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Les pays du Sud mènent la transformation du commerce international

22. Februar 2025 um 13:34

Les pays du Sud mènent désormais la transformation du commerce international et de la coopération économique, avec la présidence du G20 qui est passée de l’Indonésie à l’Inde, puis au Brésil et aujourd’hui à l’Afrique du Sud.

Lors de la session géopolitique de la réunion des ministres des Affaires étrangères du G20, le 20 février 2025 en Afrique du Sud, Rebeca Grynspan, secrétaire générale de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced), a souligné, selon le site de la Cnuced, un tournant majeur dans la gouvernance mondiale. Elle a mis en exergue le fait que cette année marque la fin d’un cycle inédit : pour la première fois, la présidence du G20 a été assurée successivement par quatre pays du Sud — l’Indonésie, l’Inde, le Brésil, et désormais l’Afrique du Sud.

Selon Mme Grynspan, cette évolution est révélatrice du potentiel de la multipolarité pour renforcer le multilatéralisme plutôt que de l’affaiblir. Dans ses déclarations, elle a affirmé : « Ces quatre dernières années ont prouvé que le bon choix est d’avoir multipolarité et multilatéralisme ». Pour elle, cette transition montre que la diversité géopolitique mondiale est un atout stratégique permettant une coopération internationale plus dynamique et équilibrée.

Un nouveau paysage économique mondial

Dans un monde où l’incertitude économique persiste, de nouvelles dynamiques commerciales se dessinent, offrant des perspectives de croissance plus inclusives et durables. Selon la Cnuced, les reprises économiques post-pandémie ont été inégales, certaines économies étant confrontées à des défis comme la stagnation, l’incertitude des investissements, ou encore le surendettement. Toutefois, ce climat incertain a également ouvert la voie à des dynamiques inédites. En particulier, le commerce Sud-Sud et l’intégration régionale ont pris de l’ampleur, offrant ainsi des voies alternatives vers la résilience économique.

Par exemple, des initiatives telles que la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN), et l’accord UE-Mercosur illustrent comment la coopération régionale et interrégionale peut compléter l’engagement mondial. Ces partenariats ont permis d’émerger des nouvelles sources de croissance, facilitant un commerce plus équitable et un renforcement des capacités économiques des pays en développement.

D’après la Cnuced, cette coopération constitue une réponse face aux défis mondiaux, comme les disruptions des chaînes d’approvisionnement et les risques d’inflation.

Les défis d’une croissance durable et inclusive

Malgré ces avancées, les défis économiques demeurent de taille. En effet, l’incertitude liée aux investissements, la stagnation de certaines économies et les problématiques de surendettement continuent de peser sur la stabilité mondiale.

Rebeca Grynspan a averti que la conjonction de perturbations commerciales, d’inflation et de volatilité des taux de change pourrait exacerber la situation. Ces facteurs, ajoutés à l’augmentation des coûts d’emprunt, risquent de forcer les pays les plus vulnérables à détourner des ressources destinées à leur développement à long terme pour couvrir leur dette.

Cette situation met en péril les perspectives de croissance inclusive, alors que les pays en développement risquent de voir leurs efforts pour promouvoir l’industrialisation et la diversification économique contrariés par des pressions financières à court terme. La Cnuced appelle donc à une action concertée pour permettre aux économies émergentes de naviguer à travers ces défis, notamment par le biais de réformes financières et commerciales adaptées.

Réformes nécessaires pour un système commercial plus équilibré

Afin de garantir une croissance durable et inclusive, la Cnuced plaide en faveur de réformes en profondeur des systèmes commerciaux et financiers mondiaux. Dans son discours, Grynspan a insisté sur la nécessité de donner aux pays en développement une plus grande marge de manœuvre pour investir à long terme dans l’industrialisation et la diversification économique.

Cette réforme devrait inclure la modernisation des accords commerciaux internationaux, afin de permettre une plus grande équité dans les échanges mondiaux. La Cnuced estime que les règles du commerce mondial doivent évoluer pour garantir que toutes les économies, et non seulement les plus grandes puissances économiques, en bénéficient. Ce cadre reformé devrait permettre un accès plus équitable aux investissements et aux marchés mondiaux, tout en stimulant les efforts pour un développement plus équilibré.

La secrétaire générale de la Cnuced a rappelé que l’objectif ne doit pas être de créer un « monde sans règles », mais plutôt de mettre en place des règles qui soient bénéfiques pour l’ensemble de la communauté internationale.

Enfin, la coopération Sud-Sud, soutenue par les initiatives régionales, devient de plus en plus un moteur d’intégration économique et d’innovation. Dans ce contexte, les pays en développement, soutenus par des partenariats régionaux renforcés, ont la possibilité de se positionner comme acteurs clés d’une nouvelle gouvernance économique mondiale.

Rebeca Grynspan a conclu ses propos en soulignant qu’en favorisant des chaînes de valeur régionales et en adoptant des politiques commerciales plus inclusives, les pays peuvent transformer les incertitudes économiques en véritables opportunités de développement. En effet, une telle transformation économique permettrait de veiller à ce que les bénéfices de cette croissance se répartissent plus équitablement entre toutes les nations.

Selon la Cnuced, ce modèle pourrait ouvrir la voie à une nouvelle ère de coopération économique internationale, où le multilatéralisme et la multipolarité se rejoignent pour créer un système commercial plus juste et plus durable.

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L’avocat, acteur clé de l’économie et de la société

22. Februar 2025 um 12:20

Lors d’un colloque scientifique à Hammamet intitulé « L’avocat, acteur économique et social », Mohamed Ben Smida, membre du conseil de l’Ordre des avocats, a souligné l’évolution du rôle de l’avocat, selon la radio Jawhara FM.

Celui-ci ne se limite plus à la présence devant les tribunaux, à la plaidoirie ou à la préparation de rapports, mais s’étend désormais à un rôle central dans la vie économique et sociale.

Ben Smida a insisté sur l’importance de l’avocat dans le renforcement de l’environnement des affaires, de l’investissement et du développement durable.

Il a également mis en avant son rôle dans la sécurisation des transactions commerciales, la protection des droits civils, la promotion de la justice sociale et la résolution des conflits via la médiation et l’arbitrage.

En outre, il a évoqué le rôle des avocats en tant que conseillers au sein des institutions économiques et leur contribution à l’accompagnement juridique des investisseurs. Cette implication pourrait, selon lui, réduire significativement les litiges et le recours aux tribunaux.

L’avocat a également annoncé que des interventions d’avocats expérimentés dans le traitement des affaires impliquant des institutions étrangères seraient présentées lors du colloque. Il a déploré que l’État tunisien fasse parfois appel à des avocats étrangers pour résoudre des litiges concernant des entreprises tunisiennes. Pour remédier à cette situation, l’Ordre des avocats s’est engagé à renforcer la formation continue des avocats tunisiens afin de leur permettre d’acquérir l’expertise nécessaire.

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Partenariat BIAT France – IYU Europe pour les transferts des TRE

22. Februar 2025 um 12:03

Le partenariat permet à BIAT France d’utiliser la technologie d’IYU Europe, offrant une plateforme de paiement intuitive et sécurisée, permettant aux Tunisiens résidents à l’étranger d’effectuer leurs transferts de fonds en toute autonomie et sécurité, à tout moment, selon Espace Manager.

IYU Europe, agréé par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) et disposant d’un solide partenariat avec la Banque de France, se distingue par son approche hybride. Combinant la digitalisation des paiements avec un réseau physique d’agents de paiement, l’entreprise permet une couverture étendue des besoins des clients à travers l’Europe, l’Afrique, l’Asie et l’Amérique latine. En s’associant avec BIAT France, IYU Europe élargit son réseau et sa capacité à desservir la communauté tunisienne en Europe, tout en maintenant un haut niveau de service personnalisé.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’une volonté de simplifier les démarches pour les expatriés tunisiens, tout en leur offrant des options de transfert compétitives. La BIAT met ainsi l’accent sur l’amélioration de l’expérience utilisateur, en fournissant une solution de paiement moderne et adaptée aux besoins spécifiques des TRE. Cette plateforme sera un levier clé pour la banque afin de renforcer sa position sur le marché des services financiers internationaux.

Renforcement de l’offre « Tounessna » pour les Tunisiens résidents à l’étranger

Ce partenariat avec IYU Europe fait partie d’une stratégie globale de la BIAT pour soutenir et accompagner les Tunisiens résidents à l’étranger. En plus de proposer des services de transfert de fonds, la BIAT a développé l’offre « Tounessna », un dispositif spécialement conçu pour aider les TRE à concrétiser leurs projets en Tunisie. L’offre comprend des services financiers diversifiés, allant de l’ouverture de comptes bancaires à des solutions d’investissement et de financement, en passant par des conseils personnalisés pour les projets professionnels ou immobiliers en Tunisie.

La BIAT, à travers son réseau international, réaffirme son engagement envers la diaspora tunisienne en Europe, en mettant en place des services qui facilitent non seulement les transferts de fonds, mais aussi l’investissement et le développement économique en Tunisie. Grâce à des partenariats stratégiques comme celui avec IYU Europe, la BIAT améliore la qualité de ses services tout en rendant les transactions transfrontalières plus accessibles et plus avantageuses.

En résumé, cette collaboration entre la BIAT et IYU Europe s’annonce comme une étape clé dans l’évolution du secteur des transferts de fonds internationaux. Avec un service optimisé, sécurisé et compétitif, les Tunisiens résidents à l’étranger bénéficieront désormais de solutions plus adaptées à leurs besoins financiers, tout en contribuant au développement économique de la Tunisie.

 

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Redeyef : reprise de l’activité de la laverie de phosphate

22. Februar 2025 um 11:02

Le jeudi 20 février 2025, les employés et responsables de la laverie de phosphate de Redeyef ont réussi à faire redémarrer les moteurs de la laverie, pour la première fois après cinq ans d’arrêt, selon la radio Mosaïque FM.

Cela permettra à la Compagnie des phosphates de Gafsa d’augmenter sa capacité de production de phosphate, car cette laverie produit quotidiennement environ 2500 tonnes de phosphate concentré, ce qui augmentera la capacité de production de la société.

Il est à noter que depuis la levée du sit-in mené par un groupe de chômeurs à la laverie, les employés de la société des travaux agricoles, de l’environnement et de l’horticulture de Redeyef se sont engagés dans des travaux de nettoyage et de préparation pour la reprise des opérations.

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Gestern — 21. Februar 2025Haupt-Feeds

Les réalisations et ambitions marocaines vues par Bpifrance

21. Februar 2025 um 17:13

Le Maroc, acteur incontournable de l’économie africaine, renforce continuellement sa position stratégique grâce à des investissements ciblés dans des secteurs en forte croissance.

Selon une étude de Bpifrance, la Banque publique d’investissement française, le Royaume chérifien a su s’imposer comme un véritable pôle économique dynamique et novateur en Afrique. L’étude porte sur l’évolution de l’économie marocaine, mettant en lumière les grands projets structurants et les initiatives prises pour attirer les investisseurs internationaux.

L’enquête se focalise sur l’ensemble des transformations économiques du royaume chérifien, mettant en exergue son engagement vers une transition énergétique ambitieuse, ainsi que le développement de secteurs clés comme l’industrie automobile, l’agriculture, le tourisme, l’énergie renouvelable, et l’innovation numérique. Ces secteurs, soutenus par des politiques publiques incitatives et des investissements étrangers croissants, permettent au Maroc de se positionner comme un leader régional, voire mondial, dans certains domaines.

Une transformation économique soutenue par des investissements ciblés

L’un des moteurs principaux de cette transformation concerne la stabilité politique et la position géographique stratégique du Maroc, qui lui permet d’attirer des entreprises, notamment françaises, désireuses de développer leurs activités en Afrique. Dans cette perspective, le pays a fait le choix de se concentrer sur certains secteurs porteurs pour stimuler son développement économique.

Selon l’étude de Bpifrance, le Maroc a su capitaliser sur ses atouts naturels et géographiques pour attirer des investissements massifs dans les énergies renouvelables. En effet, le royaume s’est fixé un objectif ambitieux de produire 52% de son électricité à partir d’énergies renouvelables d’ici 2030.

Un des projets emblématiques du royaume dans ce domaine est la centrale solaire Noor Ouarzazate, l’un des plus grands complexes solaires au monde, qui joue un rôle clé dans la transition énergétique du pays. Ce projet, tout comme d’autres initiatives similaires, permet au Maroc de se positionner comme un leader de l’énergie solaire en Afrique et d’offrir des solutions durables à l’Europe, notamment dans le cadre de la production et de l’exportation d’hydrogène vert. Cette position stratégique est renforcée par la volonté du pays de diversifier ses investissements dans des technologies de pointe.

Lire aussi: Maroc : le parc solaire d’Ouarzazate fournira de l’électricité à un million de foyers

Au-delà de l’énergie, le secteur automobile représente un autre pilier fondamental de l’économie marocaine. Le Maroc est aujourd’hui l’un des plus grands producteurs de véhicules en Afrique, avec plus de 700 000 véhicules produits chaque année. L’industrie automobile marocaine se transforme en profondeur, avec un virage vers l’électromobilité. Ce changement ouvre de nouvelles perspectives pour le pays, notamment dans la fabrication de batteries pour véhicules électriques et le développement des infrastructures de recharge.

Des objectifs ambitieux pour 2030 : vers un Maroc innovant et durable

Le Maroc affiche des ambitions considérables pour 2030, d’après cette étude, non seulement en matière d’énergie et d’industrie, mais aussi dans le domaine du tourisme, de l’agriculture et de l’immobilier. L’objectif de produire 1 million de véhicules par an d’ici 2030 s’inscrit dans une volonté de renforcer sa place parmi les grandes puissances mondiales de l’automobile, mais aussi de répondre à une demande croissante pour des solutions durables et respectueuses de l’environnement.

Le secteur touristique l’un des domaines sur lesquels l’étude s’est focalisée, lui aussi, connaît une dynamique de croissance significative. Le Maroc ambitionne d’accueillir 26 millions de visiteurs d’ici 2030, en profitant notamment de l’organisation conjointe de la Coupe du Monde 2030 avec l’Espagne et le Portugal. Cet événement phare constitue une occasion unique pour dynamiser l’économie, notamment dans les domaines de l’infrastructure, de l’hôtellerie et des services. Bpifrance souligne dans son étude que la Coupe du Monde devrait générer plusieurs milliards d’euros d’investissements dans ces secteurs, renforçant ainsi l’attractivité du Maroc comme destination touristique incontournable.

L’enquête se focalise également sur le secteur agricole, où des efforts considérables ont été déployés pour moderniser et diversifier la production. Le Maroc se positionne comme un leader régional de l’agriculture durable, en mettant en œuvre des politiques de soutien à l’agritech et à l’innovation dans ce domaine. Le pays bénéficie de financements favorables pour les entreprises innovantes, ce qui permet de moderniser les infrastructures agricoles et d’améliorer la productivité. La mise en place de pratiques agricoles intelligentes et durables permet au Maroc de répondre efficacement à la demande croissante en matière de sécurité alimentaire tout en renforçant ses capacités d’exportation.

Le secteur immobilier, lui aussi, connaît un essor considérable, soutenu par la croissance démographique et l’urbanisation rapide. La demande en logements résidentiels, en infrastructures touristiques et en zones industrielles continue d’augmenter. Cependant, une transformation plus profonde est en cours, avec un développement de l’écoconstruction et l’utilisation de matériaux biosourcés, en phase avec les objectifs de transition énergétique du pays. Le Maroc s’engage ainsi à offrir des bâtiments plus durables et économes en énergie, contribuant à la lutte contre le changement climatique tout en répondant aux besoins croissants de ses citoyens.

Enfin, l’essor du numérique et de l’innovation est un autre levier important pour le développement économique du Maroc. Le pays s’impose comme un pôle attractif pour les startups, soutenu par un écosystème dynamique d’incubateurs et de fonds d’investissement, notamment dans les secteurs de la fintech, de l’e-commerce et de l’intelligence artificielle. Cette montée en puissance du numérique contribue à diversifier l’économie et à la rendre plus compétitive sur la scène internationale.

Ainsi, grâce à des réformes audacieuses et des investissements dans des secteurs stratégiques, le Maroc se positionne comme un modèle de développement économique durable et innovant en Afrique, attirant des investisseurs du monde entier.

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Tataouine : l’hôpital de Smar achevé à 95%

21. Februar 2025 um 14:50

Le maire de la municipalité de Smar, dans le gouvernorat de Tataouine, Abderrazek Hamzaoui, a affirmé sur les ondes de Mosaïque FM que les travaux de construction de l’hôpital local sont achevés à 95%, et que le reste des 5% seront terminés en mars prochain.

Grâce à un financement de près de 7 millions de dinars, l’hôpital comprendra une salle des urgences, des consultations externes et un département de gynécologie et obstétrique, et fournira des services aux habitants des municipalités de Smar et Beni M’hira.

Il convient de rappeler que les travaux ont commencé en 2021, mais ont été retardés pour diverses raisons, notamment des problèmes fonciers.

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Sidi Bouzid : protestation des employés de la société Kawafel

21. Februar 2025 um 12:28

Le vendredi 21 février 2025, les conducteurs et travailleurs de la filiale de « Kawafel » à Sidi Bouzid ont manifesté dans le hall de l’administration pour protester contre l’agression subie par l’un de leurs collègues le 20 février 2025, selon Radio Mosaïque FM.

Un communiqué publié par le syndicat de la société de transport de Sidi Bouzid, indique que l’incident a eu lieu alors que le conducteur assurait deux lignes scolaires à Sidi Bouzid. Il a alors été agressé par un élève et plusieurs membres de sa famille.

D’après Issam Chaïbi, secrétaire général du syndicat, les manifestants demandent aux autorités régionales de rétablir l’honneur de leur collègue, tout en menaçant de durcir leur action si les agresseurs ne sont pas poursuivis en justice.

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L’Algérie atteint 2 000 exportateurs : un essor prometteur

21. Februar 2025 um 11:23

L’Algérie compte actuellement 2 000 exportateurs, selon El Houari Abdelatif, sous-directeur chargé du suivi et de l’appui des exportations au ministère du Commerce extérieur et de la Promotion des exportations. Ce chiffre a été révélé mercredi, marquant une évolution significative par rapport aux années précédentes, où le nombre d’exportateurs ne dépassait pas 200.

En effet, cette croissance témoigne des efforts soutenus pour dynamiser le commerce extérieur du pays, selon Algérie Eco.

  • Expansion des exportations à l’échelle mondiale

Actuellement, les produits algériens sont exportés vers plus de 120 pays à travers le monde. El Houari Abdelatif a précisé que l’Algérie cible désormais plusieurs régions stratégiques, notamment le Moyen-Orient, l’Afrique, l’Europe, l’Australie, le Canada, les États-Unis et, prochainement, le Royaume-Uni. Cette diversification géographique est rendue possible grâce à une nouvelle approche commerciale visant à encourager l’exportation des produits les plus demandés souligne Algérie Eco.

  • Focalisation sur les marchés arabes et africains

L’Algérie privilégie principalement les marchés arabes et africains, en raison de la proximité géographique, de la compétitivité des produits locaux et des facilités d’accès à ces régions. En outre, le pays bénéficie des avantages de la Zone de libre-échange africaine, entrée en vigueur en 2024, qui regroupe actuellement 30 pays. Le marché commun arabe est également un levier pour soutenir cette stratégie d’expansion commerciale.

  • Secteurs prometteurs pour les exportations

L’Algérie identifie plusieurs secteurs stratégiques pour l’exportation, tels que l’industrie, l’agroalimentaire, et les produits pharmaceutiques et parapharmaceutiques. Les produits phares incluent les agrumes, les fruits, les dattes, les tomates, les oignons, ainsi que des équipements électriques, notamment les transformateurs et les turbines.

  • Les exportations vers l’Afrique : un potentiel à exploiter

Actuellement, 10 % du volume des exportations algériennes sont destinés au continent africain, un pourcentage jugé insuffisant par El Houari Abdelatif, qui aspire à ce que l’Algérie devienne un moteur des échanges commerciaux avec l’Afrique. Cette ambition est renforcée par l’entrée en vigueur de la Zone de libre-échange africaine, qui devrait faciliter les échanges commerciaux et ouvrir de nouvelles opportunités pour les entreprises algériennes, en particulier grâce aux exonérations douanières accordées par les 30 pays participants témoigne Algérie Eco.

  • Le commerce de troc et les défis à venir

Concernant le commerce de troc, El Houari Abdelatif a mentionné qu’il est pratiqué avec les pays voisins africains, mais limité aux zones frontalières. Cependant, l’enjeu principal reste l’augmentation du volume des exportations pour améliorer les recettes en devises étrangères, un objectif stratégique crucial pour l’avenir économique du pays.

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La Chine va construire un complexe industriel en Algérie

21. Februar 2025 um 10:30

L’Algérie poursuit activement ses ambitions de diversification économique en mettant en place des initiatives industrielles majeures, écrit La Nouvelle Tribune.

Dans cette optique, l’Algérie se prépare à inaugurer un projet ambitieux qui pourrait bien transformer son secteur industriel, en l’occurrence la construction du plus grand complexe industriel en Afrique, dit-on. Ce projet est le fruit d’un partenariat stratégique entre le groupe algérien Condor et le géant chinois Hisense, deux acteurs qui souhaitent marquer de leur empreinte l’industrie manufacturière en Algérie et au-delà.

Partenariat stratégique entre Condor et Hisense

Cet accord a été officialisé par la signature d’un contrat entre Abderrahmane Benhamadi, président fondateur du groupe Condor, et Jason Ou, vice-président de Hisense pour l’Afrique et le Moyen-Orient. La signature de cet accord a ouvert la voie à une collaboration d’envergure entre les deux entreprises, visant à booster la production locale et à renforcer les capacités industrielles du pays, ajoute La Nouvelle Tribune.

Ce partenariat devrait avoir un impact majeur sur l’économie algérienne, en particulier dans les secteurs de l’électronique et de l’électroménager.

Bordj Bou Arreridj accueille le nouveau projet

Le complexe industriel sera implanté à Bordj Bou Arreridj, un pôle industriel reconnu en Algérie, et s’impose comme un projet stratégique pour le pays. Il s’agit de renforcer la production locale d’appareils électroniques et électroménagers, afin de réduire la dépendance du pays vis-à-vis des importations tout en créant un hub d’exportation vers l’Afrique et le Moyen-Orient. En effet, l’Algérie cherche à diversifier son économie, trop dépendante des hydrocarbures, et à soutenir son secteur industriel, un levier crucial pour son développement futur, selon la même source.

Renforcement de la production locale et de l’exportation

Ce projet aura également des retombées positives sur l’économie locale. La construction et l’exploitation de l’usine devraient générer des milliers d’emplois directs et indirects, tout en soutenant la croissance des industries locales. La main-d’œuvre algérienne pourra bénéficier de la formation et de l’expertise technique dispensées par Condor et Hisense, permettant ainsi de renforcer les compétences locales et de stimuler l’innovation dans le secteur industriel.

Pour Hisense, ce partenariat représente également une étape stratégique dans sa volonté de renforcer sa présence en Afrique, un marché clé pour son développement à l’international.

Hisense : une expansion clé en Afrique et au Moyen-Orient

La marque chinoise, leader mondial dans le domaine de l’électronique et de l’électroménager, voit en l’Algérie une plateforme idéale pour étendre ses activités en Afrique et au Moyen-Orient. En s’appuyant sur les infrastructures industrielles algériennes, Hisense pourra non seulement répondre à la demande locale, mais aussi approvisionner les marchés régionaux, notamment ceux de l’Afrique subsaharienne et du Moyen-Orient.

L’impact de ce projet s’étend donc bien au-delà de la simple construction d’un complexe industriel. Il s’inscrit dans une vision plus large de diversification économique, d’industrialisation du pays et de renforcement de l’intégration de l’Algérie dans les circuits de production et d’exportation mondiaux. Grâce à des initiatives comme celle-ci, l’Algérie se positionne progressivement comme un acteur clé dans l’industrie manufacturière régionale, et son partenariat avec des entreprises internationales telles que Hisense montre bien la volonté du pays de se tourner résolument vers l’avenir.

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L’UNESCO combat la désinformation climatique via la radio

21. Februar 2025 um 10:29

Des recherches récentes ont révélé une montée inquiétante de la désinformation concernant la crise environnementale, se propageant rapidement via les médias sociaux, les applications de messagerie et l’Intelligence artificielle générative selon le site de l’UNESCO.

Dans ce contexte, le bureau de l’UNESCO pour le Maghreb, en partenariat avec l’association Nefzawa, a organisé un atelier de formation le 13 février 2025, à l’occasion de la Journée mondiale de la radio. L’événement, destiné aux jeunes étudiant·es, visait à explorer l’impact de la radio sur le changement climatique et à promouvoir la pensée critique.

En effet, les participants ont pris part à des activités interactives, telles que des jeux de rôle et des débats, centrés sur l’utilisation du jeu de société « FactiCITÉ » développé par l’UNESCO. 36 jeunes de la région sud de la Tunisie, dont 23 filles et 13 garçons, représentant l’association Nefzawa et des clubs médias locaux, ont pris part à cette initiative.

Dans un monde confronté à des défis climatiques majeurs, la radio s’affirme comme un média essentiel, à la fois accessible et fiable, capable de diffuser des alertes lors d’événements extrêmes tels que des tempêtes, des inondations ou des épisodes de verglas.et cet atelier visait à souligner l’importance de l’éducation aux médias et à l’information pour lutter contre la désinformation climatique et encourager la pensée critique.

La formation s’est divisée en deux parties : une première théorique sur l’éducation aux médias en lien avec le changement climatique; suivie d’une deuxième partie consacrée à des activités pratiques utilisant le jeu « FactiCITÉ ».

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Algérie : révision de la loi sur l’exploitation touristique des plages

21. Februar 2025 um 09:56

La ministre algérienne du Tourisme et des Métiers de l’artisanat, Houeria Meddahi, a annoncé la fin de la révision de la loi n°03-02 sur l’exploitation touristique des plages. Elle a souligné l’importance de sélectionner des opérateurs compétents pour garantir des services de qualité, relève Algérie Press Service.

Répondant à une question sur les mesures prises pour assurer l’accès des citoyens aux plages, Mme Meddahi a précisé que cette révision permettra d’établir un « cadre organisationnel » pour la gestion des plages; et ce, afin de pallier aux lacunes existantes dans ce domaine.

Elle a ajouté que l’amendement visait à « réglementer le droit de concession » et à garantir l’accès gratuit aux plages. Tout en soulignant les efforts des autorités publiques pour assurer le succès de la saison estivale et lutter contre l’exploitation illégale des plages en Algérie.

Concernant les stations thermales non exploitées à Guelma, la ministre a indiqué que sur les 13 sources thermales de la région, seulement trois sont concernées par ce problème, en raison de la faible attractivité des investisseurs due au relief ou aux conflits locaux. Elle a rappelé que les stations thermales jouent un rôle clé dans le développement du tourisme intérieur en Algérie, où l’on dénombre 282 sources thermales, et que des projets sont en cours pour dynamiser ce secteur.

La ministre du Tourisme a également fait état de l’activité de thalassothérapie qui serait en pleine expansion, avec l’ouverture prochaine de trois centres à Alger (Staoueli), Oran (Mers El Hadjadji) et Chlef (Ténès).

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Les produits agricoles tunisiens bientôt sur les tables chinoises!

21. Februar 2025 um 09:37

Le 20 février 2025, s’est tenu un atelier de travail qui a réuni au ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche en présence d’une délégation des douanes chinoises, des responsables ministériels et des représentants du Centre de promotion des exportations (Cepex) et du ministère des Affaires étrangères.

La rencontre a porté sur des discussions techniques en vue de développer l’exportation des produits agricoles tunisiens vers le marché chinois, notamment l’huile d’olive, les dattes et les produits de la pêche.

Elle s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération tuniso-chinoise dans le secteur agricole, visant à accroître la présence des produits agricoles et alimentaires tunisiens en Chine.

Les deux parties ont rappelé la profondeur des relations historiques entre les deux pays et l’importance d’une coopération renforcée, notamment dans le domaine agricole, suite aux visites officielles du président de la République, Kaïs Saïed, et du chef du gouvernement, Kamel Maddouri, en Chine au cours de l’année écoulée.

La réunion a permis de surmonter les obstacles techniques liés aux normes sanitaires et phytosanitaires dans les plus brefs délais.

D’un point de vue économique, cet engagement marque une étape significative pour la Tunisie, dont les exportations agricoles, secteur clé de son économie, bénéficieront de nouvelles opportunités sur le vaste marché chinois. Cela pourrait potentiellement diversifier les marchés d’exportation, stimuler la production locale et créer des débouchés pour des secteurs agricoles traditionnels.

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Mort d’un étudiant à Kairouan : le ministère de l’Enseignement supérieur lance une enquête

20. Februar 2025 um 20:28

Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique profondément attristé, a annoncé ce jeudi 20 février 2025 l’ouverture d’une enquête pour éclaircir les circonstances du décès tragique de l’étudiant Mohamed Aziz Al-Maraaji, inscrit à l’Institut supérieur des études technologiques de Kairouan.

Il est à rappeler que cet étudiant, dont la perte endeuille sa famille et la communauté universitaire, est décédé mercredi soir à l’hôpital universitaire Ibn Al-Jazzar de Kairouan, après que sa santé s’est gravement détériorée à l’internat de Barkada.

Dans un élan de solidarité et de protestation, l’Union générale des étudiants tunisiens, profondément affectée par cet événement, a décidé de lancer une grève des études à partir de ce jeudi 20 février, réclamant la « responsabilisation du directeur de l’internat » pour ce qu’ils perçoivent comme un « retard dans la demande d’aide médicale », espérant ainsi que de telles tragédies ne se reproduiront plus.

 

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116 000 personnes rejoignent la plateforme TuniChèque

20. Februar 2025 um 16:11

La plateforme électronique unifiée pour les chèques, TuniChèque, a enregistré jusqu’au mardi 18 février 2025, l’inscription de 116 000 utilisateurs depuis son lancement le 2 février 2025. C’est ce qu’indique Karim Slaouti, directeur des projets à la SIBTEL (Société Interbancaire de télécompensation), sur Mosaïque Fm.

M. Slaouti a précisé que 36 000 demandes de chèques ont été reçues, tandis que 14 828 chèques ont été traités à cette date. Cette plateforme, qui permet de simplifier les transactions liées aux chèques, s’inscrit dans le cadre d’une initiative visant à moderniser le système bancaire tunisien, tout en facilitant l’accès des citoyens aux services financiers numériques.

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D’un point de vue économique, cette initiative pourrait jouer un rôle important dans la formalisation des paiements, l’amélioration de la traçabilité des transactions et la réduction des risques liés à l’utilisation des chèques papier.

De plus, elle contribue à l’inclusion financière en permettant à un plus large éventail de la population de participer à l’économie numérique. Cependant, la réussite de ce système dépendra de l’adoption généralisée par les utilisateurs et des mécanismes de sécurité qui devront être mis en place pour prévenir les abus.

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PME : défis de financement et rôle dans l’emploi

20. Februar 2025 um 16:08

Lors de son intervention dans l’émission « Midi Eco » du jeudi 20 février 2025, l’universitaire et chercheur en économie, Abdelkader Boudriga, a présenté les principales conclusions de la septième édition de « Miqyes« , l’indicateur national de la santé des petites et moyennes entreprises (PME) en Tunisie.

Il a expliqué que cet indicateur cible les PME comptant entre six et 200 employés, représentant 27 000 postes de travail en 2023. M. Boudriga a souligné que ces entreprises jouent un rôle essentiel dans la création d’emplois dans le secteur privé tunisien.

Le chercheur a également révélé qu’une entreprise sur deux, soit environ 50 %, n’a pas sollicité de financement en 2023. De plus, plus de 80 % des entreprises estiment que l’accès au marché bancaire et aux financements bancaires est particulièrement difficile. Le moyen de financement le plus utilisé reste le « leasing », avec un taux d’acceptation atteignant 85 %.

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M. Boudriga a ajouté que seulement 34 % de ces entreprises ont fait une demande de financement bancaire, citant parmi les raisons principales la complexité des procédures d’obtention de crédit.

Cette analyse met en lumière les défis structurels auxquels les PME tunisiennes sont confrontées, notamment en matière d’accès au financement, qui reste un obstacle majeur à leur développement et à leur contribution à la croissance économique du pays.

Analyse économique

Les résultats de l’enquête « Miqyes » soulignent les défis majeurs auxquels font face les PME tunisiennes, qui sont des moteurs cruciaux de l’économie, représentant un pourcentage significatif des emplois dans le secteur privé. La difficulté d’accès au financement reste le principal obstacle à leur croissance et à leur développement.

En effet, l’absence de demandes de financement chez près de 50 % des entreprises peut être interprétée comme une forme de résignation face aux complexités administratives et aux exigences strictes des institutions bancaires. Cela pourrait limiter leur capacité à investir et à se moderniser, freinant ainsi leur compétitivité.

L’utilisation du leasing, bien que plus accessible, soulève également des interrogations sur la liquidité et la capacité des entreprises à disposer de ressources propres pour se financer. Cela indique que ces PME, bien qu’elles soient vitales pour l’économie, sont souvent piégées dans un cercle de dépendance à des mécanismes de financement moins optimaux et coûteux.

Accès au financement, un parcours du combattant pour 80 % des PME

De plus, le fait que plus de 80 % des entreprises perçoivent l’accès au financement comme une difficulté majeure suggère un besoin urgent de réformes dans le système bancaire tunisien. Un ajustement des critères d’octroi de crédit, ainsi qu’une simplification des démarches administratives, seraient essentiels pour libérer le potentiel de ces entreprises et ainsi stimuler la croissance économique et la création d’emplois.

En conclusion, une politique de soutien ciblée et une révision des mécanismes de financement pourraient jouer un rôle clé dans la dynamisation de ce secteur stratégique, permettant aux PME tunisiennes de surmonter les obstacles financiers et de participer activement à la croissance durable du pays.

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Béja : bonne situation des cultures de céréales et disponibilité suffisante d’ammonitrate

20. Februar 2025 um 15:43

Le président de l’Union régionale de l’agriculture et de la pêche de Béja, Chokri El-Djabi, a indiqué, ce jeudi 20 février 2025 à la radio IFM, Jamal Khalouli, que la situation des cultures de céréales et des fourrages est favorable dans la région grâce aux importantes quantités de pluie reçues.

Chokri El-Djabi a souligné que cette période est propice pour les agriculteurs afin d’effectuer les traitements nécessaires sur les cultures de céréales et de fourrages, ainsi que l’épandage d’ammonitrate en deux étapes. Tout en précisant que cet engrais est actuellement disponible en quantité suffisante pour répondre aux besoins des agriculteurs.

D’un point de vue économique, cette situation s’avère rassurante pour la filière agricole. Et ce, particulièrement dans une période où l’approvisionnement en intrants agricoles, comme les engrais, est crucial pour maintenir la productivité.

Ainsi, la disponibilité de l’ammonitrate, élément essentiel pour optimiser les rendements des cultures, est un facteur déterminant dans la gestion des coûts de production. Ce qui pourrait avoir des impacts positifs sur la rentabilité des exploitations agricoles dans cette région stratégique pour l’agriculture tunisienne.

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Syndicat des journalistes : Mohamed Boughalleb risque dix ans de prison

20. Februar 2025 um 15:07

Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) se dit inquiet après la décision de la Cour de cassation confirmant le renvoi du journaliste Mohamed Boughalleb devant la Chambre criminelle, dans le cadre du décret 54 sur les crimes numériques.

Mohamed Boughalleb est accusé d’avoir porté atteinte à un fonctionnaire public, sur la base d’une plainte déposée par une professeure universitaire.

Le syndicat a qualifié cette décision de choquante, soulignant que M. Boughalleb pourrait encourir une peine de prison d’une durée minimale de dix ans en raison de ce renvoi devant la justice criminelle.

L’organisation syndicale renouvèle son appel à tous les acteurs concernés, en particulier le président du Parlement, Ibrahim Bouderbala, pour réviser le décret 54, dont les interprétations judiciaires demeurent contradictoires. Et ce, notamment en ce qui concerne son application dans le cadre de la répression des délits numériques.

D’un point de vue juridique, il est important de souligner que la mise en œuvre du décret 54, notamment ses articles concernant l’atteinte à la réputation des fonctionnaires publics à travers des moyens de communication électronique, soulève des questions sur l’équilibre entre la protection des droits fondamentaux, comme la liberté d’expression, et la nécessité de garantir la sécurité des agents publics.

Les divergences interprétatives observées au sein de la jurisprudence mettent en lumière les ambiguïtés de ce texte législatif, qui mérite d’être clarifié pour éviter des abus dans son application.

La révision du décret s’avère essentielle pour assurer une meilleure protection des libertés individuelles, tout en respectant les exigences de l’État de droit.

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Enfin, Air Algérie reliera Alger et Abuja en avril

20. Februar 2025 um 14:58

Après plusieurs mois de spéculations, la liaison tant attendue entre Alger et Abuja, qui sera opérée par Air Algérie, prend forme.

Selon des informations rapportées par plusieurs médias locaux et l’Agence Ecofin, le lancement de cette nouvelle ligne aérienne est prévu pour le mois d’avril prochain.

Hamza Ben Hamouda, PDG d’Air Algérie, a confirmé que cette connexion directe entre l’Algérie et le Nigeria vise à renforcer l’interconnexion entre les régions du Nord et de l’Ouest africain, dans un contexte de forte demande économique.

Ce nouveau vol s’inscrit dans une série de projets d’expansion de la compagnie, qui envisage également de relier Amsterdam, avant de se tourner vers la Chine et l’Amérique du Nord.

Dans cette dynamique, la compagnie aérienne publique algérienne attend la livraison de 16 avions supplémentaires, dans le cadre de son plan de modernisation, avec un Airbus A-300 prévu pour juin 2025.

Ce renforcement de la flotte s’inscrit dans une vision stratégique des autorités algériennes, qui considèrent l’interconnexion aérienne comme essentielle pour accroître l’accès au marché ouest-africain, crucial pour les affaires et le commerce.

Au-delà de l’aérien, l’Algérie envisage aussi des liaisons maritimes directes et des corridors routiers transnationaux pour dynamiser les échanges avec les côtes occidentales du continent.

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Poste tunisienne – CNSS : début du versement des pensions

20. Februar 2025 um 14:00

La Poste tunisienne a annoncé que le versement des pensions de retraite de la Caisse nationale de la sécurité sociale (CNSS) débutera ce jeudi 20 février 2025, à partir de 17h00 via les distributeurs automatiques de billets (DAB).

Les retraites seront également disponibles dans les bureaux de la Poste tunisienne dès le vendredi 21 février.

Habituellement versées le 25 de chaque mois, les pensions de ce mois bénéficient d’une avance en raison d’une grève sectorielle prévue pour les 25 et 26 février. Initialement programmée en septembre 2024, cette grève a été reportée à cette nouvelle date.

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