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Gestern — 02. August 2025Haupt-Feeds

L’intelligence artificielle en passe de créer 130 millions de nouveaux emplois dans le monde

Von: La Presse
02. August 2025 um 09:41

Selon Nadia Seghir, professeure de finance à la Faculté des sciences économiques de Tunis, l’intelligence artificielle (IA) est en passe de créer de nouvelles opportunités d’emploi à l’échelle mondiale. Elle a indiqué que 130 millions de nouveaux emplois devraient être créés, tandis que 70 millions d’emplois traditionnels pourraient disparaître, conformément aux recommandations d’un forum économique international.

S’exprimant à la Radio Nationale ce vendredi 1er août 2025, Sghir a précisé que la Tunisie a participé à ce forum, qui a mis en évidence l’urgence de développer des métiers adaptés à la transformation numérique et aux évolutions technologiques.

Elle a ajouté que l’IA contribuera à l’amélioration de la productivité et à l’analyse des données, et fournira des outils facilitant l’exécution des tâches. Cependant, elle a souligné que l’IA présente également des défis majeurs, notamment les risques de cybercriminalité.

En conclusion, la professeure a affirmé que l’avenir des professions économiques en Tunisie dépendra de l’intégration de l’intelligence artificielle dans le monde du travail.

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La Tunisie Qui Gagne : Comment BuzzBip permet-il aux marques de parler aux bons clients au bon moment ?

01. August 2025 um 12:50

Devons-nous de nouveau insister sur l’importance des jeunes startups dans le développement économique en créant des emplois, stimulant la transformation numérique et en répondent à des besoins nouveaux ou mal satisfaits ?  Les Startup sont de véritables catalyseurs de croissance, participant activement à la dynamisation des écosystèmes nationaux et régionaux. C’est le cas de BuzzBip, partie d’un projet de digitalisation des commerces en Tunisie.  BuzzBip s’est rapidement positionnée sur un enjeu plus stratégique : la conversion dans l’e-commerce via des messages ciblés, conversationnels et automatisés.

Rencontre avec Mhamed Ali Ben Mahmoud cofondateur, qui dévoile dans l’entretien ci-après les coulisses de cette solution qui séduit de plus en plus d’acteurs en Afrique et au Moyen-Orient.

Quelle a été l’étincelle initiale qui a donné naissance à BuzzBip ?

Tout a commencé avec Walid, mon cofondateur. On voulait aider les petits commerçants tunisiens à digitaliser leur marketing grâce à des QR codes, pour capter les données clients et créer du lien. Mais très vite, on a constaté que le marché n’était pas prêt. En écoutant les besoins du terrain, sur une urgence identifiée bien plus forte : permettre aux e-commerçants de mieux interagir avec leurs clients. C’est là qu’est née BuzzBip, une plateforme simple qui booste les ventes en envoyant le bon message, à la bonne personne, au bon moment.

« C’est en écoutant les petits commerçants que nous avons compris l’urgence d’un marketing plus humain, plus ciblé. »

Vous insistez sur la « segmentation » des bases e-commerce. Comment la définir-vous et quels sont les bénéfices concrets ?

Chez BuzzBip, la segmentation ne se limite pas à des filtres classiques. C’est une lecture fine et intelligente du comportement d’achat : fréquence d’achat, panier moyen, produits préférés, abandons de panier… Par exemple, un client qui revient tous les 15 jours, ou un autre qui clique souvent sur des chaussures sans jamais acheter : les identifier, les comprendre, et ensuite leur adresser un message ultra personnalisé. Résultat : moins de messages, mais beaucoup plus de pertinence et des conversions qui explosent.

En quoi l’intelligence de vos chatbots se distingue-t-elle de celle de vos concurrents ?

Nos bots ne se contentent pas de répondre : ils anticipent. Ils comprennent le contexte, les préférences du client, son historique d’achat… et proposent des actions concrètes qui conduisent à l’achat. Ils sont connectés aux outils e-commerce, CRM, réseaux sociaux, pour un parcours fluide. Et surtout, on les conçoit avec un seul objectif : générer des ventes. C’est notre ADN.

« La technologie n’est pas là pour remplacer la relation, mais pour la rendre plus juste et plus fluide. »

Pourriez-vous nous décrire le parcours type d’un consommateur qui interagit avec BuzzBip ?

Prenons l’exemple d’une boutique de prêt-à-porter : une cliente clique sur une pub Instagram, atterrit sur WhatsApp, le bot lui pose trois questions (taille, couleur, style), lui propose trois produits disponibles. Elle en choisit un, reçoit un lien de paiement, valide sa commande. Elle reçoit ensuite une confirmation par WhatsApp. Quelques jours plus tard, le bot lui demande si elle est satisfaite, puis lui recommande une nouvelle pièce. Tout est fluide, automatique, mais toujours personnalisé et humain.

Comment transformez-vous une interaction froide en une relation de confiance durable ?

Nous ne faisons pas de démarchage téléphonique classique. Chaque message est déclenché par un signal : un panier abandonné, une inactivité, un retour sur le site… Et nos échanges sont utiles, jamais intrusifs. Lorsqu’un message est bien ciblé et arrive au bon moment, la relation de confiance s’installe naturellement.

« Un bon message ne s’impose pas, il répond à un besoin que le client n’a pas encore formulé. »

Quelles sont vos principales mesures pour évaluer l’efficacité des campagnes ?

On suit tout : taux de clic, taux de réponse, taux de conversion, panier moyen… Mais notre KPI phare reste le chiffre d’affaires généré par campagne. C’est ce qui compte vraiment pour nos clients.

Quels sont vos marchés prioritaires aujourd’hui ?

Nos clients sont des e-commerçants, des marques, des PME, mais aussi des agences souhaitant proposer une solution efficace à leurs clients. Nous sommes actifs en Tunisie, venons de lancer le Kenya grâce au soutien de RedStart, et préparons notre déploiement en Arabie Saoudite avec E3 Ventures. Notre priorité, ce sont les marchés émergents, là où chaque conversion compte.

« Trop de messages tuent l’attention. La clé, c’est la pertinence, pas la quantité. »

Comment assurer-vous la protection des données personnelles ?

La sécurité et la conformité sont fondamentales pour nous. Toutes les données sont enregistrées avec consentement, sécurisées, traçables. Les utilisateurs peuvent à tout moment modifier ou supprimer leurs données. Nos infrastructures respectent les normes internationales.

Avez-vous des exemples concrets de retours clients ?

Oui, un exemple marquant est celui d’Arkan.tn : pour chaque dinar investi, ils en récupèrent 65. Ce type de retour nous motive chaque jour. Nos solutions créent une vraie valeur ajoutée, bien au-delà des simples clics.

Quel est votre modèle économique ?

Nous fonctionnons sur un modèle simple : un abonnement mensuel, plus des frais variables selon les volumes. Nous proposons également des offres spécifiques pour les agences, ainsi qu’un accompagnement premium pour les grandes marques. Pas de surprise, pas de coûts cachés.

Comment voyez-vous faire évoluer la relation client-marque avec l’essor de l’IA et des réseaux sociaux ?

Les clients veulent des réponses rapides, mais personnalisées. L’IA rend cela possible : elle permet d’écouter, de comprendre, d’agir. À l’avenir, les marques qui réussiront seront celles qui sauront parler « juste », et non pas simplement « plus ».

« Ce sont les signaux faibles — un clic, une absence — qui racontent le plus sur nos comportements. »

Quelles sont vos ambitions à moyen terme ?

Nous voulons devenir le leader du marketing conversationnel en Afrique et au Moyen-Orient. Après la Tunisie et le Kenya, l’Arabie Saoudite est notre prochaine étape. Côté produit, on mise sur l’IA, l’omnicanal et les intégrations e-commerce avancées.

Quel conseil donneriez-vous à une équipe qui souhaite lancer une solution de marketing conversationnel ?

Commencez simplement. Choisissez un canal, un cas d’usage, et excellez dessus. Et surtout : parlez constamment à vos utilisateurs. Ce sont eux qui vous donneront la vérité du marché.

Entretien conduit par Amel Belhadj Ali

EN BREF

  • BuzzBip est une startup tunisienne spécialisée dans le marketing conversationnel automatisé.
  • Sa solution combine chatbots intelligents, segmentation fine et intégration e-commerce.
  • Chaque interaction est déclenchée par un signal client (clic, inactivité, panier abandonné…).
  • Résultat : moins de messages, plus de conversions, plus de chiffre d’affaires.
  • Active en Tunisie et au Kenya, BuzzBip prépare son lancement en Arabie Saoudite.
  • Objectif : devenir un acteur de référence en Afrique et au Moyen-Orient.

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Dubaï lance la première famille émiratie virtuelle propulsée par l’intelligence artificielle

01. August 2025 um 08:21

La Digital Dubai Authority a annoncé le lancement de la toute première famille émiratie virtuelle soutenue par l’intelligence artificielle. Cette initiative vise à créer une interface interactive qui incarne la société émiratie, reflète ses aspirations et transmet la vision d’un avenir plus intelligent et durable. Elle servira également de relais pour diffuser les messages gouvernementaux et de sensibilisation de manière plus proche et accessible au grand public.

Ce projet innovant, qui s’inscrit dans la stratégie de transformation numérique de l’émirat, ambitionne de présenter les services digitaux de Dubaï de façon ludique et adaptée à tous les segments de la population. L’idée est de rapprocher les citoyens des services publics numériques à travers un format familier et engageant.

Dans les prochaines étapes, d’autres personnages viendront compléter cette famille virtuelle, dont un père, une mère et un frère. L’objectif est de constituer un modèle numérique complet d’une famille émiratie, capable de communiquer efficacement sur les services digitaux à travers des technologies d’IA et l’exploitation de données avancées.

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Proposition de loi sur l’EMI : un anachronisme à l’ère de l’intelligence artificielle

29. Juli 2025 um 06:01

La récente proposition de loi visant à introduire l’Éducation aux Médias et à l’Information (EMI) dans les établissements publics tunisiens, bien que louable en apparence, relève d’un anachronisme technopédagogique flagrant. 

En tant qu’initiateur de l’éducation aux médias et à l’information (EMI) en Tunisie via mon manuel de référence : « L’EMI en Tunisie : antidote contre la cybercriminalité » – publié à Paris en 2015 – largement reconnu à l’international mais ignoré dans mon propre pays, je ne peux que constater avec amertume le retard avec lequel cette initiative voit enfin le jour.

Alors que le monde entier entre dans l’ère post-informationnelle dominée par l’intelligence artificielle générative, nos institutions persistent à proposer des solutions forgées pour l’époque des blogs et des forums.

Lire aussi : Education des médias et de l’information : un enjeu social

Aujourd’hui, l’information n’est plus seulement véhiculée ou manipulée par l’humain, elle est générée de toutes pièces par des IA capables de produire des contenus crédibles, cohérents et massivement diffusables en quelques secondes. Les outils classiques de « vérification de l’information », pierre angulaire de l’EMI traditionnelle, sont désormais obsolètes face à la sophistication des modèles d’IA, capables de créer de faux experts, de fausses vidéos, de faux témoignages indétectables par les filtres classiques.

C’est pourquoi, j’ai développé le concept et l’ouvrage « Aiguilleur d’IA » – transmis à l’OMPI – comme alternative urgente à une EMI dépassée. Cette approche n’a plus pour ambition de « vérifier une information » via les outils de fact-checking, mais d’aiguiller l’usager humain dans un espace informationnel dominé par des systèmes automatisés de production cognitive. L’élève de demain ne doit pas simplement repérer un fake : il doit interagir avec, questionner et déconstruire un système générateur d’apparences de vérité.

Plutôt que d’offrir des emplois de fortune à quelques diplômés, l’État devrait anticiper les métiers critiques de la nouvelle ère cognitive, en formant des enseignants capables de comprendre les logiques d’IA, leurs biais, leurs stratégies de persuasion, et d’en faire des citoyens résistants à l’illusion numérique.

Promouvoir l’EMI version 2000 dans la Tunisie de 2025, c’est comme enseigner la dactylographie à l’heure des assistants vocaux.

Désormais, l’heure est pour le métier d’aiguilleur d’IA !

 

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Article en relation : Education des médias et de l’information : un enjeu social

 

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Mahjoub Lotfi Belhedi 

Chercheur en réflexion stratégique optimisée IA // Aiguilleur d’IA

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Kaspersky plaide pour plus de transparence dans l’utilisation de l’intelligence artificielle

Von: La Presse
28. Juli 2025 um 09:52

L’IA est une arme à double tranchant : si elle permet des gains d’efficacité significatifs et offre de nouvelles opportunités pour les entreprises comme pour les particuliers, elle peut aussi être utilisée à mauvais escient par les cybercriminels pour, entre autres, faciliter la création de logiciels malveillants. Selon une récente étude Kaspersky, 52 % des entreprises dans le monde craignent une perte de confiance de leurs clients si elles n’améliorent pas leur protection contre les cyberattaques utilisant l’IA. Parallèlement, 41 % déclarent ne pas disposer de l’expertise nécessaire en matière de menaces externes pour se protéger efficacement contre de tels scénarios. Avec ses « Recommandations pour le développement et le déploiement sécurisés des systèmes d’IA », Kaspersky propose des conseils spécifiques que les entreprises peuvent utiliser pour déployer l’IA de manière sécurisée et responsable. En complément, le livret « Principes d’utilisation éthique des systèmes d’IA en cybersécurité » complète ces lignes directrices avec des principes éthiques pour le développement et l’utilisation de l’IA dans la cybersécurité.

L’intelligence artificielle se développe rapidement et, bien que son potentiel soit bénéfique pour les entreprises et les particuliers, des cybercriminels mal intentionnés l’utilisent déjà pour étendre leurs capacités de nuisance.

Une récente enquête Kaspersky révèle que la plupart des entreprises sont conscientes de ces dangers : 58 % des entreprises mondiales craignent une perte de données confidentielles et 52 % une perte de confiance, ainsi que des dommages financiers (52 %), si elles n’améliorent pas leur protection contre les attaques basées sur l’IA. Cependant, les connaissances nécessaires font souvent défaut : 41 % des personnes interrogées déclarent ne pas disposer d’informations pertinentes de la part d’experts externes sur les attaques basées sur l’IA.

Kaspersky prône donc des recommandations claires pour le développement et l’utilisation éthiques de l’IA afin de prévenir efficacement toute manipulation et tout abus. En 2024, Kaspersky a signé le Pacte sur l’IA de la Commission européenne, une initiative visant à préparer les organisations à la mise en œuvre de la loi sur l’IA – le premier cadre juridique global sur l’IA au monde, adopté par l’Union européenne (UE). En décembre de la même année, Kaspersky a également présenté ses lignes directrices pour le développement et le déploiement sécurisés des systèmes d’IA lors d’un atelier organisé au Forum sur la gouvernance de l’Internet (FGI) 2024 à Riyad. La transparence, la sécurité, le contrôle humain et la protection des données constituent les principes fondamentaux de cette démarche.

« L’IA éthique est la base de la confiance, de la conformité et de la réussite durable des entreprises. Elle permet aux entreprises de minimiser efficacement les risques de violations de données et de menaces liées à l’IA, tout en respectant scrupuleusement les exigences réglementaires telles que la loi européenne sur l’IA. Dans un monde de plus en plus numérisé, l’utilisation responsable de l’IA n’est pas seulement une question technologique, mais aussi une question d’intégrité et de pérennité pour les entreprises. Nos conseils pour le développement et le déploiement sécurisés de l’intelligence artificielle, ainsi que nos principes pour l’utilisation éthique des systèmes d’IA en cybersécurité, permettent aux entreprises de l’utiliser de manière responsable et sûre, en se protégeant des potentielles menaces sans sacrifier les avantages offerts par la technologie », commente Jochen Michels, Directeur des Affaires Publiques Europe chez Kaspersky.

« L’intelligence artificielle est de plus en plus utilisée pour renforcer la cybersécurité, de la détection des menaces à la prédiction des attaques. Mais qui décide du périmètre d’utilisation de ces outils ? En cas de faille de sécurité, les dommages sont souvent plus importants pour les individus et les groupes vulnérables, que pour les grandes organisations. Nous avons besoin de systèmes non seulement efficaces, mais aussi sécurisés et éthiques, garantissant un partage équitable du pouvoir, des responsabilités et des préjudices dans notre monde numérique », déclare Liliana Acosta, fondatrice et PDG de Thinker Soul, un cabinet de conseil basé sur l’éthique, la pensée critique et la philosophie pour accompagner les entreprises dans leur transformation numérique.

Clément Domingo partage ses réflexions et son expérience de spécialiste de la cybersécurité : « Ces derniers mois, j’ai été témoin de l’utilisation massive de l’IA par les cybercriminels. Ils en ont pleinement conscience et l’utilisent déjà avec succès pour optimiser leurs attaques. Il est donc primordial que les entreprises intègrent dès maintenant l’IA à leurs stratégies de défense afin de renforcer leurs mesures de sécurité globales. Pour ce faire, il est crucial de comprendre les méthodes des cybercriminels – parfois même de se mettre à leur place – afin de mieux les combattre. À cet égard, l’IA peut être un outil puissant, utilisé avec discernement et responsabilité, pour protéger les données précieuses, les infrastructures, la vie privée et les entreprises dans leur ensemble. »

La transparence, la sécurité, le contrôle et la protection des données comme pierres angulaires d’une utilisation éthique de l’IA

Pour soutenir l’adoption d’une IA éthique, Kaspersky a développé des recommandations et des principes pour son utilisation responsable.

Les recommandations pour le développement et le déploiement sécurisés des systèmes d’IA abordent les aspects clés du développement, du déploiement et de l’exploitation des systèmes d’IA, notamment la conception, les bonnes pratiques de sécurité et l’intégration, sans se concentrer sur le développement de modèles fondamentaux.

Parmi ces aspects figurent :

● Sensibilisation et formation à la cybersécurité : Kaspersky met l’accent sur l’accompagnement de la direction et la formation spécialisée des employés. Ils doivent comprendre les menaces liées à l’IA grâce à des formations régulièrement mises à jour et adaptées aux nouveaux risques.

● Modélisation des menaces et évaluation des risques : La modélisation proactive des menaces (par exemple, STRIDE, OWASP) permet d’identifier les vulnérabilités en amont. Kaspersky souligne l’importance d’évaluer les risques tels que l’empoisonnement des données et l’utilisation abusive des modèles.

● Sécurité de l’infrastructure (cloud) : Une sécurité cloud renforcée est essentielle. Kaspersky recommande le chiffrement, la segmentation du réseau, le principe de Zero trust et l’application régulière de correctifs pour prévenir les failles.

● Sécurité de la supply chain et des données : Les outils d’IA tiers présentent des risques pour les données et la confidentialité. Kaspersky recommande des audits stricts, l’utilisation de capteurs de sécurité et des politiques de confidentialité strictes pour prévenir les abus.

● Tests et validation : La validation continue des modèles détecte les problèmes tels que la dérive des données et les attaques adverses. Kaspersky recommande la surveillance, le partitionnement des jeux de données et la révision de la logique de décision.

● Défense contre les attaques spécifiques au Machine Learning : Pour se prémunir contre les attaques telles que l’injection de prompt ou les entrées adversariales, Kaspersky suggère un entraînement avec des exemples adversariaux, la détection des anomalies et la distillation des modèles.

● Mises à jour de sécurité et maintenance régulières : La mise à jour fréquente des outils d’IA et la participation à des programmes de bug bounty (chasse aux failles) permettent de corriger les vulnérabilités et de renforcer la résilience des systèmes.

● Conformité aux normes internationales : Kaspersky insiste sur le respect des standards mondiaux (par exemple le RGPD, l’AI Act européen) ainsi que sur la réalisation d’audits réguliers afin de garantir la conformité légale, éthique et en matière de protection de la vie privée.

Les « Principes d’utilisation éthique des systèmes d’IA en cybersécurité » préconisent une meilleure éducation et des normes claires axées sur la transparence, la sécurité, le contrôle humain et la protection des données, afin de prévenir efficacement la manipulation et l’utilisation abusive des applications d’IA.

Ces principes incluent :

● Transparence : Informer les clients de l’utilisation de l’IA et du Machine Learning ; expliquer leur fonctionnement ; développer des systèmes aussi interprétables que possible ; et mettre en place des mécanismes de contrôle pour garantir des résultats valides.

● Sécurité : Prioriser la sécurité tout au long du développement et du déploiement ; effectuer des contrôles de cybersécurité spécifiques ; minimiser la dépendance aux données d’apprentissage externes ; mettre en œuvre des stratégies de protection multicouches ; et privilégier les solutions cloud dotées de garanties appropriées.

● Contrôle humain : Assurer la supervision humaine de tous les systèmes d’IA/ML ; assurer une surveillance continue par des spécialistes ; et combiner algorithmes et expertise humaine.

● Protection des données : Respecter la confidentialité des données personnelles ; limiter et réduire le traitement des données ; pseudonymisation ou anonymisation ; garantir l’intégrité des données ; et appliquer des mesures techniques et organisationnelles pour protéger la confidentialité.

D’après Communiqué

Tunisie-Arabie Saoudite | Alliance cerveaux-capitaux pour développer l’IA arabe

26. Juli 2025 um 10:08

Comment le Public Investment Fund (PIF) saoudien, qui investit massivement dans l’Intelligence artificielle (IA), peut-il transformer la Tunisie en Silicon Valley du Maghreb et créer une souveraineté numérique panarabe.

Naâmen Bouhamed *

La Tunisie forme 8 000 ingénieurs IA par an (dont 38% de femmes, record mondial), publie plus de recherches IA que tous les pays du Golfe réunis (Nature Index), et voit ses startups lever 120 millions de dollars US (M$) depuis 2020.

Pourtant, 83% de ses cerveaux fuient vers l’Europe ou l’Amérique.

Solution clé : le PIF saoudien a 40 milliards de dollars pour l’IA. La Tunisie a les cerveaux. Leur mariage stratégique peut faire émerger un écosystème arabe disruptif.

Les atouts complémentaires (schéma proposé par IA DeepSeek) :

Projets concrets pour une alliance gagnant-gagnant :

1. Fonds « Brain & Brawn » (1 Md$)

Objectif : fixer les talents en Tunisie via → Salaires hybrides : 70% payés par employeur local + 30% par le PIF (contre engagement 5 ans) → Équity-for-Skills : cession d’actions des startups tunisiennes au PIF en échange de financement.

Impact : réduction de 60% de la fuite des cerveaux (modèle BCG).

2. Réseau de Centres d’excellence thématiques (schéma proposé par IA DeepSeek) :

3- Plateforme Halal Valley

Siège : Tunis (ingénierie) + Riyad (commercialisation).

Fonctions : → Labellisation Halal Tech pour l’IA éthique → Marketplace de services IA pour le monde musulman (1,8 Md de consommateurs) → Accélérateur commun startups tuniso-saoudiennes.

Simulation d’une feuille de route financière (schéma proposé par IA DeepSeek) :

Modèle économique : 15% des revenus reversés au PIF pendant 10 ans

Les Gains Géostratégiques

Pour la Tunisie → Transformation de la fuite des cerveaux en exportation de services IA (objectif : 2Mds$/an) → Ancrage comme hub africain de la deep tech.

Pour l’Arabie saoudite → Accès à des compétences premium à coût compétitif (économie : 400M$/an vs recrutement occidental) → Diversification économique hors pétrole via la propriété intellectuelle tunisienne.

Pour le Monde arabe → Souveraineté numérique (Modèles LLM en arabe, normes éthiques islamiques) → Émergence d’un 3e pôle IA mondial (devant l’Europe, derrière les Etats-Unis et la Chine).

Les pièges à éviter

Protection des intérêts tunisiens → Limiter la prise de participation du PIF à 35% dans les startups → Garantir le transfert technologique via des comités scientifiques mixtes

Agilité vs mégaprojets : «Pas de Neom à la tunisienne : privilégier 100 pépites agiles plutôt qu’un éléphant blanc» (Olfa Nasraoui, experte en IA éthique, Professor of Computer Science & Engineering, University of Louisville, USA).

Témoignage prophétique : «Avec 1% des fonds IA du PIF, la Tunisie pourrait former 50 000 experts et générer 15 licornes. C’est le meilleur ROI géopolitique du siècle » (Karim Beguir, Ceo d’InstaDeep (racheté par BioNTech pour 682M$).

Conclusion

L’alliance Tunisie-PIF n’est pas une option, mais une nécessité stratégique. La Tunisie y gagne en infrastructures et ancrage de ses talents. Le PIF y acquiert une agilité technologique et légitimité panarabe. Et le monde arabe y construit son indépendance numérique.

Cette complémentarité cerveaux/capitaux pourrait écrire l’une des plus belles réussites technologiques du 21e siècle : l’émergence d’un Silicon Valley arabe, irrigué par les cerveaux tunisiens et les pétrodollars saoudiens.

* International business consultant. Ceo Alwen International -France (article écrit en collaboration avec DeepSeek IA).

Précédent article de l’auteur sur le même sujet :

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L’Arabie saoudite et la construction de l’Opep arabe de l’IA

23. Juli 2025 um 12:55

A la suite de la visite d’Elon Musk à Riyadh, l’Arabie Saoudite, via le Public Investment Fund (Pif), mène une stratégie d’investissement dans l’intelligence artificielle (IA) ambitieuse et multidimensionnelle, visant à passer d’une économie pétrolière à un leadership technologique d’ici 2030. Pour piloter cette stratégie, le Pif, qui investit massivement dans l’IA, a lancé Humain, une filiale spécialisée dans ce secteur de pointe.

Naâmen Bouhamed *

Humain prévoit de lancer un fonds de capital-risque de 10 milliards de dollars pour soutenir la croissance technologique mondiale dans le domaine de l’IA et le Pif œuvre à faire de l’Arabie saoudite un pôle mondial de l’IA, en stimulant l’innovation et en attirant les meilleurs talents dans ce secteur. 
Investir des milliards de dollars dans l’infrastructure IA sans développer de talents humains revient à construire un porte-avions… sans pilotes ni ingénieurs. Les données (McKinsey) montrent que les projets IA échouent dans 70% des cas par manque de compétences et non par manque de calcul. Cela veut dire que la bataille du siècle sera remportée par l’intelligence collective donc par l’homme et non par la puissance brute des machines.
La création d’un «Opep de l’IA arabe» pourrait être l’une des solutions pour faire de l’Arabie Saoudite le 3e pôle mondial de l’IA dernière les Etats-Unis et la Chine.
La création d’un réseau de partenariat dans les universités arabes déjà en pointe que sont déjà celles de la Tunisie et de l’Égypte, créera un véritable écosystème vertueux, ouvert à tous et donnant accès aux investissements du Pif à tout l’écosystème des startups innovantes de la région.

Alors que les États ou les blocs économiques et industriels leaders mondiaux, Etats-Unis, Chine, Europe, Russie et l’Inde, tout comme l’Arabie Saoudite, rivalisent pour investir des milliards de dollars dans des supercalculateurs et des data centers, un angle mort stratégique menace la course de l’Arabie Saoudite à la suprématie technologique : l’oubli des cerveaux qui donneront vie aux machines.

Sans investissement massif dans la formation des ingénieurs, mathématiciens et chercheurs, les infrastructures ne seront que des coquilles vides – et la bataille géo-économique du siècle pourrait être perdue d’avance.

Pourtant, comme le souligne le Dr. Pr. Yann LeCun, directeur scientifique IA chez Meta : «Un GPU coûte 10 000 dollars. Un cerveau capable de l’exploiter : 10 millions de dollars sur une carrière.»

L’Arabie Saoudite a investi plus de 500 millions de dollars dans un supercalculateur (Shaheen III). Problème : seulement 2% des chercheurs saoudiens sont qualifiés en IA. Résultat : dépendance des experts étrangers et retards chroniques.

La pénurie stratégique qui change la donne géopolitique

La Chine  forme 1,2 million d’ingénieurs IA/an via ses «Universités IA» (dont 35 dédiées).

Les États-Unis attirent 60% des talents mondiaux, avec un salaire annuel moyen de 450 000 dollars chez OpenAI. Meta vient d’offrir entre 30 à 100 million de dollars de salaire sur 3 ans aux meilleurs ingénieurs et chercheurs IA!

L’Europe compte 70 000 postes non pourvus en IA en 2025 (étude McKinsey) malgré ses importantes  infrastructures. Conséquence : un data center européen est 40% moins productif qu’un équivalent américain par manque d’experts (rapport EU Tech).

La limite des infrastructures sans expertise humaine

Des «cathédrales vides» : des supercalculateurs ou data centers ultrapuissants restent inutiles sans 1- des cerveaux capables de concevoir des algorithmes innovants ; 2- des chercheurs pour repousser les limites théoriques ; 3- des ingénieurs pour optimiser l’exploitation ; 4- des développeurs pour créer des applications pertinentes

Exemple concret : un centre de calcul dédié au LLM (comme ceux d’OpenAI) consomme des mégawatts… mais sa valeur provient à 90% des chercheurs qui ont entraîné les modèles et résolu des problèmes complexes comme l’alignement ou l’inférence efficace.

Comment bâtir l’écosystème humain ?

Il s’agit, concrètement, de lancer «Beit Al-Hikma» du 21e siècle (à l’instar de celle de Bagdad au 12e siècle) à Riyadh en ce 21e siècle.

1- Une révolution éducative : intégrer les mathématiques du Deep Learning dès le lycée et tripler les masters spécialisés (exemple : programme «AI for Humanity»).

2- Des partenariats industrie-universités sur le modèle allemand : Fraunhofer Society (R&D appliquée).

3- Une attractivité d’urgence en délivrant des visas IA accélérés (comme le French Tech Visa) et en créant des centres de recherche trans-disciplinaires (IA + santé/écologie/agriculture/ industries/éducation…).

Le grand enseignement

«Construire des data centers sans former de talents, c’est comme offrir un violon Stradivarius à un enfant sans professeur de musique : l’instrument restera muet», a déclaré le professeur Fei-Fei Li de l’Université de Stanford. Car la vraie bataille ne se gagne pas avec des puces, mais avec des cerveaux. Les pays qui l’auront compris feront de leur jeunesse le premier budget de souveraineté du siècle.

Un pays qui investit dans des GPU sans former de spécialistes va devoir 1- importer des compétences à prix d’or ; 2- sous-utiliser ses infrastructures ; et 3- dépendre technologiquement de l’étranger.

Les chiffres clés et les engagements financiers

Fonds publics : → 40 milliards de dollars alloués à l’IA via le fonds souverain Pif en 2024. → 1,2 milliard de dollars pour l’initiative «Saudi Data and AI Authority» (SDAIA).

Projets structurants : → Neom: 500 millions de dollars pour laCognitive City alimentée par IA. → Kaust(Université des Sciences) : 200 millions de dollars/an pour la recherche en IA.

Les axes stratégiques majeurs

a) Infrastructures physiques :

  • supercalculateurs : → Shaheen III (7e mondial en puissance) dédié à la R&D IA. → Cloud souverain : partenariat avec Alibaba Cloud (Dammam Data Hub);
  • centres d’excellence : → National Center for AI (Riyad) : 10 000 GPU NVIDIA. → AI Garage à Kaust: incubation de 120 startups.

b) Formation & attraction de talents

  • Saudi AI Scholarships : → Bourses pour 5 000 étudiants dans des universités Ivy League. Mais l’Arabie Saoudite devrait investir dans les universités arabes en priorité
  • Ville «Éducation» à Qiddiya : → Campus dédié à l’IA en partenariat avec l’Université de Stanford et le Massachusetts Institute of Technology (MIT).

La Tunisie et l’Egypte peuvent être aussi des partenaires de haute expertise de formation.

  • Salaire Premium : → +70% par rapport au marché pour les experts IA (ex : 450 000 dollars/an). Des visas ouvert Saudi-Tunisia ou Saudi-Egypt pourront offrir des milliers de talents aux 3 pays et valoriser la chaine des valeurs 100% arabe et multilingue.

c) Investissements internationaux

  • Partenariats clés : → 1 milliard de dollars dans SenseTime (Chine) pour l’IA visuelle. → 2 milliards de dollars dans le fonds Prosperity7 (VC de Aramco).
  • Acquisitions : → rachat de la société de robotique UISEE (Chine) en 2023.
  • Dépendance aux expatriés : + 85% (OCDE 2024).
  • Pénurie locale : seulement 2 500 ingénieurs IA saoudiens formés/an.
  • Contraintes culturelles : limites sur l’utilisation des données personnelles.
  • Concurrence régionale : les Émirats arabes unis (G42, Falcon AI) sont plus avancés en écosystème d’infrastructure.

Les perspectives critiques

«L’Arabie Saoudite achète des cartes IA, mais peut-elle en écrire le code ?» lit-on dans la MIT Technology Review, 2025.

  • Succès si : → Transition réussie des «pétrodollars vers les data dollars». → Ancrage régional des talents (objectif : 40% de Saoudiens dans les projets IA d’ici 2030).
  • Risques majeurs : → «Effet mirage» : infrastructures sous-utilisées sans expertise locale. → Sanctions technologiques (tensions USA-Chine sur les puces).

Conclusion :

L’Arabie saoudite mise sur une stratégie financière agressive pour compenser son retard initial. Son atout clé reste sa capacité d’investissement massif en infrastructure, mais sa pérennité dépendra de sa capacité à : 1- sédentariser les talents internationaux; 2- accélérer la formation locale ou en partenariat avec les pays arabes (Tunisie, Egypte…) ; 3- diversifier les applications au-delà du pétrole (santé, logistique, agritech, éducation, tourisme…).

La réussite transformerait le royaume d’Arabie en puissance IA incontournable entre l’Asie et l’Occident. L’échec créerait un «musée technologique» à grande échelle.

Avec quel pays arabes et musulmans l’Arabie Saoudite pourrait-elle construire des partenariats de formation en IA et construire un écosystème à haute valeur ajouté? IA Arabe : Tunisie, Maroc, Egypte, Jordanie ou encore Algérie! Sinon IA «halal» : Malaisie, Indonésie…

1. Tunisie : 1er réservoir de talents en Afrique

  • Pourquoi ? → Meilleur ratio qualité/coût des ingénieurs IA arabes → Expertise en R&D.
  • InstaDeep (part of BioNTech): Tunis-born AI firm solving industrial challenges (e.g., logistics, biotech).
  • DeepArt: AI-powered creative tools.
  • Tilli: Child-focused AI educational platforms.
  • Datavora (Tunis/Paris) AI-powered e-commerce intelligence (pricing, competitor tracking.
  • Welov :AI video analytics for retail (customer behavior tracking).
  • DeepArt (now part of Eyesee): Visual AI for art generation & brand marketing.

Key Research Institutions in Tunisia :

  • CES Lab (University of Sfax): Specializes in AI, NLP, and computer vision.
  • Riadi Lab (Ensi, Manouba) focuses on machine learning and big data.
  • Soie Research Group (ISG Tunis): works on AI-driven decision systems.

2. Égypte : le marché et la main-d’œuvre

  • Pourquoi ? → Plus grand bassin de diplômés Stem du monde arabe (150 000/an) → Marché domestique de 110 millions de consommateurs.

Quelques leaders :

  1. Rology :AI-powered teleradiology platform connecting hospitals with global radiologists.
  2. DXwand : Arabic-language AI chatbots and voice assistants for enterprises.
  3. Synapse Analytics :end-to-end AI solutions for finance, retail, and healthcare.
  4. DeepVision AI : computer vision for retail security, shelf analytics, and industrial automation

Rising innovators & startups :

  1. Shaghalni (AgriTech) : AI for farm management (satellite imaging + IoT sensors for crop/pest monitoring).
  2. Kencorp AI : HR tech using AI for recruitment, employee sentiment analysis, and retention.
  3. Valify Solutions :AI-driven document processing (contracts, invoices, IDs) with Arabic/English OCR.
  4. DilenyTech (HealthTech) : AI platform for mental health screening (voice/text emotion analysis).

Modèle gagnant : l’Opep arabe de l’IA

«Comme le pétrole dans les années 1960, les données arabes sont une ressource stratégique. Leur valorisation nécessite une alliance des cerveaux et des capitaux», lit-on dans le rapport PwC Middle East 2025.

Impact Attendu : 1- réduction de la fuite des cerveaux de 40% dans les pays partenaires et positionnement du monde arabe comme 3e pôle IA (derrière les Etats-Unis et la Chine et devant l’Europe) ; et 3- création de 500 000 emplois de haute technologie d’ici 2035.

Cette coalition transformerait la dépendance actuelle en souveraineté numérique collective.

* Consultant International France-Middle East, auteur de l’ouvrage Réussir l’export en Arabie saoudite.

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