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Journée de l’Afrique : la Tunisie réaffirme son engagement pour une Afrique unie, souveraine et résiliente

23. Mai 2025 um 16:17

La Tunisie réitère son engagement solennel en faveur d’une Afrique prospère, solidaire et résiliente, une Afrique où règne la justice humaine, une Afrique qui maîtrise les attributs de sa souveraineté, capable de gérer ses ressources naturelles, une Afrique qui assure sa sécurité alimentaire, énergétique et hydraulique et où les TIC évoluent au rythme de son développement, a souligné le ministre des Affaires Etrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Etranger, Mohamed Ali Nafti.

Il s’exprimait lors d’une rencontre sur “Les défis de l’action africaine multilatérale dans une perspective africaine” organisée, vendredi, à l’Académie Diplomatique Internationale de Tunisie dans le cadre de la commémoration de la Journée de l’Afrique célébrée le 25 mai de chaque année.

Tout en soulignant l’engagement de la Tunisie dans une politique étrangère axée, principalement, sur le développement du continent et la promotion des valeurs de paix, de sécurité et de développement solidaire, Nafti a indiqué que la Tunisie a rappelé l’initiative du Président de la République Kaïs Saïed de proclamer l’année 2025 année du multilatéralisme et du renforcement du système onusien. Une initiative qui revêt une dimension symbolique particulière dans la mesure où elle coïncide avec la commémoration du 80ème anniversaire de la création de l’Organisation des Nations unis, a-t-il fait observer.

Le ministre a mis en avant les avancées multidimensionnelles ont été réalisées profitant à l’humanité et à l’Afrique en particulier, soulignant que ces réalisations, aussi significatives soient-elles, ne saurait cacher les souffrances et les injustices indicibles dans le monde.

Il a, dans ce sens, évoqué le génocide perpétré par l’entité occupante à Gaza, au mépris des principes fondamentaux du droit international et qualifié cette situation d’ “alarmante” face à l’indifférence et le désengagement de la communauté internationale.

De son côté, l’ambassadrice de la Guinée équatoriale et Doyenne du Groupe Africain en Tunisie, Nsang Ndong Nsuga GERTRUDIS a relevé que la célébration de la journée d’Afrique est l’occasion de réaffirmer que l’avenir de l’Afrique ne peut être bâti que par la coopération et la solidarité entre les Etats africains. Elle a insisté sur la solidarité entre les peuples d’Afrique comme vecteur de prospérité et de valorisation de l’identité africaine.

La diplomate qui a tenu à saluer l’engagement de la Tunisie à renforcer la coopération avec les pays membres du groupe africain, a appelé à la simplification des procédures d’obtention du titre de séjour, pour les étudiants africains résidant en Tunisie.

La rencontre, placée sur le thème “Les défis de l’action multilatérale dans une perspective africaine” a été l’occasion de débattre autour du développement des relations entre les Etats membres du continent africain et les responsables onusiens dans une perspective multilatérale en vue de surmonter les défis géopolitiques et climatiques.

Deux panels ont été organisés dans ce cadre; “Les défis de l’action multilatérale dans les domaines de la paix et de la sécurité” et “Les défis de la coopération multilatérale dans le domaine économique et financier”.

Des représentants des missions diplomatiques accréditées en Tunisie, des responsables onusiens et des responsables tunisiens ont pris part à la rencontre.

Lors de cette manifestation, le ministre des AE a inauguré l’exposition philatélique “Le timbre-poste au service de l’Afrique”, une exposition qui célèbre l’Unité africaine à travers les timbres -postes tunisiens.

 

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Forum RSE et ESG 2025 : l’intelligence artificielle au cœur de la transformation durable à Gammarth

23. Mai 2025 um 15:52

La quatrième édition du CSR Power Forum se tiendra les 28 et 29 mai prochains à Gammarth, autour du thème : “Repenser la stratégie RSE/ESG à l’ère de l’intelligence artificielle”.

D’après la page officielle de l’événement sur Facebook, ce Forum, dédié à la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) et aux critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG), réunit chaque année un public exigeant composé d’experts, de dirigeants, de décideurs politiques et d’acteurs associatifs engagés dans la transition durable.

Cette nouvelle édition se concentre sur la transformation des stratégies de durabilité par l’IA et propose un programme dense mêlant conférences, panels thématiques et formations certifiantes.

Quatre panels principaux aborderont la gestion intelligente du capital humain, la finance durable, la transformation de la relation entreprise-consommateur grâce à l’IA, et l’accélération de la transition énergétique par l’innovation technologique. Des ateliers pratiques traiteront notamment de l’harmonisation du reporting ESG, de la cybersécurité pour les organisations responsables et de la contribution des entreprises au développement territorial inclusif.

En outre, des formations dispensées par l’AIPS (American Institute of Professional Studies), organisme américain reconnu, seront proposées. Un hackathon collaboratif et une cérémonie de remise des CSR Awards , récompensant les initiatives les plus innovantes en matière de RSE et d’intelligence artificielle, complètent le programme.

Organisé en partenariat avec la Fédération Tunisienne des Sociétés d’Assurances (FTUSA) et Ernst & Young (EY), le CSR Power Forum 2025 s’impose comme une plateforme incontournable pour le networking, l’apprentissage et la co-construction d’un avenir plus responsable.

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Agriculture durable : les femmes tunisiennes, gardiennes du patrimoine agroalimentaire, réclament plus de soutien

23. Mai 2025 um 15:42

Les femmes sont l’épine dorsale de l’économie rurale et de l’agriculture familiale en Tunisie, comme partout dans le monde. D’ailleurs, l’agriculture familiale qui assure 85% de l’alimentation dans le monde repose sur les femmes. Ces dernières devraient, compte tenu du rôle qu’elles jouent dans la garantie de la sécurité alimentaire, bénéficier de tout l’accompagnement et l’appui nécessaires et occuper la place qu’elles méritent dans les politiques et plans nationaux de développement, selon les intervenants au séminaire national qui s’est tenu, vendredi, à Tunis, sur le “renforcement du rôle des femmes dans la conservation dynamique des systèmes ingénieux du patrimoine agricole mondial (SIPAM) en Tunisie”.

Organisée à l’UTAP, à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la biodiversité (22 mai 2025), cette conférence a réuni de nombreuses femmes agricultrices et responsables de GDA, venant de plusieurs régions du pays, des représentants des divers départements ministériels (Environnement, agriculture, femme…), des points focaux en plus du représentant de la FAO et des deux chambres parlementaires (ARP et CNRD).

Le monde compte actuellement, 95 Systèmes Ingénieux du Patrimoine Agricole Mondial, définis par la FAO comme étant “des systèmes et des paysages remarquables d’exploitation de terres, riches en une diversité biologique d’importance mondiale et évoluant grâce à l’adaptation d’une communauté à son environnement, à ses besoins et à ses aspirations au développement durable”.

La Tunisie, qui projette de créer 5 sites de systèmes ingénieux du patrimoine agricole mondial (SIPAM), d’ici 2030 et qui compte déjà trois inscrits dans la liste mondiale, soit les jardins suspendus de Djebba (Béja), les oasis historiques de Gafsa et les cultures Ramli, de Ghar El Melh, est actuellement le premier pays d’Afrique du nord et de la région MENA, en termes de nombre de SIPAM.

Promus par le pays dans le cadre de sa Stratégie et Plan d’action Nationaux sur la biodiversité (2018-2030), comme une priorité pour développer le savoir et valoriser le savoir-faire traditionnel (objectifs Aichi 18 et 19), est actuellement le premier pays d’Afrique du nord et de la région Mena, en termes de nombre de SIPAM.

Noureddine Nasr, expert international en développement rural et agricole a déclaré aux médias que la femme joue un rôle crucial dans la préservation de la biodiversité et des systèmes agricoles ingénieux menacés de disparition.” Ce rôle consiste par exemple à préserver et faire durer les traditions culinaires à partir d’ingrédients et de semences artisanale non importée comme c’est le cas pour le mais de Gafsa qui sert à préparer des plats et des soupes comme la “sliga” et “hsa” pendant l’hiver. A ghar El Melh à Bizerte, les cultures de pommes de terre et de haricot blanc spécifique à cette localité sont aussi jalousement gardées et conservées par les agricultrices. Ce sont elles qui assurent la conservation et la valorisation des produits et des savoirs-faire dans des sites et des écosystèmes fragiles”, a-t-il expliqué.

La Tunisie projette, dans le cadre d’un programme dédié à la conservation impliquant les Collectivités locales pour la valorisation des connaissances et des Savoir-faire traditionnels, de créer 5 sites SIPAM d’ici 2030, notamment à Ghar El Melh, Kerkennah, Djebba, Kesra et l’agrosystème Jessour. Mais, selon Nasr, il existe en Tunisie beaucoup plus que 5 sites SIPAM, “Il faut revenir à un recensement déjà élaboré en 2010-2011, des systèmes en Tunisie qui pourraient être inscrits sur la liste du patrimoine mondial, dont les Ksours de Matmata, Chnenni, Douiret (Sud de la Tunisie), les systèmes pastoraux et nomades à Medenine, les systèmes de pêche à la Charfia à Kerkennah et autres”.

Le porte-parole de l’UTAP, Fethi Ben Khelifa, a appelé les autorités à intégrer le plan d’action sur l’agriculture familiale, élaboré en coordination avec 5 départements ministériels au plan de développement national 2026-2030.

L’agriculture et les produits agro-alimentaire qui contribuent à 14% à la main d’œuvre nationale, 9% à l’exportation et 6% à l’investissement, ne bénéficie que de 3% des financements, a-t-il regretté.

Les femmes agricultrices représentantes des Groupements de développement agricole GDA et des sites SIPAM, sont unanimes à souligner que leur objectif est de préserver le patrimoine national tout en créant des moyens de subsistance et de garantir une vie décente pour leurs famille et aussi une dynamique économique pour les communautés locales.

Ferida Djebbi, présidente du GDA Kounouz Djebba, qui présentait les pratiques de valorisation des figues de Djebba à travers le séchage et la transformation en confitures a évoqué certains problèmes auxquels font face les femmes agricultrices. En plus des difficultés parfois d’écoulement des produits sur les marchés, elle a évoqué le coût de renouvellement des certificats bio, estimé à 2 mille dinars.

“Pour des GDA confirmés et des sociétés bien établies, ça ne pourrait pas poser de problème, mais pour des groupements de femmes dans un milieu rural, payer 2 mille dinars pour renouveler un certificat valorisant les produits locaux et de terroir, c’est aberrant”, a indiqué Djebbi.

Pour des femmes reconnues comme “conservatrices confirmées de patrimoine agricole artisanal national” et qui contribuent activement à la garantie de la sécurité alimentaire, un surcroit d’efforts est nécessaire, d’après les intervenants et intervenantes, pour préserver leurs droits, leur rendre hommage et leur témoigner gratitude.
Une exposition de produits de terroir et de produits valorisés par les GDAs et les sites SIPAM a été organisée à cette occasion, à l’UTAP.

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KazanForum 2025 : 130 accords signés pour renforcer les liens entre la Russie et le monde islamique

23. Mai 2025 um 15:37

Quelque 130 accords et mémorandums d’entente, dont 75 accords internationaux ont été signés au terme du “KazanForum 2025”, le XVIe Forum économique international “Russie – monde islamique”, qui s’est tenu du 13 au 18 Mai courant, à Kazan, 6e plus grande ville de Russie et capitale de la république du Tatarstan.

Ont pris part à cet événement, 96 pays et 82 districts fédéraux russes ainsi que 8500 invités dans le programme d’affaires de ce forum annuel de la Russie et des pays de l’Organisation de la coopération islamique (OCI). Il a l’ambition d’être une plateforme pour booster la coopération entre la Russie et les États membres de de cette organisation dans une multitude de secteurs.

Les autorités russes ont indiqué que les relations commerciales entre la Russie et le monde islamique sont en progression tout autant que le nombre de projets d’investissements internationaux grâce à ce forum, insistant sur l’importance de “construire un dialogue international entre la Russie et les pays islamiques”.

Le Forum de Kazan a porté sur la numérisation de la coopération entre la Russie et les pays de l’OCI et a traité de domaines très diversifiés, se rapportant à la coopération internationale, l’industrie halal, le sport, le financement et l’investissement islamiques, le tourisme, la culture, le commerce, l’économie, les ressources humaines, les sciences et technologies et l’informatique.

La Russie a l’ambition de faire du Forum de Kazan une plateforme principale pour le développement de l’industrie halal. Ella a octroyé trois certificats d’accréditations internationaux à cette occasion.

Pour les autorités russes, “le partenariat avec le monde islamique ne cesse d’être l’un des plus importants axes de la politique étrangère russe” arguant que “la coopération entre la Russie et les pays de l’OCI contribue à former un nouvel ordre mondial basé sur un dialogue des civilisations exempt de conflits”.

Le chargé d’affaires ad intérim à l’ambassade de Tunisie a Moscou, Bechir Langar avait déclaré à l’occasion de ce forum, à l’Agence TAP,  que la Russie oriente ses efforts vers le développement des relations avec les pays arabes, islamiques et africains dans de nombreux domaines économiques, notamment, les technologies de l’information, la sécurité informatique, le transport, outre les domaines de l’éducation.

Et d’expliquer que la Tunisie en tant que pays importateur net de céréales, de pétrole et dérivés et d’engrais, accorde un intérêt spécial au développement des relations avec la Russie. L’ambassade de Tunisie à Moscou est en train de prospecter le marché russe en vue d’identifier les sociétés russes intéressées par l’importation de l’huile d’olive tunisienne ainsi que des dattes, du prêt-à-porter et des cosmétiques.

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Manouba : la production céréalière 2025 en hausse de 50 %, avec 850 000 quintaux attendus

23. Mai 2025 um 15:27

La production céréalière dans le gouvernorat de Manouba, devrait atteindre, cette année, 850 mille quintaux, en hausse de 50% par rapport à l’année précédente (470 mille quintaux) dont 520 mille quintaux de blé dur.

Selon le commissariat régional au développement agricole, les superficies céréalières emblavées s’élèvent à 35 mille 500 ha avec un rendement moyen estimé de 24 quintaux par hectare.

La région compte 128 moissonneuses-batteuses, 5 centres de collecte d’une capacité de stockage de 200 mille tonnes, 160 faneuses à foin, 365 tracteurs et 200 citernes.

La saison des moissons au gouvernorat de Manouba devrait démarrer respectivement, les 1er et 11 juin, pour les superficies d’orge et du blé.

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Bourses d’études en Corée : candidatures ouvertes aux Tunisiens pour les programmes KOICA 2025-2026

23. Mai 2025 um 15:13

Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé, vendredi, l’ouverture des candidatures pour la deuxième session des programmes de master et de doctorat 2025-2026, organisés par l’Agence coréenne de coopération internationale (KOICA).

Selon un communiqué du ministère, ces programmes couvrent plusieurs spécialités, notamment les politiques de développement économique, la gouvernance électronique, l’administration publique, les politiques de santé, le financement sanitaire ainsi que la gestion des changements climatiques.

Les formations seront dispensées dans des universités coréennes de renom telles que la KDI School, Handong Global University, l’Université Yonsei, Sungkyunkwan et Incheon National University.

La sélection des candidats se fera en deux étapes : une présélection des dossiers suivie d’entretiens téléphoniques. Les conditions d’éligibilité comprennent une bonne maîtrise de l’anglais, une bonne condition physique, un âge inférieur à 40 ans de préférence, et ne pas avoir déjà bénéficié d’une bourse coréenne. Pour les programmes de doctorat, les candidats doivent avoir complété avec succès un master financé par la KOICA.

Les candidatures doivent inclure les formulaires requis, une copie du passeport, et les documents demandés par les universités, à télécharger via le lien httpss://drive.google.com/drive/folders/1V42JU-P-w4aa-cjR2hB-56AC9IR9PYbO?usp-sharing

Le gouvernement coréen prendra en charge l’ensemble des frais liés à la participation aux programmes, incluant hébergement, transport international et allocation journalière.

Les dossiers de candidature doivent être dûment remplis, signés par le supérieur hiérarchique direct, puis envoyés à la direction des ressources humaines du ministère à l’adresse suivante formation.drh@mes.mu.tn et ce, avant le 03 juin 2025.

 

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 23 Mai 2025

23. Mai 2025 um 13:34

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.964 3.039
Euro EUR 1 3.346 3.423
Yen Japonais JPY 1000 20.463 21.234
Livre Sterling GBP 13 3.948 4.097
Franc Suisse CHF 10 35.336 36.854

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Fistule obstétricale : 100 000 nouveaux cas chaque année, l’OMS appelle à la prévention et au traitement

23. Mai 2025 um 13:21

A l’occasion de la journée internationale pour l’élimination de la fistule obstétricale (le 23 mai), l’Organisation mondiale de la santé (OMS) rappelle qu’il est possible de prévenir et de traiter la fistule obstétricale qui menace la vie de milliers de mères.

Selon l’OMS, la fistule obstétricale se définit comme une ouverture anormale entre le canal de naissance et la vessie, survenant lors d’un accouchement prolongé ou difficile, souvent en cas de grossesse précoce. Cette affection provoque chez la femme une perte incontrôlable d’urine ou de matières fécales, entraînant des maladies de la peau et de graves troubles rénaux.

L’OMS affirme que les femmes souffrant de fistule obstétricale non compliquée peuvent être traitées au moyen d’une simple intervention chirurgicale visant à réparer la perforation de la vessie ou du rectum.

En effet, la majorité des cas peuvent être corrigés par la chirurgie, indique la même source.

Parmi les principales mesures de prévention, l’OMS souligne l’importance d’éviter les grossesses précoces, en particulier durant l’adolescence, ainsi que la nécessité de fournir des services obstétriques et de sages-femmes de qualité, accessibles en temps opportun, pour prévenir la survenue de cette complication lors des accouchements difficiles.

La fistule obstétricale, qui provoque souvent dépression et isolement social, est particulièrement fréquente dans les régions pauvres, reculées ou touchées par des conflits, où les femmes enceintes manquent d’accès à des soins de santé adéquats, souffrent de malnutrition, de pauvreté et d’analphabétisme.

D’après l’OMS, environ 100 mille nouveaux cas de fistules obstétricales sont enregistrés chaque année dans le monde, tandis que plus de deux millions de filles et de femmes vivent actuellement avec une fistule non traitée. Des milliers de nouveaux cas sont recensés chaque année, et 9 % des cas aboutissent à une mortinaissance.

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CEPEX : B2B à Rome pour valoriser les produits tunisiens

23. Mai 2025 um 13:04

Le Centre de Promotion des Exportations (CEPEX) organise, les 11 et 12 juin 2025, au Centre Agroalimentaire de Rome (CAR), des rencontres professionnelles (B to B) dédiées aux produits du terroir et produits frais, et ce, en collaboration avec l’Ambassade de Tunisie à Rome, et en partenariat avec l’Agence de Promotion des Investissements Agricoles (APIA) et le projet d’Accès aux Marchés des Produits Agroalimentaires et de Terroir (PAMPAT).

Selon le Cepex, cet événement comprendra des rencontres professionnelles (B to B) entre les entreprises tunisiennes participantes et les grossistes du CAR ; un espace promotionnel pour l’exposition des produits tunisiens, ainsi que des séances de dégustations. L’objectif est de valoriser l’offre tunisienne auprès des grossistes du Centre Agroalimentaire de Rome et de nouer des collaborations stratégiques sur le marché italien.

Cet évènement est destiné aux professionnels tunisiens exerçants dans les filières des dattes et dérivés ; des tomates séchées et artichauts transformés ; et des fruits et légumes.

Les entreprises tunisiennes intéressées par cet évènement peuvent s’inscrire via le lien suivant : httpss://www.e-cepex.tn/c/b2b/details/380 au plus tard le 30 mai 2025.

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Tunisie : les sociétés de sous-traitance sommées de se reconvertir en prestataires de services

23. Mai 2025 um 12:43

“Selon la nouvelle loi sur l’organisation des contrats de travail et l’interdiction de la sous-traitance, les sociétés de prestation de services ne peuvent pas exercer une activité principale ou permanente au profit des entreprises bénéficiaires”, a fait savoir Hafedh Laamouri, expert en droit du travail.

Dans une déclaration à l’agence TAP, Laamouri a expliqué que l’intervention des sociétés de prestation de services devra se limiter à des missions ponctuelles dans le cadre de contrats ou de marchés et ne peut pas inclure les activités essentielles assumées par l’entreprise bénéficiaire.

D’après la même source, la nouvelle loi, adoptée mercredi dernier par le parlement, stipule que les sociétés de services peuvent effectuer des missions en relation avec la comptabilité, le conseil ou la maintenance précisant que les entreprises de sous-traitance pourraient se transformer en prestataires de services, à condition d’abandonner définitivement la sous-traitance, désormais criminalisée.

Laamouri a indiqué qu’il est actuellement interdit de recruter des employés en sous-traitance. “Ils doivent être recrutés par l’entreprise de manière directe avec des contrats à durée indéterminée (CDI)”, a-t-il averti.

Dans ce contexte, il a aussi signalé que des poursuites judiciaires seront engagées à l’encontre des employeurs qui auraient licencié leurs employés travaillant dans le cadre de la sous-traitance avant la promulgation de la nouvelle loi.

En outre, l’expert en droit du travail a mis l’accent sur l’importance d’enraciner la culture du travail estimant qu’elle constitue l’un des enjeux majeurs pour les employeurs.

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TSI Tunisie : Le CMF nomme un administrateur judiciaire pour gérer la crise de la société d’intermédiation

23. Mai 2025 um 12:21

Le Conseil du Marché Financier (CMF) a reçu, le 22 mai 2025, la copie exécutoire de l’ordonnance de référé rendue en date du 15 mai 2025 par le Tribunal de première instance de Tunis, ordonnant la désignation de l’expert Bilel Errahmouni en qualité d’administrateur judiciaire de la société d’intermédiation en bourse “Tuniso-Séoudienne d’Investissement” (TSI), pour une durée de trois mois.

D’après un communiqué publié, jeudi après-midi, par le CMF, cette procédure vise à « assurer la gestion administrative et financière de la société, et ce, sous la supervision d’un juge contrôleur ».

Le Conseil a précisé, aussi, que « l’administrateur judiciaire constitue la partie habilitée à représenter la société et à agir en son nom vis-à-vis de toutes les parties concernées, qu’il s’agisse des clients, des banques ou des autorités de régulation », et ce, à compter de sa nomination.

« Il est également l’interlocuteur de référence pour le traitement des réclamations et demandes liées à l’activité de la société, dans le cadre d’un contrôle judiciaire direct et sous le suivi du CMF », « en vue d’assurer la bonne gestion des intérêts liés à la société durant la période de l’administration judiciaire », lit-on encore dans le communiqué.

Il convient de noter que cette décision intervient dans le cadre du suivi rigoureux et approfondi assuré par le CMF quant à la situation de la société d’intermédiation en bourse “Tuniso-Séoudienne d’Investissement”, « laquelle fait actuellement face à de graves manquements en matière de gouvernance et de gestion, ayant conduit à une situation fragile et instable, susceptible d’avoir des répercussions négatives sur les droits et les avoirs des clients ».

Le CMF a réaffirmé, enfin, la poursuite de l’instruction approfondie de ce dossier dans le cadre de la procédure disciplinaire en cours, parallèlement aux actions judiciaires engagées, dans le but de renforcer la protection des épargnants et d’assurer l’intégrité et la stabilité du marché financier.

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Industries culturelles : l’AMAVI lance un appel à projets créatifs pour jeunes talents africains

23. Mai 2025 um 12:09

Dans le cadre de son programme TACIR (Talents-Arts-Créativité-Inclusion-Recherche), l’Association tunisienne du Multimédia et de l’Audiovisuel (AMAVI) lance l’appel à idées pour la première cohorte du programme “Ateliers Sud-Sud : Ici et Ailleurs”, une initiative panafricaine portée par AMAVI, la Fondation HIBA (Maroc), CinéKap Group & Up’Courts (Sénégal), avec le soutien de la Direction de la Coopération Internationale de l’Ambassade de Suisse en Tunisie et du Fonds FEF via l’Ambassade de France en Tunisie.

Ce programme vise à accompagner les jeunes talents africains dans le développement de projets créatifs à fort potentiel, en lien avec les récits locaux et les cultures africaines.

Il propose un parcours d’incubation interdisciplinaire combinant formations, mentorat, co-création, et trois résidences en présentiel (en Tunisie, au Maroc et au Sénégal).

“Les Ateliers Sud-Sud : Ici et Ailleurs” est un programme panafricain d’incubation qui vise à instaurer une dynamique d’échange et de co-développement entre cinq pays : la Tunisie, le Maroc, le Sénégal, le Kenya et la Côte d’Ivoire.

Dans une volonté de bâtir de nouvelles passerelles entre talents et territoires, entre création et transformation, ce programme ambitionne de renforcer les capacités des jeunes talents africains à travers un dispositif interdisciplinaire de co-création, de soutien à l’entrepreneuriat culturel et de mise en réseau. Il cherche à révéler et valoriser la richesse culturelle du continent tout en affirmant une identité créative du Sud, plurielle et innovante.

L’appel à idées est destiné aux jeunes créateurs et entrepreneurs culturels, âgés de 18 à 35 ans, de nationalité tunisienne, marocaine ou sénégalaise, résidant en Tunisie, au Maroc ou au Sénégal, et porteurs d’une idée créative originale dans le domaine des industries culturelles et créatives (hors projets filmiques), en lien avec les cultures africaines.

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STEG : les agriculteurs peuvent étaler leurs dettes jusqu’au 1er septembre

23. Mai 2025 um 11:53

La Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) a lancé, à compter du 19 mai 2025, une opération de rééchelonnement des créances impayées des agriculteurs bénéficiant du tarif agricole en basse tension. Cette mesure permet un étalement des dettes sur une période pouvant aller jusqu’à sept ans.

Dans un communiqué publié sur sa page officielle Facebook, la STEG a précisé que ce dispositif restera en vigueur jusqu’au 1er septembre 2025, échéance fixée pour le dépôt des demandes.

Les exploitants agricoles souhaitant bénéficier de cette mesure sont invités à présenter une demande écrite auprès de l’agence régionale compétente de la STEG, conformément à la procédure établie.

 

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Obicétrapib : un nouveau médicament prometteur contre le cholestérol et les AVC

23. Mai 2025 um 11:48

Une étude menée récemment par l’université Monash en Australie a révélé qu’un nouveau médicament hypocholestérolémiant protègerait les personnes les plus à risque de crises cardiaques et d’AVC.

Il s’agit de l’obicétrapib, un médicament pris une fois par jour par voie orale. En effet, lors de l’essai clinique, il a été prouvé que ce médicament réduit de manière significative à la fois le cholestérol LDL (lipoprotéines de basse densité) et les lipoprotéines (a), ou Lp(a) — deux facteurs majeurs contribuant aux maladies cardiovasculaires.

L’essai clinique a ciblé 2500 personnes atteintes de maladies cardiaques chroniques ou d’hypercholestérolémie héréditaire. Un groupe a reçu de l’obicétrapib, tandis que l’autre groupe a pris un placebo, en plus de leurs traitements classiques contre le cholestérol.

Les chercheurs ont constaté qu’après 12 semaines, le taux moyen de LDL a chuté de 32,6 % chez les patients ayant pris l’obicétrapib, tandis que le niveau de Lp(a) a diminué de 33,5 %.

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Mare Nostrum 2025 : Ahmed Jaouadi s’impose sur 400 m nage libre et décroche sa 2e médaille

23. Mai 2025 um 11:48

Le champion du monde tunisien Ahmed Jaouadi a décroché la médaille d’or du 400 m nage libre, jeudi, lors de l’étape barcelonaise du Mare Nostrum Swim Tour (bassin 50 m).

Jaouadi a parcouru la distance en 3:47.58 devançant l’Italien Marco De Tullio (3:49.28) et l’Irlandais Daniel Wiffen (3:50.55).

Il s’agit de la deuxième médaille remportée par le nageur tunisien dans cette compétition, après celle obtenue mercredi sur le 800 m nage libre (7:46.37).

 

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Shluq – Musique en mouvement : le scirocco sonore entre traditions siciliennes et créations tunisiennes

Von: walid
23. Mai 2025 um 11:36

Musiques contemporaines, identités méditerranéennes et dialogue culturel sont au cœur du festival musical « Shluq – Musique en mouvement. Trajectoires sonores entre Sicile et Tunisie », qui se déroulera de mai à octobre 2025 entre Tunis et Hammamet.

Cinq concerts seront donnés par des artistes et collectifs les plus intéressants de la scène musicale contemporaine sicilienne. Ils auront lieu dans différents espaces culturels de la Capitale notamment au B7L9 de La Marsa et à Hammamet, au Cap Bon. Les lieux de certains spectacles, seront annoncés ultérieurement.

Organisé par l’Institut Italien de Culture de Tunis en collaboration avec Chullu, agence créative active entre Milan et Modica (Sicile), villes du Nord et du Sud de l’Italie, l’événement vise à valoriser la musique comme un outil privilégié de rencontre entre les cultures.

« La Méditerranée a toujours été un carrefour de peuples et de cultures, expliquent les organisateurs. Avec Shluq, nous souhaitons faire dialoguer artistes et publics, en les transportant à travers des sonorités qui racontent des histoires, des racines communes et des innovations musicales contemporaines. »

Le festival « Shluq – Musique en mouvement » propose un voyage sonore entre tradition et innovation. Le mot « Shluq » évoque en effet le scirocco, ce vent chaud qui souffle du Sahara vers la Méditerranée Européenne, métaphore idéale d’un voyage musical entre identité, mémoire et innovation.

Le festival débutera au B7L9 de La Marsa. Le premier concert, prévu le jeudi 29 mai, sera donné par le collectif “Lero Lero” avec la participation de la chanteuse tunisienne Nessrine Jabeur, marquant l’ouverture d’un pont artistique et générationnel. Dirigé par Fabio Rizzo, Alessio Bondì, Donato di Trapani et Giovanni Parrinello, ce collectif explore et réinvente les chants et sonorités de la tradition orale sicilienne à travers un langage moderne et expérimental.

Le deuxième concert, le jeudi 12 juin, mettra en scène Cesare Basile, figure de proue de la musique d’auteur italienne, qui présentera son dernier album « Saracena », un projet entièrement en langue sicilienne inspiré par les diasporas contemporaines et les mouvements migratoires.

Le mercredi 23 juillet, le festival fera escale à Hammamet avec le collectif milanais Addict Ameba qui sera accompagné du chanteur et acteur tunisien Rabii Brahim. Né dans le quartier Casoretto à Milan, le groupe “Addict Ameba’ est reconnu pour sa capacité à fusionner, avec maîtrise et naturel, afrobeat, ethno-jazz, psychédélisme et rythmes latins.

Le quatrième concert, le samedi 27 septembre à Tunis, sera assuré par le célèbre percussionniste Alfio Antico, considéré comme un maître et innovateur du tambourin traditionnel (tammorra), dont la musique combine rythmes archaïques, poésie et performance théâtrale.

La clôture de « Shluq », le mardi 14 octobre à Tunis, sera avec une performance de la chanteuse et auteure-compositrice, Anna Castiglia, à la voix personnelle, ironique et poétique, qui est la cofondatrice du collectif féministe « Canta Fino a Dieci ».

Originaire de Catane, deuxième plus grande ville de Sicile après Palerme, la jeune artiste représente une nouvelle génération d’artistes conscientes, ancrées dans leur patrimoine culturel.

Programme complet du festival Shluq:

B7L9, La Marsa, Tunis

– Jeudi 29 mai

Lero Lero avec Nessrine Jabeur

– Jeudi 12 juin

Cesare Basile

Hammamet

– Mercredi 23 juillet : Addict Ameba avec Rabii Brahim

Tunis

– Samedi 27 septembre : Alfio Antico

– Mardi 14 octobre : Anna Castiglia

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Djerba accueille son premier colloque sur le patrimoine insulaire : un voyage du local au global

Von: walid
23. Mai 2025 um 10:56

L’Ile de Djerba abritera à partir de ce vendredi, la première édition du “Colloque de recherche et d’études sur le patrimoine insulaire » placée sous le thème “L’île de Djerba à travers l’Histoire… du local au global”.

Organisé par l’Association pour la Sauvegarde de l’Ile de Djerba (ASSIDJE) et le (le Centre Ibadica, ce premier Colloque se déroulera, les vendredi 23, samedi 24 et dimanche 25 mai 2025, au Centre culturel méditerranéen de Houmt Souk.

L’île de Djerba, par sa richesse historique et culturelle, constitue un champ d’étude constant, indiquent les organisateurs de cet évènement.

Pour approfondir l’exploration des multiples facettes de l’Ile, de la préhistoire à l’époque contemporaine, le « Forum de recherche et d’études sur le patrimoine de l’île de Djerba » réunira des conférenciers de diverses spécialités, permettant ainsi de croiser les approches scientifiques.

Dix séances scientifiques sont au programme de la première édition de ce forum qui proposera un dialogue autour des avancées récentes et des nouvelles perspectives de recherche sur l’île. Nous vous invitons à contribuer à ces échanges d’expertises.

Y seront abordées les thématiques suivantes: Les manuscrits, les archives, les recherches archéologiques, De la préhistoire jusqu’à la fin de l’antiquité, Des étapes historiques du Moyen âge, Les Djerbiens en dehors de Djerba, L’architecture et l’urbanisme, Approches archéologiques dans l’histoire islamique, Langue et Littérature, Le patrimoine immatériel et Icônes djerbiennes.

Le programme détaillée de ce colloque est consultable dans le site de l’ASSIDJE en cliquant sur le lien suivant : httpss://colloque-djerba.ibadica.org/colloques/programme

Depuis sa création en juillet 1976, l’Association pour la Sauvegarde de l’Ile de Djerba (ASSIDJE) oeuvre, dans tous les domaines et par tous les moyens, au développement harmonieux de l’île de Djerba, en vue d’assurer la sauvegarde de son économie, la protection de son écologie, de sa spécificité urbanistique et architecturale traditionnelle.

Ibadica est un centre de recherche créé en 2013 ayant pour objet de développer et de promouvoir les études et les recherches portant sur l’ibadisme. Sa démarche vise à rendre compte des travaux et des projets qui touchent à l’ibadisme, c’est-à-dire à l’histoire, à la pensée religieuse, philosophique et politique des communautés ibadites et de leurs évolutions. D’un point de vue pratique, Ibadica œuvre à rapprocher les différents domaines académiques et les chercheurs afin de créer des points de convergences.

L’île de Djerba, avec son histoire riche en événements et sa diversité culturelle – matérielle et immatérielle – toujours vivante à ce jour, a toujours été un terrain d’étude, d’analyse et d’examen approfondi. Cela nécessite une mise à jour constante à la lumière de l’évolution des connaissances, des approches et des méthodologies, ainsi que des outils modernes de recherche, d’observation et d’analyse.

Ainsi, l’idée de créer un colloque régulier dédié aux recherches et études trouve toute sa légitimité pour suivre les avancées des recherches sur l’île de Djerba, depuis la préhistoire jusqu’à l’histoire contemporaine, et pour ouvrir de nouvelles perspectives et angles de recherche souvent absents des études précédentes.

Les initiateurs ont décidé de nommer ces rencontres « Colloque de recherche et d’études sur le patrimoine insulaire ». Ce colloque s’intéresse aux nouvelles recherches et études sur l’île de Djerba, cherche à élargir les horizons de la recherche et offre un espace intellectuel pour le dialogue, l’échange d’idées et le partage d’expertises sur les études liées à l’île.

Ainsi, les organisateurs du colloque ont choisi pour la première édition un thème (L’île de Djerba à travers l’Histoire… du local au global) qui reflète cette orientation et cette pluralité de visions et d’approches.

Djerba n’a cessé d’attirer l’attention des chercheurs dans divers domaines et, malgré tout ce qui y a été découvert, elle reste un vaste champ d’exploration. Il est donc essentiel d’inclure dans les études des analyses portant sur les sources anciennes et récentes, qu’il s’agisse de manuscrits, d’inscriptions ou d’archives. Cette quête nous conduit également à examiner les vestiges et à revenir sur les nouvelles études, fouilles et recherches archéologiques qui témoignent des habitants et des civilisations ayant marqué ces lieux.

Ces périodes historiques successives ont vu naître une diversité remarquable en termes d’ethnies, de religions, de doctrines et de langues. C’est pourquoi il est indispensable d’aborder ces aspects dans les études consacrées à Djerba, riche d’un patrimoine immatériel foisonnant et diversifié, fruit d’interactions et d’ouverture. Djerba a toujours entretenu des relations ouvertes avec ses environnements terrestres et maritimes, proches comme lointains, ce qui invite à approfondir l’étude de ses relations avec son entourage immédiat et éloigné.

Cette richesse et cette diversité culturelle ont également été une source d’inspiration pour nombre de ses habitants, qui se sont illustrés dans divers domaines, tant sur l’île qu’au-delà de ses frontières.

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Santé mentale : les probiotiques réduisent les symptômes de dépression, selon une étude

23. Mai 2025 um 10:40

Des chercheurs ont prélevé un échantillon auprès de 71 personnes souffrant de dépression réparties en deux groupes. Le premier groupe a consommé pendant 4 semaines des probiotiques, (bactéries aidant à restaurer la flore intestinale) alors que le second a consommé un médicament placebo.

Au cours de cette expérience ces chercheurs ont effectué des tests de mesure du niveau du stress, de l’anxiété, du sommeil et du cortisol dans la salive.

Les résultats de cette étude ont permis de démontrer que les personnes souffrant de dépression ressentent des émotions négatives de manière plus intense que celles ayant consommé des probiotiques.

A noter que l’intestin de l’être humain se compose de plus de 100 cellules nerveuses qui produit 95 pc de la sérotonine, une hormone qui joue un rôle essentiel dans de nombreuses fonctions physiologiques et psychologiques

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Bourse de Tunis : hausse continue des dividendes malgré un ralentissement des bénéfices

Von: walid
23. Mai 2025 um 10:35

Le taux de distribution des dividendes « payout » du marché, s’est inscrit sur une trajectoire haussière, lui permettant d’être porté de 52,6% en 2021 à 56,9% en 2023, soit un gain de plus de 4 points de pourcentage.

Avec un taux de distribution global moyen de 54,5% sur 2021/2023, les sociétés cotées ont adopté une politique équilibrée entre la rémunération des actionnaires et la consolidation de leur assise financière pour continuer à se développer et se prémunir contre les éventuels risques, selon le rapport sur la distribution de dividendes par les sociétés cotées au titre des exercices 2021-2023, publié, jeudi, par la Bourse de Tunis.

En 2023, le nombre de sociétés distribuant des dividendes a légèrement baissé par rapport à 2022 passant de 49 à 48.

Et de préciser que le nombre de sociétés cotées est passé de 82 en 2022 à 78 en 2023, affichant une baisse d’environ 5% suite à la radiation de 4 sociétés de la Cote de la Bourse.

Parmi les sociétés bénéficiaires qui ont opté pour la rétention on y trouve la STB, Carthage Cement et STIP dont les bénéfices moyens sur la période 2021/2023 s’élèvent respectivement à 86MD, 41MD et 12MD.

« Ces trois sociétés se sont abstenues de verser des dividendes sur fond de pertes antérieures qui devraient être apurées en y affectant les bénéfices réalisés » a indiqué le rapport.

Le montant global des dividendes a enregistré une croissance régulière et significative, passant de 1 136 millions de dinars (MD) en 2021 à 1 393MD en 2023, marquant une progression de 22,6% (+257MD).

Et d’expliquer que cette dynamique haussière reflète la résilience des sociétés cotées et leur capacité à générer des bénéfices qui se sont bonifiés de 13,3% (+288MD).

La croissance régulière des dividendes distribués traduit la volonté des sociétés cotées à maintenir ou à améliorer la rémunération des actionnaires notant que cette politique ne manquerait pas de contribuer à renforcer l’attractivité de ces émetteurs auprès des investisseurs en bourse.

Les dividendes: une évolution plus rapide que les bénéfices

Les bénéfices des sociétés cotées ont réalisé une progression moyenne sur la période de 7,6%. Cette amélioration des bénéfices est marquée, toutefois, par une décélération de leur taux de croissance qui s’est replié à 4,6% en 2023 contre 10,7% en 2022.

Les dividendes ont, par contre, maintenu leur robuste cadence de 10,8% en 2022 et 10,6% en 2023, soit un taux de croissance annuel moyen (TCAM)sur la période de 10,7%.

Ainsi, l’accroissement plus rapide des dividendes que les bénéfices, a donné lieu à une hausse du taux de distribution.

A l’image de la composition de la cote, les banques marquent leur forte présence dans le top 5 des dividendes versés sur les trois exercices 2021 à 2023. Leur contribution moyenne sur la période s’élève à 70% du top 5 (et 38% du dividende global).

Pour les autres secteurs, seule la SFBT du secteur agro-alimentaire a réussi l’exploit d’une présence régulière. De surcroit, elle représente le 2ème meilleur contributeur avec une part moyenne sur la période de 14,8%. PGH a, en revanche, enregistré une seule apparition en 2021.

Pour 2022 et 2023, sur les cinq plus faibles taux de distribution figure quatre sociétés (soit 80%) relevant des banques et établissements financiers (B&EF). Il s’agit de trois banques (UIB, BNA, BH BANK ou AMEN BANK) et une société de leasing (Best Lease).

Au niveau sectoriel, sur la période 2022/2023, les dix sociétés de la liste sont toutes des sociétés financières (soit 100%), ce taux ressort à 93% (14 sociétés sur 15) si l’on se réfère à la période 2021/2023.

Sur les trois dernières années, le délai moyen entre la tenue de l’assemblée générale ordinaire( AGO) et la date de distribution est d’environ 35 jours.

Par rapport à 2021, les délais moyens se sont allongés en 2022 et 2023 de 8 jours pour se stabiliser à 38 jours. Le secteur financier offre les délais les plus courts avec une moyenne sur les 3 ans de 26 jours.

83% des dividendes sont versés entre mai et juillet

La répartition mensuelle du nombre de sociétés qui paient des dividendes, montre une forte activité entre les mois de mai et juillet. Cette période truste en moyenne 83% des opérations de versement de dividendes.

La dynamique de distribution sur mai/juillet s’explique par la concentration des rendez-vous annuels des AGOs sur avril/juin. A titre d’illustration, en 2024, 96% des AGOs des sociétés distributrices (46/48) ont été tenues entre avril et juin, a noté le rapport de la Bourse de Tunis.

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