Et si le stress pouvait vous rendre plus fort ? L’antifragilité, popularisée par Nassim Nicholas Taleb, montre comment transformer les chocs en opportunités. Voici 7 leviers simples pour bâtir une base solide, multiplier les options et sortir grandi de l’incertitude.
Le président du Conseil national des régions et des districts, Imed Drbali, a déclaré, mercredi 10 décembre 2025, lors de la séance plénière conjointe entre le Conseil national des régions et des districts et l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) que « dans un contexte où cet enjeu national croise les défis universels, il convient de célébrer la Journée mondiale des droits de l’homme — ces valeurs sublimes dont la Tunisie fut et demeure l’un des pionniers, en parole comme en acte, dans la législation comme dans la pratique ». Il a affirmé que la Tunisie restera toujours à l’avant-garde […]
La direction générale de la douane tunisienne a organisé, ce mercredi 10 décembre 2025, une conférence nationale intitulée « La douane, rempart contre les substances narcotiques», dans le cadre de ses efforts constants pour renforcer son rôle dans la lutte contre le trafic de drogue et la protection de la société, notamment des jeunes. Une conférence axée sur la prévention et la coopération institutionnelle Cette rencontre a mis l’accent sur l’importance du travail de terrain pour renforcer les efforts opérationnels visant à détecter et déjouer les tentatives de contrebande de substances narcotiques. Les participants ont également souligné la nécessité de […]
La Coupe d’Afrique des Nations (CAN), compétition phare du football continental depuis 1957, a vu défiler de grandes générations et sacrer des nations emblématiques. L’Égypte domine largement le tableau d’honneur avec sept titres, suivie du Cameroun (cinq) et du Ghana (quatre).
Les débuts de la CAN : hégémonie égyptienne
Lors des premières éditions, l’Égypte s’impose comme la référence. Vainqueur en 1957, 1959 puis en 1986, 1998, 2006, 2008 et 2010, elle reste la nation la plus titrée de l’histoire du tournoi.
Les années 1960 et 1970 voient également éclore d’autres puissances africaines :
Éthiopie (1962),
Ghana (1963, 1965, 1978, 1982),
RDC (1968, 1974),
Soudan (1970),
Congo (1972),
Maroc (1976).
Années 1980–2000 : émergence de nouvelles forces
Les décennies suivantes confirment l’ascension du Cameroun, victorieux en 1984, 1988, 2000, 2002 et 2017.
Le Nigéria (1980, 1994, 2013) et la Côte d’Ivoire (1992, 2015, 2023) s’imposent également parmi les favoris réguliers.
L’Afrique du Sud réussit son entrée post-apartheid en décrochant le titre en 1996.
Tunisie et moments marquants
La Tunisie inscrit son nom au palmarès en 2004, année de son unique sacre à domicile.
Le Sénégal, longtemps attendu, décroche enfin son premier titre en 2021.
La Zambie crée l’une des plus belles surprises de l’histoire récente en 2012, lors d’une édition marquée par une forte charge émotionnelle.
Le président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Brahim Bouderbala a annoncé la soumission du projet de loi de finances (PLF) pour l’année 2026 dans sa version adoptée par l’ARP, au Président de la République, et ce, lors d’une séance plénière conjointe de clôture de l’examen du PLF 2026 organisée, mercredi, au Palais de Bardo, avec le Conseil national des régions et des districts (CNRD).
Dans la soirée du 8 décembre 2025, un puissant séisme de magnitude 7,5 à 7,6 a frappé le large de la préfecture d’Aomori, au nord-est du Japon. L’événement a généré un petit tsunami, provoqué des coupures d’électricité et des dégâts limités, mais a surtout conduit les autorités à émettre un avis de risque accru de « méga-séisme » dans la région.
Un séisme majeur au large du nord-est du Japon
Le tremblement de terre s’est produit le 8 décembre à 23h15 heure locale (14h15 UTC), soit 15h15 heure de Tunis, avec un épicentre à environ 80 km au large d’Aomori et une profondeur d’environ 44–54 km.
L’USGS évalue la magnitude à 7,6, tandis que l’Agence météorologique japonaise (JMA) retient 7,5 et une intensité maximale de 6+ sur l’échelle sismique japonaise à Hachinohe.
Le séisme est lié à une rupture en faille inverse dans la zone de subduction de la fosse du Japon, où la plaque Pacifique s’enfonce sous la plaque Nord-Américaine. Cette configuration est à l’origine de nombreux grands séismes historiques dans la région de Sanriku et d’Hokkaidō.
Bilan humain, tsunami et dégâts
Les autorités recensent au moins 51 blessés dans les préfectures d’Aomori, d’Hokkaidō et d’Iwate, principalement en raison de chutes d’objets et d’effondrements partiels de structures.
Les dégâts matériels restent localisés : vitres brisées, façades endommagées, quelques incendies et déformations de chaussées. Les services du Tōhoku Shinkansen ont été suspendus sur plusieurs tronçons, affectant des milliers de voyageurs.
Un avertissement de tsunami prévoyant des vagues jusqu’à 3 m a été émis, entraînant l’évacuation d’environ 90 000 personnes sur les côtes du nord-est. Les vagues observées sont restées limitées, de l’ordre de 20 à 70 cm, avant la levée progressive des avis le 9 décembre.
Les exploitants de centrales nucléaires du nord du Japon n’ont signalé aucun problème de sûreté majeur, hormis quelques débordements d’eau sans impact radiologique.
Un avis de « méga-séisme » sur une semaine
À la suite du séisme, la JMA et le gouvernement ont publié un avis spécial pour la région au large de Sanriku et d’Hokkaidō, indiquant que la probabilité d’un séisme de magnitude 8 ou plus dans la semaine est passée d’environ 0,1 % à 1 %.
Cet avis ne déclenche pas d’évacuation automatique, mais insiste sur la préparation : plans d’évacuation, kits d’urgence et suivi des consignes locales.
Les autorités rappellent que des méga-séismes passés, comme celui de Tōhoku en 2011, ont parfois été précédés de secousses importantes de magnitude 7 ou plus, même si la relation n’est pas systématique.
Contexte géologique et portée mondiale
Cet événement confirme l’activité soutenue de la zone de subduction de la fosse du Japon, l’une des plus surveillées au monde. Les données recueillies par les réseaux sismologiques japonais et internationaux nourrissent les modèles de risque, utiles bien au-delà du Japon pour la compréhension des séismes de subduction et de la génération des tsunamis dans le Pacifique.
Les organismes internationaux (USGS, centres d’alerte aux tsunamis) ont diffusé des bulletins de suivi, sans alerte majeure pour les côtes lointaines. L’impact global est resté limité, mais l’épisode alimente la réflexion mondiale sur la préparation aux séismes extrêmes.
L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts (CNRD) ont entamé, mercredi, au Palais de Bardo, une séance plénière conjointe de clôture de l’examen du projet de loi de finances (PLF).
Cette plénière se tient le jour de clôture du délai constitutionnel pour la présentation de la Loi de Finances (LF) 2026 au président de la République pour adoption, signature et publication au JORT.
Il convient de noter que la commission paritaire composée de cinq membres des deux chambres parlementaires (ARP et CNRD) chargée d’examiner les articles litigieux du projet de Loi de Finances 2026 a achevé, mardi 9 décembre, ses travaux, sans parvenir à un accord sur certaines dispositions.
La commission formée conformément au décret-loi n°2024-1 du 13 septembre 2024, portant organisation des relations entre l’ARP et le CNRD a examiné, du 7 au 9 décembre 2025, les articles faisant objet de désaccord entre les deux chambres a auditionné la ministre des Finances et le secrétaire d’État chargé de la Transition énergétique.
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Toutefois un accord n’a pu être trouvé à propos de l’article 82, relatif à la régularisation de la situation des véhicules déposés dans les entrepôts municipaux, des articles 102 et 103 relatifs au calcul du régime de retraite des députés de l’ARP et de l’article 110, relatif à la date d’application de la loi de finances pour l’exercice 2026.
Il s’agit également des articles relatifs à la baisse des tarifs douaniers à l’importation des panneaux solaires et à la prime prévue au profit des personnes atteintes de dystrophie musculaire.
Le président de la commission paritaire, Dhafer Sghiri a affirmé que la version de la loi de finances adoptée dans son intégralité par l’ARP, depuis le 4 décembre 2025, est celle qui sera présentée au président de la République, Kaïs Saïed, pour être paraphée ou renvoyée à l’ARP.
Il a fait savoir, dans une déclaration à l’agence TAP, que les membres de la commission des deux chambres allaient trancher, dans le consensus, les articles litigieux, “mais les membres du CNRD n’étaient de cet avis”.
Pour rappel l’ARP et le CNRD ont entamé, le 28 novembre 2025, les travaux de la session plénière commune consacrée à l’examen du PLF pour l’exercice 2026 initialement composée de 61 articles.
L’ARP avait adopté, le 4 décembre 2025, avec 89 voix pour, 23 voix contre et 12 abstentions, le projet de la Loi de Finances pour l’exercice 2026, composée de 110 articles (suite à l’ajout de 49 nouveaux articles par l’ARP) lors d’une séance plénière, tenue au Palais du Bardo.
De son côté le CNRD avait adopté, le 6 décembre 2025, avec 64 voix pour, trois voix contre et deux abstentions, le projet de loi de finances pour l’année 2026, dans sa version amendée après le rejet et l’amendement de certains articles approuvés déjà par les députés de l’ARP.
Des quantités de 450 tonnes de déchets ménagers ont été collectées par les services municipaux au gouvernorat de Siliana, au mois de novembre dernier, a indiqué le chef de service de gestion municipale Faouzi Rajehi.
Egalement 1000 tonnes de déchets de démolition et de construction ont été ramassées durant la même période, a-t-il ajouté à l’Agence TAP.
Des campagnes de nettoyage et de balayage des débris sont menées régulièrement dans la région, outre le curage des oueds, l’entretien du réseau d’éclairage public, des espaces verts et le lavage des chaussées, d’après la même source.
Le président de l’Assemblée des représentants du peuple, Ibrahim Boudrébala, a annoncé mercredi 10 décembre 2025, en séance plénière conjointe avec le Conseil national des régions et des districts, l’échec de la commission paritaire chargée d’étudier les articles contestés du projet de loi de finances 2026.
La commission n’a pas réussi à dégager un accord sur quatre articles jugés sensibles : les articles 82, 102, 103 et l’article 110, qualifié de formel. Ils concernent notamment la régularisation des biens mobiliers placés dans les dépôts municipaux de mise en fourrière et le mode de calcul du régime de retraite des membres du Parlement.
Transmission de la version adoptée par les députés
Ibrahim Boudrébala a rappelé qu’en vertu du décret n°1 de 2024, l’absence de compromis conduit automatiquement à la transmission de la version adoptée par l’Assemblée au Président de la République pour promulgation.
Cette procédure s’active lorsque les deux chambres ne parviennent pas à harmoniser leurs positions dans les délais prévus.
Une clôture en séance conjointe
La séance de clôture a été coprésidée par Ibrahim Boudrébala pour le Parlement et Imed Dherbali pour le Conseil national des régions et des districts. Elle intervient au lendemain du dernier round de discussions de la commission paritaire, qui s’est achevé mardi sans consensus. Les divergences portaient sur les amendements introduits par chaque chambre et sur l’interprétation de certains dispositifs techniques du texte.
Un projet de loi étoffé au fil des débats
L’examen du projet de loi de finances 2026 avait débuté le 28 novembre 2025 en plénière conjointe, avec un texte initial composé de 61 articles.
Le 4 décembre, l’Assemblée des représentants du peuple a adopté le projet après y avoir ajouté 49 articles, portant l’ensemble à 110. Le vote s’est soldé par 89 voix pour, 23 contre et 12 abstentions.
Deux jours plus tard, le 6 décembre, le Conseil national des régions et des districts a approuvé à son tour le texte amendé, avec 64 voix pour, 3 contre et 2 abstentions. Plusieurs articles ont été modifiés ou rejetés, créant des écarts que la commission n’a pas pu résorber.
Une promulgation attendue
L’échec des discussions met fin au processus d’harmonisation entre les deux chambres. La version finale transmise au Président reprendra intégralement celle adoptée par l’Assemblée. La promulgation officielle ouvrira la voie à l’application des mesures prévues dans la loi de finances 2026, dans l’attente d’éventuels textes d’application.
La première édition de l’événement « LEBRIDGE25 – Tunis », dédiée à la création de passerelles entre startups, entreprises et investisseurs, sera lancée lundi 15 décembre à Tunis, à l’initiative de la Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Française (CCITF).
Conçu comme une plateforme d’accélération des collaborations, cet événement vise à faciliter les rencontres stratégiques et à faire émerger des partenariats concrets. Il intervient dans un contexte où la Tunisie affirme son dynamisme entrepreneurial.
L’événement, annoncé sur la page Facebook de la CCITF, s’articulera autour de trois panels thématiques : l’Open Innovation, les modèles efficaces de partenariats startups-entreprises, et les opportunités d’implantation en France. Il prévoit également des rencontres B2B ciblées, appuyées par une plateforme dédiée permettant aux participants de planifier des rendez-vous stratégiques. Un Startup Showcase mettra également en lumière des projets innovants.
Cet événement s’inscrit dans les actions de la Commission « Startup & Innovation » de la CCITF, qui œuvre pour renforcer l’accès au marché, au financement et à l’expansion internationale des écosystèmes tunisien et français.
« LEBRIDGE25 – Tunis » s’adresse aux grandes entreprises, PME, startups innovantes, investisseurs et acteurs de l’écosystème. Il se positionne ainsi comme un lieu de rencontre clé pour construire des opportunités d’innovation et de croissance.
La 10e édition de la Conférence maghrébine sur le dessalement et le traitement des eaux (CMTDE 2026) se tiendra du 25 au 27 mars 2026 à Hammamet, a annoncé l’Association tunisienne de dessalement (ATD) sur sa page Facebook.
Placée sous le thème « L’eau, l’énergie, l’alimentation et les écosystèmes : un lien essentiel (Nexus) », cette conférence réunira chercheurs, experts, décideurs et professionnels du secteur de l’eau autour des enjeux interconnectés de la gestion durable des ressources.
Organisée en collaboration avec l’Université de Tunis El Manar (UTM), elle abordera notamment le dessalement durable, la réutilisation de l’eau, les technologies membranaires innovantes, les impacts environnementaux et les solutions numériques pour la gestion hydrique.
Des sessions spécifiques seront dédiées à la résilience face au changement climatique, à la gouvernance de l’eau et aux politiques de sécurité alimentaire et hydrique en région méditerranéenne. Le programme inclura également des études de cas et des projets concrets pour favoriser les échanges entre acteurs académiques et opérationnels.
Cet événement, qui accueillera des scientifiques de renom venus de France, d’Algérie et d’Italie, s’adresse prioritairement aux doctorants, enseignants-chercheurs et professionnels du secteur.
Classée deuxième conférence nationale dans son domaine, la CMTDE 2026 se positionne comme une plateforme clé pour le dialogue interdisciplinaire et la coopération régionale.
L’ATD, organisatrice de l’événement, est une association scientifique non gouvernementale et à but non lucratif fondée en 2005, reconnue pour son engagement en faveur de la recherche et de l’innovation dans les domaines du dessalement et du traitement de l’eau.
Une séance plénière s’est tenue ce mercredi à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), au cours de laquelle il a été annoncé que la commission parlementaire n’a pas réussi à trouver un accord entre les deux chambres législatives. Le président du Parlement, Brahim Bouderbala, a précisé que la loi de finances, adoptée le 4 décembre […]
TOD, la plateforme de streaming sport et divertissement de beIN MEDIA GROUP, se déploie au Maroc avec une expérience sportive premium, alors que le Royaume s’apprête à vivre une année exceptionnelle pour le football. À l’approche de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2025, que le Maroc accueillera, la demande pour un streaming haute performance […]
Le Maroc accueillera la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) pour la 2ème fois de son histoire, après l’édition de 1988, qui a connu la participation de sélections de 8 pays: l’Egypte, la Côte d’Ivoire, le Nigéria, le Zaïre, le Cameroun, l’Algérie, le Kenya, et le Maroc. – La sélection ivoirienne s’est qualifiée à la finale […]
Le premier juge d’instruction du pôle judiciaire économique et financier a informé l’homme d’affaires Youssef Mimouni, un ancien directeur général d’une banque publique, ainsi que des avocats et des experts judiciaires, de la clôture de l’instruction et du renvoi du dossier devant la chambre d’accusation près la Cour d’appel de Tunis, qui statuera sur les poursuites.
Rappelons que des mandats de dépôt ont été émis contre plusieurs accusés, dont Ghazi Mimouni, le fils du principal accusé, tandis que d’autres font l’objet d’une interdiction de voyager.
Les poursuites concernent des faits présumés de faux et usage de faux, blanchiment d’argent, corruption et abus de fonction, liés à des transactions entre une banque publique, la Banque de l’Habitat (BH) en l’occurrence, et des sociétés appartenant à l’homme d’affaires.
Ancien peintre en bâtiment qui s’est enrichi grâce à sa proximité avec l’ancien président Zine El Abidine Ben Ali, qui lui a mis le pied à l’étrier, Mimouni a fait fortune avant mais aussi après la chute de ce dernier grâce à ses «entrées dans le système» et quelques pots de vin opportunément distribués.
Ses activités Mimouni vont de la peinture à la construction métallique, en passant par le liège et la biomasse. Mais aussi la restauration (à travers le restaurant Le Grand Bleu à Gammarth) et l’hôtellerie (chaîne Dar Ismaïl).
Ce self made man, qui a longtemps rogné sur les biens de l’Etat, et notamment le domaine public maritime, a entraîné dans sa chute beaucoup de monde dans l’administration publique et les finances.