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Djerba : Reprise du service des bacs après trois jours de grève

20. August 2025 um 13:54

L’activité des ferries reliant l’île de Djerba au continent a repris mardi à minuit, mettant fin à un arrêt de trois jours provoqué par une grève des agents des bacs, a annoncé Lazhar Jouili, secrétaire général du syndicat de base.

Après trois jours de perturbation, les traversées entre Ajim (Djerba) et El Jorf (Médenine) ont repris normalement. Les agents grévistes, dénonçant l’état vétuste et dangereux de certains navires, ont accepté de suspendre leur mouvement. Ils se disent prêts à engager un dialogue constructif avec les autorités afin d’améliorer la qualité des services et renforcer la sécurité à bord.

Les revendications

Le syndicat réclame notamment le renforcement de la flotte, jugée insuffisante et vieillissante, ainsi que le transfert de la tutelle des bacs du ministère de l’Équipement vers celui du Transport, pour une meilleure gestion.

Deux ferries assurent actuellement les rotations dans les deux sens entre Djerba Ajim et El Jorf, selon les données fournies à l’Agence TAP. Un troisième bac devrait être mis en service prochainement afin de fluidifier davantage le trafic des passagers et des véhicules.

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Grève des bacs vers Djerba : les automobilistes invités à emprunter un itinéraire alternatif

17. August 2025 um 12:26

Une grève des agents des bateaux-navettes risque de perturber la circulation vers et depuis l’île de Djerba. Le mouvement débutera dimanche 17 août à minuit et se terminera mardi 19 août à minuit. Tous les services des bacs sont concernés, sauf les interventions urgentes, selon l’Union régionale du travail de Médenine.

Pour éviter les désagréments, le ministère de l’Équipement et de l’Habitat recommande un itinéraire alternatif. Les conducteurs doivent prendre l’autoroute jusqu’au diffuseur de l’entrée de Médenine, puis suivre la route nationale n°1 en direction de Zarzis. Ensuite, ils peuvent rejoindre Djerba via la route régionale n°117, connue sous le nom de « route romaine » qui traverse le pont.

Les autorités exhortent les usagers à anticiper leurs déplacements et à suivre les itinéraires conseillés. Elles insistent sur la vigilance pour limiter les encombrements aux points de passage habituels pendant la grève.

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Djerba : La grève du bac aura-t-elle lieu du 17 au 19 août ?

16. August 2025 um 14:44

Alors que les négociations entre les partenaires sociaux n’ont débouché sur aucun résultat, il est fort probable que la grève du bac de Djerba aura bien lieu du 17 au 19 août, autrement dit de demain à mardi prochain.

Après deux reports et plusieurs rounds de négociations, il semble que la grève est confirmée par l’Union régionale du travail de Médenine.

Les syndicats entendent ainsi protester contre la dégradation des bacs et son impact sur la sécurité des passagers et des travailleurs.

En attendant une réunion de la dernière chance et une possible suspension du préavis de grève, les automobilistes doivent rester sur leurs gardes, à l’affût des informations.

Lire aussi: Insolite : Deux photos rares du bac de Djerba

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De Houmt Essouk à Guellala : Voir Djerba, les yeux écarquillés

11. August 2025 um 09:06

Le festival See Djerba aura lieu du 14 au 17 août et se déroulera en deux séquences. La première se déroulera à Houmt Essouk du 14 au 16 août et la seconde à Guellala le 17 août. Les événements du festival sont programmés en entrée libre de 20h à 23h.

Le thème de See Djerba pour cette année est intitulé L’eau et la terre. En effet, cette édition invite artistes et publics à explorer les paysages naturels et culturels de Djerba à travers le prisme de l’Eau et de la Terre, deux éléments qui façonnent le quotidien de l’île, son imaginaire symbolique et ses futurs écologiques.

Depuis 2017, See Djerba transforme l’île en une galerie d’art médiatique à ciel ouvert, en étroite collaboration avec les communautés locales. Parti d’une initiative à Houmt Souk, le festival est devenu une plateforme insulaire de création, d’expérimentation et de dialogue culturel.

Les points forts de cette édition se déclineront à travers des installations et projections d’art médiatique dans des espaces publics et sites patrimoniaux avec la participation d’artistes locaux et internationaux provenant de plus de dix pays.

Les thématiques abordées auront trait à la biodiversité, la cartographies d’archives, les rituels du corps et de la terre et la géopoétique des cultures matérielles.

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À Djerba, un hôtelier s’inquiète de la baisse du pouvoir d’achat des touristes

23. Juli 2025 um 07:37

La saison touristique bat son plein à Djerba, avec des indicateurs en nette amélioration, mais certains défis structurels continuent de peser sur les professionnels du secteur. C’est ce qu’a tenu à rappeler Haithem Jbeniani, un hôtelier de l’île, réagissant à une vague d’interprétations erronées de ses propos publiés récemment sur les réseaux sociaux.

Dans une mise au point claire, il affirme que « la situation touristique à Djerba se déroule normalement, avec même une hausse notable du nombre de nuitées ». Il précise que les établissements hôteliers fonctionnent à pleine capacité et que l’approvisionnement en denrées alimentaires et en marchandises est fluide. Sur le plan sécuritaire, l’île semble avoir tourné une page : « Le contexte est apaisé, après une lutte efficace contre les formes d’extrémisme qui ont, à une époque, visé même des institutions touristiques », écrit-il.

Mais au-delà de ce tableau globalement positif, l’hôtelier refuse de taire les difficultés qui subsistent et qu’il juge « lourdes à porter pour les professionnels ». En premier lieu : les coupures récurrentes d’eau potable, qui contraignent certains hôteliers à recourir à des solutions de fortune « embarrassantes face aux clients ». À cela s’ajoutent les interruptions d’électricité et une pression croissante liée à l’affaiblissement du pouvoir d’achat.

« Nos clients étrangers, notamment les Libyens, souffrent d’un pouvoir d’achat limité. Quant aux Tunisiens, la suppression des paiements par chèque a aggravé une crise de liquidités déjà ancienne », poursuit-il, soulignant que cette situation compromet la rentabilité des unités hôtelières.

Lire aussi : La guerre Iran-Israël a-t-elle freiné la saison touristique en Tunisie ?

L’hôtelier insiste : il ne s’agissait en aucun cas de lancer une alerte alarmiste ou de noircir la situation. « Certains ont déformé mes propos et tenté de les instrumentaliser à des fins malveillantes, dans le but de nuire à l’image du tourisme ou de semer le trouble entre les professionnels et l’administration », dénonce-t-il.

Et de conclure, avec un ton résolument combatif : « Qu’ils sachent que malgré les obstacles, nous continuerons à travailler avec détermination pour réussir cette saison. La vraie alerte, c’est l’état de certaines âmes malades, qui transforment la souffrance des autres en opportunité de nuisance gratuite ».

Dans une île qui reste l’un des piliers du tourisme tunisien, cette parole venue du terrain rappelle que si les visiteurs sont bien là, la pérennité du secteur exige des solutions concrètes aux problèmes de fond.

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Campagnes contre les infractions au domaine public maritime à Bekalta et Djerba

Des opérations coordonnées ont été menées à Bekalta (Monastir) et à Djerba (Médenine) pour rétablir l’ordre sur le littoral tunisien. Plusieurs infractions ont été constatées et du matériel saisi.

Ce vendredi 18 juillet 2025, une campagne de levée des infractions a été menée sur les plages de Bekalta, dans le gouvernorat de Monastir, sous la supervision du bureau régional de l’Agence de protection et d’aménagement du littoral (APAL), en coordination avec la municipalité de Bekalta et la garde maritime de Dimas.

PV et saisies

Lors de cette opération, 13 procès-verbaux ont été dressés contre des contrevenants pour non-respect des autorisations légales et occupation illégale du domaine public maritime. Plusieurs équipements utilisés dans ces abus ont été saisis.

Par ailleurs, dans le gouvernorat de Médenine, une campagne similaire a ciblé les plages de Houmet Souk, Ras Remal et Djerba Midoun. Elle a permis de relever 12 infractions, dont certaines commises par des unités hôtelières, selon Noura Abdelhafidh, directrice régionale de l’APAL.

Vers un renforcement du contrôle

L’APAL a réaffirmé sa fermeté à l’égard des abus sur le domaine public maritime. À Médenine, les autorités locales ont également annoncé la poursuite de l’opération de nettoyage et de sécurisation de 16 plages à Djerba et Zarzis, lancée en mai dernier, et qui se poursuivra jusqu’en septembre.

Pression estivale sur le littoral

Chaque été, les plages tunisiennes font face à une exploitation anarchique du domaine public, avec des installations illégales, notamment par des établissements commerciaux. Ces pratiques entravent l’accès libre au littoral et nuisent à l’environnement côtier. L’APAL mène régulièrement des campagnes pour faire respecter la législation.

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Tunisie : Djerba séduit, 500 000 touristes déjà accueillis

17. Juli 2025 um 10:04

Le délégué régional du tourisme à Djerba-Zarzis, Hichem Mahouachi, a affirmé ce jeudi 17 juillet 2025 que le taux d’occupation des hôtels sur l’île de Djerba atteint actuellement 90 %, avec 32 000 touristes hébergés dans les établissements hôteliers, sans compter ceux ayant opté pour d’autres types de logements comme les locations.

Lors d’une intervention sur les ondes de la radio nationale, il a précisé que 500 000 touristes ont visité l’île durant le premier semestre de l’année 2025, soit une hausse de 18 % par rapport à la même période en 2024.

Le nombre de nuitées enregistrées a également connu une progression notable, dépassant 2,5 millions, ce qui représente une augmentation de 13,6 % par rapport à la même période l’an dernier.

Hichem Mahouachi a estimé que tous les indicateurs touristiques de l’année 2025 sont positifs, soulignant que les chiffres enregistrés jusqu’à présent sont en légère hausse par rapport à ceux de 2019, considérée comme une année de référence pour le secteur.

Lire aussi : Vacances à l’hôtel en Tunisie : Un luxe réservé aux plus riches ?

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Djerba – Gastronomie : Hamza Mrabet, le chef qui monte

05. Juli 2025 um 08:53

Aux commandes des cuisines du restaurant Le Fondouk, le chef Hamza Mrabet innove avec une carte d’été toute en saveurs contrastées.

Au Fondouk, à Houmt Souk, tous les plats sont préparés à la minute, avec des produits frais et bruts. Le chef Hamza Mrabet et sa brigade mettent un point d’honneur à proposer une carte maison qui plus est de saison.

Du 7 juillet au 31 août, la carte d’été du restaurant Le Fondouk porte en effet la griffe du chef Hamza Mrabet. Après quatre ans passés au poste de sous-chef, il est désormais aux commandes des cuisines au titre de Chef.

Côté saveurs, les incontournables sont nombreux, à l’image de la kamounia de poulpe et la réputée planche mer avec ses filets de poisson et fruits de mer.

De quoi réconcilier les palais avec une gastronomie toute en fraîcheur et équilibre. La balle est dans le camp des gourmets !

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Djerba : Un hôpital refuse un don de matériel médical usagé

Von: MC
29. Mai 2025 um 20:11

L’hôpital régional Sadok Mokaddem de Djerba a refusé de recevoir un don de matériel médical usagé (lits de réanimation et équipements divers) envoyé par des Tunisiens de l’étranger dans le cadre d’une initiative citoyenne.

Le directeur de l’hôpital justifie ce refus par la vétusté des équipements et le risque de se retrouver avec du matériel inutilisable, impossible à éliminer légalement en tant que don. Il précise que seuls les équipements neufs sont désormais acceptés, avec l’accord de la tutelle.

De leur côté, les donateurs assurent que le matériel est en bon état et que d’autres hôpitaux publics à Tunis, Ariana, Nabeul et Kef l’ont déjà réceptionné sans problème, avec l’aval du ministère de la Santé et de la Présidence du gouvernement. La décision suscite l’incompréhension au sein de la société civile.

Ce refus soulève des interrogations : faut-il systématiquement rejeter le matériel médical usagé, même fonctionnel, dans un contexte de pénurie d’équipements ? Pour les donateurs, ce geste devait répondre à un besoin et soutenir les efforts de l’État dans l’amélioration des services de santé. Pour l’administration de l’hôpital, la rigueur réglementaire prévaut, d’autant plus que la gestion des dons peut s’avérer complexe.

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Polémique en Tunisie : Des portraits d’otages israéliens affichés à la Ghriba

Von: MC
28. Mai 2025 um 11:20

Chaque année, la synagogue de la Ghriba, sur l’île de Djerba, accueille des centaines de pèlerins juifs, venus célébrer dans un esprit de paix et de spiritualité. Mais cette année, un détail a cristallisé l’attention bien au-delà des rituels religieux : l’affichage de photos d’otages israéliens détenus par le Hamas, accompagnées du slogan « Bring Them Home Now », a provoqué une vive controverse en Tunisie.

Des images de pèlerins tenant des portraits d’otages – civils ou membres des forces israéliennes – ont circulé sur les réseaux sociaux et dans la presse internationale, créant un malaise dans une société tunisienne déjà sensible à la question palestinienne.

Pour de nombreux observateurs, ce geste a introduit un élément politique dans un lieu de culte censé rester neutre. Le slogan « Bring Them Home Now », créé par des familles d’otages israéliens, va au-delà d’un simple appel humanitaire : son site officiel qualifie le Hamas de « mouvement terroriste » et affirme vouloir « poursuivre ses membres pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité ».

Un message perçu comme problématique, notamment dans un pays où la cause palestinienne bénéficie d’un fort soutien populaire et où l’opinion publique reste très critique envers les actions militaires d’Israël.

Dans une publication remarquée sur les réseaux sociaux, le journaliste tunisien Bassem Bounani a exprimé son indignation :

« Les Juifs de Tunisie ont pleinement le droit de pratiquer leur culte en toute liberté, avec la protection des autorités si nécessaire. Mais j’ai aussi le droit, en tant que citoyen, de savoir qui a autorisé l’exposition de photos d’un policier de l’armée d’occupation tué le 7 octobre 2023, ainsi que d’otages sionistes détenus par le Hamas, lors du pèlerinage à la Ghriba. Cette prise de position n’a rien à voir ni avec la position officielle de l’État, ni avec celle du peuple, ni avec la synagogue en tant que lieu de culte. »

Une confusion des espaces

La controverse repose sur une distinction fondamentale : celle entre la pratique religieuse, qui doit être protégée et respectée, et l’expression politique, qui, dans un contexte aussi sensible, peut provoquer des tensions. Le risque est grand de voir la Ghriba devenir malgré elle un espace instrumentalisé pour des causes étrangères au culte, exposant ainsi la communauté juive de Tunisie à des polémiques indésirables.

Pour l’État, garantir la sécurité du pèlerinage tout en évitant les débordements d’ordre politique devient un exercice d’équilibrisme. Il s’agit de respecter les engagements de protection des minorités religieuses tout en tenant compte de la sensibilité populaire au conflit israélo-palestinien.

La polémique actuelle autour des photos des otages israéliens met en lumière une tension persistante entre liberté religieuse, neutralité des lieux de culte et perception politique des symboles affichés. Elle interroge aussi sur la responsabilité des organisateurs et des autorités en matière de cadrage des manifestations religieuses accueillies sur le sol tunisien.

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Médenine : Reprise du service des bacs vers Djerba

20. August 2025 um 14:51

Le trafic des ferries entre l’île de Djerba et Ajim-El Jorf a repris, mardi 19 aout à minuit, après une grève de trois jours des agents des bacs, a indiqué Lazhar Jouili, secrétaire général du syndicat de base.

Les protestataires, qui réclament notamment le renforcement de la flotte et le transfert de la supervision des bacs du ministère de l’Équipement à celui des Transports, se disent disposés à engager un dialogue pour améliorer la qualité du service et les conditions de sécurité à bord, jugées préoccupantes.

Actuellement, deux bacs assurent la liaison dans les deux sens, tandis qu’un troisième devrait être remis en service prochainement, selon les données communiquées à l’Agence TAP.

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Djerba : reprise de l’activité des ferries après une grève de trois jours

Von: Raja
20. August 2025 um 13:26
Djerba : reprise de l’activité des ferries après une grève de trois jours

L’activité des ferries vers et depuis l’île de Djerba a repris, mardi à minuit, après la fin de la grève de trois jours observée par les agents des bacs dans la région, a annoncé le secrétaire général du syndicat de base des bacs, Lazhar Jouili. Il a souligné que les protestataires se sont déclarés prêts à entamer […]

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Djerba : trafic dense sur la route Romaine après la suspension des traversées par bacs

Von: Raja
19. August 2025 um 15:14
Djerba : trafic dense sur la route Romaine après la suspension des traversées par bacs

Le trafic routier est devenu très dense au niveau de la route régionale N°117 (route Romaine) reliant l’Ile de Djerba et Zarzis, suite à la suspension de la traversée par bacs. Le personnel des bacs observe une grève de trois jours (17-19 août) pour revendiquer l’amélioration des conditions de travail et la rénovation des ferries, avait […]

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Grève : arrêt temporaire des traversées en bac vers et depuis l’île de Djerba

17. August 2025 um 13:23

La traversée par bacs vers et depuis l’île de Djerba est suspendue depuis minuit dans la nuit de samedi à dimanche et le restera jusqu’au mardi 19 août, en raison d’une grève du personnel, a indiqué à TAP Lazhar Jouili, Secrétaire général du syndicat de base des bacs.

Selon lui, ces bacs transportent en haute saison estivale jusqu’à 4 000 véhicules par jour, et au minimum 1 000 selon le nombre d’unités en service. « Tous les agents sont présents sur place et prêts à reprendre le travail dès que leurs revendications seront satisfaites », a-t-il précisé, soulignant que leur priorité est une remise urgente à niveau des unités pour améliorer le service et garantir la sécurité.

Jouili dénonce l’état des bacs, « réduits à de simples coques », qui ne peuvent plus être exploités de manière sûre, fonctionnant uniquement grâce à des initiatives individuelles des agents, situation jugée dangereuse pour les usagers et les équipages.

Les grévistes demandent une révision du secteur et une accélération du transfert de tutelle des bacs, actuellement sous la responsabilité du ministère de l’Équipement, vers le ministère des Transports, accompagnée d’une stratégie de restructuration.

Cette grève a été reportée à plusieurs reprises, notamment après l’absence d’une réunion de conciliation prévue le 15 août au ministère des Affaires sociales. Le mouvement initial, prévu du 10 au 12 août 2025, avait été suspendu pour laisser une chance aux négociations.

Actuellement, les bacs de Djerba sont placés sous la tutelle du ministère de l’Équipement et de l’Habitat. Une décision gouvernementale d’octobre 2019 prévoit leur rattachement au ministère des Transports afin d’harmoniser le transport de personnes et de véhicules avec les normes légales et de sécurité maritime. La mise en œuvre de cette réforme dépend toutefois de la publication de textes réglementaires toujours attendus, dont les agents réclament la parution rapide pour permettre « le saut qualitatif espéré ».

Avec TAP

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Récit de voyage en Tunisie d’un Marocain curieux

10. August 2025 um 10:37

L’auteur, spécialiste marocain du tourisme, raconte dans le post Facebook que nous reproduisons ci-dessous, sa découverte d’une Tunisie accueillante, hospitalière et résiliente. Ainsi que la joie de vivre des Tunisiens, «un peuple travailleur qui connaît la valeur de l’effort et l’éducation qui doit impérativement aller avec.» En lisant son récit de voyage, nous nous sommes rappelés du célèbre adage «Quand je me regarde je me désole, quand je me compare je me console». (Photos Rachid Boufous).

Rachid Boufous

Je suis parti en Tunisie il y a un mois à l’invitation d’amis tunisiens. C’était la première fois que je mettais les pieds au pays de Hannibal, Bourguiba et de la Harissa. J’ai eu envie de partager ce périple avec vous, car ce voyage ne m’a pas laissé indifférent. En voici les impressions et le ressenti…

En ce jour béni, je prends ma voiture vers 11h et me dirige vers l’aéroport Mohammed V de Casablanca d’où je dois prendre l’avion vers Tunis aux alentours de 14h. L’aérogare de Casablanca a sévèrement besoin d’être mis à niveau. Le hall est toujours aussi désert. Une odeur d’égouts te prend à la gorge dès l’entrée. Encore des regards d’assainissement mal siphonnés.

La zone internationale a été soignée par contre. Les toilettes aussi. Pour une fois on peut pisser sans que ça sente la rose pourrie… toutefois pour prendre l’avion nous sommes obligés de prendre un bus, les couloirs télescopiques sont réservés à des vols plus «prestigieux» pourquoi donc autant d’investissements pour rien…!

L’aéroport de Tunis est beau mais vieux

Le vol se passe bien. L’avion est complet. Il dure 2h30. Il peut durer moins mais les c… d’Algérie ont décidé de nous emmerder en nous interdisant le survol de leur espace aérien. Pas grave, nos pilotes rattrapent le retard dans le ciel même s’ils sont obligés de traverser une partie de l’Espagne, de la France et de l’Italie. Nous arrivons s à l’heure à Tunis.

Les files sont fluides, la policière me demande tout de même le nom de mon père. À quoi bon ? Le mien de pater il a 85 ans et je ne pense pas que la policière tunisienne lui plaise, vu que c’est un laideron, je connais ses goûts quand même…!

L’aéroport de Tunis est beau mais vieux. Le hall est plein à craquer des gens qui attendent leurs familles.

Je retrouve mon ami Hannibal qui m’attend à la sortie. Il me fait le tour de la côte tunisienne avant de m’emmener m’installer à Gammarth, la station chic de Tunisie. L’autoroute est très bien.

Tunis a besoin d’une bonne mise à niveau urbaine, mais elle reste propre.

Les Tunisiens savent ce qu’est le tourisme

Durant mon séjour j’ai visité plusieurs hôtels. Des 4 et 5 étoiles. 5 au total : 2 hôtels 5* et 3 hôtels 4*, et je peux dire sans exhaustive et juste ce que j’ai vu à Gammarth, à Hammamet, La Marsa et à Tunis, trois villes différentes, nous sommes très loin au Maroc d’atteindre le niveau de services offert en Tunisie en matière d’hôtellerie et de tourisme.

Malgré nos 17 millions de touristes, nous n’arrivons pas au niveau des Tunisiens, malgré leurs problèmes économiques et politiques. Ils n’auraient pas les problèmes conjoncturels actuels, je vous jure qu’ils nous dépasseraient allègrement.

Les Tunisiens savent ce qu’est le tourisme. Ils ont très bien compris ce qu’il faut faire pour accueillir le touriste, vip ou de masse.

D’abord la propreté des chambres, des espaces, des plages et des restaurants. Ensuite le service, impeccable et ne nécessitant pas des armées de gens qui ne savent pas faire grand-chose comme chez nous. Il faut venir en Tunisie pour comprendre, que nous faisons fausse route en matière de tourisme au Maroc.

Chez nous on accueille des millions de touristes, en Tunisie ils les reçoivent au vrai sens du terme. Ça fait mal de dire cela car j’avais l’idée fausse que l’on recevait très bien au Maroc. Un grande fausse idée.

Les Tunisiens ont réussi l’éducation et la citoyenneté

Les Tunisiens ont réussi là où nous avons échoué : l’éducation et la citoyenneté. Sans cela on a beau inventer des concepts hôteliers, ça ne marchera pas. Les gens continueront à venir certes au Maroc, mais ils ne reviendront pas. Les leurres touristiques que sont Marrakech, Agadir ou Tanger ne doivent pas nous éloigner de la réalité touristique de notre pays.

Un exemple : la plage. Les hôtels ont des accès directs à la plage avec le respect des mises à distance réglementaire, mais vous ne voyez pas toute la faune qui vient lécher les espaces hôteliers. Pas de nanas de niqab, ni de vendeurs de glaces frelatés, ni de photographes à chameaux, ni de gilets jaunes, ni de locataires de parasols et de transats. Tu n’as pas de pollution visuelle qui vient te gâcher la vue ou l’environnement.

Je passe une bonne partie de ma vie dans les hôtels au Maroc dans le cadre de mon travail. Je suis habitué à loger dans des hôtels 4 et 5 étoiles et même moins, partout au Maroc en bord de mer, comme dans les villes intérieures. Je voyage aussi pas mal à l’étranger notamment en Europe. J’observe et je vois, mais je préfère comparer que ce qui est comparable. Le Maroc et la Tunisie sont comparables en matière de tourisme. On a démarré au même moment le développement touristique au milieu des années 60. À un moment, la Tunisie a fait le choix du tourisme de masse quand le Maroc a fait le choix du tourisme vip. Mais Djerba est similaire à Agadir en termes de tourisme de masse avec des séjours à bas prix pour clientèle de classes moyennes européennes. Les services et accueils y sont pareils. Mais là où nous avons «merdé» au Maroc c’est l’accueil des touristes vip en hôtels 5 étoiles.

Les Tunisiens nous donnent une grande leçon d’humilité

Comparativement, ce que j’ai vu en Tunisie, les hôtels 4 étoiles dépassent de très loin nos meilleurs hôtels 5 étoiles et je n’exagère pas. Il faut les visiter pour voir la différence criante entre nos deux pays. Les chambres sont propres, la clim est mise dans toutes chambres, le personnel est d’une gentillesse renversante, le service est impeccable au petit-déjeuner, le service de plage aussi. Tout se passe sans prise de tête et on n’a pas besoin de crier pour passer commande et on n’attend pas éternellement sa commande non plus. Et pourtant les Tunisiens ne sont pas satisfaits de leur niveau d’accueil en ce moment. Ils me parlent de l’époque de Ben Ali et de l’ambiance de fête qu’il y avait à l’époque. J’ose à peine croire qu’ils ont été meilleurs que maintenant, mais je les crois. Et puis j’ai découvert la joie de vivre des Tunisiens et surtout leur gentillesse. Pas de prise de tête, pas de m’as-tu-vu, pas de chichis, pas de hogra, et surtout pas de «pétage au-dessus du cul».

Les Tunisiens riches ne le montrent pas. Ils n’ont pas besoin. Ils ont la richesse du cœur et ça leur suffit. C’est l’avantage d’un peuple travailleur qui connaît la valeur de l’effort et l’éducation qui doit impérativement aller avec.

Une grande leçon d’humilité que celle que nous donnent les Tunisiens. Ils sont malheureux comme pas possible de ce qui leur arrive depuis la révolution de 2011. Ils ont beaucoup perdu, en dynamisme, en pouvoir d’achat, mais aussi en assurance. Ils sont loin les Tunisiens fiers de leurs réussites et qui pouvaient toiser tout le monde arabe du haut de leur performances sociales ou en matière de liberté des femmes. Ils n’en reviennent pas quand je leur dis que je suis ébloui par leur pays que je trouve merveilleux et qu’ils ont une chance inouïe d’être ce qu’ils sont à travers leur éducation et leur sens de la famille et des relations sociales.

La preuve : ma venue en Tunisie coïncide ce lundi avec une cérémonie à laquelle tiennent les Tunisiens : l’annonce des résultats du baccalauréat. Toutes les familles dont les enfants ont réussi au bac font des fêtes chez elles et c’est un ballet incessant de gens qui viennent féliciter les lauréats et surtout boire un verre en famille, à la bonne franquette et sans chichis. Comme plusieurs enfants de la bourgeoisie tunisienne ont réussi cette année, je suis invité à plusieurs soirées dans la même soirée. Et je peux vous dire que les Tunisiens savent recevoir et surtout faire la fête. On me présente des banquiers, des médecins et des ingénieurs. Plusieurs hommes d’affaires et d’industriels aussi. De vraies fortunes, pas des pique-assiettes comme chez nous. Des gars qui sont à la tête de véritables empires en Tunisie et ailleurs dans le monde, mais dont la modestie les ferait passer chez nous à des «nobody». Finalement je crois que c’est chez nous que les fortunes sont très surévaluées…

Tunisie, grâce à son peuple très résilient, redémarre doucement

La Tunisie a connu de terribles années depuis le «printemps arabe» qui a démarré justement par l’immolation d’un vendeur ambulant, le fameux Bouazizi. Un pays jadis prospère sous les dictatures de Bourguiba et de BenAli et qui a depuis, sombré dans une disette économique sévère, qui dure encore. Mais la Tunisie grâce à son peuple justement, très résilient, redémarre doucement, même si beaucoup de cerveaux tunisiens brillants migrent de plus en plus, vers le pays qui leur parle le plus : le Maroc. C’est un drame pour la Tunisie qui n’arrive pas à retenir ses meilleurs talents, c’est une très grande opportunité pour le Maroc. Mais au-delà de tout ce qui se passe en Tunisie, le Maroc ne doit pas abandonner nos frères tunisiens. On se doit d’aider ce pays que l’on aime et qui nous aime depuis toujours. À commencer par la nomination d’un grand ambassadeur. Le dernier en date, Tarik n’a pas beaucoup brillé. Il faut dire qu’il n’avait aucune expérience diplomatique et qu’il s’était contenté d’exister au sein de l’USFP, pas vraiment le gabarit adéquat pour un pays aussi sensible que la Tunisie…

En ce moment précisément on ne doit pas abandonner la Tunisie, malgré toutes les déclarations de son président ou de sa proximité toxique avec l’Algérie…

Quant à mes amis tunisiens je les ai convaincus de venir investir dans l’hôtellerie au Maroc, on y a grandement besoin d’entrepreneurs, d’où qu’ils viennent, et surtout de notre chère Tunisie…

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Report de la grève des bateliers de Djerba : nouvelles dates fixées en août

09. August 2025 um 21:55
Report de la grève des bateliers de Djerba : nouvelles dates fixées en août

L’appel à la grève des bateliers de l’île de Djerba, initialement prévu les 10, 11 et 12 août, a été reporté aux 17, 18 et 19 août. Cette décision fait suite à l’engagement du ministre des Affaires sociales, pris lors d’une réunion préparatoire, de poursuivre le suivi des difficultés rencontrées par les bateliers. Une nouvelle […]

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Djerba Music Land : l’événement annuel qui fait vibrer le tourisme sur l’île

Du 31 juillet au 3 août, Djerba va de nouveau vivre au rythme du Djerba Music Land, le festival de musique électronique qui s’impose comme le rendez-vous estival par excellence. Installé en plein air, sur l’emblématique terrasse du Grand Casino, cet événement musical revient pour sa 10ème édition.

Djerba Music Land 2025 : le festival musical sera cette année encore un savant mélange de têtes d’affiche internationales et de valeurs sûres de la scène nationale, plus de 20 DJs réunis autour d’un même objectif : faire danser le public de Djerba sous les étoiles avec pas moins de 5 DJs tous les soirs qui se relaieront sur scène pour offrir le meilleur de leur univers sonore.

logo-djerba-music-landPlusieurs sommités viendront spécialement en Tunisie pour l’occasion, notamment la légende allemande Sven Vath qui sera derrière ses platines pour un set qui s’annonce mémorable, en plus de la participation de Stephan Bodzin (en ouverture le 31 juillet), Alex Wann (2 août)… Le tout, clôturé par l’habituel show à succès Al Disco Al Arabi (3 août). Côté tunisien, les DJ Mehdi Maghraoui, Rayhane, Wail Bouri… captiveront le public avec leur style et leur énergie.

Un moment fort pour le tourisme

Les organisateurs de Djerba Music Land expliquent qu’il s’agit d’une expérience pour vivre Djerba la nuit dans la continuité du séjour balnéaire et culturel diurne. Un moment fort du tourisme sur l’île où se retrouvent chaque année des milliers de festivaliers venus des 4 coins de la Tunisie mais aussi de l’étranger, aux côtés des touristes dans les hôtels et des habitants pour partager un même tempo, entre amis ou en famille.

« Chaque année, nous constatons que l’événement gagne en attractivité et crée une émulation exceptionnelle sur toute l’île de Djerba », explique à ce propos Mohamed Jerad, fondateur et organisateur de cet événement.

« Cet été, nous renouvelons l’expérience du site du Grand Casino qui a permis d’élargir l’espace disponible pour les festivaliers et créer des pôles d’intérêts supplémentaires portant sur l’artisanat par exemple », a-t-il ajouté.

djerba-music-land-2025-afficheCar ce festival participe activement à la dynamique estivale de Djerba, en attirant un public venu de toute la région – voire de plus loin – avec des retombées notables sur la vie locale.

Hôtels, commerces, restauration : la zone tout entière vibre à l’unisson du Djerba Music Land.

Tunisia Music Land, société organisatrice de l’événement, mettra en place les moyens techniques à la hauteur de cet événement avec une scène impressionnante de beauté, une scénographie lumière à couper le souffle, une qualité sonore irréprochable et des soirées inoubliables, en toute sécurité.

Artisanat et musique feront bon ménage

Et la grande nouveauté de l’année portera sur la mise en place d’une forme de marché, le Djerba Music Land Market, lieu d’exposition-vente de produits de l’artisanat notamment avec une sélection d’artisans et de créateurs proposant vêtements originaux, sacs, bijoux, accessoires, goodies uniques et objets d’art à découvrir et à emporter.

Une manière pour les organisateurs d’élargir le cercle des bénéficiaires des retombées du festival à d’autres corps de métiers pour intensifier l’expérience du séjour djerbien.

Qui est Tunisia Music Land, organisatrice du Djerba Music Land : 

Tunisia Music Land est une société spécialisée dans l’organisation d’événements artistiques et musicaux d’envergure. Elle est dirigée par des professionnels chevronnés ayant une longue expérience à la fois dans le Djing, la communication et l’événementiel. Elle se dit avoir pour ambition de soutenir l’image de la Tunisie en tant que Destination Clubbing afin de promouvoir cette offre touristique à l’échelle internationale.

Tunisia Music Land annonce vouloir étendre le concept à d’autres régions de la Tunisie. Dans son Business Plan, l’entreprise déclare envisager de développer des événements de ce type dans plusieurs gouvernorats, et ce dans le but d’y soutenir le développement touristique en générant une dynamique économique profitant à tout l’écosystème local.

Le Djerba Music Land dans nos archives:

2024: Djerba Music Land réussit à préserver son ADN malgré le changement de site

2022: Comment le Djerba Music Land fait battre le tempo touristique de l’île

2019: A Djerba, ça commence par une Beach Party et ça débouche en événement touristique de dimension internationale

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Le sabot débarque à Djerba !

01. Juli 2025 um 15:05

À partir de ce mardi, les trois municipalités de l’île de Djerba entament l’application de la mesure de pose de sabots (ou « kbalat ») sur les véhicules en infraction avec les règles de stationnement et d’arrêt. Cette décision s’inscrit dans le cadre du programme « Vacances en sécurité », en préparation de la saison estivale, et vise à réduire les embouteillages, la congestion routière ainsi que les désordres qui en découlent.

Cette mesure, que les municipalités de Houmt Souk et Midoun remettent en vigueur après une période d’interruption, et que la municipalité d’Ajim adopte pour la première fois, a suscité des réactions partagées.

Certains y voient une réponse nécessaire aux comportements anarchiques, comme le stationnement sur les trottoirs ou aux intersections, appelant même à une application continue tout au long de l’année, au-delà de la saison estivale. D’autres, en revanche, rejettent cette décision, pointant le manque de parkings publics payants et l’absence de révision du schéma de circulation.

Les opposants à cette mesure attribuent la source du désordre à la présence de marchés hebdomadaires en centre-ville, qui perturbent la circulation et provoquent des bouchons. Ils suggèrent de les déplacer en périphérie et de transformer une partie de ces espaces en parkings payants, estimant que cela représenterait une solution adaptée à la situation actuelle du trafic.

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Tourisme : Djerba-Zarzis s’affirme comme la première destination tunisienne

22. Juni 2025 um 09:52

La zone touristique Djerba-Zarzis s’impose comme la première destination du pays, concentrant à elle seule un quart des nuitées passées à l’échelle nationale, selon les déclarations du délégué régional au tourisme de Médenine, Hichem Mahouachi.

Ce dernier a souligné la vitalité que connaît actuellement la région, évoquant des prévisions optimistes pour la saison touristique en cours. À cet effet, environ 1,3 million de touristes sont attendus d’ici la fin octobre, avec près de 5700 vols réguliers et non réguliers opérés depuis et vers l’aéroport international de Djerba-Zarzis. L’offre s’élargit également à de nouveaux marchés, comme celui de la Bosnie, avec une liaison hebdomadaire désormais programmée.

D’après les chiffres fournis par Mahouachi à l’Agence Tunis Afrique Presse (TAP), la région a enregistré, entre le début de l’année et le 31 mai, une hausse de 19,7 % des arrivées et de 15,7 % du nombre de nuitées par rapport à la même période de l’année précédente.

La destination continue de séduire ses marchés traditionnels, à commencer par la France, suivie de l’Allemagne, de la Pologne, puis du marché tunisien. D’autres pays, comme l’Algérie, la Libye, la République tchèque ou encore la Belgique, constituent également des marchés porteurs pour la région.

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