis politiques.

Selon la mĂȘme source, l’administration veille au respect, par les partis politiques, de l’obligation de transparence financiĂšre. Et plus particuliĂšrement en adressant un avertissement Ă  tous les partis concernĂ©s Ă  lui soumettre tous les rapports financiers requis.

Dans le mĂȘme contexte, la prĂ©sidence du gouvernement coordonne avec les services du chargĂ© du contentieux de l’État pour demander la suspension des activitĂ©s des partis qui ne se sont pas conformĂ©s Ă  cette obligation malgrĂ© les avertissements; avant leur dissolution s’ils persistent Ă  enfreindre la loi.

La prĂ©sidence du gouvernement indique dans ce sens que 154 autorisations de suspension d’activitĂ©s et 50 dĂ©cisions prĂ©liminaires de dissolution de partis politiques ont Ă©tĂ© dĂ©livrĂ©es.

Pour la prĂ©sidence du gouvernement, la longueur des dĂ©marches de sanction, partant de l’avertissement jusqu’à la dissolution, et ce, pour toutes les infractions sans en distinguer la nature et le degrĂ© de gravitĂ©, a freinĂ© l’application du principe de transparence financiĂšre et l’exĂ©cution de la loi.

En ce qui concerne le parti Ettahrir, la prĂ©sidence du gouvernement prĂ©cise que ses services attendent de voir la justice prononcer une dĂ©cision dĂ©finitive dans l’une des deux affaires portĂ© contre lui pour entamer les procĂ©dures de sa dissolution.

Les deux affaires, rappelle la prĂ©sidence du gouvernement, ont Ă©tĂ© de nouveau portĂ©es devant la Cour d’appel de Tunis. Et ce, aprĂšs que la Cour de cassation a acceptĂ© le recours contre deux ordonnances judiciaires de suspension des activitĂ©s du parti, Ă©mises en 2016 et 2017 par le chargĂ© gĂ©nĂ©ral du contentieux de l’État.

Selon le troisiĂšme paragraphe de l’article 28 du dĂ©cret-loi relatif aux partis politiques, la dissolution est prononcĂ©e par une dĂ©cision du tribunal de premiĂšre instance de Tunis, Ă  la demande du Chef du gouvernement, au le cas oĂč le parti ne se conforme pas au rĂšgles.

Enfin, au sujet des actes pouvant ĂȘtre qualifiĂ©s de crimes terroristes, la prĂ©sidence du gouvernement indique que le juge chargĂ© d’examiner ce genre de crime est habilitĂ© Ă  dissoudre les partis politiques, en tant que personnes morales, sur la base de la loi antiterroriste.

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Béja : eau potable reprise dÚs 23h dans certaines zones de Nefza (SONEDE)

La SociĂ©tĂ© Nationale d’Exploitation et de Distribution des Eaux (SONEDE) a annoncĂ©, jeudi 19 juin, que l’approvisionnement en eau potable reprendra progressivement Ă  partir de 23h dans les quartiers de Nefza ville, Nefza Est et Nefza Ouest, dans le gouvernorat de BĂ©ja.

Cette reprise fait suite Ă  une coupure survenue, jeudi 19 juin, causĂ©e par une panne de la pompe submersible du puits profond « El Khanga », qui alimente la zone d’El Hichria Ă  Sidi Bouzid, a prĂ©cisĂ© la SONEDE dans un communiquĂ©.

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Berlin (WTA 500) : Jabeur affronte Vondrousova en quarts

La Tunisienne Ons Jabeur (61e mondiale) affrontera ce vendredi 20 juin, la TchĂšque Marketa Vondrousova (164e) en quarts de finale du tournoi WTA 500 de Berlin. Cette derniĂšre s’est qualifiĂ©e en battant la Russe Diana Shnaider (12e mondiale) en trois sets ce jeudi 19 juin, en huitiĂšmes de finale.

De son cĂŽtĂ©, Ons Jabeur s’était hissĂ©e en quarts, mercredi 18 juin, aprĂšs une victoire nette face Ă  l’Italienne Jasmine Paolini (4e mondiale), en deux sets (6-1, 6-3).

À noter que la Tunisienne, Ons Jabeur, est Ă©galement engagĂ©e en double aux cĂŽtĂ©s de l’Espagnole Paula Badosa. Le duo s’est qualifiĂ© pour les demi-finales ce jeudi 19 juin, en dominant la paire composĂ©e de la BrĂ©silienne Luisa Stefani et de la Hongroise Timea Babos, en deux sets (6-3, 6-2).

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WTA 500 Berlin : Jabeur en demi-finales doubles dames

La Tunisienne Ons Jabeur s’est qualifiĂ©e, jeudi 19 juin, pour les demi-finales du tournoi WTA 500 de Berlin en double, aux cĂŽtĂ©s de l’Espagnole Paula Badosa. Le duo s’est imposĂ© face Ă  la BrĂ©silienne Luisa Stefani et la Hongroise TĂ­mea Babos en deux sets (6-3, 6-2), sur gazon.

Ons Jabeur (61e mondiale) s’est Ă©galement qualifiĂ©e pour les quarts de finale du tournoi WTA 500 de Berlin en simple dames, aprĂšs sa victoire ce mercredi 18 juin, face Ă  l’Italienne Jasmine Paolini (4e mondiale), rĂ©cente laurĂ©ate du Masters 1000 de Rome, en deux sets (6-1, 6-3).

La Tunisienne affrontera, vendredi, soit la Russe Diana Shnaider (12e), soit la Tchùque Marketa Vondrousova (164e), qui s’opposent actuellement en huitiùmes de finale.

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Rajeh Khemiri dresse le bilan de la collaboration scientifique tuniso-européenne

« La lutte contre la dĂ©gradation de l’environnement a un prix Â», lance d’emblĂ©e Rajeh Khemiri lors de l’évĂ©nement Vert’Demain. Le responsable de la coopĂ©ration europĂ©enne en Tunisie dresse un bilan sans complaisance d’une collaboration scientifique qui ne date pas d’hier : entre fiertĂ© lĂ©gitime d’un statut unique dans la rĂ©gion et luciditĂ© sur les faiblesses Ă  corriger, son intervention dessine les contours d’un partenariat Ă  la croisĂ©e des chemins.

Durant l’évĂ©nement Vert’Demain organisĂ© mercredi 18 juin 2025 Ă  Tunis, Rajeh Khemiri, en charge des questions d’aide et de coopĂ©ration internationale Ă  la DĂ©lĂ©gation de l’Union europĂ©enne en Tunisie, a fait le point sur les partenariats scientifiques Ă©tablis entre l’UE et le pays.

« La lutte contre la dĂ©gradation de l’environnement a un prix quand mĂȘme Â», a d’emblĂ©e soulignĂ© M. Khemiri en introduction de son intervention. « C’est une coopĂ©ration qui a durĂ© pour des annĂ©es et des annĂ©es. Elle n’a pas commencĂ© hier Â», a-t-il rappelĂ©. Cette collaboration a dĂ©butĂ© bien avant l’Accord d’association de 1995, qui marquait alors une premiĂšre entrĂ©e timide dans le secteur de l’enseignement supĂ©rieur et de la recherche scientifique.

Les Ă©tapes clĂ©s de cette coopĂ©ration comprennent la signature en 2003 du premier accord scientifique et technologique avec un pays du Sud, suivie en 2012 par l’établissement d’un partenariat privilĂ©giĂ© consacrant un chapitre dĂ©diĂ© Ă  la recherche scientifique.

Plus de 55 millions d’euros


L’annĂ©e 2016 va constituer un tournant majeur avec l’entrĂ©e de la Tunisie comme premier et seul pays arabe et africain associĂ© Ă  tous les programmes-cadres europĂ©ens, statut qui sera confirmĂ© en 2022. « La Tunisie demeure jusqu’à maintenant le seul pays arabe et africain Â», a insistĂ© M. Khemiri. Tout en ajoutant que « le pays doit valoriser cette exception au niveau de la rĂ©gion Â».

Concernant les programmes-cadres de recherche et dĂ©veloppement (PCRD), M. Khemiri a soulignĂ© que la Tunisie a progressivement accru sa participation depuis le FP4 (ou QuatriĂšme programme-cadre). Les fonds levĂ©s ont Ă©voluĂ© de 2,7 millions d’euros lors du FP4 Ă  16 millions d’euros pour le FP7, dĂ©montrant « une montĂ©e continue en fait en termes de performance Â». Sur quarante annĂ©es, le budget cumulĂ© dĂ©passe les 55 millions d’euros.

Les entitĂ©s relevant du ministĂšre de l’Enseignement supĂ©rieur et de la Recherche scientifique, ainsi que les centres de recherche, reprĂ©sentent 70 % des projets retenus par la Tunisie dans ces programmes. « C’est un point trĂšs avantageux Â», a notĂ© Rajeh Khemiri.

« Une petite faiblesse sur laquelle on doit travailler maintenant : c’est la faible participation du secteur privĂ© Â» avec seulement 12 participations pour 2,1 millions d’euros, poursuit-il.

Dans le cadre du programme Erasmus Plus, la Tunisie occupe une position de premier plan. Pour la pĂ©riode 2015-2020, elle se classait deuxiĂšme dans la rĂ©gion derriĂšre le Maroc. Pour la pĂ©riode 2021-2024, elle partage la premiĂšre place avec l’Égypte, comptabilisant 13 projets de renforcement de capacitĂ©s universitaires (CBE). Ces projets structurants impliquent la quasi-totalitĂ© des universitĂ©s tunisiennes relevant du ministĂšre.

DĂ©fis et perspectives d’avenir

MalgrĂ© ces performances, plusieurs dĂ©fis subsistent relĂšve Rajeh Khemiri, dans son allocution Ă  l’évĂ©nement Vert’Demain. « Il faut Ă©viter que ce ne soit pas seulement les mĂȘmes acteurs qui postulent et qui continuent. Il faut faire rentrer de nouveaux Ă©lĂšves dans la classe Â», a-t-il dĂ©clarĂ©. Tout en soulignant la nĂ©cessitĂ© de diversifier les acteurs participants et de renforcer la participation du secteur privĂ©.

L’amĂ©lioration de la qualitĂ© des projets constitue Ă©galement une prioritĂ©. Une analyse rĂ©cente a rĂ©vĂ©lĂ© « quelques faiblesses et quelques risques de duplication Â». De mĂȘme que la nĂ©cessitĂ© d’amĂ©liorer « l’adĂ©quation avec les prioritĂ©s nationales Â», a prĂ©cisĂ© M. Khemiri.

Ainsi, les recommandations de Vert’Demain incluent la crĂ©ation d’une plateforme de projets pour capitaliser sur les acquis et dĂ©ployer les dispositifs créés vers d’autres universitĂ©s et Ă©tablissements. L’objectif est d’amĂ©liorer la valeur ajoutĂ©e et l’impact de cette participation extensive.

Rajeh Khemiri a rappelĂ© que « la Tunisie, depuis 2016, est le seul pays arabe et africain associĂ© aux programmes europĂ©ens, bien que des nĂ©gociations soient en cours avec d’autres pays. C’est le moment de travailler et valoriser cette position au niveau de la rĂ©gion, mais aussi de l’Afrique Â».

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Zitouna Tamkeen lance son nouveau systùme d’information avec la plateforme ICM de TALYS pour digitaliser la gestion des financements en microfinance islamique

Zitouna Tamkeen, institution pionniÚre de la microfinance islamique en Tunisie, annonce le Go Live de la plateforme ICM (Intelligent Credit Management) développée par Talys Solutions du groupe TALYS.

Cette mise en production s’inscrit dans une stratĂ©gie de transformation digitale visant Ă  renforcer l’efficacitĂ© opĂ©rationnelle, la traçabilitĂ© des processus et l’inclusion financiĂšre Ă  grande Ă©chelle.

Grùce à ICM, Zitouna Tamkeen bénéficie désormais de :

– Une digitalisation complĂšte du cycle de vie du crĂ©dit : onboarding, CrĂ©dit en ligne, scoring, screening, LAB-FT, dĂ©caissement, suivi et recouvrement & contentieux.

– Un moteur de rĂšgles personnalisable pour gĂ©rer les spĂ©cificitĂ©s du financement islamique.

– Un reporting dynamique et conforme aux exigences rĂ©glementaires de l’AutoritĂ© de ContrĂŽle de Microfinance (ACM).

– Des outils d’analyse avancĂ©e pour optimiser la gestion du risque et la performance du portefeuille.

– Une architecture Ă©volutive, intĂ©grable avec les canaux mobiles, les e-wallets et les interfaces partenaires.

« La plateforme ICM nous permet de passer Ă  une gestion proactive, orientĂ©e data, tout en respectant nos principes de finance islamique Â» dĂ©clare Mr. Jamel Bouzaiene, Directeur GĂ©nĂ©ral de Zitouna Tamkeen.

Pour Mr. Hatem Dhahri, AssociĂ© chez Talys : « Ce projet illustre notre capacitĂ© Ă  fournir des solutions robustes, intelligentes et adaptables aux enjeux spĂ©cifiques des institutions financiĂšres dans la rĂ©gion MENA. Â»

La plateforme ICM constitue désormais un socle technologique stratégique pour Zitouna Tamkeen, lui permettant de répondre efficacement aux attentes de ses clients, partenaires et régulateurs, dans un cadre sécurisé et évolutif.

Ce projet s’inscrit parfaitement dans la stratĂ©gie de digitalisation progressive de Zitouna Tamkeen, qui place l’innovation au cƓur de sa mission. En modernisant son systĂšme d’information, l’institution renforce sa capacitĂ© Ă  offrir des services plus rapides, plus sĂ»rs et plus personnalisĂ©s Ă  ses bĂ©nĂ©ficiaires. Cette transformation digitale vise Ă  amĂ©liorer l’expĂ©rience client, Ă  Ă©tendre l’inclusion financiĂšre Ă  de nouvelles zones et Ă  poser les bases d’une croissance durable, en harmonie avec les principes de la finance islamique.

Il a été mené avec succÚs grùce à une étroite collaboration entre les équipes de Zitouna Tamkeen et les équipes de TALYS.

D’aprĂšs communiquĂ©

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KaĂŻs SaĂŻed s’entretient avec le ministre de l’IntĂ©rieur

Le prĂ©sident de la RĂ©publique, KaĂŻs SaĂŻed, a rencontrĂ© le ministre de l’IntĂ©rieur, Khaled Nouri. Lors de cette rĂ©union, KaĂŻs SaĂŻed a appelĂ© les forces de sĂ©curitĂ© Ă  soutenir les initiatives du ministĂšre du Commerce dans la lutte contre les rĂ©seaux de spĂ©culateurs et diverses formes de criminalitĂ©.

Selon un communiquĂ© de la PrĂ©sidence de la RĂ©publique publiĂ© jeudi, KaĂŻs SaĂŻed a Ă©galement insistĂ© sur l’importance de doter les conseils locaux, rĂ©gionaux et des districts des ressources nĂ©cessaires pour qu’ils puissent pleinement remplir leur rĂŽle. Il a rappelĂ© que les membres de ces conseils sont chargĂ©s d’élaborer les plans de dĂ©veloppement. Lesquels doivent ensuite ĂȘtre soumis Ă  l’AssemblĂ©e des reprĂ©sentants du peuple et au Conseil national des rĂ©gions et des districts.

À ce sujet, le prĂ©sident a prĂ©cisĂ© que le modĂšle de dĂ©veloppement, dont certains parlent depuis des dĂ©cennies, existe dĂ©jĂ  et constitue la base des lĂ©gislations en vigueur. Le secrĂ©taire d’État Ă  la sĂ»retĂ© nationale, Sofien Ben Sadok, Ă©tait Ă©galement prĂ©sent lors de cet entretien.

Avec TAP

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Marokko – Airbus plant Ausbau seiner AktivitĂ€ten im Königreich

Von: maghreb
19. Juni 2025 um 11:31

AIRBUSAirbus bekrĂ€ftigt Engagement auf dem marokkanischen Markt – Auf der Paris Air Show kĂŒndigt der europĂ€ische Luftfahrtkonzern eine engere Zusammenarbeit mit Marokko an. Le Bourget/Rabat – Der europĂ€ische Flugzeughersteller Airbus will seine PrĂ€senz in Marokko deutlich stĂ€rken. Das kĂŒndigte Wouter Van Wersch, internationaler Executive Vice President von Airbus, bei der Paris Air Show 2025 an. [
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Marokko – Wohnsteuerverwaltung zentralisiert – Generaldirektion fĂŒr Steuern DGI ĂŒbernimmt ZustĂ€ndigkeit

Von: maghreb
19. Juni 2025 um 10:37

ImmobilieVerwaltungsreform im Steuersystem tritt in Kraft – Reform der Wohnsteuer soll Steuerverfahren vereinfachen, Effizienz erhöhen und Transparenz bei lokalen Abgaben verbessern Rabat – Seit dem 12. Juni 2025 liegt die ZustĂ€ndigkeit fĂŒr die Verwaltung der Wohnsteuer sowie der Steuer fĂŒr kommunale Dienstleistungen bei der Generaldirektion fĂŒr Steuern (DGI). Zuvor waren diese Aufgaben – einschließlich Erstellung [
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